• il y a 19 heures
The midday bilingual news

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00:00C'est l'occasion de faire connaissance avec l'équipe avec laquelle nous travaillons.
00:19Bonjour Prince-Huile.
00:22Le midi sur la télévision caméra, ce dimanche, mesdames et messieurs, c'est toujours un plaisir.
00:29Moukwele Prince-Huile à Douma, en compagnie de Sidouane, Sidouane Monkham. Bonjour.
00:35Bonjour Prince-Huile.
00:36Et vous avez l'étif.
00:38Effectivement, Madame, Monsieur, bonjour, bienvenue aux douze heures à la lune de l'actualité.
00:42Demain, 6 novembre 2024, les 42 ans du renouveau.
00:46Veille de célébration et petit regard dans le rétroviseur pour revivre ce moment des actes et faits marquants de notre histoire.
00:54D'abord, la journée du 4 novembre 1982, date à laquelle le président Amadou Aïdjo annonce sa démission.
01:01Parole aux acteurs dans le douze heures.
01:04Parmi les acteurs, un collaborateur du chef de l'État, le ministre de la Communication, René-Emmanuel Sadi,
01:10présente le président Paul Biya comme un grand homme d'État habité par une idée sociale d'ouverture démocratique depuis son accession à la magistrature suprême.
01:19Le ministre René-Emmanuel Sadi est l'invité du douze heures.
01:22Entretien à suivre.
01:23Voilà pour les titres.
01:24La première partie, avec vous, Prince-Huile.
01:41Il y a 42 ans maintenant, et la journée n'est pas une journée ordinaire pour certains Camerooniens.
01:47Voici le chef de l'Affaires internationales, le correspondant Charles Ebuné, sur un chroniqueur des événements qui ont marqué la transition.
01:55Son rapport.
02:10Je suis venu à une réunion ministérielle à 6 heures du matin.
02:14On est allé à la présidence, à la nouvelle présidence.
02:18Quand on est arrivé là-bas, il y avait des gens dans la salle de réunion.
02:24Donc on a attendu à l'extérieur.
02:27Et après un certain temps, on a continué de se demander, je me souviens, quel était le problème.
02:33Un équipe s'est réunie là-bas, c'est le CNU, le Comité Central.
02:38Oui, le Comité Central du CNU.
02:40Oui, et j'ai remarqué, ce qui était inusuel, qu'une femme pleurait.
02:47On est allé dans la salle du cabinet, la salle où il y avait les réunions ministérielles.
02:54Et le président est venu et a dit, j'ai décidé de renoncer.
03:02Ma santé n'est pas très bonne.
03:05Et je vais m'en aller.
03:07Et le successeur constitutionnel va prendre le pouvoir le samedi.
03:13Donc la résignation devient efficace le samedi.
03:18On s'est réunis et il a pris les mains avec tout le monde.
03:21Et nous sommes partis.
03:22Juste quelques minutes après la dernière réunion ministérielle au palais de l'unité,
03:27le président Amadou Aïdjo a annoncé sa résignation à 8h23 du matin, dans une nouvelle exceptionnelle.
03:35La résignation
03:40Camerounaise, Camerounais, mes chers compatriotes.
03:46J'ai décidé de dédier mes fonctions au président de la République Unie du Camerounais.
03:54Cette décision prendra effet le samedi 6 novembre 1982 à 10h.
04:02Les conditions constitutionnelles pour le transfert de pouvoir pacifique
04:05ont été retenues quand Amadou Aïdjo a appelé tout le monde pour soutenir son successeur, Paul Biya.
04:11J'invite tous les Camerounais et toutes les Camerounaises
04:18à accorder sans raison leur confiance
04:22et à apporter leur concours à mon successeur constitutionnel, M. Paul Biya.
