Le gouvernement fait marche arrière sur l'aide médicale d'État

  • il y a 9 heures
TPMP : 100% médias, 100% darka ! 


Du lundi au vendredi à 18h50 sur C8.


Tous les extraits et émissions de TPMP sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste



TPMP sur les réseaux sociaux : 


Facebook : https://www.facebook.com/TPMPTV
Twitter : https://twitter.com/TPMP
Instagram : https://instagram.com/tpmptv/

Category

📺
TV
Transcription
00:00Le gouvernement fait marche arrière sur l'aide médicale d'État puisqu'il devait augmenter l'aide médicale d'État, il devait rajouter 100 millions pour l'aide médicale d'État parce que forcément, il y a plus de gens à aider.
00:10Mais finalement, ils ont fait marche arrière, je ne sais pas si c'est grâce à nous, et Bruno Rotailleau, le ministre de l'Intérieur qui s'est exprimé ce matin dans les 4 vérités de France 2,
00:18il a expliqué avec fermeté qu'il souhaitait transformer l'AME en aide médicale d'urgence. Bravo Bruno Rotailleau, bien sûr, en AME, que pour les urgences.
00:25Je vous le dis, est-ce que vous êtes d'accord ou pas ? Bien entendu. Faut-il supprimer définitivement l'AME ? Oui, pour, bien sûr, Guillaume Janton.
00:33Valérie Benaym, on sait exactement ce qu'elle va nous dire, elle va dire, oui, mais si on supprime l'AME, après, il va y avoir plus de gens dans les hôpitaux parce qu'ils vont être plus malades,
00:39et puis après, ça va se transformer en AME, et puis donc voilà.
00:41Donc c'est bien ce qu'on dit, donc Valérie va dire comme nous puisqu'elle va dire comme Bruno Rotailleau, elle va dire, il faut mettre l'aide médicale d'urgence, voilà.
00:48Merci, donc juste pour les cas urgents. Isabelle, merci, faites le bon choix. Parlez pas avec lui, Isabelle. Bon, bien entendu, je veux entendre, allez, on va entendre Jean-Michel,
01:00et après, bien entendu, Fabrice, ce sera le rideau s'ouvre, votre show commence, c'est à vous, la scène est à vous, pour le moment, Jean-Michel.
01:08C'est d'une telle évidence, évidemment, qu'on ne va pas laisser un étranger qui est arrivé illégalement, qui est en train de mourir d'une péritonite,
01:13parce qu'il n'y en a pas nécessairement eu sur le trottoir, évidemment qu'on ne va pas le regarder en disant qu'il crève, évidemment que non, on va le soigner, mais c'est l'urgence,
01:19mais on ne va pas faire de détartrage comme Vigile, de recollement d'oreilles, de grève de cheveux, et qu'on sorte, non.
01:26Ce n'est pas dans l'AME. Ce n'est pas dans l'AME, mais ça y sera bientôt si on vous laisse faire. Voilà, donc il faut évidemment cantonner les aides à ceux qui en ont le plus besoin,
01:32les gens qui sont dans l'urgence, et réserver le reste à ceux qui sont légalement... Non, non, mais déjà, si on peut enlever un milliard, les mecs, je vous le dis, les milliards,
01:39on dirait qu'on les chie. Il y a trois milliards ici, un milliard là. Tiens, à l'Ukraine, il y a combien ? Trois milliards. Bah, ça, on va dire, il va partir au distributeur.
01:47Il y a un milliard pour l'AME, il y a un milliard... Non, mais les gars, on trouve des milliards de partout. S'assurez-nous. Et il y a des agriculteurs qui crèvent.
01:54L'EDF, ça va être un truc de fou, là. Vous allez voir ce qui va se passer avec l'électricité. C'est avec une folie. Mais il faudrait qu'ils nous trouvent des milliards pour aider les boulangers aussi, là,
02:01qui vont être mal, ou les restaurateurs, mais non. Voilà.
