• il y a 4 heures
Transcription
00:00Juste avant tout ce cinéma, voici le top 3 des films sortis la semaine dernière qui sont les plus appréciés par les spectateurs sur Allociné.
00:08L'éducation ultra positive de José Garcia dans Le Panache est troisième avec 3,9 étoiles sur 5.
00:15En deuxième position, une pédagogie moins bienveillante pour les pianistes jumelles de Prodigieuse qui décroche 4 étoiles.
00:22Enfin, le bijou d'animation la plus précieuse des Marchandises est premier avec un score de 4,2 sur 5.
00:29Passons à présent aux nouveautés de ce mercredi.
00:41Tous les nouveaux films à voir en salles sont dans Tous au cinéma.
00:44Avec les premiers jours de décembre qui arrivent, les préparatifs en vue des fêtes vont bon train, même au cinéma.
00:51Ça commence à jouer des coudes pour savoir qui va rafler les suffrages des spectateurs en cette fin d'année.
00:56Il va falloir se retrousser les manches.
01:01La détermination féminine semble être le leitmotiv de bien des films à l'affiche cette semaine, quitte à en découdre avec les hommes.
01:08Je ne suis pas venue ici pour négocier quoi que ce soit. D'ailleurs, je n'accepterai même pas votre reddition.
01:15Commençons par l'exception qui confirme la règle.
01:18C'est l'outsider du moment, précédé d'un très bon buzz et qui se trouve être le seul film clairement porté par deux hommes cette semaine.
01:25En fanfare, c'est le nouveau film d'Emmanuel Courcol dans lequel Benjamin Lavergne et Pierre Lautin découvrent très tardivement qu'ils sont frères.
01:34D'offrangins que tout oppose, sauf l'amour de la musique.
01:45J'ai pensé à la musique, la grande musique, la musique classique, etc.
01:48Et de mettre en rapport, à travers le destin de deux frères, ces deux vies tellement opposées, ces milieux culturels, musicaux, sociaux.
01:58Ah ouais, putain.
02:00J'adore ça.
02:02J'essaye de comprendre pourquoi moi je suis ici et lui là-bas alors qu'on aurait pu être réunis.
02:05Moi, j'avais peur justement que ce chef soit un peu... Justement, on se trompe en fait, se disent.
02:10On regarde son frère en disant le pauvre cantinier scolaire.
02:13C'est ce qui se passe un peu dans le film.
02:15Oui, mais ce qui est beau, c'est qu'on voit aussi ce chef réfléchir, se dire peut-être que je me trompe et avoir surtout une tendresse inouïe pour son frère.
02:24Il a un peu un coup de foudre aussi autour de la musique.
02:28Notre chef nous a plaqué lâchement.
02:33Mais vous n'avez pas un remplaçant.
02:35C'est toi qui dois diriger.
02:36Ouais, c'est bon, attends, tu ne vas pas t'y mettre non plus.
02:38Je vais t'aider.
02:39On s'est retrouvés et...
02:41Allez, viens.
02:42Attends, non, non, je n'ai pas dit oui.
02:44Et on était aussi surpris de voir nos points communs.
02:47Et c'est à l'image du film aussi, parce que ça parle de François et tout ça, c'est plein d'instruments différents qui savent jouer entre eux.
02:55Alors, c'est ça la vie qu'on aurait dû avoir.
02:57Si on avait tiré le même numéro, tu n'appellerais pas Thibaut, toi ?
02:59Ouais, non.
03:00Tu m'appellerais comment ?
03:01Je ne sais pas, moi, un prénom normal, genre Jordan ou un truc comme ça.
03:04Ah, ouais.
03:09Dans Les Boules de Noël, une comédie s'infiltre avec entre Noémie Lovski et Kad Merad.
03:14Valérie Bonneton joue une mère de famille persuadée que le réveillon de Noël va une fois de plus se transformer en catastrophe.
03:20Allez, on s'en va !
03:23Vont-ils enfin échapper au désastre cette année ?
03:25C'est tout le propos du nouveau film d'Alexandra Leclerc, Quelque part entre Festin et les frères Faréli.
