L'Équipe du Soir du 12 octobre - L'Équipe du Soir - replay

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Retrouvez le replay de l'Équipe du Soir du 12/10/2024.

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Sport
Transcription
00:00Musique
00:14C'est l'équipe du soir, bonsoir, ravis de vous retrouver, une belle soirée de sport.
00:18On va parler de tous les sports, de tous les champions.
00:20Certains un peu moins sur le côté positif avec Kylian Mbappé et Saviré à Stockholm.
00:24On va parler du retour du héros français, le sportif préféré des français sans doute,
00:28Antoine Dupont qui a fait ses retrouvailles à Toulouse, un triplé en 9 minutes, plutôt pas mal.
00:34Et Pogacar qui a conclu sa saison de manière exceptionnelle autour de Lombardie, saison fantastique de Pogacar.
00:39Pour m'accompagner puisqu'on va parler de rugby et de sport, il connaît tout, il sait tout,
00:43c'est Érico Blanco de La Plata. Éric Blanc ce soir en noir mon Rico.
00:48Qu'est-ce qui ne va pas ?
00:49Je suis allé travailler avant.
00:51Rires
00:53Et vous n'avez pas travaillé.
00:56Les obligations parfois le samedi soir.
00:58Un peu de footballeur pour vous accompagner quand même ce soir Éric.
01:01Éric Rabet-Sandratana, le mot qu'on triple au Scrum, je sais que vous aimez ce surnom, je le prononce.
01:06Ça va mon Rabet ?
01:07Très bien.
01:08Qu'est-ce que vous en pensez de Kylian ?
01:10Vous sortiez-vous un peu à Stockholm ?
01:12À Stockholm non mais...
01:13Rires
01:14Mais ailleurs peut-être.
01:15Ailleurs, je ne vais pas mentir.
01:17À côté de vous mon Rabet, quelqu'un qui adore aussi son surnom, c'est le boy's band de l'équipe ce soir.
01:22Mathieu Dossevy.
01:23Ça va Mathieu ?
01:24Ça va Mathieu, ça va.
01:25J'ai vu un extrait, vous étiez véhément contre notre sélectionneur.
01:28Vous n'étiez pas content du système ?
01:30Bah ouais, un peu comme tout le monde.
01:31On aspira mieux, on a envie de vivrer un peu plus, d'avoir des émotions.
01:34J'ai hâte de vous entendre sur le kick.
01:36Je sens que vous allez être...
01:37Lui ne sortait pas par contre.
01:38Non, il ne sortait jamais.
01:39Heureusement qu'il ne sortait jamais.
01:40Quelqu'un qui ne sort jamais non plus en face de vous, c'est Hugo Bonneval.
01:42Rires
01:43Qui jingle Miami puisqu'il réside à Miami de temps en temps.
01:46Ça va mon Hugo ?
01:47Ça va très bien et toi ?
01:48En bonne forme ?
01:49Très bien, tout va bien.
01:50C'est le retour du génie Antoine ?
01:52Oui, voilà.
01:53Triplé en 9 minutes.
01:54C'est pas mal.
01:55On peut en faire des choses en 9 minutes.
01:57C'est facile.
01:58Exactement.
01:59Pour conclure ce merveilleux casting, c'est le bûcheron de l'équipe du soir.
02:01Pierre Mathieu Ralin.
02:02Et bonsoir Diop.
02:03Ça va Pierre ?
02:04Ça va pas mal, ouais.
02:05Petit but de CR7 quand même.
02:06Oui.
02:07Il y a eu du foot.
02:08Il en a mis 2-3.
02:09Je te reprends, on dit kicks et pas le kicks.
02:10J'ai dit le kicks ?
02:11Oui.
02:12C'est pas bien, j'ai fait une erreur.
02:13Aux informations, ce soir c'est Maxime Lickthewout.
02:16Maxime, on va voir dans quelques instants avec toi les images d'Antoine Dupont.
02:20Magnifique.
02:21Mais avant, un petit tour sur l'équipe Connect.
02:22Vous le voyez, c'est le QR code.
02:24Vous scannez ça, c'est pour réagir à tout instant sur l'émission, nous poser des questions
02:28aux chroniqueurs, à Maxime si vous voulez, même la régie.
02:31Tout le monde va répondre.
02:32C'est important de se connecter.
02:34Alors, c'était le retour du grand Antoine.
02:36Les images avec vous.
02:37Oui.
02:38106 jours qu'il n'avait plus joué avec Toulouse et il a vite, très vite retrouvé ses marques.
02:42Il est entré assez vite en seconde période.
02:44Il lui a fallu 3 minutes et 20 secondes pour signer son retour avec un essai.
02:48Le troisième essai de Toulousain.
02:50Le quatrième n'a pas tardé deux schistéras consécutives pour décaler Capozzo sur l'aile.
02:54Et qui est bien placé à l'intérieur pour aplatir ?
02:57Antoine Dupont, évidemment.
02:58Et vous connaissez l'expression.
03:00Jamais deux sans trois.
03:01Dupont encore après une percée.
03:02Magnifique coup de pied de Capozzo.
03:04Triplé en 9 minutes et une seconde pour être précis.
03:07Victoire 48 à 14.
03:09On rappelle que Toulouse restait sur deux défaites consécutives.
03:12Peut-être l'effet Dupont.
03:13Il menait quand même 20-0 à la mi-temps.
03:15Absolument.
03:16Toulouse.
03:17Eric, c'est exceptionnel quand même.
03:19Là, c'est du storytelling.
03:20C'est-à-dire qu'il revient.
03:21C'est le retour.
03:22Il a gagné la médaille aux JO.
03:23Il n'est pas là.
03:24Il part aux Etats-Unis.
03:25Il revient triplé en 9 minutes.
03:27C'est un mélange de Mike Tyson, d'Harry Potter.
03:30C'est Houdini.
03:31Tyson, t'as bu des cuisses.
03:33Houdini, il trouve toujours des solutions.
03:35Harry Potter, c'est tour de magie.
03:37Après, toute la France adore.
03:39C'est clair, on attendait.
03:40Je ne dis pas qu'on en fait trop.
03:42Toulouse, ce soir, a pratiqué son meilleur rugby.
03:46Moi, je l'ai trouvé que l'ASM, je ne sais plus ce que c'était.
03:48Mais ils se sont battus.
03:49Mais bon, c'était impossible.
03:51Capuzzo, pas mal ce soir.
03:53Oui, oui.
03:54Il y a beaucoup de joueurs toulousains qui ont été bons ce soir.
03:57On ne va pas les citer.
03:58Voilà.
03:59Ils ont en plus fait tourner.
04:00De Libye, ils ne jouent pas tout le temps.
04:01Kost, il est revenu au centre.
04:03Capuzzo, oui.
04:04Non, mais devant, c'est Rockefeller.
04:06C'est une machine à gagner des ballons.
04:07Ils te mettent à la faute.
04:08Derrière, ils ont envie de jouer.
04:10Ramos, il a été aussi très fort.
04:11Très bon.
04:12Juste sur les côtés mauvaises nouvelles, Maxime, on va parler de Romain Ntamac qui
04:16est sorti blessé.
04:17Est-ce que vous avez un peu des informations sur sa blessure ?
04:19Oui.
04:20Alors, on a eu très peur pour lui.
04:21Romain Ntamac est sorti à peu près à la 39e minute, blessé juste avant la pause.
04:25On a eu peur parce qu'il s'est blessé au genou.
04:27On s'en rappelle, ça l'a privé de la dernière coupe du monde de rugby.
04:30A priori, c'est un petit peu plus rassurant, entre guillemets.
04:33Il pourrait s'agir d'une déchirure au mollet.
04:35Bon, on lui souhaite le meilleur.
04:36On espère que ça va aller.
04:37Hugo, un mot sur Antoine Dupont.
04:40Eric le disait, on en fait beaucoup.
04:42Mais on n'en fait pas beaucoup, en fait.
04:44C'est les gens qui demandent.
04:45Il y a un vrai phénomène Antoine Dupont.
04:47Et ce soir, entre guillemets, ça va dans ce sens-là.
04:50C'est assez hallucinant dans le monde du rugby à ce point.
04:52Oui, mais comme vous dites, les gens demandent, mais ils répondent présent.
04:55C'est-à-dire qu'ils donnent à chaque fois.
04:57Et on en a pour notre argent.
04:59C'est fantastique.
05:00Comme vous l'avez dit, il sort des JO, il part aux États-Unis.
05:04Les Brown James, les Chargers de Los Angeles au foot américain.
05:06Lionel Messi, aussi grand copain d'Eric Blanc à Miami.
05:10Et il revient, dix minutes, un triplé.
05:13Et la machine toulousaine se remet en route.
05:15Et il est toujours dans les bons coups.
05:17Il fait toujours les efforts aussi.
05:19Parce que ce ne sont pas des essais qui sont des exploits individuels.
05:22Mais il fait les courses qu'il faut.
05:23Il est au soutien de tous ses partenaires.
05:25Et puis après, comme les grands joueurs, et je pense qu'Eric le connaît mieux que moi,
05:28comme Serge Blanco à l'époque.
05:29C'est-à-dire que sur le dernier essai, il a le bon rebond.
05:31C'est-à-dire que la balle, elle rebondit, elle remonte.
05:33Ça va toujours dans leur souffle.
05:34Elle remonte dans ses mains.
05:35C'est-à-dire qu'il n'a pas besoin d'accélérer.
05:36Il n'a pas besoin de se poser de questions.
05:38Il est lancé.
05:39Il fait l'effort.
05:40Mais la balle, elle remonte pile dans ses mains.
05:42Avec un ballon ovale, tu n'es jamais à l'abri qu'elle remonte dans les mains du voisin.
05:45C'est pour ça que j'ai raté ma carrière.
05:51Des ballons ou des chaussures.
05:52Si je l'avais dit pour l'argent, j'aurais dit pour le plaisir.
05:56Hugo, il n'est pas comme ça.
05:57Ça ne l'intéresse pas, l'argent.
