• il y a 10 mois
Basket - Un complexe unique dans la Loire se prépare à ouvrir ses portes.
Les États-Unis en mode « French Touch ». Prochainement à Saint-Etienne, plusieurs terrains de basketball seront accessibles dans notre département. Labellisé FFBB, ce lieu pourra accueillir des événements officiels.

Démo - Tennis olympique dans la Loire.
Cette semaine, nous explorons le tennis, discipline olympique des JO 2024 à Paris. Avec mon partenaire d'entraînement Comes et les conseils de Fabrice Prenat du club de tennis de St Etienne Michon, découvrez des moments intenses de ce sport exigeant. Merci à Fabrice pour son soutien et l'accès au club.


Portrait - Pierre Vincent, aux portes du top 10 Français.
Ancien tennisman pendant 15 ans, Pierre Vincent a interrompu sa carrière pendant la COVID. Actuellement 12ème meilleur joueur de padel français, il se lance dans le parcours international visant le top 10.

Ring canin, une discipline qui ne manque pas de mordant.
Le ring, sport canin exigeant, demande un haut niveau de compétence du binôme chien-handler. Composé de plusieurs épreuves, il nécessite des qualités physiques et mentales exceptionnelles chez le chien. Contrairement aux idées reçues, il n'est pas autorisé pour les chiens agressifs. Karim JOLY, coach animalier vice-champion du monde par équipe est une référence dans la Loire.

Dans les coulisses du tournoi Hand Élite 42.

Organisé par les clubs handball Saint-Étienne Métropole 42 et Saint-Étienne Masculin handball 42, le tournoi s'est déroulé les 25 et 26 janvier 2024. L'événement a accueilli 4 équipes de la Liqui Moly StarLigue : le Pays d'Aix Université Club Handball, Dijon Métropole Handball, Montpellier Handball et USAM Nîmes Gard. A cette même période, l'équipe de France de handball participait à la Coupe d'Europe.

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00:00 [Musique]
00:16 Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sportset.
00:21 Il s'en dit des choses avant l'émission, c'est très dur de recommencer après.
00:24 Au programme, vous allez voir un programme de folie.
00:26 Qu'est-ce que c'est que le ring avec vous Karim Jolie dans quelques instants ?
00:29 Alors le ring c'est une discipline qui est pratiquée par des chiens, je vais admettre.
00:33 Et oui, pour deux fouettes en binôme.
00:35 Voilà c'est un binôme et il s'en trois parties, il y a une partie saut, une partie obéissance et une partie défense.
00:41 Et bien voilà, il y en a un qui est très obéissant à côté de vous, c'est Lilian Bard, mon collègue.
00:45 Bonsoir à tous.
00:47 Yes, le portrait de la semaine c'est Pierre Vincent à qui je souhaite un très joyeux anniversaire d'ailleurs, j'en profite.
00:52 Et puis il est 12ème meilleur joueur de padel, on en avait déjà parlé il y a quelques temps, il était dans le top 100 aujourd'hui.
00:58 Il est presque dans le top 10 et on expliquera pourquoi justement.
01:01 Il n'est pas dans le top 10, il va falloir passer la marée.
01:04 À côté de vous, en face de vous, la famille chemise, Yacine Daoud.
01:09 Dans les coulisses du Handelit édition 2024, c'était la 19ème et il y a des choses à dire et des petites informations à donner.
01:17 Très sympathique et mon chroniqueur Effendi Demir, avec vous on va parler de quoi ?
01:23 Bonsoir Julien, on va parler de basket mais on va parler du basketball jusqu'à l'infinité.
01:29 Ça vous dit ça ? Infinity Ball, donc c'est un produit digérien, on en parle tout à l'heure.
01:33 Unique dans la loi.
01:34 Unique dans la loi.
01:35 Exactement.
01:36 Karim Joli, vous êtes coach canin.
01:39 Oui.
01:40 Et à une date près ça faisait câlin, mais c'est pas la même chose.
01:42 En fait, je voulais vous inviter parce que c'est une discipline qu'on connaît pas assez, le ring.
01:49 Vous avez commencé à nous le dire, derrière vous ça s'excite un petit peu, c'est votre chien.
01:53 Oui, c'est mon chien.
01:54 Qui s'appelle ?
01:55 Thiago.
01:56 Thiago, quel âge ?
01:57 Il va avoir deux ans au mois de mars.
01:58 Et c'est un ?
01:59 Un berger belge malinois.
02:00 Bah oui, je reconnaissais le côté belge mais pas le côté malinois.
02:04 Qu'est-ce que c'est que le ring ? Est-ce qu'on va voir dans quelques instants des images, c'est quoi les étapes en fait ?
02:10 Alors les étapes, des fois c'est souvent que les chiots démarrent à deux, trois mois.
02:14 Ah oui, il faut les prendre jeunes.
02:16 Il faut les prendre jeunes, voilà, c'est des chiens qui sont obligatoirement "all of", c'est-à-dire inscrits au livre des origines françaises.
02:23 Donc à deux, trois mois on commence que du mordant sur une petite serpillière, un bout de chiffon, et puis après on a un début d'un...
02:30 On attaque sur des humains quoi.
02:31 Ouais.
02:32 Alors ce qui était bien, c'est que j'ai briefé Karim, j'ai dit "surtout tu me parles pas du chiot tout de suite", alors c'était pour Seb.
02:37 Alors Seb, c'est la troisième illustration, on va voir le petit chiot parce que c'est tout mignon un petit Malinois.
02:42 Et d'où l'expression de Lilian qui dit souvent "ne fais pas ton..."
02:45 "Ne fais pas ton Malinois", surtout.
02:47 C'est vrai, c'est une vraie expression.
02:48 Donc c'est une future... Enfin je sais pas, il ou elle...
02:51 Oui, c'est une femelle.
02:52 C'est une future athlète ?
02:55 Faut espérer parce que la route est longue quoi, un chien on le prend à ce stage-là et on va le sortir à deux ans et demi.
03:01 Deux ans, deux ans et demi, ça dépend des équipes, voilà.
03:04 Et du coup la route n'est pas si longue puisqu'il y a bientôt deux ans.
03:06 Ah bah lui il va commencer, voilà.
03:08 Ouais, mais c'est deux ans et combien d'entraînement par semaine ?
03:11 Nous sommes à trois entraînements, voire quatre par semaine des fois.
03:14 Donc on est d'accord, on peut dire que c'est un athlète.
03:16 Non mais c'est quoi le sport ? J'arrive pas à comprendre.
03:19 Alors on va voir le sport. On se restructure.
03:21 Qu'est-ce que c'est que le sport coloring ? On va voir les illustrations.
03:24 Alors on vous voit à l'entraînement, c'était ce week-end d'ailleurs, tout frais ?
03:27 Où le soleil de Saint-Romain ?
03:29 Non, alors c'est au Chambon-Fujerol.
03:32 Ah je me disais !
03:33 Je reconnais, je reconnais le genre comme ça.
03:36 Donc j'ai deux terrains, j'en ai un au Chambon-Fujerol,
03:38 donc le club Canin-Ondenne, qui est associatif,
03:42 et j'ai mon club perso en professionnel qui est à Saint-Cyprien.
03:46 Donc il y en a souvent dans la rue qui n'arrivent pas à faire ce que vous faites déjà,
03:49 ça marche au pied.
03:50 On reconnaît les propriétaires de Jacques Ressol parce qu'ils ont un bras plus long que l'autre.
03:54 Mais ça se travaille !
03:57 Malheureusement il y a beaucoup de chiens qui manquent d'éducation.
03:59 Ouais, c'est ça.
04:00 Quand vous dites professionnel, Karim, on est professionnels vraiment dans ce domaine du ring ?
04:08 Parce que l'athlète, on parle de l'athlète, mais c'est qui l'athlète ? C'est le chien !
04:11 Ah c'est surtout le chien, oui.
04:12 Ah vous êtes d'accord avec ça ? Parce qu'en réunion je lui ai dit "mais non, mais il y a quand même vous !"
04:16 Le plus important, même dans le binôme, c'est le chien qui fait 70%.
04:19 Et celui qui porte la tenue sous 30° ?
04:21 Après nous avons les hommes assistants.
04:23 Donc on les appelle hommes assistants.
04:25 J'en ai deux derrière moi, qui sont là, qui sont venus me voir ce soir.
04:28 Levez les bras ! Ah ils ont deux bras, donc ils sont d'accord.
04:32 Oui, eux aussi c'est important.
04:34 Elle est là la tenue, on commence à aborder, parce qu'on va dire que dans le ring il y a du mordant.
04:40 Elle pèse combien la tenue ?
04:42 Une tenue pèse...
04:43 Rien que le bras est lourd.
04:45 Oui, en plus c'est la mienne, donc 1m92, donc il y a plus de tissu que sur certains.
04:49 C'est un costume qui peut péser de 10 à 20 kg.
04:54 L'été on l'adore.
04:55 Après il y a trois épaisseurs de costume.
04:57 Donc on a le costume pour les concours.
05:00 Pour les chihuahuas, qui n'est pas pareil.
05:02 Pour les concours, après on a le costume semi-entraînement,
05:04 et le costume entraînement qui est beaucoup plus gros.
05:07 Parce que dans le ring il y a du mordant.
05:09 On va voir quelques images.
05:11 C'est quoi le travail du mordant ?
05:13 On lui demande quoi au chien ?
05:15 C'est de la défense.
05:17 Nous avons une attaque où on se fait agresser derrière, le chien doit nous défendre.
05:22 Une garde d'objet, c'est souvent un panier en osier, voire en plastique.
05:26 Une recherche du conducteur, du malfaiteur, c'est eux.
