L'Équipe du Soir du 21 octobre - L'Équipe du Soir - replay - Vidéo Dailymotion

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Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 21/10/2024.

Transcript

00:00:00Générique

00:00:15C'est l'équipe du soir, bonsoir à tous et bienvenue sur Pouce à Tendre.

00:00:18Présentons le casting de ce lundi soir.

00:00:21Depuis le début de la rentrée, il est président.

00:00:23Il est aux affaires, c'est Roland Courbis, le président de l'équipe du soir du lundi.

00:00:26Bonsoir mon petit fada d'amis.

00:00:28Bonsoir messieurs dames.

00:00:30Je vous fais le tour de plateau avec Hugo Guillemet qui est un cumulard.

00:00:33Il était présent hier soir dans l'équipe du soir et il remplit le doublé Coupe Championnat.

00:00:37Bonsoir monsieur Guillemet.

00:00:38Bonsoir mémé, bonsoir président.

00:00:39Salut.

00:00:40Et la dernière fois qu'il est passé, il s'est fait agiter.

00:00:43C'est le marquis de l'équipe du soir.

00:00:45Il n'est pas revenu d'ailleurs.

00:00:46Yvon Lemay, vous étiez comme ça.

00:00:49Avec Rico Blanco sur la patate.

00:00:51Bonsoir monsieur le marquis.

00:00:54Et monsieur Lemay, face à vous la blonde de l'équipe du soir.

00:00:57Vous avez rangé tout votre barbat là ?

00:00:59Le sac, le truc, le machin, avant le début de l'émission, non ?

00:01:02Bonsoir mémé, on ne parle que de ce qui se passe en direct.

00:01:07Ah oui pardon, excusez-moi.

00:01:08On a le droit de venir avec un sac, ça n'a rien de très surprenant mon chéri.

00:01:11D'accord.

00:01:12Il est venu sans sac mais avec une belle chemise, regardez.

00:01:14Avec des fiches.

00:01:15Ouh, bonsoir à toutes et à tous.

00:01:18Mais quel plaisir d'être en votre compagnie président.

00:01:20Je pensais à vous du côté de Montpellier, c'est bizarre.

00:01:24Il y a l'entraînement demain à 10h.

00:01:25Ah, l'entraînement demain à 10h ?

00:01:27C'est pas demain après-midi.

00:01:30Voilà, Michel Berzacarian est viré, Jean-Loup Galcé est pressenti.

00:01:35On en parlera d'ailleurs avec Hugo Guillemet dans le journal de Léna Meunier.

00:01:38Léna, bonsoir.

00:01:39Bonsoir mémé, c'est notre premier ensemble.

00:01:41C'est vrai ?

00:01:42Oui.

00:01:42Eh bien, il n'y aura pas de problème.

00:01:45Et pas la dernière.

00:01:46Je n'espère pas.

00:01:47Ne vous inquiétez pas.

00:01:48PSG, PSV, c'est demain en Ligue des Champions.

00:01:50C'est le troisième match de Paris cette saison en Ligue des Champions.

00:01:54Les deux premiers ont été un peu ratés, décevant,

00:01:57face aux doutes qui montent.

00:01:58On va écouter Louis Sénriquet qui, lui, n'est pas inquiet.

00:02:01Écoutez Louis Sénriquet.

00:02:06Dans le foot, il faut améliorer tous les aspects à tous les matchs.

00:02:09Là où vous voyez des doutes, je vois un potentiel de croissance.

00:02:12Je suis très optimiste.

00:02:14J'aime ce que je vois.

00:02:15Victoire miraculeuse contre Gérone, défaite piteuse contre Arsenal.

00:02:19Et vous, êtes-vous inquiet pour demain, pour le Paris Saint-Germain ?

00:02:22Deux chroniqueurs ne sont pas d'accord.

00:02:23Jingle.

00:02:24On y va les amis.

00:02:27Il y en a un qui est.

00:02:28C'est Ivan.

00:02:29Oui, plutôt inquiet.

00:02:30Et vous allez être rassuré par votre voisin.

00:02:33Non, Hugo, qui n'est pas inquiet.

00:02:35Vous savez, vous aimez bien jouer inquiet, donc vous avez la priorité.

00:02:39Pourquoi vous êtes inquiet ?

00:02:40On vous écoute.

00:02:41Ce n'est pas spécialement l'adversaire, parce que ce n'est pas une grande équipe européenne.

00:02:44Même si c'est une équipe compliquée à jouer, à manœuvrer, ça joue bien.

00:02:47Ils sont forts dans les duels, il y a un bon attaquant et une bonne défense.

00:02:50Mais il n'y a rien de fou.

00:02:51Ils perdent Chouten aussi.

00:02:52Ils n'ont pas Chouten qui est important pour eux.

00:02:54Mais c'est sur le niveau moyen du Paris Saint-Germain en Ligue des Champions où je

00:02:57suis atterré sur les coups de pierreté, sur les duels, sur les courses.

00:03:01Ça manque d'intensité.

00:03:02Ils n'ont pas créé, ils n'ont pas fabriqué, ils n'ont pas construit une équipe de Ligue

00:03:06des Champions.

00:03:07Ils ont construit une équipe pour la Ligue.

00:03:08D'où mon inquiétude.

00:03:09Ok.

00:03:10Vous n'êtes pas inquiet, vous, alors ?

00:03:12Non, je ne suis pas inquiet, parce que je suis content de ce que je vois.

00:03:15Je vois de la progression dans cette équipe du Paris Saint-Germain.

00:03:17J'aime bien le projet à long terme avec Luis Enrique, même à moyen terme.

00:03:21C'est une équipe jeune, peut-être l'effectif le plus jeune de Ligue 1, un des plus jeunes

00:03:25de Ligue des Champions.

00:03:26Et malgré tout, ces joueurs sont malléables, ils sont volontaires, ils progressent.

00:03:30Je vois des bons contenus avec beaucoup d'occasions créées à chaque match.

00:03:34Puis c'est des joueurs qui n'étaient pas habitués à jouer tous les trois jours dans

00:03:36leur club précédent, Barcola, Neves.

00:03:39Donc, moi je suis très confiant par rapport à ce que je vois.

00:03:42Il n'y a aucun souci.

00:03:43Ok.

00:03:44Deux secondes et deux dixièmes pour notre enquête.

00:03:47Yvan Lemay, vous avez un petit truc à ajouter ?

00:03:49J'ai oublié que l'équipe de PSG était jeune.

00:03:51Et c'est vrai qu'en plus, ils sont jeunes.

00:03:52En plus de toi.

00:03:55Vous ne l'avez pas rassuré.

00:03:56Ah, quatre dixièmes pour Hugo Guillemet.

00:03:58Un dernier mot, mais très rapide.

00:04:01Vous personnelle d'Erciga.

00:04:02Personnelle d'Erciga.

00:04:05Il n'y a pas une punchline qui arrive.

00:04:07Bon, mes amis, vous allez sur le site L'Equipe, L'Equipe Connect.

00:04:10Vous prenez votre smartphone.

00:04:11Regarde, on va le faire ensemble.

00:04:12Je ne sais pas s'il y a un petit truc.

00:04:14Non, ça ne marche pas.

00:04:15Si, ça va arriver.

00:04:16Non, ça ne marche pas.

00:04:17Merde !

00:04:18Mais ça a marché.

00:04:19Merci beaucoup.

00:04:20Non, ça ne marche pas.

00:04:21En tout cas, vous allez directement sur notre communauté poser des questions.

00:04:25Un post-trophée.

00:04:26Soit notre Marquis, soit notre Alexis Sanchez.

00:04:28Le Président est demandé.

00:04:30Inquiet ou pas inquiet pour demain ?

00:04:33Disons que pas inquiet.

00:04:35À entendre ce que j'entends, bientôt, j'ai l'impression que c'est une stratégie

00:04:39de rater deux matchs sur deux en Coupe d'Europe.

00:04:42Donc, c'est sûr que demain, on peut faire tous des pronostics.

00:04:46Le Paris Saint-Germain sera au-dessus de ce qu'on a pu voir jusqu'à maintenant.

00:04:51Pourquoi ?

00:04:52Parce que tout simplement, tu ne peux pas faire pire.

00:04:55Donc, sur les deux matchs qu'on a pu voir, autant à domicile qu'à l'extérieur,

00:05:01c'est deux matchs ratés.

00:05:02Sauf pour Louis Saint-Riquet.

00:05:04Mais là, maintenant, il y a eu un Paris Saint-Germain qui s'est amélioré.

00:05:10Il y a quand même une ossature qui est devenue une ossature très intéressante.

00:05:15Et je ne serais pas étonné du tout, je serais plutôt surpris que demain,

00:05:19le Paris Saint-Germain ne nous fasse pas un gros match.

00:05:22Je m'imagine ça.

00:05:23Ok.

00:05:24Vous en avez surpris plus d'une.

00:05:25Karine Galli.

00:05:26Moi, j'ai été surtout surprise par les propos d'Hugo.

00:05:29Effectivement, je n'ai pas vu les mêmes matchs qu'Hugo, clairement.

00:05:31La progression ?

00:05:32Je ne vois pas spécialement de progression.

00:05:35Effectivement, je trouve que ce PSG, pour l'instant, n'est pas prêt.

00:05:39Alors, ce n'est pas grave de ne pas être prêt, évidemment, au mois d'octobre.

00:05:41On veut être prêt, évidemment, plutôt au printemps.

00:05:44Mais pour l'instant, par rapport à ce que nous dit Louis Sénéqué,

00:05:46par rapport à ce que nous dit Hugo,

00:05:48moi, je vois un milieu de terrain qui, lorsqu'il y a beaucoup d'intensité, explose.

00:05:51On l'a vu face à Arsenal.

00:05:52Et Arsenal, ce n'est pas un cas d'or européen.

00:05:54On ne le met pas dans les favoris pour gagner la Ligue des champions.

00:05:57Je vois une équipe…

00:05:58C'est tout.

00:05:59C'est que Arsenal.

00:06:00Ils n'ont perdu qu'une fois.

00:06:01Oui, oui.

00:06:02Mais le problème, c'est qu'on regarde les adversaires.

00:06:03Là, c'est PSV.

00:06:04PSV, ils sont plus proches du niveau de Strasbourg que d'Arsenal.

00:06:06Oui, mais tu nous dis qu'ils sont en progrès.

00:06:07Ils sont en progrès.

00:06:08Moi, je ne les vois pas non plus en progrès en Ligue 1.

00:06:10Je vois une équipe qui a toujours les mêmes qualités, les mêmes défauts.

00:06:14Dembélé, vous allez me dire qu'il déséquilibre.

00:06:16Bien sûr, mais il y a un manque d'efficacité.

00:06:18J'allais vous le dire.

00:06:19Voilà.

00:06:20J'ai vu aussi une équipe qui concède toujours des occasions.

00:06:25Alors, en Ligue 1, ils arrivent toujours à marquer un but de plus que l'adversaire.

00:06:27Et c'est très bien.

00:06:28Mais là, le but, c'est d'aller loin en Ligue des champions.

00:06:30Et ils ont quand même un calendrier qui fait très peur.

00:06:32Il y a le PSV.

00:06:33Mais le but, ce n'est pas que le PSV.

00:06:34C'est l'Atletico.

00:06:35C'est le Bayern Munich.

00:06:36C'est Manchester City.

00:06:37Donc, je trouve ça très bien que Luis Henrique soit très confiant.

00:06:40Mais je ne comprends pas comment Hugo peut être confiant par rapport à ce qu'il voit sur le terrain

00:06:43et par rapport à tous les manques qu'il y a pour être une grande équipe sur la scène européenne.

00:06:48Le casque bleu, le président.

00:06:50Il est confiant pour le match de demain.

00:06:52Oui, de demain.

00:06:53En progrès aussi.

00:06:54Oui, mais compte tenu des dommages ratés, demain, tu es obligé de faire mieux.

00:06:58Mais compte tenu de ce que j'ai vu aussi vendredi contre Strasbourg.

00:07:01Strasbourg a mis de l'intensité.

00:07:02Tu peux dire ce que tu veux.

00:07:03Mais Strasbourg, ils ont mis une très grosse…

00:07:04Et une équipe très jeune, d'ailleurs, qui est encore plus jeune que celle que…

00:07:06Oui, bien sûr.

00:07:07Mais ils ont mis une très grosse intensité.

00:07:08Et le milieu de terrain du PSG, justement, a répondu à ça.

00:07:11Moi, Joe Neves, je suis content du début de saison de Joe Neves.

00:07:14Je trouve qu'il progresse.

00:07:15Je trouve que collectivement, l'équipe trouve de plus en plus de repères.

00:07:19Je trouve que l'absence de Mbappé sur le plan statistique comptable, elle ne se fait pas ressentir.

00:07:24Parce qu'ils ont déjà marqué 26 buts en 8 journées de Ligue 1.

00:07:26Alors, c'est vrai, ils ont eu…

00:07:27En Ligue des Champions, c'est…

00:07:28En Ligue des Champions, il y a deux matchs.

00:07:29Il y a deux matchs.

00:07:30Il y a Arsenal.

00:07:31C'est la meilleure équipe d'Europe après Manchester City en ce moment.

00:07:33Enfin, c'était en tout cas à l'époque une des meilleures équipes d'Europe.

00:07:36Et ils ont perdu à Arsenal.

00:07:38Bon, ce n'est pas non plus…

00:07:39Ce n'est pas humiliant de perdre à Arsenal.

00:07:41Non, mais ils ont perdu 2-0.

00:07:42Ça aurait pu être 4-0.

00:07:43Oui, mais je suis d'accord avec toi.

00:07:44Ce match est totalement raté.

00:07:45Mais sur ce que je vois en Ligue 1, et ce que je pense qu'on va encore voir dimanche

00:07:49sur le classique, c'est que l'équipe progresse.

00:07:51L'équipe maîtrise son sujet.

00:07:53Et Mbappé, qui mettait 40 buts…

00:07:54Luis Henrique avait parlé de 4 joueurs qui allaient mettre 10 buts.

00:07:56Je pense qu'ils ne vont vraiment pas être loin.

00:07:58Parce que les 4 joueurs qui mettent 10 buts, ils vont y être au PSG.

00:08:01Hugo, le 14 septembre dernier, Paris battait Brest au Parc des Princes sur le score de 3-1.

00:08:06On va donner la parole au coach de Brest, Éric Roy, qui a évoqué ce Paris Saint-Germain

00:08:11avec énormément de compliments pour le PSG de Luis Henrique, saison 2.