03:31Un projet né suite à une discussion avec ses producteurs.
03:34J'ai rencontré François Croce et Denis Pinot Valenciennes, qui avaient envie de travailler avec moi, qui aimaient bien mon ton.
03:40On est morts.
03:41Papa, c'est une bougie.
03:44On a commencé à raconter des anecdotes.
03:46Si vous n'avez jamais été frappé par une vieille, eh bien ça va commencer ce soir !
03:52Dont une qui m'est arrivée où un jour, les enfants m'avaient contrarié, j'ai jeté la bûche quand même par la fenêtre.
03:58Je dis, vous la voyez celle-là ? Eh ben, vous la voyez plus.
04:00Et hop !
04:02Et on est parti dans un éclat de rire et François m'a dit, Alexandra, tu nous ferais pas un Noël, un film de Noël cruel et drôle à ta façon ?
04:09Ce soir, personne ne quittera cette maison avant le dernier coup de minuit.
04:14Minuit. 4 heures à tenir.
04:16Qu'est-ce que c'est ?
04:22On n'a jamais vraiment atteint, je pense, ce niveau-là de férocité.
04:29Oui, papa ! Oui, maman ! 2 secondes !
04:32C'est pas un film, enfin, on pourrait s'imaginer un film de Noël, mais c'est un prétexte, en fait, à quelque chose qui va très loin dans la famille, quoi.
04:40C'est très cruel.
04:45Auguste, non !
04:48On sait que ça va aller plus loin, mais on se dit, mais comment ça peut aller plus loin ? Où ça peut aller ? Eh ben, si, ça va plus loin.
04:54Dans 7 minutes, il va être minuit. Qu'est-ce que tu veux qu'il arrive comme catastrophe ?
04:58Allongez-moi !
05:05C'est dans une atmosphère bien plus relaxe et féérique que les plus jeunes spectateurs, à partir de 3 ans, auront la joie de préparer l'arrivée du Père Noël.
05:13Le Grand Noël des animaux leur réserve bien des surprises.
05:16Vivez un Noël féerique au cœur d'une nature magique et enchantresse.
05:28Ambiance de Noël toujours, et que seraient les fêtes de fin d'année sans un Disney à voir au cinéma ?
05:33Cette semaine marque le retour d'une héroïne bien connue de toute la famille.
05:37Vaiana !
05:39Bonne nouvelle, Vaiana reprend la mer pour affronter à nouveau les éléments.
05:43C'est une île très ancienne, maudite par un dieu assoiffé de pouvoir.
05:48Atteindre son rivage briserait la malédiction et réunirait enfin notre peuple.
05:54Je sais ce qu'il me reste à faire.
05:56Toute l'équipe a adoré le premier volet et il était essentiel pour nous de nous surpasser sur celui-ci.
06:01On avait un peu de pression de la part du studio, mais rien à voir avec celle que nous nous sommes mise.
06:06Il est de mon devoir d'achever ce qu'ils ont commencé.
06:09Vaiana, montre-nous que nous irons toujours plus loin.
06:14Dans ce film, on parle du développement et de l'évolution personnelle de Vaiana.
06:18Donc il était évident qu'elle allait s'affirmer dans son nouveau statut de leader.
06:22À la fin du premier film, elle était investie dans son rôle, mais ça n'était pas la fin de son histoire.
06:26Courage ! On peut y arriver !
06:30Elle apprend à se connaître et c'est un thème universel auquel nous sommes tous confrontés.
06:34On pense savoir qui on est, mais quelque chose survient dans notre vie
06:37et on se rend compte qu'on a beaucoup de choses à apprendre sur soi.
06:49La retranscription de la beauté saisissante de la nature sur grand écran
06:52a sans doute été une des raisons du succès de Vaiana,
06:55parce que c'est un spectacle à couper le souffle.
06:58Ce que je préfère dans le film, c'est la beauté qui s'en dégage.
07:01Je pourrais rester des heures à contempler les paysages et le rendu de l'eau.