05:30 Ils sont cachés dans des caches qui sont dissimulés sur le terrain.
05:35 Et le chien doit le retrouver.
05:37 C'est un entraînement de type gendarmerie synophile.
05:39 C'est du jeu ?
05:41 A l'origine du ring, oui, c'était dû à la police.
05:44 C'est pour ça que beaucoup de clubs s'appellent "chien de police".
05:49 Carré, j'ai une question.
05:51 Parce qu'on parle de mordant, pour certaines personnes ça peut paraître violent.
05:54 Est-ce qu'on parle un peu d'amour ?
05:57 Est-ce que l'amour a sa place là-dedans ?
06:00 Il y a une citation.
06:03 Il faut beaucoup de ça.
06:05 C'est un sport.
06:07 Les gens qui regardent vont dire "c'est trop violent".
06:09 Même pour le chien, c'est un sport.
06:11 Moi, mes propres chiens, des fois j'arrive à les faire mordre sur moi.
06:13 Moi, je peux faire mordre un chien, et mes hommes d'attaque le caressent même pendant le mordant.
06:18 C'est du plaisir pour les deux, le chien et le mordant.
06:20 Santiago, c'est votre chien qui travaille du mordant depuis...
06:23 Deux mois.
06:24 Deux mois, c'est tout frais.
06:26 Si je m'approche de lui...
06:27 Deux mois, il a deux ans.
06:28 Deux ans, oui.
06:29 Mais si je m'approche de lui, il va se passer quoi ?
06:31 Il est sociabilisé, il est agressif ?
06:33 Sûrement d'une manière très agressive.
06:35 Il est très agressif.
06:36 Santiago, c'est un chien qui est bien dans ses baskets.
06:38 C'est un chien qui aime l'être humain.
06:41 Donc il va se laisser caresser par tout le monde.
06:43 Et ce qu'on demande, justement, c'est que le chien ne doit pas avoir peur de l'être humain.
06:48 Quand on va à la SPA, aujourd'hui, on va parler sur un autre truc,
06:50 on voit plein de Malinois.
06:52 Comme ça, c'est-à-dire qu'effectivement, certaines cités,
06:54 certains jeunes utilisent ce genre de chien pour faire des bêtises, on va dire.
07:02 Est-ce qu'aujourd'hui, c'est une race qui est difficile à dompter
07:07 ou ça vient vraiment du maître, point bas ?
07:09 Pour moi, ça vient beaucoup du maître.
07:11 Après, vous savez, aujourd'hui, c'est le Malinois.
07:13 Il y a quelque temps, c'était le Rottweiler.
07:15 Après, ça a été le Staf.
07:16 Il n'y a que des effets de mode.
07:18 Là, on a eu une chienne malinoise qui a été morte au Bataclan,
07:22 qui a défendu et qui a été morte.
07:24 Et depuis, Diesel, elle s'appelait.
07:26 Et depuis, ça fait boule de gamme.
07:28 Tous les gens, aujourd'hui, prennent des Malinois.
07:30 En plus, le Malinois n'est pas un chien catégorisé.
07:32 Donc aujourd'hui, tout le monde prend des Malinois.
07:35 Moi, je vois à mon club des Malinois de 8 mois qui deviennent méchants.
07:38 - On dit que c'est les chiens les plus intelligents.
07:40 Souvent, on dit qu'un Malinois, c'est très obéissant.
07:43 - C'est agressif, c'est obéissant.
07:45 - C'est le chien très très intelligent.
07:47 - Mieux que le berger allemand ? Est-ce qu'il y a vraiment des races un peu comme ça ?
07:49 - Un berger allemand, non.
07:50 On va dire que le berger allemand est trop intelligent pour faire du ring.
07:53 - Ah ouais ?
07:54 - C'est méchant pour les Malinois, du coup.
07:56 - Il y en a qui font du ring.
07:57 Même nous, dans notre équipe, on a du berger allemand.
08:00 Le Malinois est plus instinctif.
08:02 Déjà, c'est une nouvelle race.
08:04 Ce n'est pas une race qui est comme le berger allemand
08:06 où on a cassé le caractère pour justement faire des chiens d'expo.
08:10 Ça, c'est un chien qui est encore un peu plus naturel.
08:13 - Est-ce que c'est sportif pour le maître ?
08:15 - Pour le maître, oui, parce qu'il faut créer la condition,
08:19 la création du chien.
08:21 Donc, il faut faire des footings, faire du vélo, faire courir le chien.
08:24 - On va voir la photo où il saute 4 mètres, le chien ?
08:28 - Non, c'est 4,50 mètres de longueur.
08:30 - Ah non, excuse-moi, il ne faut pas oublier les 50.
08:32 - C'est énorme.
08:33 - C'est énorme, ouais. 4,50 mètres.
08:34 - C'est 4,50 mètres de longueur.
08:36 Vous avez un mur d'escalade qui fait 2,30 mètres de hauteur,
08:40 donc avec un allé et un retour.
08:42 Et une haie qui fait 1,20 mètre.
08:44 - Donc, on peut dire que c'est un vrai sportif,
08:46 avec son hygiène alimentaire aussi ?
08:48 - Ah oui, on amène nos chiens chez l'ostéopathe,
08:51 on a des... Ah oui, c'est des sportifs, ouais.
08:54 - Alors, autour de la table, on en a deux contre un.
08:56 Deux qui disent que ce n'est pas sportif du tout,
08:58 il n'y a que le chien, et il y en a un qui dit que c'est sportif.
09:00 - Non, non, non, moi je n'ai pas dit ça.
09:02 - Il m'a changé d'avis.
09:03 - Moi, j'ai dit...
09:04 - Depuis qu'il a vu le chien, il a changé de version.
09:06 - Il a dit ça parce que...
09:07 - En priorité, c'est le chien.
09:09 C'est ce que j'ai dit.
09:10 - C'est beaucoup le chien.
09:11 - Je n'ai pas dit que ce n'était pas sportif.
09:12 - Ça marche sur ordre.
09:13 Si vous ne donnez pas d'ordre, le chien est perdu.
09:15 - Oui, c'est beaucoup d'ordre.
09:17 - Non, en fait, honnêtement, on en parlait en off,
09:21 à se dire qu'on pouvait le comparer,
09:23 l'activité à l'équitation.
09:25 - Oui, c'est similaire.
09:26 - En revanche, pour moi...
09:27 - À part que Karim n'est pas sur le chien.
09:29 - Voilà.
09:30 - En revanche à l'équitation, on a quand même...
09:33 On a quand même quelqu'un sur le cheval.
09:35 On a quand même quelqu'un qui est gainé,
09:37 qui est censé prendre la courbe du cheval.
09:39 - Attends, Karim n'est pas gainé ?
09:40 - Non, je ne dis pas ça.
09:41 Du coup, on a vraiment un athlète qui est dessus,
09:44 sur le cheval, pour pouvoir réaliser une performance.
09:47 - Oui.
09:48 - En accord avec l'animal.
09:50 - Mais ne dites pas oui !
09:51 Défendez votre biftec, on va la chercher un peu.
09:54 - Il a raison de dire que c'est deux sports différents,
09:56 mais qui sont assez similaires.
09:57 On a beaucoup de personnes qui viennent du cheval
10:00 dans le monde canin.
10:01 - Ah !
10:02 - Voilà.
10:03 - Parce qu'ils n'aimaient pas la hauteur.
10:05 - C'était trop beau !
10:07 - Ça manque de visibilité quand même, non ?
10:09 Encore au niveau des médias.
10:10 - Alors, 30 secondes.
10:11 On voit les images actuellement, 4,50, on n'oublie pas.
10:13 Quand même sur le plateau, on a quand même
10:15 un champion vice-champion et champion du monde en équipe.
10:19 - En équipe.
10:20 - Quand même, 2017.
10:21 Et ça s'applaudit quand même.
10:22 - Bravo, ouais.
10:23 - Donc ce n'est pas n'importe qui.
10:24 Vous vous êtes mis à votre compte il y a cinq ans.
10:26 - Oui.
10:27 - Entièrement vivre de cette passion-là.
10:29 Mais ils ont raison,
10:30 c'est une discipline visuellement magnifique.
10:32 Je connaissais plus l'agilité que le ring.
10:34 Agility, pardon, que le ring.
10:36 Pourquoi on n'en voit pas assez ces traités visuels, ça ?
10:40 C'est un peu un club fermé,
10:42 parce que je crois qu'il y a 260 chiens en compétition
10:45 et à la fin, il ne reste que 26.
10:47 Ils ne les mangent pas.
10:48 - On va arriver, là, on va finir la période de présélectif.
10:51 On doit faire cinq concours.
10:53 Ils calculent les meilleurs moyens des chiens.
10:56 Et par régional,
10:57 donc on va dire que la France est divisée en huit groupes,
10:59 ils prennent 30 chiens par régional,
11:01 donc 280 chiens qui vont faire les sélectifs.
11:04 Donc les sélectifs, c'est trois concours,
11:06 trois concours avec un jury
11:08 et puis des hommes assistants qui sont,
11:10 on va dire, plus-plus.
11:12 Et une fois que ce tournée de sélectif est fini,
11:15 ils vont garder que les 26 meilleurs chiens
11:17 pour faire le championnat de France et la Coupe de France.
11:19 - Thiago, ses premières sélections, c'est quand ?
11:22 - Thiago, il va commencer son brevet, son premier concours.
11:25 - Il l'a passé, Lilian, son brevet.
11:27 - Ah ouais ? - Ouais.
11:29 - Je le dis pas, je le sais.
11:31 - Voilà, il va passer son brevet au mois de mars,
11:33 donc après, la route est longue.
11:35 Après, il y a des étapes comme le Ring A à passer,
11:37 après le Ring 2 et le Ring 3.