00:08:15On était le 14 septembre.

00:08:16Est-ce que depuis, vous voyez, on va dire, les mêmes choses que nous raconte Éric ?

00:08:21On y va.

00:08:23C'est certainement une équipe qui va être dangereuse, même en Ligue des Champions,

00:08:27pour beaucoup d'adversaires.

00:08:28Nous, on a essayé de faire de notre mieux.

00:08:32Je pense que si on avait été un petit peu plus juste, on aurait pu les mettre en difficulté.

00:08:37L'équipe du PSG, je trouve, collectivement, est bien plus forte que l'année dernière,

00:08:41où tout le monde court, tout le monde défend.

00:08:43Et notamment quand ils perdent le ballon, où ils vous mettent beaucoup de pression.

00:08:46Il faut être capable d'avoir la qualité technique, aussi la vision de jeu,

00:08:50de pouvoir sortir de cette densité-là pour pouvoir, effectivement, aérer le jeu.

00:08:54Les adversaires en Ligue 1 n'arrivent pas, on va dire, sur le principe du PSG, à aérer le jeu.

00:09:00Face à Arsenal, ils n'ont pas pu aérer le jeu.

00:09:03Mais Arsenal, c'est plus fort qu'eux.

00:09:05Mais Jérôme également.

00:09:06Mais ils vont tomber sur une équipe miroir.

00:09:08Parce que le PSV, c'est exactement la même chose.

00:09:10Pressing haut, on l'a connu Peter Bosch à Lyon.

00:09:12Autant à Lyon, c'était compliqué parce que les joueurs n'arrivaient pas à faire ce qu'ils voulaient.

00:09:15Tandis qu'au PSV, ça marche complètement.

00:09:17Donc, il est en tête de son championnat.

00:09:18C'est vrai qu'ils ont mal débuté contre la Juive.

00:09:20Mais c'est là où j'ai du mal à comprendre le Président.

00:09:22C'est qu'il prend les deux matchs qu'il a fait en Coupe d'Europe, qui ont été mauvais,

00:09:26qui a fait le PSG, qui ont été mauvais, pour dire qu'on ne peut pas être inquiet.

00:09:29Mais oui, mais ils peuvent en faire un troisième.

00:09:31Il n'y a pas non plus de certitudes qui vont se relever.

00:09:33Et moi, je ne comprends pas ce que tu ne comprends pas.

00:09:36Parce que tu pars du principe qu'à partir du moment où ils ont raté leurs deux premiers matchs,

00:09:40ils ne doivent pas rater le troisième.

00:09:43Mais ils peuvent tout à fait le rater.

00:09:45Si, par exemple, après ces deux matchs ratés, il y avait un troisième match raté contre PSV et Eindhoven,

00:09:52la prochaine émission, on se posera d'autres questions.

00:09:58Mais c'est possible.

00:10:00Mais c'est possible, évidemment.

00:10:02Est-ce qu'ils n'ont pas montré la chambre ?

00:10:04Est-ce qu'il n'est pas plus logique de penser que demain, le Paris Saint-Germain,

00:10:09qui a quand même maintenant trouvé une ossature intéressante,

00:10:13qui vient de gagner 4 à 2, même s'ils ont pris deux buts.

00:10:16Ils ont encore marqué 3-4 buts, comme ça leur arrive souvent.

00:10:21Et que demain, ils puissent être meilleurs que les deux derniers matchs.

00:10:25J'envisage plutôt ça que de faire un troisième match raté.

00:10:28Oui, mais en fait, c'est la prestation face à Strasbourg qui te laisse espérer qu'ils vont être meilleurs demain.

00:10:32Non, c'est les prestations ratées dans les deux premiers matchs

00:10:36qui me donnent la possibilité de dire qu'on ne pourra faire que mieux.

00:10:40D'accord Roland, mais est-ce que tu ne trouves pas que chaque match du PSG...

00:10:43C'est Roland qui est déjà en Paris.

00:10:44Oui, mais c'est bien. Mais on trouve quand même quelques motifs d'inquiétude à chaque fois.

00:10:49Parce qu'on parle de Strasbourg. Strasbourg, il n'y a aucun souci.

00:10:51Strasbourg, c'est une équipe joueuse, mais c'est une équipe qui est toujours en déséquilibre.

00:10:54Ça fait qu'à un moment, contre une équipe comme le Paris Saint-Germain,

00:10:56où il y a quand même des joueurs de talent, là on parle d'un effectif qui est supérieur à tous les autres effectifs,

00:10:59et bien à un moment, ils prendront des buts.

00:11:01Oui, mais je pense qu'on a le plaisir de se voir, en ce qui me concerne, tous les lundis.

00:11:08Quand je vois le calendrier en Champions League et que les prochains adversaires,

00:11:12c'est l'Atlético Madrid, c'est le Bayern et c'est City, je crois qu'on aura l'occasion de reparler de ces matchs-là,

00:11:20de reparler peut-être des progrès qu'a pu faire le Paris Saint-Germain,

00:11:24ou au contraire, ces trois matchs-là, je serai curieux de savoir quels vont être les résultats

00:11:31et quel va être le comportement de Paris Saint-Germain.

00:11:36Demain, c'est vraiment le match test pour le Paris Saint-Germain,

00:11:38c'est qu'on va voir vraiment ce qu'ils ont dans le ventre.

00:11:40Alors bien sûr que PSV, ce n'est pas le Bayern Munich, ce n'est pas Manchester City, c'est évident,

00:11:44mais il n'empêche que c'est plus fort que Gérard, c'est plus fort que Gérard.

00:11:49C'est vrai qu'on voit individuellement, on se dit Benítez, on l'a connu, ce n'est pas un gardien exceptionnel,

00:11:54il y a des joueurs qui sont à un bon niveau, mais ce n'est pas top niveau,

00:11:57mais il n'empêche que c'est une équipe collectivement qui est très très forte,

00:11:59donc là, pour le coup, on va voir ce que peut faire une équipe comme le Paris Saint-Germain,

00:12:02qui se dit en progrès collectif, donc là, dans ce match-là, on verra effectivement bon sont les progrès.

00:12:07Jean-Michel, l'histoire de la défaite contre Arsenal faisait le constat suivant.

00:12:14Et le constat, c'est que pour moi, c'est trop faible de partout.

00:12:17Et tu n'as pas de caractère, tu n'as pas à un moment donné un joueur qui va mettre un tampon

00:12:22et amener les autres avec eux.

00:12:24Donc quand ça va, tout le monde ça va, ils font leurs petits trucs et tout,

00:12:28et dès que ça ne va pas, par contre, ça ne va pas vraiment.

00:12:30Et je trouve que ça manque énormément de personnalité dans l'ensemble de l'équipe.

00:12:35La personnalité dans l'ensemble de l'équipe, alors, je ne sais pas, Hugo, là, vous êtes amené.

00:12:40Appréciez votre précision, enfin, votre pensée.

00:12:44Là, ce que nous dit Jo, c'est vrai qu'il y a quelque chose, une photographie,

00:12:49alors qu'il était sur l'instant, mais après, il y a un peu de leader.

00:12:52Après avoir vu le match à l'Emirates contre Arsenal, moi, je dis la même chose que Jo, pas de problème.

00:12:58Évidemment, ils ont manqué de leader, ils ont manqué de caractère, ils ont manqué de tout

00:13:01parce qu'ils sont tombés contre une équipe qui était trois fois plus forte,

00:13:03et ils se sont fait marcher dessus, et ils n'ont pas vu le jour.

00:13:05Mais ça n'empêche pas de dire que depuis, j'ai vu des matchs où j'ai vu une progression du Paris Saint-Germain.

00:13:12Alors certes, ils ne jouent pas contre Arsenal tous les week-ends,

00:13:14donc ils ne peuvent pas progresser à chaque fois contre une équipe qui est du niveau d'Arsenal,

00:13:18mais je vois les joueurs individuellement aussi qui progressent, qui prennent de la confiance.

00:13:24Même un joueur comme Kang In-Li, il en est déjà à quatre buts, il prend de la confiance chaque fois qu'il rentre,

00:13:28il est intéressant. Asensio, c'est intéressant. Barcola.

00:13:31Oui, mais il y a des joueurs qui apportent dans toutes les lignes.

00:13:34Vicinia, Neves au milieu, Ruiz, c'est intéressant.

00:13:37C'est une équipe qui est jeune, mais qui de match en match progresse, qui se procure.

00:13:42Et ça, en Europe, il y a peu d'équivalents.

00:13:44On a les stats, alors certes, c'est en championnat,

00:13:46mais les expected goals, c'est énorme du Paris Saint-Germain,

00:13:49ils ont beaucoup d'occasions à tous les matchs,

00:13:51et ça, c'est un marqueur fort d'un jeu qui fonctionne, de se procurer beaucoup d'occasions.

00:13:55Donc, je suis confiant, c'est le PSV demain, c'est pas City.

00:13:59Ah, mais t'es confiant que pour le PSV ?

00:14:01Non, je suis confiant dans la progression. Là, c'est le PSV.

00:14:03Moi, je pense qu'ils vont gagner et je pense qu'ils vont continuer à progresser,

00:14:06rester en tête du championnat et pouvoir rivaliser ensuite dans les matchs que tu as annoncés tout à l'heure.

00:14:11Et pour Dimanche, Classico.

00:14:13On revient dans quelques minutes, Président, avec le Classico.

00:14:16Président, avec le Classico, vous vous souvenez de Classico.

00:14:18Merci pour l'autisime, Roland, on est comme un singe.

00:14:21On se côtoie déjà depuis quelques années.

00:14:23J'aime bien votre oeil sur la constitution d'un effectif.

00:14:27Vous voyez, l'effectif du Paris Saint-Germain.

00:14:29Vous trouvez qu'on empile un peu des joueurs qui sont dans le même registre,

00:14:32ou alors c'est quelque chose, ou vous voyez quelque chose,

00:14:35un peu d'association entre différents joueurs, et notamment ce milieu de terrain.

00:14:39Il signe avec la direction actuelle, qui est portugaise, on va dire, la direction sportive.

00:14:44Il signe des joueurs plutôt du Portugal, des championnats plutôt d'Espagne.

00:14:47Ce sont des championnats d'évitement.

00:14:49Ce ne sont pas des championnats de contact, de duel, comme la Première Ligue, comme la Bundesliga.

00:14:53C'est des jeux d'évitement.

00:14:54C'est des beaux joueurs.

00:14:55Mais quand on les met dans des soirées contre des gars de 2 mètres et qu'il faut aller au turbin,

00:14:59ils n'y sont plus.

00:15:00La progression, on est tous d'accord.

00:15:01Quand tu ne parles de rien, tu ne peux que progresser.

00:15:02Ils ont progressé.

00:15:03C'est magnifique.

00:15:04Mais après, ça ne suffit pas.

00:15:05La meilleure recrue, au final, qu'ils ont faite cette année,

00:15:07personne ne la connaissait, c'était Pacheco.

00:15:09Si, il s'appelle bien Pacheco.

00:15:14C'était tellement la meilleure recrue que personne ne connaissait.

00:15:16Pacheco, il fait sa début de saison.

00:15:20La Bundesliga, c'est un joueur de duel.

00:15:23Il gagne ses duels.

00:15:24Il fait du bien derrière.

00:15:25C'est meilleur aujourd'hui que Hernández qui pue dans les duels, que Marquinhos.

00:15:29Bref.

00:15:30Que Skriniar, il va tomber par terre.

00:15:33Ils ont pris des joueurs de duel.

00:15:35Ce joueur-là est un joueur de duel.

00:15:36Pour moi, à Paris Saint-Germain, Fabienne Ruiz, c'est une danseuse.

00:15:39Les Portugais ne vont pas au contact.

00:15:41Tu ne peux pas jouer avec ces joueurs-là.

00:15:43Leonardo, recruté en Italie, c'est un championnat de duel.

00:15:47Il manquait de vitesse.

00:15:48Il manque un peu de vitesse en Italie.

00:15:49Aujourd'hui, pour Paris Saint-Germain, il manque des joueurs de la Première Ligue.

00:15:52Il manque des joueurs de la Bundesliga.

00:15:54Et on le voit, ils en ont fait un qui marche très bien.

00:15:56Vous voyez Conte au Napoli qui veut de la guerre à tous les centimètres sur le terrain.

00:16:01Il a pris trois joueurs de Première Ligue cette année.

00:16:05Il a fait prendre trois joueurs à sa direction de Première Ligue.

00:16:08Et les mecs, ils vont au Turbin tous les jours.

00:16:10Sur la constitution de l'effectif, avec le langage, il fleurit.

00:16:13Je trouve ça très intéressant.

00:16:15On parlait tout à l'heure de caractère.

00:16:17Je réécoutais ce qu'a dit Johan tout à l'heure à Mikou.

00:16:20Il parlait d'un manque d'impact physique.

00:16:22Mais vous reprenez Marseille.

00:16:24On parlera du classico, mais ce n'est pas pour parler du classico.

00:16:26Vous prenez Marseille, vous prenez Paris Saint-Germain.

00:16:28D'avoir un joueur comme Hochberg, d'avoir un joueur comme Rabiot,

00:16:31c'est l'exemple type de joueurs qui, eux, peuvent mettre de l'impact,

00:16:34une espèce de caractère et peuvent sortir des situations parfois compliquées.

00:16:37Et c'est vrai qu'à Paris aujourd'hui, en tout cas, on n'a pas vu ce type de joueurs.

00:16:40Il y avait Ougarte.

00:16:42Ougarte, il mettait des brins, mais il ne savait pas jouer au ballon.

00:16:44Tu ne peux pas me dire que ce n'est pas que ça.

00:16:46Non, mais ce n'est pas que ça.

00:16:48Ruiz, c'est une danseuse.

00:16:50J'ai regardé la finale de l'Euro.

00:16:52J'attendais qu'on aille en finale.

00:16:53Ruiz, il nous a marché dessus.

00:16:54C'est l'équipe de France.

00:16:55C'est une danseuse.

00:16:58Il a notamment Rodri à côté en Espagne.

00:17:00Tu vois le même joueur au PSG ?

00:17:02Pas du tout.

00:17:04Pas exactement le même joueur, mais parce qu'il n'est pas entouré de la même manière,

00:17:07comme le dit Karim.

00:17:08On voit son frère au Paris Saint-Germain.