07:04J'espère que ce film incitera au respect de la nature.
07:08Ce serait fantastique si c'était le cas.
07:11Cela concerne plus que les ancêtres, plus que notre village.
07:16L'océan tout entier compte sur nous.
07:24Retour sur la terre ferme avec une autre jeune femme forte
07:27qui devra également affronter des éléments, essentiellement masculins,
07:30dans le milieu machiste de la tauromachie.
07:33Animal est le deuxième film d'Emma Benestan
07:36qui, trois ans après Fragile, place à nouveau Ulayam Amra en tête d'affiche,
07:40cette fois dans un western camargué lorgnant vers le fantastique.
07:47Que ce soit le vin de la mer,
07:49que ce soit le vin du nord,
07:52je t'abreuverai le sein des taureaux.
07:55Il y a un truc où la violence chez les femmes,
07:58c'est toujours souvent un problème, je trouve,
08:00parce qu'en fait, on manque de représentation
08:02et c'est comme si cette violence, elle était extrêmement perverse, monstrueuse ou négative.
08:08Allez !
08:09Et en fait, ne pas la rendre négative et l'interroger pourquoi il y a la violence,
08:13c'est une forme de nouveau féminisme qui nous permet de dire
08:16non, on n'est pas que femmes,
08:18on n'est pas que dominés, on n'est pas que traumatisés ou quoi,
08:21on a cette puissance-là, comme vous, et on va l'utiliser.
08:25Il se passe quoi, là, en fait ?
08:27Les taureaux.
08:29Je les sens.
08:32On retrouve cet état un peu primitif qu'on a tous
08:36et on se met un peu à la merci de la nature
08:39et je trouve que cette fille,
08:41je pense qu'elle a renié une espèce de puissance qu'elle a en elle
08:44et elle va la découvrir en même temps qu'elle va la déployer.
08:52Je crois que j'étais attaquée par un taureau.
08:55Tout le désir passe par le taureau, en fait, passe par l'animal
08:57qui est quand même un animal de la sexualité, de la virilité, de la puissance.
09:03Je trouve que dans les films, on voit beaucoup les femmes crier
09:06et dans ce film-là, j'espère qu'on la voit crier pas pour les raisons de la violence,
09:11on la voit crier pas pour les raisons habituelles, en fait.
09:14Souvent, les femmes ont peur.
09:16Elles crient parce qu'elles ont peur, elles crient parce qu'on les suit.
09:18Dans le film d'horreur ou dans plein de films, en fait, on voit souvent ça.
09:22Moi, ce que j'aurais envie que les gens se souviennent avec ce film, c'est un cri.
09:36Autre destin de femmes violentes, Rabia était là à s'inspirer de faits réels.
09:40D'après les témoignages de jeunes femmes enroulées pour faire le djihad.
09:43Un film dur et nécessaire dans lequel Megan Nortam joue une jeune française
09:48partie volontairement en Syrie et qui se retrouve prisonnière dans une maison
09:52de femmes de Daech, Arraka, tenue par une implacable Noubla Azabal.
10:04Ces jeunes femmes de cette période-là, ils sont allés vraiment avec toute cette naïveté,
10:08toute cette croyance, tout ce rêve de pouvoir changer de vie.
10:12Parce qu'elles, elles ont toute une faillure en elles.
10:14C'est ce qu'elle lui dit, Madame.
10:16Elle lui dit, mais il suffit que tu comprennes ce qu'elles ont, leurs blessures,
10:20et elles mangeront dans ta main.
10:27Là où moi, j'essayais d'être le plus proche possible de ce que j'entendais de ces femmes-là,
10:31c'était vraiment leur implication dans ce voyage et vraiment y croire à fond.
10:36Même si moi, ça me paraissait absurde de me dire, mais comment ça t'as reçu ce message-là
10:40sur les réseaux sociaux et t'es partie te marier avec un mec que tu connais pas
10:43comme ça sur les réseaux.
10:45Mais en fait, il faut y croire à 100%.
10:47Je te présente Oumarabian, 19 ans.
10:49Elle est pieuse et très serviable.
