Le parcours sportif atypique de Morgane Jacquet.
Morgane est une passionnée de sport. Après avoir été boxeuse pendant 7 ans, cycliste durant 4 ans dont 2 années à haut niveau, elle est aujourd'hui porté par le CrossFit à Saint-Just-Saint-Rambert à la box 100% CrossFit. Un parcours atypique avec plein de projets en tête.
Le Taekwondo, un sport olympique dans la Loire depuis plus de 20 ans.
Cette semaine, nous continuons notre série autour des disciplines olympiques des JO 2024 à Paris.
Je vous propose de découvrir la discipline du Taekwondo , de l'échauffement à l'arène de combat du club de Taekwondo Kablan de St-Etienne.
Jeanne Collonge, est l'une des meilleures triathlètes françaises
Jeanne Collonge, l'une des meilleures triathlètes françaises, a su allier sa vie de sportive professionnelle, sa vie de maman et son métier de professeur en langue étrangère de main de maître. Jeanne revient sur son parcours marqué par une force de travail à toute épreuve et sur sa persévérance qui lui ont permis d'arriver au plus haut niveau.
Pratiquer le football après 40 ans.
Aujourd'hui, nous sommes allés à la rencontre de l'équipe de foot des plus de 40 ans du GS Dervaux pour assister à un match, mais aussi à un bon moment de convivialité.
Un séjour sport à destination de 9 jeunes en situation de handicap.
Du 25 au 27 octobre 2023, à Andrézieux-Bouthéon, se déroulait un séjour sport pour 9 jeunes en situation de handicap avec la présence, le mercredi matin, de Loïc Vergnaud : triple médaillé paralympique, 12 fois champion de France, et de Sya Dembélé, jeune ligérienne en course pour les qualifications aux Jeux Olympiques 2024.
Thomas Santiago, le meilleur des plus petits !
25 ans, originaire de St Chamond, un nom très connu dans le sport auto local, Marcel, Olivier, Nicolas
Des débuts au Pays du Gier en 2018 avec une 206 XS puis le choix d'une voiture plus modeste , une AX GTI dans la classe N1, la plus petite catégorie en rallye, pourquoi ce choix ?
Morgane est une passionnée de sport. Après avoir été boxeuse pendant 7 ans, cycliste durant 4 ans dont 2 années à haut niveau, elle est aujourd'hui porté par le CrossFit à Saint-Just-Saint-Rambert à la box 100% CrossFit. Un parcours atypique avec plein de projets en tête.
Le Taekwondo, un sport olympique dans la Loire depuis plus de 20 ans.
Cette semaine, nous continuons notre série autour des disciplines olympiques des JO 2024 à Paris.
Je vous propose de découvrir la discipline du Taekwondo , de l'échauffement à l'arène de combat du club de Taekwondo Kablan de St-Etienne.
Jeanne Collonge, est l'une des meilleures triathlètes françaises
Jeanne Collonge, l'une des meilleures triathlètes françaises, a su allier sa vie de sportive professionnelle, sa vie de maman et son métier de professeur en langue étrangère de main de maître. Jeanne revient sur son parcours marqué par une force de travail à toute épreuve et sur sa persévérance qui lui ont permis d'arriver au plus haut niveau.
Pratiquer le football après 40 ans.
Aujourd'hui, nous sommes allés à la rencontre de l'équipe de foot des plus de 40 ans du GS Dervaux pour assister à un match, mais aussi à un bon moment de convivialité.
Un séjour sport à destination de 9 jeunes en situation de handicap.
Du 25 au 27 octobre 2023, à Andrézieux-Bouthéon, se déroulait un séjour sport pour 9 jeunes en situation de handicap avec la présence, le mercredi matin, de Loïc Vergnaud : triple médaillé paralympique, 12 fois champion de France, et de Sya Dembélé, jeune ligérienne en course pour les qualifications aux Jeux Olympiques 2024.
Thomas Santiago, le meilleur des plus petits !
25 ans, originaire de St Chamond, un nom très connu dans le sport auto local, Marcel, Olivier, Nicolas
Des débuts au Pays du Gier en 2018 avec une 206 XS puis le choix d'une voiture plus modeste , une AX GTI dans la classe N1, la plus petite catégorie en rallye, pourquoi ce choix ?
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TVTranscription
00:00 *Musique*
00:16 *Applaudissements*
00:18 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau de Sports7.