06:00Eric, le phénomène Dupont.
06:03On est un peu plus du monde du foot, des phénomènes.
06:06Le côté surmédiatisation, on a un peu plus l'habitude.
06:09À ce point, Antoine Dupont, c'est hallucinant.
06:12Le storytelling de son retour, c'est incroyable.
06:16Je trouve que ce n'est pas trop parce qu'il a tout.
06:19Il a le comportement.
06:20Il gagne.
06:21Il fait jouer les autres.
06:24Il ne va pas en Suède.
06:25Il ne va pas en Suède.
06:26Il ne va surtout pas en Suède.
06:30Il y a un personnage.
06:31Derrière ce personnage, il a le comportement idéal pour faire gagner son équipe,
06:36pour être performant.
06:38Tout va ensemble.
06:40Je ne trouve pas qu'il y a de trop.
06:41Je trouve qu'il mérite tout ce qui lui arrive.
06:43Je n'ai pas l'impression que ça le change beaucoup sur le comportement.
06:46Je ne crois pas.
06:47Les messieurs, vous le savez plus que moi.
06:48Je ne crois pas que ça le change énormément.
06:50Ça ne change rien du tout.
06:51Ses joueurs, ses copains le disent.
06:53Lui, il vient du Gers, de la rugby des cathédrales, une éducation.
07:00Il ne prendra jamais le boulard.
07:02Il y a très peu de joueurs de rugby qui ont réussi par rapport au foot.
07:06Ils sont partis en vrille.
07:07Franchement, il y en a très peu.
07:09Il y a plusieurs choses.
07:10Par exemple, le Galois, c'était un métro sexuel.
07:13On disait ça.
07:15Il aimait les boîtes de nuit sortir.
07:17Quand il était à Toulon, il est parti en vrille.
07:19Mais les Français, franchement, je n'en connais pas un.
07:23Quand je dis la une des journaux, on a eu des petits soucis.
07:26Mais pour autre chose.
07:27Mais qu'ils prennent le boulard.
07:31Il y a plusieurs choses.
07:32Il y a aussi déjà le salaire.
07:35L'argent n'est pas le même.
07:36Donc, tu gardes aussi plus facilement la tête sur les épaules.
07:40Oui, mais comparé au foot, on est à des années-lumière quand même.
07:46C'est quand même LVMH du rugby au niveau du salaire.
07:49Je suis d'accord.
07:50C'est celui qui gagne le plus.
07:51Lui, je suis d'accord.
07:52Mais comparé à n'importe quel joueur du PSG qui est inconnu,
07:55il gagne plus que Toto.
07:56Je suis d'accord.
07:57Il n'y a pas de joueur du PSG inconnu.
08:00On a essayé de le chercher.
08:02Pour aller dans le sens du goût,
08:03Juendra Axler qui n'a pas fait une carrière mémorable au PSG,
08:06il prenait 700 000 euros par mois.
08:07L'international a manqué.
08:08Deuxième chose.
08:09Le rugby étant un sport de combat et de contact.
08:13Sur le terrain, il a plusieurs opportunités aussi que les autres le pistent.
08:17Ils veulent l'agresser, lui faire du mal.
08:19Dans les règles.
08:21Il faut avoir un peu de retenue et un peu de recul.
08:25Tu sais qu'après sur le terrain…
08:26Tu peux le payer.
08:27Tu n'es pas à l'abri.
08:30Je ne suis pas un expert dans le rugby.
08:32Je ne pensais pas que ça allait engendrer un peu plus d'agressivité des adversaires.
08:38Pas plus.
08:39Mais quand tu joues Antoine Dupont, la troisième ligne en face,
08:42il faut essayer de le…
08:43C'est comme dans tous les sports.
08:44Au basket, tu veux plus serrer.
08:46Sauf qu'au basket ou au foot, tu ne lui feras pas mal.
08:49Exactement.
08:50Aujourd'hui, tu peux lui faire vraiment du mal.
08:52Juste Maxime.
08:53On ne va pas l'entendre parce qu'on n'a pas encore les droits du top 14.
08:56Il manque un peu de sous.
08:57Mais on va lire une déclaration d'Antoine Dupont qui a réagi.
09:00Antoine Dupont qui a déclaré au diffuseur.
09:02J'ai bien profité des vacances.
09:04J'ai eu une bonne période pour me reposer.
09:06Je suis très content d'être de retour.
09:08J'ai l'impression d'être parti hier.
09:10Les trois essais, c'est anecdotique.
09:13C'est important ce qu'il dit quand même.
09:15J'ai bien profité des vacances.
09:16Ça veut dire qu'il y a quand même eu une considération sur le côté que je te fais récupérer bien
09:21pour pouvoir te mettre dans les meilleures conditions pour le retour.
09:23La fraîcheur mentale, c'est important.
09:25On en rigole.
09:26On parle beaucoup d'Mbappé.
09:27On va en parler dans quelques instants.
09:28Mais c'est un débat qui est intéressant.
09:30On poursuit les déclarations avec vous, Maxime.
09:32Avec son coéquipier et ami, Anthony Gelon.
09:34En 10 minutes, il met un triplé.
09:36Il n'y a que lui qui sait le faire.
09:38Le public était à fond derrière lui depuis qu'il est revenu.
09:42Il est en pleine forme.
09:43Pierre, sur le côté superstar d'Antoine Dupont.
09:47Il a tout pendant plusieurs années pour être le sportif préféré des Français.
09:51Il était troisième il y a encore quelques temps.
09:53Derrière Teddy Riner et Kylian Mbappé, si je ne dis pas de bêtises.
09:57Je pense que Kylian va un petit peu baisser.
09:59Mais il a tout pour être le chouchou des Français.
10:01Oui, il a tout.
10:02On l'a dit, tout va dans le bon sens en ce moment.
10:05Toutes les planètes s'alignent devant lui quasiment.
10:07Dès qu'il fait un choix, c'est le bon.
10:09J'imagine qu'il y a peut-être un peu de doute avec tout ce qu'il a fait cet été.
10:12Son voyage aux Etats-Unis, etc.
10:14Et en fait, il a effacé tout ça ce soir avec trois essais.
10:16Tout se passe bien.
10:17Et puis, il a aussi un truc.
10:19Je pense qu'on pourra faire un parallèle avec Mbappé après.
10:22C'est que médiatiquement, il est très malin.
10:24Il fait des bonnes émissions au bon moment.
10:26Il fait des bons passages.
10:27Il fait des choses qui marquent un peu les esprits très positivement.
10:30Et sa communication est plutôt pas mal.
10:32Donc, ça aide à emmener le public avec toi.
10:34Peut-être même sur des sports que les gens ne suivent pas en général.
10:37On parlait avec le Top 14, un point suivi avec le foot, etc.
10:39Peut-être qu'un choix comme Dupont pour amener les gens un peu au rugby, etc.
10:43J'ai toujours l'impression, médiatiquement parlant,
10:47qu'on choisit aussi de ne pas vouloir égratigner certaines personnes.
10:50On n'a jamais entendu parler de Dupont sur les crises, sur les choses,
10:56des questions qu'on pose souvent à Mbappé, à des personnes.
11:00Et je trouve qu'on n'a jamais entendu Teddy Riner s'exprimer sur les crises qu'il y a eu en ce moment,
11:08sur les élections, etc.
11:10C'est souvent orienté sur certaines personnes.
11:12C'est la seule question que je pose.
11:14Sur les bons candidats.
11:16Si tu veux quelque chose d'homogène, ils ont aussi cette audience pour pouvoir parler, etc.
11:26Et je trouve aussi qu'on ne le fait pas forcément sur les footballeurs.
11:31Pour le coup, je prends un peu le parti journalistique,
11:34mais ne t'inquiète pas que s'il y avait des choses à dire sur Dupont,
11:37les journalistes sauteraient dessus.
11:39Les questions qui vont forcément engendrer des choses, on ne les pose pas.
11:47Je n'ai jamais vu, en tout cas il y a eu la vidéo,
11:51je n'ai pas entendu des journalistes poser des questions sur l'actualité.
11:55Sur le législatif, on peut aller beaucoup plus loin.
11:59Sur les dernières présidentielles, je sais qu'il avait dit qu'il prenait le parti d'Emmanuel Macron
12:05et non de l'extrême droite de Marine Le Pen.
12:08Ça remonte un peu, c'est 2022.
12:10Mais il avait, en tant que capitaine de l'équipe de France à ce moment-là,
12:13vainqueur du tournoi Destination.
12:15Il avait été relativement clair avec ça.
12:17Après, il y a aussi, je pense, les footballeurs, qu'on le veuille ou non,
12:21ils ont un impact, ils ont un poids dans les médias qui est supérieur.
12:23Toto, ça fait un an et demi.
12:25Là, il a une année 2024 qui est stratosphérique.
12:28Champion de France, champion d'Europe, champion olympique.
12:30J'espère pour lui qu'il sera meilleur joueur du monde à la fin de l'année.
12:32On verra avec la tournée novembre.
12:34Mais il y a encore trois ans.
12:36En 2022, tu es à la finale de la Coupe du monde de foot avec Mbappé
12:41qui en met trois ou quatre.
12:43Tu fais aussi en fonction de ce que...
12:45Non, mais c'est mieux.
12:47Non, mais il en met quatre.
12:49Il met trois pénaltys et le pénalty sur la séance de pénalty,
12:52ça fait quatre buts quand même.
12:54Il faut franchir la balle quatre fois.
12:56Mais tu vois, il y a aussi, je pense, ce que l'actualité globale te fait.
13:00L'actualité globale d'Antoine Dupont aura moins, je trouve, d'impact.
13:03Alors qu'il va peut-être dire...
13:05Je ne sais pas si ça aura moins d'impact.
13:07Il s'est exprimé.
13:09Il a eu des choses sur l'homophobie, etc.
13:11Parfois, il prend une proposition.
13:13Ce qui est peut-être vrai, c'est qu'on l'entend moins parce que,
13:15comme tu le dis, ils sont malgré tout moins exposés qu'Mbappé, etc.
