TOUCHE PAS À MON POSTE : 100% médias, 100% darka !
Du lundi au vendredi à 18h45 sur C8.
Tous les extraits et émissions de "Touche pas à mon poste" sont à retrouver sur MyCANAL : https://www.canalplus.com/c8/tpmp/touche-pas-a-mon-poste
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00:00 -En tout cas, lui, Aymeric Caron, il a eu le courage de parler au micro.
00:03 Après, je vais vous dire...
00:04 Non, mais les gars...
00:05 On parlait d'indécence, mais eux, c'est...
00:08 Alors, eux, ils vont plus loin, toujours plus haut.
00:12 -C'est vrai.
00:13 -Eux, c'est toujours plus loin, toujours plus haut dans l'indécence.
00:16 Dans le ridicule, c'est incroyable.
00:17 D'ailleurs, il y a eu une petite alcarcation
00:19 entre Meillier-Rabib et Emmanuel Bompard.
00:21 Regardez, ça vous fait de la peine de voir votre ami comme ça.
00:24 -Pas mes amis. -C'est vos amis.
00:25 ...
00:40 -Ce qui est fou, vous l'avez vu, et c'est vrai que...
00:43 -Il y a pas quelques... -C'est incroyable, cette séquence.
00:45 Elle est incroyable, parce qu'elle veut dire beaucoup de choses.
00:48 C'est fou, c'est Jordan Mardela ? -Oui, c'est Jordan Mardela.
00:50 -Il se fait d'acclé pour ça, parce qu'il a fait la bise à...
00:52 -Oui, à Jordan Mardela, derrière.
00:53 Non, mais c'est incroyable, cette séquence.
00:55 -C'est fou, cette scène, il est fou.
00:56 -C'est un truc de fou.
00:57 Qui nous aurait dit, il y a quelques années,
00:59 qu'on aurait cette séquence ?
01:02 C'est complètement fou.
01:03 Mais la LFI, c'est littéralement disqualifié.
01:06 -Que la peur a changé de camp.
01:08 -Disqualifié de la société, pour moi, je vous le dis.
01:10 -Il y en a qu'un qui a eu une face, c'est Ruffin.
01:13 C'est le seul qui est sorti du lot qui a dit
01:14 "On ne peut pas aller contre la volonté de parents
01:16 "qu'on perd pour leur enfant."
01:18 -C'est le seul qui sort sur les pingues du jeu.
01:22 D'ailleurs, il devrait monter son parti.
01:24 -Il y a plein de gens qui le suivraient.
01:25 Je pense que c'est une bonne alternative à la gauche, Ruffin,
01:28 qui est quelqu'un de...
01:29 -Qui est décentré.
01:30 -Qui est quelqu'un de discernement.
01:31 Exactement.
01:33 En plus, il prend toujours le contre-pied.
01:35 En fait, il est plutôt juste.
01:36 -On ne prend pas contre-pied, il est juste.
01:38 -Le reste, c'est quand même une bande de...
01:40 Franchement, de pitres.
01:41 Excusez-moi, Gilles Verdez.
01:43 Donc, Gilles Verdez, on va démarrer par vous.
01:45 75 % des Français estiment qu'ils n'avaient pas leur place
01:47 à cet hommage national.
01:50 Vous dites "Non, je ne comprends même pas
01:52 comment on peut dire non quand les familles des victimes
01:54 disent qu'on ne veut pas les voir."
01:55 C'est comme si tu vas à un anniversaire,
01:56 on te dit qu'on ne veut pas te voir, mais tu viens quand même.
01:58 -Tu vas à un enterrement, il n'y a pas de visite.
01:59 -Exactement.
02:00 -Et on te dit qu'en fait, on ne te voit pas.
02:02 -Mais comment ce gars-là...
02:04 Comment, tous les jours, il peut aller aussi le plus loin
02:07 dans la défense des gens qui sont indéfendables ?
02:11 Dans la défense de l'indéfendable,
02:13 Gilles Verdez va encore plus loin tous les jours.
02:15 On a vu un instant ce qu'il nous a dit.
