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Départ de Jérôme PLAIDI - Journaliste matinalier de France Bleu Gard Lozère

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00:00C'est donc aujourd'hui et jusqu'à demain la fête de la radio, on va la fêter deux
00:07fois ce matin, puisqu'on va faire le pot de départ grandeur nature de celui à qui
00:11vous avez succédé à ce micro, Quentin, c'est un journaliste qui vous a réveillé
00:14tous les matins, chers auditeurs, chers auditeurs, pendant 40 ans, 40 ans ça me paraît beaucoup
00:19quand je le vois, et pourtant, notre invité sur France Blogue à l'Auxerre, Jérôme.
00:22Oui, bonjour Jérôme Pelletier, bonjour Quentin, bonjour à tous, je suis très heureux d'être
00:26avec vous ce matin, mais c'est nous qui sommes heureux, ça ne vous fait pas bizarre d'être
00:29ici ? Complètement, à la place de celui ou celle que vous interviewez ? Complètement,
00:33c'est vrai que la place est peut-être un peu plus difficile ici, vous n'allez pas
00:36trop me cuisiner j'espère ? Si, on ne l'a pas, mais affectueusement évidemment, je
00:41vous propose quand même de prendre vos marques mon cher Jérôme, le temps de vous habituer
00:44puisque je voudrais qu'on écoute quelqu'un avec qui vous avez travaillé pendant de longues
00:49années ici, qui est encore chez nous, c'est Hervé Salafranc qui raconte, et il a forcément
00:53beaucoup à dire, son Jérôme Pelletier.
00:56Jérôme, même s'il lisait l'annuaire téléphonique, il arriverait à le rendre intéressant.
01:00Cet ancien collègue avait sans aucun doute trouvé la meilleure formule pour résumer
01:03son incroyable capacité à prendre l'auditeur avec lui.
01:06Ce ton, toujours juste à adapter aux circonstances dramatiques comme les inondations de 1988
01:12ou 2002, ou beaucoup plus joyeuses comme l'effet aérien qu'il vivait à fond, même si ça
01:16piquait un peu le lendemain.
01:17Jérôme, c'était aussi, désolé je n'arrive pas à le dire au passé, c'est aussi le
01:21gars le plus consensuel qu'il m'ait été donné de croiser dans ma carrière, impossible
01:25de se disputer avec lui, me disait un autre confrère, et c'est vrai qu'il ne se fâchait
01:29jamais aussi peu, même quand il n'avait pas que du caviar à se mettre sous la dent
01:33pour présenter les journaux du petit matin.
01:35« Ça ne m'a pas choqué, je me suis débrouillé, nous disait-il, quand les sujets préparés
01:38la veille par la rédaction ne relevaient pas franchement du prix Pulitzer.
01:42C'était parfois très pauvre ou très mauvais ou les deux à la fois, mais il s'en accommodait
01:46et mieux encore, il arrivait à en faire quelque chose d'à peu près écoutable, et même
01:50lorsque le réveil avait sonné un peu trop tard ou que le premier journal était arrivé
01:53un peu trop tôt, ses selons, ne me demandaient pas comment c'était possible, mais il finissait
01:57toujours par retomber sur ses pattes.
01:59Tiens, en parlant de pattes, comment oublier Guapo, son adorable chien berger des Pyrénées,
02:04dont la légende dit que les aboiements intempestifs venaient parfois agrémenter les ondes, où
02:08ce début d'incendie, heureusement vite maîtrisé, qui s'était déclaré alors qu'il était
02:12parti à l'antenne, a oublié un peu d'éteindre son mégot de cigarette, avant de le jeter
02:16dans la corbeille à papy.
02:18Alors Jérôme, l'heure est venue de te couper la coletta comme les toréans, mais comme
02:21eux aussi, tu resteras journaliste à vie, tu incarneras notre radio, ta radio pour
02:26toujours.
02:27Oula, merci Hervé, c'est très émouvant, parce qu'effectivement, d'abord je ne dément
02:31aucune information, c'est vrai que tout ce qu'il raconte, c'est réellement produit,
02:36y compris l'incendie, et puis voilà, c'est vrai qu'Hervé Salafranc était là, et est
02:45là toujours d'ailleurs, depuis longtemps, on a travaillé pendant des années ensemble
02:50et toujours avec plaisir, effectivement, et que c'est vrai, je suis consensuel, parce
02:54que j'aime les gens, j'aime mon métier, j'aime ma ville, j'aime ma région, et ça se ressent
02:58peut-être un petit peu.