00:17:09Non, ce n'est pas son frère.

00:17:10Il fait quand même des bons matchs.

00:17:11Tu ne peux pas dire ça.

00:17:12Il perd 14 ballons par match.

00:17:14Tu ne peux pas dire Joe Onéves.

00:17:16C'est un bon joueur.

00:17:17Même dans les duels, il est bon.

00:17:19Il ne peut pas tout faire tout seul.

00:17:21Il n'est pas tout seul.

00:17:22Vitignac, c'est un fou joueur.

00:17:23J'ai vu Zaire Emery, par exemple.

00:17:25Pour l'instant, il est en deçà de ce qu'il nous avait montré.

00:17:27Et encore heureux.

00:17:28Il a 17 ans.

00:17:29Et encore, lui, dans les duels, il a 17 ans et il gagne la plupart de ses duels.

00:17:32Aujourd'hui, il ne peut pas non plus porter le PSG.

00:17:34Et là, on voit qu'il est quand même moins bien depuis sa blessure.

00:17:36Et encore heureux, il a 17 ans.

00:17:37Oui, mais j'ai l'impression qu'on parle du PSG de 2001-2002 avec Amaradjani.

00:17:40Non, mais moi, j'ai l'impression que tu parles d'un PSG qui marche toute l'Europe.

00:17:43Amaradjani, c'était un peu plus tard.

00:17:47Alors, pour les supporters du PSG, attention.

00:17:51Léna, Léna, Léna.

00:17:52Juste une petite information complémentaire sur le match Paris-Saint-Germain-PSV.

00:17:56L'arbitre de demain, c'est Glenn Lieberg, un Suédois de 36 ans.

00:18:00Il a déjà arbitré en Ligue des champions.

00:18:02On l'a vu la saison passée sur PSG Dortmund.

00:18:04Et pour l'anecdote, sur les huit rencontres qu'il a arbitré en Ligue des champions,

00:18:08il n'a encore jamais distribué de carton rouge.

00:18:11Espérons qu'il ne commence pas avec le PSG demain.

00:18:13Attention.

00:18:14Il ne donne pas de coups.

00:18:15On a dit qu'il ne donnait pas de coups.

00:18:16Pas de carton.

00:18:17Il faut un jeu d'évitement.

00:18:18Il faut commencer avec le PSG.

00:18:21Et moins qui pour Paris face au PSV ?

00:18:23Non, pas du tout.

00:18:24C'est Hugo qui s'impose.

00:18:27OM-PSG, c'est donc dimanche prochain.

00:18:29À moins d'une semaine de ce grand match, on va refaire le Classico avec notre président Roland Courbis.

00:18:36Vous avez coaché l'OM entre 1997 et 1999.

00:18:40Vous avez joué cinq Classico, deux victoires au parc, une défaite et deux matchs nuls.

00:18:45Ce soir, nous allons revenir ensemble à quelques histoires de Classico racontées par El Rolando.

00:18:55Le premier comptant pour la quinzième journée de Ligue 1, nous sommes au Parc des Princes.

00:18:59Nous sommes le 8 novembre 1997.

00:19:02Victoire de l'OM au parc Dubuzyn.

00:19:04Le match s'est joué sur un coup de dé.

00:19:06Un sacré coup de dé.

00:19:07Il s'appelle Ravanelli qui invoque l'autocroc en jambes.

00:19:12Laurent Blanc transformera le pénalty et offrira la victoire à votre équipe.

00:19:16Pour l'OM cette saison-là, il y aura un avant et un après.

00:19:20C'est-à-dire ?

00:19:21Quand on me parle de mon passage à Marseille, on me parle uniquement du dernier match du championnat avec le but de Fendoulon.

00:19:31On y reviendra.

00:19:34Ce qui m'intéresse, c'est que je puisse expliquer quelque chose que personne n'y pense.

00:19:42C'est que ce match-là, ce n'est pas seulement le tournant du match, c'est le tournant de notre championnat.

00:19:51Parce que ce pénalty, qui est un pénalty sévère, je suis le premier à le constater.

00:19:58Par contre, on peut me faire confiance d'avoir pu en discuter avec Fabrice.

00:20:03En se disant, finalement, il t'a touché ou pas ?

00:20:06Oui, il m'a touché et ma jambe est partie derrière le monnaie.

00:20:10Je n'ai rien fait pour ne pas faire en sorte qu'après je puisse tomber pour obtenir un pénalty.

00:20:18Il a fait tout ce que j'appelle moi le travail d'un attaquant.

00:20:22Mais ce que je ne m'imaginais pas de possible, c'est qu'à six mois de la fin, on puisse ne plus avoir un seul pénalty.

00:20:30Ce qui, pour moi, nous coûte tout simplement le titre.

00:20:33Et donc, ce n'est pas que j'ai fait un tour d'intelligence de pouvoir dire,

00:20:40si on avait pu annuler le pénalty de Fabrice Ravanel et faire un partout plutôt que de gagner 2 à 1,

00:20:47on aurait été tout simplement champion.

00:20:49Parce que je suis peut-être chauvin, mauvais perdant et tout.

00:20:52Je n'ai noté, moi, minimum 6 de pénalty dans les 6 mois qui ont suivi.

00:20:58Nous avions une équipe où nous étions quand même assez souvent dans les 25 derniers mètres sur le plan offensif.

00:21:03Tiens, on a croisé Fabrizio Ravaneli. Cette action a fait la légende de l'italien dans le championnat.

00:21:08On a activé une archive de la chaîne d'équipe il y a 11 ans lors de son passage comme coach à Ajaccio.

00:21:13Face à lui, l'incroyable Pierre Miguet.

00:21:18Pour terminer, j'espère que vous allez me féliciter.

00:21:20Je ne vous ai pas posé une seule question sur le pénalty de 97. Vous êtes content ?

00:21:24Ah oui, je suis très content.

00:21:26Moi, je ne suis quand même pas inquiet si vous me demandez ça parce que je dirai toujours que c'est la pénalty.

00:21:32Donc pour les Marseillais, il y avait bien pénalty. Pour les Parisiens, on leur demandera.

00:21:3731e journée de Ligue 1, autre Classico. Nous sommes le 8 avril 98.

00:21:42OM, 0. Paris Saint-Germain, 0.

00:21:45Alors, il y a l'inauguration du Vélodrome qui a été modifiée, son architecture, pour accueillir la fameuse Coupe du Monde.

00:21:51Donc 98, made in France.

00:21:53J'ai l'impression que vous n'êtes pas fier du travail des architectes parce que vous avez surnommé le Vélodrome l'enrumeur.

00:21:59C'est-à-dire ?

00:22:00C'est-à-dire qu'effectivement, pour un footballeur, des fois on est bon, des fois on est moyen.

00:22:05Pour un architecte, ça doit être la même chose parce qu'une fois qu'on a inauguré le stade,

00:22:13j'ai posé la question, j'ai dit mais attendez, il est terminé ?

00:22:18Parce que ces quatre ouvertures dans une région où il y a un vent,

00:22:23je vais peut-être l'apprendre, qui s'appelle le Mistral,

00:22:25ces quatre ouvertures pour en faire un frigidaire de ce stade

00:22:30et que moi avec mon côté toujours moqueur, je l'appelais l'enrumeur,

00:22:35ça me fait dire que ce stade pour moi, je n'ai pas eu l'impression qu'il était fini.

00:22:40Et quand je vois le stade d'aujourd'hui, sincèrement, je ne vais pas faire une crise de jalousie,

00:22:45je n'ai jamais été jaloux de personne dans ma vie,

00:22:48mais j'aurais aimé être entraîneur de l'OM avec le stade d'aujourd'hui.

00:22:51Mais ce match-là quand même, vous avez un souvenir, vous arrivez sur la pelouse avec Charles Biettrich

00:22:55qui vient d'être nommé ce jour-là président du Paris Saint-Germain,

00:22:58il va prendre ses fonctions un petit peu plus tard.

00:23:00Et il est comment notre futur président du PSG ?

00:23:02Complètement contracté.

00:23:06On est ensemble, moi ce n'est pas que je suis vraiment à l'aise,

00:23:10puisque le match va commencer, j'ai quand même quelques responsabilités

00:23:13qui sont supérieures à celles de notre ami Charles.

00:23:17Et là on monte avec la musique que tout le monde connaît,

00:23:21on monte les escaliers, il me regarde, il me dit

00:23:26« je n'aurais jamais pensé que c'était aussi compliqué d'être président délégué du PSG ».

00:23:32Et j'ai dit « ça va, il n'y aura pas tout le temps un match à Marseille,

00:23:35donc tu verras que ce sera plus facile dans certains matchs ».

00:23:39On va débuter le match, le match va se terminer par un 0-0,

00:23:42mais Patrick Colter qui joue désormais à l'OM,

00:23:45quatrième minute, carton jaune pour Patrick Colter

00:23:48sur un tacle bien appuyé sur la vedette d'en face Marco Simonet.

00:23:52Maintenant vous pouvez parler, c'était une de vos consignes de marquer le joueur majeur ?

00:23:56Oui, et en plus d'entrer.

00:24:01Pourquoi d'entrer ? Parce que je pense que c'est plus difficile pour un arbitre

00:24:05de mettre un carton rouge et donc il n'était pas question de blesser gravement Simonet,

00:24:12mais un petit tampon qui le fasse diminuer la confiance pour ce match,

00:24:20ça me paraissait être quelque chose de possible

00:24:24et je ne vois pas pourquoi on s'en serait privé.

00:24:26Par contre, après cette intervention en quatrième minute,

00:24:30il y a eu 86 minutes, plus les arrêts de jeu, il n'y a plus de tacle.

00:24:34Il paraît que les parisiens étaient à 4 mètres des joueurs marseillais.

00:24:37C'est parce qu'ils pensaient qu'on allait faire ça tout le temps,

00:24:39alors qu'on ne l'a fait qu'une fois.

00:24:40Enfin, dernière histoire de Classico, on est le 5 mai 1999, Paris Saint-Germain-OM,

00:24:46deux busans pour l'Olympique de Marseille et pourtant votre équipe mène 1-0

00:24:50à un but de Florian Maurice aux alentours de la vingtième minute de jeu,

00:24:53mais l'OM va perdre le match.

00:24:55« Courbis s'est-il planté ? » écrit l'équipe, deux jours après la rencontre.

00:24:59On s'est parlé, et au bout d'une minute, il y a un truc qui reste,

00:25:03c'est mon coaching, j'ai remplacé Dugarry par Titicamara.

00:25:07Et ça, ça aurait pu être un débat dans l'équipe du soir.

00:25:11Roland accusé le vif.

00:25:13Des conneries, on en fait tous.

00:25:15Et sincèrement, si je pensais avoir fait une connerie,

00:25:18je vous le dirais, sans aucun problème.

00:25:22Mais il était prévu qu'il y ait une utilisation dans l'hommage

00:25:30de faire rentrer comme un joker un joker très intéressant qui s'appelait Titicamara.

00:25:36Et donc, nous sommes 1-0.

00:25:39Si par exemple j'avais remplacé Dugarry par un défenseur

00:25:42et que ça se soit passé comme ça, je me serais fait massacrer.

00:25:47Là, à la limite, j'aurais pu le comprendre.

00:25:50Mais remplacer Dugarry à 20 minutes de la fin par Titicamara

00:25:54pour espérer justement le Paris Saint-Germain qui était obligé de gagner,

00:25:59le Paris Saint-Germain qui était obligé de construire

00:26:02et pouvoir les piquer en contre avec Titicamara,

00:26:05malheureusement, ça n'a pas réussi.

00:26:08Mais mon meilleur souvenir en ce qui concerne le journal, l'équipe...

00:26:15Excellent genre d'avenir.

00:26:17La plaque est encore à vif.

00:26:20Dans une période où on parle de...

00:26:25On en a parlé souvent.

00:26:28Bon, mais alors, l'institution, c'est au-dessus de tout, etc.

00:26:34Un matin, je prends l'équipe, double page,

00:26:37et je vois, après avoir perdu contre Parma 3 jours avant

00:26:41en finale de la coupe UFA,

00:26:43je vois les 5 raisons de l'échec de...

00:26:47De l'OM ?

00:26:48Oui, je pense que ça va être l'OM à la fin

00:26:51et peut-être moi en premier sur les 5.

00:26:55Non, c'est les 5 raisons de l'échec de Roland Kourbis.

00:26:59Donc, j'étais pour l'équipe, et je vous remercie,

00:27:02au-dessus de l'institution tout en étant dans un club

00:27:05aussi important que l'Olympique de Marseille.

00:27:08Finalement, au lieu d'en avoir les boules,

00:27:10j'en étais très fier.

00:27:13Un jour, on a aussi important que l'équipe

00:27:15qui me met au-dessus de l'institution

00:27:17dans un club comme l'Olympique de Marseille,

00:27:19ça, vous allez demander à tous les entraîneurs

00:27:22si ça leur est déjà arrivé, je ne pense pas.

00:27:24Le grand numéro d'Roland Kourbis a suscité

00:27:26quelques questions de la part de notre congregation,

00:27:31enfin, voilà, communauté.

00:27:32Une question de Pingus Fada.

00:27:34Bonsoir, coach.

00:27:35Pensez-vous que l'OM peut espérer un bon résultat dimanche ?

00:27:38Oui, compte tenu que là, plaisanterie mise à part,

00:27:41nous sommes dans une situation où le métier d'entraîneur,

00:27:45quand on a le calendrier de l'OM

00:27:47et quand on a le calendrier de Paris Saint-Germain,

00:27:49ce n'est pas du tout le même métier

00:27:51dans la semaine qui va se préparer.

00:27:55Donc, l'Olympique de Marseille,

00:27:57demain, il y aura une grosse différence,

00:27:59c'est que les joueurs, l'entraîneur et les supporters

00:28:02seront devant la télé, et le Paris Saint-Germain

00:28:05sera devant Paris PSV.

00:28:09Et ça, ça peut faire une énorme différence

00:28:13pour le match dimanche,

00:28:15et c'est pour ça que je pense que l'OM doit

00:28:18et peut profiter de cet avantage.

00:28:20Vous avez votre réponse.

00:28:22Merci beaucoup, Pingus.

00:28:24Je voulais vous montrer le premier but marqué par l'OM

00:28:26hier du côté de Montpellier.

00:28:28On va voir.

00:28:30Ça vous a fait bondir.

00:28:31Il y a un truc qui vous rend fou sur cette action.

00:28:33On y va.

