Retrouvez le replay du débat de l'Équipe du Soir du 22/10/2024.
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SportTranscription
00:00Générique
00:14Dans le score final, la parole est à Etienne Moatti.
00:182-1 pour Paris.
00:19Il pique les scores aux autres.
00:21Nabil Jelit.
00:211-1 partout, je voulais le dire devant.
00:23Stéphanie.
00:243-2 Paris.
00:26Jérôme Alonso.
00:272-2.
00:29Et enfin, Jonko.
00:300-1.
00:32Et bien c'est bien de se faire piquer le score par son voisin
00:34puisque Nabil, vous avez le bon score.
00:36C'est 1 partout, donc entre le PG et le PSV,
00:39donc vous avez le choix.
00:41Et je vous offre les deux jokers.
00:43On lui donne les points.
00:43Non, non, non, je vous offre un joker.
00:45On lui donne les points.
00:46Ah ben non, c'est pas les points.
00:47D'habitude, il dit 1 partout.
00:48Oui, mais c'est comme ça, parfois l'accident a du bon.
00:51Et... Ah !
00:52Il est prêt, 23h, tout de suite les images, mes petits.
00:54Avec Virginie derrière, vous réfléchissez pour les jokers.
00:57Virginie, 1 partout.
00:58On y va pour résumer.
00:59Déjà, il y a eu plusieurs occasions de Dembélé,
01:01dont une reprise de volée à la 19ème.
01:03Il catapulte le ballon sur la barre.
01:05La sanction arrive à la 34ème.
01:07Passe de Joao Neves, mal négocié par Dembélé.
01:09Pressé par Thielmann qui donne à Saïbary.
01:11Noah Lang récupère fixe Martignos
01:13et trompe Dorando Nahouma.
01:15Le missile d'Hakimi remet les compteurs à 0
01:16en début de seconde période.
01:17Il prend son temps, il arme sa frappe.
01:19Les néerlandais ont l'occasion de reprendre l'avantage.
01:21Quand Thiel file au but, il décale mal à droite.
01:23C'est dégagé par Martignos.
01:25Paris a poussé jusqu'au bout.
01:26Arrêt miracle de Benitez sur une tête de Marquy encore.
01:29Au bout du bout du temps additionnel.
01:30Et Paris qui enchaîne un deuxième match sans gagner.
01:33Voilà qui est fait.
01:34Les images sont passées.
01:35Juste vos impressions comme ça à la sortie du stade.
01:38J'allais ouvrir un peu la discussion.
01:40Mais dans le temps additionnel,
01:42il y a eu le VAR qui s'est invité.
01:44Pour vous, la décision de M. Lieberg est bonne ou pas ?
01:46100%.
01:47Pourquoi ? Expliquez-nous.
01:48La décision du VAR est bonne.
01:49Oui, la décision du VAR.
01:50La décision et la correction du VAR.
01:51Finale.
01:52La décision finale.
01:53Le fait qu'il n'y ait pas Penalty.
01:54On voit bien que derrière, il tacle du gauche.
01:56Impeccable.
01:57Asensio joue bien le coup.
01:58Il tente de jouer le coup à l'expérience un peu.
02:00Mais le tac, il est parfait.
02:01Dangereux.
02:02Mais parfait.
02:03Il ne s'est pas trompé le joueur.
02:04Et c'est bien rectifié.
02:05Et Asensio aurait dû être averti.
02:06Ce qui n'a pas été le cas.
02:07Ok.
02:08Vos impressions maintenant du match.
02:09Voilà.
02:10Sortie de stade comme ça.
02:11Un petit truc à nous dire.
02:12Frustré.
02:13Le temps ?
02:14La dernière réaction, c'est quand même les dix dernières minutes.
02:16C'était un tsunami incroyable de la part des joueurs du Paris Saint-Germain.
02:19Avec des situations qui se sont multipliées.
02:21On peut se demander pourquoi ils n'avaient pas mis autant d'enthousiasme et d'envie sur d'autres séquences du match.
02:27Mais un truc perso.
02:28En fait, moi, je n'ai pas trop compris aussi à la fin.
02:30J'en parlais avec Etienne.
02:31Parce qu'on collabore pas mal.
02:32Et pas seulement sur les pronos.
02:34Alors, je suis peut-être naïf et candide.
02:35C'est votre collaborateur.
02:36Mais je trouve que c'est dommage.
02:37Quand on voit les types se dépouiller comme ça sur la fin.
02:39Que lorsque le coup de sifflet à la finale est donné, qu'elle soit sifflée.
02:43Voilà.
02:44Ok.
02:45Oui.
02:46C'est ça.
02:47Bon, je suis peut-être un peu…
02:48Il y a un peu de regrets.
02:50Je ne sais pas.
02:51Sur les dernières séquences, je ne comprends pas comment on peut les siffler.
02:55Il y a des regrets forcément pour le PSG qui méritait de gagner ce match-là.
02:59Qui a fait ce qu'il fallait pour gagner ce match-là.
03:01Même s'il y a des choses à dire.
03:02On l'a dit à la mi-temps.
03:03Mais c'est un match que les Parisiens auraient dû gagner.
03:05Oui.
03:06C'est vous aussi votre sentiment ?
03:07C'est difficile de ne pas avoir ce sentiment-là.
03:09Le nombre d'occasions.
03:10On a vu celle de la première mi-temps.
03:12Mais sur les 10 dernières minutes et même avant.
03:14Franchement, c'est fort à la mot.
03:15Et c'est incroyable le nombre d'occasions qui se procurent.
03:18C'est incroyable l'intensité qu'ils finissent par mettre dans ce match.
03:20Et de ce point de vue-là, c'est plutôt remarquable.
03:23Je partage l'avis de Nabil.
03:24Ce public qui siffle son équipe.
03:26Qui met autant d'énergie, autant d'envie dans une fin de match.
03:29Je trouve ça curieux.
03:31Tu as le droit d'aimer ou pas ce que fait Louis-Henri Guay.
03:34Tu as le droit parfois d'être déçu.
03:36Mais dans ce match-là, on va les compter.
03:387, 8, 9 occasions franches.
03:40Où effectivement Benitez te donne un peu le but.
03:42Mais derrière, fait une fin de match exceptionnelle.
03:45Siffler ton équipe.
03:47Quand effectivement, tu as quand même un sentiment que ces gars-là.
03:50Oui, c'est très mauvais comptablement.
03:52Parce qu'on en reparlera.
03:53Le top 8, ça va devenir chaud.
03:55Mais siffler l'équipe.
03:57Alors qu'elle a donné ça.
03:59C'est un peu dur.
04:00Je suis d'accord quand même.
04:01Fin de ces impressions de sortie du stade.
04:04Ma question c'est.
04:05Est-ce un soir à douter de la qualification ?
04:08Pour vous ce soir.
04:09Puisqu'après trois matchs.
04:10Donc Gérôme écrasé 1-0.
04:13Arsenal défaite cinglante.
04:15Sans appel.
04:16Et puis ce soir, le PSG qui était un adversaire.
04:18On va dire à la portée du Paris Saint-Germain.
04:20Et bien c'est un partout.
04:21Est-ce un soir pour vous à douter du top 8 ?
04:23Non, non, pas top 8.
04:25Non, non, pas top 8.
04:26La qualif en général.
04:29Top 8, oui.
04:30Qualif, non.
04:31Le top 8, il faut déjà l'oublier les gars.
04:33Mais d'accord.