02:17 Là, il continue. Et là...
02:19 Juste pour voir les autres.
02:20 Vous dites tous "Oui, je suis un personné",
02:22 mais vous pouvez dire "Non, bien entendu."
02:23 Je ne vois même pas comment on peut dire non.
02:25 -C'est la famille.
02:26 -Je ne sais pas comment on peut dire non.
02:27 Quand la famille des victimes a dit "On ne veut pas vous voir,
02:29 on ne veut pas vous voir."
02:31 Mais Gilles Verdez, qui dit "Non",
02:32 il fonde ses amis.
02:33 -C'est des familles qui disent "Non" pour...
02:34 -Oui, mais à un moment, même François Ruffin,
02:36 qui fait partie de la LFI, même lui, il a dit les choses.
02:39 -C'est quand même un content, ça, de face.
02:41 -Mais ils n'ont pas de face.
02:42 Alors, on va le laisser parler après,
02:43 parce que j'ai envie de savoir quels sont ses arguments.
02:44 Il me les a déjà donnés en face à Nouna,
02:46 mais je crois qu'il en a d'autres maintenant,
02:48 parce qu'il peut toujours trouver de nouvelles trucs
02:50 dans sa botte secrète de l'indéfendable.
02:52 Donc il a une botte secrète de l'indéfendable.
02:54 Je ne sais pas de quoi il se nourrit le soir.
02:56 À mon avis, il va y avoir une potion magique.
02:58 Hein, mais voilà.
02:59 Eh bien, écoutez...
03:00 Tiens, qui veut ? Raymond.
03:02 -Non, moi, je pense qu'il faut respecter ce qu'a dit la famille.
03:04 La famille a dit "On ne veut pas de la LFI",
03:06 parce qu'ils ont refusé de condamner,
03:08 donc ça ne sert à rien de venir le forcer.
03:09 En plus, ils viennent, comme Aymeric Caron,
03:12 ils viennent au micro, "Ouais, c'est dommage, c'est regrettable,
03:15 "tel comportement, t'es pompier pyromane,
03:16 "il ne fallait pas venir, c'est tout.
03:18 "Tu n'aurais pas eu ce comportement-là,
03:19 "tu n'aurais pas eu les sifflets,
03:20 "tu serais resté chez toi tranquillement."
03:21 Et Jean-Luc Mélenchon, il n'a pas été.
03:24 Il ne va jamais, lui.
03:25 -On parle d'un sondage, s'il y avait Marine Le Pen
03:27 et Jean-Luc Mélenchon au second tour,
03:29 un sondage, à priori, 68 Marine Le Pen, 32 Mélenchon.
03:33 C'est fou.
03:34 -Oui.
03:35 -C'est par les camarades.
03:37 Si la famille te dit qu'il ne va pas,
03:39 normalement, t'as une décence, t'as une face,
03:40 tu te dis "Voilà, j'y vais pas, c'est un hommage,
03:42 "je laisse les autres, ils n'ont pas chez moi."
03:45 Et je tweete.
03:46 Ils sont très forts pour tweeter, pourquoi ils n'ont pas tweete ?
03:47 -Mais je ne comprends pas.
03:49 Après, le comportement qu'ils ont eu,
03:51 "Mais faites-vous tout petit ou bien..."
03:53 -Ou alors "Assumez jusqu'au bout."
03:54 -A la limite, "Assumez jusqu'au bout."
03:56 "Mais soyez pas hypocrite à venir là pour faire chier tout le monde."
03:59 -Pour se plaindre, en plus.
04:00 -C'était un hommage.
04:01 Quand il y a des gens que t'as pas envie de voir,
04:03 déjà, tu vas mettre une sale ambiance.
04:04 Non, mais c'est insupportable.
04:06 Je vous dis, c'est vraiment faire chier le monde.
04:09 -Ils ont gâché l'hommage, en fait.
04:10 -C'est gâché l'hommage.
04:11 -C'est le type de réaction.
04:12 -Non, mais oui, mais on n'avait pas envie de les voir.
04:15 -On n'avait pas envie de les voir.