00:28:34Images qu'on voulait enregistrer.

00:28:35Là, maintenant.

00:28:37C'est Ouey qui se débarrasse.

00:28:39Enfin, qui se débarrasse.

00:28:40Qui se débarrasse de Birama Touré

00:28:41qui vient presser Ouey,

00:28:42et puis le milieu Rabih Mzegoula également

00:28:44qui vient se livrer.

00:28:45On va le revoir sur l'antique.

00:28:46Là, c'est maintenant.

00:28:47C'est maintenant.

00:28:48Et là, ça vous a rendu fou, ça,

00:28:49devant votre télé, là.

00:28:50Expliquez-nous pourquoi.

00:28:51Pourquoi ?

00:28:52Parce que ce n'est pas moi qui vais inventer

00:28:54que dans le football,

00:28:56il y a les qualités pour être bon

00:28:58sur le plan offensif,

00:29:00et aussi, des fois, on néglige d'être bon

00:29:02aussi sur le plan défensif.

00:29:04Être bon sur le plan défensif, pour moi,

00:29:06c'est être à bonne distance,

00:29:09ne pas faire de fautes stupides,

00:29:11ne pas être impatient pour avoir

00:29:13certains ballons.

00:29:15Mais là, si tu demandes à un défenseur

00:29:18de faire la pire chose

00:29:20que peut faire un défenseur

00:29:22à la première minute d'un match,

00:29:24nous l'avons vécu hier.

00:29:26Je ne sais pas ce qui se serait passé

00:29:28parce que l'équipe de Montpellier

00:29:30est très moyenne.

00:29:31Sans cette intervention,

00:29:33avec un défenseur qui monte,

00:29:35qui rate tout,

00:29:37qui se trompe d'endroit,

00:29:39qui ne fait même pas faute

00:29:41sur le joueur qui est dans cette zone-là.

00:29:44Sincèrement, c'est tout simplement...

00:29:48Je fais une différence entre erreur et faute.

00:29:51Ça, pour moi, c'est une faute professionnelle.

00:29:53OK. Merci Roland.

00:29:55Lebrun, les frères Lebrun,

00:29:57champions de l'Odymate.

00:29:59Lebrun sur la Razia des frères Lebrun

00:30:01aux championnats d'Europe de tennis de table.

00:30:03C'est passé chez nous sur la chaîne d'équipe.

00:30:05Le doublé par le grand frère Alexis.

00:30:07Titré en simple et donc en double

00:30:09avec son frère Félix.

00:30:11Il est 16h15. Nous sommes en Autriche.

00:30:13Nous sommes devant nos téléviseurs,

00:30:15devant la chaîne d'équipe.

00:30:17Linz, Autriche. On revoit la balle de match

00:30:19en individuel d'Alexis Lebrun.

00:30:21Au commentaire, Emilio Santos et Philou,

00:30:23Jean-Philippe Gassien.

00:30:25Plus qu'un point, un tout petit point.

00:30:27C'est carton plein sur ce match.

00:30:29A l'image des deux derniers d'ailleurs.

00:30:37Alexis Lebrun

00:30:39écrit l'histoire

00:30:41du ping français.

00:30:43Oui, il peut montrer son nom.

00:30:45Il entre dans l'histoire du ping français.

00:30:47Le titre en double avec Félix

00:30:49et désormais le titre en simple

00:30:51après Jacques Secrétin,

00:30:53après Emmanuel Lebaisson.

00:30:55Il y a Alexis Lebrun, sommet

00:30:57du ping européen.

00:30:59Carton d'audience sur la chaîne d'équipe

00:31:01avec en moyenne plus d'un demi-million

00:31:03de téléspectateurs. Succès dans les mêmes proportions

00:31:05sur le site l'équipe, tant sur les vidéos

00:31:07vues ou les articles lus.

00:31:09Le ping-pong, sport de camping.

00:31:11Est-ce désormais...

00:31:13J'ai aimé la question.

00:31:15Elle est bien cette question.

00:31:17Ça n'a jamais été un sport

00:31:19juste de camping, je ne comprends pas.

00:31:21De MJC quoi.

00:31:23Que le ping-pong

00:31:25et une fédération

00:31:27et des licenciés, oui.

00:31:29Mais là, pour vous,

00:31:31il n'y a pas d'avant et d'après.

00:31:33Je suis désolée, j'avais ping-pong

00:31:35au lycée.

00:31:37J'avais même ping-pong.

00:31:39J'ai passé le bac, j'avais ping-pong.

00:31:41Ping-pong, je croyais que c'était un fiancé.

00:31:43J'ai eu mon bac.

00:31:45Il n'y a pas que

00:31:47au camping qu'on joue au ping-pong.

00:31:49Dans le sud de la France...

00:31:51Non, ce n'est pas la question.

00:31:53C'est très courant, quand les gens ont un jardin,

00:31:55d'avoir une table de ping-pong dans le jardin.

00:31:57Est-ce que vous êtes intéressés

00:31:59à la question sur le développement

00:32:01du ping-pong à travers le succès des JO ?

00:32:03Oui.

00:32:05Ils ont pris 300% de notations.

00:32:07Il y a des clubs dans le sud, évidemment.

00:32:09Il n'y a pas que le camping.

00:32:11C'est un peu relévé.

00:32:13C'est un peu réducteur.

00:32:15C'est un peu populaire.

00:32:17C'est lié aussi à la personnalité,

00:32:19à la personnalité de deux champions français

00:32:21qui ont d'énormes résultats.

00:32:23Mais rappelez-vous,

00:32:25moi je suis un peu plus âgé que certains ici,

00:32:27mais quand on avait Jacques Secrétin,

00:32:29à l'époque c'était à l'honneur le tennis de table.

00:32:31Quand il y a eu Patrick Birochaud,

00:32:33c'était à l'honneur le tennis de table.

00:32:35Jean-Philippe Gassien aussi a donné un coup de pouce.

00:32:37Justement, tu viens de rectifier

00:32:39ce qui, pour moi, je trouve bizarre,

00:32:41qu'on appelle ping-pong.

00:32:43C'est mieux tennis de table, non ?

00:32:45Oui, ils appellent ça le ping.

00:32:47Aujourd'hui, ils appellent ça le ping.

00:32:49Moi, je suis d'une génération où on parlait.

00:32:51Ce qui crée aussi l'engouement,

00:32:53c'est les victoires et la personnalité

00:32:55et ce qu'ont réussi à faire les frères Lebrun.

00:32:57C'est des mecs incroyables,

00:32:59une famille aussi incroyable.

00:33:01On les a suivis pendant les JO,

00:33:03mais ils nous ont fait rêver.

00:33:05Et ils continuent de gagner.

00:33:07Donc on a envie de leur voir.

00:33:09Je ne suis pas certain, par contre,

00:33:11si vous n'aviez aucun champion français,

00:33:13qu'il y aurait le même engouement

00:33:15que le ping-pong.

00:33:17Les gens se baignaient avant.

00:33:19Il y en a quand même beaucoup

00:33:21qui sont allés vers la natation.

00:33:23En 2004, vous m'auriez dit

00:33:25à l'équipe du soir

00:33:27qu'il y avait des clubs de natation

00:33:29dans le sud.

00:33:31Si vous me dites, il y a un boom

00:33:33du tir à l'arc.

00:33:35Le tir à l'arc, c'est un sport

00:33:37qui est beaucoup plus confidentiel.

00:33:39Le ping-pong dans le sud,

00:33:41tout le monde y joue.

00:33:43Les gens se mettront tous

00:33:45à faire ça.

00:33:47Si demain, on a un champion olympique

00:33:49du tir à l'arc, tu ne vas pas te mettre

00:33:51dans ton jardin à tirer qu'une arbalète.

00:33:53C'est quand même dangereux.

00:33:55Le ping-pong reste quand même

00:33:57beaucoup plus accessible.

00:33:59Yvan Lemay a des vieux réflexes.

00:34:01On dirait Jean-Pierre Cayot.

00:34:03Ils ont travaillé le produit.

00:34:05Vous avez regardé des matchs

00:34:07ce week-end.

00:34:09Vous avez vu que la réalisation

00:34:11s'est vachement modernisée.

00:34:13Avant, c'était un peu lent

00:34:15malgré la rapidité du jeu.

00:34:17Après, tous les sports s'accélèrent.

00:34:19Le ping-pong s'accélère aussi.

00:34:21C'est devenu un vrai spectacle

00:34:23de la réalisation.

00:34:25L'Angleterre réalise bien

00:34:27les matchs de première ligue.

00:34:29Au ping-pong, ils sont arrivés

00:34:31à un niveau où tu vis le match

00:34:33et la partie.

00:34:35C'est devenu spectaculaire.

00:34:37Le sport est très rapide

00:34:39et accessible à tout le monde.

00:34:41Il y a le côté

00:34:43qu'on a deux futurs stars

00:34:45ou s'ils ne sont pas déjà stars.

00:34:47Il y a eu la natation,

00:34:49la période du tennis.

00:34:51S'il n'y avait pas eu de champion français,

00:34:53ils ne seraient pas intéressés non plus.

00:34:55Il y a un moment, c'est la star

00:34:57qui te fait pénétrer.

00:34:59Mes amis,

00:35:01dans quelques minutes,

00:35:03j'aurai deux chiffres qui vont vous indiquer

00:35:05que le ping-pong est toujours

00:35:07un sport de camping.

00:35:09Mais j'aurai un autre chiffre

00:35:11qui va nous permettre

00:35:13de voir

00:35:15que le développement

00:35:17du ping-pong en France

00:35:19n'est pas gagné.

00:35:21A tout de suite.

00:35:25On tourne sur le plateau

00:35:27de l'équipe du soir.

00:35:29Le ping-pong sport de camping

00:35:31est désormais terminé

00:35:33avec le carton d'audience

00:35:35qui arrive.

00:35:39Lors des Jeux Olympiques,

00:35:41l'enceinte de grande distribution Carrefour

00:35:43a augmenté de 548 %

00:35:45la vente de raquettes de ping.

00:35:47Et alors ?

00:35:49Donc c'est que des gens qui vont au camping ?

00:35:53Deux autres marques que Carrefour,

00:35:55Auchan et Leclerc.

00:36:01548 % de vente de raquettes,

00:36:03c'est pas pour les licenciés.

00:36:05Mais attention,

00:36:0725 % de licenciés

00:36:09sont en hausse d'excide.

00:36:11Gilles Herbe, président

00:36:13de la Fédération Française de Tennis de Table,

00:36:15si vous avez bossé, vous m'aurez trouvé.

00:36:17Plus ceux qu'on ne peut pas accueillir.

00:36:19Et Gilles, sur Horosport,

00:36:21les infrastructures restent

00:36:23le facteur le plus limitant.

00:36:25On manque de gymnastes polyvalents.

00:36:27La plupart de nos équipements datent des années 60

00:36:29et réclament une importante rénovation.

00:36:31Nous en plus, on subit la concurrence

00:36:33du basket, du volet et du hand

00:36:35qui est puissante pour récupérer des créneaux.

00:36:37C'est dur. Je veux bien acheter 5 centables

00:36:39mais on les mettrait...

00:36:41Dans son jardin, elle a dit Karine,

00:36:43comme si tout le monde avait un jardin.

00:36:45On ne sait pas quand.

00:36:47On a un appartement.

00:36:49Vous avez des enfants.

00:36:51Je peux finir ?

00:36:53Vous pouvez commencer surtout.

00:36:55On a des sports qui nous sont proposés

00:36:57parce qu'on a des cours d'EPS.

00:36:59Si nous plaisent,

00:37:01nos parents peuvent nous inscrire dans des clubs.

00:37:03Par exemple,

00:37:05il y a 20 ans,

00:37:07le ping-pong

00:37:09était un sport proposé

00:37:11dans tous les cours d'EPS.

00:37:13Si on appréciait ce que j'ai fait,

00:37:15je me suis mise dans un club

00:37:17de ping-pong.

00:37:21Le ping-pong n'était pas du tout

00:37:23original ou sport de camping.

00:37:25C'était un sport qui nous était proposé

00:37:27de l'école, du collège et du lycée.

00:37:29Si un jour,

00:37:31on a un débat Curlin,

00:37:33vous allez me demander si j'ai fait du Curlin.

00:37:35Je ne peux pas vous en parler.

00:37:37C'est un sport qui est accessible

00:37:39à tout le monde,

00:37:41notamment dans le sud.

00:37:43Ce n'est pas original de faire du ping-pong.

00:37:45Si j'avais voulu faire de l'escrime,

00:37:47on ne m'en faisait pas faire au collège.

00:37:49Si les gens font du ping-pong dans le sud,

00:37:51c'est parce que les campings sont dans le sud.

00:37:53Je suis toujours allée au camping à la ferme

00:37:55Je ne sais pas quelle est cette légende.

00:37:57Camping chic !

00:37:59La Ligue 2 nous attend.

00:38:01Avec ce soir la fin

00:38:03de la neuvième journée,

00:38:05le PFC est leader à l'échelle dernier 3.

00:38:07C'est plutôt bien passé pour les hommes de Pierre Ferrati.

00:38:09Sans surprise,

00:38:11le Paris FC s'impose sur la pelouse de 3

00:38:13dès la 19ème minute.

00:38:15Centre de Gauilly, Jean-Philippe Crasseau

00:38:17ouvre le score.

00:38:19L'international ivoirien ne s'arrête pas là.

00:38:21Après un mauvais renvoi du milieu de 3,

00:38:23Paris en profite.

00:38:25Crasseau marque encore pour le doubler.

00:38:27C'est son cinquième but en Ligue 2 cette saison.

00:38:29Et pour finir en beauté,

00:38:31à 20 minutes de la fin, Hélène Kebal envoie

00:38:33une frappe flottante du gauche.

00:38:35Score final 3-0.

00:38:37Paris retrouve sa place de leader.

00:38:39Et 3 reste l'enterne rouge de Ligue 2.

00:38:41Il y a du jour, l'équipe révélait que le PFC

00:38:43allait être racheté par le milliardaire Bernard Arnault.

00:38:45Information confirmée jeudi dernier par le club.

00:38:47Le PFC, est-ce que c'est devenu

00:38:49l'attraction de la Ligue 2 ?

00:38:51Oui, absolument.

00:38:53Il faut qu'ils montent.

00:38:55Il faut monter.

00:38:57On veut tous voir ce que peut donner LVMH

00:38:59à la tête d'un club parisien.