04:34T'as 7-8 équipes à 0 points.
04:36Non, mais la question en fait c'est quand même.
04:40Pardon, excusez-moi.
04:42Non, mais d'accord.
04:43Le cahier des charges quand on arrive.
04:45C'est le Paris Saint-Germain.
04:46Ils sont candidats au top 8.
04:47Aujourd'hui on a un 3 quart de réponse.
04:50Non, mais là le top 8 c'est terminé là.
04:52Le jour du tirage au sort.
04:53Toi tu l'aimais favori dans ton tweet.
04:55Tu trouvais mes tweets.
04:56Moi j'étais sûr qu'ils allaient pas finir.
04:57Ah oui, mais tes tweets c'est pas religieux.
04:59Non, mais si je l'écoutais c'est que.
05:01Non, mais c'est que je le pensais.
05:03Moi j'ai dit que non.
05:04Toi tu l'as gagné top 8 toi ?
05:05Moi si tu regardes mes tweets.
05:06T'en sauras jamais rien.
05:10Oui, donc c'est pas top 8 les 11.
05:12On est tous d'accord en fait.
05:13Ils sont 16 là ce soir à peu près.
05:16Et là ils jouent Bayern et City.
05:18Non, ils jouent l'Atlético Madrid.
05:20Bayern et City ?
05:21Oui, Bayern et City.
05:22Et le budget c'est top 4.
05:24Donc on les attend dans le top 8 forcément.
05:26Non, mais après il y a un décalage par rapport au budget.
05:28Par rapport à ce que tu prétends être en Europe.
05:31Et dire oui ça va être difficile de finir dans les 8.
05:34C'est quand même la base de finir dans les 8.
05:35Non, ce soir on le sait.
05:38Quand tu as le budget du Paris Saint-Germain,
05:40les salaires du Paris Saint-Germain,
05:42tu dois être dans le top 8.
05:43Après ils sont...
05:44Quand tu as le budget et le salaire du Paris Saint-Germain,
05:46je suis d'accord avec toi,
05:47que l'objectif normalement c'est d'être dans le top 8.
05:49Quand tu regardes aujourd'hui l'effectif du Paris Saint-Germain
05:52au démarrage de la saison,
05:53là je rejoins plutôt Jérôme,
05:54je pense que ça ne s'impose pas forcément d'être dans le top 8.
05:57Il y a des effectifs.
05:59Donc il y a un mauvais travail qui est fait vraiment.
06:01Là-dessus on peut être d'accord.
06:03Mais quand tu regardes les effectifs,
06:04je pense que l'effectif du Paris Saint-Germain,
06:06et je parle de 20 joueurs au départ de la saison,
06:10je ne pense pas qu'ils soient dans le top 8.
06:12Je pense qu'il y a plus de 8 effectifs qui sont meilleurs que le leur.
06:15Vous parlez du budget et des salaires.
06:17Mais vous corrélez ça,
06:19peut-être effectivement un mauvais travail.
06:21Est-ce que le jour de la fin du Mercato,
06:23donc on va dire le 1er septembre,
06:25vous prenez le meilleur 11 possible parisiens ?
06:27Vous le mettez sûr dans le top 8 ?
06:29On ne le sait pas.
06:30On ne le sait pas.
06:31Vous dites que c'est sûr, c'est qu'il y a eu des charges.
06:35Avec les moyens du Paris Saint-Germain,
06:37ils devraient constituer un effectif top 8.
06:39Ce n'est pas pareil Stéphane.
06:41On te dit Joao Neves c'est ceci,
06:43celui-là c'est cela, l'autre c'est...
06:45Oui on te dit.
06:46Mais la raison,
06:47l'objectif c'est avec le budget qu'ils ont fait,
06:49puis les recrues qu'ils ont faites,
06:51c'est de finir minimum dans le top 8.
06:53Mais là on est fixé.
06:55Après nous on peut dire ça,
06:56par rapport à ce qu'on a vu sur les 3 premières journées,
06:58mais par contre eux,
06:59quand ils font le recrutement,
07:01j'imagine, j'ose imaginer,
07:03qu'ils pourront y arriver le plus haut possible.
07:05Il ne faut pas y avoir une équipe...
07:07Le 2 septembre, Jérôme,
07:08tu te dis quand même,
07:09le 2 septembre, moi je le dis le 2 septembre,
07:11Gérôme, c'est fait à domicile,
07:13PSV Eindhoven, c'est fait à domicile,
07:15Arsenal oui, t'as un doute,
07:16Arsenal extérieur, tu te dis voilà.
07:17Mais tu ne peux pas te dire,
07:18au bout de 3 jours des ligues des champions,
07:20que tu vas avoir vu ce PSG-là,
07:223 matchs de suite,
07:23qui va finalement avoir 4 points sur 9 possibles.
07:25Même le 2 septembre,
07:27même avec cet effectif-là quand même,
07:29l'effectif de PSV Eindhoven,
07:30je veux dire, Luc de Jong,
07:31il n'a plus d'âge,
07:32le meilleur joueur du PSV était suspendu,
07:36ils n'ont pas d'arrière-gauche,
07:38ils n'ont pas d'arrière-droite.
07:39D'est, Schutten, Wehrmann et Lozano
07:41étaient forfaits car blessés,
07:43Perisic non qualifiche.
07:44S'il vous plaît, mon cher Jérôme,
07:46on va aller au parc,
07:47votre ancienne maison,
07:48y retrouver Giovanni Castaldi.
07:50Giovanni, bonsoir,
07:51vous avez assisté au match de Gérôme,
07:52Arsenal et le PSV.
07:54Est-ce que finalement,
07:55vous avez vu le meilleur match
07:56en ligue des champions cette saison
07:57du Paris Saint-Germain,
07:59mais pour un résultat qui est,
08:00on va dire, catastrophique ?
08:01Est-ce que vous partagez ce constat ?
08:07Bonsoir mémé, bonsoir à tous.
08:08Sur le résultat catastrophique,
08:10je pense que c'est un tantinet excessif.
08:12Sur le Paris Saint-Germain,
08:13oui, c'est le meilleur PSG
08:15que j'ai vu en ligue des champions
08:16de très très loin.
08:17Ce soir, il méritait de s'imposer.
08:20Moi, je suis extrêmement remonté
08:21contre la prestation,
08:23en tout cas les 45 premières minutes
08:24d'Ousmane Dembélé,
08:25parce que ça coûte très cher.
08:26C'est un match où tu dois mener 2-0
08:29après 20 minutes de jeu.
08:30Honnêtement, les 20 premières minutes,
08:31je les ai trouvées très très bonnes
08:32de la part du Paris Saint-Germain.
08:35Arsenal, il y avait deux classes d'écart,
08:38il n'y a pas de soucis là-dessus.
08:40J'ai entendu votre débat,
08:41vous parliez des budgets,
08:42des sommes dépensées, etc.
08:45On peut s'arrêter à une ligne de revenus,
08:48puis aussi on peut regarder les joueurs
08:49qui composent cette effective.
08:50Je pense qu'il n'y a personne,
08:51quand il y a le calendrier qui est tombé,
08:53et que vous voyez l'effectif du Paris Saint-Germain,
08:55qui peut envisager que cette équipe
08:56soit top 8 européen.
08:58Comme l'an passé,
08:59je n'ai jamais pensé que cette équipe
09:00allait en demi-finale de Ligue des Champions.
09:03On peut parler des budgets.
