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00:00On va s'entacher comme du bétail en attendant effectivement, il y a déjà quand même un an, je rappelle que l'invasion de l'Ukraine par la Russie date, ça fera trois ans, le 22 février, trois ans très exactement, voilà ce que disait le Président de la République Emmanuel Macron quand même il y a un peu moins d'un an. Écoutez.
00:25Si on laisse faire en Ukraine, c'est la loi du plus fort et on ne peut pas être en sécurité. C'est pour ça que j'ai dit qu'on doit aider plus, ce qu'on va faire dans les semaines à venir, livrer plus de matériel aux Ukrainiens, mais on doit dire aussi qu'à un moment donné, si les Russes vont trop loin, nous tous Européens, on doit être prêts à agir pour les en dissuader, c'est encore plus proche de chez nous là, donc il faut être prêts à le faire.
00:42Donc non, j'espère de toutes mes forces qu'on n'aura pas à partir en guerre. Non, la France n'est pas une puissance de guerre mais une puissance de paix. Mais oui, si on veut avoir la paix, il faut la protéger, c'est pour ça qu'il faut s'armer.
00:52C'est pour ça qu'il faut être dissuasif et crédible vis-à-vis parfois de nos adversaires en leur disant si vous allez trop loin et que vous menacez mes intérêts, ma propre sécurité, alors je n'exclus pas d'intervenir.
01:03Voilà, voilà ce que disait Emmanuel Macron, c'est civis pacem para bellum, si tu veux la paix, prépare la guerre.
01:11Bon, et bien est-ce qu'on en est là ? Alors est-ce qu'effectivement on estime que la Russie est allée trop loin et qu'il faut se préparer ? Ce que disait d'ailleurs Keir Starmer, le Premier ministre anglais, prêt à envoyer des troupes, en tout cas des troupes pour garantir l'éventuelle traite de paix, ça s'agit dans les chancelleries, en même temps, quand même on en a parlé aussi, ça va se passer différemment entre Trump et Poutine.
01:38Toujours est-il qu'il y a des appels à la guerre et notamment, par exemple, une consultante à La Poédie sur LCI demande ceci et se demande qu'est-ce qu'on attend, non pas pour être heureux, mais pour attaquer. Écoutez.
01:53— Reconquérir et accrimer le Donbass, c'est pas dans 20 ans. — Mais il faut juste la volonté. Et il n'y en a pas. — Non, non. Pour l'instant, il n'est pas question de rentrer en guerre contre la Russie. Tranquille. On peut aider l'Ukraine à combattre, à vous combattre plus.
02:03— Mais pourquoi ? — On est dans... Mais non, mais peut-être. Mais pourquoi pas ? Mais la question ne se pose pas pour l'instant, pour nous.
02:08— Mais si l'Europe est en danger, pourquoi ne pas détruire l'ennemi qui menace le monde entier ? Aujourd'hui, il y a l'ennemi qui fout, excusez-moi, la merde dans tout le monde.
02:17— Vous nous avez dit pendant des mois que c'est du bluff. Il faut pas céder au bluff de Poutine. Et maintenant, vous dites qu'on a peur.
02:22— Mais bien sûr qu'on a peur. Bien sûr qu'il faut prendre en compte l'arme nucléaire. C'est comme la Russie. — Non, non, non, non, non, non, non, non.
02:27Je me rappelle tant de spécialistes en plateau qui ont dit que c'est du bluff, qu'il faut pas céder au bluff. — Non, non, non. Alors il y a une différence.
02:31— Non, mais la Russie, si ça ne comptait pas, si ça ne jouait pas, on serait déjà rentrés non pas en conflit, mais on aurait déjà mis une raclée aux Russes si ça n'avait pas compté.
02:43— Eh oui. Ah là là. Si les Russes n'avaient pas l'arme nucléaire, on aurait déjà mis une raclée aux Russes. C'était sur le plateau de LCI. C'était tout à fait intéressant. Voilà.
02:52Oui, pourquoi on ne bombarde pas les Russes qui foutent la merde partout, qui sont contre le monde entier ? Oui, mais attendez, c'est plus compliqué, etc.
02:58C'était dans l'émission de Dario Rochemin. Non, ce sont des grands moments. Là, on voit les gens. Ils ont perdu leur repère. Ils ne savent plus où ils sont.
03:07Non, non, non. Frappez, frappez, frappez. Oui, mais attendez. Ils ont le nucléaire. Comment on fait ? Une puissance nucléaire, on ne peut pas se battre. Voilà.
03:14Nous en sommes là. Eh bien je dois dire que j'apprécie la hauteur de vue, le côté la vision, la vista, l'appréhension du temps long.
03:26On voit qu'aussi bien nos leaders que nos porte-paroles que nos médiatiques réfléchissent, prennent le temps. Non, non, non, non. On s'excite.
03:34On est prêts à se battre depuis le studio. On est prêts vraiment à prendre les kalachikovs et y aller. C'est très intéressant.
