• il y a 7 mois
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Dans son émission média, Jean-Pierre Foucault et sa bande reçoivent chaque jour un invité. Aujourd'hui, Michel Drucker, pour l'ensemble de sa carrière.
Retrouvez "L'invité média" sur : http://www.europe1.fr/emissions/l-invite-du-grand-direct
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Transcription
00:00 - Vous écoutez Culture Média sur Europe 1 9h30 11h et on termine la semaine en beauté avec votre invité Jean-Pierre Foucault.
00:07 - Avec Michel Drucker qui connaît bien cette maison Europe 1. Vous êtes resté combien de temps à Europe 1 Michel ?
00:11 - Je suis resté d'abord une première fois à l'époque Jean-Luc Lagardère dans les années 90, je suis resté 5-6 ans.
00:18 - 1995. - Oui, je suis revenu après, 20 ou 25 ans après avec monsieur Bombard, Alexandre Bombard.
00:25 Voilà où j'ai fait, qu'Anissa on s'est rencontré à cette époque-là, je faisais fête entre invités avec des petits jeunes débutants
00:32 qui s'appelaient Jérôme Commander, Mathieu Madénion, fan de l'OM, avec Amie Combal, avec Mathieu Noël, avec Revelli.
00:39 - Vous avez l'œil, Michel, vous savez les détecter quand même. - J'ai passé un moment, qu'est-ce que j'ai pu rire ? Qu'est-ce qu'on a ri ?
00:45 - Alors Michel, est-ce que ça vous manque de temps en temps dans la radio ? Attention, parce que la dernière fois que j'ai répondu à cette question,
00:50 je me suis retrouvé quelques semaines après, ici, dans ce fauteuil. - Bien sûr, ça me manque, c'est un média génial.
00:55 Vous avez devant vous le recordman absolu, il a fait de la radio en 1966. Le recordman du métier, je crois que c'est mondial, de radio, c'est Jean-Pierre.
01:05 Moi j'ai 60 ans dehors de vol en télé, lui il a pas longtemps de 60 ans en radio, en 1966, vous imaginez ?
01:11 - Après Jésus-Christ. - Oui, et quand je t'ai entendu pour ta première scène avec Cyril Hanouna, j'avais l'impression que je t'avais quitté la veille à la radio.
01:18 - Non, il faut que tu reviennes. - Merci. Cette année 2024, Michel, est symbolique pour vous, puisque vous avez célébré, donc vous venez de le dire, vos 60 ans de carrière.
01:26 Quand vous regardez dans le rétro, vous êtes fier de quoi, finalement ? - Je me mets les lunettes, parce que le rétro il est de plus en plus loin.
01:36 Je suis étonné, je suis sidéré, je suis sidéré de ce parcours, j'en reviens pas, alors que c'est 60 ans d'inquiétude et de stress, parce que notre métier c'est un métier de stress.
01:46 Et donc je suis toujours aussi inquiet, et je suis étonné. Mais vous savez, c'est Delphine Hernand qui m'a soufflé un jour une réplique de quelqu'un qui a dit
01:54 "Tu sais Jean-Pierre, quel est le concours qu'il faut jamais rater dans la vie ? Le concours de circonstances."
01:59 - Exactement. - C'est un peu un malentendu le succès, on sait pas comment ça arrive, on sait pas comment...
02:03 Mais je suis le premier étonné, 60 ans, comme on l'imaginait, je suis le seul à rescapé des Jeux Olympiques de Tokyo,
02:09 et je serai avec Léa Salamé et Laurent Luyat aux Jeux Olympiques, en tout cas une ou deux soirées, et j'ai demandé à Christine Caron de venir.
02:17 Elle avait 16 ans à Tokyo, c'était la Manon de l'époque. Et puis j'ai été reporter sportif pendant des années, j'ai connu l'OM du président Leclerc, de Josip Skoblar,
02:25 j'ai tellement de souvenirs. Non mais pour répondre à ta question, je ne sais pas ce qui m'est arrivé, mais ce dont je suis le plus fier, c'est d'être sorti de l'hôpital en forme,
02:33 en ayant retrouvé ma mémoire, parce que j'ai toujours pas ni de prompteur ni d'oreillette. - Tant mieux !
02:39 Vous faites régulièrement des émissions spéciales, les prochaines en préparation, Michel, vous les avez à l'esprit déjà ?
02:44 - Ah oui, bien sûr ! Hier j'ai fait Dev... - Del Quintella hier, il nous en a parlé.