02:59Et justement Jérôme, qu'est-ce qui vous a donné envie de faire de la radio ? Comment
03:03vous êtes arrivé à ce métier ?
03:04C'est venu très très tôt en fait, à l'époque, dans les années 70, donc j'étais encore
03:09gamin, il n'y avait pas beaucoup de radios, parce que les radios, elles étaient au nombre
03:13de 4, France Inter, Radio Montecarlo, RTL, Europe 1, point, et puis moi, comme tous les
03:18gens du sud, j'écoutais Radio Montecarlo, et puis je me suis dit, mais ça a l'air sympa
03:23comme métier ça, je vais le faire, enfin je vais essayer de le faire, ce qui paraissait
03:26totalement insurmontable, d'ailleurs un conseiller d'orientation, je crois en cinquième, m'avait
03:33répondu, et pourquoi pas, du cirque, ce n'est pas très sympa pour les cirquatiens, mais
03:38effectivement, ça paraissait totalement incroyable de vouloir faire de la radio à cette époque,
03:44parce qu'il n'y avait pas beaucoup qui le faisaient, moi je devais avoir, je ne sais
03:47pas, 12-13 ans, et puis voilà, je conseille aux jeunes, quand ils ont un rêve, c'est
03:52de le réaliser tout simplement.
03:53– Faire de la radio, Jérôme Pley dit oui, mais est-ce que vous l'auriez fait ailleurs
03:56qu'à Nîmes ?
03:57– Ça c'est difficile, directeur de l'information de Radio France à l'époque, François
04:02Desnoyers, j'avais fait un stage quand même de formation, et devant toute l'assemblée
04:07réunie, il avait dit, le problème de Jérôme, c'est qu'il ne pourra pas faire de la radio
04:10au-dessus de la Loire, à cause de mon accent, donc je l'ai écouté, je suis resté là.
04:14– Dites-moi, vous étiez matinalier, vous présentiez les journaux de la matinale, c'était
04:21quoi vos habitudes, votre rituel ?
04:23– Le rituel, c'était d'abord de se coucher tôt, et puis de se…
04:27– Pendant 40 ans, ce qui paraît.
04:28– Oui, oui, c'est vrai, pratiquement sans interruption, je me suis retrouvé dans ce
04:32studio avant celui de l'avenue Carnot, sous la direction de Didier Vachon, ici présent,
04:37d'ailleurs je le salue.
04:38– Je suis dans le studio, bonjour Didier Vachon.
04:40– Et je le salue, et c'est vrai que j'ai toujours aimé le matin, la radio c'est le
04:46matin principalement, tout simplement, et on a vraiment cette impression d'être utile,
04:52de servir à quelque chose, de faire le lien, de raconter l'histoire de sa région, j'ai
04:56toujours été un localier et fier de l'être, et donc voilà.
05:01– On le disait tout à l'heure, c'est vous qui faisiez l'interview du 7h45, quel
05:05est peut-être l'invité ou peut-être l'événement qui vous a le plus marqué en 40 ans ?
05:09– Alors c'est vrai que c'est difficile à dire, parce qu'il y en a eu tellement,
05:12on ne peut pas les compter, mais si je dois parler de souvenirs, je pourrais quand même
05:18parler du pire et du meilleur à la fois, c'est tout simplement les inondations de
05:221988, je débutais presque à peine, il n'y avait pas de réseaux sociaux à l'époque,
05:28et la radio a joué un rôle très très important, ceux qui l'ont vécu s'en souviennent,
05:34nous étions installés à l'époque dans les studios du barone à l'extérieur de
05:38la ville qui avait été inondée, immédiatement Radio France a envoyé un bus, un car studio,
05:45qui s'est installé d'ailleurs, ironie de l'histoire, devant ce qui allait devenir
05:49les studios de France Bleu-Garlouzet, qui était Espace-Gare, une salle d'exposition
05:55à l'époque, et donc voilà, ça a été des jours, des heures et des heures d'antenne,
06:01des jours même qui ont marqué, qui m'ont marqué, parce que c'était à la fois effectivement
06:06un drame, mais c'était aussi un moment de solidarité totalement surréaliste.