04:28À 10h du matin, le 6 novembre 1982,
04:32le président de la République Unie du Camerounais, le président de la République Unie du Camerounais,
04:37a annoncé sa résignation au président de la République Unie du Camerounais, le président de la République Unie du Camerounais,
04:40J'invite tous les Camerounais et toutes les Camerounaises
04:47à accorder sans raison leur confiance
04:51et à apporter leur concours à mon successeur, M. Paul Biya.
04:56J'invite tous les Camerounais et toutes les Camerounaises
05:01à accorder sans raison leur confiance
05:06et à apporter leur concours à mon successeur, M. Paul Biya.
05:11J'invite tous les Camerounais et toutes les Camerounaises
05:16à accorder sans raison leur confiance
05:21et à apporter leur concours à mon successeur, M. Paul Biya.
05:24J'invite tous les Camerounais et toutes les Camerounaises
05:29à accorder sans raison leur confiance
05:34et à apporter leur concours à mon successeur, M. Paul Biya.
05:39Le ministre de l'État, le secrétaire général de la présidence,
05:44à ce niveau, j'ai remarqué qu'il est le leader d'un équipe
05:49qui respecte toutes les opinions,
05:54mais qui est aussi un leader qui veut que les affaires soient traitées de manière rigoureuse.
06:04C'était la première leçon que j'ai apprise de lui à ce niveau.
06:14Depuis que je suis devenu membre de son gouvernement,
06:19j'ai aussi remarqué qu'il est vraiment un démocrate,
06:26qui respecte les principes de la démocratie.
06:31Le ministre de l'État, le secrétaire général de la présidence,
06:35les Camerounais en général et les supporters du CPD
06:37à travers le pays et au-delà
06:39ont célébré le 42ème anniversaire du président Paul Biya
06:42au nom de l'État, Gilbert Nguene.
06:45Ce rapport compile les réactions de certains expressions
06:48qui l'ont marqué au cours des années à l'adresse de la présidence à la nation.
06:55Paul Biya a souvent apporté des phrases et des expressions
06:59pendant ses discours et ses interviews avec des journalistes
07:03qui ont marqué son pays et ses hommes au cours des années de différentes façons.
07:07Je peux dire le continent.
07:11Tant qu'il y a un respire, le Cameroun vit.
07:20Le premier est, me voici donc à Douala.
07:32Le continent, to say Cameroun.
07:41Il est connecté à ses gens.
07:43Il sait ce que les gens disent, comment ils s'expriment.
07:46Le président de l'État l'a dit.
07:48Il l'a dit parce que l'opposant,
07:51ceux qu'on appelait les opposants,
07:54ils voulaient lui montrer qu'ils pouvaient prendre une décision au lieu de lui.
08:02Mais il est le seul président de l'État, me voici donc à Douala.
08:07Quand l'opposant l'a prohibi de venir à Douala,
08:13mais il est allé.
08:15Comme les Camerounais et surtout les membres du parti CPDM
08:19célèbrent l'anniversaire du 42ème anniversaire du président Paul Biya
08:23ce dimanche 6 novembre,
08:25ils gardent les mémoires fondamentales de ces discours présidentiels
08:29et ont hâte d'avoir plus d'expressions présidentielles si intéressantes dans les années à venir.
08:37Une date, une histoire, une journée mémorable le 4 novembre 1982
08:43alors que le président de la République Unie du Cameroun, Amadou Aïdio, annonce sa démission.
08:48Deux jours plus tard, le 6 novembre 1982,
08:51Paul Biya, premier ministre et successeur constitutionnel
08:55prend le relais d'Amadou Aïdio à la tête de l'État.
08:58Évocation de cette journée historique avec Joseph Clément Omba.
09:05En amont du 6 novembre 1982,
09:08on ne peut occulter la date du 4 novembre.
09:11A Radio Cameroun, le journal parlé de 20 heures
09:14prend un retard inexpliqué de 23 minutes.
09:17Jean Todoutou était alors rédacteur en chef.
