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Les trois hommes, nés en 1931, 1955 et 1965, sont entendus sous le régime de la garde à vue pour "viols aggravés, agressions sexuelles aggravées et/ou violences aggravées susceptibles d'avoir été commis entre 1957 et 2004".

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Transcription
00:00L'affaire Bétharame à présent, il y aura bien une commission d'enquête parlementaire sur les violences qui ont été commises dans cet internat dans les Pyrénées-Atlantiques.
00:07Et on a appris il y a quelques instants que trois hommes avaient été placés en garde à vue, Boris.
00:13Absolument, ce sont les gendarmes de la section de recherche d'Oupo qui ont donc procédé cet après-midi à l'interpellation et au placement en garde à vue de trois hommes
00:21nés en 1931, en 1955 et en 1965, placement en garde à vue des chefs de viols aggravés, agressions sexuelles aggravées et ou violences aggravées
00:32susceptibles d'avoir été commis entre 1957 et 2004 au sein de cet établissement scolaire de Notre-Dame de Bétharame qui est aujourd'hui, vous le savez, dans la tourmente.
00:43C'est une garde à vue qui, pour l'instant, peut durer 24 heures, soit jusqu'à demain après-midi.
00:49Oui, mais voilà, le parquet d'Oupo pourrait décider de renouveler ses gardes à vue pour une durée supplémentaire de 24 heures, soit 48 heures au maximum.
00:57Le parquet, qui n'entend pas l'État livrer de plus amples détails sur les mesures en cours, mais il nous promet une communication un peu plus complète à l'issue de ces gardes à vue.
01:08Merci Boris. Trois hommes en garde à vue, donc le plus âgé à 94 ans.

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