06:12– Vous avez croisé beaucoup de monde évidemment dans votre carrière, au micro comme à l'apéro,
06:17j'ai envie de dire, des gens qui pour certains sont devenus vos amis, il y en a d'ailleurs
06:21un, il y a quelqu'un d'ailleurs qui a un petit message à vous faire passer, c'est
06:26un invité surprise, vous allez sûrement le reconnaître, est-ce qu'il est avec nous
06:29cet invité surprise ?
06:31– Alors comme il ne sait peut-être pas que c'est l'invité, ah si, ça y est.
06:34– Si, il le sait, on ne l'a pas prévenu Jérôme, mais on l'a prévenu.
06:37– Allô ?
06:38– Est-ce que vous êtes avec nous ?
06:40– Oui.
06:41– Vous nous entendez ?
06:42– Oui.
06:43– Vous reconnaissez la voix ?
06:44– Oui.
06:45– Bon, votre message à Jérôme ?
06:46– Je suis Joseph Demange déjà, je ne sais pas pourquoi vous m'avez présenté.
06:50– Ah non, ce n'était pas l'invité mystère, bon, Joseph.
06:54– Non, mais dites-le, dites-le.
06:56– Non, non, allez-y.
06:57Bonjour Joseph quand même.
06:58– Alors bonjour à toutes et à tous, bonjour Serge,
07:01je ne vais pas être aussi long que ses collègues de travail,
07:05mais tout simplement je voulais lui souhaiter une excellente retraite,
07:08et surtout un bon chantier comme j'ai marqué sur le Facebook,
07:11et tout simplement, pour la rigolade, dire un peu que je pense que ce garçon,
07:16qui était très sérieux, très professionnel, moi qui fais ça par passion,
07:20je pense qu'il devait écouter Radio France dans le van pour un samanhan.
07:24– Pas loin, oui.
07:25– J'ai connu ce garçon dans les années 80, lorsque j'étais routier.
07:29Donc, comme a dit son collègue, on ne va pas citer toutes les affaires,
07:32les inondations 88-2002, mais je me rappelle aussi, si j'ai bon le mémoire,
07:35le grand incendie de Portes où il était là présent aussi.
07:38– Ah oui, j'étais sur place, même là je ne faisais pas les matinales,
07:41mais j'étais en tant que reporter sur cet incendie de Portes
07:44qui avait ravagé 8000 hectares, je crois, c'est un truc gigantesque.
07:48– Voilà.
07:49– Merci Joseph.
07:50– Une excellente retraite, avec plein de belles réalisations,
07:55– Merci Joseph.
07:56– Merci à vous.
07:57– Joseph, merci beaucoup, on va peut-être prendre aussi Bernadette,
07:59puisqu'on a beaucoup d'appels ce matin.
08:00– Alors Bernadette, là il y a des anecdotes et des souvenirs.
08:02– Exactement, qui nous appelle de Nîmes.
08:04– Bonjour Bernadette.
08:05– Bonjour.
08:06– Vous l'avez connue en quelle année et dans quelles circonstances, Jérôme Pledis ?
08:10– Alors, j'ai connu Jérôme Pledis en 1985,
08:14donc je tenais le bureau de tabac des Arènes, à ce moment-là avec mon mari,
08:18et Jérôme était un client, et il venait le matin,
08:22et puis on discutait, et puis un matin, il me demande de quelle radio j'écoute.
08:27Alors je lui dis que j'écoute RMC, comme mouvement d'individu,
08:31il me dit mais il faut écouter France Bleu.
08:35– Radio France Nîmes à l'époque d'ailleurs.
08:38– Radio France Nîmes même.
08:39– Radio France Nîmes à l'époque, voilà, pardon.
08:41– L'époque de Didier Vachon, il était directeur à l'époque aussi.
08:43– Voilà, et donc depuis ce jour-là, depuis août 1985,
08:48j'écoute France Bleu, Garloser, tous les jours, je continue.
08:53– Pourquoi vous êtes attaché à Jérôme Bernadette ?
08:57– Parce que j'étais un bon client.
08:59– Quelqu'un de très sympathique, on a vécu tout ce que vous avez dit,
09:06c'est-à-dire les inondations, ça a été terrible, le mariage de Mourouzi,
09:12tout ça, pleins d'anecdotes, voilà.
09:16– Le mariage de Mourouzi, c'était dans les années…
09:19– 1985.
09:20– 1985, effectivement, avec toute la ville en ébullition
09:23pendant une férie des ventes d'anges, un événement national carrément,
09:27parce qu'à l'époque c'était la star du Trésor,
09:30et on a vécu tout ça effectivement.