10:51Tu ne l'interromps pas, tu ne le contrôles pas.
10:53Quelque chose que j'ai appris en écrivant, c'est que la réalité,
10:56elle est toujours plus terrible que tout ce qu'on peut inventer.
11:00Qu'est-ce qui t'arrive, Oumarabian ? Est-ce que tu aurais oublié les règles ?
11:04J'ai dû vachement baisser le curseur quant à la violence, par exemple,
11:08surtout du personnage de Madame.
11:10Tu crois que tu peux manigancer derrière mon dos sans conséquence ?
11:13Comment on devient un monstre ? C'est ça, la question.
11:18C'est trompé.
11:20Faut qu'on parte d'ici.
11:22Prisonnière encore, mais cette fois sur le territoire américain.
11:26Dans Heretic, deux jeunes missionnaires de l'église mormone du Colorado
11:30ont la malencontreuse idée de frapper à la porte d'une maison isolée,
11:34propriété du charmant Mr. Reed, qui ne veut plus les laisser partir.
11:38Comme quoi, il faut toujours se méfier de certains sourires,
11:41même celui du Grant.
11:42Nous devons retourner à l'église.
11:44Si vous êtes prêts à partir, vous devez être prêts.
11:47Que se passe-t-il si on choisit la mauvaise porte ?
12:18Demain, messieurs.
12:20Nous répondrons par le sang.
12:47J'ai lu un livre de voyage écrit par St-Marcette Mogham,
12:51qui raconte sa voyage à lui dans le sud-est asiatique,
12:56où il raconte sa rencontre qu'il a eue avec un homme anglais
13:01qui racontait l'histoire de son mariage.
13:04Je ne sais pas si cette rencontre a eu place ou pas,
13:08parce que ça a l'air d'être une sorte d'histoire de mariage.
13:11Je ne sais pas si cette rencontre a eu place ou pas,
13:15parce que ça a l'air d'être une sorte de blague
13:18sur la lâcheté des hommes et le côté têtu des femmes.
13:35À ce moment-là, j'ai décidé de faire le voyage
13:38et de tourner ces images qu'on voit dans les films,
13:41avant d'écrire.
13:42Et à partir de ces archives de voyage en Asie,
13:45fabriquer le vrai récit,
13:48donc le scénario avec les personnages
13:51qu'on devrait filmer après un studio.
13:54D'autres femmes courageuses sont à retrouver
13:57dans « Ça arrive » de Sabrina Nouchi.
13:59De nos jours, dans un commissariat marseillais,
14:01trois policiers de la brigade des mœurs
14:03recueillent les témoignages de viols perpétrés quotidiennement
14:06dans la cité phocéenne.
14:07Un huis clos saisissant, dans lequel l'effroi,
14:10le désastre et le désastre
14:12sont les meilleurs exemples de viols perpétrés.
14:15La police de la Brigade des Mœurs
14:17est en train d'envoyer des témoignages
14:20Un huis clos saisissant, dans lequel l'effroi,
14:23le déni et l'espoir de réparation
14:25sont étroitement intriqués.
14:26Je n'étais pas consentante,
14:28mais je n'ai peut-être pas été assez claire.
14:34Les reines du drame nous propulsent dans le futur en 2055.
14:38C'est le premier long métrage d'Alexis Langlois,
14:40avec entre autres Bilal Hassani,
14:42qui célèbre l'univers queer
14:44dans une comédie musicale romantique et flamboyante
14:47centrée sur une pop star lesbienne.
14:50La musique ne nous séparera jamais, ok ?
14:52On va se faire une promesse.
14:54Quoi qu'il se passe, on reste ensemble.
14:57Ce film, c'est un mélodrame queer
15:00qui raconte la passion folle et destructrice
15:04de Mimi Madame Mour et de Billy Colère sur 50 ans.
15:09T'étais vraiment la plus belle ce soir.
15:11Je voyais que toi dans la salle.
15:13Bonjour mademoiselle !
15:14Qu'est-ce que vous allez nous interpréter ?
15:16Je vais vous abuser de ma calice armoire.