11:39 - Ring 1, 3.
11:40 En fin d'émission, tout doucement,
11:42 vous allez nous faire une petite démonstration,
11:44 comme ça, parce qu'on nous a envoyé des vidéos.
11:46 Mais ça peut être truqué, maintenant, avec Lilian.
11:48 - Ah bah oui. - Ah bah oui.
11:49 Donc on va le voir en direct.
11:50 Mais avant, ça me crie dans l'oreille.
11:51 Eh bien, je suis prêt !
11:52 Mais oui, il est là, il est en direct à Saint-Etienne.
11:55 Dans sa chronique, vous savez, il nous présentait des sports.
11:57 Parce que ça y est, on est sur la ligne droite.
11:59 Hier, Teddy Riner, 10 médailles, le judo quand même.
12:01 - 10 médailles ! - C'était pas mal, hein ?
12:03 - C'est pas mal. - 12 médailles, je crois, je suis pas sûr.
12:05 - Ça continue. Ça s'arrête jamais, le gars.
12:07 - Ça peut être pas mal.
12:08 Mais pour l'heure, c'est le tennis.
12:10 Alors, tennis, est-ce qu'on va avoir des médailles au JO ?
12:12 C'est autre chose.
12:13 Mais il nous présente, c'est Damien Sidoux.
12:15 Damien, comment ça se passe du côté de Saint-Etienne,
12:17 pour le tennis ?
12:18 - Il a mouru.
12:19 - Je crois. Je sais pas.
12:23 Damien.
12:25 - La liaison.
12:26 - Oui, bonjour Julien, bonjour à tous.
12:28 Dans notre série "Continuons à découvrir les sports olympiques"
12:31 présent dans notre territoire,
12:33 je suis effectivement au tennis club de Michon,
12:36 en la présence de Fabrice Prenat.
12:38 Fabrice, toi, tu es là depuis 20 ans.
12:40 Tu es moniteur ici, et tu nous accueilles dans de magnifiques locaux.
12:44 - Vous voyez des locaux qui viennent d'être rénovés,
12:47 qui viennent d'être rafraîchis.
12:48 Donc, on est ici à Montrénaud,
12:50 dans l'un des trois sites où joue le club.
12:52 Donc, on a également le site de Michon et de Méon.
12:55 Mais là, c'est le siège principal,
12:57 avec notamment le club à Ousse, l'accueil,
13:00 et tout récemment, les paddles.
13:02 - Ah oui, donc ça, c'est tout nouveau.
13:04 Et justement, j'avais quelques questions à te poser
13:06 à travers le tennis français,
13:08 et notamment, pourquoi on est nul aujourd'hui en France ?
13:11 - Alors, je dirais pas du tout qu'on est nul.
13:13 On est, pour moi, moins fort que certains,
13:16 parce qu'il y a eu trois monstres qui ont tout raflé.
13:19 Mais on n'est pas passé très loin.
13:21 Il y a des joueurs qui ont atteint la finale.
13:24 Il y en a plusieurs.
13:25 Chez les filles, on a gagné plusieurs titres du Grand Chelèvre.
13:28 Les Français ont plus tendance à briller
13:31 sur les tournois extérieurs.
13:32 Mais c'est vrai qu'à Roland-Garros,
13:34 ils ont du mal à dépasser la première semaine.
13:36 - Et du coup, ça vous fait référence à la formation.
13:39 Est-ce que finalement, dans la Loire,
13:41 nous sommes une terre de formation pour le tennis ?
13:43 - Alors, il y en a eu.
13:44 C'est vrai que dans la Loire,
13:46 on est vite obligés de partir à un certain âge.
13:49 Mais il y en a eu. Je pense à Hugo Grenier,
13:51 qui vient de Montbrison,
13:53 qui a fait deuxième tour en Australie,
13:56 qui a été formé dans la Loire.
13:58 Il y a eu Aravan Reza.
14:00 Il y a eu quelques bons joueurs.
14:02 Et puis, il y a d'autres joueurs qui changent de voie,
14:06 qui ont un bon niveau de tennis,
14:08 qui en profitent pour partir en université aux États-Unis.
14:11 On en a accompagné plusieurs comme ça
14:13 et qui changent de sport.
14:16 Vous avez vu avec Pierre Vincent,
14:17 qui a été formé ici chez nous
14:19 et qui s'est maintenant mis au paddle
14:21 avec un très bon niveau.
14:23 On en a formé plusieurs dans la Loire.
14:25 - Du coup, il ne se reste plus qu'à me former maintenant.
14:28 J'espère que je vais être à la hauteur, Fabrice.
14:30 Je vous retrouve tout à l'heure.
14:32 Je vais m'équiper et je vais prendre encore quelques conseils.
14:34 Bisous, à tout à l'heure.
14:36 - Il est violent, mais il est fou de dire ça.
14:38 - De dire quoi ?
14:39 - De dire pourquoi on est nuls au tennis.
14:41 - Il a raison.
14:43 - On a peu de résultats, mais il a raison.
14:45 - Il y a eu trois géants qui ont tout dominé
14:47 le monde tennis pendant des années,
14:49 mais c'est une réalité aussi.
14:51 On n'a pas non plus des gars français
14:53 qui performent plus, plus, plus.
14:55 - Je ne savais pas dire qu'on est nuls.
14:57 - Au-delà de Roland-Garros,
14:58 dites-moi le dernier tournoi
14:59 où on a eu dans le dernier carrière un Français.
15:01 - Une fille ou un homme ?
15:02 - Chez les filles, ça va un peu mieux.
15:05 Chez les jeunes, rideau.
15:07 - Je suis sûr qu'il a été influencé
15:09 par la question de Guillem Bardemont.
15:11 On va parler de, j'espère que ça va faire plaisir,
15:14 de la performance,
15:15 parce que l'équipe de France est championne d'Europe.
15:17 C'était quand même le week-end dernier.
15:19 - Exactement.
15:20 - C'était pas mal.
15:21 - Je n'y étais pas.
15:22 - Pendant que l'équipe de France s'amuse,
15:24 qu'est-ce qui se passe dans la Loire ?
15:25 Vous allez voir dans quelques instants après ce jingle.
15:27 - Ils sont tout contents, tout chauds,
15:35 parce qu'il y avait le week-end dernier.
15:36 - Exactement.
15:37 Ça me rappelle l'ambiance au stade Pierre Maisonial
15:39 pour le Handélite.
15:41 - Devant les plus de 1000 personnes.
15:43 - On est monté à 1000 personnes.
15:45 - Oui, c'est vrai.
15:46 Vous croyez qu'on monte dans ces émissions ?
15:47 - C'est bien, parce que c'est un record d'affluence.
15:49 - 7000 personnes pour le premier tour.
15:51 Parce que le Handélite, c'est quoi ?
15:52 C'est un mini-tournoi, 4 équipes sur 2 jours.
15:55 Tout le monde s'affronte.
15:57 - Des gros écuries de Ligue 1.
15:59 - Exactement.
16:00 On parle de professionnels, du Montpellier,
16:02 du Pays d'Aix.
16:04 Les 4 équipes s'affrontent.
16:06 Le vendredi, c'est finale des gagnants,
16:08 finale des perdants, tout simplement.
16:10 C'est 2 jours magnifiques, plein de ferveur.
16:12 - Chaque année, ils en profitent pour faire ce tournoi
16:15 parce qu'il y a les compétitions internationales en parallèle.
16:17 - Exactement.
16:18 - Sans leurs joueurs phares, forcément.
16:20 - Exactement.
16:21 Mais ça procure beaucoup de joie, beaucoup de bonheur,
16:23 notamment pour les enfants qui peuvent...
16:25 - Mon petit Yétey était très heureux.
16:26 - Je l'ai vu.
16:27 Il était surtout au coin, vieil hippie, en train de bien manger.
16:30 - Non, c'est vrai.
16:31 C'était l'ado, à l'ESL.
16:33 L'ado, il en plait le croissant, s'il m'a dit.
16:35 - Exactement.
16:36 C'est vrai que c'est un moment très particulier
16:38 pour les fans de handball qui peuvent approcher
16:40 leurs joueurs de près.
16:41 - On est dans les coulisses d'eux.
16:42 - Exactement.
16:43 - On va voir quoi, rapidement ?
16:44 - On va voir beaucoup de hot dogs.
16:46 (Rires)
16:47 - Tant que t'étais avec moi.
16:48 - T'es sûr ?
16:49 Je t'avais toujours en train de manger.
16:51 - Regarde.
16:52 - Les amis, on se retrouve aujourd'hui au Stadium Pierre Maisonial
16:56 pour ce mythique Hand Elite.
16:57 Et si, comme moi, vous êtes un petit peu curieux
16:59 et vous voulez savoir comment se prépare un tel événement,
17:01 je vous invite à venir avec moi dans les coulisses.
17:03 C'est parti.
17:04 (Musique)
17:07 Et on se retrouve avec Peter,
17:08 le coach de l'équipe de Saint-Etienne.
17:09 Toi, tu t'es occupé de quoi pour ce tournoi du Hand Elite ?
17:11 - Alors moi, j'avais une mission ce soir,
17:13 c'était de m'occuper de la vidéo.
17:14 Les équipes, une fois que les rencontres sont terminées,
17:17 elles ont les vidéos dans les 5-10 minutes.
17:20 - OK, parfait.
17:21 Tu me conseilles d'aller voir qui, maintenant ?
17:22 - Le président, c'est pas mal.
17:24 - Et on est à quelques minutes de la petite finale
17:26 qui opposera Nîmes à Dijon.
17:28 Et plus tard, la grande finale entre Montpellier et Aix-en-Provence.
