• l’année dernière
TPMP : 100% médias, 100% darka ! 


Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.


Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste



TPMP sur les réseaux sociaux : 


Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/

Category

📺
TV
Transcription
00:00Au niveau des OQTF, est-ce que la France est trop laxiste ? Pour moi, oui.
00:03Pour moi, c'est inadmissible. Un OQTF ne doit pas rester ici.
00:06Un OQTF, il doit être en dehors de la France.
00:08Pour moi, les OQTF, je les fous. Je suis désolé.
00:13Ils n'ont rien à faire en France.
00:15Le problème de l'OQTF, c'est que t'es soumis à un problème pragmatique.
00:19C'est le laisser-passer consulaire.
00:21Voilà, c'est ça.
00:21Mais on s'en fout. Il faut leur mettre des coups de pression.
00:26Tout ça, c'est quand même de l'esbrouf, parce qu'à un moment donné,
00:28t'as un ministre de l'Intérieur qui arrive et qui dit
00:30« Moi, je vais tous les renvoyer. »
00:31Ben oui, mais où ?
00:32Les Anglais avaient testé l'extraterritorialité.
00:35Alors ça, quand tu commences à mettre le doigt là-dedans,
00:39c'est très dangereux.
00:41D'abord, c'est contraire à tous les traités internationaux de faire ça.
00:43Légalement, mettre quelqu'un en extraterritorialité et dire
00:46« Je prends une île et je t'en mets dessus. »
00:48Jean Guantanamo.
00:50Ça, c'est quand même contraire à tous les traités internationaux de faire ça.
00:53Après, moi, je fais du bois, quand même.
00:55Mélanie, tout le monde la félicite en italien.
00:58Vous avez vu ce qui s'est passé ?
01:00Vous avez vu le mec de quel pays qui est allé la féliciter ?
01:05Je crois que c'est...
01:07L'Anglais.
01:08L'Anglais, exactement.
01:10L'Anglais, qui est à gauche toute.
01:13Il est allé féliciter Mélanie pour sa politique migratoire.
01:17Il est allé chercher et prendre des leçons.
01:18Exactement. Vous vous rendez compte ou pas ?
01:20Il a des règles d'Australia.
01:22Après, Mélanie, elle a choisi à se régulariser.
01:24Vous savez qu'Italie, j'y viens un peu.
01:26L'Italie, j'y viens un peu.
01:28Et Mélanie, si vous voulez, il y a quand même...
01:30Il ne faut pas se tromper.
01:31Il y a quand même une grosse part de communication là-dedans.
01:33Elle présente vachement bien. Ses chiffres sont bons.
01:36Mais parce qu'en fait, qu'est-ce qu'elle a fait aussi ?
01:38Elle a fait une grosse politique de régularisation.
01:40450 000.
01:41Elle a fait une grosse politique de régularisation et c'est en papier.
01:43D'ici à l'an prochain, ça fera 450 000 personnes.
01:45Mélanie, il faut faire attention parce qu'elle est quand même soumise au diktat européen.
01:48C'est pas si facile que ça.
01:52C'est vrai qu'on ne fait rien.
01:53Tu vois ce qui s'est passé avec...
01:55Alors je vais vous dire, Emmanuel Macron avait dit...
01:57Il avait dit 100% des OQTF qui trompent le territoire.
02:01Oui, mais Emmanuel Macron, il dit beaucoup de choses.
02:05Le problème d'Emmanuel Macron, c'est que même s'il se trompe pour Jupiter, il n'est pas Jupiter.
02:08C'est ça le seul problème.
02:10C'est qu'en fait, il n'est pas le roi du monde, il n'est pas l'empereur du monde.
02:12Il ne peut pas décider tout seul.
02:13Ce qui fait...
02:14Qui décide alors ?
02:15Qui décide ? D'abord, effectivement.
02:16D'abord, tu vois l'Algérie par exemple.
02:18Là, on s'est fâché avec l'Algérie.
02:19L'Algérie a dit bon ben ok, puisque c'est comme ça, les ressortissants algériens, je n'en veux plus, je ne la prends plus.
02:22Voilà.
02:23Absolument.
02:24On ne peut pas se lâcher trop non plus parce qu'on a besoin de l'organe.