00:21 Et oui, deux semaines...
00:23 Deux semaines sans voir.
00:24 Mais ça y est, là c'est la grande fête.
00:26 On est là, on est en place. Jusqu'à Noël.
00:28 J'ai récupéré une petite date en plus, 7/18.
00:30 Et vous allez voir, ça va être sport.
00:32 Alors sans plus tarder, on va faire un tonnerre d'applaudissements pour Thibaut Dalivera.
00:36 Bonsoir à vous.
00:37 On va parler de quoi ?
00:38 *Applaudissements*
00:40 Avec un super séjour qui a eu lieu pendant ses vacances.
00:43 Vous le connaissez le gars à côté de vous.
00:45 Il a fêté ses 90 ans. Enfin pas lui vraiment mais...
00:48 On s'est présenté juste avant.
00:49 Ah bah ça va.
00:50 Un tonnerre d'applaudissements pour Adrien.
00:52 On va parler de quoi avec vous Adrien ?
00:54 *Applaudissements*
00:57 Arrête de me regarder quand tu dis ça.
00:59 C'est pour nous de toute façon.
01:01 C'est pour nous, c'est pour notre tranche d'âge.
01:03 C'est un sport qui... C'est du foot.
01:05 Mais sans enjeu.
01:07 Avec une troisième mi-temps, vous allez voir ce qu'on adore le plus.
01:09 En face de vous, Lilian Bard.
01:11 Le portrait de la semaine.
01:13 Le portrait de la semaine. On va parler de Morgane Jacquet.
01:15 Je suis allé à Saint-Just-Saint-Rembert à la salle 100% CrossFit pour la rencontrer.
01:20 Elle a fait là, donc là actuellement, CrossFit.
01:22 Mais aussi on parlera boxe et cyclisme avec elle.
01:25 Et voici, elle nous fait l'honneur de sa présence.
01:27 Incroyable. Parce qu'elle est à Faudet.
01:29 Faudet Bas, le baladé.
01:31 *Applaudissements*
01:33 Pour cette émission, vous savez que je suis purement féminine.
01:37 100% girl power.
01:39 Haut féminin.
01:41 Et donc on va avoir l'honneur de recevoir Jeanne Colonge qui est maman.
01:43 Mais aussi triathlète professionnelle.
01:46 Et qui revient en force.
01:48 Et on sera aussi en direct du dojo Taekwondo.
01:52 Parce que Damien... -Cours Foriel.
01:55 -Lycée Foriel, c'est ça.
01:57 -Exactement.
01:59 Ils se préparent. La liaison n'est pas encore...
02:01 Le satellite, on n'a pas bien orienté.
02:03 Mais on va trouver la liaison dans quelques instants.
02:05 Thibaut, vous êtes conseiller technique au sein...
02:07 -Du comité indisport de la loi.
02:09 -Qui regroupe combien de personnes pour ceux qui ne connaissent pas ?
02:11 -En tant que salarié, on est 3.
02:13 3 salariés.
02:15 -Donc c'est solide, il faut le dire.
02:17 Faire un boulot à 3, c'est pas mal.
02:19 -Tout à fait.
02:20 -Un petit bisou à Clara aussi.
02:22 Et au président que j'ai vu il y a pas longtemps.
02:24 -Vous l'avez vu où ?
02:26 -Je vous dirai pas.
02:28 -On est 3 au comité. Clara va être remplacée.
02:30 Et après, on a nos élus.
02:32 Notre président, on est très arrière.
02:34 -On va voir la petite affiche.
02:36 C'était sur votre site. C'est un séjour.
02:38 "Séjour heureux". J'adore ce film.
02:40 C'était un séjour qui se déroulait du côté d'Andrézieux.
02:42 Un séjour sport.
02:44 -Exactement. C'était un séjour sport qui s'est déroulé
02:46 du 25 au 27 octobre 2023.
02:48 En ce moment, on est au boutéon.
02:50 C'était un séjour sport avec des activités
02:52 aussi extra-sportives les soirs pour les jeunes.
02:54 -On va voir quelques images.
02:56 C'était du côté d'Andrézieux sur le nouveau stade.
02:58 -Exactement.
03:00 On l'a eu pour le cyclisme.
03:02 Le premier jour, le mercredi après-midi.
03:04 Et puis on a aussi fait en parallèle
03:06 de la course de l'orientation
03:08 cette matinée-là.