17:31 Ça va être du grand spectacle.
17:33 - C'est une grosse semaine de préparation
17:35 et on sera soulagés quand ce sera fini.
17:37 Mais ça promet de belles soirées pour les spectateurs.
17:40 - Albert, attention, le chef de la table de marque.
17:43 - Le chef, non, mais habitué à la table de marque.
17:46 - Alors comment va se passer cette soirée ?
17:47 Tu t'es préparé, toi, pour cette soirée ?
17:48 Tu t'es bien chauffé les doigts ?
17:49 - Comme tous les matchs.
17:51 Ça fait 30 ans que je fais des tables de marque,
17:53 alors je suis habitué.
17:54 - OK.
17:55 Je vais vous faire un test de rebond et un tour de magie.
17:57 Et oui !
18:01 - Moi, je suis au Platine.
18:02 On a préparé une playlist.
18:03 Aujourd'hui, on a été voir un peu les joueurs professionnels
18:06 qu'on accueille aujourd'hui.
18:08 Aujourd'hui, on gère, pour ne pas avoir une salle morte,
18:11 la musique tout au long de ces deux jours-là.
18:14 - Alors vous vous occupez de quoi, Véro ?
18:15 - Alors moi, je m'occupe de tout ce qui est restauration,
18:17 buvette, collation des joueurs, panier-repas,
18:20 quand il y en a besoin.
18:21 - OK.
18:22 Combien de temps vous faites ça ?
18:23 - Depuis 20 ans, depuis le début du handélite.
18:24 - Ah, ça commence, en fait.
18:25 Mais qu'est-ce que c'est, ça ?
18:27 C'est du miel ?
18:28 - Alors, dis-nous Fred, toi,
18:29 comment tu prépares une telle soirée ?
18:31 - Je prépare mes matchs toujours deux jours à l'avance.
18:34 La composition.
18:35 Je regarde s'il y a du monde.
18:37 Un peu comment il faut chauffer.
18:38 Après, j'ai l'habitude, je suis speaker officiel
18:40 de deux clubs professionnels.
18:41 Le public de Saint-Etienne est bien chaud et on s'éclate.
18:44 - Tout s'est bien passé ? Pas d'aléas ?
18:45 - Non, pour l'instant, tout se passe bien.
18:47 On va toucher du bois pour que ça continue
18:49 jusqu'à la fin de soirée.
18:50 - OK, je te souhaite une belle soirée, Quentin.
18:51 - Merci, vous aussi.
18:52 - La pression commence à monter.
18:54 Il y a du public.
18:55 Il y a une bonne ambiance.
18:56 Donc tout bien pour un joli spectacle ce soir.
18:58 - Et vous, comment vous vous préparez ?
18:59 Vous vous échauffiez un petit peu ?
19:01 - Oui, on s'échauffe derrière à l'abri des regards.
19:04 On court un petit peu, on s'échauffe.
19:06 On se prépare à notre match psychologiquement et physiquement.
19:10 - C'est super physique.
19:16 Qui a gagné ?
19:17 - Qui a gagné ?
19:18 Pays d'Aix Université.
19:19 - Ah, c'est le genre du Montpellier.
19:20 - Non, c'était...
19:21 - C'est l'année dernière, ça.
19:22 - Oui, c'est ça.
19:23 Donc du coup, je vous ai bien eu.
19:24 - Oui.
19:25 - Vous étiez en rire.
19:26 - Je ne sais pas ce qu'il nous avait dit tout à l'heure.
19:28 - Il a refait sa copie.
19:30 - C'était pas le gardien qu'on a vu ?
19:33 - Ah non, là, c'est le capitaine, Quentin Mouret.
19:35 - Capitaine.
19:36 - Capitaine historique, ça fait des années.
19:37 Il forme aussi les jeunes.
19:38 Donc il est très impliqué dans le club.
19:40 On a vu le coach aussi, Peter.
19:41 Enfin voilà, il y avait vraiment du beau monde.
19:43 Et ce que j'ai aimé, en fait, dans cette préparation du Handélite,
19:45 c'est que tout le club de synthé...
19:47 - S'investit dans l'événement.
19:48 - Exactement, Lilian.
19:49 - C'est ça.
19:50 Et les féminines aussi, en fait.
19:52 - Ah, ça, c'est bien.
19:53 - Et oui, il y avait les féminines.
19:54 - Elles étaient au coin vieille.
19:55 - Exactement, c'est vrai, en plus.
19:56 - Pas de dog.
19:57 - Bien enseigné.
19:58 - Mais c'est exactement ça.
19:59 - Karim, vous avez joué ou onde ?
20:01 - J'ai fait trois années de...
20:02 - On m'en parlait de vous.
20:03 - Il y a des restes.
20:04 - Et pampiens.
20:05 - T'es agressif.
20:06 - Ouais.
20:07 - En défense.
20:08 - Est-ce que je peux vous faire une petite citation sur la...
20:11 - Ah, ben oui, on attend.
20:12 - J'ai bien compris que le genre aimait bien cette partie.
20:15 - C'est ta création personnelle, on est d'accord.
20:17 - C'est que mes créations.
20:18 - OK.
20:19 - Là, je pense qu'on peut y aller.
20:20 - On attend que ça.
20:21 - La vie...
20:22 - Le handball.
20:23 - Le handball.
20:24 - Non, c'est vrai ?
20:25 - Exactement.
20:26 - Ça demande de la précision, du timing et la volonté de saisir les occasions qui se
20:28 présentent.
20:29 Et même après un contact, si vous finissez au sol, il y aura toujours une main tendue
20:32 pour vous relever.
20:33 - Voilà.
20:34 - Ouais, c'est vrai.
20:35 - Encore un.
20:36 - C'est du travail, c'est du travail.
20:37 - Et je sais qu'il y a des fans, ils sont pas nombreux de Yacine et à la fin de l'année,
20:40 il y aura le recueil.
20:41 Voilà.
20:42 Sur une page blanche.
20:43 - Oui, il y aura le recueil.
20:44 - On va le recueillir.
20:45 - On va le recueillir.
20:46 - Vous pouvez venir à la fin de l'émission, je signe mes petits recueils.
20:47 - Je suis sûr que cette citation peut marcher pour plein de sports.
20:48 - Exactement.
20:49 - Pour plein de sports, exactement.
20:50 - Exactement.
20:51 Alors, quelques chiffres quand même.
20:52 - Bien sûr.
20:53 - Donc, comme on a dit tout à l'heure, c'était 700 personnes le jeudi, 1000.
20:54 Mais vous vous rendez-vous compte, 1000 personnes au Stadium Mésional, c'est rare de voir
20:55 des chiffres comme ça.
20:56 - Au basket, c'est quand ils jouent en Pro B.
20:57 - Ouais, au basket, non.
20:58 - Quand ils jouent en Pro B, on a vu des 2000 personnes, même.
20:59 - À l'époque.
21:00 - Ouais, ouais.
21:01 - 19e édition, enfin.
21:02 - Ouais, 19e.
21:03 - On peut dire que ça porte ses fruits, on peut le dire.
21:14 - Exactement, c'est ça.
21:15 Alors, je vous laisse imaginer pour les 20 ans, je pense que ça va être pas trop
21:17 fort.
21:18 - C'est quoi qui change ? C'est la com qui a bien évolué.
21:19 - Alors, je pense que la com et puis ouais, le bouche à oreille, c'est la...
21:20 - Et puis les résultats aussi, l'équipe de France.
21:21 - C'est ça.
21:22 Et puis quand l'équipe de France va...
21:23 - Bah oui, quand l'équipe de France va, bah oui.
21:24 - Exactement.
21:25 45 bénévoles quand même, pour ce qui est de l'éventail.
21:26 - C'est tout.
21:27 - Et voilà, l'événement a failli être annulé à cause...
21:28 - De quoi ?
21:29 - On les comprend, des agriculteurs.
21:30 Et ils ont eu une très grosse frayeur d'annuler ce bel événement qui est préparé sur
21:31 plusieurs semaines, plusieurs mois.
21:32 - Ah oui, bah ils y sont depuis octobre.
21:33 - Et là, ils ont déjà commencé les préparations pour le 29 mars.
21:34 - Bah, ils ont rangé Marc pour le ressort.
21:35 - Il y a une exclusion.
21:36 - C'est exactement ça.
21:37 - Il n'y a pas pu y avoir une exclusion pour les 20 ans ?
21:38 - Si.
21:39 - Ah, et alors ?
21:40 - Ah, et bah, vous y serez pas.
21:41 - Vous vous y serez pas.
21:42 - Vous vous y serez pas.
21:43 - Vous vous y serez pas.
21:44 - Vous vous y serez pas.
21:45 - Vous vous y serez pas.
21:46 - Vous vous y serez pas.
22:07 - Moi, j'aime, j'aime ça avoir des exclus.
22:10 Et vous m'avez dit, Julien, j'ai l'exclu pour vous et les Ligériens.
22:13 - Pourquoi ?
22:14 - Pourquoi ?
22:15 - Parce que c'est unique dans la Loire.
22:16 En tout cas, dans notre département, surtout ce concept-là.
22:19 - Même peut-être en France, c'est pas tout à fait...
22:21 - Alors, on peut comparer ce genre de complexe, on peut le comparer à des "hoops factories",
22:26 c'est ce qu'on appelle.
22:27 Alors, "hoops factories", c'est une marque déposée.
22:28 - Je vais vous expliquer, oui.
22:29 - Ce n'est pas du tout ça.
22:30 Alors, ce n'est pas du tout ça, parce que Infinity Ball, même moi, la première fois
22:34 que j'ai entendu ça, Infinity Ball Concept, je me suis dit, est-ce que c'est pas une grosse
22:39 société parisienne, tout ça et tout, qui vient s'implanter dans la Loire pour mettre
22:43 ça en place ?