04:16 -Surtout qu'il n'y aurait pas eu de caméra,
04:17 ça aurait été dans l'intimité des familles,
04:18 ils ne seraient pas venus.
04:19 Là, c'est seulement parce que c'était un événement
04:21 reconstruit sur toutes les chaînes.
04:22 -C'est délirant.
04:23 -M. Caron, après, la victimisation, en disant la désinformation,
04:28 qu'ils sont victimes du système, qu'on n'a pas compris vraiment
04:30 ce qu'ils ont dit, c'est aussi une posture politique
04:33 de se corneriser.
04:34 -Oui, mais les Français ne sont pas dupes.
04:36 Tout au long de la séquence, les mecs ont confondu
04:38 cause palestinienne et cause du Hamas.
04:39 S'ils ont réellement évolué, comme a-t-il pas non exclu
04:41 Ersilia Soudé, Daniel Obono et tous ceux qui ont dérapé,
04:44 aujourd'hui, c'est un coup de com', un énième coup de com'
04:46 et qui a échoué, car les Français ne sont plus dupes
04:49 et c'est à cause de ces gens-là que Marine Le Pen est aussi haute
04:52 dans les sondages et qu'elle est aux portes du pouvoir.
04:54 -Elle est ficelle indécente, elle s'est dit respect incarné.
04:56 Et c'est des gens comme Gilles Vernez aussi
05:00 qui font que l'ORN aujourd'hui est devenu le refuge.
05:04 -Ca a fait monter l'ORN, Gilles.
05:05 -Responsable de... -En partie, oui.
05:07 -Ca a fait monter l'ORN. -Bien sûr.
05:10 -On peut pas prendre les problèmes des Français à bras le corps
05:12 en disant "on peut rien faire, c'est nul".
05:14 -On a un déni de réalité.
05:16 -Tu pousses les gens à voter pour des gens qui, eux,
05:18 auront les couilles de faire quelque chose.
05:20 -Ca ne redire plus de gouffres républicains.
05:23 -Qu'est-ce qu'il y a ? -J'avais jamais entendu ça.
05:25 -Il peut vous le redire. -On le redit une deuxième fois.
05:28 -Je vais redire les yeux dans les yeux que je suis responsable
05:30 de la montée des voix. -En partie.
05:32 -En partie, moi. -Bien sûr que oui.
05:34 -En disant qu'il ne faut rien faire, qu'il faut laisser les gens...
05:38 -Laisser les gens quoi ? -Les gens qui vivent de la cistana.
05:40 Il ne faut rien faire. Il n'y en a pas.
05:43 Les squatters, il faut les laisser. Ils n'ont pas de domicile.
05:45 -J'ai jamais dit ça.
05:47 -Les gens qui sont cambriolés, il faut les foutre en colosse.
05:51 Mais non, tu es toujours comme ça.
05:53 À force de ne vouloir rien régler, les gens qui veulent régler
05:56 les choses, ils prennent les choses en main,
05:58 ils descendent dans la rue et ils votent en conséquence.
06:01 -C'est dégueulasse.
06:02 -Je t'avais dit l'autre jour que tu étais une véru sur le gland.
06:05 Je m'en expuse si ce n'est pas beau.
06:07 En fait, tu es un fion au cul.
06:08 Tu es pire que ça.
06:09 Tu es un fion au cul.
06:11 -C'est ça, ton argumentaire ?
06:13 -Non, c'est ma chute.
06:14 -C'est ta chute.
06:15 -Il a dit "un fion au cul".
06:17 -Il est un analyste politique.
06:19 -Il peut aller sur les grandes radios.
06:21 -Comme beaucoup de Français, j'ai un fion de cocu.
06:24 -Un fion au cocu !
06:25 -Il a dit un fion au cocu.
06:27 En plus, c'est sourd.
06:28 Rires.
06:29 -Les gars, stop.
06:31 On arrête.
06:32 On arrête.
06:33 -Comme beaucoup de Français, à force d'écouter Gilles Verdet
06:36 et de regarder les actes de la France insoumise,
06:38 aujourd'hui, on a bien plus peur de Mélenchon que de Marine Le Pen.