13:17C'est sûr que quand Kyan Mbappé est en conférence de presse
13:20avant les matchs de l'équipe de France,
13:22c'est très événementiel.
13:24C'est un peu moins le cas avec Antoine Dupont.
13:26Eric, tu veux prendre la parole ?
13:29C'est incroyable.
13:31C'est fou.
13:33En plus, il a été décisif.
13:35Il fait gagner la finale, quelque part.
13:37Parce qu'il ne rentre peut-être pas.
13:39C'était incroyable.
13:41Mais là, il a passé un cap.
13:43Donc, il a fait encore un bon choix d'arrêter le 15
13:45avec son club,
13:47la Fedé,
13:49et essayer de s'intégrer.
13:51Il a été humble.
13:53Il est rentré progressivement dans cette équipe.
13:55Parfois, il n'était même pas titulaire.
13:58Pour faire des différences et terminer le match.
14:00Par rapport à ça,
14:02sur l'état d'esprit d'Antoine Dupont...
14:04Est-ce que Mbappé pourrait être remplaçant ?
14:06Est-ce que tu aurais dit Mbappé ?
14:08C'est sûr que non.
14:10Mais justement, remplaçant.
14:12Parce que c'est Dupont, capitaine de l'équipe de France.
14:14Et il a alterné avec Aldrite ou Olivon.
14:16Mais il est rentré
14:18et il a fait le bon au début.
14:20Il a même démarré titulaire
14:22et il est repassé remplaçant
14:24en cours du tournoi.
14:26Il y a cette humilité aussi
14:28qui est très propre aux joueurs de rugby.
14:30Dans le comportement.
14:32D'autant plus sur Dupont.
14:34Il sait quand il doit se reposer.
14:36Quand il doit intervenir.
14:38Il sait que quand il va rentrer,
14:40il a le comportement pour faire la différence.
14:42Et il fait la différence.
14:44Tout ça s'aligne aussi
14:46par rapport à lui.
14:48Et il n'y a pas de hasard.
14:50Je pense que ce n'est pas du hasard.
14:52On est toujours dans l'opposition au foot rugby.
14:54Les calendriers, c'est un peu différent.
14:56Les pressions ne sont pas les mêmes.
14:58Les enjeux financiers ne sont pas les mêmes.
15:00Les choix ne sont pas les mêmes aussi.
15:02C'est énorme quand même de laisser
15:04un mois de vacances à ton joueur faire.
15:06C'est quelque chose qui...
15:08Il faut reconnaître.
15:10Il y aurait tout de suite une pression.
15:12Si tu laisses ton joueur,
15:14je pense que Real Madrid n'aurait jamais accepté
15:16que Babé parte pendant un mois.
15:18Alors qu'en plus,
15:20ils sont en difficulté.
15:22Et là, je trouve ça énorme
15:24que dans le rugby, on puisse laisser tranquillement.
15:26C'est pour ça que depuis la Coupe du Monde
15:28et son souhait de faire les JO,
15:30il faut quand même reconnaître
15:32que ce soit la Fédération Française de Rugby,
15:34que ce soit le Stade Toulousain, son club,
15:36que ce soit l'entraîneur de l'équipe de France de Rugby Asset,
15:38comme le disait Eric,
15:40qui l'a pris, mais qui lui a dit
15:42« Ecoute, tu vas nous faire des différences,
15:44mais tu démareras sur le banc.
15:46Et tu rentreras, tu ne feras que une mi-temps.
15:48Parce que physiquement, ce n'est pas la même chose.
15:50C'est comme ça qu'il gagne.
15:52Le rugby, c'est un sport tellement compliqué.
15:54Tu ne peux pas jouer toutes les semaines.
15:56Tu prends trop de choc.
15:58S'il n'a pas ce repos-là,
16:00ce n'est même pas mentalement,
16:02c'est physiquement. C'est dur.
16:04Il n'y a aucun sport de combat type boxe,
16:06type football américain,
16:08où tu fais des saisons de 10 mois.
16:10Ça n'existe pas.
16:12Il ne le fait pas d'une façon généreuse.
16:14En fait, il le fait d'une façon logique.
16:16De ne pas jouer par exemple tout le match
16:18C'est le coach qui organise le truc.
16:20Ce n'est pas lui.
16:22Il est assez lucide, je pense,
16:24pour savoir que peut-être,
16:26si il faisait le match entier,
16:28il serait un peu cramé.
16:30En tout cas, Dupont, superstar.
16:32Et moi, je prends les paris.
16:34Je ne prends pas beaucoup de risques.
16:36La mauvaise nouvelle, vous l'avez dit,
16:38c'est M-Tamac.
16:40Le 9 novembre, 9-16-22,
16:42il y a les matchs, les tournées.
16:44Japon et Nouvelle-Zélande, Argentine.
16:46On espère que ça va aller pour Romain Tamac
16:48parce que c'est un merveilleux joueur.
16:50Restez bien avec nous pour la suite de l'équipe du soir.
16:52On va avoir des buts, beaucoup de buts,
16:54des images de sport et puis le débat
16:56Kylian Mbappé et Pogacar.
17:08De retour pour la suite de l'équipe du soir.
17:10Toujours en compagnie d'Éric Blanc,
17:12d'Hugo Bonneval, de Pierre Maturana,
17:14de Patrick Rabessandratana et Mathieu Dossevier.
17:16On a beaucoup parlé d'Antoine Dubon à juste titre.
17:18On va s'attaquer à un autre capitaine
17:20d'une équipe de France,
17:22c'est Kylian Mbappé. Mais avant ça, Maxime,
17:24avec vous, un petit break.
17:26On va voir un but d'un joueur qui joue en France,
17:28c'est Eden Zegrova.
17:30Eden Zegrova qui redore son blason avec le Kosovo.
17:32Il était de retour après la polémique
17:34qu'il avait fait exclure de la sélection
17:36durant le rassemblement de septembre.
17:38L'Elie Lillois a marqué lors de la victoire
17:40obtenue en Lituanie 2-1
17:42en Ligue des Nations, en Ligue C.
17:44Ouverture du score à la 20ème minute.
17:46Une belle combinaison sur l'aile droite avec Mousslia.
17:48C'est son quatrième but en 36 élections.
17:50On verra beaucoup d'autres jolis buts
17:52de cette soirée de Ligue des Nations
17:54tout à l'heure dans le mini-info.
17:56C'est pas mal.
17:58Notamment un but de CR7.
18:00Mathieu, belle finition.
18:02J'ai envie de mettre en avant la passe.
18:04C'est magnifique.
18:06C'est lui qui fait quasiment le plus difficile
18:08à trouver en pivot comme ça,
18:10avec ses yeux fermés.
18:12Magnifique en une touche.
18:14C'est la finalité.
18:16T'es marqué un peu des buts quand même Mathieu.
18:18Je dis pas de bêtises.
18:20Tu dis des bêtises parce que j'étais passeur.
18:22T'allais vite surtout.
18:24Très très vite.
18:26On va parler d'un joueur qui m'habite aussi.
18:28C'est Kylian Mbappé.
18:30Sa petite virée à Stockholm en Suède
18:32a fait légèrement parler.
18:34Si ce n'est plus.
18:36Le joueur a même posté d'ailleurs
18:38un message aujourd'hui pour montrer
18:40qu'il était encore impliqué dans sa carrière
18:42en salle de sport.
18:44C'est normal, petite communication.
18:46Même s'il n'est pas très doué en ce moment.
18:48On a posé la question aujourd'hui
18:50à Wesley Fofana, le défenseur de Chelsea
18:52qui est avec les Bleus à Clairefontaine.
18:54Kylian Mbappé, il fait ce qu'il veut ou pas ?
18:56On écoute le défenseur de Chelsea.
18:58Chacun fait ce qu'il veut de son temps libre.
19:00Aujourd'hui, ça n'a pas été une source de discussion.
19:02Je n'ai pas entendu parler de cette histoire.
19:04Pour l'histoire de Kylian,
19:06il fait ce qu'il veut.
19:08C'est un grand garçon.
19:10Il gère sa carrière comme il l'entend.
19:12C'est un grand professionnel.
19:14Il n'y a rien d'autre à dire pour moi.
19:16Wesley Fofana qui était présent
19:18en conférence de presse aujourd'hui,
19:20tout comme Matteo Ghendouzi
19:22qu'on entendra tout à l'heure.
19:24On aura des nouvelles de la séance des tricolores
19:26puisqu'on rappelle que lundi,
19:28ils affrontent la Belgique à Bruxelles
19:30avec vous, Maxime.
19:32Kylian Mbappé fait ce qu'il vaut.
19:34Jingle.
19:36Oui, il fait ce qu'il veut.
19:38C'est Pierre Maturana.
19:40Non, il ne fait pas ce qu'il veut.
19:42L'homme qui allait vite, qui donnait des passe-dé
19:44et qui marquait parfois Mathieu dans ses vies.
19:46Oui, Pierre, vous avez 30 secondes.
19:48Comment c'est ?
19:50Je vois bien que je suis un peu l'avocat du diable
19:52et que sa communication est un peu bancale
19:54et pas très adaptée en ce moment à sa situation.
19:56Le fait est que Fofana a raison.
19:58Mbappé fait ce qu'il veut de son temps libre
20:00et des jours off qu'il a par son club.
20:02Si ça passe par sortir un peu
20:04pour se serrer un peu la tête
20:06avec des amis et peut-être
20:08baisser un peu la pression qui est en ce moment sur lui,
20:10si c'est une façon pour lui d'aller mieux
20:12et de retrouver un peu de peps,
20:14et que ça ne met pas en danger son intégrité physique,
20:16pourquoi pas ?
20:18Je ne vois pas pourquoi un joueur devrait rester chez lui
20:20sur son canapé.
20:22La réponse de Mathieu ?
20:24Je pense que c'est surtout une question d'image.
20:26Je peux l'entendre.
20:28Un joueur a forcément besoin de faire d'autres choses.
20:30Après, malgré tout,
20:32c'est une question d'image.