22:44 Alors que non.
22:45 C'est vraiment un pur produit ligérien.
22:47 C'est fait par deux personnes, donc cofondateurs, J.S.
22:52 Rina, qu'on connaît très bien, dans le milieu du basket, exactement.
22:55 Joueur de Saint-Chamond, actuellement joueur au niveau de la Pontoise en National 2, et
23:01 Patricia Jacquemont, qui est aussi joueuse, entraîneuse.
23:03 - Donc, c'est deux produits...
23:05 - Vraiment, c'est les deux personnes.
23:07 Bon, ça fait un petit moment qu'ils travaillaient dessus, J.S.
23:09 nous a dit, mais il a bien gardé le secret.
23:11 - Alors, attendez, parce que là, on a vu des images, mais je n'ai pas l'impression que
23:14 c'est un hangar, là.
23:15 - Il a changé de panier.
23:16 - Il a changé de panier, exactement.
23:17 - C'est pour ça qu'on a une exclue.
23:18 - C'est quoi, c'est un ring pour le caribe ?
23:19 - Non, c'est pour ça qu'on dit qu'on est en exclue, parce que c'est pas encore tout
23:25 à fait ouvert.
23:26 - Peinture fraîche.
23:27 - Peinture fraîche, si vous voulez.
23:28 Mais on va écouter Patricia, elle va nous expliquer un petit peu, elle va nous faire
23:30 la visite.
23:31 - C'est pour ça, c'est ça ?
23:32 - Voilà, mais on écoute Patricia.
23:33 - C'est un complexe indoor de basketball dédié au 3-3.
23:37 Donc, vous voyez la hauteur sous plafond, c'est un patrimoine historique et industriel
23:41 à côté du Stadio Krav Gizha, sur la Sport Factory.
23:44 Ici, il faut se représenter, il y aura deux terrains de basket 3-3 en dalles thermoplastiques.
23:50 Donc, deux terrains 3-3, mais aussi qui formeront un grand terrain 5-5 et qui permettra du coup
23:55 de jouer aussi en 5-5.
23:57 Il y aura un terrain de basket 3-3 là-bas, au fond, et deux autres terrains de basket
24:02 3-3 ici devant nous.
24:04 Donc, ça fait 2000 mètres carrés de surface pour jouer au basketball et pour prendre du
24:08 plaisir.
24:09 Le concept, c'est quoi ? C'est jouer au basketball, vivre le basketball à l'infini, en toute
24:14 liberté, accessibilité et aussi de la convivialité.
24:18 - Ça se trouve, je crois reconnaître le bâtiment.
24:21 - Oui, exactement, ça se retrouve derrière RGG.
24:24 - Derrière RGG ?
24:25 - Derrière RGG, exactement.
24:26 - Il n'y a plus de place, non ?
24:27 - Non, derrière RGG, ça y est.
24:28 - Ah, ça y est, je crois que c'est complet le bâtiment.
24:29 - Oui, ça doit être complet.
24:30 Alors, ce qui est intéressant, c'est qu'on va pratiquer du basket.
24:32 - Par contre, les paniers sont très hauts.
24:34 - Non, mais alors, le lieu se porte très bien pour ce genre de complexe, ça c'est sûr.
24:39 Alors, on va pratiquer du basket, alors on pratiquera sûrement du basket de compétition
24:44 parce que ça va être labellisé, mais surtout, ça sera aussi un endroit où on pourra se
24:51 retrouver.
24:52 - Ah, j'ai vu ça.
24:53 - Voilà, vous voyez les photos.
24:54 - Ah, là, c'est mieux, ils ont vite avancé depuis le reportage.
24:55 - Voilà, ça se dit de ma main, mais ça sera un endroit aussi cosy où on pourra regarder
24:59 des matchs.
25:00 - Oui, il y aura un vrai lieu de vie autour du sport.
25:02 - Exactement, et de toute façon, pour rentrer dans la salle de basket, on est obligé de
25:06 passer par ce lieu.
25:07 - Ah, ça, c'est pas mal, ça.
25:08 - Alors là, c'est vrai que l'agencement est bête.
25:10 - Juste, vous l'avez dit ou pas, ça va être prêt pour quand ?
25:11 - Alors, normalement, c'est prêt pour avril 2024.
25:16 - Mais on est bien.
25:19 - Exactement.
25:20 - On dirait mon chantier, ils ont les mêmes ouvriers que moi, à priori.
25:23 - On va écouter JS Rina, il nous en parle.
25:25 - On est large.
25:27 - C'est pas que le basketball, la pratique, mais c'est aussi vivre des bons moments de
25:31 convivialité.
25:32 Vous aurez ici l'Infinity Home, un espace de 150 mètres carrés, salle de restauration,
25:38 sports bar.
25:39 Une salle de 50 mètres carrés qui s'appellera la Crossroom, avec espace modulable, séminaire
25:43 pour les entreprises, mais aussi salle de loisirs pour les enfants et modulable en plein
25:47 de choses différentes.
25:48 Et sur l'extérieur là-bas, vous aurez les vestiaires, vestiaire homme, vestiaire femme,
25:53 tout ce qui concerne le sportif pour retourner sur les terrains.
25:56 Donc là, vous aurez l'entrée de Infinity Ball Concept.
25:59 Vous serez obligé de passer par ce lieu convivial, l'Infinity Home, pour accéder au terrain
26:04 et aller jouer au basket.
26:05 - Il a changé, JS.
26:06 - Non, non, mais c'est vrai qu'on en a parlé, mais parce que ça le dit très bien.
26:10 - Mieux que vous d'ailleurs, c'est vrai qu'elle le dit mieux.
26:13 - Elle le dit mieux, mais c'est vrai que quand on voit ces images, ça donne envie d'y aller,
26:16 parce que du coup, au-delà de ce côté, comme je vous dis, vraiment sportif, il y a vraiment
26:21 ce côté convivial où on pourra...
26:23 - Est-ce que ça va être la rencontre de tous les basketeurs de la Loire et de Navarre ?
26:27 - Je suis persuadé que ça sera un lieu de rencontre aussi.
26:29 - Moi, je n'arrive pas à le percevoir pour le moment.
26:30 Le 3-3, il fonctionne, on en voit du 3-3.
26:32 Je sais qu'il y a eu des terrains qui ont été faits en extérieur, derrière la halve
26:35 hacheresse à Pointe.
26:36 - Ça s'est vachement démocratisé.
26:37 Pourquoi ? Parce qu'il s'est devenu une compétition olympique.
26:41 - Déjà, ouais ?
26:42 - Nos françaises sont très fortes.
26:43 Honnêtement, aussi bien chez les filles que chez les garçons, on a de très bons résultats.
26:47 Et aujourd'hui, en fait, de plus en plus, on a des compétitions, des Supraligues, ce
26:52 qu'on appelle des Supraligues, des compétitions de 3-3, des tournois de 3-3, notamment du
26:56 côté de Rouen, ça se fait, mais partout un peu dans la France.
27:00 Et là, ce complexe, déjà, ils me disent « ouais, mais le 3-3, ça se joue à l'extérieur
27:03 ».
27:04 - Ah, tu m'as… le 3-3, ça se joue dehors ?
27:06 - Non, non, pas tout le temps.
27:07 Alors oui, on peut jouer sur des terrains, streetball, tout ça et tout, comme on dit,
27:11 à l'extérieur.
27:12 Mais là, comme elle le dit très bien, Patricia, il va y avoir trois terrains complets de basket.
27:16 Donc, trois terrains, dont deux qui vont être spécialisés pour du 3-3.
27:20 Donc, du coup, il y a des stages.
27:21 - Il y a un peu les États-Unis qui arrivent, là.
27:23 Moi, j'ai l'impression de regarder la série Les Flares Squad.
27:25 - Alors, attention, attention.
27:26 Pour ça, là, par contre, c'est J.S.
27:27 Rina qui nous en parle, ça, c'est sûr.
27:28 - Il nous parle de revêtement aussi.
27:30 - Il nous parle de revêtement, mais il nous parle surtout de ce côté un peu américain.
27:33 On écoute J.S.
27:34 - Concept Infinity Ball, c'est les États-Unis façon French Touch, tout simplement.
27:39 On est le premier complexe de basketball indoor de la Loire.
27:43 Ici, on est à côté des terrains de basket qui vont être d'althermoplastique, aussi
27:49 réalisés en France.
27:50 C'est le basket 3-3 en plein essor.
27:52 On a des équipes de France qui sont assez compétitives et maintenant, tous les jeunes
27:57 commencent à faire beaucoup de tournois et beaucoup d'événements autour du 3-3.
28:01 On sera homologués basket 3-3 et on espère accueillir des compétitions 3-3 dans l'avenir.
28:09 - Vous imaginez, on va accueillir, on pourra accueillir dans la Loire des compétitions
28:12 officielles de 3-3.
28:14 Ça va être un terrain labellisé, un concept labellisé par la Fédération française de
28:18 basket.
28:19 - Le sol est énorme.
28:20 J'ai regardé le sol.
28:21 - Ça a changé le parquet.
28:23 - Oui, ça a changé.
28:24 Non, mais c'est du sol adapté pour du 3-3.
28:25 - C'est pas du Leroy Merlin, du Clips.
28:27 - Non, non, non, c'est pas du Leroy Merlin.
28:29 C'est produit made in France.
28:31 - Je vais vous couper.
28:32 Est-ce que vous me permettez une remarque ?
28:33 - Oui, dites-le.
28:34 - Moi, j'ai l'impression que tout se rapetisse.
28:35 Avant, on avait du foot, maintenant, on a du soccer.