09:31Merci Bernadette en tout cas.
09:32– Bonne journée, merci à vous.
09:34– Merci beaucoup Bernadette.
09:35– Votre bon client est toujours là, vous l'avez bien compris.
09:37– Bienvenue au Club des Retraités.
09:39– Voilà, le Club des Retraités, c'est Jérôme Pédy, notre invité ce matin,
09:43grand journaliste depuis 40 ans des matinales, de France Bleu-Garloser, du 6-9,
09:47et il est notre invité jusqu'à je pense après 8h, on a eu beaucoup de témoignages.
09:51– Effectivement, beaucoup de témoignages.
09:52Vous avez vu d'ailleurs, il faut qu'on explique aux auditeurs,
09:54on a un panneau en fait dans la radio, dans le studio,
09:57qui nous permet de voir quels sont les auditeurs qui nous appellent.
09:59Vous avez vu quand même qu'il y a beaucoup de monde, et il y en a encore en plus,
10:02le tableau n'affiche pas tous les appels qu'on a.
10:04– Patrick Chan par exemple.
10:05– Qu'est-ce que ça vous fait ?
10:06– Patrick Chan, ça me fait énormément plaisir parce que c'est le football tout simplement,
10:09c'est l'hymne olympique, dont j'ai raconté les hauts et les bas,
10:14pendant plusieurs années effectivement.
10:16On a même fait une chronique avec Patrick, salut Patrick.
10:19– Salut Jérôme, bonne retraite, et c'est vrai qu'avec Serge,
10:23on a passé quand même de grands moments, surtout quand il y avait la coupe du monde,
10:27tous les matins on faisait un petit peu la débrief,
10:31les rencontres avec un bon petit café,
10:35je crois que tu es là-bas un petit peu dénimoise,
10:40et c'est vrai que tu vibrais au football, et puis moi aussi,
10:43les petits souvenirs que j'ai, c'est quand on se croisait,
10:45et qu'on se croise toujours sur la rue Fresque,
10:48quand je cherchais mon pain, et voilà, on se salue bien.
10:51Ce sont des grands moments, je crois que 40 ans ça marque une vie,
10:55et tu es un peu aussi comme Hervé Salafranc aussi,
10:58que je salue, qui est une grande figure du journalisme à Radio France Bleu,
11:03tu es passé de grands moments en commentant les matchs de Nîmes Olympique,
11:06j'ai su qu'il y avait Romain Collet-Godin,
11:09donc c'est que des grands moments de Nîmes Olympique,
11:11mais tu étais un petit peu éclectique, tu étais surtout la politique, le sport,
11:16donc encore un chapeau à toi, au plaisir de se croiser,
11:20et puis bon, bon vin à toi, surtout du côté espagnol.
11:23– Je pense que le message est bien passé.
11:25Salut Patrick Chant, merci infiniment, Nîmes Olympique,
11:28le président des anciens joueurs de Nîmes Olympique,
11:30beaucoup d'hommes et de femmes politiques,
11:32on va peut-être saluer l'arrivée de Patrick le Malheur.
11:34– Oui, alors après, un petit peu après,
11:36je voudrais juste qu'on fasse une petite parenthèse avec vous,
11:39Jérôme, vous êtes sûr de vouloir arrêter ?
11:41– Ça me manque.
11:42– Moi je voudrais m'assurer que c'est vraiment le cas,
11:45alors je vais vous faire passer un petit CAP,
11:47que j'ai appelé le Certificat d'aptitude à la retraite,
11:50et on verra si vous êtes vraiment prêt pour la retraite,
11:52alors si vous le ratez, on vous garde.
11:54Question courte, réponse courte, vous avez quel âge ?
11:57– 60 ans.
11:58– 60 ans, vous ne voulez pas pousser jusqu'à 64,
12:00pour faire plaisir au président ?
12:02– Écoutez, c'est un petit peu compliqué,
12:04mais c'est vrai que la vie, on va dire,
12:06m'a poussé à arrêter, peut-être un petit peu prématurément,
12:10mais voilà, c'est comme ça, je crois que 40 ans,
12:12c'est une bonne dose.
12:14– Avec quand même des projets.
12:15Dites-moi, vous faites combien de mots fléchés par jour ?