00:39:01Savoir quelle opposition il pourrait y avoir

00:39:03entre le PSG et le PFC.

00:39:05Et puis là, ça ferait une concurrence absolument incroyable.

00:39:07On s'est souvent moqués de Paris

00:39:09en expliquant qu'une ville comme ça devait avoir plusieurs clubs.

00:39:11Londres en a une dizaine.

00:39:13Et puis finalement, on n'a rien.

00:39:15Aujourd'hui, on a peut-être la possibilité de voir ça.

00:39:17Toutes les journées de Ligue 2, on va regarder

00:39:19le PFC. Parce que si le PFC pouvait monter,

00:39:21là on va se retrouver avec une espèce de médiatique incroyable.

00:39:23Mais déjà, avant...

00:39:25Ils sont leaders du championnat pour l'instant.

00:39:27Non, mais je veux dire, toi t'envisages déjà

00:39:29qu'en 2025-2026, ils soient concurrents en Ligue 1 ?

00:39:31Ah non, je n'ai pas dit qu'ils vont être concurrents.

00:39:33Ils ne sont pas concurrents du jour au lendemain.

00:39:35Le football, ça reste de l'argent.

00:39:37Mais une progression, elle est quand même linéaire

00:39:39si elle est bien faite, logiquement.

00:39:41Et donc, l'an prochain, le PFC

00:39:43ne va pas jouer toutes les titres.

00:39:45Mais aujourd'hui,

00:39:47déjà avec le Barhain, aujourd'hui, sans LVMH,

00:39:49ils ont déjà 5-6 joueurs sur la pelouse

00:39:51qui ont des salaires de Ligue 1.

00:39:53Quand tu fais revenir Maxime Lopez de la Fiorentina,

00:39:55prêté par Sassuolo...

00:39:57Il n'y a personne qui va les empêcher de se renforcer encore ?

00:39:59C'est ça, c'est ça.

00:40:01Avec l'argent d'aujourd'hui,

00:40:03ils sont déjà au-dessus en termes de qualité d'effectifs.

00:40:05Avec l'argent qui va être amené demain,

00:40:07ils vont avoir une équipe de Ligue 1.

00:40:09Donc monter, ça devrait monter.

00:40:11Après, ce qu'ils seront capables de faire au-dessus, c'est une autre histoire.

00:40:13Yvan, vous avez passé des coups de fil à Pierre Ferracci.

00:40:15Pour vous, pour placer des joueurs ?

00:40:17C'est plutôt son fils qui s'en occupe.

00:40:19C'est plutôt son fiston.

00:40:21Et vous êtes en contact avec son fiston ou pas ?

00:40:23Bien sûr.

00:40:25Parce que là, vis-à-vis de votre métier,

00:40:27ce projet-là qui monte, ça va être certainement intéressant.

00:40:29Ça fait partie des clubs qui vont se développer,

00:40:31qui vont avoir des moyens.

00:40:33Quand on voit tous les clubs qui ne sont plus en capacité de recruter,

00:40:35bien sûr que pour nous, agents, ça fait partie des clubs

00:40:37qu'on va chercher,

00:40:39avec qui on va faire des rendez-vous

00:40:41pour essayer de travailler avec eux, bien sûr.

00:40:43Il y a des salaires costauds qui sont donnés.

00:40:45En Cambadio, le gardien des espoirs,

00:40:47il est quasiment meilleur que Guillaume Reis qui joue en Ligue 1.

00:40:49Lui, il a prolongé au Paris FC alors qu'il est demandé

00:40:51en Bundesliga, en Espagne.

00:40:53C'est pareil, les salaires sont costauds.

00:40:55De combien ?

00:40:57Je ne sais plus, mais on m'avait donné un chiffre,

00:40:59mais comme je ne l'ai pas en tête,

00:41:01sur un jeune joueur, je m'étais dit

00:41:03c'est du football.

00:41:05Il l'a dit en faisant des salaires de ligne.

00:41:07Crasso, qui était parti au Red Star, libre de contrat,

00:41:09qui a fait un très gros contrat au Red Star,

00:41:11quand il est revenu,

00:41:13je pense qu'ils ont été obligés

00:41:15de payer les trois quarts du salaire qu'il avait là-bas.

00:41:17Et il avait un salaire plutôt assez cher.

00:41:19Kébal, c'est un joueur de Ligue 1.

00:41:21A Montpellier, le remplaçant de Michel Derzakarian

00:41:23est déjà évoqué.

00:41:25L'équipe, première sur l'info.

00:41:27Il y a deux mois, le Média évoquait déjà avec insistance

00:41:29le potentiel remplacement de Derzakarian par Gasset.

00:41:31Il est donc dans les petits papiers

00:41:33de Laurent Nicolin depuis un moment.

00:41:35Forcément, après la débâcle d'hier, ça s'accélère.

00:41:37Et pour rappel, Jean-Louis Gasset a déjà

00:41:39entraîné le club de Montpellier à trois reprises.

00:41:41C'est le débat du Minute Info.

00:41:43Est-ce qu'ils font du neuf avec du vieux ?

00:41:45Est-ce qu'ils ont des nouvelles idées ?

00:41:47Débat du Minute Info, envoyez le jingle en régie, s'il vous plaît.

00:41:53Hugo, Montpellier est-il un club qui recycle ses vieilles idées ?

00:41:55Vous avez plutôt dit oui.

00:41:57Je vous ai écouté hier soir lors du Grand Débrief.

00:41:59Vous tapez, on va dire, un peu sur la direction.

00:42:01Là, ils activent Jean-Louis Gasset.

00:42:03C'est bien, Jean-Louis Gasset.

00:42:05Je ne tapais pas sur la direction pour ça, en particulier.

00:42:07C'est sur ces dernières années.

00:42:09Et sur un club, en fait,

00:42:11qui n'est pas dans l'action,

00:42:13qui est plutôt dans la réaction.

00:42:15Et Laurent Nicolin l'a encore montré hier

00:42:17en disant, bon, j'ai rien anticipé.

00:42:19On a mis fin à Michel Zakarian.

00:42:21Voilà.

00:42:23Et aujourd'hui, il n'était pas au club, Laurent Nicolin.

00:42:25Il n'y a pas de stratégie,

00:42:27vraiment, à moyen terme.

00:42:29Et ça fait trop longtemps.

00:42:31Et quand un club, depuis trop longtemps,

00:42:33cherche des pompiers,

00:42:35c'est pas bon signe.

00:42:37Montpellier, c'est un club familial.

00:42:39Et Nicolin, c'est un affectif qui a besoin de connaître

00:42:41personnellement les personnes avec qui il travaille.

00:42:43C'est bien, mais ça a aussi des effets pervers.

00:42:45Parce que le MHSC, c'est une famille.

00:42:47Mais aujourd'hui, c'est une famille

00:42:49où on ne se dit pas vraiment les choses.

00:42:51Donc, où il y a un petit peu de l'hypocrisie.

00:42:53Michel Mézy, conseiller du président,

00:42:55c'était un des meilleurs amis de Loulou Nicolin.

00:42:57Et aujourd'hui, il est là, dans le paysage.

00:42:59Ils ne peuvent pas se voir avec Jean-Louis Gasset,

00:43:01qui va peut-être arriver.

00:43:03On a un directeur sportif, Bruno Carotti,

00:43:07qui est là depuis 15 ans.

00:43:09Mais aujourd'hui, les résultats sur le recrutement,

00:43:11pour moi, l'effectif,

00:43:13il n'est absolument pas suffisant pour la Ligue 1.

00:43:15Alors oui, certes, il y a un manque de moyens.

00:43:17Mais il y a au moins 5 clubs en Ligue 1

00:43:19qui ont des moyens inférieurs à Montpellier.

00:43:21Tu ne peux pas le critiquer à St-Anne,

00:43:23parce qu'il y a eu zéro joueur qui s'est arrivé.

00:43:25Non, mais regarde les joueurs qui ont joué.

00:43:27Tanguy Koulibaly.

00:43:29Si, Birama Touré, il est arrivé.

00:43:31C'est Darzak qui l'a ramené.

00:43:33Fallah Issako.

00:43:35Ça fait des années qu'il est latéral-roi de Montpellier.

00:43:37Je suis désolé, ce n'est pas un joueur de Ligue 1.

00:43:39Il y a quand même un problème

00:43:41d'effectif, de qualité de l'effectif.

00:43:43Je ne parle pas d'un problème.

00:43:45Oui, mais après, tu pourras défendre.

00:43:47Il n'y a pas de problème.

00:43:49C'est bien de fonctionner en famille.

00:43:51Les gars du coin, les copains, etc.

00:43:53Mais ça peut avoir des effets pervers.

00:43:55Et je pense que ce club doit progresser,

00:43:57doit passer un cap, doit amener des nouvelles idées.

00:43:59Donc Montpellier est un peu sclérosé pour vous.

00:44:01Il y a une autre, je ne sais pas,

00:44:03sensibilité qui s'exprime ?

00:44:05Déjà, pour Nicolas, c'est son argent.

00:44:07Quand c'est ton argent, tu ne le dépenses pas de la même manière.

00:44:09Le sien, celui de son frère aussi.

00:44:11De la famille.

00:44:13Mais ce n'est pas la même chose

00:44:15que quand tu dépenses l'argent des autres.

00:44:17Ce que font la majorité des présidents.

00:44:19Après, le recrutement, sur les dernières années,

00:44:21ils ont fait des bons coups, des mauvais coups,

00:44:23comme tous les clubs.

00:44:25Quand ils prennent Adams l'année dernière,

00:44:2720 millions, 25 millions, peut-être qu'il fallait le vendre.

00:44:29Ou pas, ils ne donnent rien depuis.

00:44:31Mais ils n'ont pas fait que des erreurs.

00:44:33Après, de travailler avec des gens que tu connais.

00:44:35Le problème dans le football, c'est qu'il y a le paraître

00:44:37et il y a la réalité.

00:44:39Quand tu prends un entraîneur avec qui tu as déjà travaillé,

00:44:41et Roland le sait, il a travaillé plusieurs fois

00:44:43avec des mêmes personnes,

00:44:45il y a une relation de confiance.

00:44:47Quand tu prends quelqu'un qui est bon,

00:44:49qu'on t'a vendu, que si, que là,

00:44:51mais à la sortie que tu découvres, 90% du temps,

00:44:53après l'entretien, après la signature,

00:44:55souvent, je plaisante avec les présidents,

00:44:57ils me disent qu'on a passé 4 heures avec l'entraîneur,

00:44:593 jours après, on a l'impression qu'on a recruté son frère ou un autre.

00:45:01Ce n'est plus le même.

00:45:03Ça change énormément.

00:45:05C'est une famille qui fait avec son argent

00:45:07et ils ne veulent pas se tromper.

00:45:09C'est plus facile de faire avec des gens que tu connais

00:45:11que le risque quand tu ne connais pas.

00:45:13Surtout à ce moment-là du championnat.

00:45:15Est-ce que c'est la fin du système ?

00:45:17Il y a quelque chose qui s'est un peu délité.

00:45:19Je pense que vous avez le même constat

00:45:21que l'homme familial.

00:45:23Il y a tellement d'argent aujourd'hui pour exister

00:45:25et que ces clubs-là n'ont pas assez de ressources.

00:45:27Nicolas, ça fait 5 ans qu'il se bat

00:45:29pour son projet de stade, de casino, etc.

00:45:31Oui, mais il a le combat aussi

00:45:33de défendre Vincent Labrune.

00:45:35Ça n'a pas été un combat qui a été moins mené pour lui.

00:45:37Toutes ses interviews, c'était ça

00:45:39depuis le début de la saison.

00:45:41Non, ce n'est pas ça.

00:45:43Sauf que s'ils n'ont pas d'argent aujourd'hui,

00:45:45ça cause aussi en partie

00:45:47de la gestion de l'LFP.

00:45:49Ils sont à moins d'un million.

00:45:51C'est un problème financier.

00:45:53C'est un club qui est exsangue aujourd'hui.

00:45:55Il l'a toujours dit.

00:45:57S'il trouve quelqu'un qui le rachète...

00:45:59Un club familial comme ça, en Ligue 1,

00:46:01est-ce qu'aujourd'hui, finalement,

00:46:03c'est un peu le dernier dinosaure ?

00:46:05C'est quasiment.

00:46:07On voit que tous les clubs sont rachetés.

00:46:09Wallace qui vend des millions à Textor.

00:46:11Ça tombe de partout.

00:46:13Aujourd'hui, il est là.

00:46:15C'est un peu Astérix Obélix.

00:46:17C'est un peu le dernier dinosaure.

00:46:19C'est un peu Astérix Obélix.

00:46:21Il est en train de se battre contre...

00:46:23L'interview dans votre magnifique journal

00:46:25de Tannenbaum de Saint-Etienne.

00:46:27Le type a 4 franchises NBA, hockey, football.

00:46:29Il est comme ça.

00:46:31Il n'a pas de problème à la fin du mois

00:46:33s'il faut mettre 200 000 euros sur un joueur.

00:46:35Quand vous êtes comme ça,

00:46:37il ne faut pas du tout se tromper sur les joueurs.

00:46:39Vous vous trompez obligatoirement.

00:46:41Un recrutement, ce n'est jamais du 100% réussi

00:46:43ou du 100% raté.

00:46:45Le problème aujourd'hui, c'est que

00:46:47il y a un entraîneur qui est à un proche

00:46:49parce qu'il ne va pas falloir dépenser beaucoup.

00:46:51Déjà, virer un entraîneur, il faut lui donner de l'argent.

00:46:53Il ne faut pas l'oublier.

00:46:55Jean-Louis Gasset, à un côté,

00:46:57il le connaît par cœur.

00:46:59Il faut mieux travailler que les autres.

00:47:01Regarde ce qu'ils font au Brest.

00:47:03Ils n'ont pas forcément plus d'argent à la base que Montpellier.

00:47:05Montpellier, à un moment donné, avant de gagner le titre,

00:47:07quand ils remontent, c'était avec Roland.

00:47:09Il y avait une idée sur plusieurs années.

00:47:11Ils ont lancé des joueurs.

00:47:13Mapuyong Mbiwa, Karim Aidfana, Benjamin Stambouli.

00:47:15C'était l'ossature aussi

00:47:17de l'équipe ensuite qui a été européenne

00:47:19puis qui a été championne de France avec René Girard.

00:47:21Et là, il y a une ligne directrice.

00:47:23Là, je comprends.