09:20Il lance ce jingle qui en fait est une reprise instrumentale
09:23des premières paroles des lignes nationales au Cameroun,
09:26versées de nos ancêtres.
09:29Le journal démarre à 20h22.
09:32Entre temps, le ministre de l'Information et de la Culture,
09:35Guillaume Bouelet, est arrivé à la radio.
09:38Tout le monde avait l'air hébété, pour ainsi dire.
09:42Les clavates n'étaient pas bien nouées,
09:44les chemises étaient portées n'importe comment.
09:47C'était vraiment, comme je dis, l'excitation au sein de la rédaction.
09:51D'abord la stupéfaction, l'excitation, le stress,
09:55et puis nous la fierté d'avoir le sentiment
09:58que nous allions faire l'histoire.
10:00Tel incouperé, la nouvelle de la démission d'Amadou Aïjou tombe.
10:04Camerounaise, Camerounais, mes chers compatriotes,
10:09j'ai décidé de démissionner de ma fonction
10:14de président de la République Unie du Cameroun.
10:17Cette décision prendra effet le 5 novembre.
10:23Amadou Aïjou s'appuie sur une révision de la Constitution
10:27datant du 29 juin 1979,
10:29faisant du Premier ministre un successeur constitutionnel.
10:32Philippe Moyen, actuel président de la 79ème Assemblée Générale des Nations Unies,
10:37est un témoin de l'histoire.
10:39En 1982, j'étais assis dans mon bureau,
10:48j'étais assis dans mon bureau du ministère de l'Énergie et des Mines,
10:55le 4 novembre.
10:57Après, j'ai reçu un appel du secrétaire du ministre d'État,
11:01secrétaire général de la Présidence de la République,
11:05m'informant qu'il y a un conseil ministériel au Palais de l'Unité à 18 heures.
11:12J'ai hésité d'abord.
11:14Après, nous sommes arrivés au Palais de l'Unité.
11:18D'abord, on s'est posé la question, qu'est-ce qui se passe ?
11:22Il y a eu une demande de cieux du bureau politique qui était déjà là.
11:27Ensuite, nous sommes entrés dans la salle des réunions du conseil ministériel au Palais de l'Unité.
11:34Après, le président de la République est entré dans la salle.
11:39Il nous dit, écoutez, je suis malade.
11:44J'ai décidé de démissionner de mes fonctions de président de la République.
11:48Mon successeur constitutionnel étant le premier ministre.
11:52Ensuite, il nous a salué.
11:55Chacun, nous remercions d'avoir travaillé avec lui.
11:59Et après, on est sortis.
12:02Depuis le 6 novembre 1982, à l'hémicycle de l'Assemblée Nationale, en Gwaïkélé,
12:07Salmon Tandemuna, alors président de l'Assemblée Nationale,
12:10reçoit le serment d'investiture du président Biya.
12:17Dans la soirée, Paul Biya va arborer les armoiries de la République.
12:20Ainsi s'inaugure le renouveau national.
12:25Et toujours en rapport avec cette actualité auto-démocratique,
12:29et toujours en rapport avec cette actualité auto-démocratique,
12:33petite immersion dans une activité qui tourne à plein régime
12:37et qui nourrit de nombreuses familles.
12:39Il s'agit de la fabrication et de la vente des effigies
12:43et portraits officiels du chef de l'État.
12:46Au lieu d'y avenir Kennedy et Ayoundé, par exemple,
12:48ces photos tapissent les murs et sont proposées aux clients
12:52à des prix variés selon le format du portrait et le choix du cadre.
12:57Voici l'ambiance des bonnes affaires
12:59captée par notre reporter Boris Ndengue.
13:04Son image incarne les institutions de la République.
13:07Son nom, un important point de l'histoire du peuple camerounais.
13:10Le président Paul Biya a su se hisser comme une marque
13:13le label FR7 sur les étals du marché avenu Kennedy et Ayoundé.