02:26Exactement.
02:27Le problème, il est là.
02:30C'est là où il faut bien comprendre que la politique d'immigration, c'est comme tout en fait.
02:33La politique pénale, c'est comme tout.
02:34C'est un ensemble.
02:35Ça se discute au niveau des ministères d'affaires étrangères.
02:37Ça se discute au niveau des ministères de l'Intérieur, des ministères de la Justice.
02:40Moi, je vais vous dire.
02:41Excusez-moi Fabrizio.
02:42Les parents de Philippines, ça leur fait...
02:43Moi, je vais vous dire.
02:44Exactement.
02:45Les parents de Philippines.
02:46Et on a d'autres infos qui vont arriver dans un instant avec Amaury Buco.
02:48Vous allez voir.
02:49Ça va vous foutre en rogne, mais vous ne pouvez même pas savoir comment.
02:52Les parents de Philippines, aujourd'hui, je peux vous dire.
02:56Vous vous rendez compte, ce gars-là n'a rien à faire sur le territoire français.
03:01Vous vous rendez compte ?
03:04Moi, je vais vous dire.
03:05Pour moi, je suis désolé.
03:06Il faut trouver des solutions.
03:07Il faut sinon tous les OQTF.
03:10Tous les OQTF, il faut déjà essayer ou de les faire partir ou bien de les mettre hors...
03:14Il y en a 17 000.
03:15Non, non, non.
03:16Il y en a plus que ça.
03:17Il y en a 177 000.
03:18177 000 en 2022.
03:20Il y a déjà un premier problème.
03:21Non, non.
03:22177 000 en 2022.
03:23Depuis 2019, c'est 447 000 OQTF.
03:25Exactement.
03:26Voilà, exactement.
03:27Donc, il y en a 177 000 en 2022.
03:29Voilà.
03:30Juste aujourd'hui, ces 177 000 personnes n'ont plus rien à faire en France.
03:34Je ne sais pas combien ils sont.
03:35Mais on doit les sortir de la France.
03:37Sortir de la France.
03:38Gilles Vernez, arrêtez de faire cette tête parce que je vais m'énerver.
03:40Non, mais je vous le dis.
03:41Arrêtez de faire cette tête parce que je vais m'énerver.
03:43Non, mais je vous le dis.
03:44Les OQTF n'ont rien à faire en France.
03:46Je vous le dis.
03:47Mais vous en faites quoi ?
03:48Mais on les fout dehors.
03:49On les fout ?
03:50On les fout dehors.
03:51Mais où ?
03:52Dans ton cul.
03:53Dans ton cul.
03:54Et si on décide...
03:55Non, mais il m'énerve.
03:56Je suis désolé.
03:57Il m'énerve vraiment.
03:58Il m'énerve.
03:59Merci.
04:00Merci Thomas.
04:01Et en tout cas, si on décide, comme Gilles ou monsieur Guénolé, qu'on ne peut rien
04:05faire parce qu'ils sont là, à ce moment-là, on se débrouille pour faire rentrer Drogba.
04:09Ce serait déjà pas mal au moins.
04:11Faire rentrer au moins.
04:12Non, mais moi je vais vous dire.
04:13Mais pourquoi on ne les met pas dans des avions ces gens-là ?
04:15Et le pays ne veut pas.
04:16Et le pays ne veut pas.
04:17Mais tu t'en fous.
04:18Mais t'en as rien à foutre.
04:19Mais vous les mettez où ?
04:20Dans la mer ?
04:21Je vous le dis.
04:22Je ne veux pas les voir.
04:23Je ne veux pas les voir.
04:24Mais vous les mettez où ?
04:25Mais arrêtez Gilles Vernez.
04:26Arrêtez.
04:27Vous leur faites prendre un avion et vous les débarquez.
04:30C'est tout.
04:31Mais où on les débarque où ?
04:32Chez eux.
04:33Ils n'en veulent pas.
04:34Je suis désolé.
04:35Ils sont chez eux.
04:36Parfois il y a des écouteurs.
04:37Il y a un truc intéressant pour le coup.
04:38Fabrice.