02:04— La Martinique aussi. La Martinique aussi avec les milliards. — Gilles Verdel, je vous adore. Mais c'est pas la peine de faire... Quand je parle, c'est pas la peine de faire.
02:10— Je suis d'accord avec vous. — Oui, mais vous êtes d'accord avec moi. Mais Gilles Verdel, quand on est d'accord avec quelqu'un, il faut trouver des solutions pour pouvoir être d'accord avec lui.
02:16— Sur l'agriculture, je suis toujours d'accord avec vous. Mais oui, alors. — Mais mettez oui, alors. Parce que l'argent, on va le trouver où ? À l'Institut de Fatou ? Merci.
02:23— Marie. Non mais c'est vrai. Merci. — Baisse-toi. Baisse-toi. — Baisse-toi. Baisse-toi. Baisse-toi. Baisse-toi. Baisse-toi. Baisse-toi. Tu vas prendre un truc.
02:38— Non mais c'est une attaque en dessous de la ceinture, là. — Non, pas du tout. Pas du tout. — C'est pas le genre de la maison. — C'est pas le genre de la maison.
02:43— Mais c'est une grenade d'encerclement, ça. — C'est une grenade d'encerclement. Il a dit nul.
02:50— Ceux qui mettent nom « Comment vous pouvez fonctionner qu'on offre des milliards de soins gratuits à des gens qui sont étrangers et qui n'ont pas le droit d'être là », quand un retraité sur 3 renonce à se soigner parce qu'il n'a pas les moyens.
03:02— La dame, là-derrière, vous savez combien ils lui ont remboursé pour ses lunettes ? Quoi ? 19 centimes ? 19 centimes d'euro, ils lui ont remboursé pour ses lunettes.
03:09Et après, on va rembourser des anneaux gastriques. Et on va se refaire... Non mais t'arrives en France. T'arrives en France, c'est extraordinaire.
03:16Tu te fais recoller les oreilles. On te refait le nez. Tu mets un petit anneau gastrique. T'es beau gosse. Tu vas squatter une maison. T'es tranquille. Merci. T'es bien dépepé, hein, mon frère.
03:24— On a déjà eu cette conversation. — C'est bon. C'est bon. On vous a pas demandé de réagir pour l'instant.
03:28— On est pas dans la préférence nationale. C'est la préférence étrangère. Il vaut mieux être étranger qu'être français, en fait.
03:34Étranger, t'as tout. Français, tu galères. — Bien sûr. Mais j'ai dit la France et le pays. C'est le pays. Venez en France. On est tous sauf les Français et ceux qui travaillent. C'est tout. Voilà. C'est tout.
03:43— Il y a tout le féra par brûler notre carte d'identité, faire croire qu'on est étrangers, on parle pas français, on est mineurs. Moi, je répète ça. Je suis mineur étranger.
03:49— Bien sûr. Bien sûr. Bien sûr. — Ça passera pas. — On aura Fabrice tout à l'heure, bien entendu, en levée de rideau. Pour l'instant, Fabrice, on va écouter les...
03:58On va pas tous les écouter, je vous le dis. On peut plus. Isabelle d'abord. Ma chérie, ça me fait plaisir de te voir.
04:03— Ben non, vous avez tout dit. — Merci. — Non, mais sincèrement, je suis entièrement d'accord avec ça. Et bien évidemment qu'on refuse pas d'aider ceux qui ont besoin d'être aidés,
04:11qui sont sur notre sol. Et l'aide est d'autant plus institutionnalisée qu'il y a des accords entre nous et certains pays pour qu'on accueille leurs ressortissants.
04:18— Les mecs, déjà, il faut arrêter de faire venir des gens si on peut pas les loger, si on peut pas trouver de travail et si on peut pas s'en occuper.
04:25C'est comme quand tu fais un enfant, tu te dis je vais pouvoir m'en occuper, je vais pouvoir le loger, je vais pouvoir le nourrir. On essaye, en tout cas.