28:36 On avait du tennis, maintenant, du paddle.
28:38 Et là, du basket et du mini basket.
28:39 - Oui, on dirait mini et pénis.
28:40 - Non, non, non, c'est pas du mini basket.
28:46 Non, c'est des terrains de basket et le 3-3...
28:49 - Pourquoi le 3-3 ?
28:50 Est-ce que c'est plus inclusif ?
28:51 Est-ce que c'est plus simple ?
28:52 - C'est beaucoup plus chaud.
28:53 Ça va beaucoup plus vite.
28:54 - C'est plus physique.
28:55 - C'est beau à voir, désolé.
28:56 - Et c'est beaucoup plus explosif.
28:57 - Et magnifique.
28:58 - Voilà, magnifique.
28:59 - Karim, ça peut arriver chez vous qu'on rétrécisse les chiens et le terrain ?
29:03 - Bah oui, ça a été fait.
29:04 - Avec un Tékel, c'est bien.
29:05 - Mais non, c'est pas une question de rétrécir les terrains.
29:07 Alors, non, dites pas n'importe quoi.
29:09 - Non, mais c'est de l'attaque.
29:10 - C'est de l'attaque.
29:11 - Il n'y a pas de rétrécissement, il n'y a pas de truc.
29:14 C'est un super complexe.
29:15 - On rétrécit le nombre de joueurs.
29:16 - C'est un super complexe.
29:17 - C'est super beau.
29:18 Le 3-3, c'est dynamique.
29:19 - Ah, mais c'est magnifique, moi, j'aimerais vraiment.
29:21 - C'est un super complexe.
29:22 Vous verrez.
29:23 Et surtout, si on a ces compétitions...
29:24 Alors, comme il l'a très bien dit, GS, c'est une version un peu américaine, mais French
29:30 Touch.
29:31 - On vous a coupé, mais sur le sol, effectivement, 100 % français.
29:34 - Les protections, le sol, c'est tout français.
29:36 Avant, on avait l'habitude, notamment, de faire venir de l'étranger tous ces matériaux-là.
29:40 Et là, on peut être fier quand même qu'au Corrico, que ce soit du 100 % français.
29:44 En tout cas, moi, j'y crois.
29:45 Et je vous dis honnêtement...
29:46 - Le prix, j'aime bien les prix.
29:47 Alors, genre, moi, je remplace Fiona.
29:49 - À peu près une heure, en fait, en moyenne, sur une heure de location de terrain, on peut
29:54 jouer à 6, à 8, maximum.
29:55 - À 50 euros, à peu près.
29:56 - À 50, 60 euros l'heure.
29:57 C'est pas cher.
29:58 Franchement, c'est pas cher.
29:59 - Pardon, j'ai pas entendu le sujet de l'oreiller.
30:00 - C'est pas cher.
30:01 - C'est pas important.
30:02 - 60 euros...
30:03 - Eh, on n'a pas tous la même montre que toi, les gars.
30:04 - Non, mais...
30:05 - C'est pas cher.
30:06 - Non, c'est pas cher.
30:07 À 8, ça va être une dizaine d'euros.
30:08 - À 8, ça va être une dizaine d'euros.
30:09 - À moins de 10 euros.
30:10 - C'est moins cher qu'un soccer.
30:11 - C'est moins cher qu'un soccer.
30:12 - Lillian, je sais pas ce que c'est.
30:13 Ça va faire la transition, le paddle.
30:14 Vous jouez au paddle.
30:15 Ça se voit, t'as une tête de paddle.
30:16 - Ça se voit.
30:17 - Pas la rame, hein.
30:18 - D'ailleurs, demain soir, je peux pas, j'ai le paddle.
30:32 - C'est combien, le paddle ?
30:33 - C'est 4 euros la demi-heure.
30:34 - Oh !
30:35 - Non, mais ils ont fait un mois.
30:36 Ils ont même des stages.
30:37 Vous imaginez que les terrains, avant d'être terminés, sont réservés déjà pour cet
30:38 été, pour des stages, pour des associations, pour des organismes qui font du travail individuel
30:39 et tout ça, et tout ça.
30:40 Ils sont déjà réservés.
30:41 - À surveiller, à suivre.
30:42 - Il y avait besoin.
30:43 Il y avait besoin dans la loi.
30:44 - Faut que je sois gentil avec Gilles parce qu'il m'avait fait un bloc une fois et je m'en
30:45 souviens encore.
30:46 - En tout cas, bravo à Gilles.
30:47 - En tout cas, bravo à nos deux lysériens pour cette très belle initiative et puis
30:51 on y sera.
30:52 - On ira les voir.
30:53 - On va aller les voir pour la fin de saison.
30:54 - Une fois fini parce que bon...
30:55 - Karim, ça donne envie quand même.
30:57 - Oui, ça donne envie.
30:58 - Quand on voit des gens comme ça.
30:59 - C'est sûr.
31:00 Dès qu'on voit des complexes sportifs monter, ça donne envie.
31:01 - Je crois qu'il n'y a plus de place là-bas.
31:02 Il y a l'escalade.
31:03 - Il y a pas de...
31:04 - Tiago, il va exploser les ballons.
31:05 Voilà, dans quelques instants, on va parler de paddle avec vous et Léonard.
31:10 - Exactement.
31:11 - Dans le portrait sportif.
31:12 - Un portrait sportif.
31:18 Mais j'ai l'impression d'avoir déjà vu ce portrait sportif.
31:20 - Alors oui, on l'a déjà vu.
31:21 Le portrait de la semaine, c'est Pierre Vincent.
31:23 On l'avait vu également en paddle, mais il y a un peu plus d'un an et il était classé
31:29 à peu près 80, 90e.
31:31 - C'était pas mal français.
31:33 - Exactement, 88e français.
31:35 Aujourd'hui, j'ai décidé de le rencontrer à nouveau.
31:37 Pourquoi ? Parce que...
31:38 Et de le mettre dans la catégorie portrait sportif un peu plus d'un an après.
31:42 Pourquoi ? Parce qu'il est 12e meilleur français en un an.
31:45 Donc joli l'ascension.
31:46 Et du coup, qu'est-ce qui fait qu'il ne peut pas accéder à ce top 10 ?
31:50 - C'est une question que vous nous posez ou c'est rhétorique ?
31:52 - C'est...
31:53 Je pose la question, j'y réponds.
31:55 - C'est vrai.
31:56 - Je n'ai besoin de personne.
31:57 - Je m'en fiche de tout ça, laissez-moi tranquille.
31:59 - Ne parlez pas, je m'occupe de tout.
32:01 Tout simplement parce qu'il doit accéder au circuit international.
32:04 Donc, circuit international, allez jouer sur les terrains en Suède, sur les terrains
32:10 en Barcelone, sur les terrains à droite, à gauche.
32:12 - C'est pas le même butge là.
32:13 - Donc c'est pas le même butge.
32:14 En tout cas, aujourd'hui, Pierre-Vincent a décidé de consacrer l'intégralité de
32:17 son temps au padel.
32:18 Il donne des cours aussi à côté de padel et il va, on l'espère pour lui, cartonner
32:23 sur le plan international et du coup, rapidement rentrer dans le top 10.
32:26 Mais du coup, je vous propose déjà de lui souhaiter un très joyeux anniversaire aujourd'hui
32:29 et de regarder son portrait.
32:31 - C'est devenu un copain.
32:32 - C'est devenu un ami, mais on se croise au padel.
32:36 - Alors, j'ai joué au tennis pendant 15 ans, de mes 5 à mes 20 ans, plutôt en haut
32:52 niveau chez les jeunes et j'ai basculé vers le padel à la suite du Covid.
32:56 À la base, c'était un passe-temps avec des amis puis petit à petit, on s'est prêté
33:00 au jeu jusqu'à jouer un tournoi puis deux, puis en gagner un puis deux et petit à petit,
33:06 ça s'est professionnalisé.
33:07 Le padel, simplement, c'est un mélange de tennis et de squash.
33:10 Donc, des fois, il va falloir réussir à tourner autour de la balle, laisser passer
33:13 la balle vers la vitre, ce qui est moins naturel pour quelqu'un qui vient du tennis.
33:18 Donc, ça fait environ deux ans et demi que je fais beaucoup de tournois.
33:21 J'ai atteint le top 100 assez rapidement et après, les places ont forcément été
33:24 plus dures à gagner.
33:26 Aujourd'hui, je suis le 12e Français.
33:28 Pour pouvoir entrer dans le top 10, il faut faire partie du top 200 mondial.
33:31 Une fois qu'on fait partie de ce top 200 mondial, on a une assimilation qui équivaut
33:35 aux 10 meilleurs joueurs français.
33:37 Alors, sur le circuit français, j'ai vraiment un partenaire attitré, qui est François
33:41 Ottier, qui a été numéro 1 français et top 10 français pendant très longtemps.
33:45 Et sur le circuit international, je vais jouer avec Arthur Huguenin.
33:47 Du coup, c'est pour ça que des fois, ça peut un peu changer de partenaire en fonction
33:52 des tournois et de la disponibilité de chacun.
33:54 Depuis l'année dernière, je ne fais plus que ça.
33:56 Je fais uniquement de l'entraînement, donc entraînement 2 à 3 fois par jour, qui
34:03 comporte des heures paddle et des heures de préparation physique.
34:06 Alors une fois, c'était en demi-finale, je crois, d'un P1000, donc un des plus gros
34:15 tournois français.
34:16 J'avais cassé ma raquette.
34:17 Et en fait, sans me rendre compte, j'ai joué avec les deux derniers Jeux où on a réussi
34:22 à s'en sortir avec la victoire, alors que du coup, j'avais ma raquette pétée sur
34:26 la fin.