20:34Il faut que tu sois exemplaire dans ta vie
20:36pour ne pas que ce soit des répercussions
20:38sur le métier dans lequel on t'attend.
20:40Si tu es capable de l'assumer,
20:42pas de soucis.
20:44Mais on sait qu'il y a très peu de gens
20:46qui sont capables de le faire
20:48et beaucoup de jeunes qui regardent.
20:50Je pense qu'il y a quand même un devoir d'exemplarité,
20:52surtout au niveau de l'image.
20:54Merci beaucoup.
20:56N'hésitez pas à réagir sur l'équipe Connect
20:58et sur le QR code qui va s'afficher
21:00dans quelques instants pour poser vos questions
21:02aux créniqueurs.
21:04Président, qu'est-ce que vous pensez ?
21:06Je donne le point à Damien.
21:08A Mathieu.
21:10Presque.
21:12C'est que de l'amour.
21:16Le contexte n'est pas favorable actuellement.
21:20Ça brouille encore plus Deschamps
21:22et l'équipe de France.
21:24Il était blessé.
21:26Deschamps avait dit qu'il récupèrera.
21:28Là-bas, à Madrid,
21:30il va pouvoir peut-être faire des exercices,
21:32voir les kinés.
21:34Après, je sais qu'un jour,
21:36on peut faire ce qu'il veut et partir.
21:38Mais pas actuellement.
21:40Je pense que l'équipe de France...
21:42On a fait allégeance à Madrid.
21:44Deschamps doit aller se confesser.
21:48Aujourd'hui, à une époque,
21:50Deschamps faisait venir les gens.
21:52Il disait que c'était le plus important.
21:54On soignait même le joueur.
21:56Et lui, capitaine,
21:58avec les matchs qu'il a fait,
22:00que l'équipe de France a perdu devant l'Italie,
22:02il aurait été présent.
22:04Je pense que c'est bien.
22:06Quand j'ai vu la photo des deux blessés,
22:08Rodri et Carrabal,
22:10qui est venu
22:12avec toute l'équipe,
22:14en photo,
22:16c'était chez eux.
22:18Je trouve que c'est bien.
22:20Ça fait une équipe solidaire autour d'un capitaine emblématique.
22:22Juste par rapport à la séquence
22:24sur les sélections de Kylian Mbappé,
22:26par rapport au rassemblement de septembre,
22:28Kylian Mbappé s'était entretenu avec Didier Deschamps.
22:30Il lui avait dit qu'il voulait
22:32prendre un peu de temps pour lui,
22:34pour s'intégrer à sa nouvelle vie à Madrid
22:36et faire une impasse sur ce rassemblement-là.
22:38Il y a aussi des questions de management
22:40au-delà même de la blessure.
22:42C'est la communication qui a mal été gérée
22:44autour de cette affaire.
22:46En tout cas, c'est point pour Mathieu.
22:48Éric, par rapport à ça,
22:50un capitaine fait ce qu'il veut
22:52parce qu'on a bien compris que ce n'était pas la question du joueur.
22:54On n'est plus sur le capitana.
22:56Évidemment qu'il a un devoir
22:58d'exemplarité comme le disait Mathieu.
23:00Ce qui me dérange,
23:02dans le côté
23:04il fait ce qu'il veut,
23:06c'est un joueur professionnel.
23:08Je prends le contexte Madrid.
23:10Il est dans un moment où on lui laisse du temps
23:12parce qu'il y a trois jours de repos.
23:14Tu fais ce que tu veux dans ces trois jours de repos, c'est vrai.
23:16Il y a ce comportement-là.
23:18Sauf qu'il y a un contexte.
23:20C'est là où le contexte et le timing
23:22de ce qu'il fait n'est pas bon.
23:24C'est-à-dire que le contexte,
23:26c'est que tu viens de refuser la sélection
23:28parce que tu as demandé à te reposer
23:30et là on te retrouve en Suède
23:32pour aller faire la fête.
23:34Donc là tu mets en porte-info.
23:36Mais ce n'est pas avéré quand même
23:38qu'il était là-bas que pour faire la fête.
23:40On a le bénéfice du doute
23:42pour le côté.
23:44Il n'empêche que ce n'est pas du repos.
23:46Le problème, il est là, c'est que ce n'est pas du repos.
23:48Tu as été blessé juste avant.
23:50Tu étais sur le banc.
23:52Tu rentres dans un match de Champions League.
23:54Tout ce contexte-là, tu mets en porte-info
23:56ton équipe, ton pays
23:58et ton sélectionneur.
24:00Ça fait beaucoup de choses
24:02pour un seul comportement.
24:04Ça fait beaucoup trop.
24:06On va écouter Konaté
24:08qui s'est exprimé au début de Rassemblement à Clairefontaine
24:10sur la vie de Kylian Mbappé
24:12et sur la pression qu'il peut subir.
24:14On écoute le défenseur de Liverpool.
24:16Moi, des fois, je me mets à sa place.
24:18Je me dis que dès qu'il arrive dans un endroit
24:20c'est Kylian, c'est Kylian, c'est toujours lui.
24:22Je pense que c'est quelque chose
24:24qu'il ne montre pas.
24:26J'en ai jamais discuté avec lui
24:28mais je pense que c'est quelque chose
24:30de pas facile à vivre.
24:32Pas facile à vivre. Juste, Hugo, par rapport à ça,
24:34on en parlait avec Antoine Dupont tout à l'heure.
24:36Il a eu trois semaines pour se régénérer
24:38psychologiquement.
24:40Est-ce qu'on ne peut pas juste se dire
24:42qu'il a besoin de s'aérer la tête à Mbappé ?
24:44Pour moi, c'est
24:46le fameux problème. Il y a le fond et la forme.
24:48Sur le fond, je crois que c'est dit
24:50qu'il a le droit de faire ce qu'il veut.
24:52C'est ses jours off et lui, il a envie d'aller là-bas.
24:54Il y a beaucoup de grands joueurs français
24:56qui font autre chose que du foot.
24:58Mais tout à fait.
25:00Pour quelqu'un de normal,
25:02c'est inconcevable de prendre un jet
25:04pour faire Madrid-Stockholm.
25:06On en revient toujours au financier.
25:08C'est un taxi pour lui.
25:10C'est pour ça que je te dis qu'il y a le fond et la forme.
25:12Là, ça veut dire que
25:14ce n'est même pas la question.
25:16Là, on est vraiment sur le comportement,
25:18sur l'image.
25:20Oui, mais c'est pour ça que je te dis qu'il y a le fond et la forme.
25:22Sur le fond, il a le droit de se former.
25:24Si tu es prêt à assumer,
25:26tu peux faire entre guillemets ce que tu veux,
25:28mais il faut assumer derrière.
25:30Forcément, les gens
25:32vont te rappeler directement
25:34à chaque mauvais match,
25:36pourquoi tu es payé,
25:38c'est-à-dire sur ton exercice, ta fonction.
25:40On va te le rappeler si tu n'es pas bon.
25:42On peut tout te pardonner.
25:44On l'a dit, il y a plein de joueurs.
25:46Denis Rodman, c'était un super basketeur.
25:48C'était pas la même époque.
25:50Pourtant, il faisait le taf.
25:52Tant que tu es performant, c'est bon.
25:54Si tu n'es pas performant,
25:56tu dois avoir une exemplarité
25:58hors terrain.
26:00Pour moi, il y a le fond et la forme.
26:02Sur le fond, il fait ce qu'il veut.
26:04Avec l'impact qu'il a sur les jeunes,
26:06avec les bénévoles qui entraînent des gamins.
26:08En fait, les mecs, vous ne sortez pas ce week-end,
26:10parce que dimanche, il y a un match.
26:12Les gamins vont dire quoi ?
26:14Tranquille, les mecs.
26:16Sur le fond, il a le droit de faire ce qu'il veut.
26:18C'est son temps libre.
26:20Tout le monde fait ce qu'il voulait,
26:22dans tous les sports,
26:24sur la forme.
26:26Aujourd'hui, le problème,
26:28c'est qu'il veut tous les pouvoirs,
26:30aucune responsabilité.
26:32Il veut être l'élise des finances.
26:34Il veut être l'élise du recrutement.
26:36Mais le seul truc qu'on lui demande là,
26:38par rapport au capitana qu'il a voulu
26:40et qu'on lui a donné, c'est...
26:42Fais-le pas pour toi,
26:44fais-le pour les autres.
26:46Fais-le pour les gamins qui t'adulent.
26:48Fais-le pour tout ça.
26:50Les gens normaux, les gens lambda,
26:52ne comprennent pas et n'acceptent pas
26:54qu'un mec puisse partir de Madrid,
26:56aller à Stockholm pour deux jours,
26:58puis revenir à Ajaccio pour rentrer à Madrid.
27:00Je vais prendre la comparaison avec Dupont,
27:02parce qu'on parlait de Dupont
27:04dans le comportement et tout ça.
27:06Lui là, Mbappé, il les enchaîne quand même.
27:08Parce que ça fait quand même
27:10beaucoup de choses qu'il enchaîne.
27:12Comparé à Dupont, qui enchaîne les bonnes choses,
27:14il y a ce degré, cette comparaison
27:16que tu fais aussi de ce côté-là.
27:18Forcément, ça ne joue pas en sa faveur
27:20et il va en prendre plein la tête.
27:22Juste par rapport à ça, Pierre,
27:24sur le côté des séquences.
27:26J'ai souvenir, il n'y a pas si longtemps,
27:28qu'avant un grand rendez-vous,
27:30il y a deux saisons avec des champions,
27:32il avait dit, il faut bien manger, bien dormir.
27:34Est-ce qu'il ne paye pas un peu ça
27:36qu'il y a Mbappé, le côté...
27:38On a tellement entendu que c'était un problème à Paris,
27:40les fêtes soi-disant de Neymar, etc.
27:42Et que Mbappé passait pour le gendre idéal.
27:44Il y a ça un peu,
27:46il y a le revers de la médaille.
27:48Ce n'était pas le même cadre.