06:40 Et t'emportes la responsabilité.
06:42 -Toi aussi, tu t'y mets.
06:44 Rires.
06:45 -C'est vrai ?
06:46 -Non, mais...
06:47 -Tu l'emportes là, par le mélenchon ?
06:49 -La défense, elle est extrêmement ténue,
06:51 parce qu'ils ont été nuls de bout en bout.
06:53 Moi, j'ai condamné le fait qu'ils ne proclament pas
06:56 la barbarie du Hamas comme un acte terroriste.
07:00 Mais là, ils sont obligés d'y aller.
07:02 -Non.
07:03 -Vous ne pouvez pas vous souscrire à un hommage national
07:06 quand vous êtes élu au Parlement.
07:07 S'ils n'y vont pas, ils se mettent en dehors de la République.
07:10 C'est impossible.
07:11 Ils vont y aller.
07:12 -C'est pas fini.
07:13 -C'est un mélenchon, Diallo.
07:15 -Il faut y aller.
07:16 Il faut faire ce qu'ils ont fait, à part Aymeric Caron.
07:19 -Vous êtes déprimis contre la volonté des familles.
07:21 -Vous êtes obligés d'y aller.
07:23 Je comprends la douleur des familles.
07:25 -Je peux te poser une question ?
07:26 Ils ont eu du mal à défiler dans la lutte contre l'antisémitisme.
07:30 -Parce qu'il y avait l'extrême droite.
07:31 -Là, il y a l'extrême droite qui est présente.
07:34 -Il est juste à côté.
07:35 -Comment ça se fait qu'à ce moment-là,
07:37 ils n'ont pas de problème ?
07:38 -C'est un hommage national.
07:39 -C'est un problème.
07:41 -C'est un hommage.
07:42 -Si en tant que...
07:43 Non, c'était pas sous l'égide du président de la République.
07:46 -De Yael Bouddibé et de Gérard Larcher, les deux assemblées.
07:49 -Vous vous souscrivez à ça ?
07:50 -Il y avait les deux présidents des assemblées.
07:52 La haute assemblée, le Sénat et le classement national.
07:56 -C'était un hommage.
07:57 -Parle derrière.
07:58 Rires
07:59 -C'est un hommage national.
08:02 C'est pas possible.
08:03 C'est un hommage national.
08:04 C'est impossible.
08:05 Si vous vous souscrivez, vous n'êtes plus dans la République.
08:09 -Je peux pas entendre ce que tu dis.
08:11 C'est pas possible.
08:12 Comment tu trouves des arguments comme ça ?
08:14 -C'est pas des arguments dans ma tête.
08:17 C'est ma tête qui doit...
08:18 -Tu as pas coupé tes cheveux ?
08:20 -Vous pouvez pas vous souscrire à ça.
08:22 Si vous n'y allez pas,
08:23 vous enterrinez le fait que vous n'êtes plus dans la représentation.
08:27 -Ils l'ont déjà enterriné.
08:28 Ils sont déjà disqualifiés depuis longtemps.
08:31 -Certains disent qu'ils sont plus dans l'art républicain.
08:34 -Il aurait été tout à leur honneur de faire une lettre
08:37 à la représentation.
08:38 -Nous aurions souhaité y être, mais malheureusement,
08:41 nos positions ont fait que...
08:43 -On a blessé des familles.
08:44 -Il a fait ça car on...
08:46 -Il aurait pu signer par Mathilde Panot,
08:48 qui est la présidente du parti et du groupe,
08:51 et dire que la représentation aurait été comme une police.
08:54 -Beaucoup de réactions arrivent, surtout à Gilles.
08:57 "C'est insupportable, ce que dit Gilles."
09:00 "En donnant raison à la LFI, il insulte la volonté
09:03 "des familles des victimes."
09:05 Il y en a énormément de réactions.
09:07 Comment tu réponds à ça ?
09:08 -On ne peut pas comprendre la douleur indicible des familles.
09:12 Je comprends totalement qu'à Eurogep...