34:27 Alors cette photo-là représente la première victoire en tournoi avec mon meilleur pote
34:36 sur un tournoi P250 contre Simon, qui par la suite m'a entraîné.
34:40 Oui, j'ai une petite balle à pico que j'aime bien prendre avant les matchs, dans les mains
34:50 tout simplement.
34:51 Alors à court terme, ça va vraiment être de pouvoir me lancer sur le circuit international.
34:56 Donc ça démarre dès le mois prochain par un tournoi en Suède.
35:00 Moyen terme, progresser dans ce classement-là international pour pouvoir par la suite atteindre
35:05 le top 10 français.
35:06 Ça cogne, ça va très vite, très fort.
35:11 Vous avez vu sur les matchs en compète, regardez là, le smash qu'on peut voir.
35:15 Je dis alors, effectivement, des fois, on le voit à l'antenne, mais c'est incroyable
35:19 les smashs qu'il arrive à faire et ça, il le tient du tennis.
35:22 C'est surtout la progression.
35:23 Avec le passif tennis, en fait.
35:24 Tu dis tennis, je veux bien, mais il y a des règles quand même, on en parlait un petit
35:28 peu avant, de squash.
35:30 Il faut être un peu complet quand même.
35:32 Moi, pour le coup, pour le pratiquer, le placement est hyper important.
35:36 Quand on est à deux sur le terrain, le placement est super important.
35:39 Il l'a dit, il l'a placé.
35:40 Bien sûr que je l'ai placé.
35:41 Je suis nul, mais il fallait que je trouve un sport.
35:45 Monsieur Bard, est-ce que vous me permettez une question ? Je ne vais pas interpeller
35:48 les gens comme ça.
35:49 Merci d'avoir posé la question.
35:50 Est-ce qu'un bon joueur de tennis fait un bon joueur de paddle ?
35:52 Merci pour votre question.
35:53 Et bien, pas forcément.
35:54 Ah, ben ça, c'est intéressant.
35:55 Pas forcément.
35:56 Là, justement, il parle de ses points forts qui lui viennent du tennis, comme le smash,
36:00 par exemple.
36:01 En revanche, se faire au vitre et au rebond, ce n'est pas inné pour tout le monde et
36:06 ce n'est pas forcément facile de pouvoir jouer avec les vitres.
36:09 Alors, est-ce qu'il y a eu une ascension aussi rapide, Lilian, parce que le paddle,
36:16 il y a moins de joueurs qu'au tennis ?
36:17 Ça, c'est moi, la vie, que je m'en fais aussi.
36:19 Moi, je vois qu'il y en a partout des terrains.
36:21 Aujourd'hui, en France, en tout cas, le paddle n'est pas encore ultra représenté, même
36:26 si on sent bien qu'il y a le vent en coupe en ce moment.
36:28 C'est très à la mode.
36:29 On ne va pas dire que c'est à la mode.
36:30 Il y a les complexes de pinceaux.
36:31 En ce moment.
36:32 Mais par contre, sur le circuit du coup national, on ne va pas se mentir, aujourd'hui, il y
36:35 a moins de joueurs que sur le circuit tennis-tyc.
36:38 Alors que par contre, le paddle est un sport actuellement très performant en Espagne,
36:44 au Portugal, etc.
36:45 Et là, c'est plus compliqué de rentrer dans le top 10, dans le top 100.
36:48 Nous, en France, je ne dis pas que c'est facile.
36:50 Il est très fort, Pierre Vincent.
36:52 Mais du coup, forcément, il y a moins de comparaison, je pense.
36:55 En tout cas, c'est ce que je pense.
36:57 Vous, allez, au feeling, comme ça.
36:59 Moi, combien je suis classé ?
37:00 Non.
37:01 36 000.
37:02 Si vous voulez savoir.
37:03 Mais je crois.
37:04 Classe.
37:05 Est-ce que prochainement, il peut intégrer le top 10 ?
37:07 Alors, je vais même vous faire une petite conférence.
37:09 Ah, on veut des gestes.
37:11 Non, alors, oui, il espère bien rentrer dans le top 10 et aller même plus loin.
37:16 Et du coup, au vu de sa progression, je pense qu'il y arrivera.
37:19 Et en France, il joue avec l'ancien premier meilleur français.
37:23 Donc, du coup, je pense qu'il a une vraie progression aussi en fonction avec qui il
37:26 joue.
37:27 Parce que ça se joue en double.
37:28 En double, oui, exactement.
37:29 Et on a parlé, j'ai lancé une petite question à la fin sur les Jeux Olympiques.
37:33 Oui.
37:34 Parce que du coup, on est sur une discipline qui n'est pas olympique pour le moment.
37:36 Pas du tout.
37:37 Mais vu le vent en poupe qui survient.
37:38 Ni le ring, c'est pas olympique.
37:39 Ni le ring aussi, également.
37:40 Il y a de grandes chances que ça devienne.
37:41 Mais vu le vent, qui a l'air en France, mais aussi en Europe, peut-être qu'on va
37:44 avoir le padeau dans 10 ans.
37:46 Que ça soit in the world.
37:47 Au JO.
37:48 Dans 8 ans, pardon.
37:49 Mais en tout cas, il espère représenter la France.
37:52 Pour les Jeux d'hiver, peut-être la raquette.
37:53 Peut-être.
37:54 Pour jouer en intérieur.
37:55 En tout cas, voilà, dans 4 ans, dans 8 ans, si on allait le padeau au JO, on espère avoir
38:01 Pierre Vincent en tricolore.
38:03 Très bien.
38:04 Merci à vous.
38:05 Magnifique.
38:06 Merci à vous, Lilian.
38:07 Très joli portrait sportif.
38:08 Dans quelques instants, on peut... c'est quoi que vous avez, Lilian ? C'est une maracas,
38:12 une flûte traversière ?
38:13 Ça a changé, la flûte traversière.
38:17 Exactement.
38:18 Qu'est-ce que c'est ?
38:19 Vous allez nous faire une petite démo, Karim ? C'est quoi, ce qui tient ?
38:22 Ça a changé, les baguettes chinoises.
38:23 Alors ça, c'est pour faire du bruit, essayer d'impressionner le chien.
38:30 Voilà.
38:31 Vous pourrez me le donner pour que j'impressionne mes chroniqueurs ?
38:33 Bien sûr.
38:34 C'est pas mal, ça.
38:35 Allez, on va voir la démo dans quelques instants.
38:37 Alors, je vais être poète, poète.
38:41 Exactement, je vous donne le micro, comme ça vous allez préparer.
38:45 Mais Karim, on dit tel maître, tel chien.
38:47 C'est vrai.
38:48 On a le chien qu'on mérite.
38:49 Oui, bien sûr.
38:50 Voilà.
38:51 Alors, je l'aurais demandé avant.
38:52 J'ai la réponse.
38:53 Vous qui avez maintenant de l'expérience, quel chien, FNi, aimerait être ?
38:59 Allez-y, allez-y.
39:01 Plus vous tardez, plus ça va grignoter sur votre chronique.
39:04 On peut dire un beau chien, un dog de Bordeaux.
39:06 Un dog de Bordeaux ?
39:07 C'est quoi comme chien ?
39:08 C'est super beau.
39:10 Husky.
39:11 Husky ? Il aime bien les yeux bleus.
39:12 J'aime beaucoup les huskys, oui.
39:13 Très, très beau.
39:14 Oui, il a les mêmes yeux.
39:15 C'est comme une peluche.
39:16 Peut-être que c'est des chiens, ils sont cibles aux yeux bleus aussi.
39:18 Peut-être que c'est des chiens hyper indépendants et qui ne sont pas proches du maître.
39:21 Mais si tout est Cindy.
39:22 Ah ouais.
39:23 Oui, parce que, ouais.
39:24 Yacine, ou Alice pour les intimes.
39:28 Yacine, je dirais plus un caniche.
39:31 Bien joué.
39:32 Non, non, bien joué.
39:34 Vous allez voir, il a dit…
39:35 Moi, je suis plus sur le Saint-Bernard.
39:37 C'est le côté tonneau.
39:38 J'adore les tonneaux et en plus, le film Beethoven m'avait vraiment marqué quand je t'ai gagné.
39:41 C'est pas le tonneau.
39:43 C'est pas le tonneau, c'est pas le tonneau.
39:44 Et Lilian, pour voir ?
39:45 Le Mali noir.
39:46 Waouh.
39:47 Waouh.
39:48 Il est à côté de moi, il est un peu loin.
39:50 C'est pas du tout ça.
39:51 Et moi, ça devait être quoi, moi ?
39:52 Un boxeur.
39:53 Ah oui, un boxeur.
39:54 Il y a un morceau du chien qui lui convient.
39:58 Non, parce que c'est le seul chien que je connais.
40:01 Il m'a demandé tout à l'heure et je lui ai dit…
40:04 C'est le seul chien.
40:05 Le seul chien que je connais, c'était le boxeur.
40:06 Ou aussi le caniche, j'avais déjà entendu aussi.
40:08 Sinon, il y a un chien que j'aime beaucoup, c'est le Kangan.
40:11 C'est un chien loup, c'est les chiens de berger.
40:13 Ça, c'est puissant.
40:14 C'est les chiens de berger, oui.
40:15 Voilà, ça, j'aime bien aussi.
40:16 Oui, oui, c'est votre côté berger qui revient.
40:18 Bon, maintenant qu'on a fait un tour de table, est-ce qu'on peut avoir le début ?
40:20 On va voir Thiago.
40:21 Il est là.
40:22 Il est chaud.
40:23 Vous lui avez fait quoi, Thiago, là ?
40:24 Il va se passer…
40:25 Alors, qu'est-ce que vous allez nous préparer ?