04:32En tout cas, les gens essaient de faire le maximum. Et il y a des mecs qui travaillent et les pauvres n'arrivent pas à nourrir leurs enfants.
04:38Quand tu fais venir des gars, eh ben en France, ils vont être malheureux. On va pas se mentir. Si tu peux pas les faire travailler, tu peux pas les loger.
04:45Si tu peux pas leur donner à manger, forcément, ils vont être malheureux. Donc c'est pas la peine qu'ils viennent. On va pas se mentir. Voilà, c'est tout.
04:51Donc Gilles Verdez, arrêtez de faire ça, parce que c'est insupportable. — À telle heure, quand je vous regarde comme ça, fixement, je me sens engueulé !
04:56Et là, je fais ça, je me sens engueulé ! Ah, si je suis... J'ai pas rien à faire, moi. — Tu peux pas me couper la tête.
05:01— Ne le regarde pas. Regarde par ici. — Je suis d'accord, Gilles Verdez. Je suis d'accord, Gilles Verdez. — Tourne-toi. — Je regarde parce que je vous écoute.
05:05— Non, non, non. — Tourne-toi. — Non, il regarde. Je le dis. Tu as du te l'expliquer, là. Tu savais ce qu'il fait ? Tu regardes. Tu savais ce qu'il fait ?
05:10— Non. — Je le vois. Je le vois. J'ai dit c'est dit sur 2 yeux. Je le vois. J'ai dit c'est dit sur 2 yeux, Fabrice. Donc je le vois. Il fait comme ça.
05:20J'ai dit c'est dit sur 2 yeux. Oui, mamie. — Je vais vous donner un tout petit exemple. Jean-Luc Delarue, sur qui on a beaucoup chié pour la drogue et tout ça et tout ça.
05:31Il les a logés. Il a financé l'opération. Il a financé le trajet à les retours. Il n'a jamais donné de grande leçon à qui que ce soit, là-dessus.
05:39— J'aimerais bien savoir ce qu'on fait, Thomas et Gilles. J'aimerais bien savoir ce qu'on fait, Thomas et Gilles, à part nous pourrir la vie. Merci.
05:45— Je peux vous répondre là-dessus. — Oui, merci. On va demander d'avoir Gilles Verdez. — Oui. Vous dites... — Alors... — Ah, c'est petiton.
05:53— L'arrogance. — J'ai toujours été sympa avec vous. — Avec Brio, vous avez énoncé votre théorie formidable. — Non, non, non. Ne chiale pas. N'essayez pas de m'embrouiller, Gilles.
05:59— Vous avez dit arrêtons de les faire venir. On les fait pas venir. Ils viennent. Moi, les gens que je connais qui ont eu l'AME, ils sont venus en bateau.
06:05Ils ont failli mourir. — Mais oui, mais on peut pas... Il faut les faire repartir. Ça revient au même. — On peut pas les faire repartir. On est obligés même. Pour eux, ils sont malheureux ici.
06:12— On s'accueille par intuition. — Laissez-moi finir. Ils sont là. — Vous avez entendu ce qu'a dit de vrai ce matin chez Pascal Praud ?
06:18Lui, il les faisait repartir direct en avion. Et ils étaient plusieurs ans après. Je vous le dis. Ils arrivent. Qu'est-ce qu'ils font ?
06:25— C'est des tragédies humaines, Cyril. Et ces tragédies... — La seule tragédie humaine que je vois, c'est vous. — Si vous voulez. Mais c'est des tragédies humaines.
06:31Ces gens-là, ils viennent pas se faire recoller les oreilles. C'est pas vrai. Mais il y a des gens qui viennent et qui sont... — Je sors division.
06:37— Non, mais tu fais pas une battle de... — Il est bien sûr. Il y a... — Non, les mecs. C'est bon.
