Avec Tony et Guillaume
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NewsTranscription
00:00— Le Grand Matin Sud Radio, 7h-9h, Jean-Jacques Bourdin.
00:03— Bien. Garde alternée des enfants, obligatoire en cas de séparation des parents.
00:09C'est une idée du sénateur Iacovelli, hein.
00:12— Oui, exactement. Sénateur Renaissance des Hauts-de-Seine, qui propose effectivement
00:17que cette garde alternée soit obligatoire.
00:20— Obligatoire. Alors, bonnes ou mauvaises idées, vous vous exprimez, évidemment, sur Twitter,
00:25le compte Twitter de Sud Radio. — Comme toujours.
00:27— Bon, les débats se poursuivent sur le Twitter de Sud Radio. Je peux vous donner, si vous voulez,
00:30la tendance pour l'instant. Vous nous dites que c'est une mauvaise idée à 71%.
00:36Tony ? — Oui ?
00:37— Bonjour, Tony. Ça va ? — Très bien, et vous ?
00:40— Ben très bien. Toujours dans votre grue, à Bordeaux ? — Exactement.
00:44— Eh ben voilà. Je me suis pas trompé, hein. Tony, vous êtes père célibataire,
00:49vous avez un enfant en garde alternée. Est-ce que vous êtes pour ou contre
00:53imposer la garde alternée aux parents ? — Ben en fait, pour l'instant, je sais pas.
00:58Mais je trouve que c'est pas super intelligent d'avoir proposé ça, parce que moi, par exemple,
01:02j'ai le cas, c'est que ma fille veut pas aller chez sa mère. Parce que comment ? On l'oblige ?
01:07Vous voyez ? Moi, je pense que dans une séparation, le mieux, c'est qu'on s'entende.
01:11Donc imposer... Bon, je trouve que c'est un peu... Je sais pas si ce monsieur a déjà divorcé dans sa vie.
01:16Je lui souhaite pas. Mais concrètement, je sais pas comment il peut faire ça.
01:19— Oui. Rendre obligatoire la garde alternée des enfants, moi non plus, je comprends pas. Enfin bon...
01:24J'ai essayé de l'inviter, d'ailleurs, ce sénateur Iacovelli. Mais pour l'instant, il n'a pas dit oui. Donc voilà.
01:30— Faut prendre conscience à des pères, parce qu'on va se dire que la plupart du temps,
01:34c'est des pères qui n'assument pas vraiment leur rôle dans la plupart des cas de séparation.
01:39— Oui. Ça, c'est vrai que les pères, bien souvent, n'assument pas, ne paient pas les pensions...
01:44— N'assument pas. — Eh oui. Ne s'occupent pas vraiment des enfants comme ils devraient.
01:49— Alors qu'on aille les chercher par le col, oui. Mais c'est vrai que moi, je peux pas imposer à ma fille d'aller chez sa mère.
01:55Vous voyez ? Je vois pas comment on peut faire. Ce serait contre-productif, je crois.
01:58— Bien sûr. Mais bien sûr. Bien sûr. Merci, Tony. Merci. Taxer plus les véhicules électriques chinoises.
02:07Nous sommes avec Guillaume, qui est à Cambrai. Bonjour, Guillaume. — Bonjour, Jean-Jacques. Vous allez bien ?
02:11— Ben ça va très bien. Et vous ? — Oui, ça va très bien. Franchement.
02:15— À Cambrai, ça va ? — Oui. Il fait frais, ce matin. Il fait très frais pendant telle période autonome. Ça se sent.
02:24— Ça, il fait frais. Mais c'est partout pareil. Ici aussi, à Paris, je peux vous dire. — Oui, j'imagine.
02:28— On se gèle. Bon. Vous dites que l'idée paraît séduisante de prime abord. Mais attention. Attention à quoi ?
02:35— Alors attention derrière aux répercussions et notamment pourquoi pas un éventuel embargo sur la production
02:42de batteries électriques, dans lequel on est encore toujours malheureusement très dépendants. C'est un petit peu le piège...
02:47— C'est un embargo des Chinois sur les batteries électriques. Je crois pas, parce qu'ils ont besoin de les vendre aussi.
02:54— Ils ont besoin de les vendre. Après, ils peuvent aussi faire un embargo sur les semi-conducteurs, etc.,
03:00dans lequel il y a déjà aussi des difficultés d'approvisionnement qui se précisent. Maintenant, c'est vrai que leur marché
03:07est plutôt favorable en Chine. Les véhicules se vendent très bien. D'un autre côté, je me pose certainement la question
03:15si la Chine se dit que de toute façon, l'Europe n'aura pas forcément les moyens d'assumer cette règle in vitam aeternam,
03:25d'autant plus qu'à un moment donné, le volume fera qu'au final... — Oui mais Guillaume, il va bien falloir à un moment donné ou un autre
03:31que l'Europe montre sa force et que l'Europe développe sa propre industrie, batteries et autres.
03:41— Eh oui. On est encore en retard là-dessus. — Bah vas-y. Pour combler le retard, il faut absolument des investissements
03:50et il faut absolument que l'Europe fabrique. — Tout à fait. Et du coup, cette taxation, pourquoi pas, peut aider aussi
03:58en condition qu'il y ait une redistribution pour l'industrie européenne, qui est déjà en mal. Donc finalement, je trouve que malheureusement,
04:07j'allais dire, la proposition est inévitable. Et au final, l'Europe n'a plus le choix en définitive.
04:14— Oui, je suis d'accord avec vous. L'Europe n'a plus le choix. — Complètement. Complètement. D'autant plus que lorsqu'on voit
04:21commercialement l'offre pour ne pas les citer de Bioy, par exemple, qui est en train de grimper en force, et on connaît la force de frappe
04:30de la Chine, ça va être dévastateur. Donc je pense que l'Europe n'a réellement plus le choix. C'est la réponse que j'ai eue ce matin sur le sujet.
04:41— Eh ben, vous avez raison, Guillaume. L'Europe n'a plus le choix. Merci, Guillaume, d'être avec nous. Vous êtes sur Sud Radio,
04:47évidemment, c'est heure 59.