Avant la fin de la campagne officielle, vendredi à minuit, les représentants des trois principaux blocs politiques français ont débattu, jeudi 27 juin sur France 2. Le premier secrétaire du Parti socialiste (PS), Olivier Faure, venu représenter le Nouveau Front populaire (NFP), le premier ministre et candidat du camp présidentiel, Gabriel Attal, et le président du Rassemblement national (RN), Jordan Bardella, ont échangé pendant deux heures.
Le premier ministre a déclaré que le parti d’extrême avait investi « plus d’une centaine de candidats, c’est-à-dire presque un sur cinq, pour lesquels on a trouvé des propos racistes, antisémites et homophobes », avant d’en débuter une liste sur le plateau. Des « mensonges », a dit, en réponse, Jordan Bardella à plusieurs reprises.
Le président du Rassemblement national s’est posé en défenseur des droits des femmes et a assuré vouloir « garantir à toutes les femmes de France leurs droits et leurs libertés ». Gabriel Attal a répondu : « On ne peut pas faire confiance à l’extrême droite s’agissant des droits des femmes ».
Le premier ministre a déclaré que le parti d’extrême avait investi « plus d’une centaine de candidats, c’est-à-dire presque un sur cinq, pour lesquels on a trouvé des propos racistes, antisémites et homophobes », avant d’en débuter une liste sur le plateau. Des « mensonges », a dit, en réponse, Jordan Bardella à plusieurs reprises.
Le président du Rassemblement national s’est posé en défenseur des droits des femmes et a assuré vouloir « garantir à toutes les femmes de France leurs droits et leurs libertés ». Gabriel Attal a répondu : « On ne peut pas faire confiance à l’extrême droite s’agissant des droits des femmes ».
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