06:43— On a la chance d'avoir un pont. On a la chance d'avoir un pont. Merci, Valérie Bélaïm. On a la chance d'avoir un pont.
06:48— Je peux vous énerver encore ? — Non. D'abord, je veux entendre Fabrice Wiseau. Merci.
06:51— Le problème, Gilles, c'est que... Et Thomas, à certains égards... — J'ai encore rien dit. — Je dis « à certains égards ».
06:57Vous êtes effectivement d'une certaine façon passé de l'angelisme au négationnisme. Il y a une forme de négationnisme de la réalité des Français,
07:05de ce qui se passe en France. — S'il vous plaît. S'il vous plaît. S'il vous plaît, Fabrice. Déconnez pas avec le mot « négationnisme ».
07:09Je veux dire « bon, arrêtez ». C'est bon. Vous avez compris ce que je voulais dire. — S'il vous plaît, déconnez pas avec le mot « négationnisme », s'il vous plaît.
07:15— Oui, là, vous avez compris. — C'est la négation, s'il vous plaît. — Merci. — Déconnez pas avec le mot « négationnisme ».
07:20— Le fait est que... Je vais vous donner un exemple précis. Ma fille s'est fait opérer d'une opération un peu lourde de la mâchoire il y a quelques mois.
07:29J'avais le choix entre le public et le privé. Le public, c'était 1 an et demi d'attente. C'est ça, la réalité. Le privé, j'y suis allé, ça a coûté 25 000 €.
07:39C'est ça, la réalité. Là-dessus, on a été remboursé 2 000 €. Le reste, c'est à notre charge. Donc la réalité du système de santé, c'est celle-là.
07:47Donc plus vous avez de monde, moins vous avez effectivement un remboursement, et ce, surtout dans une pénurie organisée aux demeurants de médecins.
07:54Mais je voudrais vous dire plusieurs choses, quand même. Premier élément, pourquoi les gens viennent en France ? Vous avez parlé des gens qui viennent en France.
07:59Ils viennent pourquoi, les gens, en France ? Est-ce que vous savez quelle est la motivation ? — Parce qu'ils meurent chez eux. — Chut, on a la chance d'avoir un ponte.
08:05— Non mais pourquoi ? — Parce qu'ils meurent chez eux. — Non mais c'est quoi, le ponte d'arriver à quoi ? Non, non. Eh ben ça, ça représente à peine 10% des employés.
08:12— Merci. Bravo, bravo. — Ça représente à peine 10% des employés. — Il y a combien de Syriens, d'abord ? Tu connais rien à rien.
08:19— Le travail. On a dit... Effectivement, les étrangers viennent travailler. Les Français aiment de ne pas travailler. Là aussi, c'est faux, parce que la France
08:26a le taux de migration de travail le moins élevé d'Europe. Encore 10%. — Voilà. — Contre 10 ou 14%. Entre 10 et 14%, contre 30% en Portugal.
08:33Donc on a des gens qui viennent en France pas pour travailler, qui ne viennent pas effectivement pour demander l'asile. Alors ils viennent faire quoi ?
08:40— Ils viennent faire quoi ? — Eh ben ils viennent effectivement notamment pour tout ce qui est vie privée, etc. Et dans ce qu'on appelle la vie privée...
08:45Je termine. C'est pas mes chiffres. — Oh, il termine. C'est pas ses chiffres. — Et dans ce qui vient sur la vie privée, eh ben vous allez vous retrouver
08:50notamment sur la demande de soins. Parce que figurez-vous qu'où nous ça vient, cette histoire d'appel d'air de l'AME ? Il y a un rapport de l'IGAS de 2019...
08:57— C'est ça ? — De l'IGAS. — L'IGAS. — L'Inspection générale des affaires sociales qui vous montre quelque chose. C'est qu'ils ont constaté que vous aviez
09:05quand même chez les immigrés, et en particulier chez les gens sans papier, un taux très important de chimiothérapie, de soins très lourds, en fait.