13:17Principalement l'administration camerounaise,
13:21les représentations diplomatiques,
13:24nous sommes sollicités pour la livraison des cadres du président.
13:29Produire des photos présidentielles de luxe
13:32est un travail artistique qui a mis délicatesse et précision.
13:35Des petites mains s'activent dans cet atelier du quartier Fouda
13:38pour donner à chaque pièce un cadre doré.
13:41Tu commences par les baguettes, tu les coupes.
13:44Voilà la machine de coupe.
13:46On rassemble là-bas.
13:48Lorsque tu assembles, tu poses au niveau du vitre.
13:51Tu coupes la vitre. C'est rond de dimension.
13:53Tu mets les dents.
13:55Les contreplaqués sont d'abord coupés sur plusieurs dimensions.
13:59Il faut compter entre 30 et 80 000 francs CFA
14:03pour s'offrir le poclet présidentiel.
14:05Il y a les petites dimensions que les gens aiment trop mettre au bureau.
14:09Ça coûte 35 000.
14:11Il y a d'autres dimensions que les grandes personnes aiment.
14:14Ça, ça coûte, il y a 50, 70.
14:20Ça, ça coûte 85 000 et 80 000.
14:23Dans le vent du 42e anniversaire du Renouveau National,
14:26les affaires autour de la photographie du chef de l'État connaissent un vrai printemps.
14:34Parole à présent à un collaborateur du chef de l'État,
14:37le ministre de la Communication René-Emmanuel Sadi,
14:41présente le président Paul Biya comme un homme discret
14:44qui agit sans tapage ni exhibition
14:47et qui est habité par une idée sociale d'ouverture démocratique
14:51depuis son accession à la magistrature suprême.
14:55L'homme du 6 novembre tel que vu par René-Emmanuel Sadi,
14:58c'est dans cet entretien mené par Joseph Itoté.
15:01C'est l'invité du 12 heures.
15:06Merci de me donner l'occasion d'apprécier
15:11l'apport du Renouveau National
15:15au secteur de la communication au Cameroun.
15:19Quand le président de la République, son excellence Paul Biya, accède au pouvoir,
15:24nous sommes dans un système monéditique,
15:27dans un système de parties uniques,
15:29un système où la presse n'est pas si libre.
15:35Nous avons un seul organe de presse officiel
15:38qui est le Cameroun Tribune à l'époque.
15:44Ce qu'on peut dire, c'est que le contexte n'était pas un contexte pluraliste.
15:52Et le président de la République,
15:57dès les années 90,
16:02propose à ses compatriotes
16:06de passer du monéditisme au pluralisme.
16:11En d'autres termes, de créer un contexte de démocratie,
16:17de faire du Cameroun un état de droit,
16:20un état de liberté.
16:23Et vous vous souvenez également du contexte dans lequel cette décision a été prise.
16:28C'était un peu à l'époque en Afrique,
16:32en contexte où on parlait du nord-est.
16:35Tous les Africains, pour la plupart,
16:38étaient réticents à cette transformation, à cette mutation.
16:44Le président de la République, qui était en même temps le président national du RDPC,
16:51a été confronté à ce débat au sein de son parti.
16:57Et au moment où nous, ces militants,
17:02nous étions nombreux à marquer nos réserves quant à cette mutation démocratique,
17:09vous vous souvenez, au cours d'un congrès mémorable,
17:14le président de la République a annoncé à ses partisans
17:21qu'il devait se préparer à affronter la concurrence.
17:25En d'autres termes, il avait décidé de conduire le Cameroun sur la voie de la démocratie, de la liberté.
17:34Le président a donc promulgué la loi sur la communication sociale, en 1990,
17:42qui ouvrait la voie à cette démocratisation, cette libéralisation de la vie nationale.
17:51Et aujourd'hui, comme vous le savez, nous avons à peu près 600 organes de presse.