09:05Je trouve que c'est plus intéressant
09:07de parler de ce qui s'est passé ce soir
09:08sur la pelouse.
09:09On parle beaucoup de progrès,
09:10ou non, de cette équipe parisienne.
09:12Ce soir, j'ai vu un bon match
09:13des Parisiens dans le contenu.
09:15C'est assez intéressant, il me semble.
09:17Il faut qu'ils soient en dessous
09:19les joueurs de leur niveau.
09:21C'est une chose.
09:22Par contre, quand tu fais cette effective-là,
09:24quand tu les prends un par un,
09:25tu as quand même des joueurs
09:26qui jouent dans les plus grandes sélections,
09:28et puis des joueurs qui sont en devenir,
09:30mais ce n'est pas en devenir dans trois ans.
09:32Si tu es au PSG, c'est en devenir rapidement.
09:34Peut-être qu'ils n'ont pas fait assez
09:36en prenant des joueurs confirmés
09:39avec un peu plus d'expérience,
09:40mais ça, c'est leur choix.
09:41On parle de deux choses différentes.
09:43Qu'est-ce qu'on fait, en fait ?
09:44On analyse une équipe
09:46qui va être traite dans deux ou trois ans.
09:47Dans ce cas-là, ils sont en progression
09:49et peut-être qu'ils vont le faire.
09:51Quand tu as le PSG en main,
09:54tu n'es pas là pour être prêt
09:55dans deux ou trois ans.
09:56Tu fais un recrutement
09:57pour que les joueurs de suite
09:58soient compétitifs.
09:59Vous ne parlez pas avec Jérôme
10:00exactement de la même chose.
10:01Toi, tu parles du fait que le PSG
10:03travaille mal dans le recrutement
10:04et que dans son projet sportif,
10:06forcément, il se…
10:07Tu n'as pas dit ça, non ?
10:08Moi, en tout cas, je le dis,
10:11parce que tu ne peux pas considérer…
10:13Si tu regardes, en effet,
10:14comme le disait Giovanni,
10:15la ligne budgétaire,
10:16ça, c'est sûr que le PSG
10:17ne travaille pas bien,
10:18puisque là, pour le coup,
10:19il devrait être dans le top 8.
10:20Quand tu regardes, comme le disait Jérôme,
10:22le 11 titulaire au départ
10:24du Paris Saint-Germain
10:25au démarrage de la saison
10:26au tirage au sort
10:27de la Ligue des champions,
10:28moi, je ne pense pas
10:29que cet effectif-là,
10:30ce 11-là de départ,
10:31il soit dans les 8 meilleurs 11
10:33de départ de la Ligue des champions.
10:34Il y en a beaucoup
10:35qui lui sont supérieurs
10:36et je pense même
10:37assez nettement supérieurs.
10:38Donc, par exemple,
10:39tu trouves que l'effectif de Monaco
10:40est supérieur à celui du PSG ?
10:41Et on ne parle pas de Monaco
10:42quand on parle des équipes
10:43qui seront au-dessus.
10:44Évidemment, il est possible
10:45d'avoir des meilleurs résultats
10:46que ton effectif.
10:47Parce que quand je vois le jeu de Monaco,
10:49Mais bien sûr, après,
10:50il y a d'autres questions
10:51qui rentrent en ligne de compte.
10:52Est-ce que Luiz Henrique
10:53en tire le meilleur parti ?
10:54Est-ce que ce n'est pas trop rigide ?
10:55Est-ce que cette équipe-là,
10:56elle ne peut pas être
10:57à des moments donnés
10:58dans un carcan ?
10:59Mais moi, je ne peux pas…
11:00Quand tu démarres la saison,
11:01même si on peut ne pas aimer…
11:02Quand tu vas dessus
11:03sur l'entraîneur,
11:04je ne mets pas la faute
11:05que sur l'entraîneur.
11:06On peut ne pas aimer Mbappé,
11:07mais c'est quand même
11:08un joueur, on va dire,
11:09de classe mondiale,
11:10même si en ce moment,
11:11un peu moins qu'avant,
11:12tu le perds
11:19Après, c'est leur choix.
11:20C'est leur choix.
11:21C'est-à-dire de l'espérer,
11:22comme j'ai entendu,
11:23qu'ils espèrent avoir
11:24plusieurs joueurs
11:25qui mettent même
11:26moins de buts,
11:27mais qui soient
11:28assez équilibrés pour gâcher.
11:29Et ça ne se résume pas
11:30à PSG avec Mbappé
11:31ou sans Mbappé.
11:32Ce n'est pas ça.
11:33Moi, j'y pense même plus
11:34quand je vois les matchs du PSG.
11:35Ce n'est pas ça.
11:36Qu'est-ce que cette équipe…
11:37Moi, je me suis demandé
11:38tout le match, finalement,
11:39c'est quoi le point fort
11:40du Paris Saint-Germain ?
11:41Quand on joue le PSG,
11:42on s'est dit
11:44on a peur de quoi ?
11:45Je suis bien d'accord avec toi.
11:47Je ne réponds pas à la question.
11:49On en parlait tout à l'heure.
11:51C'est-à-dire que le milieu de terrain
11:52du Paris Saint-Germain
11:53dans le projet de jeu
11:54de Luis Henrique,
11:55c'est lui qui doit
11:56te porter sur le toit
11:57de l'Europe.
11:58Avec ce milieu-là,
11:59tu es censé dominer
12:00dans le jeu
12:01tous les grands clubs européens.
12:02Moi, je ne pense pas.
12:03C'est eux qui ont fait
12:04ce recul.
12:05Je suis bien d'accord avec toi.
12:06Moi, je ne pense pas.
12:07Donc, il y a un problème
12:08structurel.
12:09Il y a une tromperie
12:10sur la marchandise.
12:11Parce qu'on nous a promis
12:12ce que j'ai entendu.
12:13Aller compenser
12:14le manque de talent individuel.
12:16Je peux vous mettre sur pause ?
12:17Non.
12:18Je vous mette sur pause.
12:19On va regarder une archive.
12:20On est juste avant
12:21le début de la saison.
12:22Donc, Mbappé est parti.
12:23Conférence de presse
12:24de Luis Henrique.
12:25On est le 15 août.
12:26On est à la veille
12:27du début de la saison
12:28qui va être entamée au Havre
12:29tout près de chez Stéphane.
12:30Donc, Mbappé est parti.
12:31Est-ce que vous voulez
12:32enrôler un grand numéro neuf,
12:34un grand attaquant ?
12:35Écoutez la réponse
12:36de Luis Henrique.
12:37Vous allez voir que la réponse
12:38a peut-être illustré
12:39ce qui ne s'est pas passé ce soir.
12:40On y va.
12:41Luis Henrique,
12:42le 15 août dernier.
12:48S'il y a un joueur
12:49qui marque 40 buts,
12:50on ne lui fermera pas les portes.
12:52Mais avec le recul,
12:53je préfère en avoir 4
12:54qui en marquent 12.
12:55Ça fait 48.
12:56C'est plus que 40.
12:58Est-ce que c'est le constat
12:59du soir, en fait ?
13:00Est-ce que Luis Henrique,
13:01par rapport à ce qu'il nous dit,
13:02c'est le cap ?
13:03C'est pas un vrai constat.
13:04Parce que si c'est un mec
13:05qui met 40,
13:06si c'est un mec
13:07qui met 40,
13:08et puis tu en as quand même
13:09autour,
13:10ils ne mettent pas zéro but
13:11dans la saison.