15:22C'est une explosion.
15:23De drames, de rires, de chansons.
15:26Ça vous réconcilie avec la comédie musicale ?
15:28C'est ma lettre, je l'écris toutes les semaines,
15:31et elle me répond toujours avec un petit mot et une photo.
15:34Je trouve que la pluralité des histoires et des personnages
15:37juste dans ce film est parfaite.
15:40Et je suis très content d'y être.
15:42Je sais pas bouger, je vais me partager, c'est sûr.
15:44Je peux te montrer deux, trois trucs.
15:48Et pendant la finale, il n'y aura plus que toi et moi.
15:51On partait de nos personnalités de base
15:53pour un peu les amplifier,
15:55mais il y a aussi plein de choses qui n'étaient pas comme ce qu'on est.
15:57Et du coup, il y avait un gros travail de composition
15:59autour des personnages.
16:00Bienvenue dans cette nouvelle saison de Starlet on Air !
16:03C'est d'abord les émotions des personnages.
16:05Une émotion amène une chanson,
16:07une chanson amène un peu presque,
16:09j'ai envie de dire organiquement, la mise en scène.
16:14Pas de touche si tu veux ma bouche
16:16Pas de touche, pas de touche, si tu veux ma bouche
16:20Prends d'abord mon cœur, ouvre-le sur la touche
16:24Pas de... ok !
16:26Par la suite, j'allais faire toute la chanson.
16:28Pas de touche, pas de touche
16:34Pas moins de cinq documentaires sont à la fiche cette semaine.
16:37Le premier d'entre eux, porté par la voix de Feu-Michael Anstal,
16:40s'attache à un penseur inclassable du siècle dernier,
16:43dont le message continue de marquer les consciences.
16:46Il s'agit de Krishnamurti, à qui l'on doit la célèbre phrase
16:49« Est-il signe de bonne santé mentale d'être bien adapté à une société malade ? »
17:02Après la matière grise, passons à la matière première.
17:05Architecton est une réflexion poétique sur nos modèles de construction
17:08et les enjeux d'une architecture durable à inventer.
17:14Elvis Alianglu est un réalisateur de documentaires taïwanais.
17:18Avec The Holy Family, il filme au jour le jour des retrouvailles familiales
17:22en repensant aux raisons de son départ vingt ans plus tôt.
17:43D'une histoire intime à l'histoire avec un grand H,
17:46Leni Riefenstahl, La lumière et les ombres,
17:49dresse le parcours pour le moins ambigu de la cinéaste phare du Troisième Reich.
18:04On ne peut pas séparer l'esthétisme de Leni Riefenstahl de son idéologie politique.
18:09C'est une entité indivisible.
18:13C'est une entité indivisible.
18:21Célébrer et glorifier son génie artistique,
18:24comme l'ont fait Tarantino ou Coppola,
18:27et bien d'autres, me semblent très naïfs.
18:30Elle est restée toute sa vie arqueboutée dans le déni.
18:33C'est tragique de voir que, de décennie en décennie,
18:36elle s'est de plus en plus figée au point d'être incapable de la moindre réflexion
18:41et de la moindre remise en question vis-à-vis d'elle-même et du rôle qu'elle a joué.
19:01Le dernier documentaire à voir en salle cette semaine
19:04prend sa source dans un endroit de tristes mémoires.
19:07Nelly et Nadine s'attachent à l'histoire d'amour entre deux femmes
19:10qui se sont rencontrées à la veille de Noël 1944
19:13au camp de concentration de Ravensbrück.
19:21Pour finir, il y a une vidéo de Nelly et Nadine
19:24dans laquelle les deux femmes se rencontrent.
19:30Toujours au rayon des réflexions subtiles sur le désir féminin,
19:33on se quitte sur des images de la Bella Estaté,
19:36une fiction signée Laura Lucchetti, portée entre autres par Deva Cassel,
19:40la fille de Monica Bellucci et de Vincent Cassel.
19:49C'était Tous au cinéma, l'émission qui vous fait voir ce que vous allez voir.