17:57Sur la place publique, nous avons une centaine de télévisions.
18:04Nous avons à peu près 200 radios, dont des radios communautaires.
18:09Et donc, les Camerounais peuvent accéder à l'information.
18:14On peut dire que le renouveau a véritablement libéralisé l'espace national.
18:20Et ça, nous le devons au président de la République, qui est lui-même un exemple de tolérance.
18:27Quand on sait comment ses compatriotes, parfois, brocardent le chef d'État.
18:39C'était l'invité du 12h, le ministre de la Communication, René-Emmanuel Sadi.
18:44Et nous poursuivons cette actualité autour du chef de l'État.
18:47C'est vrai, Sidiouane.
18:49Le témoignage du président de la République, posté dans de nombreux bureaux dans le pays,
18:54est encore plus disponible, en ce qui concerne son 42e anniversaire d'accès au pouvoir.
19:02Victor Siga est allé à l'Avenue Kennedy et à d'autres zones de l'État,
19:08et a apporté le suivant rapport.
19:12Si vous vous demandez où sont fabriquées les images du chef d'État,
19:16c'est l'une des entreprises de production.
19:19Tout commence ici, avec la formation du bois, avant d'arriver à l'Avenue Kennedy,
19:24où le processus est finalisé en fonction des demandes des clients.
19:28Nous importons de la Chine.
19:31Nous avons tant de variétés, de nombreux couleurs,
19:36nous les coupons dans de nombreuses dimensions et nous les transformons.
19:39Ils nous envoyent les images, nous sommes en charge de traiter l'image.
19:46L'image est transformée dans la dimension que le client demande.
19:50Après cela, nous imprimons les images, nous classifions les images pour les protéger de l'humidité.
19:55Les prix varient en fonction de la qualité de l'image et de la taille de l'image.
20:00Les prix de l'image dépendent de la taille, de 30 à 40.
20:05Les images bonnes varient de 30 à 50.000 francs pour une portrait du chef d'État.
20:11Lorsque nos clients nous rencontrent, nous leur donnons la dimension et le prix.
20:16Nous collons les images, nous les imprimons.
20:19Même s'ils étaient unanimes, ils ne révèlent pas l'endroit où ils ont obtenu les images.
20:23Beaucoup d'entre eux achètent ces images.
20:25Nous les fournissons partout.
20:28Certains y partent, certains y partent en Chine, en Centrale-Afrique, etc.
20:32Cela dépend du genre d'image.
20:35Les plus nombreux acheteurs sont les administrateurs.
20:39Les différents travailleurs engagés dans la chaîne de fabrication ont décrit l'accès à la portée à l'intérieur du pays comme un bonheur,
20:47car ce boulot les aide à faire de l'argent.
20:51Passons maintenant au Damaoua,
20:54où plus de 60.000 réfugiés vivant dans cette région
20:57seront bientôt témoins d'une amélioration dans leurs conditions de vie.
21:03C'est un projet sponsorisé par le Conseil danois pour les réfugiés
21:07qui souhaite soutenir l'autonomie économique et la résilience
21:10pour le grand nombre de non-Camerooniens qui vivent dans cette région.
21:15Sadu Yaouba, de CRTV-Damaoua.
21:20Les données de la Centrale-Afrique montrent que la Cameroune accueille 330.932 réfugiés,
21:26une augmentation de 40.000 depuis 2021,
21:30avec beaucoup vivant dans la région d'Adamaoua.
21:33Le projet Campaga, piloté par le Conseil refugiaire danois,
21:38soutenu pour offrir la protection localisée,
21:41applique l'approche de graduation pour améliorer l'autonomie, la résilience et le bien-être des réfugiés.
21:49Un transfert de l'argent traditionnel,
21:52une coopération d'association avec des activités qui génèrent de l'argent
21:57pour les aider à étudier leur situation économique.