04:39Il touche du doigt, après vous touchez du doigt Cyril, un vrai problème qui est à un
04:44moment donné le problème de savoir quelle politique j'ai à destination de ces Etats
04:48qui ne veulent pas reprendre.
04:49Voilà c'est ça.
04:50Il va falloir à un moment donné qu'on ait une puissance mondiale.
04:53Il va bien falloir qu'on se comporte comme tel à un moment donné.
04:56Le problème c'est que ce n'est pas le seul paramètre.
05:00On est d'accord.
05:01Si on parle de géopolitique pour le coup ce n'est pas le seul paramètre qu'on a avec
05:04ces Etats.
05:05Et quand l'Etat France est en train de voir les dossiers qu'il a avec l'Algérie, en
05:08termes de priorité, la question des OQTF et du point de vue de l'intérêt de l'Etat,
05:12entendez-moi bien, le cadet de ces soucis.
05:14Il ne faut pas raconter des craquements de jambes.
05:16C'est très grave.
05:17Il a raison.
05:18Il a raison Thomas Guénolé.
05:19Il a raison.
05:20Là-dessus vous avez raison Thomas Guénolé.
05:21Et c'est ça qui est très grave.
05:22Moi je vous le dis.
05:24Quand je vois aujourd'hui les Français, ils veulent deux choses.
05:27Pouvoir d'achat.
05:28Sécurité.
05:29Moi je vous le jure.
05:30Moi demain je suis chef du gouvernement.
05:32Je vous le jure.
05:33Et on ne peut pas courir 50 000 lièvres à la fois.
05:36Je dis à mon gouvernement, je dis à tous mes ministres, les gars on arrête tout je
05:40vous le dis.
05:41C'est pendant six mois, sécurité, pouvoir d'achat pour les Français.
05:45Dans six mois on fait un point.
05:46Si on n'a pas de résultat, on dégage.
05:48On se barre parce qu'on n'est pas capable.
05:50Mais je vous dis la vérité, aujourd'hui, les OQTF, c'est une priorité.
05:55Je vais vous dire, pour le drame qu'il y a eu avec Philippine, est-ce que vous vous
05:58rendez compte même du moral des Français ?
06:01J'ai eu des gens au téléphone aujourd'hui qui m'ont appelé à la radio.
06:04Mais ils ont tous peur pour leurs enfants, pour leurs sœurs.
06:08Ils se disent on ne peut plus sortir.
06:10Est-ce que ce qui est arrivé à Philippine, ce qui est arrivé à Philippine, ça pourrait
06:14arriver à tout le monde.
06:15Si c'est à 100 mètres.
06:16C'est une jeune fille qui était à la fac, qui est sortie de la fac et qui a fait une
06:19rencontre, qui a rencontré un OQTF qui n'a rien à faire en France et en plus récidiviste.
06:23Et on va vous expliquer l'affaire dans un instant, vous allez voir, vous allez devenir
06:26fous.
06:27Vous allez devenir fous.
06:28Et quand Gilles Verdez me dit qu'est-ce qu'on fait des OQTF, Gilles Verdez, une fois de
06:31plus, c'est le laxisme de la France.
06:33Moi je vous le dis, si on a répondu avec Fabrice Division.
06:37Vous êtes insupportables.
06:41Non, il soulève un problème par contre, c'est que ça va nous coûter sur autre chose
06:45dans les négociations entre Etats.
06:48Non mais j'entends bien, mais ça va vraiment, il n'y a pas de prix à la vie, il n'y a
06:53autre chose.
06:54Par exemple sur la facture d'énergie, vous venez de parler du pouvoir d'achat.
06:57Je préfère payer plus cher le gaz et sauver des vies, sauver des enfants.
07:02Non mais il n'y a pas de lien entre être OQTF, il n'y a pas de lien de causalité entre
07:05les deux.
07:06Il faudra trouver d'autres accords avec d'autres pays sinon.
07:09Je le dis.
07:10Il y a un autre paramètre qu'il faut bien comprendre, c'est que la politique migratoire
07:15en grande partie quand même, quoi qu'on dise, certains nous échappent aussi parce
07:18que maintenant elle est sous l'égide de l'Union Européenne.
07:21C'est comme ça.
07:22C'est vrai.