02:54 - Pour ses 80 ans, il fait le Grand Rex, je vais faire Adrien Nacarambeu, je vais faire Adamo pour ses 80 ans,
03:00 je vais faire un spécial Tour de France avec toute l'équipe du Tour, et à la rentrée je prépare plein de choses,
03:05 je prépare un spécial d'Alida avec son frère, je prépare un spécial d'El Pesh, plein de spéciales Balavoine, autant de gens qui me manquent.
03:14 - Et pourtant, en 1985, dans une interview donnée à la télé 7 jours, elle a eu de nous affirmer "Pourquoi je quitte la télé ?"
03:21 - Oui. - En 85. - Mais je m'étais arrêté. - Combien de temps ? 10 minutes ? Un quart d'heure ? - Non, quelques mois.
03:26 Non, une fois je me suis arrêté, parce que je sensais liser plus la radio quand j'étais à Europe 1 à l'époque, tous les jours,
03:32 j'étais un peu crevé, je m'étais arrêté 6 mois, et puis voilà, mon frère Jean, j'y pense beaucoup,
03:38 il m'a dit un jour "Je viens d'être nommé patron de..." - M6 ? - D'Antenne 2. - D'Antenne 2, oui.
03:43 - "Donc il n'est pas question que tu ne reviennes pas, tu reviens." Et à ce moment-là, c'est au moment où Berlusconi voulait que j'aille faire la 5 en Italie,
03:50 donc c'était presque fait, et puis au dernier moment j'ai dit à Berlusconi "Non, dis comment ? C'est pas assez ? Tu veux être payé en marques, en dollars ?"
04:00 - En Suisse. - Oui en Suisse. J'ai dit "Sylvio, t'as pas compris, tu es italien, mon frère Jean vient d'être nommé patron de France 2,
04:09 t'es italien, je peux pas lui dire non." Et là il m'a dit "Il vaut combien ton frère ?" - Ah ben voilà. - Ah oui, d'accord.
04:15 - Et je ne suis jamais allé sur la 5. - Et moi je ne suis jamais allé sur la 5 parce qu'ils n'ont jamais voulu me voir, mais de moi je suis allé sur TF1 finalement, je ne le regrette pas.
04:23 On a appris que Jari quittait bientôt la présentation d'où tout le monde veut prendre sa place. D'après vous, qui pourrait justement prendre la vôtre ?
04:31 C'est-à-dire, non pas prendre votre place, mais assumer la relève. - Jean-Pierre Foucault. - Oui c'est ça, oui.
04:36 Léa Salamé, je vous donne quelques noms, commentaires. Léa Salamé ? - Pour remplacer vous ? - Oui, Michel Drucker.
04:43 - Prendre la relève, prendre la relève. - Prendre la relève, elle serait très bien Léa. - Bon. Camille Comballe. - Il est très bien Camille.
04:50 - Il faut que vous preniez des risques, parce que si vous dites tout le temps "il est très bien", c'est pas rigolo. - Oui, très bien.
04:55 - Cyril Ferro, il est très bien. - Ah Cyril, je suis un fan de Cyril depuis ses débuts. - Moi aussi. Yann Barthez.
05:01 - Ce serait décalé, mais il faudrait lui poser la question. On a un point commun, il adore les chiens. - Oui. Ophélie Meunier.
05:09 - Elle est belle. - C'est pas une qualité pour faire... - Elle a beaucoup de talent. Elle fait un talk show là. Elle a commencé un talk show.
05:19 - Hugo Clément. - Il est bien aussi. Le problème c'est qu'ils sont tous bien. - C'est ça le problème. - Jean-Pierre Foucault.
05:26 - Non mais Jean-Pierre, il est en concours. Il peut pas, mais il sera en Europe à la rentrée. - C'est ça, oui. Michel Drucker, on vous retrouve tous les dimanches de 13h30 à 15h sur France 3
05:37 pour votre émission Vivement Dimanche. Peut-être que Julien Pichenay nous en sera une petite scoope dans un instant. - Peut-être.
05:43 - A l'exception de ce dimanche, cyclisme oblige avec Liège, Bastogne, Liège qui prendra votre place. - Les grandes classiques.
05:50 - Restez avec nous Michel pour commenter l'actu des médias. - Oui, l'actu des médias arrive dans un instant avec le journal Les Médias de Julien Pichenay sur Europe 1.