13:12Non, mais à la sortie,
13:13tu les as,
13:14les 3-4 qui t'en mettent
13:15entre 7, 8, 10.
13:16Par contre,
13:17tu n'as pas celui
13:18qui t'en met 40.
13:19Donc après,
13:20c'est moins 40.
13:21Non, mais ça,
13:22c'est un choix.
13:23C'est pas qu'après,
13:24sur ce soir,
13:25tu ne vas pas taper sur ça
13:26parce qu'ils ont vraiment
13:27les occasions.
13:30C'est pas tellement aussi
13:31le fait que des joueurs
13:32qui mettent 40 buts,
13:33parce que tu as des joueurs
13:34qui mettent 40 buts
13:35et puis on dit
13:36que des champions
13:37ne performent pas.
13:38C'est le joueur
13:39qui, en Ligue des champions,
13:40dans ses grands matchs,
13:41te fait basculer.
13:42Là, un grand joueur,
13:44si on dit Mbappé,
13:46on focalise sur un nom
13:47et ça pourrit le débat.
13:48Mais si tu as
13:49De Jong, par exemple,
13:51De Jong, ce soir,
13:52là, ce n'est pas
13:53le meilleur De Jong,
13:54mais De Jong,
13:55l'occasion qu'a Dembélé,
13:56tu lui donnes l'occasion
13:57de Dembélé,
13:58elle est au fond.
13:59Elle est au fond.
14:00Oui, c'est vrai.
14:01Tu perds vraiment très rapidement.
14:02Moi, je pense que ce joueur-là,
14:03alors peut-être pas 40, 50,
14:04mais ce joueur-là,
14:05c'est quand même assez clinique
14:06devant le but.
14:07Mais est-ce qu'il serait titulaire ?
14:08Sur certaines occasions,
14:09moi, je pense que
14:10ça aurait été mieux fait.
14:11Qu'est-ce qui vous fait croire
14:12que...
14:13Je vois des gestes,
14:14notamment, par exemple,
14:15l'an dernier à Marseille,
14:16les buts qu'il met,
14:17tu vois tout de suite
14:18que c'est un vrai buteur.
14:19Mais on parle de Ramos.
14:20Par exemple,
14:21l'occasion que Dembélé a,
14:22moi, je trouve que
14:23Dembélé ne fait pas le bon geste.
14:24C'est-à-dire qu'il subit le ballon,
14:25que son pied part derrière.
14:26C'est le ballon
14:27sur la barre transverse.
14:29C'est-à-dire qu'un Ramos,
14:30par exemple,
14:31je ne dis pas qu'il marque,
14:32peut-être qu'il la mettra à côté.
14:33Mais par contre,
14:34le geste, il aurait été claqué.
14:35Et c'est ce qu'il fallait faire.
14:36C'est-à-dire que là,
14:37demi-volé,
14:38tu ne dois pas subir ce ballon.
14:39Et je pense qu'un Ramos,
14:40c'est un attaquant
14:41pour avoir ces gestes-là.
14:42Là, tu n'as pas.
14:43Sur l'analyse du joueur Ramos.
14:46Mais sauf que Ramos,
14:47c'est un joueur
14:48qui n'est pas à Lussitra
14:49qui est compatible.
14:50Il n'aime pas Ramos.
14:51Mais non,
14:52il ne veut pas traîner.
14:54Il jouait un peu.
14:55Et la dernière,
14:56il n'y avait que des bouts de match.
14:57Oui, parce qu'il y avait d'autres joueurs.
14:58Est-ce que Ramos jouera
14:59quand il sera en pleine forme ?
15:00Je ne sais pas.
15:01Moi, après,
15:02je ne suis pas sûr.
15:03Louis Sénéqué,
15:04tu es sûr de ça, toi ?
15:05Tu es sûr qu'il veut jouer sans neuf ?
15:07Je ne suis pas sûr qu'il joue sans neuf.
15:08Mais quand Ramos s'est blessé,
15:10il a dit
15:11je ne prends pas d'autres neufs.
15:12Non, mais là où il a raison,
15:14c'est que Ramos,
15:15quand même,
15:16il a des compétences
15:17et des aptitudes
15:18d'aller plus vite dans la surface
15:19et être plus clinique.
15:21Les amis,
15:22ce soir,
15:23pour jouer le PSV,
15:24une de bonne,
15:25en Ligue des champions,
15:26quand tu es Paris,
15:27tu ne peux pas te réfugier
15:28derrière l'absence de Pierre,
15:29de Paul, de Jean.
15:30Là, on est en train
15:31de redescendre le débat
15:32de Jean
15:33à un niveau d'exigence.
15:34Là, on est en train
15:35d'analyser Lille ou Brest.
15:36Ce n'est pas Paris.
15:37Non, mais Jean,
15:38par exemple,
15:39il dit que si là...
15:40Sur les grands matchs
15:41ou les matchs importants,
15:42ça n'a rien à faire.
15:43Peut-être que Jean,
15:44il nous dit
15:45que ce soir,
15:46avec un neuf clinique
15:47type Ramos,
15:48tu en mets au moins un de plus.
15:49Il y avait Colomoy-Nic
15:50qui joue numéro neuf
15:51parfois en équipe France.
15:52Il est rentré Lille-Gauche.
15:53Il est rentré Lille-Gauche,
15:54on n'a rien compris,
15:55mais juste un truc important.
15:56Ce soir, on est fixé.
15:57PSG, c'est chapeau 2.
15:58C'est vrai que moi,
15:59au tirage au sort,
16:00même si je pensais
16:01qu'ils n'allaient pas finir
16:02dans le top 8,
16:03ils étaient...
16:04C'est chapeau 2, PSG.
16:05Vous reparlez de votre tweet.
16:06Non, non, non.
16:07Je redis après chacun
16:08ses impressions et tout.
16:09Contre Géron,
16:10ça a été l'alerte.
16:11Ils ont gagné
16:12sur le fil.
16:13Contre Arsenal,
16:14ça a été le révélateur.
16:15Ils ne sont pas au niveau.
16:16Et ce soir,
16:17c'est la confirmation.
16:18Ils ont marqué deux buts
16:19en Ligue des Champions
16:20cette année.
16:21Deux erreurs de gardien.
16:22C'est ça,
16:23le bilan offensif
16:24du Paris Saint-Germain.
16:25Giovanni,
16:26vous nous avez un petit peu
16:27allumés sur Dembélé.
16:28Je voulais les faire agir
16:29finalement,
16:30les parties,
16:31plutôt sur la structure,
16:32sur les choses comme ça,
16:33sur la politique sportive
16:34du Paris Saint-Germain,
16:35sur les options,
16:36on va dire,
16:37les choix de Louis Sélencké.
16:38Vous pouvez nous ramener
16:39sur le terrain
16:40à ce que vous avez constaté
16:41sur peut-être
16:42d'autres attaquants
16:43qui ont manqué.
16:44Parce que là,
16:45vous me faites
16:46une petite démbousise,
16:47une irritation
16:48à la Dembélé.
16:49Est-ce qu'il y a
16:50d'autres joueurs offensifs
16:51qui vous ont déçu,
16:52Giovanni ?
16:53Je pense que
16:54Bradley Barcola,
16:55il aurait pu
16:56et dû faire mieux.
16:57Il n'a pas été aussi tranchant
16:58et provoquant
16:59que d'habitude.