09:16Et ils ont constaté donc ce chiffre beaucoup plus lourd que pour la moyenne des autres malades. Et ils ont donc déduit... C'est là, ça vient.
09:25L'IGAS s'est demandé s'il n'y avait pas un appel d'air et s'il n'y avait pas effectivement, en fait, une opportunité, disons-le comme ça, avec effectivement donc cet appel d'air
09:33de l'immigration. Vous pouvez pas nier ce point. Vous pouvez pas nier qu'un système généreux. Non, alors... — Non, mais je vais le faire quand ce sera mon tour de parler.
09:39— Je sais comment vous allez le faire. Parce que vous savez, une manipulation des chiffres telle que ça vous arrange... — Bien sûr. Je vais manipuler.
09:44— Ce rapport de l'IGAS... — Bien sûr. Quand lui, on cite cet objectif, quand moi, j'en cite... — Non, non, non. Ce rapport... — C'est normal. Lui, il a une veste en cuir.
09:49— Ce rapport a été... — Parce qu'il a une veste en cuir. Je crois les mecs en veste en cuir. — Ce rapport a ensuite été constaté par les organisations de gauche, précisément.
09:55Mais le fait est que vous n'expliquez pas comment on se retrouve avec des soins plus onéreux et plus nombreux pour une catégorie de population. C'est tout.
10:02— Bravo. Et alors, on va pas les soigner parce qu'ils ne sont pas les plus graves. Vous raisonnez à l'envers. — Parce qu'effectivement, ce sont les cas les plus graves.
10:09— Bien sûr. Parce qu'ils ne viennent que pour les cas les plus graves et qu'ils ne se font pas soigner pour le reste. Vous devez réfléchir.
10:13— Parce qu'il n'y a que ça qui est... — C'est intéressant, ce que vous dites. — N'importe quoi. — Non mais si, si, si, si.
10:16— Vous raisonnez à l'envers. — C'est n'importe quoi. — Non, non, non. Je ne raisonne pas à l'envers.
10:19— Thomas Guénolé, qui nous dit à nous que vous raisonnez à l'envers, c'est que vous voulez que je vous le dise. Je prends ça comme un compliment.
10:23Merci, Thomas Guénolé. — Non, mais vous reconnaissez... — Je pense qu'on marche sur la tête. — Non, mais vous reconnaissez donc qu'il y a...
10:27— Thomas Guénolé, qui nous dit que vous raisonnez à l'envers, c'est le plus beau compliment qu'on ait jamais fait. Merci, Thomas Guénolé.
10:32— Attendez, attendez, attendez. Je vois comme... — Mais il n'y a que Thomas Guénolé qui raisonne à l'envers.
10:37— Écoutez, Thomas Guénolé, ce qu'il dit, il gasse. Le rythme de croissance des séances d'hémodialyse, de chinothérapie, de radiothérapie
10:43est particulièrement élevé, plus de 10% par an, pour les bénéficiaires de l'AME. Il peut poser la question de la capacité actuelle du système de soins
10:51sous l'ex-inspecteur, donc il souligne qu'il y a un problème de capacité d'accueil du système de soins, et parle d'une suspicion de migration pour soins.
10:59— Il est fort comme le Roquefort. — Migration pour soins !
11:01— Non mais le système hospitalier, il est sous-financé. On est d'accord là-dessus.
11:04— Migration pour soins ! — Alors attendez, Fabrice. On va entendre les arguments de Guénolé.
11:09— Alors, merci. Alors plusieurs choses. Je vais essayer de... — Ah, comment c'est, là ? Il va faire un exposé, là.
11:15— D'abord, on entend beaucoup... — Là, je suis en quatrième de baie avec Mme Rougemont.
11:18— On entend beaucoup avec votre prof de maths, n'est-ce pas, puisque j'ai sa veste. Donc la prise en charge pour l'aide médicale d'État
11:24se fait au tarif de base de la Sécu. Est-ce que c'est clair ? — Mais alors qu'est-ce qu'on s'en fout ?