22:01Le projet sera soutenu par un réseau de conseillers communautaires et d'organisations locales
22:08comme Action pour la promotion de la santé, la production et l'environnement.
22:14Nous devons développer un bâtiment de capacité stratégique,
22:17de l'inclusion financière, de la protection individuelle et de la protection collective.
22:22Dans l'Adamaoua, où vivent plus de 60.000 réfugiés,
22:2675% desquels sont intégrés dans les communautés locales,
22:31il y a l'espoir que des changements positifs seront atteints
22:35au cours des 36 mois de la durée du projet.
22:40En 42 ans de magistère, le président Paul Biya a tissé des liens forts
22:45avec les populations de toutes les régions du pays,
22:48notamment à travers ses différentes sorties et prises de parole,
22:51des discours et messages à la nation,
22:53des expressions marquantes du chef de l'État que les Camerounais gardent en mémoire.
22:58Me voici donc à Douala, ne dure pas au pouvoir qui veut mais qui peut.
23:03Les Camerounais en ont plein à l'esprit.
23:05Morceau choisi de quelques-unes de ces expressions du président Paul Biya
23:09dans ce reportage de Jualigor Abanda.
23:15Depuis son accession à la magistrature suprême du Cameroun,
23:18le président Paul Biya a délivré de nombreux discours à la nation.
23:21Plusieurs expressions retiennent l'attention des Camerounais de la ville de Yaoundé.
23:24C'est le cas pour Louise, qui se rémémore encore quelques-unes
23:27de ses paroles du chef de l'État du Cameroun,
23:29notamment lors des années de braise à Douala.
23:32Je dirais me voici à Douala, me voici donc à Douala.
23:36Parce que c'était dans les débuts des années 90,
23:39donc c'était vraiment les villes mortes et tout.
23:41Et on ne pouvait pas imaginer qu'il allait faire ce déplacement.
23:45Alors c'est pour ça que cette expression m'a marquée.
23:48Il nous fait découvrir beaucoup de choses.
23:51Rigueur et moralisation.
23:53Il nous a fait démontrer ce mot.
23:57Parce qu'on était comme ça dans l'anonymat.
24:01Dès qu'il a sorti ce mot, il a mis ça en pratique.
24:06Pour ces populations camerounaises de la ville de Yaoundé,
24:08les discours du président de la République sont toujours sources d'apprentissage
24:12et d'indicateurs de la direction à suivre pour le développement de la nation.
24:15Tant que Yaoundé respire, le Cameroun vit.
24:20Yaoundé, c'est la capitale.
24:22Le chef de l'État avait tenu ces discours justement
24:25pour montrer aux opposants qu'il voulait prendre des décisions à sa place.
24:31Mais il est sorti la tête haute de l'eau
24:35pour leur faire comprendre qu'il était le président élu démocratiquement
24:39et qu'en dehors de lui, personne ne pouvait prendre des décisions à sa place.
24:44Ces mots et ces expressions du président de la République Paul Biya
24:47retentissent encore dans les esprits de ces Camerounais
24:50qui trouvent en lui non seulement leur guide,
24:52mais aussi et surtout leur père, le père de la nation camerounaise.
24:57Parlons d'autre chose dans la suite du journal.
24:59La banque allemande de développement, KfW,
25:03aux côtés du gouvernement camerounais pour faciliter la gestion des airs protégés
25:07à hauteur de 200 millions d'euros,
25:09annonce faite ce matin par le directeur résident de la KfW, Robert Roth,
25:14au cours de l'audience que lui a accordée le ministre des Forêts et de la Faune,
25:18Jules Doré Ndongo.
25:20Je vous propose d'écouter Robert Roth dans cet extrait d'interview
25:23sélectionné par Étienne Pascal, à Zug.
25:26C'est l'occasion de faire connaissance avec l'équipe
25:29avec laquelle nous travaillons étroitement ensemble.