00:47:25Mais aujourd'hui, je ne comprends plus.

00:47:27Attention, question.

00:47:29Roulement de tambour, s'il vous plaît.

00:47:33Roland Courbis,

00:47:35retraité du coaching.

00:47:37Est-ce que pour aider

00:47:39Laurent Nicolin, vous seriez prêt

00:47:41à reprendre votre bâton de maréchal

00:47:43et aller à Montpellier ?

00:47:45De faire une exception ?

00:47:47Une exception.

00:47:49Compte tenu des accords

00:47:51que j'ai pu avoir avec

00:47:53Loulou Nicolin,

00:47:55à savoir, quand on s'est sauvé

00:47:57la dernière fois que j'étais à Montpellier,

00:47:59on s'est tapé dans la main.

00:48:01On a dit, on ne sait pas qui va partir.

00:48:03Il est parti avant moi.

00:48:05On ne sait pas qui va partir

00:48:07et quand on va partir.

00:48:09Mais on se met bien d'accord.

00:48:11Montpellier en deuxième division

00:48:13de notre vivant.

00:48:15Et on s'est tapé dans la main.

00:48:17Évidemment que

00:48:19je serais

00:48:21surpris, déjà.

00:48:23Puisque si

00:48:25ça les avait intéressés,

00:48:27je serais en train de gamberger

00:48:29à la suite d'un coup de fil,

00:48:31de savoir si je reviens sur la décision

00:48:33que j'ai pu prendre.

00:48:35Soyez plus clair, Roland.

00:48:37Soyez prêt à sortir de votre retraite

00:48:39direct, président.

00:48:41Oui, mais je vais vous expliquer

00:48:43pourquoi oui. Parce que

00:48:45ce n'est pas que je reviendrai

00:48:47sur ma décision.

00:48:49Ça serait exceptionnellement

00:48:51dans le sens que

00:48:53c'est comme s'il y a un ami d'enfance,

00:48:55un ami intime qui me demande

00:48:57un service.

00:48:59Je ne vais pas pouvoir dire non.

00:49:01Donc si j'avais eu un coup de fil,

00:49:03je n'aurais pas pu dire non.

00:49:05Tout simplement. Mais ça,

00:49:07il est au courant.

00:49:09Donc s'il ne m'a pas appelé, c'est qu'il y a

00:49:11quelqu'un d'autre qui est au-dessus de moi.

00:49:13Voilà, merci beaucoup.

00:49:15La Ligue des Champions, demain.

00:49:17Monaco reçoit l'étale rouge de Belgrade.

00:49:19En Ligue des Champions, donc, l'acompo

00:49:21d'Ali Uther.

00:49:23L'acompo probable de Monaco,

00:49:25demain. Majetski, toujours titulaire.

00:49:27Magnus Akliouf, titulaire aussi.

00:49:29Mbolo reprend sa place en pointe.

00:49:31Et Takumi Minamino

00:49:33serait sur le banc.

00:49:35Le ministre,

00:49:37excusez-moi, le ministre de l'Intérieur

00:49:39a regardé la Ligue 1 ce week-end.

00:49:41Et ça ne lui a pas beaucoup plu.

00:49:43Chambres au Parc des Princes, lors de PSG-Strasbourg.

00:49:45Et bagarre lors de Montpellier-Homme.

00:49:47Qu'a-t-il décidé Bruno Rotaillot ?

00:49:49On l'a appris en début d'après-midi.

00:49:51Le ministre de l'Intérieur, Bruno Rotaillot,

00:49:53va recevoir jeudi les instances

00:49:55du football français. Il veut revenir

00:49:57lors de cette réunion sur les incidents

00:49:59qui ont lieu pendant le week-end.

00:50:01Pour l'ancien secrétaire d'Etat chargé des Sports,

00:50:03Bruno Rotaillot, il existe des solutions

00:50:05pour stopper ces violences.

00:50:07Il était dans l'équipe de choc tout à l'heure.

00:50:09On ne peut pas empêcher un

00:50:11qui est des cons dans les stades.

00:50:13Et ceux-là aujourd'hui peuvent être sanctionnés

00:50:15et sont sanctionnés d'interdiction stade

00:50:17pour une certaine durée.

00:50:19Soit sanction administrative,

00:50:21voire même sanction judiciaire.

00:50:23Le garçon qui,

00:50:25lors du match Bordeaux-Girondins-Bordeaux-Rodez,

00:50:27descend dans le stade

00:50:29et attaque un joueur de Rodez,

00:50:31a été sanctionné administrativement

00:50:33et judiciairement

00:50:35d'interdiction de stade, par exemple.

00:50:37Après, ça, c'est

00:50:39les sanctions individuelles.

00:50:41Les sanctions collectives,

00:50:43là, il y a eu un débat.

00:50:45Amélie Oudakastéra,

00:50:47par exemple, avait proposé

00:50:49d'arrêter

00:50:51les matchs. Il suffit que le délégué

00:50:53de la Ligue se mette d'accord

00:50:55avec l'arbitre d'un match pour dire

00:50:57il y a tel événement, on arrête

00:50:59le match, le match peut être arrêté.

00:51:01On arrête le match,

00:51:03donc, c'est ça ?

00:51:05Oui, en tout cas, s'ils arrêtent le match, ça arrêtera le champ

00:51:07et le match pourra reprendre.

00:51:09Ça serait dramatique, mais s'il faut passer par là.

00:51:11Cet après-midi, on a appris qu'Amélie Oudakastéra,

00:51:13ancienne ministre des Sports,

00:51:15sera jugée les 3 et 4 décembre prochain

00:51:17pour diffamation

00:51:19envers l'ancien président de la Fédération,

00:51:21Noël Legrette.

00:51:23C'est le résultat d'une procédure déclenchée par une plainte

00:51:25de Legrette en avril 2023,

00:51:27selon l'ancien président de la Fédération française

00:51:29de football et son avocat,

00:51:31l'ancienne ministre des Sports aurait, je cite,

00:51:33« menti » dans la synthèse du rapport d'audit.

00:51:35Des nouvelles de Neymar ?

00:51:37Un an après sa grave blessure au genou gauche,

00:51:39Neymar a rejoué ce soir.

00:51:41Il a disputé la rencontre de la Ligue

00:51:43des champions asiatiques entre son club

00:51:45de Halilal et les Emiratis

00:51:47de Halaïn. Bon, le Brésilien est entré

00:51:49en toute fin de match à la 77e

00:51:51minute, mais il a quand même failli

00:51:53être décisif. L'ex-Parisien

00:51:55est tout proche d'alourdir le score

00:51:57à la 87e. Sa frappe passe

00:51:59juste à côté du poteau.

00:52:01Un but cocasse ce soir a été inscrit en 1re Ligue.

00:52:03De quoi s'agit-il ?

00:52:05Un beau but de Chris Wood, mais il faut

00:52:07quand même souligner la bourde

00:52:09du gardien Dean Anderson.

00:52:11Score final 1-0 pour Nottingham

00:52:13Forest, qui est pour l'instant 8e

00:52:15de 1re Ligue. C'était contre Crystal Palace.

00:52:17Après sa défaite

00:52:19en finale

00:52:21de Francfort, Hugo Imbert était déjà

00:52:23autour sur les cours. C'était aujourd'hui

00:52:25en Suisse, à Bâle précisément.

00:52:27Et cette fois, il a gagné.

00:52:29Il a dansé, mais il a aussi échappé

00:52:31belle. Regardez ces images face aux Suisses.

00:52:33Jérôme Kim, Hugo Imbert perd

00:52:35le 2e set

00:52:37au tie-break. Heureusement, le Français se reprend

00:52:39dans le 3e et gagne le match.

00:52:41On l'a vu plutôt détendu pendant la rencontre

00:52:43et le médecin peut se réjouir. Il est qualifié

00:52:45pour les 8e de finale.

00:52:47Puis un autre Français se qualifie, toujours à Bâle ?

00:52:49Toujours à Bâle. Arthur Fyss,

00:52:5120e mondial, s'est qualifié après sa victoire

00:52:53face à l'Allemand Daniel Atmaier.

00:52:55En ce moment, Arthur Fyss est en

00:52:57super forme. Après avoir remporté

00:52:59le tournoi de Tokyo au début du mois d'octobre,

00:53:01il enchaîne avec une 11e victoire

00:53:03consécutive. Bravo Fyss.

00:53:05Et on va lui finir

00:53:07le point. Voilà.

00:53:09Ça va arriver.

00:53:13Merci Léna.

00:53:15La compo de Luis Enrique à présent ?

00:53:17Il y avait Djoko. Petite info de Djoko qui est forfait.

00:53:19Allez-y, Djoko.

00:53:21Djokovic pourrait être forfait pour le

00:53:23tournoi de Bercy. Selon un site serbe,

00:53:25il préfère se reposer avant le Masters

00:53:27de Turin et ne pas se présenter à Paris

00:53:29le 26 octobre prochain. Djokovic n'a

00:53:31pas remporté de Masters Mills depuis

00:53:332017. Compo.

00:53:35Luis Enrique à présent pour le match

00:53:37contre le PSV demain en Ligue des Champions.

00:53:39Les candidats

00:53:41sont pour le poste du numéro 9.

00:53:43Les nommés sont Asensio, Colomoni,

00:53:45Kanginli et Désiré Doué. Que voulez-vous voir

00:53:47en avance entre demain en Ligue des Champions ?

00:53:49L'habillage, pas l'américaine, mais

00:53:51je crois qu'il y a un super duel. Est-ce qu'on a le jingle en régie ?

00:53:53On l'a.

00:53:55On l'a. Merci beaucoup.

00:53:57Et à la vente des GG, Guggenheim-Gali,

00:53:59vous aimeriez voir Marco Asensio.

00:54:01On va dire en faux numéro 9.

00:54:03C'est Karine généralement ?

00:54:05Karine commence bien.

00:54:07Randall Colomoni pour le duo de coach

00:54:09Lemay-Penault. Qui commence ?

00:54:11Comme tu veux.

00:54:13Allez, vas-y.

00:54:15Asensio par Karine Galli.

00:54:17A vous de jouer. On y va Karine.

00:54:19Effectivement, je ne crois pas que le PSG soit en

00:54:21grand progrès. Mais j'ai vu Asensio être déjà

00:54:23titulaire avec le PSG en faux 9.

00:54:25Et être bien

00:54:27dans cet effectif-là. Faire jouer

00:54:29les autres. Être un joueur

00:54:31qui est en capacité, avec sa technique, de jouer

00:54:33dans les petits espaces. Et être beaucoup

00:54:35plus intégré à l'équipe du PSG

00:54:37que malheureusement Colomoni.

00:54:39Qui n'est pas en odeur de sainteté

00:54:41avec Luis Henrique. Et qui a du mal

00:54:43parfois à jouer avec ses partenaires.

00:54:45Donc Asensio me semble être un meilleur

00:54:47choix pour jouer en 9 ou en faux 9

00:54:49demain face au PSG.

00:54:51Randall Colomoni par Yvan Lemay.

00:54:53Je ne suis pas un grand fan de

00:54:55Colomoni. Mais je pense qu'avec l'argent

00:54:57investi et la forme du moment en équipe de France,

00:54:59il faut l'essayer. Il faut tout simplement

00:55:01l'essayer. T'as mis 90 millions d'euros dessus,

00:55:03il faut l'essayer. Asensio,

00:55:05pas un numéro 9. Je n'aime pas les entraîneurs qui

00:55:07inventent, inventent des positions. Vous êtes tous

00:55:09Guardiola, pas Guardiola, Guardiola. Ça fait 2 ans, il a pris un numéro 9.

00:55:11Il joue avec Allende. Tu dois jouer avec un numéro 9.

00:55:13Pareil Saint-Germain aussi. Même s'il ne correspond

00:55:15pas au jeu de console,

00:55:17de jeu vidéo de Luis Henrique. Il faut

00:55:19l'essayer. Il faut l'essayer et lui donner sa chance.

00:55:21Le jeu de console de Luis Henrique.

00:55:23Marco Asensio,

00:55:25c'est Hugo Guillemet qui préfère.

00:55:27Il a tout dit en fait, Yvan.

00:55:29Tu parles de console, tout ça.

00:55:31Il n'est pas adapté, Colomoni. Malgré toutes

00:55:33les qualités qu'il a, qu'on peut voir en équipe de France,

00:55:35il n'est pas adapté au jeu de Luis Henrique. Moi j'ai envie

00:55:37de voir un joueur qui est adapté à ce jeu-là.

00:55:39Si t'es un lecteur CD et que tu essaies de mettre une cassette

00:55:41à l'intérieur, elle ne va jamais rentrer ta cassette même si elle coûte

00:55:4390 millions.

00:55:45Le problème, c'est que là, ça ne sert à rien de forcer.

00:55:47À un moment donné, je préfère voir

00:55:49Asensio qui est adapté au jeu du

00:55:51Paris Saint-Germain, qui fait que c'est

00:55:53fluide, que Colomoni qui est en perdition,

00:55:55le pauvre, vivement qu'il parte du PSG.

00:55:57Ok, sans téléchargement illégal,

00:55:59Randall Colomoni par Hervé Thauvin.

00:56:01La question n'est pas de savoir s'il est adapté ou pas.

00:56:03Moi, je m'en fous.

00:56:05Qui vous voulez voir ? Moi, je veux voir Colomoni.

00:56:07C'est un jeune joueur français qui a montré des choses

00:56:09en équipe de France. On a envie de voir en confiance

00:56:11à qui on n'a jamais donné la confiance au PSG.

00:56:13Alors si, effectivement, Hendriqué

00:56:15pense qu'il faut jouer avec des faux 9, des faux 12, des faux 11,

00:56:17nous, ce qu'on veut, c'est que je veux voir Colomoni.

00:56:19Colomoni, Dembélé

00:56:21et Barcola. Trois joueurs français.

00:56:23On voudrait les voir ensemble, associés au PSG.

00:56:25Et il y a tout pour faire des étincelles. Et comme par hasard,

00:56:27Hendriqué a aussi pas mal mis le but en transition rapide.

00:56:29Et Colomoni sera très bien là-dessus.

00:56:31Il vous reste encore 2 secondes et 9 dixièmes

00:56:33pour la paire Lemay et Hervé Penaud.

00:56:35Yvan, vous avez autre chose à ajouter ?

00:56:37Louis-Henriqué mettra peut-être un jour

00:56:39un faux gardien.

00:56:41Ça lui arrive déjà !