03:41Voilà, c'est un fragment de l'histoire humaine que l'on vous rend aujourd'hui.
03:47Sud Radio Bercov dans tous ses états.
03:50Mais qu'est-ce qui m'arrive là ? Je ne comprends vraiment pas. Il y a quelque chose qui ne tourne pas rond.
04:06Eh oui, qu'est-ce qui ne tourne pas rond ? Je vais vous dire. Ça c'est quand même quelque chose.
04:13On parlait avec Maud du petit Elias de l'ensauvagement, de ce qui s'est passé dans cet assassinat d'un jeune homme.
04:22Eh bien un docteur, lui un médecin âgé de 64 ans, qui a un cabinet à Drancy en Seine-Saint-Denis.
04:34Eh bien, il avait été défiguré le 25 novembre dernier. Le docteur s'appelle Mohamed Oulmeki.
04:41Il a été agressé par un patient de 22 ans. Voilà, c'est très simple. Le jeune homme est arrivé.
04:51Il est suivi depuis ses 6 ans par ce médecin. C'est un médecin de famille, médecin de famille d'enfants.
04:57Il y avait un problème de remboursement de la part de la sécurité sociale. Eh bien, voilà ce qu'il a fait,
05:05ce jeune homme de 22 ans, contre son agresseur, son agressé, pardon, le médecin de 64 ans.
05:14Écoutez ce que dit le docteur Oulmeki.
05:16La décision qu'on vient de dire, c'est vraiment légitimer la violence faite aux médecins et aux soignants en particulier.
05:24La sanction, c'est pareil que si on volait un scooter, je ne sais pas. Franchement, ça me laisse sans voix.
05:32Je porte encore les séquelles. Maintenant, avant, je vous avais dit que l'odorat et tout ça, ça peut peut-être revenir.
05:37Maintenant, c'est définitif. Je n'ai plus d'odorat, plus de goût. Donc, je dois refaire un scanner des dents
05:45parce qu'il y a des racines des dents de matière supérieure qui sont certainement écrosées. Donc, il va falloir refaire ça.
05:53Hier, j'ai envisagé, sincèrement, si j'avais des médicaments sous la main, je crois que j'aurais mis fin à mes jours.
06:00Voilà. S'il avait des médicaments, il aurait cru qu'il aurait mis fin à ses jours. Et vous savez pourquoi ?
06:06Savez-vous ce qu'a été la sanction donc pour ce jeune homme qui a massacré littéralement son médecin, son médecin de famille ?
06:15Qu'est-ce qui s'est passé ? Eh bien, pendant le procès, il rigolait, ce jeune homme. Et la décision de justice,
06:22alors je vous dis la décision de justice, trois semaines de travaux d'intérêt général, un an d'inéligibilité, 2000 euros d'amende
06:34et une interdiction de venir au cabinet sans que j'ai de garantie qu'il ne le fasse pas. C'est-à-dire qu'il y a une interdiction.
06:42Mais ce docteur, s'il veut continuer, il n'exclut pas qu'un jour, la porte s'ouvre et que ce type qui vient de le massacrer,
06:51le massacre encore. Il y a quand même quelque chose d'hallucinant, ça. C'est-à-dire, encore une fois, on revient à Elias, à tous les autres.
07:01Où est la sanction ? Où sont les sanctions ? Non, non, il n'y en a pas, il n'y en a pas. Il n'y en a pas, il y en a à El Salvador,
07:07il y en a en Amérique du Sud, il y en a un peu partout. Mais là, au fond, on laisse faire. Mais non, mais écoutez, voilà.
07:16Est-ce que ça s'appelle la justice ? Quand je vois le mot justice, je veux dire, on appelle ça au nom de la justice et on rend la justice,
07:26je le rappelle, au nom du peuple français. Voilà. Donc, on veut massacrer, on peut défigurer quelqu'un, on lui casse la gueule
07:35quand on ne le tue pas à coup de machette pour son portable. Eh bien, écoutez, dans le cas de ce docteur Mohamed Oulmeki,
07:44son agresseur, eh bien, il va faire trois semaines de travaux d'intérêt général. C'est pas beau, ça ? Trois semaines de travaux d'intérêt général,
07:542000 euros d'amende. Mais franchement, on a l'impression qu'on répète ça et que ça n'a aucune espèce d'importance. Eh bien, un jour,
08:04peut-être que si, et je ne souhaite évidemment pas, les gens qui sont au pouvoir ou certaines gens qui sont au pouvoir et qui acceptent tout
08:14et qui acceptent absolument de faire silence, de passer, de masquer, de donner des peines absolument grotesques parce que minimes,
08:23eh bien, je ne leur souhaite jamais cela. Mais franchement, qu'ils ne viennent pas se plaindre si un jour, des gens proches d'eux sont victimes
08:31d'agressions et de violences, qu'ils ne se plaignent pas, qu'ils la ferment, parce qu'à ce niveau-là, c'est quand même très grave.