07:23La directive effectivement qui fixe la durée maximale de rétention, c'est une directive
07:26communautaire.
07:27Mais Thomas, je vais vous redire un truc.
07:31Un pays, et je le redis aux téléspectateurs, un pays, c'est une entreprise.
07:36Gérer un pays, c'est comme gérer une entreprise.
07:39Je vous le dis.
07:40Tu sais pourquoi ?
07:41Parce que quand vous dites le gaz va nous coûter beaucoup plus cher si on s'embrouille
07:45avec l'Algérie, c'est très simple, il faut aller négocier peut-être avec d'autres
07:49pays.
07:50Je vous le dis.
07:51C'est des négociations.
07:53Mais aujourd'hui, la priorité des Français, pouvoir d'achat, sécurité, je vous le dis,
07:59il faut dire au gouvernement, dans un an, dans deux ans, je n'en veux plus un au QTF
08:03en France.
08:04Il n'y en a plus un.
08:05Ça doit être.
08:06C'était d'ailleurs la promesse d'Emmanuel Macron.
08:09La souveraineté.
08:10Il avait dit 10%.
08:11100% et on est à 10%.
08:12Exactement.
08:13Et on est à 10%.
08:14Il avait dit 100% de QTF dehors, on n'est qu'à 10%.
08:17Voilà.
08:18Je vous le dis aujourd'hui.
08:19Aujourd'hui, vous ne vous rendez pas compte.
08:21Vous ne vous rendez pas compte de ce que disent les Français, de ce que vivent les Français.
08:24Il y a des Français, leur seul truc, c'est le 10 du mois, ils travaillent du matin au
08:30soir, ils n'ont pas d'argent pour nourrir leurs enfants, et ils ont peur quand leurs
08:34enfants sortent, quand eux sortent tout seuls, et ils se disent, aujourd'hui, avant des
08:38histoires comme ça, on se dit, je me rappelle, on disait, le Brésil, attention, c'est très
08:42dangereux.
08:43Aujourd'hui, vous savez ce qui se dit à l'étranger ? Quand un mec vient en France, on dit, attention
08:46la France.
08:47Attention, c'est très dangereux.
08:48Mais je vous le dis, je connais des potes américains qui me disent, ça nous fait peur
08:52la France.
08:53Les Bronx maintenant.
08:54Oui, je vous le dis, c'est vrai.
08:55Aujourd'hui, mais c'est vrai.
08:56Avant, quand je me rappelle, quand il y avait des gens qui partaient au Brésil, on se disait,
08:58tu vas partir au Brésil, fais gaffe, on va te piquer ta montre.
09:00Aujourd'hui, c'est en France qu'on ne peut plus mettre une montre de luxe.
09:04Désolé, ça s'est accéléré.
09:07Il y a eu une accélération du délitement de la France qui est incroyable, je vous le
09:12dis.
09:13Aujourd'hui, les Français n'en peuvent plus.
09:14Alors, ceux qui me disent non et ceux qui disent non, c'est résiduel, etc., ils ne
09:18vivent pas dans le même monde que les Français, je vous le dis.
09:21Et aujourd'hui, si le rassemblement national est à plus de 30% et même plus aujourd'hui,
09:28c'est que les Français, ils n'attendent qu'une seule chose, c'est leur priorité,
09:32c'est de voir leurs enfants pouvoir sortir en boîte de nuit tranquille, main dans la
09:36main avec leurs copines, sans qu'ils aient peur qu'ils se fassent agresser ou qu'ils
09:39se fassent insulter, je vous le dis.
09:41Alors sur les insultes, c'est vrai par contre.
09:43Sur les insultes, c'est un phénomène massif, ça c'est vrai.
09:46C'est-à-dire que dans toutes les catégories, je vous citais l'enquête, vous savez, tout
09:48à l'heure, sur est-ce que vous avez été vous personnellement victime de tel ou tel
09:51truc, il y a une catégorie où ça pète les scores de mémoire, c'est en une seule
09:56année, 15% des Français qui ont subi ça, ce qui est gigantesque.
09:59C'est les injures et les menaces, pas concrétisées, mais ça installe quand même une ambiance
10:03d'une peur, et ça, ça existe.