00:56:43Yvan Lemay, président du fan club

00:56:45de Louis-Henriqué, j'ai l'impression.

00:56:47Ils aiment bien se moquer de Louis-Henriqué, mais ils nous ont pas expliqué comment faire

00:56:49entre un carré dans un rond.

00:56:51Qui voulez-vous voir en avance entre demain en Ligue des Champions ?

00:56:53Soit Rondal-Colomoni, soit Marco Asensio.

00:56:55Président,

00:56:57je ne m'en doute pas ce qui va se passer,

00:56:59mais ce que vous aimeriez avoir ?

00:57:01Disons que ça me paraîtrait logique

00:57:03que ce soit Colomoni.

00:57:05Maintenant,

00:57:07si c'est pour deviner qui va être

00:57:09le numéro 9 demain, ça sera

00:57:11Asensio.

00:57:13On peut régler les problèmes avec

00:57:15un qui démarre et l'autre qui prend

00:57:17le relais en cours de match.

00:57:19Mais j'essaie.

00:57:21C'est une de mes habitudes.

00:57:23Je ne sais pas si elle est bonne, mais c'est la mienne.

00:57:25J'essaie de me mettre à la place des joueurs.

00:57:27Je suis Colomoni.

00:57:29Je suis sélectionné

00:57:31en équipe de France.

00:57:33J'ai même la possibilité

00:57:35d'avoir confiance

00:57:37puisqu'on me fait tirer

00:57:39les pénaltys. On a confiance en moi.

00:57:41Je rentre dans mon club, je ne suis même pas

00:57:43titulaire.

00:57:45C'est quelque chose qui est vraiment

00:57:47très rare. Donc, pour répondre

00:57:49à la question,

00:57:51je pense que ça serait plus logique

00:57:53Colomoni, mais ça sera Asensio.

00:57:57On est bien d'accord.

00:57:59On est bien d'accord.

00:58:01Le truc, c'est de dire qui devrait jouer.

00:58:03C'est comme le débat avec Deschamps.

00:58:05Deschamps va jouer comme ça.

00:58:07Le débat, ce n'est pas Deschamps qui va jouer.

00:58:09C'est comment on imaginerait les choses.

00:58:11Cette histoire de faux,

00:58:13faux numéro neuf,

00:58:15faux pied.

00:58:17Après, il faut peut-être

00:58:19penser aussi des fois, de temps en temps, à un vrai neuf.

00:58:21Et Colomoni, même s'il est moyen,

00:58:23je le mets dans la catégorie

00:58:25des vrais neufs. Ce n'est pas un faux neuf.

00:58:27Vous n'avez jamais joué avec un faux neuf,

00:58:29vous, dans votre carrière ?

00:58:31Oui.

00:58:33Titi Kamara.

00:58:35Titi Kamara.

00:58:37Réponse de Karim Ghali.

00:58:39Plusieurs fois, mais ça dépendait aussi

00:58:41des joueurs que je pouvais avoir

00:58:43à droite et à gauche.

00:58:45Puisque le mécanisme d'un faux numéro neuf,

00:58:47c'est de le faire décrocher,

00:58:49de l'avoir comme cible,

00:58:51pour qu'en décrochant, après,

00:58:53il puisse y avoir les deux extérieurs

00:58:55qui partent de l'extérieur

00:58:57vers l'intérieur.

00:58:59Et ces joueurs-là, oui, on les a.

00:59:01C'est ce qu'il fait.

00:59:03Mais ça n'empêche pas,

00:59:05parce qu'on les a et qu'il y a cette possibilité,

00:59:07que c'est obligatoirement

00:59:09la meilleure possibilité

00:59:11par rapport à la titularisation de Colomoni.

00:59:13On peut aussi, en cours de masse,

00:59:15faire les deux formules.

00:59:17Ce qui est génial avec l'histoire

00:59:19de Pep Guardiola, c'est qu'on nous a

00:59:21expliqué pendant longtemps qu'il faut des joueurs de ballon.

00:59:23Il n'y a pas besoin de neuf, il faut des types

00:59:25qui sont capables de descendre, récupérer la balle, jouer au football.

00:59:27Donc il ne faut que des dix, en quelque sorte.

00:59:29Bizarrement, il a gagné la Ligue des Champions.

00:59:31Même les entraîneurs qui pensaient ça,

00:59:33à part Henrique.

00:59:35L'Espagne, ils ont gagné la Coupe du Monde, la Coupe d'Europe

00:59:37avec Fabregas à l'enchant.

00:59:39Louis-Henrique, Colomoni le fait jouer parfois.

00:59:41Je suis désolée, il n'est pas complètement tricard.

00:59:43Je te rappelle qu'il a commencé le match contre Nice

00:59:45et contre Nice, il jouait en neuf.

00:59:47Il a été sorti au bout du mi-temps parce qu'il a été nul,

00:59:49mais il ne fait pas que du faux neuf.

00:59:53Il ne fait pas que Gonzalo Ramos qui, pour le coup,

00:59:55n'avait pas du tout la conscience de Louis-Henrique.

00:59:57Et puis ça a évolué.

00:59:59Et lui, c'est un vrai neuf et il s'est joué dans un système de faux neuf.

01:00:01Oui, et il n'utilisait pas beaucoup.

01:00:03Mais Colomoni, il le met parfois.

01:00:05Alors, on sent bien qu'il n'a pas confiance en lui

01:00:07et qu'effectivement, il ne lui laisse pas le temps

01:00:09que Deschamps lui a laissé en équipe de France.

01:00:11Mais il n'est pas non plus dans l'obsession constamment

01:00:13de jouer en faux neuf.

01:00:15Contre Nice, il a une mi-temps pour faire quelque chose, Colomoni.

01:00:17Quand tu as des miettes, il faut aussi les bonifier.

01:00:19Le mec, il revient en équipe de France,

01:00:21tu le sors à la mi-temps.

01:00:23Il le quart en permanence.

01:00:25Il y a eu aussi le faux six.

01:00:27Donc, il y a le faux neuf, le faux six.

01:00:29Et des fois, de temps en temps,

01:00:31il y a des vrais joueurs.

01:00:33Évidemment que ce n'est pas facile,

01:00:35mais quand tu as des miettes, tu les prends.

01:00:37Maïoulou, il joue samedi contre Strasbourg.

01:00:39Qu'est-ce qu'il fait ? Il explose tout.

01:00:41Et ce n'est pas pour ça qu'il sera peut-être titulaire au prochain match de Ligue 1.

01:00:43Mais il faut saisir ta chance.

01:00:45Colomoni ne les a pas toujours saisis au PSG.

01:00:47C'est un argument.

01:00:49Il en a perdu sur la longueur, c'est vrai,

01:00:51mais il a eu quand même des opportunités.

01:00:53Un attaquant, quand tu ne l'as pas laissé

01:00:55dix fois titulaire d'affilée, tu ne sais jamais dire si c'est bon.

01:00:57Oui, mais au PSG, ça n'arrive jamais.

01:00:59Tu le vois, le problème qu'il a,

01:01:01c'est un problème de toucher de balle.

01:01:03Asensio a perdu 14 ballons samedi contre Strasbourg.

01:01:05Tu ne vas pas me comparer le toucher de balle d'Asensio

01:01:07avec celui de Colomoni.

01:01:09Dans la position, il a perdu 14 ballons.

01:01:11Non, mais le problème de Colomoni,

01:01:13ce n'est pas le profil d'Henriquet.

01:01:15Colomoni, pour remplacer Mbappé,

01:01:17il n'en veut pas.

01:01:19Ça ne correspond pas à ce qu'il veut.

01:01:21Alors, Colomoni, sa vraie place, c'est quoi ?

01:01:23C'est à la place de Dembélé ?

01:01:25Un attaquant de côté qui va profiter de sa vitesse ?

01:01:27Est-ce que c'est ça son vrai poste ?

01:01:29Non, mais il peut jouer un attaquant.

01:01:31Il a montré en Allemagne qu'il était capable de jouer un attaquant.

01:01:33C'est un numéro 9 de verticalité.

01:01:35Ce n'est pas un fixeur de ballon.

01:01:37Donc, tu dois jouer d'une certaine manière.

01:01:39Et Louis-Henriquet ne joue pas comme ça.

01:01:41Ramos peut s'adapter plus au schéma.

01:01:43Vous voudriez qu'il change de manière de jouer

01:01:45juste pour Colomoni ?

01:01:47Tu peux mettre Colomoni sur un côté.

01:01:49Tu t'en mets 45 secondes comme un faux numéro 9.

01:01:51Je me souviens bien de ce papier

01:01:53qui expliquait quand même

01:01:55qu'Henriquet, devant les vidéos

01:01:57et devant ses joueurs,

01:01:59expliquait qu'on a marqué un but comme ça,

01:02:01mais qu'il ne fallait pas,

01:02:03parce qu'on allait trop vite vers l'avant.

01:02:05Donc, si vous ne voulez pas utiliser

01:02:07la vitesse des Barcolas,

01:02:09la profondeur des Barcolas,

01:02:11on va en reparler dans quelques secondes.

01:02:13Mais pour l'heure, est-ce qu'on a le résultat

01:02:15de ce super duel entre les adorateurs

01:02:17d'Asensio et les adorateurs

01:02:19de Colomoni ?

01:02:21Asensio, 58%

01:02:23contre 42%. Ok, mes amis.

01:02:25Debat et duel gagné.

01:02:27Parce que moi, j'avais demandé Skriniar.

01:02:29Ça n'a pas été retenu.

01:02:31Ancelotti contre Louis-Henriquet.

01:02:33Deux coachs et deux méthodes.

01:02:35On va à la conf' aujourd'hui de Carlo Ancelotti

01:02:37à la veille de Real Dortmund.

01:02:39Remake de la finale.

01:02:41Une question lui a été posée

01:02:43sur l'utilisation de Mbappé au Real

01:02:45par rapport à un certain documentaire

01:02:47de Louis-Henriquet

01:02:49qui obligeait Mbappé à défendre

01:02:51parfois avec le Paris Saint-Germain.

01:02:53Mais tout d'abord, la question

01:02:55et l'échange aujourd'hui

01:02:57entre un juriste espagnol et Carlo Ancelotti.

01:03:09Je demandais à Karim Benzema

01:03:11qu'il soit bien positionné et qu'il soit prêt

01:03:13quand on récupère le ballon.

01:03:15Sur la gestion de Mbappé, vous êtes plutôt Carlo

01:03:17ou plutôt Louis-Henriquet ?

01:03:19C'est un...

01:03:21Ancelotti est à peu près là, là, là

01:03:23par rapport à Henriquet.

01:03:25Il y a un débat.

01:03:27Mais en termes de corps de football

01:03:29ou de management de star ?

01:03:31En tout.

01:03:33C'est plus que ça.

01:03:35En tout.

01:03:37Tu dois t'appuyer sur les qualités de ton joueur

01:03:39et essayer de gommer les défauts

01:03:41et pas pointer.

01:03:43Si Mbappé, tu lui dis

01:03:45tu dois défendre, tu dois défendre, tu dois défendre

01:03:47et tu lui parles plus de but, à quoi ça sert ?

01:03:49Henriquet, il le sentait, il l'emmerdait pour défendre Amessi ?

01:03:51Non.

01:03:53Les entraîneurs qui ont eu Ronaldo, il les demandait de défendre ?

01:03:55Quand il y a Amessi, Ronaldo, Mbappé,

01:03:57c'est un faux débat de dire

01:03:59il doit défendre, il défend pas.

01:04:01C'est du délire.

01:04:03C'est de la démagogie pour le footballistique.

01:04:05C'est ridicule.

01:04:07Bon, ça va mieux maintenant ?

01:04:09Non mais c'est bien.

01:04:11Pour moi c'est plus profond que ça.

01:04:13On peut pas juste dire lui il est là, lui il est là.

01:04:15On a vraiment l'opposition

01:04:17là pour le coup et moi j'ai pas de préférence

01:04:19entre les deux styles d'entraîneur mais entre un dogmatique

01:04:21et un pragmatique

01:04:23et on a un

01:04:25Ancelotti qui pour le coup

01:04:27est plus malin dans sa communication

01:04:29sur Mbappé parce qu'évidemment qu'il va lui demander

01:04:31de défendre Mbappé, il va pas lui dire

01:04:33tu te tournes les pouces pendant que les autres ils défendent

01:04:35et dès qu'on a le ballon

01:04:37parce qu'il y a que Messi encore

01:04:39et Mbappé évidemment qu'il va pas lui dire ça.

01:04:41Mais Benzema, il compare avec Benzema, c'est bien.

01:04:43Benzema, à chaque fois qu'on parlait avec lui

01:04:45il disait mais moi mon rôle

01:04:47et Ancelotti me le dit, je dois être positionné

01:04:49dans certaines zones du terrain, je dois presser

01:04:51non mais sans le ballon

01:04:53je te parle sans le ballon. Le Real c'était une équipe

01:04:55excellente sans le ballon. Il dit pas Mbappé

01:04:57doit pas faire d'efforts, c'est pas ce qu'il a dit.

01:04:59Mais Benzema le travail défensif qu'il faisait, c'était titanesque.

01:05:01Ce que fait Vinicius défensivement

01:05:03avant l'arrivée de Mbappé, c'est énorme aussi.

01:05:05Rodrigo, tout le monde court dans cette équipe

01:05:07et Mbappé il va s'y mettre aussi

01:05:09par contagion et il le sait Ancelotti

01:05:11et évidemment dans le management il est largement

01:05:13meilleur que Luis Henrique parce qu'il dit pas

01:05:15vraiment ce qu'il pense, il le brosse dans

01:05:17le sens du poil alors que

01:05:19Luis Henrique, lui, il pense un truc

01:05:21dans son dogme et il le dit

01:05:23comme il le pense sauf que des fois il faut pas ça.

01:05:25Il massacre beaucoup de joueurs en faisant ça.

01:05:27Roland Kourbis par rapport

01:05:29à ces deux écoles, vous

01:05:31vous situez plutôt du côté de l'école Ancelotti ?

01:05:33A 200%.

01:05:35Complètement, dans le sens

01:05:37que déjà quand tu es entraîneur, si tu as la chance

01:05:39d'avoir un Mbappé

01:05:41c'est déjà une chance

01:05:43énorme et l'utilisation après de

01:05:45Mbappé, lui demander de

01:05:47se replacer puisque bon, on risque

01:05:49de récupérer le ballon plus rapidement que prévu

01:05:51ne soit pas en position de hors-jeu.

