Avec Bruno
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
______________________________________
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
______________________________________
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2025-01-13##
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
______________________________________
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
______________________________________
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2025-01-13##
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin. — Bruno est avec nous. Bruno est surveillant pénitentiaire à Béziers. Bonjour, Bruno.
00:08— Bonjour, Jean-Jacques. Bonjour tout le monde. — Alors Bruno, que pensez-vous de l'annonce faite par Gérald Darmanin ?
00:14Tous les plus gros narco-trafiquants seront regroupés, regroupés dans une prison. En fait, il va – si j'ai bien compris –
00:21il va vider une prison en France. On ne sait pas où. Et d'ici l'été, tous ces gros narco-trafiquants seront regroupés
00:32dans le même établissement. Qu'en pensez-vous ? — Sur le principe, moi, je dirais que l'idée est bonne. Mais encore une fois,
00:43vider, c'est une question de crédit, déjà, parce que la structure d'une prison classique par rapport à la structure d'une prison
00:51qui accueillerait les 100 plus gros narco-trafiquants, franchement, c'est pas du tout la même chose.
00:56On parle pas du tout du même niveau de surveillance. Les surveillants aussi, forcément, trient sur le volet,
01:02parce que si vous prenez les 100 plus gros narco-trafiquants, ça pèse quand même plusieurs milliards, parce que ces gens-là,
01:11ils auront des moyens considérables pour tenter l'évasion. Ça, déjà, c'est la première chose.
01:16— Pour tenter l'évasion et disons le Bruno, pour corrompre aussi. — Oui. C'est pour ça que je vous ai dit qu'il fallait des surveillants
01:23trier sur le volet. Ça, à la limite, c'est pas le plus difficile. Mais trouver la structure qui serait capable d'accueillir aujourd'hui
01:32ce genre de détenus, je pense qu'en France, nous ne l'avons pas. Donc ça veut dire vider une prison... Oui, mais il n'y a pas de place
01:38dans les autres prisons. Donc vider une prison pour les mettre où ? Déjà, dans un premier temps. Ensuite, dans un deuxième temps,
01:44si c'est un maire de gauche, à mon avis, c'est un peu râpé. Donc il va falloir qu'il trouve une ville de droite.
01:50Mais est-ce que la population va être d'accord ? La population ne va pas créer... — Tout le monde veut des prisons,
01:54mais personne veut une prison chez soi. — Oui. Alors vous imaginez... Quand vous avez déjà une prison, vous faites avec.
02:02Vous n'avez pas le choix. Mais si on vous dit qu'on va vous enlever les petits délinquants, le droit commun que vous avez
02:07pour vous mettre les plus simples, les plus gros voyous de France, voilà. À mon avis, ça va coïncer. Mais de toute façon,
02:15vous en parliez, là, il y a quelques minutes. C'est encore une question de volonté politique. Retaillou, il s'est pris les pieds dans le tapis.
02:21Darmanin se prendra les pieds dans le tapis, parce qu'il faudra l'accord au-dessus. Il ne l'aura pas.
02:28— Bon. Écoutez, écoutez. Merci d'avoir réagi. Nous verrons bien. Et nous demanderons des précisions à Gérald Darmanin.
02:35Je souhaite l'inviter dans les prochains jours. Et je lui parlerai de la question. Bruno, merci dans tous les cas d'avoir réagi.
02:43Sur l'antenne de Sud Radio, il est 7h58. Nous avons notre gagnant ou notre gagnante ?
02:48— Notre gagnante à notre grand jeu, c'est Catherine, qui a joué et qui a gagné. Bonjour Catherine.
02:55— Oui, bonjour. Bonjour Jean-Jacques Montaigne. — Bonjour Catherine. — Bonjour. Je suis vraiment heureuse de vous avoir au téléphone,
03:01parce que je vous écoute tous les matins avant de partir au travail. — C'est pas vrai, Catherine. Non, c'est pas vrai.
03:05— Ah oui, c'est formidable. C'est formidable de vous entendre comme ça en direct. Vraiment. Vraiment.
03:11— Vous êtes où, Catherine ? — Alors moi, j'habite dans le Tarn, dans un petit village qui s'appelle Puy-le-Rhin, à 20 minutes de Castres.
03:19— D'accord. Pas très loin de Castres. — Voilà. Avec la grande polémique de cette autoroute dont vous avez parlé ce matin.
03:25— Ah bah oui. Catherine, d'ailleurs, quelle est votre position sur cette autoroute ? On en a besoin ou pas ?
03:31— Honnêtement, moi, j'ai vécu à Castres il y a 30 ans de ça, dans les années 90. Là, c'était nécessaire, honnêtement.
03:39Là, je pense qu'il fallait désenclaver la région. Maintenant, bon, les travaux ont tellement progressé qu'il serait ridicule d'arrêter tout ça.
03:47— Ça, je suis d'accord. Maintenant, on a dépensé 300 millions. On va pas tout arrêter. — On est bien d'accord. Voilà.
03:53— Maintenant, c'est fait, c'est fait. — Voilà. C'est fait, c'est fait. Mais je pense que c'est pas forcément... Elle était pas forcément nécessaire,
04:01cette autoroute, parce qu'à l'époque, quand M. Pierre Fabre était encore de ce monde, effectivement, il fallait désenclaver.
04:12C'était un problème pour les gens de venir à Castres. — Bon, Catherine, c'est intéressant, tout cela. Mais j'ai quelque chose de plus intéressant
04:17à vous annoncer, Catherine. Vous avez gagné un bon cadeau d'une valeur de 1 200 € pour un séjour dans les clubs et hôtels Bélambra.
04:241 200 € de bon cadeau. Voilà. Vous partez. Vous choisissez votre destination. Il y en a une quarantaine pour les hôtels-clubs Bélambra.
04:31— Formidable. Vraiment, merci beaucoup. Je vous remercie beaucoup, parce que j'ai besoin de partir en vacances.
04:38— Eh ben voilà. Catherine, c'est fait. C'est fait, vous voyez. Vous avez bien fait d'écouter Sud Radio ce matin et d'être avec nous.
04:45— Merci à vous. — Merci à vous. Et on vous embrasse. — Et meilleurs vœux. Bonne année. — Et meilleurs vœux, Catherine.
04:50— Voilà. Merci. Au revoir. — C'est un plaisir. C'est un plaisir d'être avec nos auditrices et nos auditeurs. Il est 8 h 1.