40:26 Il faut parler dans le micro.
40:27 Je vais vous faire…
40:28 Je peux prendre un truc, moi, ou pas ?
40:30 Oui.
40:31 Vous me dites, je ne veux pas…
40:32 Il est content de me voir.
40:33 Ça fait longtemps.
40:34 En plus, il y a la tenue, ça change tout.
40:36 Je vais faire mon marché avec…
40:38 Vous pouvez passer, il ne va rien faire.
40:40 C'est vrai ?
40:41 Non, non.
40:42 Il donne la papatte ?
40:43 Tu lui donnes la papatte, Thiago ?
40:44 Ah non.
40:45 Il est content de me voir.
40:46 Je vais juste se faire caresser.
40:47 D'accord, juste caresser.
40:48 Voilà.
40:49 Il a peur.
40:50 Il a peur.
40:51 Il a fini.
40:52 Les positions, c'est-à-dire ?
40:53 Donc, les positions, je vais le mettre dans le cadre, là.
40:54 Et normalement, on doit être placé à 18 mètres.
40:57 Oui, désolé, on a une petite maison ici.
40:59 On passe au chien et il lui demande les positions, c'est-à-dire assis, couché, debout, à distance.
41:03 Excité comme il est, vous allez…
41:04 Oui, ça va être dur, oui.
41:05 On va voir.
41:06 Allez-y.
41:07 Thiago, à ta place.
41:08 Il va le lâcher.
41:09 Thiago, au pied.
41:10 Vous ne voulez pas le lâcher, non ?
41:11 Il a trop peur de le lâcher.
41:12 Non, non, je n'ai pas peur.
41:13 Non, je n'ai pas peur, il est mal.
41:15 Allez.
41:16 Thiago, assis.
41:17 Pas bouger.
41:18 Et là, ça sera tout à la voix.
41:19 Non, mais…
41:20 Attends, il faut regarder Féni qui se barre.
41:21 Thiago, au pied.
41:22 Thiago.
41:23 Il n'écoute pas, en plus.
41:24 Il n'écoute pas.
41:25 Thiago, au pied.
41:26 Fais gaffe, tu joues ta notoriété, là.
41:27 Thiago, assis.
41:28 Pas bouger.
41:29 Oh.
41:30 Là, normalement, c'est 18 mètres, c'est ça ?
41:31 Normalement, il y a un coup de poète, là.
41:32 Attends, attends, attends, mais je l'ai.
41:33 Attends, attends.
41:34 J'y vais, tu me dis, hein.
41:43 J'y vais ? Non.
41:46 Enfin, je le fais mal.
41:48 Attends, je vais le…
41:49 Touché.
41:50 Oh.
41:51 Pardon.
41:52 Debout.
41:53 Pas bouger.
41:54 Non.
41:55 Ah, bah Thiago.
41:56 J'ai pas assez de poète.
41:57 Un coup de poète, c'est-à-dire.
41:58 Assis, gros.
41:59 C'est quoi ?
42:00 Assis.
42:01 Ah, merde, pendant un temps, c'est éliminé.
42:02 Assis.
42:03 Pas bouger.
42:04 Alors, il y a beaucoup d'agitation autour du plateau, c'est pour ça.
42:07 Pas bouger, gros.
42:08 Il a vu Fendi aussi, il a faim.
42:10 Debout.
42:11 Assis.
42:12 C'est pas mal, ça.
42:15 Couché.
42:16 Et après, comme je suis fainéant.
42:18 Ouais.
42:19 Deux.
42:20 À.
42:21 Ah, oui.
42:22 Coup.
42:23 C'est bien, bébé.
42:24 Voilà.
42:25 Et là, il y a un rappel au pied.
42:26 Et faites voir.
42:27 Thiago, pied.
42:28 Coup.
42:29 Thiago, pied.
42:30 Coup.
42:31 À pas de le confondre avec coucher et courir.
42:34 Et là, il y a un truc que vous n'avez pas vu, il s'est changé, Karim.
42:39 Il a mis le gilet de travail.
42:41 Donc, ça, c'est notre gilet de conducteur.
42:42 Ça vous va bien, le fluo ?
42:43 Où il y a des poches derrière.
42:44 Pourquoi ? Pour les croquettes ?
42:45 On met notre muselière, nos boudins de rappel, nos… Voilà.
42:48 Et là, il sait que c'est le moment de bosser.
42:51 Ouais.
42:52 On peut applaudir, là, ou ça va déstabiliser le chien ?
42:55 On applaudit quand même, bravo.
42:57 Thiago, Thiago, viens voir Effendi.
43:01 Non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, non, déconne pas.
43:05 Je te protège.
43:06 Je te protège.
43:07 Effendi, va faire un bisou.
43:09 Non, Thiago, viens, arrête pas.
43:11 Non, sérieux.
43:12 Tu risques rien.
43:13 Non, je veux pas.
43:14 Il a les pieds dans le panier, là.
43:15 Je te dis, tu peux aller dans le desktop M6.
43:17 Arrête.
43:18 Quand il a les pieds dans le panier, il ne risque plus rien.
43:20 C'est vrai ?
43:21 Je vais dire des noms qui ne seront pas comme il faut.
43:22 Il ne faut pas.
43:23 Il y a Karim.
43:24 On a l'antenne, encore ?
43:25 On a l'antenne, exactement.
43:27 Merci à vous.
43:28 Merci, bravo.
43:29 Merci à Thiago.
43:30 Et bien voilà, 42 minutes, ça passe vite.
43:33 On est pas d'habitude qu'ils sont en train de nous attendre au tennis.
43:34 Oh oui, oh là là.
43:35 Toi, t'es trop fort.
43:37 J'ai une oreillette qui ne sert à rien, en fait.
43:39 Exactement.
43:40 Karim, voulez-vous voir Damien qui nous attend sur le terrain de tennis ?
43:45 Oui, je pense que...
43:46 Depuis le temps, je pense que les balles sont chaudes.
43:48 Thiago, tu vas adorer, il y a des baballes dans tous les sens.
43:51 Damien, c'est à vous.
43:52 Tu fais oublier Damien.
43:54 Il est blaisé.
43:55 Il est content.
43:56 Oui, ça y est, j'ai effectivement récupéré la raquette de Nadal.
43:59 Et je vais m'essayer au service.
44:01 C'est effectivement pas évident, le service.
44:04 Tu peux me donner quelques tips ? Parce que j'y arrive pas à des masses d'habitude.
44:07 Alors, tu vas d'abord envoyer la balle au-dessus de ta tête.
44:11 Et essayer d'envoyer dans le carré de service, croisé, juste en face.
44:14 Ça doit aller.
44:15 Amener la balle dans le carré.
44:16 Ça va.
44:17 Oh, pas mal.
44:19 Eh bien, c'est pas mal.
44:20 C'est bien ce groupe quand tu fais tout ça.
44:22 C'est pas mal.
44:23 Allez, un peu plus fort.
44:24 C'est puissant.
44:25 Ah ouais, Nadal, ouais.
44:26 Deuxième base, de suite, c'est incroyable.
44:28 En fait, juste, les spectateurs et autour de la table, le public, je vous explique,
44:33 c'est pas moi qui choisis les sujets, c'est quand même Damien.
44:36 En fait, je suis dans une discipline qui maîtrise, a priori.
44:38 J'espère que tu vas pas te mettre la raquette.
44:40 Parce que c'est vraiment...
44:41 Parce qu'après, on te dit au soir, "Ah, pourquoi Damien ?"
44:43 Non, c'est Damien qui choisit.
44:44 Fais voir.
44:45 C'est une discipline...
44:46 Je l'ai pas prise, je l'ai pas envoyé.
44:48 Il a décidé de...
44:49 Et quand même, on a laissé traîner, t'as vu, il arrive quand même.
44:52 Il aurait pu s'entraîner un peu plus.
44:53 J'en passe pas une au-dessus, là.
44:54 Il en remet pas une.
44:55 Il a jamais joué au sport.
44:56 Là, c'est pas mal, bien croisé.
44:57 Dans le bleu, Damien.
44:58 Là.
44:59 Même à n'importe quel sport.
45:00 Même le match.
45:01 Bon, regarde, j'y arrive décidément pas.
45:02 Allez, là, j'abortis, tranquille.
45:03 Ah, mais je compte raisonner.
45:04 Ah.
45:05 Là.
45:06 C'est un problème de palafranche.
45:07 C'est ça qui manque.
45:08 Allez, je vais essayer de compenser.
45:09 T'as vu, t'es là.
45:10 T'es là, t'as vu.
45:11 T'es là, t'as vu.
45:12 T'as vu, t'as vu.
45:13 Allez, Damien, c'est choisir ses partenaires.
45:14 Ah, pas mal, celle-ci était pas mal.
45:15 Non, c'est pas bien.
45:16 Arrêtez de me casser.
45:17 Celle-ci était bien pour faire mal, Damien.
45:18 Allez, bon.
45:19 C'est bon ?
45:20 Vous l'avez vue, le smash, c'est ça ?
45:21 C'est pas encore ça, le Roland-Garros, c'est pas pour cette année.
45:22 Bon, finissez bien l'émission, je vous embrasse.
45:23 Je pense que l'année prochaine non plus.
45:24 Non, mais c'est pas ça.
45:25 C'est pas ça, c'est pas ça.
45:26 C'est pas ça, c'est pas ça.
45:40 C'est pas ça, c'est pas ça.
45:59 C'est pas ça, c'est pas ça.
46:23 C'est pas ça, c'est pas ça.
46:39 C'est pas ça, c'est pas ça.
46:52 C'est pas ça, c'est pas ça.
46:57 *Musique d'outro*

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