01:05:53Ok, essayer

01:05:55d'embêter un petit peu les deux arrières

01:05:57sans trop...

01:05:59Couper les lignes de passe ?

01:06:01D'accord, mais c'est tout.

01:06:03Et si par exemple ses coéquipiers

01:06:05ne sont pas contents, tu fais une réunion

01:06:07tu leur dis quand vous serez aussi bons

01:06:09que Mbappé, je vous promets que vous aurez

01:06:11les mêmes consignes.

01:06:13Donc là, laissez-moi tranquille

01:06:15et ne m'emmerdez pas avec Mbappé.

01:06:17Dans quelques minutes, on ira voir Roland Kourbis

01:06:19qui a une évocation

01:06:21sur finalement le dogme de Luis Henrique

01:06:23mieux vont Mbappé à 44 buts

01:06:25ou 4 joueurs à 10 buts ?

01:06:27Il a des choses à nous apprendre tout de suite mes amis.

01:06:39Dernière ligne droite de l'équipe du soir

01:06:41Léna Mounier

01:06:43vous allez nous présenter ce qui se trame du côté

01:06:45de l'équipe.

01:06:47Léna Mounier, oui. Non, j'ai dit Mounier.

01:06:49Je suis désolé. C'est rien.

01:06:51La ligne de l'équipe, pardonnez-moi.

01:06:53La ligne de l'équipe parle de la reprise

01:06:55de la NBA et plus précisément

01:06:57de Victor Wembanyama.

01:06:59Le médaillé d'argent avec les bleus attaque sa

01:07:01deuxième saison de NBA avec pour objectif

01:07:03les playoffs. Et pour voir Wemby jouer,

01:07:05rendez-vous dans la nuit de jeudi à vendredi.

01:07:07On s'est quittés

01:07:09avec un ébarrant de chez l'OT.

01:07:11Luis Henrique, un dogmatique

01:07:13contre un pragmatique.

01:07:15Et la question de Roland Kourbis

01:07:17qui aimerait vous poser une question

01:07:19et une question qu'on pourrait poser à Luis Henrique.

01:07:21Exactement.

01:07:23Quand je vois et que j'écoute

01:07:25Luis Henrique, je m'aperçois

01:07:27de compétences hors normes.

01:07:29En ce qui concerne

01:07:31ce garçon, c'est un

01:07:33gars qui n'en a pas deux

01:07:35comme lui.

01:07:37Là aussi, je le trouve très fort

01:07:39en mathématiques. Il a été capable

01:07:41de nous dire qu'un

01:07:43joueur qui marque 40 buts,

01:07:45il est remplacé par 4

01:07:47joueurs qui marquent 10 buts.

01:07:49Le seul truc qui peut manquer

01:07:51si vous pouvez lui poser

01:07:53comme question, c'est de lui dire

01:07:55mais ce joueur

01:07:57qui marque 40 buts,

01:07:59en ce qui concerne

01:08:01les résultats des matchs,

01:08:03ça sera le même avec 4 joueurs

01:08:05qui marquent 10 buts parce que

01:08:07ce joueur qui marque 40 buts,

01:08:09il y a peut-être 3 adversaires

01:08:11qui s'occupent de lui.

01:08:13Et si ces 3 adversaires

01:08:15s'occupent de lui,

01:08:17les coéquipiers de ce joueur

01:08:19à 40 buts doivent pouvoir en profiter.

01:08:21Alors que les coéquipiers

01:08:23des 4 qui marquent 10 buts,

01:08:25ce qui est tout à fait banal,

01:08:27je ne vois pas en quoi

01:08:29ça peut être impressionnant.

01:08:31Si vous avez la possibilité,

01:08:33peut-être qu'il y aura une réponse

01:08:35qui me surprendra parce qu'il me surprend 24h sur 24.

01:08:37À ce moment-là,

01:08:39je serai encore une fois

01:08:41de plus surpris et agréablement

01:08:43surpris bien évidemment.

01:08:45Cette question,

01:08:47cher président de l'équipe du soir,

01:08:49Giovanni Castagni,

01:08:51demain, après le match PSG-PSV,

01:08:53sera sommé de la posée.

01:08:55Peut-être un petit peu plus courte, non ?

01:08:57Il faut peut-être attendre

01:08:59le résultat du match aussi.

01:09:01Pour le contexte.

01:09:03S'ils sont battus,

01:09:05il faut giler par balle.

01:09:07N'Ganou en 3 minutes chrono.

01:09:09Samedi, Francis N'Ganou faisait son retour

01:09:11en MMA.

01:09:13C'était par KO en 3 minutes

01:09:15face au géant brésilien 2m03,

01:09:17Renan Ferrer.

01:09:19Présenté comme un match de titans,

01:09:21le Brésilien était champion en titre.

01:09:23Il n'y a pas eu vraiment de suspense.

01:09:25N'Ganou Ferrer, un choc qui est devenu

01:09:27un peu un choc en toc.

01:09:29Le coup de gueule d'Hervé Pelot,

01:09:31vous étiez déçu.

01:09:33Allez-y, il faut que ça sorte aussi.

01:09:35Tout à l'heure, Yvan Lemay.

01:09:37Je n'étais pas déçu par la performance de N'Ganou.

01:09:39Il a fait le boulot parfaitement.

01:09:41En termes de boxeur,

01:09:43il a été parfait.

01:09:45Il n'y a absolument rien à dire.

01:09:47En revanche, en face,

01:09:49ce n'était pas grand-chose.

01:09:51Ce qu'il y a de très fort en MMA,

01:09:53c'est qu'ils arrivent à vous vendre des combats

01:09:55avec des types monstrueux physiquement.

01:09:57Il n'y a absolument rien à dire.

01:09:59Il n'avait quasiment rien à opposer.

01:10:01Il avait battu plein de mecs par KO

01:10:03au premier round du match précédent.

01:10:05Vous pouvez regarder les combats précédents.

01:10:07Ce n'était pas du très haut niveau non plus.

01:10:09L'UFL, c'est quand même de la Ligue 1

01:10:11par rapport à la Ligue des champions.

01:10:13Ça n'a rien à voir avec l'UFC.

01:10:15Tu veux dire que c'est un peu le catch,

01:10:17mais avec des coups de temps et de temps.

01:10:19Je n'irai pas jusque-là.

01:10:21Je respecte tout ce que font ces combattants-là.

01:10:23Je plaisante.

01:10:25C'est vrai que ce match-là...

01:10:27La manière dont il l'a écrasé,

01:10:29il n'y avait personne en face.

01:10:31On me dit qu'il était ceinture noire de Jiu-Jitsu.

01:10:33Il ne sait même pas se battre sur le dos.

01:10:35Au sol, il est en difficulté.

01:10:37Je m'attendais quand vous parlez

01:10:39de deux monstres qui vont se rencontrer

01:10:41et qu'il y ait une vraie opposition.

01:10:43Il n'y avait pas de vraie opposition.

01:10:45Aujourd'hui, ce qu'on attend du côté de Gannou,

01:10:47malheureusement, ça n'aura peut-être jamais lieu

01:10:49parce que c'est d'affronter John Jones

01:10:51qui lui est un grand champion.

01:10:53Le problème de ce genre de sport,

01:10:55c'est qu'on en fait un big show.

01:10:57Ce qu'il faut, c'est des personnages.

01:10:59Vous créez des personnages comme au catch.

01:11:01Vous faites des highlights absolument incroyables

01:11:03parce que l'autre, Reynan Ferreira,

01:11:05quand vous le voyez,

01:11:07vous montez 3 ou 4 secondes

01:11:09d'un extrait de combat.

01:11:11Vous vous demandez ce que c'est

01:11:13ce monstre absolu.

01:11:15Après, vous créez de l'événement

01:11:17et ça fait une soirée chaude.

01:11:19Tout le monde adore.

01:11:21Cela fait deux ou trois fois

01:11:23que je me fais avoir.

01:11:25J'allume ma télé pour voir le match

01:11:27de De Saint-Denis.

01:11:29Je vois qu'il a une tête comme ça

01:11:31comme si tu étais allé dans une ruche

01:11:33C'est marrant et amusant.

01:11:35Il a été vaincu par un éclat de bois

01:11:37sur son chemin.

01:11:39Est-ce qu'ils ont l'air

01:11:41de monter des choses,

01:11:43monter des grandes mécaniques

01:11:45pour finalement pas grand-chose ?

01:11:47Pour pas grand-chose, ça dépend des organisations.

01:11:49L'UFC, c'est un peu différent.

01:11:51Il y a le même type de combat aussi.

01:11:53Ce qu'on veut, c'est du show.

01:11:55Avec Noumé, vous avez le parfait showman,

01:11:57le type incroyable.

01:11:59C'est un super combattant.

01:12:01C'est quelqu'un qui vient du pied-poing.

01:12:03C'est énorme.

01:12:05Ces combats, il n'y a pas eu grand-chose.

01:12:07On parlait contre Baky.

01:12:09Il ne s'est rien passé.

01:12:11Il est en PFL.

01:12:13Avant, Zerbo, il l'avait battu

01:12:15sur un coup de poing.

01:12:17Il est monstrueux.

01:12:19En face, il n'y avait pas grand-chose.

01:12:21Je parle de très haut niveau.

01:12:23C'est beaucoup de show.

01:12:25Maintenant, ça reste un sport incroyable

01:12:27où les combattants font des trucs.

01:12:29Il faut quand même pouvoir monter

01:12:31dans un octogone.

01:12:33Mais je trouve qu'à côté de ça,

01:12:35le côté showman de temps en temps

01:12:37l'emporte sur le côté sportif.

01:12:39C'est l'heure du Clément.

01:12:41On va jouer.

01:12:43En hommage aux frères Lebrun,

01:12:45le thème est le suivant.

01:12:47Des frérots dans le sport.

01:12:49Des frérots.

01:12:51Medhi Benassia.

01:12:53Des frérots dans le sport.

01:12:55On va trouver des frères dans le sport.

01:12:57Premier indice.

01:12:59Les frérots dans le sport.

01:13:01Le cadet de l'infanterie

01:13:03a joué en France.

01:13:05Boateng, ce n'est pas lui.

01:13:09Le deuxième indice.

01:13:11Pour 3 points.

01:13:13L'aîné est d'une légende

01:13:15du Brésil.

01:13:17Ronaldinho.

01:13:19Ce n'est pas ça.

01:13:21Rafinha.

01:13:23Non plus.

01:13:25Ray.

01:13:27Socrates.

01:13:31Le point est accordé

01:13:33au président.

01:13:39Le point s'est affiché

01:13:41Ray et Socrates.

01:13:43Il faut dire les deux

01:13:45à chaque fois ?

01:13:47Ray et Socrates,

01:13:49ils n'ont pas le même nom.

01:13:51C'est le président.

01:13:53Je donne le point à Roland.

01:13:57Mettez 3 points à Roland.

01:13:593 points à chacun.

01:14:03Les frérots dans le sport.

01:14:07On nous associe au handball.

01:14:09Karabatic.

01:14:11Non, ce n'est pas ça.

01:14:13Gilles.

01:14:15Les frères Gilles.

01:14:174 points pour Hugo Guimet.

01:14:19Les frérots dans le sport.

01:14:21Acte 3.

01:14:23Nous avons triomphé

01:14:25uniquement l'hiver.

01:14:29Fourcade.

01:14:314 points supplémentaires

01:14:33pour Hugo Guimet.

01:14:39Les frérots dans le sport.

01:14:41Nous n'avons pas marqué ce week-end.

01:14:45Pour 3 points.

01:14:47Thuram.

01:14:493 points pour Karim Ghali.

01:14:53J'aime bien le jeu.

01:14:55J'élimine.

01:14:57On n'a pas fait un point sur les jokers.

01:14:59Il n'y a pas d'autre joker ?

01:15:03Stop.

01:15:05C'est vraiment le Marseille.

01:15:07C'est Hugo qui a les jokers.

01:15:09Vous ne jouez pas.

01:15:11Nous sommes licenciés

01:15:13à Clermont.

01:15:17Mais pas dans un club de rugby.

01:15:19Pour 3 points.

01:15:21Faites gaffe.

01:15:23C'est à Clermont.

01:15:25Mais ce n'est pas un club de rugby.

01:15:27Pour 2 points.

01:15:29L'aîné a été champion olympique.

01:15:33La Villenie.

01:15:35Les frères La Villenie.

01:15:39Valentin.

01:15:43Vous êtes réactivés.

01:15:45Nous avons 8 ans d'écart.

01:15:47Les frérots dans le sport.

01:15:51Nous avons tous les deux

01:15:53changé de club l'été dernier.

01:15:55Les frères Ayot.

01:15:57Au revoir.

01:15:59L'un est resté en France.

01:16:01L'autre a rejoint l'Espagne.

01:16:05Dernier indice.

01:16:07Lille 1.

01:16:09Réal 0.

01:16:11Lille 2.

01:16:13Lille 3.

01:16:15Lille 4.

01:16:17Lille 5.

01:16:19Lille 6.

01:16:21Lille 7.

01:16:23Lille 8.

01:16:25Lille 9.

01:16:27Lille 10.

01:16:29Lille 11.

01:16:31Lille 12.

01:16:33Lille 13.

01:16:35Lille 14.

01:16:37Lille 15.

01:16:39Lebron James.

01:16:41Avec son fils.

01:16:45Lebron James est éliminé.

01:16:47Je revis.

01:16:49Vous êtes réactivés.

01:16:51Nous avons tout gagné

01:16:53avec le maillot bleu.

01:16:55Carabatic.

01:16:572 points.

01:17:03Le dernier pour la route.

01:17:05Je donne 8 points.

01:17:078 points.

01:17:09Il s'est emmené à Marseille.

01:17:11Ayou.

01:17:13Non.

01:17:15Les Frères Armandes.

01:17:178 points.

01:17:19Elle a gagné.

01:17:21Elle est très heureuse.

01:17:25Ralph et Michael.

01:17:27Les Frères Ayou.

01:17:31Merci les amis.

01:17:33Victoire de Karim.

01:17:35Le champion.

01:17:37PSG.

01:17:39Monaco.

01:17:41Il faut un entraîneur.

01:17:47On vous embrasse.

01:17:49A demain.

01:17:51Ciao.

01:18:05Abonnez-vous.

L'Équipe du Soir du 21 octobre - L'Équipe du Soir - replay

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