27:50Il y avait une échéance super importante.
27:52Là, il n'y a pas d'échéance.
27:54Là, je parle de l'opinion publique.
27:56Malheureusement, certains peuvent le faire.
27:58C'est parce qu'on voit bien qu'effectivement,
28:00d'un coup, les images sortent.
28:02Elles sont désastreuses pour lui,
28:04dans une séquence qui est désastreuse pour lui.
28:06Alors qu'il y a 18 mois, c'est un héros national,
28:08il est reçu au crayon, etc.
28:10Ça va très vite, et pour lui, encore plus vite.
28:12Parce que la moindre photo, on est à l'affût.
28:14Comme en ce moment, il n'est pas terrible,
28:16et que les fans du PSG lui en veulent pour ceci, cela.
28:18C'est compliqué à gérer.
28:20Moi, j'ai cru voir qu'il a essayé
28:22d'être discret dans sa sortie.
28:24C'est pas la faute des médias français.
28:26C'est un média suédois.
28:28On parlait de la Ligue des Nations.
28:30Quand on l'a gagnée,
28:32on a dit que c'était un trophée fantastique.
28:34Aujourd'hui, on devait le faire souffler.
28:36Il a fait 30 minutes à Lille,
28:3870 minutes devant Villarreal,
28:40pas blessé.
28:42Tu ne peux pas.
28:44Tu restes à Madrid,
28:46parce que psychologiquement,
28:48tu dois te refaire une santé.
28:50Mais tu restes à Madrid.
28:52Il a prévenu Deschamps avant.
28:54Ils en ont parlé avant.
28:56Là, on est dans le côté psychologique.
28:58Mais peut-être qu'il...
29:00On a plus le temps.
29:02Je suis vraiment désolé, messieurs.
29:04On doit faire un petit point sur ce qui s'est passé
29:06aujourd'hui à Clairefontaine avec l'entraînement.
29:08On le rappelle, il y a match pour l'équipe de France
29:10lundi soir en Belgique.
29:12Deux joueurs de l'équipe de France
29:14ont été ménagés, Aurelien Chouameni
29:16et Mike Meunier n'ont pas pris part
29:18à la séance d'entraînement.
29:20Ils ont signé des autographes.
29:22Les deux sont revenus à l'intérieur du château.
29:24Chouameni avait reçu un coup en fin de match
29:26face à Israël.
29:28Selon le staff des Bleus, cela ne remet pas forcément
29:30en cause leur participation en Belgique lundi.
29:32Après une alerte à l'ISKIO,
29:34Loïc Badé avait passé une IRM de contrôle
29:36qui s'était avérée rassurante.
29:38Il s'est lui entraîné normalement.
29:40On aura toutes les infos dans les prochains jours
29:42sur ce match qui arrive.
29:44Le résultat de ce duel, victoire de Mathieu.
29:46Honnêtement, je m'attendais à Pierre.
29:48Faut être sincère avec vous, Pierre.
29:50Tous ensemble, il n'y a pas de surprise.
29:52Il y a peut-être Ingrid
29:54qui a des grosses qualités pulmonaires.
29:56On ne sait jamais.
29:58Qui ça ?
30:00Ingrid, en Suède.
30:02On ne sait jamais.
30:04On va passer au vélo maintenant, Maxime.
30:06On va commencer par Pogacar
30:08qui a brillé aujourd'hui en Lombardie.
30:10Intouchable.
30:12Intouchable à l'image de sa saison.
30:14Pogacar a remporté
30:16le dernier monument de l'année.
30:18Maillot de champion du monde sur le dos
30:20entre Bergam et Combes.
30:22Son équipe UAE a parfaitement maîtrisé la course
30:24en tenant l'échappée sous les 5 minutes d'avance
30:26après plus de 200 kilomètres.
30:28Une fois l'échappée reprise, Pogi a placé son attaque
30:30dans le Colma di Sormano.
30:32Personne n'a essayé de le suivre,
30:34même pas Remco Evenepoel.
30:36A l'arrivée, les écarts sont abyssaux.
30:38Pogacar remporte son quatrième tour de Lombardie consécutif
30:40avec 3 minutes 18 d'avance
30:42sur Remco Evenepoel.
30:44Giulio Ciccone complète le podium.
30:46On notera deux Français dans le top 10,
30:48Pavel Sivakov 6e et David Gaudu 9e.
30:50Il s'est baladé.
30:52C'était possible de le suivre ?
30:54Impossible.
30:56Ça conclut, Maxime, une saison
30:58historique, fantastique.
31:0025 victoires pour Tadej Pogacar
31:02sur la saison 2024
31:04en seulement 57 jours de course.
31:06Au 21e siècle,
31:08il égale le record de l'italien
31:10Alessandro Petacchi, qui avait lui remporté
31:12tous ses succès au sprint.
31:14Quelques victoires cette saison de Tadej Pogacar,
31:16les Strade Bianche, le Tour de Catalogne.
31:18Il avait remporté 4 étapes, Liege-Bastogne-Liege,
31:20le Giro et le Tour de France.
31:226 étapes à chaque fois, champion du monde récemment
31:24et donc, ce samedi, le Tour de Lombardie.
31:26Formidable Tadej Pogacar,
31:28la saison du Slovène.
31:30Est-ce qu'il faut forcément se réjouir
31:32de cette saison exceptionnelle ?
31:34Eric, on sait que le vélo de tout temps,
31:36quand il y a quelqu'un qui surperforme comme ça,
31:38sur le dopage,
31:40est-ce qu'il faut juste applaudir
31:42le formidable athlète ?
31:44J'ai envie d'y croire,
31:46même si je vous en avais parlé,
31:48vous avez fait des sujets tout de suite,
31:50même Prud'homme, le directeur du Tour,
31:52a laissé entendre
31:54qu'il se posait des questions.
31:56A chaque fois qu'un coureur
31:58va dominer au temps,
32:00c'est vrai, tout le monde dit
32:02qu'il y a un truc.
32:04Moi, j'ose croire qu'il est propre.
32:06Armstrong a eu plus de 500 contrôles,
32:08il était propre,
32:10et puis il est tombé de 3 ans après.
32:12Moi, je veux y croire.
32:14Ce qu'il fait, c'est exceptionnel.
32:16On va accueillir quand même Patrick Chassé,
32:18qui est l'expert vélo de la chaîne L'Équipe.
32:20Bonsoir Patrick, merci.
32:22Et si on vous attend, Patrick,
32:24vous inquiétez pas.
32:26Bon, il faut forcément s'en réjouir
32:28de cette domination de Tadej Pogacar.
32:30Patrick, bonsoir et merci d'être avec nous.
32:32Bonsoir à tous.
32:34La dernière fois qu'on a parlé de ça,
32:36c'était la première question qui est venue sur le Deux Pages.
32:38Là, c'est avant la première question.
32:40Je vois qu'on progresse.
32:42Non, sincèrement,
32:44j'ai un écho, je le dis comme ça
32:46pour la régie.
32:48Ce qui me gêne dans votre question,
32:50c'est le forcément.
32:52Pourquoi faudrait-il forcément s'en réjouir ?
32:56On peut se réjouir
32:58qu'un champion domine son sport comme ça.
33:00On peut être admiratif.
33:02Le monde qu'il y avait,
33:04il y avait pas mal de Slovènes,
33:06puisque la Slovénie n'est pas très loin de la Lombardie,
33:08sur le bord des routes.
33:10Moi, j'ai le souvenir de ces Tours de Lombardie
33:12des années 2000
33:14où il n'y avait personne.
33:16Il n'y avait personne non pas parce qu'on était juste après
33:18une affaire de Deux Pages, il n'y avait personne
33:20parce que c'était la fin de saison,
33:22parce que le Tour de Lombardie avait perdu de sa superbe
33:24même si ça reste l'un des cinq monuments
33:26avec Milan San Remo notamment, avec Paris-Roubaix,
33:28le Tour des Flandres, etc.
33:30Et là, il y avait un monde de dingue.
33:32Donc là-dessus, il faut se réjouir.
33:34Après, effectivement, d'un point de vue
33:36spectaculaire,
33:38je peux donner un scoop
33:40dans l'équipe parce que je suis allé voir quand même
33:42sur l'appli, j'ai vu que
33:44Alexandre Ross et la rubrique cyclisme,
33:46ils ont mis deux étoiles sur cinq
33:48à cette course.
33:50Quand on sait quand même que c'est un champion du monde
33:52avec le maillot fraîchement acquis
33:54qui a passé la ligne en tête après pratiquement
33:5650 km en solitaire,
33:58vous voyez bien qu'il y a un truc un petit peu
34:00contradictoire. C'est exceptionnel
34:02et pourtant, ça n'obtient que
34:04deux étoiles.
34:06Il faut accepter que dans le commun
34:08des mortels, les gens se posent des questions
34:10et des craintes. Moi, je ne suis absolument
34:12pas un connaisseur de vélo. Je trouve ça
34:14génial qu'il y ait
34:16un chef de file comme ça parce que
34:18moi qui ne connais pas, tu connais Armstrong,
34:20tu connais Contador, tu connais Froome
34:22et tu connais donc Pogacar. Mais
34:24quand tu vois les temps des autres, des précédents
34:26et qu'ils sont quasiment tous tombés comme des dominos
34:30dans l'idée des gens,
34:32dans l'inconscient des gens, tu peux te poser la question
34:34de dire, à l'image aussi du sprint
34:36au 100 mètres, tu sais qu'ils sont tous tombés
34:38et que tu n'as que Usain Bolt qui n'est jamais
34:40tombé encore. Tu peux te poser des questions
34:42de savoir comment lui,
34:44à 50 km de l'arrivée, la course s'arrête.
34:46C'est-à-dire que les autres, ils ont fini la course
34:48et lui, il démarre. Patrick ?
34:50J'aime bien la comparaison avec Usain Bolt.
34:52J'aime bien parce que je trouve que
34:54effectivement, on est un petit peu dans cette même incertitude.