03:10 -C'est tout nouveau.
03:12 -Le séjour ?
03:14 -Oui.
03:16 C'est un nouveau.
03:18 Il y avait des activités sportives nouvelles.
03:20 Le but aussi, c'est pour les jeunes
03:22 de refaire des activités sportives.
03:24 -A chaque fois, proposer quelque chose de plus.
03:26 -Exactement.
03:28 -Et du coup, pour "recruter"
03:30 ou en tout cas pour faire envie
03:32 aux jeunes de s'y rendre,
03:34 comment vous faites au niveau de votre
03:36 propagande d'informations ?
03:38 -Alors nous, on a une liste...
03:40 -La propagande, de picher dans les rues
03:42 sauvagement la nuit.
03:44 -Et nous, on a une liste de contacts,
03:46 une base de données au niveau du comité.
03:48 Après, on essaye d'envoyer
03:50 aux instituts médicaux, sociaux
03:52 qui accueillent des jeunes en situation d'handicap.
03:54 -Et aux clubs aussi, parce que c'est vrai
03:56 que souvent on reçoit le basket, on a reçu...
03:58 -Alors justement, c'est pas trop
04:00 à destination des clubs, parce que
04:02 c'est un séjour qui... -C'est pas la cible.
04:04 -Voilà, exactement, qui va être de la découverte.
04:06 -Ca va être une boîte pour initier,
04:08 pour peut-être faire envie à des jeunes.
04:10 -C'est un peu les premières années du NSS.
04:12 -Pour faire découvrir le sport,
04:14 différents sports même. -Ouais, c'est surtout pour montrer
04:16 que quand on a un handicap, on peut faire du sport,
04:18 il faut en faire. -Et bien si vous voulez bien,
04:20 on va les écouter, ces petits participants.
04:22 -Je dis que ça fait du bien,
04:26 ça me donne envie de marcher
04:28 maintenant avec mes parents.
04:30 -C'est un vélo pour pédaler
04:32 avec les mains.
04:34 J'ai bien envie de pratiquer le vélo.
04:36 -Ah oui !
04:38 Je disais parce qu'on est en direct,
04:40 on a un petit problème de télé,
04:42 je ne sais pas quand est-ce qu'on revient à l'antenne.
04:44 -Eh bien on y est ! -Ils sont heureux.
04:46 -Oui, tout à fait, on a eu de très bons retours
04:48 de la part de tous les jeunes qui étaient présents,
04:50 et des parents aussi,
04:52 parce qu'on a invité les parents sur un challenge...
04:54 -Ca c'est bien, ils ont toujours peur les parents.
04:56 -On va en parler, Adrien, vous,
04:58 sans parler de votre vie, mais vous avez une enfant.
05:00 -Oui, j'ai une enfant qui a la maladie de Dijorge,
05:02 donc qui est considérée comme enfant handicapé,
05:04 et c'est vrai que des stages comme ça pour les enfants,
05:06 c'est énorme. Ca leur permet déjà
05:08 de se libérer,
05:10 d'eux-mêmes, de rester enfermés sur eux,
05:12 ça leur permet de côtoyer d'autres personnes,
05:14 c'est vrai que c'est au niveau du...
05:16 Plus tard, pour eux,
05:18 pour se débrouiller un peu seuls, c'est énorme.
05:20 -C'est ce que vous voyez, d'avoir des temps peut-être de séparation,
05:22 ou en tout cas, ils peuvent se dire
05:24 qu'ils peuvent avoir des activités seuls,
05:26 et de découvrir aussi ça. -Ca c'est parce que
05:28 vous êtes ouverts, vous. Mais,
05:30 combien de participants ?
05:32 -Alors il y avait 9 participants, 9 jeunes.
05:34 -Quelqu'un de plus large ? -15. -Eh oui.
05:36 -C'est pas de votre part. -Ah oui. -Alors raté...
05:38 -C'est pas de votre part. Comme elle a dit, la propagande était bien faite.
05:40 -La propagande était bonne. -Non, la communication
05:42 était bien faite, après, ça peut faire peur aux parents
05:45 de laisser leurs enfants...
05:47 -Les bons yeux. -De lui, tout d'abord.
05:49 -Il y a des parents qui sont là. -Surtout qu'il y a des réactions dans le public.
05:51 -Voilà, on revient. Alors,
05:53 déjà, on va parler d'une... C'est Camille.