25:32Par rapport au sujet de la coopération financière ici au Cameroun,
25:38oui, c'est vrai que le secteur vert,
25:41et donc la coopération avec le MIMFOF,
25:45c'est le secteur le plus important en tant que chiffre.
25:49Le budget actif que la coopération financière,
25:54et là je parle seulement financière,
25:57ce sont 200 millions d'euros pour des activités,
26:02pour la gestion des ressources naturelles,
26:06en tant que forêt surtout, Congo bassin, bassin du Congo.
26:12Du 12h, nous conduits au village Msa Mondongo,
26:16dans la périphérie de Yaoundé.
26:18Là-bas, les populations ont accueilli leur nouveau chef,
26:21Sa Majesté Jean-Eude Beranger Obundji Ebana.
26:24Il a été intronisé, puis installé sur son trône
26:28par le sous-préfet de Yaoundé IV.
26:31Le nouveau chef de troisième degré de Msa Mondongo
26:34est appelé à maintenir la paix et la cohésion sociale dans cette unité.
26:39Le détail avec Bruno Matip de SIA TV Centre.
26:44Une nouvelle ère dans la chefferie traditionnelle
26:47de troisième degré de Msa Mondongo,
26:49quartier cosmopolite au sein duquel le vivre ensemble n'est plus à démontrer.
27:00Sa Majesté Jean-Eude Beranger Obundji Ebana,
27:03désignée par ses populations le 17 novembre 2023,
27:08au cours d'une consultation conduite par le sous-préfet de Yaoundé IV,
27:12règne désormais sur son trône.
27:14Ce que nous attendons du chef,
27:16c'est la continuité, d'être attentif aux populations
27:19et de mérer à bien la charge qui lui est affectée.
27:23Le nouveau chef, c'est d'abord un monsieur dynamique.
27:26On attend de lui qu'il va réunir notre circonscription.
27:29En l'installant dans ses fonctions comme troisième chef de la dynastie Ebana,
27:33le sous-préfet de l'arrondissement de Yaoundé IV
27:36lui a prescrit courage, écoute de ses administrés,
27:40dialogue et respect de la hiérarchie.
27:43Le problème de sécurité est très très important
27:46parce que ce village abrite beaucoup de hautes personnalités.
27:50Nous avons besoin de renseignements et renseignements à temps
27:54pour permettre aux forces de maintien de l'ordre
27:57de sécuriser ce village, de protéger les populations et leurs biens.
28:02Né le 29 juin 1992 à Yaoundé,
28:05sa majesté Jean-Eudes Beranger Yaoundé Ebana
28:08est utilaire d'une licence professionnelle en gestion des ressources humaines.
28:12Il est en service à la direction centrale de suivi de la maintenance au ministère de la Défense.
28:35Il a été décédé le lendemain soir à sa maison dans la région de Los Angeles.
28:40Voici Delphine Kwancha avec des détails dans ce rapport.
28:53Il était le maître-d'esprit derrière l'un des albums le plus vendus de Michael Jackson,
28:58Thriller, le standard de l'or dont tous les artistes pop aspirent.
29:02Son succès est grâce à deux générosités et Quincy Jones est l'un d'entre eux,
29:06le titan et producteur de musique multi-talentée.
29:12Né au sud de Chicago le 14 mars 1933,
29:16Jones est allé jusqu'à la hauteur de l'entreprise,
29:19devenant l'un des premiers exécutifs noirs à vivre dans Hollywood.
29:23Au cours de son carrière, il a reçu plusieurs accolades,
29:26y compris 28 prix Grammy, un prix Emmy et un prix Tony,
29:31ainsi que des nominations pour 7 accolades académique et 4 accolades Golden Globe.
29:36Full Sound.
29:38Jones' commitment à l'éducation musicale et à la justice sociale
29:41a été révélé à travers la Fondation Quincy Jones,
29:44qui soutient des programmes de musique pour les jeunes privilégiés.