34:56Et j'aime bien la comparaison
34:58avec l'athlétisme.
35:00Il ne faut pas oublier encore une fois que
35:02contrairement à un tas de sportifs,
35:04et là je ne parle pas que de vélo évidemment,
35:06lui, on n'a pas trouvé
35:08quoi que ce soit à lui reprocher
35:10sur le plan de l'éthique. Ça ne veut pas dire,
35:12vous me direz Armstrong, c'était la même chose jusqu'à ce qu'il tombe.
35:14Mais on n'a pas d'élément.
35:16On n'a pas d'élément.
35:18Et si on commence, alors moi je suis tout à fait d'accord
35:20et je pense que je l'ai dit plusieurs fois
35:22qu'il faut plier
35:24cette lumière allumée
35:26pour qu'on soit toujours vigilant
35:28au fait que dans ce sport,
35:30il faut quand même garder la tête froide.
35:32Maintenant, si on ne s'enthousiasme pas
35:34sur un mec comme lui
35:36dont Eddy Merckx a reconnu
35:38la supériorité manifeste,
35:40y compris
35:42à son propre endroit, je crois vraiment
35:44qu'on ne peut plus s'enthousiasmer de rien.
35:46Et dans ce cas-là, il faut tout replier,
35:48fermer la boutique
35:50et s'intéresser à la politique.
35:52Je vous rassure.
35:54Eric, une question pour Patrick.
35:56Juste en termes de chiffres,
35:58parce que moi je n'y connais rien, je suis désolé,
36:0025e victoire en 57 jours de compétition,
36:02est-ce que ça a déjà été fait en termes
36:04de chiffres
36:06par quelqu'un avant ou c'est vraiment un extraterrestre
36:08et qu'il domine tout le monde ?
36:10Non, là aussi on est obligé
36:12de remonter 50 ans en arrière.
36:14C'est-à-dire que oui, on va trouver
36:16des mecs qui ont gagné 25 victoires
36:18dans l'année, mais c'était des sprinters.
36:20Et là, il y en a une palanquée.
36:22En ce qui concerne
36:24un coureur capable de gagner
36:26le Tour de France, par exemple, comme c'est son cas,
36:28ou d'être champion du monde, non, c'est du jamais-vu
36:30dans l'histoire moderne du Tour
36:32et je dirais même qu'on en est très loin.
36:34Donc même si vous prenez, par exemple,
36:36les exemples sulfureux d'Armstrong,
36:38de Chris Froome, de Miguel Indurain,
36:40etc., alors sulfureux à des degrés
36:42divers, vous mettrez le curseur où vous voulez,
36:44ces types ne
36:46ne gagnaient pas énormément de courses dans l'année.
36:48Ils étaient plutôt en gestion et surtout,
36:50ils avaient un objectif ou deux dans l'année, c'était de gagner
36:52le Tour, de gagner éventuellement le Tour
36:54et le Giro, ou de gagner le Tour et le Champion du monde,
36:56mais ça n'allait pas vraiment au-delà.
36:58Lui, il peut gagner partout.
37:00Et effectivement, ça a été dit, il gagne sa première
37:02course de l'année à peu près de la même façon
37:04qu'il a gagné la dernière course, en Italie,
37:06certes, mais surtout en se barrant
37:08à plus de 50, voire 80 kilomètres
37:10sur l'Estrade Bianche en début
37:12d'année tout seul. Et ça,
37:14à part Eddy Merckx
37:16et Bernard Hinault, les jours où il était vraiment
37:18énervé, on ne voit jamais ça.
37:20Pour conclure, Pierre, une petite question.
37:22Oui, c'est vrai que c'est extraordinaire d'assister
37:24à un moment historique comme ça,
37:26surtout pour les fans de cyclisme,
37:28mais est-ce que le verre un peu
37:30à moitié vide de ça, ce n'est pas
37:32le risque que ce mec qui gagne tout
37:34et qui est relativement jeune et qui va encore gagner
37:36beaucoup... Et qui a une super équipe.
37:38Ça peut perdre de l'intérêt au cyclisme
37:40à terme, notamment, je ne sais pas,
37:42à la fois chez les fans et peut-être sur le grand public aussi.
37:46C'est vrai que jusqu'à présent, vous voyez
37:48quand même des coureurs capables de lui apporter la contradiction.
37:50Je pense à
37:52Evenpool ou surtout
37:54à Van Der Poel
37:56dans les classiques. Bien sûr, Vingegaard
37:58dans le Tour de France et dans les Grands Tours
38:00d'une manière générale. On sait que le deuxième
38:02n'était pas au meilleur de sa forme sur le dernier tour.
38:04On verra ce que ça donne l'année prochaine.
38:06C'est vrai que c'est inquiétant. Après, on a tellement souvent
38:08dit ça dans le sport, mais dans le vélo
38:10en particulier, au sujet de type
38:12qui dominait et puis on se disait, il va gagner
38:14cinq tours, il va gagner dix tours.
38:16Ça ne s'est pas toujours vérifié.
38:18Ça ne s'est même pas souvent vérifié.
38:20Et ça, vous pouvez prendre
38:22décennie par décennie.
38:24Même Froome, on lui promettait
38:26davantage de victoires que ce qu'il a
38:28finalement obtenu à l'arrivée.
38:30Après, il y a aussi la domination d'une équipe
38:32qui est quand même, là aussi, totalement
38:34hors du commun. Je trouve qu'on n'en parle pas assez.
38:36C'est-à-dire que derrière lui, il y a une équipe.
38:38Imaginez un petit peu dans cette équipe,
38:40je me suis amusé à faire quelques calculs,
38:42vite fait, les quatre coureurs.
38:44C'est la meilleure équipe du monde, son équipe.
38:46Si vous prenez les points
38:48UCI des quatre
38:50meilleurs coureurs de cette équipe,
38:52vous avez finalement
38:54plus de points que la deuxième
38:56équipe mondiale qui est l'équipe Wisma
38:58qui, elle, je rappelle quand même
39:00qu'on prend le total des points sur le total
39:02des points individuels, c'est-à-dire sur 20 coureurs,
39:04les 20 meilleurs coureurs. Vous imaginez
39:06un petit peu la domination non pas de Pogacar.
39:08D'ailleurs, Pogacar, si vous enlevez
39:10les points de Pogacar,
39:12cette équipe reste néanmoins numéro un mondial.
39:14C'est juste démentiel
39:16la différence qu'il y a entre cette équipe
39:18qui certes a le plus gros budget du cyclisme international,
39:20environ 60 millions,
39:22par rapport à une équipe française
39:24qui, elle, doit en faire plutôt 20-25.
39:26Vous voyez un petit peu la marge ?
39:28En plus,
39:30je ne sais pas si vous êtes au courant, mais l'année prochaine,
39:32ils arrivent avec un budget
39:34qui sera 10 fois supérieur à celui
39:36des équipes féminines pour monter une grosse équipe
39:38féminine. Et quand on sait que
39:40quasiment toutes les meilleures
39:42athlètes en cyclisme
39:44féminin sont sur le marché en cette fin de saison,
39:46autant vous dire que le marché va être fructueux
39:48du côté des Emirats Arabes Unis.
39:50Merci beaucoup Patrick, c'était passionnant.
39:52Excellente soirée à vous et forcément
39:54on a envie de saluer quand même Pogacar
39:56puisque c'est phénoménal ce qu'il réalise.
39:58On va passer d'un phénomène à un autre.
40:00On revoit les images du retour d'Antoine Dupont à Toulouse.
40:02Antoine Dupont qui n'avait plus joué
40:04avec le stade toulousain depuis 106 jours.
40:06Lui qui a été champion olympique
40:08avec l'équipe de France à 7 cet été.
40:10Il est entré en début de seconde période.
40:12Il lui a fallu 3 minutes 20 pour marquer
40:14un essai, le troisième essai de Toulousain.
40:16Et puis il a enchaîné avec le quatrième
40:18essai de son équipe, bien servi
40:20par Capozzo.
40:22Jamais 203 en 9 minutes.
40:24Un troisième essai pour Antoine Dupont
40:26après un magnifique service au pied de
40:28Capozzo. Victoire de Toulouse.
40:3048 à 14 face à Clermont.
40:32Toulouse qui est resté sûr de défaite.
40:34Et Toulouse qui est deuxième du top 14.
40:36Je crois Maxime que vous avez deux autres résultats de top 14.
40:38Oui, le carton de l'UBB.
40:40Seul leader du championnat.
40:42Les Bordeleaux-Béglés ont inscrit, tenez-vous bien,
40:4410 essais face à Perpignan.
40:46Score final 66 à 12.
40:48On vous a sélectionné le premier. Joli jeu au pied de Mathieu Jalibert.
40:50C'est conclu par Tatafou.
40:52Jalibert a inscrit deux essais.
40:54Mais une autre image à retenir de ce match.
40:56C'est un choc violent tête contre tête.
40:58Perpignan a été réduit à 14
41:00à la 45e minute.
41:02Nicolas Deporter, le centre bordelais,
41:04est sorti sur ses pierres avec une minerve
41:06pour passer des examens médicaux.
41:08Evidemment, quand on aura des informations
41:10sur les résultats de ces examens médicaux,
41:12on vous les transmettra.
41:14Et puis surtout, équipe de France,
41:16la tournée, ça fait le troisième. Point d'interrogation.
41:18Tamac, Ramos, Deporter,
41:20c'est des titulaires.
41:22Est-ce que c'est la fatigue ?
41:24Non, là c'est l'accident. Tu prends un tronc d'arbre.
41:26Tu prends une plaque d'égout,
41:28le mec il pèse 110 kilos.
41:30110 ?
41:32110 hors taxe.
41:34Visiblement,
41:36ça serait une fracture du plancher orbital.
41:40Juste Hugo, par rapport à l'UBB,
41:42sur le début de saison, vous en pensez quoi ?
41:44Ils sont très impressionnants. Ils sont sur la dynamique.
41:46L'année dernière, ils ont cette fameuse finale
41:48face à Toulouse où ils explosent totalement.