11:28— Ça veut dire que c'est pas le Club Med. — Déjà, premier argument, 0. — Ça veut dire... Non, c'est très important.
11:33— 0. Vous démarrez très mal. — Ça veut dire que quand vous dites... L'autoplastie, vous voyez, recueillez les oreilles, compagnie,
11:37ça coûte entre 1 700 et 5 000 balles. Et ce qu'on va vous rembourser dessus, c'est en gros 190 €.
11:43Donc quand vous dites... Quand vous dites « On arrive, on s'est recueillé les oreilles au frais de la princesse », c'est actuellement...
11:49— C'est vrai. — Non, c'est vous qui avez tort. Ah non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
12:19non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
12:49non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
13:19non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
13:49non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non
14:19non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
14:26non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
14:33non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
14:40non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
14:47non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
14:52non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
14:58non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
15:03non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
15:09non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non,
15:15non, non, non, non, non, non, non, non …
15:41Vous avez posé la bonne question, vous avez posé la bonne question, c'est tout.
15:45Vous leur avez cloué le bec, comme on dit.
15:47Non, je ne crois pas, non.
15:48Vous n'avez pas répondu à la question ?
15:49Pour moi, vous leur avez cloué le bec.
15:51Mais pourquoi ?
15:52Géraldine, un peu.
15:53Je suis d'accord avec Maître Divizio.
15:54Le problème, c'est que quand on parle de l'immigration et l'aide médicale d'État,
15:57en fait, moi je trouve que vous faites de l'idéologie.
15:59Non, mais c'est bon.
16:00On n'a pas le temps de faire de l'idéologie.
16:01Aujourd'hui, on est dans le concret et dans le pragmatique.
16:04Et vraiment, là, moi je suis pour l'aide médicale d'État.
16:06Bravo, Géraldine.
16:07Et de la même manière, on est un pays exsangue.
16:09Même si ça nous fait économiser un milliard, mais c'est toujours ça le prix.
16:12On n'est pas un pays exsangue, ce n'est pas vrai.
16:13On est l'un des pays les plus riches du monde.
16:15Attends, pourquoi huit ministres de la Santé, huit de droite et de gauche, ont fait un…
16:21Mais les ministres, c'est des non-tees.
16:22Mais attends, attends, c'est intéressant.
16:24Non, mais je pose la question.
16:26Il y a la woke en overboard.
16:27J'aimerais comprendre pourquoi huit ministres, c'est le métier ?
16:30C'est huit ministres de la Santé qui sont et de droite et de gauche.
16:32N'importe.
16:33Pourquoi ils ont fait un…
16:34Merci, Benaïm.
16:35Je vais vous poser une autre question.
16:36Il y a eu combien de ministres de l'économie qui sont succédés ?
16:38Vous avez vu l'état de la dette, donc les ministres, ils n'ont pas toujours raison.
16:41Merci, Benaïm.
16:42Merci, Benaïm.
16:43C'est le meilleur ministre de la Santé qu'on a eu récemment.
16:48Écoutez-moi bien, écoutez-moi bien.
16:49Pour moi, vu l'état de la France, il n'y en a pas un qui vaut le coup, donc arrêtez.
16:52Merci, Claude et Vincent.
16:53Merci.
16:54Non, ni Yvain, ni Yvain de Deux.
16:55Non, mais je pense qu'ils ont peur par l'acheter et parce qu'on a toujours peur d'être associés à l'extrême droite.
17:05C'est tout.
17:06C'est tout.
17:07C'est que ça.
17:08C'est juste que c'est une réforme débile, ça n'a rien à voir.
17:11Moi, j'ai toujours dit que je n'avais jamais voté pour l'extrême droite.
17:13Merci, 94,4.
17:14Merci, téléspectateurs.
17:15Encore une fois, merci.
17:17Une fois de plus.

Recommandations