29:48Même si Quincy Jones est mort le 3 novembre 2024,
29:51son héritage sera pour toujours un testament dans l'industrie de la musique
29:55et dans le cœur des 7 enfants qu'il laisse derrière.
30:00En ce moment, les élections se déroulent dans les Etats-Unis,
30:04un jour de réconciliation pour Kamala Harris et Donald Trump.
30:07Ce sont des citoyens de l'Amérique,
30:09qui ont voté pour obtenir le prochain président de l'un d'entre eux,
30:13Emma Tauwe.
30:14Le rapport suivant suit les élections.
30:20Aujourd'hui, c'est un jour d'élection dans les Etats-Unis.
30:23C'est le jour de l'élection 2024.
30:25Des millions d'Américains sont dans les pôles pour voter pour le prochain président.
30:30La compétition se déroule entre la vice-présidente Kamala Harris,
30:34Donald Trump, avec des bataillons clés,
30:37et le précédent président, Donald Trump,
30:39avec des bataillons clés comme l'Arizona, la Georgia, le Michigan, la Nevada,
30:44la North Carolina et la Pennysville,
30:47qui sont expectés de jouer un rôle crucial dans la détermination du gagnant.
30:52Les résultats de l'élection américaine, au cours des années,
30:55ont parfois été déclarés dans les heures où les pôles s'arrêtent.
30:59Mais cette compétition clé de l'année
31:01pourrait signifier une attente plus longue pour les Américains.
31:04Des sources sur le terrain révèlent que,
31:06selon des récits en direct sur la BBC à Washington, D.C.,
31:09la maison de la politique américaine,
31:11de nombreux entrepreneurs ont bordé leurs fenêtres en préparation
31:15pour l'impossible arrêt au jour ou après l'élection.
31:19Des centaines de hommes de la guerre nationale
31:21sont aussi en attente dans la capitale américaine,
31:24ainsi que dans d'autres états,
31:26y compris l'Alabama, l'Arizona, la North Carolina et le Nouveau-Mexique.
31:31Des fenêtres de métal ont commencé à être érectées à l'extérieur de la Maison Blanche
31:35depuis le début octobre.
31:38La même chose s'est déroulée près d'autres bâtiments de D.C.,
31:42y compris la capitale.
31:44En même temps, plus de 300 millions de personnes sont avec.
31:48Le résultat de ces élections présidentielles en 2024,
31:52dans les jours à venir.
31:55Les élections américaines sont sur notre page internationale,
31:58mais en Nigerie, le Président intervient pour libérer des jeunes
32:03qui protestaient pour l'économie,
32:05et la lumière qui attaque des milliers de personnes en Ouganda.
32:09Notre page étrangère est avec Chelsea Guam.
32:15En Ouganda, une lumière dévastatrice a tué 14 personnes,
32:19y compris plusieurs enfants, dans un camp de réfugiés.
32:23Les autorités locales ont confirmé qu'environ 50 réfugiés sud-soudanais,
32:27principalement de la communauté noire,
32:29ont pris soin d'une tempête brûlante dans une structure de métal
32:32dans le camp district Palabe.
32:34Tragiquement, les victimes, qui n'étaient que de 9 à 21 ans,
32:38ont perdu leurs vies là-bas.
32:40Le Président nigerien Bola Tinubu a ordonné la libération
32:43de tous les jeunes arrêtés en protestation en août,
32:46et a dénoncé les charges de prison contre eux.
32:48Un total de 76 protestants, y compris 30 minors âgés de 14 à 17 ans,
32:52ont été arrêtés en charge d'inciter un coup
32:55à cause de l'inflation et de la dévaluation de l'argent.
32:58La décision de Bola Tinubu est vue comme un mouvement
33:00pour calmer l'escalade de l'arrestation.
33:18À 12 heures, avec le même plaisir.
33:20Excellente journée, Prince Will.