10:05Ça veut dire qu'il y a, quand on parle d'effondrement du respect, d'effondrement de la politesse
10:09et d'effondrement juste du fait d'être civil les uns vers les autres, non pas nécessairement
10:13de valeur, c'est un truc plus fondamental, le fait de respecter l'autre en tant qu'être
10:17humain, c'est ça qui s'écroule, ça c'est vrai.
10:19Et je vais vous dire aussi, ici dans cette émission, il est 20h38, on est en direct,
10:23moi les discours de Gilles Verdez, c'est pas possible, c'est pas possible, les Français
10:26ne peuvent plus entendre, c'est pas possible, sachez-le.
10:28Il y a une urgence, ils ne veulent plus entendre, c'est pas possible.
10:31Donc Gilles Verdez, si c'est pour dire que c'est pas possible, vous allez retrouver Fatou
10:34et vous allez lui faire un quatre-quarts à la maison, d'accord ?
10:36Mais je vous le dis.
10:37Et après, il y a un autre paramètre, si je peux me permettre, c'est que Gilles Verdez,
10:39vous vous trompez à mon avis comme sur un point, si je peux me permettre.
10:41Oui, mais c'est insupportable.
10:42La politique, c'est l'art de rendre l'impossible possible.
10:44Oui, bah oui.
10:45C'est ça la politique.
10:46Exactement.
10:47Lui, il a l'art de rendre le possible impossible.
10:49À un moment donné, c'est l'art de rendre l'impossible possible.
10:51La souveraineté, c'est ça.
10:52Bien sûr.
10:53Aujourd'hui, on a un problème en France.
10:54Vous disiez, Cyril, que les Français craignent pour sécurité.
10:56Mais il faut bien comprendre aussi qu'on a un problème.
10:58Et c'est là où, monsieur, je ne suis pas d'accord avec vous du tout.
11:00C'est qu'au-delà des liens qu'on fait de manière un peu incontestablement, un peu
11:04rapide, et je peux en convenir volontiers, le problème ne se pose pas en ces termes.
11:08Le problème, c'est que vous savez que ce n'est pas un délit d'être Français.
11:11Vous savez que ce n'est pas un délit de vouloir effectivement la sécurité pour
11:14ses enfants.
11:15Le problème, c'est que ce n'est pas un délit que de vouloir choisir qui rentre
11:17chez nous et qui sort de chez nous.
11:19Je veux dire, je ne sais pas si l'État est conforme à une entreprise.
11:21Mais en tout cas, l'État est conforme à une famille.
11:23Et que chez moi, je décide effectivement qui rentre et qui sort.
11:26Chez vous ?
11:27Bah, je veux dire, en France, on décide…
11:29Oui, dans votre maison.
11:30Oui, aussi quand même.
11:31C'est normal, monsieur.
11:32Regardez, regardez le sondage.
11:33La France est ultra-accessible.
11:34Oui, à 96 %.
11:35Mais oui, Gilles Verdez, vous êtes déconnecté.
11:37Vous habitez où ?
11:39C'est insupportable, cette tête-là.
11:41Toute l'émission, il est comme ça.
11:43C'est insupportable.
11:44On dirait le cerveau.
11:45David Mivenne, il est comme ça.
11:47C'est insupportable.
11:48Je ne sais pas ce qu'il dit.
11:49En plus, pour lui, tout est impossible.
11:51On ne peut rien faire et on reste dans la merde.
11:53Excusez-moi.
11:54Gilles Verdez, vous êtes la France de l'échec.
11:55C'est possible.
11:56Pourquoi on ne le fait pas ?
11:57Répondez-moi, pourquoi c'est possible ?
11:59Monsieur Darmanin, il a fait tout son possible.
12:01Il a échoué.
12:02Monsieur Darmanin, ce n'est pas de son ressort.
12:03Il peut essayer, mais ce n'est pas de son ressort.
12:05Il faut qu'il y ait des accords avec des pays.
12:07Que ce soit avec le ministère des Affaires étrangères
12:09et le président de la République.
12:11Gilles Verdez, quand vous aurez travaillé,
12:12vous pourrez revenir dans cette émission.
12:14Pour l'instant, occupez-vous de ma vie
12:15et donnez-lui un Babybel.
12:16Merci.

Recommandations