17:00Mon lit,
17:01il s'est complètement perdu
17:02dans son rôle
17:03de faux numéro 9.
17:04Je ne l'ai pas trouvé
17:05très, très bon.
17:06Donc,
17:07c'est sûr
17:08qu'il y a eu du déchet
17:09devant.
17:10Moi,
17:11ce qui me rend le plus fou
17:12sur le coaching
17:13de Luis Enrique,
17:14c'est que quand il fait rentrer
17:15Randall Colomoigny
17:16à gauche,
17:17qu'il laisse Asensio faux 9
17:18et qu'il met Doué à droite,
17:19alors que Doué,
17:20il est plus à l'aise
17:21côté gauche
17:22pour rentrer sur son pied droit,
17:23qu'Asensio,
17:24il a quand même passé
17:257 ans au Real côté droit
17:26pour rentrer sur son pied gauche
17:27et que Colomoigny,
17:28même si on pense que c'est
17:29ici, à Paris,
17:30une pompe à vélo,
17:31quand il est en équipe de France,
17:32il met quand même des buts
17:33en position d'avant-centre.
17:34Ça, c'est un truc
17:35que je ne m'explique pas.
17:36Je vais essayer de lui poser
17:37la question,
17:39parce que ça, vraiment,
17:40je ne comprends pas.
17:41En revanche,
17:42je trouve qu'il y a
17:43un secteur sur lequel
17:44le Paris-Saint-Germain
17:45progresse par séquences,
17:46c'est les récupérations.
17:47Pendant 20 minutes,
17:48ils ont été excellents
17:49dans ce domaine-là.
17:50Je trouve que dans les circuits,
17:51ce soir,
17:52il y a eu 2-3 séquences
17:53qui sont intéressantes
17:54et quand j'entends
17:55qu'on me dit
17:56que ça y est,
17:57Paris est chapeau 2,
17:58que c'est acté, etc.,
17:59la Ligue des Champions,
18:00elle s'étend jusqu'à fin janvier.
18:01Il y aura un mercato au milieu.
18:02Il n'est pas interdit de croire
18:03que cette équipe,
18:04elle a le droit
18:05de progresser aussi.
18:06Je vous trouve très impatient
18:07et vous êtes très définitif
18:08sur ce PSG-là
18:09après 3 journées.
18:10Ça me paraît
18:11beaucoup trop excessif,
18:12en fait.
18:13Giovanni, Giovanni, Giovanni,
18:14le calendrier du Paris-Saint-Germain.
18:15Après, donc, Géron,
18:16Arsenal, le PSG,
18:17on a donc
18:18la journée prochaine
18:19Atlético de Madrid.
18:20Puis, après,
18:21un petit voyage
18:22dans un petit club
18:23bavarois,
18:24le Bayern.
18:25Salzbourg,
18:26ça pourrait aller.
18:27Et puis, après,
18:28réception de Manchester City
18:29et un voyage du côté
18:30de Stuttgart.
18:31Et puis,
18:32après,
18:33un voyage du côté
18:34de Stuttgart.
18:35Je peux revenir avec Jo
18:36une seconde, mémé ?
18:37Oui, on a toujours
18:38les droits
18:39du Jo Castaldi.
18:40Tu vois bien.
18:41Tu l'as eu.
18:42Allez-y, allez-y.
18:43Mais quelque part,
18:44on partage le même constat
18:45puisque toi-même,
18:46tu es d'accord avec moi
18:47pour dire que même toi,
18:48en septembre,
18:49tu pensais que Paris
18:50n'était pas un candidat
18:51évident au top 8.
18:52Donc là,
18:53on n'est pas très sévère.
18:54On dit juste que ce soir,
18:55c'était la confirmation
18:56que le top 8,
18:57cette saison,
18:58s'éloigne déjà
18:59de manière peut-être définitive.
19:00Je rebondis.
19:01Je ne pense pas.
19:02Juste,
19:03pardon,
19:04je vais juste répondre à ça.
19:05Moi,
19:06j'aime beaucoup
19:07la Bundesliga.
19:08Je regarde le Bayern.
19:09Je pense que c'est une équipe
19:10qui n'est pas imprenable
19:11pour un PSG
19:12dans un bon soir.
19:13Je mets du côté
19:14le match d'Arsenal
19:15parce qu'il y avait
19:16trois classes d'écart.
19:17Mais je trouve que
19:18le Paris Saint-Germain
19:19a cette capacité
19:20à se procurer
19:21énormément d'occasions.
19:22Il y a un fil conducteur.
19:23Il y a une idée.
19:24Il y a un projet de jeu.
19:25Il y a des joueurs
19:26qui y adhèrent.
19:27Donc, en fait,
19:28le sentiment de progression,
19:29il ne peut aller
19:30plus loin.
19:31Je ne dis pas
19:32que c'est parfait.
19:33Vous partez du principe
19:34que c'est déjà paumé
19:35contre l'Atletico,
19:36contre le Bayern
19:37et contre City.
19:38Donc, il y aura
19:39zéro point sur les neufs.
19:40Donc, le constat
19:41de Giovanni Castaldi,
19:42c'est que ça progresse.
19:43Mais nous,
19:44ce dont on parlait,
19:45c'est le registre
19:46extrêmement particulier
19:47de la finition.
19:48La finition,
19:49on va dire,
19:50c'est comme les inconnus.
19:51C'est le bon
19:52et le mauvais chasseur.
19:53Est-ce que la finition,
19:54tu l'as
19:55ou tu ne l'as pas ?
19:56Exemple de Dembélé
19:57qui devient un buteur,
19:58on va dire,
19:59c'est un buteur
20:00un peu plus régulier
20:01cette saison.
20:02Mais si tu fais l'analyse
20:03des attaquants
20:04du Paris Saint-Germain,
20:05on a Durandal-Coloani.
20:06On a peut-être
20:07Dubar-Cola,
20:08peut-être le meilleur
20:09buteur de cette équipe.
20:10On a Asensio.
20:11Ça ne marque pas beaucoup.
20:12Ça ne marque pas beaucoup.
20:13Il n'y a aucun de tous
20:14ces joueurs
20:15qui dans leur carrière
20:16ont marqué
20:17beaucoup de buts.
20:18Il n'y en a pas.
20:19Donc, Dembélé,
20:20si on imagine,
20:21moi, je trouve
20:22qu'il a fait des progrès.
20:23Je sais bien qu'il est détesté
20:24sur ce plateau.
20:25Moi, je trouve
20:26qu'il ne peut pas
20:27nous désespérer.
20:28C'est du dépit amoureux.
20:29C'est du dépit amoureux.
20:30Il y a toujours
20:31de l'amour.
20:32Mais c'est vrai.
20:33Tu le vois où
20:34les progrès se sont
20:35devant le but ?
20:36Je ne te parle pas
20:37des progrès devant le but.
20:38Il a voulu enrouler.
20:39Je suis d'accord
20:40avec toi.
20:41C'est bien comme ça
20:42que je commence
20:43mon propos
20:44en disant que
20:45si on attend de Dembélé
20:46aujourd'hui
20:47que ça devienne un buteur,
20:48ça ne le deviendra jamais.
20:49Moi, là où je vois
20:50des progrès de Dembélé,
20:51c'est sa capacité
20:52pendant 90 minutes
20:53à faire…
20:54C'est ce qu'il a toujours fait.
20:55Non.
20:56Si.