41:50Mais tout au long de l'année, ils ont quand même
41:52un fond de jeu et une manière de jouer qui est très costaud.
41:54Ils repartent sur les mêmes standards.
41:56De toute façon, ce n'est pas compliqué.
41:58S'ils arrivent à maintenir le cap devant,
42:00surtout parce qu'au rugby, on sait que si devant,
42:02tu es dominant, et s'ils arrivent,
42:04parce qu'ils ont un peu moins de profondeur de banc que Toulouse,
42:06par exemple, ou que La Rochelle.
42:08S'ils arrivent devant à maintenir
42:10cette assise, derrière,
42:12ils ont une ligne de trois quarts internationale.
42:14Ils ont des joueurs jeunes qui sont
42:16pleins de talents et dans un système de jeu
42:18en plus, et mené d'une main de maître par
42:20Mathieu Jalibert,
42:22dans un système de jeu où il a tous les pouvoirs,
42:24à la différence de l'équipe de France.
42:26Une autre victoire, Maxime,
42:28plus surprenante cette fois.
42:30Oui, surtout vu l'ampleur du score.
42:32Bayonne s'est imposée 37 à 7
42:34face à La Rochelle, qui fait partie
42:36des favoris du championnat. Le match
42:38qui était délocalisé à Anoeta, au stade
42:40de la Real Sociedad à San Sébastien.
42:42Les Basques ont réalisé une première période parfaite,
42:4425-0, notamment cet essai
42:46de Makala.
42:48Hugo, je ne sais pas si tu en as remarqué
42:50ou des essais comme ça. La finition, il faut une sacrée lucidité.
42:52Oui, il s'entraîne.
42:54C'est des jeux.
42:56C'est magnifique parce que la règle te dit
42:58que si tu es en dehors du terrain
43:00mais que tu ne touches pas le sol,
43:02tu n'es pas considéré comme en touche.
43:04Il prend son élan en espérant
43:06pouvoir... C'est magnifique.
43:08Il n'a pas touché le genou là aussi.
43:10J'avais l'impression que son genou était un peu...
43:12Hugo, vous en avez miné comme ça ?
43:14Non.
43:16Il faut plonger loin.
43:18C'est surtout pas le même physique.
43:20Moi, je me faisais sortir.
43:22Il fait 110 ou 115 kilos,
43:24Makala. On ne se rend pas compte.
43:26Il faut le bouger.
43:28Tu es costaud quand même.
43:30Oui, 92, mais c'est rien comparé aux...
43:32Les mecs d'Isly ne sont pas faits comme nous.
43:34C'est un autre monde. Il faut les rencontrer.
43:36On va passer maintenant au tennis.
43:38On connaît l'affiche de la finale
43:40du Master Mille de Shanghai.
43:42Yannick Sinner a été le premier à se qualifier
43:44face à Thomas Marac, tombeur en quart
43:46face à Karasz.
43:48Sinner a fait preuve d'expérience, de régularité
43:50pour s'imposer 6-4 dans la première manche.
43:52Sous les yeux, vous allez le voir,
43:54de Roger Federer.
43:56Le numéro 1 mondial italien
43:58remporté la seconde manche 7-5.
44:00C'est la première fois que Sinner est en finale à Shanghai.
44:02Il est même d'ores et déjà assuré
44:04de terminer la saison numéro 1 mondiale.
44:06En finale, il retrouvera Novak Djokovic.
44:08Le Serbe a eu deux visages.
44:10Un premier s'être remporté sereinement 6-4
44:12contre Tyler Fritz.
44:14Il a été manipulé par le kiné.
44:16Le Serbe a serré les dents
44:18jusqu'au tie-break de la deuxième manche.
44:20Il a sauvé une balle de 7.
44:22Il s'est imposé en deux manches,
44:248-6 dans ce jeu décisif.
44:2659e finale en Masters Mille.
44:28Il visera demain un centième titre
44:30tout rond sur le circuit ATP.
44:36Ce qui est incroyable,
44:38c'est que la longévité
44:40à son âge
44:42et le mental qu'il a.
44:44C'est le plus dur de tenir
44:46et d'être régulier comme ça.
44:48Et l'envie encore.
44:50Il y a Raphaël Nadal qui a arrêté
44:52tout le fameux Big Four.
44:54Andy Murray, Roger Federer.
44:56Raphaël Nadal.
44:58Il y a une grosse partie de lui aussi
45:00qui est parti.
45:02Il a fait toutes ses victoires
45:04parce qu'il se bagarrait contre eux.
45:06Maintenant, il doit se bagarrer
45:08contre Sinner et Akkaraz.
45:10À Wuhan, un tournoi WTA 1000.
45:12Arina Sabalenka a renversé
45:14en demi-finale Coco Go.
45:16Après la perte du premier 7-6,
45:18Sabalenka a imposé sa puissance
45:20pour remporter les deux dernières manches.
45:22En finale, elle retrouva
45:24la championne olympique,
45:26la chinoise Qinwen Zheng
45:28qui a écarté sa compatriote Wang 6-3, 6-4 en demi.
45:30Zheng, 7e joueuse mondiale
45:32qui tentera de remporter devant son public
45:34son premier tournoi WTA 1000.
45:36Là, Maxime, il faut faire plaisir à Monrico.
45:38C'est l'Espagne.
45:40Est-ce qu'ils nous ont régalé les champions d'Europe ou pas ?
45:42Ils nous ont plutôt régalé,
45:44même si on va voir une première image assez inhabituelle.
45:46Un gros loupé du jeune
45:48attaquant barcelonais
45:50Lamine Yamal en fin de première période.
45:5245ème minute environ.
45:54Il est lancé en profondeur
45:56et vous allez le voir, il est sur son bon pied.
45:58Le pied gauche et pourtant, ça finit au-dessus.
46:00Mais il va quand même y avoir
46:02une victoire sur la plus petite démarche
46:04pour les Espagnols avec un but
46:06signé Martin Zubimendi.
46:08Le milieu de la Real Sociedad
46:10à la 79ème minute.
46:12Vous allez le voir le gardien,
46:14Kasper Smeichel, pas vraiment exempt de tout reproche.
46:16L'Espagne passe devant le Danemark
46:18et prend la tête de son groupe.
46:20Vous êtes gentils.
46:22Ça lui va bien le numéro 10 à Lamine Yamal.
46:24C'est joli dans le dos comme ça.
46:26Il vous plaît ce joueur ?
46:28Il fait un début de saison.
46:30Il avait terminé, on ne va pas le présenter.
46:32Mais avec le Barça, il est très fort
46:34et il sort les traces.
46:36On peut penser qu'un jour, il sera ballon d'or.
46:38On espère, pour lui en tout cas,
46:40parce que c'est un joueur merveilleux.
46:42Cristiano Ronaldo joué ce soir
46:44avec le Portugal face à la Pologne
46:46et il a encore marqué.
46:48Un match bien plus prolifique.
46:50C'est pas lui, c'est pas Cristiano Ronaldo
46:52qui a ouvert le score.
46:5426ème minute, super mouvement portugais.
46:56La transversale de Ruben Neves.
46:58Parfaitement dosé.
47:00Que dire de la remise pour Bernardo Silva ?
47:0210 minutes plus tard, chevauché de Rafael Eao.
47:04Tire sur le poteau, ça a été bien suivi
47:06par Cristiano Ronaldo.
47:08Zieliński va réduire l'écart pour la Pologne.
47:10Mais il va finalement y avoir
47:12un 3ème but portugais.
47:14Débordement de Nuno Méndez.
47:16Et c'est contre son camp par Benarek.
47:18Le Portugal est premier de son groupe, la Pologne 3ème.
47:20J'espère que Luis Henrique a regardé ce match.
47:22Quand Nuno Méndez peut déborder,
47:24bizarrement, il est quand même pas mauvais.
47:26C'est un bon latéral pour monter.
47:28Il est meilleur que dans une défense à 3 à 3 gauches.
47:30On ne peut pas parler avec Luis Henrique et de football.
47:32Mathieu, un mot juste sur le Portugal.
47:34C'est vrai que c'était séduisant par séquence.
47:36Elle est un peu plus enthousiasmante, cette équipe.
47:38Oui, c'est vrai.
47:40On connaît techniquement.
47:42C'est une équipe qui est toujours
47:44attractive et belle à voir.
47:46Des fois, c'est un peu ronronnant.
47:48Mais là, franchement, je les ai trouvés intéressants.
47:50Ils se sont fait un petit peu peur à la fin.
47:52Ils ont quand même...
47:54S'ils ne marquent pas le 3ème, ce n'est pas la même histoire.
47:56Exactement, ça a un peu poussé.
47:58Malgré tout, il y avait beaucoup d'animation.
48:00Ils sont toujours avec leur Cristiano.
48:02133ème but.
48:04Je n'ai pas eu le temps de le dire tout à l'heure.
48:06133ème but en 213 sélections.
48:08Il a toujours faim.
48:10Il n'y a pas de hasard.
48:12C'est bizarre quand même avec le Portugal.
48:14Moi, je les voyais gros à l'Euro.
48:16Parce que pour moi, ils ont une grosse équipe de football.
48:18Les meilleurs joueurs jouent partout.
48:20L'entraîneur vient d'arriver.
48:22Ils ont perdu au tir au but contre la France.
48:24Mais quand ils ont joué contre la France, on ne les a pas vus.
48:26Des fois, ils sont décevants.
48:28On sent qu'il y a un plafond de verre.
48:30Ils ne passent pas le cap.
48:32C'est bizarre parce qu'ils ont une génération.
48:34Je ne comprends pas.
48:36Ils ont peur. Ils font de l'huile.
48:38Je n'en sais rien.
48:40Je ne sais pas.
48:42Quand tu fais la comparaison avec l'Euro,
48:44il se passe quoi ?
48:46Pour moi, le Portugal a une équipe bien plus
48:48attrayante individuellement
48:50que l'Espagne au départ sur le papier.
48:52Je ne parle pas de jeu.