12:18– Je suis très mauvais en fait, au-delà de force 2,
12:22alors donc j'ai renoncé, voilà.
12:26– Bon, vous avez encore un petit peu le temps pour vous préparer.
12:28C'est qui l'animateur de questions pour un champion ?
12:30– C'est…
12:32– C'est pas Julien Lepers, ça je sais,
12:36j'ai suivi, mais c'est un journaliste,
12:39oh là là, j'ai oublié son nom.
12:41– Vous me faites douter,
12:42savoir si vous êtes bien prêt pour la retraite.
12:44Une dernière question, vous passez combien de temps dans le jardin ?
12:46– J'en ai pas.
12:47– Vous en avez pas, vous êtes plutôt petit jaune que main verte alors.
12:49– Voilà, c'est ça.
12:50– Sans modération, pour la main verte.
12:52– Avec modération.
12:53– Je le dis, oui, pour la main verte.
12:55– On va prendre peut-être Patrick Malavieille,
12:57qui nous appelle aussi pour vous rendre hommage, Jérôme.
13:00– Bonjour Patrick Malavieille.
13:01– Bonjour à toute l'équipe.
13:03– Bonjour la Grande Combe, bonjour M. Malavieille.
13:05Alors, Jérôme Pledis ?
13:07– Bah écoutez, Jérôme Pledis, c'était un peu la voix,
13:10un peu comme le café qui coule dans la cafetière.
13:13On l'avait tous les jours au poste,
13:15donc ça c'était un plaisir.
13:17Alors bon, moi bien évidemment, j'ai beaucoup eu l'affaire à lui
13:20dans le cadre des interviews électoraux,
13:23pour des défaites, pour des victoires, un peu la vie quoi.
13:26– Des grandes soirées électorales aussi.
13:27– Voilà, puis quelqu'un l'a rappelé aussi,
13:29le grand incendie de Portes,
13:31qui chaque année donnait lieu à la venue à la Grande Combe
13:34d'une colonne nord des sapeurs-pompiers,
13:36et ça donnait lieu à des reportages sur la radio
13:38sur l'arrivée de ces pompiers
13:40qui venaient nous aider à maintenir la forêt en bon état.
13:44Voilà, en tout cas un grand merci M. Pledis,
13:46pour toutes ces années, ça a été un plaisir que de vous écouter.
13:50– Merci Patrick Malavieille.
13:51– On va enlever ça de votre temps d'antenne ou quoi ?
13:54– Faites comme vous voulez,
13:56c'est sûr, on est sur la 71ème position, il n'y a pas de risque.
14:00– Merci à vous Patrick Malavieille.
14:01– Bonne journée à tous.
14:02– Merci Patrick Malavieille.
14:04Gérôme, vous parliez de temps d'antenne,
14:05je vous propose de jouer un petit peu les prolongations avec nous,
14:07de rester.
14:08– Un journal de 8 heures ?
14:09– Exactement, parce qu'il y a encore des appels.
14:11– Je reste avec vous avec un journal de 8 heures.
14:12– Je reçois un texto de votre ancien rédacteur en chef,
14:15encore aujourd'hui, Tony Cellier, qui me dit, il est trop bon,
14:17je le mets sur le planning de la semaine prochaine.
14:19– C'est bon non ?
14:20– C'est très bien, il est très fort Tony Cellier, merci à vous.
14:22Et puis on demandera un commentaire à M. Vachon,
14:24qui était aussi votre directeur.
14:26– Absolument.
14:27– Qui est là, c'était…
14:28– Oui, c'est Didier.
14:29– Oui, Didier, je dis M. Vachon, j'aime bien.
14:32Didier, donc après, le journal de 8 heures,
14:34on vous demandera une ou deux anecdotes sur l'époque,
14:36avec Gérôme Plédiat tout de suite.
14:37– Oulah !
14:38– C'est de pire en pire, vous allez voir,
14:40Gérôme, les souvenirs, c'est très bon.
14:4140 ans de radio, ça marque quand même une époque,
14:43et des auditeurs qui nous appellent en nombre, en direct,
14:46et puis on saluera deux animateurs,
14:47que vous avez exténués pendant vos 6-9.
14:49Olivier Devy et Cria Yartien sont dans leur bureau,
14:51ils m'ont dit, il nous a fatigués pendant toutes ces années,
14:53mais qu'est-ce qu'on lève notre Gérôme !
14:55À suivre après le journal de 8 heures, à tout de suite.

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