20:57A chaque fois qu'il…
20:58Sur 90 minutes,
20:59il n'avait pas cette capacité
21:00d'accélération.
21:01Je trouve qu'il a gagné
21:02en intensité physique.
21:03Si il dribble,
21:04il rate, il continue.
21:05Ça, par contre,
21:06on ne peut pas lui enlever.
21:07Il continue tout le match,
21:08tout le match, tout le match,
21:09même s'il rate.
21:10Ça, tu ne peux pas lui enlever.
21:11Mais après…
21:12Là où il a progressé,
21:13c'est qu'il enchaîne
21:14les matchs.
21:15Oui.
21:16Là, on le voit.
21:17Il joue tous les matchs.
21:18C'est du jamais vu.
21:19Il garde un jeu incroyable.
21:20Mais on ne va pas
21:21réaliser tous les débats
21:22sur Dembélé
21:23comme si il n'y avait que ça
21:24comme souci.
21:25Si tu regardes…
21:26Oui, mais si tu regardes
21:27les taux de joueurs
21:28du Paris Saint-Germain,
21:29si tu penses…
21:30C'est un prix de savoir
21:31où on met le curseur.
21:32Si tu penses…
21:33Parce qu'on me parle,
21:34c'est des top joueurs européens.
21:35Donc, moi, je le juge
21:36par rapport aux top joueurs européens.
21:37Mais moi, je suis d'accord avec toi.
21:38Dans quelle catégorie,
21:39en fait, Dembélé ?
21:40Mais moi, je suis d'accord
21:41avec toi.
21:42Je ne sais pas moi.
21:43On ne va pas faire
21:44un débat du genre là-dessus.
21:45Je suis d'accord
21:47Mais qui dit ça ?
21:48Tu nous prêtes des propos
21:49qu'on n'a pas tenus.
21:50Ils ont décrété…
21:51Si vous dites,
21:52le 2 septembre arrive,
21:53on n'a pas d'attente particulière.
21:54Top 8 ?
21:55Non, non.
21:56Ok, d'accord.
21:57Donc, on attend du PSG
21:58que ce soit un huitième
21:59de finaliste
22:00de ligue des champions
22:01au mieux.
22:02Mais t'en parles pas à nous.
22:03Non, mais c'est la Ligue 6.
22:04Je m'attends à Paris Saint-Germain.
22:05Moi, je voudrais savoir
22:06par quel fonctionnement
22:07intellectuel on arrive
22:08à cette exigence-là
22:09vis-à-vis de ce club-là.
22:10C'est invraisemblable.
22:11Quand tu vois la ligne d'attaque
22:12du Paris Saint-Germain
22:13au début de la saison,
22:14tu te dis que c'est
22:15une des meilleures lignes d'attaque.
22:16Je ne te dis pas ça.
22:17Moi, je ne suis pas
22:18fait des pronostics.
22:19Je regarde un club
22:20qui nous vend un discours,
22:21qui nous achète des joueurs,
22:22qui constitue un effectif,
22:23qui nous vend un projet.
22:24T'essayes de mettre
22:25des oppositions
22:26là où il n'y en a pas.
22:27Est-ce qu'ils ont réduit
22:28la masse salariale
22:29le 30 % cette année
22:30qui expliquerait
22:31qu'ils soient encore retraités ?
22:32Stéphane !
22:33Non, non.
22:34Ils continuent d'acheter
22:35des collos moinides
22:36et de faire le débat tout seul.
22:37Tu fais des oppositions
22:38là où il n'y en a pas.
22:39Je suis complètement
22:40d'accord avec toi
22:41sur ce constat-là,
22:42sur le fait qu'il y a
22:43un travail...
22:44Tu te sens,
22:45sans toi,
22:46mégalomanise un peu moins
22:47l'émission.
22:48Je ne te sens pas.
22:49À chaque fois que je parle,
22:50visée,
22:51ce n'est pas le sujet.
22:52Là, je ne te parle pas de toi.
22:53Je te parle de l'attente
22:54autour du Paris Saint-Germain
22:55et ce que le Paris Saint-Germain
22:56nous vend
22:57et que nous, on gomme.
22:58Ah oui, on a une équipe
22:59de...
23:00Mais les provinces
23:01n'engagent que ceux
23:02qui les croient.
23:03Stéphane,
23:04il y a une équipe
23:08Je trouve que
23:09le bilan du PSG
23:10après trois journées
23:11en Ligue des champions
23:12et pourtant,
23:13on sort d'un match
23:14qui était plutôt meilleur
23:15que les précédents,
23:16ce n'est pas normal.
23:17Ce n'est pas normal.
23:18Non, mais ce n'est pas normal
23:19par rapport aux adversaires.
23:20Si tu as joué City,
23:21Bayern, Arsenal,
23:22tu te dis bon,
23:23ça va,
23:24tu as fait à peu près la moitié.
23:25Et là, c'est pas normal.
23:26Et Brest,
23:27qu'est-ce qu'ils disent, Brest ?
23:28Qu'est-ce qu'ils vont dire, Brest ?
23:29Ils ont joué des équipes...
23:30Demain, Brest,
23:31qu'est-ce qu'ils font alors ?
23:32Ne mégalanise pas trop
23:34Giovanni Castagni.
23:35Non, parce que c'est vrai,
23:36t'es tellement discret,
23:37t'es tellement discret
23:38dans cette émission.
23:39La hyène a été mordue,
23:40la hyène rechiquetée.
23:41Bah non !
23:42Giovanni Castagni.
23:46Oui, je ne sais pas
23:47si Etienne
23:48est un peu trop mégalo.
23:49En tout cas,
23:50ce qui est sûr,
23:51c'est que Stéphane,
23:52visiblement,
23:53tu as un petit souci
23:54avec la direction parisienne.
23:55Moi, je n'ai pas entendu
23:56le même discours
23:57parce qu'ils nous ont vendu
23:58un projet de reconstruction
23:59autour de Louis-Saint-Riquet.
24:00Tu parles de masse salariale,
24:01ils l'ont baissée
24:02de plus de 30%.
24:03Parce que moi,
24:04je veux bien qu'on parle
24:05des prix d'achat
24:06de Colomogny,
24:07Ramos, etc.
24:08Mais en termes de salaire,
24:09c'est quand même autre chose
24:10que Neymar, Messi
24:11et Kylian Mbappé.
24:12Donc, on peut tout faire dire
24:13au chiffre,
24:14il n'y a pas de souci,
24:15ils dépensent des sous,
24:16etc.
24:17Mais il faut être inconscient
24:18pour penser que le PSG,
24:19en ayant perdu
24:20ce qu'ils ont perdu
24:21en deux ans
24:22en termes d'effectifs,
24:23de joueurs d'expérience,
24:24de joueurs offensifs,
24:25de classes internationales,
24:26de dire que c'est encore
24:27un club qui a les mêmes ambitions
24:28qu'il y a deux ans.
24:29Déjà l'an passé,
24:30c'était moins de bling bling.
24:31Et là, si on tourne la page,
24:32on est en reconstruction.
24:33On peut le croire ou non,
24:34mais la réalité,
24:35c'est que c'est un effectif jeune
24:36avec des joueurs
24:37à fort potentiel,
24:38avec quelques joueurs confirmés.
24:40Mais ce n'est plus le PSG
24:41qu'on a connu en fait
24:42il y a un an et demi,
24:43deux ans.
24:44C'est tout.
24:45Mais Giovanni, Giovanni !