48:54Pour l'instant, il y a une erreur de casting
48:56en termes d'entraîneur qui est capable
48:58de mettre en valeur tous ces joueurs ensemble.
49:00J'ai l'impression que c'est ça qu'il manque
49:02aujourd'hui au Portugal.
49:04Pierre, juste sur Cristiano Ronaldo,
49:06même si on est obligé de préférer Lionel Messi
49:08à CR7, c'est normal quand on aime le foot.
49:10C'est le président préféré.
49:12Je rigole, bien sûr.
49:14Journaliste français amoureux d'un Argentin.
49:16Journaliste argentin amoureux d'un...
49:18Je ne suis pas journaliste.
49:20Plus sérieusement,
49:22la longévité, c'est stratosphérique.
49:24C'est exceptionnel.
49:26Il y a des moments où c'est un peu gênant
49:28parce qu'on sent qu'il est moins bon.
49:30Ce soir, il n'est pas mauvais dans le jeu.
49:32Il donne même quasiment un but
49:34à Fernandez.
49:36D'habitude, il aurait essayé de marquer.
49:38C'est la régularité du jeu.
49:40Ce qui est fort, c'est d'arriver à se parvenir.
49:42Surtout d'avoir faim.
49:44Il court, il va dans la surface
49:46comme s'il n'y avait pas d'hésitation.
49:48C'est un enfant.
49:50Pressure mentale.
49:52Le match des streamers.
49:54Maxime, l'équipe de France jouée ce soir
49:56face à l'Espagne
49:58et défaite des Français.
50:00La France avait gagné il y a deux ans
50:02pour ce match organisé dans l'enceinte
50:04de l'Atlético de Madrid.
50:06Les Espagnols ont pris leur revanche
50:08en ouverture du score sur une frappe puissante
50:10en première période.
50:12Cette rencontre a été malheureusement marquée
50:14par une interruption d'une grosse dizaine de minutes
50:16sur demande des bleus en seconde période
50:18et des gestes de singes
50:20et des paroles racistes de la part d'un spectateur.
50:22Le spectateur a été identifié
50:24et expulsé.
50:26Les Français sont finalement inclinés 2-0
50:28sur un pénalty encaissé en fin de match.
50:30Le match a rassemblé plus d'un million
50:32de téléspectateurs sur la plateforme Twitch.
50:34C'est énorme.
50:36Le fait que le match s'arrête
50:38comme ça, aussi vite que la personne
50:40soit vite identifiée
50:42pour ce geste déplorable, honteux
50:44et qu'il est vite sorti du stade derrière
50:46ça veut dire quand même qu'on a moyen
50:48de vite agir et de prendre
50:50des décisions et d'appliquer
50:52les sanctions derrière. On va maintenant passer au foot féminin.
50:54Première historique à la Beaujoire.
50:56Oui, les Nantais jouaient pour la
50:58première fois dans cet ensemble devant
51:00près de 17 000 supporters.
51:02Malheureusement, le soutien du public
51:04nantais n'a pas suffi.
51:06Ce sont les Parisiennes, maillot blanc, qui
51:08se sont imposées. Premier but et seul
51:10but du match signé de l'international
51:12Grace Gayot dès la troisième minute.
51:14Les Parisiennes sont co-leaders du championnat
51:16avec l'Olympique Lyonnais.
51:18Pour terminer, du honte féminin.
51:20Oui, un retour fracassant, celui de Cléopâtre
51:22d'Arleu pour son premier match de Ligue des champions.
51:24Depuis son retour à Metz, la gardienne vice-championneuse
51:26olympique a guidé son équipe vers
51:28le succès contre Feringvaros, 22 arrêts.
51:30Une prestation exceptionnelle
51:32qui a assommé une formation hongroise
51:34qui n'avait pas encore perdu cette
51:36saison. Les Messines qui comptent plusieurs
51:38Françaises, on les voit. Chloé Valentini,
51:40Alison Pinault sont premières de leur groupe.
51:42Merci beaucoup Maxime. Restez bien avec nous
51:44pour la dernière partie de l'équipe du soir. Il y a le
51:46Qui suis-je, le Queens que vous aimez tant. A tout de suite.
51:58De retour pour la fin de l'équipe
52:00du soir. C'était toujours aussi passionnant
52:02durant les passes du publicité. Il faudrait qu'on filme
52:04et qu'on diffuse. Ce serait très riche
52:06d'enseignements. Toujours en compagnie d'Eric Blanc,
52:08d'Hugo Bonneval, de Pierre Maturana, d'Eric Rabais
52:10de Alexandre Attana et de Mathieu
52:12d'Eau-Séville. On va passer au Qui suis-je
52:14et on me dit, dans l'oreille, Antoine Maigre
52:16qui produit cette émission, me dit que les bonus
52:18sont pour vous, mon cher président.
52:20J'élimine et je reviens.
52:22Exactement. On me dit que
52:24c'est Eric. Moi j'exécute.
52:26Il y a deux Eric comme dans l'amour de république.
52:28On m'a dit c'est le patron.
52:30C'est le patron, c'est Eric, c'est comme ça.
52:32Pas de socialisme.
52:34Il y avait un match entre le Portugal
52:36et la Pologne. Modestement,
52:38avec Cristiano Ronaldo et Lewandowski.
52:40J'ai joué en club, pas en sélection,
52:42en club avec Cristiano Ronaldo
52:44ou Lewandowski.
52:46Pas et. Premier joueur à découvrir.
52:48Je suis
52:50retraité. Tony Kroos.
52:52Bonne réponse.
52:544 points.
52:56Là c'est aller vite.
52:58J'ai l'impression que le rendu hors antenne va être long.
53:00Si Mathieu fait que des one-shots comme ça,
53:02je n'ai pas non plus 500 joueurs.
53:04Je suis anglais.
53:08Je suis né
53:10à Liverpool.
53:14Pourtant,
53:16j'étais plutôt Red Devils
53:18que Red Toucourt.
53:20Roulez.
53:22Bonne réponse d'Eric Rabesandratana.
53:24J'ai hésité à le dire.
53:26Un chroniqueur de l'équipe du soir me surnommait
53:28l'infernal Wayne Roulez. Effectivement, Stéphane Guy.
53:30Nouveau joueur à découvrir.
53:32Je suis actuellement suspendu.
53:34Rappelle.
53:36Qui l'a dit en premier ?
53:38C'est Eric ?
53:40Mauvaise réponse.
53:44Pourtant,
53:46j'ai pris ma retraite de footballeur.
53:52Je suis un ancien
53:54défenseur central.
53:56Pas moi.
53:58Varane ?
54:00Non, éliminé.
54:02Aujourd'hui, je murmure à l'oreille de Pablo Angoria.
54:04Benatia.
54:06Bonne réponse
54:08de Mathieu Rana.
54:12Nouveau joueur à découvrir.
54:14J'ai explosé.
54:16On parle en termes de carrière
54:18de joueur.
54:22Avant ma majorité.
54:26J'ai joué ce soir avec...
54:28Hugo Bonneval.
54:30Le chouchou de Rico.
54:32Lamine Yamal.
54:34Encore un joueur ?
54:36Quelques joueurs à découvrir.
54:38Je suis un international français.
54:40Confirmé.
54:44Je suis parisien.
54:48Bonne réponse d'Hugo Bonneval.
54:50Mais je suis aussi marseillais.
54:52On m'appelle
54:54le Duc.
54:56Nouveau joueur à découvrir.
54:58Non mais...
55:00Sur les streamers encore.
55:02Vous pouvez éliminer.
55:04Hugo peut-être qui mérite un peu.
55:06T'as envie qu'il fasse la finale.
55:10Moi aussi, je suis parisien.
55:16Mais j'ai quitté le PSG
55:18très jeune.
55:20Koman.
55:22C'est passé pas loin.
55:24C'est passé pas loin Mathieu.
55:26C'est passé pas loin.
55:28Celui-là il est pas facile.
55:30Celui-là il est pas facile.
55:32J'ai joué avec Lewandowski
55:34au Bayern.
55:38J'ai remporté une Ligue des Champions
55:40mais sans Robert.
55:44J'ai soufflé
55:46ma 40ème bougie.
55:48Mais je suis toujours en activité.
55:50Neuer ?
55:52Je suis le doyen
55:54de la Ligue 1.
55:58Dante.
56:00Bonne réponse du président.
56:02Vous éliminez quelqu'un président ?
56:04Non.
56:06J'ai disputé ma première coupe du monde
56:08en 2010.
56:12J'ai aussi participé
56:14aux trois suivantes en en remportant
56:16une au passage.
56:18Neuer.
56:20Neuer ?
56:22Mauvaise réponse.
56:24Mais j'ai participé encore plus
56:26d'Octoberfest à Munich.
56:28Thomas Müller.
56:30Bonne réponse.
56:32Tu parles de fête un peu.
56:34Il est présent.
56:36Encore deux.
56:38Petit point sur les scores.
56:40Hugo il est bien. Vous voulez pas l'éliminer ?
56:42J'élimine Pierre pour essayer de le passer devant.
56:48J'ai connu
56:50Cristiano Ronaldo
56:52à Manchester United.
56:56Je suis passé par l'AS Monaco.
56:58Berbatov.
57:00Bonne réponse.
57:02Mathieu c'était un beau joueur.
57:04Magnifique joueur.
57:06C'est le dernier.
57:08J'ai joué avec Cristiano et Lewandowski
57:10en club.
57:12Moi aussi
57:14je suis passé par l'AS Monaco.
57:16Fabio Contrao.
57:18Dommage.
57:20J'ai explosé
57:22lors de la Coupe du Monde 2014.
57:28Je suis le capitaine de la sélection colombienne.
57:30James Rodriguez.
57:32Bonne réponse d'Eric Rabetsandratana.
57:34Mais victoire d'Hugo Bonneval.
57:36Bravo mon cher Hugo.
57:38Excellente soirée à vous et sur la chaîne l'équipe.
57:40On se retrouve demain pour l'équipe du soir
57:42animée par Karine Galli.
57:44Bonne nuit.

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