Le 7e salon des agricultures a ouvert ses portes ce vendredi 31 mai. L'occasion de mettre en exergue le savoir-faire de nos agriculteurs.
Dans le pays salonais, voire le département des Bouches-du-Rhône, le Salon des agricultures est devenu une valeur sûre. Il faut dire que cet événement, le 7e déjà, a tout pour plaire. Gratuit, il met à l'honneur les artisans qui façonnent notre terroir et dame même le pion, toutes proportions gardées, au grand Salon de l'agriculture de Paris auquel il est inévitablement comparé. Mais, Nicolas Isnard le maire de Salon, vous le dirait sûrement mieux, Salon-de-Provence, c'est mieux que Paris ! Et proposer une telle animation à ciel ouvert, il fallait oser.
C'était d'ailleurs tout le sens du pari lancé par Michel Mille, l'ancien maire de Lançon-Provence, et Marylène Bonfillon, actuelle adjointe à l'urbanisme et à l'agriculture. Tous deux ont eu la riche idée de décliner au local, l'ambition nationale de valoriser ce patrimoine agriculteur. "On ne savait pas où on allait mais tout le monde se disait, pourquoi pas chez nous !", s'est d'ailleurs remémoré le 14 mai dernier, Martine Vassal, la présidente du Conseil départemental et de la Métropole, principal partenaire de l'événement, en nous présentant la nouvelle édition de ce salon. C'était en 2016. Et très rapidement, ce salon a remporté un énorme succès.
Dans le pays salonais, voire le département des Bouches-du-Rhône, le Salon des agricultures est devenu une valeur sûre. Il faut dire que cet événement, le 7e déjà, a tout pour plaire. Gratuit, il met à l'honneur les artisans qui façonnent notre terroir et dame même le pion, toutes proportions gardées, au grand Salon de l'agriculture de Paris auquel il est inévitablement comparé. Mais, Nicolas Isnard le maire de Salon, vous le dirait sûrement mieux, Salon-de-Provence, c'est mieux que Paris ! Et proposer une telle animation à ciel ouvert, il fallait oser.
C'était d'ailleurs tout le sens du pari lancé par Michel Mille, l'ancien maire de Lançon-Provence, et Marylène Bonfillon, actuelle adjointe à l'urbanisme et à l'agriculture. Tous deux ont eu la riche idée de décliner au local, l'ambition nationale de valoriser ce patrimoine agriculteur. "On ne savait pas où on allait mais tout le monde se disait, pourquoi pas chez nous !", s'est d'ailleurs remémoré le 14 mai dernier, Martine Vassal, la présidente du Conseil départemental et de la Métropole, principal partenaire de l'événement, en nous présentant la nouvelle édition de ce salon. C'était en 2016. Et très rapidement, ce salon a remporté un énorme succès.
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00:00 [Bruits de fête]
00:21 Il y a plein d'activités, donc il n'y a pas que des activités aussi ludiques,
00:25 pour mieux comprendre comment on cultive, comment on produit et aussi peut-être créer des vocations.
00:32 Donc des animations à foison, des animaux aussi, des animaux de la ferme.
00:36 [Bruits de fête]
00:42 Je trouve ça bien et puis surtout les enfants parce qu'on leur apprend plein de choses.
00:46 Et puis déjà on leur apprend que l'âne n'est pas têtu, c'est très important,
00:51 que l'âne est super intelligent et puis que c'est un très bon compagnon quand on sait y faire avec lui.
00:57 [Bruits de fête]
01:03 C'est des enfants qui n'ont pas forcément accès à tout ce domaine naturel, agriculture, élevage.
01:14 Les élèves respirent, sont en pleine nature, ça leur fait énormément plaisir.
01:20 C'est une approche différente de ce qu'on peut faire en classe.
01:23 [Bruits de fête]