24:46Pour Giovanni,
24:47sur le PSG,
24:48on les juge par rapport
24:49à qui alors ?
24:50Alors, il dit que
24:51ce n'est pas dans le chapeau 2,
24:52mais on les juge par rapport
24:53à qui maintenant ?
24:55Non, mais il y a une tromperie
24:56sur la marchandise,
24:57c'est tout.
24:58Non, je dis juste
24:59sur le chapeau 2,
25:00Johan,
25:01que c'est trop tôt
25:02pour les condamner.
25:03Je dis simplement
25:04que si vous avez
25:05la même exigence
25:06du PSG,
25:07il y a deux ans,
25:08quand en attaque,
25:09il y avait Lionel Messi,
25:10Neymar et Kylian Mbappé,
25:11et que là,
25:12il se retrouve avec
25:13Kang Inglis, Fauneuve,
25:14Bradley Barcola
25:15et Ousmane Dembélé,
25:16ce n'est pas être honnête.
25:17L'effectif est beaucoup
25:18moins fort,
25:19quoi qu'on en dise,
25:20quoi qu'il se passe.
25:21Et la masse salariale
25:22est beaucoup moins élevée
25:23et les sommes engagées
25:24sont beaucoup moins importantes.
25:25Donc en fait,
25:26Stéphane,
25:27ce n'est pas vrai
25:28quand tu dis qu'ils vendent
25:29ce projet-là.
25:30Le Paris-Saint-Germain
25:31aujourd'hui,
25:32c'est la 6e, 7e équipe
25:33d'Europe.
25:34Et puis voilà.
25:35Le PSG,
25:36c'est surréaliste
25:37ce que tu racontes.
25:38Je ne sais pas
25:39par qui tu as été
25:40piquisé,
25:41mais c'est surréaliste.
25:42Ils ont combien de fois
25:43le budget du PSV
25:44et de Vannes ?
25:45Le budget du PSV
25:46et de Vannes ?
25:47Le budget du PSV
25:48et de Vannes ?
25:49Le budget du PSV
25:50et de Vannes ?
25:52C'est important quand même
25:53l'argent.
25:54L'argent,
25:55c'est quand même
25:56un peu la règle du jeu.
25:57Tu n'as pas la même attente
25:58quand tu vois Brest
25:59jouer à la Ligue des champions
26:00ou le Paris-Saint-Germain.
26:01L'effectif,
26:02on l'a sous les yeux.
26:03Est-ce que tu pensais,
26:04toi, fin août,
26:05que cet effectif-là
26:06pourrait faire facilement
26:07dans les carrés
26:08de la Ligue des champions ?
26:09Je pensais que le PSG
26:10avec son projet actuel,
26:11ses moyens
26:12et son budget
26:13n'aurait pas à craindre
26:14des matchs contre Géronne
26:15et Eindhoven
26:16au Parc des Princes.
26:17Ça, je te le confirme.
26:18Pour l'instant,
26:19on parlera
26:20dans 15 jours
26:21du match
26:22contre la Ligue des combattrices.
26:23Là, ils viennent de jouer
26:24le PSG-Eindhoven
26:25qu'ils n'ont pas battu.
26:26C'est quand même
26:27des fans, la vérité.
26:28Je vous mets sur pause,
26:29mes amis.
26:30Giovanni, oui,
26:31concluez parce que
26:32Marquinhos a dégainé
26:33un truc sur Canal.
26:34Je vous coupe la parole
26:35parce que Marquinhos,
26:36écoutez ce qu'il nous dit.
26:37L'an dernier,
26:38on avait un grand numéro 9.
26:39Reviens Kiki, reviens.
26:40La maison est vide sans toi.
26:41L'année dernière,
26:42on avait un grand numéro 9.
26:43Il a dit
26:44chez nos confrères de Canal+,
26:45on a des grands joueurs
26:46qui ont montré
26:47qu'ils peuvent le faire.
26:48Aujourd'hui, ça a manqué.
26:49Plus de tranquillité devant le but.
26:50L'année dernière,
26:51on avait un grand numéro 9.
26:52C'est une autre idée de jeu
26:53aujourd'hui.
26:54Il a raison.
26:55C'est quoi ?
26:56C'est un pas de côté
26:57par rapport à la politique sportive
26:58décidée par le PSG ?
26:59C'est un bon discours
27:00de capitaine, ça.
27:01C'est bien pour tes enfants.
27:02C'est un scud
27:03pour son entraîneur surtout.
27:04C'est ses coéquipiers.
27:05C'est ses coéquipiers.
27:06C'est tes potes
27:07qui s'en avancent.
27:08Attends,
27:09mais moi, je suis son coéquipier.
27:10Je prends l'exemple,
27:11donc je ne le prends pas
27:12forcément pour moi.
27:13On ne me met même pas
27:14à ma position.
27:15Là, c'est la politique sportive.
27:16Là, il s'en prend à son coach.
27:17Il s'en prend à son coach,
27:18mais forcément,
27:19il joue à raison.
27:20Ce n'est quand même
27:21pas très sympa
27:22pour les joueurs qui jouent.
27:23Il a surtout raison.
27:24C'est qu'un capitaine,
27:25tu ne dis pas ça.
27:26Bien sûr.
27:27Un mot sur Ousmane Dembélé
27:28si j'ai le droit ?
27:29Allez-y.
27:30Pourquoi tu n'as pas le droit ?
27:31J'ai envie de revenir dessus.
27:32Je suis d'accord
27:33avec Stéphane
27:34sur l'analyse globale.
27:35Le PSG,
27:36c'est la politique sportive.
27:37Dembélé,
27:38on ne va pas revenir
27:39sur la politique sportive.
27:40Dembélé,
27:41il n'a jamais terminé
27:42les actions.
27:43Tu commences la saison
27:44en lui expliquant.
27:45C'est comme si tu étais en NBA.
27:46Tu étais option numéro 3.
27:47Tu étais le troisième
27:48sur les shooters de l'équipe
27:49et tu deviens premier shooter
27:50alors que ça n'a jamais été
27:51ta spécialité.
27:52Et sur le match,
27:53moi, ce que j'ai remarqué,
27:54après je me trompe peut-être,
27:55c'est qu'il est devenu
27:56réellement intéressant
27:57dans le registre
27:58dans lequel il excelle le plus.
27:59Éliminé et centré.
28:00Mais étonnamment,
28:01quand il centre,
28:02il n'y a personne pour couper
28:04Si on lui demande
28:05de moins terminer,
28:06on lui demande
28:07de davantage centré
28:08et d'avoir à l'arrivée
28:09des joueurs qui plongent,
28:10peut-être que là,
28:11effectivement,
28:12Paris Saint-Germain
28:13mettra plus de buts.
28:14Mais maintenant,
28:15ce qu'il se passe,
28:16c'est qu'on fait des débats.
28:17On nous explique que Dembélé,
28:18c'est Di Maria, Robben,
28:19ou j'en sais rien
28:20et il va finir en double-double.
28:21Il en oublie même
28:22ses coéquipiers parfois
28:23et moi, je trouve
28:24que ça a été contre-productif
28:25cette communication
28:26autour de Dembélé.
28:27Sur l'intervention de Dembélé,
28:28parfois son manque de connexion
28:29de l'équipe,
28:30sur Barcola,
28:31son placement.
28:32Donc, notre ami
28:33Luis Enrique
28:34joue 100 numéro 9.