05:55 Ca va, Camille ? -Oui, ça va. -Bon,
05:57 je t'ai pas vue sur la vidéo, mais t'as kiffé ce séjour.
05:59 -Oui, oui, j'ai totalement kiffé.
06:01 C'était trop bien. -C'est bien d'être loin un peu de papa et maman, quand même.
06:03 -Oui, oui, parce que surtout que j'ai une soeur jumelle.
06:05 -Ouais.
06:07 -T'as fait quelques petites bêtises.
06:09 -Non, pas du tout.
06:11 Pas du tout, j'ai été sage comme une immeuble.
06:13 -Tu reviendras ou pas ?
06:15 -Oui. -Ca te donne envie de faire du sport ?
06:17 Parce qu'est-ce que tu fais du sport, toi ?
06:19 -Moi, de base, j'en fais...
06:21 -Ouais, pas à ça, quoi. -Chez moi,
06:23 et puis... -On dirait ma femme.
06:25 "Si, si, je fais du sport, mais chez moi, après..."
06:27 -Oui, équitation... -Equitation.
06:29 -Mais est-ce que t'as envie de faire d'autres choses, maintenant ?
06:31 -Moi, oui.
06:33 -Bon, attends, je vais aller voir maman,
06:35 parce que c'est celle qui a le portefeuille.
06:37 Maman, on a évoqué,
06:39 justement, avec Thibaut, que c'est compliqué, quand même,
06:41 de se séparer de son enfant.
06:43 -Alors, c'est pas évident.
06:45 Moi, c'était surtout l'appréhension
06:47 avec le handicap
06:49 qui est assez lourd de Camille, de savoir si tout
06:51 était vraiment adapté, s'il y avait suffisamment d'encadrants.
06:53 Mais Camille l'a fait
06:55 déjà il y a 2 ans, 3 ans.
06:57 -Tous les 2 ans, hein ?
06:59 -Oui. -Ah, il y a eu Covid, peut-être.
07:01 -Oui, il y a eu une édition tous les 2 ans.
07:03 -Et du coup,
07:05 c'était super, elle est revenue enchantée.
07:07 Du coup, elle s'était mise
07:09 à la natation en e-sport.
07:11 Et là, bon...
07:13 L'escalade, c'est un peu compliqué,
07:15 mais l'escrime l'intéresse.
07:17 -C'est bien, l'escrime, tu vas voir, c'est top.
07:19 Et vous, c'était bien pour vous, aussi, pendant 3 jours ?
07:21 -Ah, c'était bien. -Non, mais faut le dire.
07:23 De temps en temps, faut savoir. -Ça fait du bien de lâcher,
07:25 oui, un petit peu. -Vous avez fait un petit resto ?
07:27 -Avec papa, oui. -Ah bah oui !
07:29 Voilà. C'est bien d'entendre ça,
07:31 c'est bien ce genre de témoignage,
07:33 de se dire "oui, c'est dur,
07:35 je peux comprendre." -Effectivement. Après,
07:37 Camille, elle a 16 ans, c'est déjà peut-être
07:39 un peu plus facile pour ses parents, aussi,
07:41 de la laisser. Là, on avait des jeunes âgés
07:43 de 8 à 16 ans, et donc
07:45 quand ils ont 8 ans, qu'ils sont jamais partis de chez eux,
07:47 pour un séjour, c'est assez compliqué.
07:49 -Mais même pour les enfants, au-delà,
07:51 on parle des parents, mais pour des enfants,
07:53 je veux dire, jusqu'à un certain âge, c'est compliqué,
07:55 ce temps de séparation. -Attendez, parce qu'on va donner envie,
07:57 il y avait des guests. -Ah !
07:59 -Il y avait qui ? Et pas n'importe qui, en plus.
08:01 -Il y avait Loïc Vernieux, qui est triple médaillé
08:03 aux Jeux paralympiques,
08:05 et Céadène Bélet, qui est
08:07 une jeune en breakdance.
08:09 -Qui sera au JO de Paris 2024. -Oui, pour le breakdance.
08:11 -C'est pas encore officiel, elle a pas le droit de nous dire.
08:13 -On a tous envie de le dire, on a tous envie de le penser,
08:15 en tout cas. -On a envie de... Voilà.
08:17 -On les écoute ? -On croise les doigts pour elle.
08:19 -Ils sont comme nous.
08:21 En fait, ils sont normaux, et ils dansent...