09:14 -Ce genre de phrases, pour dire que la LFI avait sa place à l'hommage,
09:18 je ne veux pas les entendre.
09:20 C'est pas concevable.
09:21 Tu ne peux pas dire dans une phrase
09:24 "la douleur que ressentent les familles est indicible",
09:27 et dans l'autre phrase,
09:29 "la France insoumise avait sa place à l'hommage".
09:32 C'est pas possible.
09:33 -C'est une phrase en autogonisme total.
09:35 -Tu ne peux pas queçonner que des gens qui ont déjà eu
09:38 énormément de douleur.
09:40 -Tu ne peux pas dire ça et dire dans la même phrase
09:43 "la France insoumise doit être à l'hommage".
09:46 Gilles Vernez, là...
09:47 -C'est obscène.
09:49 -Pourquoi ?
09:50 -Même ce que tu dis.
09:51 Tu dis une phrase, et derrière, tu dis tout le contraire.
09:55 -J'essaie d'expliquer le fait qu'ils y soient allés.
09:58 Ils y sont allés, Cyril.
10:00 On essaie de comprendre pourquoi.
10:02 -Ils y sont allés parce que c'est des guignols.
10:05 -Vous ne pouvez pas vous souscrire à un hommage national.
10:08 -C'est impossible.
10:09 -C'est pour ça que je te dis qu'ils auraient pu pallier
10:13 leur absence par un communiqué officiel en disant
10:16 "nous aurions souhaité, mais nous savons que notre présence
10:19 "aurait peiné".
10:20 -Je voudrais juste dire un truc sur les familles des victimes
10:24 qui ont été d'une grandeur incroyable.
10:26 C'est ça que je retire à la limite.
10:29 -Les familles des victimes, elles sont encore une fois
10:32 passées tes amis pour des cons.
10:34 Ne me dis pas que ce ne sont pas tes amis.
10:36 Les familles des victimes ont été d'une classe incroyable.
10:40 Elles ont mis la LFI devant leurs contradictions
10:43 et devant leurs erreurs.
10:45 Si j'étais membre de la LFI et que j'avais été là-bas
10:48 aujourd'hui l'après-midi,
10:50 j'aurais du mal à me regarder dans une glace,
10:53 dans un miroir, et continuer à faire des tweets
10:56 et les beaux à l'Assemblée nationale
10:58 sur les réseaux sociaux.
11:00 Si j'étais eux, je me ferais tout petit.
11:03 Et tes amis, tu peux leur dire,
11:05 si tu peux leur faire passer un message,
11:08 qu'ils se fassent tout petit, parce qu'ils sont passés
11:11 pour des cons.
11:12 Et le comportement des familles des victimes,
11:15 les amis plus bas que terre.
11:17 La classe des familles des victimes ont montré
11:20 l'indécence de la France insoumise et la honte
11:24 qu'est la France insoumise en ce moment pour la France.
11:27 -Tes amis sont une honte.
11:29 Et ce sont tes amis.
11:31 -Ce ne sont pas mes amis.
11:32 -Ce sont mes amis.
11:34 -Je suis en désaccord avec eux là-dessus depuis le début.
11:38 Ils ne pouvaient pas ne pas y aller.
11:40 C'est impossible.
11:42 -Pourquoi ils ne sont pas venus à la marche
11:45 contre l'antisémitisme ?
11:47 Ils sont députés.
11:48 C'est la présidente de l'Assemblée nationale.
11:51 -Mettez-vous sur les mots !
11:53 -Je ne me souviens pas qu'il ait d'une malhonnêteté
11:57 contre l'antisémitisme.
11:59 -Ils y sont allés en se bouchant le nez,
12:01 sans conviction ?
12:03 -Vous parlez ?
12:04 Ils y sont allés parce qu'ils sont obligés d'y aller.
12:08 -C'est encore pire.
12:10 -C'est pas dans leur tête.
12:12 -C'est incroyable.
12:13 -Les téléspectateurs sont obligés.
12:16 84,5 %, êtes-vous d'accord ?
12:18 Oui.
12:19 -Vous dites que j'ai été hypocrite.
12:22 [Musique]