28:35Donc, il me semble
28:36que les joueurs
28:37sur les côtés Barcola et Dembélé
28:38doivent, on va dire,
28:39se recentrer.
28:40Il faut qu'il ferme.
28:41Barcola ne ferme jamais
28:42lorsque le ballon
28:43et il y a eu
28:44les centres d'Akimi.
28:45Jamais Barcola
28:46arrive à fermer.
28:47C'est un axe de progression
28:48qu'il a vraiment à travailler.
28:49On s'est fait la réflexion
28:50en bas,
28:51et d'ailleurs,
28:52les commentateurs aussi,
28:53c'est qu'à chaque fois
28:54qu'il y avait une action
28:55côté droit,
28:56lui, il restait
28:57sous son côté gauche
28:58en fait, vraiment,
28:59quand il déborde,
29:00alors on aime ou on n'aime pas,
29:01mais il déborde souvent
29:02et on ne sait pas
29:03ce qui peut se passer.
29:04Ça, c'est la vérité.
29:05Mais souvent, le ballon,
29:06il passe un peu,
29:07il arrive comme ça.
29:08Et Barcola
29:09n'est jamais là
29:10à ce moment-là.
29:11Pardon, mais là,
29:12dans l'organisation
29:13de Luis Enrique,
29:14le fait de ne pas avoir
29:15d'avant-centre,
29:16on va dire,
29:17une pointe fixe,
29:18là, tes deux excentrés,
29:19ils doivent fermer.
29:20Ils doivent revenir.
29:21Là, ce n'est pas
29:22une question,
29:23on va dire,
29:24d'offensivement.
29:25Oui, offensivement.
29:26Ce n'est pas une question
29:28qu'on a tous sur Barcola
29:29pour l'instant,
29:30qui fait un très bon début de saison.
29:31Il faut quand même
29:32plutôt positiver.
29:33Ce que montre Barcola
29:34depuis le début de l'année,
29:35c'est quand même
29:36très, très en progrès.
29:37Il fait partie, lui,
29:38des belles promesses du PSG.
29:39Mais on attend, effectivement,
29:40de voir si Barcola
29:41est ce joueur
29:42de ces rendez-vous-là,
29:43des grands rendez-vous
29:44à l'équipe de France
29:45quand il est attendu.
29:46Et ça, ça ne se fait pas
29:47pour le coup
29:48en claquant des doigts.
29:49Tu vois, il y a un truc
29:50qui est criant pour moi.
29:51Ce que je remarque ce soir,
29:52malheureusement pour le PSG,
29:54c'est qu'il y a eu Monaco avant.
29:55Non, mais c'est vrai.
29:56Tu vois, tout ce que fait Monaco.
29:58Les combinaisons
29:59qu'il y a entre les joueurs.
30:00Monaco, deuxième
30:01de cette lignée championne.
30:02Oui, mais tu vois
30:03les combinaisons qu'il y a
30:04avec les joueurs offensifs.
30:05La disponibilité,
30:06les jeux en triangle.
30:07La connexion.
30:08La connexion constamment.
30:09Et pas que les mecs devant.
30:10C'est-à-dire que les mecs
30:11du milieu accompagnent,
30:12etc., etc.
30:13Ça, tu le vois,
30:14je ne le vois pas à Paris.
30:15Parce qu'il n'y a pas
30:16les mêmes joueurs
30:17pour jouer pareil.
30:18Mais je ne sais pas
30:19quel est le jeu
30:23quand tu as un milieu de terrain
30:24comme ça.
30:25Moi, tu ne vas pas me dire
30:26que c'est un milieu de terrain
30:27pour rentrer physiquement,
30:28tout ça.
30:29Non, c'est pour avoir le ballon
30:30et si c'est pour avoir le ballon
30:31faire ça, ça, ça, ça
30:32et jamais de combinaison
30:33avec les autres.
30:34Si tu as des joueurs techniques
30:35dans ce milieu,
30:36c'est pour combiner
30:37avec les trois de devant.
30:38Mais si après,
30:39tu donnes le ballon
30:40à l'autre de devant
30:41et que tu ne le revois jamais,
30:42tu n'arrives pas
30:43à avoir de connexion.
30:44Mais comme disait Nabil,
30:45c'est quoi le meilleur
30:46de Dembélé ?
30:47C'est quand il est sur son côté
30:49Je cite tous les grands auteurs.
30:50Le ballon, finalement,
30:51il réussit quand même
30:52toujours à peu près
30:53à arriver à un moment donné
30:54dans la surface.
30:55Et quand tu as
30:56de l'autre côté Barcola
30:57et je vais citer Stéphane
30:58qui a dit quelque chose
30:59de bien dans l'émission.
31:00Mais ce soir,
31:01on se réconcilie, mes amis.
31:02C'est bon.
31:03Oh non, ça, ce sera tout à l'heure.
31:04Il vient voir un coup,
31:05on verra.
31:06Je suis sabre.
31:07Et quand tu as Barcola
31:09sur un côté gauche
31:10qui est capable de faire
31:11des différences individuelles
31:12et qui est capable aussi
31:13de jouer avec les autres,
31:14tu as quand même envie
31:15d'avoir un joueur de surface
31:16à un moment donné.
31:17Luis Henrique,
31:18il peut de manière volontaire
31:19se priver d'un numéro 9.
31:20Parce que tu as dit,
31:21c'est vrai qu'au départ
31:22de la saison,
31:23peut-être qu'il pouvait penser
31:24à Gonzalo Ramos.
31:25Mais comme l'a dit
31:26encore une fois
31:27Jérôme Alonso,
31:28il avait l'occasion
31:29de remplacer,
31:30de venir prendre
31:31un autre numéro 9
31:32à la blessure
31:33de Gonzalo Ramos.
31:34Il ne le fait pas.
31:35Et là,
31:36ce n'est pas une question
31:37de moyens.
31:38Là, c'est lui
31:39qui avait la main
31:40sur le recrutement,
31:41c'était possible de le faire.
31:42Il a choisi de ne pas le faire
31:43alors qu'il sait qu'il a
31:44Randall Colomwany
31:45qui ne peut pas
31:46et qu'il a sinon
31:47que des faux numéros 9.
31:48Osimène,
31:49c'est presque une faute professionnelle.
31:50Il fait des ciseaux
31:51du côté de Galatasaray.
31:52C'est exceptionnel.
31:53Un joueur comme ça,
31:54mais quand tu es défenseur,
31:55tu rentres chez toi,
31:56tu dors pendant 3 jours.
31:57Je ne comprends pas
31:58qu'il soit passé
31:59à côté d'un joueur pareil.
32:00C'est aussi des opportunités
32:01de marché,
32:02la lecture du marché.
32:03Mais bon,
32:04comme tu le dis souvent,
32:05il y a deux Louis
32:06au Paris Saint-Germain.
32:07Il en reste deux
32:08mais il y en a un
32:09qui décide plus que l'autre.
32:10Luis Campos,
32:11c'est Luis Henrique.
32:13On passera des images
32:14de Monaco.
32:15Une victoire 5-1
32:16contre l'Etoile Rouge Belgrade
32:17avec de la connexion
32:18de cette équipe.
32:19Moins de budget aussi, non ?
32:20Moins de budget.
32:21Je ne suis pas
32:22à 2-3 euros près.
32:23Il n'y a pas beaucoup
32:24d'argent.
32:25Ce soir,
32:26de ma passion.
32:27Allez,
32:28à tout de suite mes amis.