Au cours du premier semestre 2024, les consommateurs en France ont augmenté leurs dépenses dans le secteur alimentaire, tout en réduisant significativement leurs achats de vêtements, d'alcool et de snacks.
## Réduction des dépenses dans plusieurs secteurs
Face à la montée de l'inflation, il est constaté que les Français ont réduit leurs dépenses dans presque tous les domaines, à l'exception de l'épicerie, selon les résultats d'une étude publiée par le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG). Dans le secteur alimentaire, les Français ont dépensé 5% de plus durant les six premiers mois de 2024. À titre de comparaison, l'Insee avait exprimé en juillet que l'inflation alimentaire s'était établie à 0,8% sur un an, en juin dernier.
## Diminution des achats non essentiels
En revanche, les achats de vêtements ont chuté de 38% sur la même période. Une tendance similaire a été observée pour les snacks, qui ont enregistré une diminution de 30%, ainsi que pour l'alcool avec une baisse de 24% et du luxe avec 23%. Les Français ont donc réduit leur consommation en optant pour une quantité moindre, mais également une qualité inférieure pour certains articles, tels que les produits de beauté (-17%) et l’électroménager (-18%). L'étude résume cette situation par le besoin des consommateurs de recentrer leurs dépenses sur les biens essentiels.
## Perspectives d'achats en hausse pour le second semestre
Les consommateurs français semblent avoir restreint leurs dépenses plus que d'autres Européens, selon une autre étude de BCG, qui a analysé des données de consommateurs en Danemark, Allemagne, Suède et Royaume-Uni. Bien que les tendances de réduction des dépenses pour les vêtements, snacks et alcool soient similaires en Europe, la baisse est moins marquée, avec des réductions respectives de 20% pour les vêtements et de 15% pour l'alcool et les snacks. En revanche, les dépenses pour l'épicerie ont augmenté de 17% dans l'ensemble des pays européens.
Les conclusions des études indiquent également que les Français, même s'ils sont prudents, envisagent de dépenser davantage au second semestre. Il est noté que la proportion de consommateurs s'attendant à augmenter leurs dépenses dans la seconde moitié de 2024 est inférieure à celle observée au début de l'année. Le BCG émet l'hypothèse d'un éventuel rebond dans les comportements d'achat dans les mois à venir.
## Réduction des dépenses dans plusieurs secteurs
Face à la montée de l'inflation, il est constaté que les Français ont réduit leurs dépenses dans presque tous les domaines, à l'exception de l'épicerie, selon les résultats d'une étude publiée par le cabinet de conseil Boston Consulting Group (BCG). Dans le secteur alimentaire, les Français ont dépensé 5% de plus durant les six premiers mois de 2024. À titre de comparaison, l'Insee avait exprimé en juillet que l'inflation alimentaire s'était établie à 0,8% sur un an, en juin dernier.
## Diminution des achats non essentiels
En revanche, les achats de vêtements ont chuté de 38% sur la même période. Une tendance similaire a été observée pour les snacks, qui ont enregistré une diminution de 30%, ainsi que pour l'alcool avec une baisse de 24% et du luxe avec 23%. Les Français ont donc réduit leur consommation en optant pour une quantité moindre, mais également une qualité inférieure pour certains articles, tels que les produits de beauté (-17%) et l’électroménager (-18%). L'étude résume cette situation par le besoin des consommateurs de recentrer leurs dépenses sur les biens essentiels.
## Perspectives d'achats en hausse pour le second semestre
Les consommateurs français semblent avoir restreint leurs dépenses plus que d'autres Européens, selon une autre étude de BCG, qui a analysé des données de consommateurs en Danemark, Allemagne, Suède et Royaume-Uni. Bien que les tendances de réduction des dépenses pour les vêtements, snacks et alcool soient similaires en Europe, la baisse est moins marquée, avec des réductions respectives de 20% pour les vêtements et de 15% pour l'alcool et les snacks. En revanche, les dépenses pour l'épicerie ont augmenté de 17% dans l'ensemble des pays européens.
Les conclusions des études indiquent également que les Français, même s'ils sont prudents, envisagent de dépenser davantage au second semestre. Il est noté que la proportion de consommateurs s'attendant à augmenter leurs dépenses dans la seconde moitié de 2024 est inférieure à celle observée au début de l'année. Le BCG émet l'hypothèse d'un éventuel rebond dans les comportements d'achat dans les mois à venir.
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00:00Au cours du premier semestre 2000, les consommateurs en France ont augmenté leurs dépenses dans le secteur alimentaire,
00:07tout en réduisant significativement leurs achats de vêtements, d'alcool et de snacks face à la montée de l'inflation.
00:13Il est constaté que les Français ont réduit leurs dépenses dans presque tous les domaines, à l'exception de l'épicerie.
00:20Selon les résultats d'une étude publiée par le cabinet de conseil Boston Consulting Group BCG dans le secteur alimentaire,
00:27les Français ont dépensé 5% de plus durant les six premiers mois de 2000, à titre de comparaison.
00:33L'INSI avait exprimé en juillet que l'inflation alimentaire s'était établie à 0,8% sur un an.
00:40En juin dernier, en revanche, les achats de vêtements ont chuté de 38% sur la même période.
00:46Une tendance similaire a été observée pour les snacks qui ont enregistré une diminution de 30%.
00:51Ainsi que pour l'alcool avec une baisse de 24% et du luxe avec 23%,
00:56les Français ont donc réduit leur consommation en optant pour une quantité moindre,
01:01mais également une qualité inférieure pour certains articles,
01:04tels que les produits de beauté moins 17% et l'électroménager moins 18%.
01:09L'étude résume cette situation par le besoin des consommateurs de recentrer leurs dépenses sur l'aise.
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01:20Selon une autre étude BCG, qui a analysé des données de consommateurs en Dijek, Allemagne,
01:25Suède et Royaume-Uni, bien que les tendances de réduction des dépenses pour les vêtements, snacks et alcool soient similaires en Europe,
01:32la baisse est moins marquée, avec des réductions respectives de 20% pour les vêtements et de 15% pour l'alcool et les snacks.
01:39En revanche, les dépenses pour l'épicerie ont augmenté de 17% dans l'ensemble des pays européens.
01:45Les conclusions des études indiquent également que les Français, même s'ils sont prudents,
01:50envisagent de dépenser davantage au second semestre.
01:52Il est noté que la proportion de consommateurs s'attendant à augmenter leurs dépenses dans la seconde moitié de 2000 est inférieure à celle observée au début de l'année.
02:01Le BCG émet l'hypothèse d'un éventuel rebond dans les comportements d'achat dans les mois à venir.
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