08:23 Enfin, en fait, ils arrivent à danser,
08:25 à s'adapter, parce que la danse, c'est original, il faut créer
08:27 ses mouvements, etc., donc grâce à leur handicap,
08:29 parfois, ils ont même leur propre style,
08:31 ils arrivent à trouver autour
08:33 de leur handicap et tout, donc c'est incroyable,
08:35 et ça rajoute un plus, en fait, dans leur danse.
08:37 -Déjà, s'ils sont venus à ce séjour, c'est qu'ils ont
08:39 envie de faire du sport, parce qu'ils savent qu'ils sont venus
08:41 trois jours pour découvrir des sports,
08:43 pour partager ensemble, donc je pense que s'ils sont là,
08:45 c'est qu'ils sont motivés, et déjà, ils en font tous,
08:47 enfin, sauf une ou deux,
08:49 mais voilà, je pense qu'à la fin du séjour,
08:51 elle pourra peut-être s'inscrire dans un club,
08:53 en sachant que ses collègues vont se fonder dans des clubs,
08:55 donc peut-être qu'elle se lui donnera envie d'y aller.
08:57 -C'est cool de jouer le jeu, quand même.
08:59 Moi, j'avais aucun doute pour ces deux personnes.
09:01 -Exactement, Loïc, c'est une figure emblématique du handbike,
09:03 il répond très, très souvent présents
09:05 sur toutes nos actions, donc on le remerciait encore,
09:07 et Sia, c'était tout nouveau pour elle,
09:09 elle a jamais parrainé encore de séjour,
09:11 c'était son premier séjour,
09:13 et surtout à destination d'enfants en situation de handicap,
09:15 donc on la remerciait encore,
09:17 elle est jeune, et elle va encore en parrainage.
09:19 -Tammy, tu veux faire du breakdance ?
09:21 -C'est son objectif, elle me dit.
09:23 -Et du coup, vous avez forcément des personnes
09:25 en cas de rente qui sont qualifiées autour de vous ?
09:27 -Oui, exactement, alors nous, on était deux conseillers techniques
09:29 du comité, et après,
09:31 on avait des bénévoles
09:33 qu'on remerciait encore du comité,
09:35 qui étaient... Alors, on a une bénévole
09:37 qui était infirmière, donc ça aide pour tout ce qui est soins,
09:39 et puis après, on avait des jeunes
09:41 de l'AMFR de Montbrison, qui sont en formation
09:43 d'animation médico-sociaux.
09:45 -Il faut le dire, il faut regarder les parents,
09:47 il faut venir, alors c'est dans deux ans,
09:49 la prochaine fois ? -Oui, exactement.
09:51 Ça sera 2025.
09:53 -Mais n'hésitez pas à déposer
09:55 votre candidature.
09:57 -Tout à fait, surtout que là, cette année, on a en plus
09:59 des inscriptions. -Mais puis toi, ça va exploser maintenant, il va falloir ouvrir des places.
10:01 -Les inscriptions étaient prises en charge par une association
10:03 qui s'appelle les Angélosophies.
10:05 -Adrien, tu aurais pu amener ta fille.
10:07 -Handisport, c'est handicap physique et sensoriel,
10:09 je tiens à préciser. Différent
10:11 avec le comité du sport adapté,
10:13 qui est à destination de handicap. -Il y a un rendez-vous
10:15 au mois de février, on commence déjà
10:17 à donner, on fait de la propagande, on affiche.
10:19 -Vous avez raison, il le faut.
10:21 -Les fascicules.
10:23 -Exactement. C'est quoi du multisport ?
10:25 -Oui, exactement.
10:27 C'est un séjour qui est déjà à destination
10:29 de jeunes qui se débrouillent très bien dans une discipline,
10:31 et ils sont encadrés par
10:33 des entraîneurs nationaux,
10:35 sur un séjour de 4 jours, donc du 26
10:37 au 29 à Vichy.
10:39 C'est des jeunes qui se débrouillent très bien à l'échelle départementale
10:41 et qui vont faire un stage régional. -Ca, c'est top, ça.
10:43 -Oui. -Pour rester avec nous, Thibaut,
10:45 une petite virgule, et on va parler de l'image
10:47 de la semaine.
10:49 [Musique]
10:51 -C'est tout nouveau,
10:53 l'image de la semaine, c'est ce
10:55 week-end ? -C'est tout nouveau, oui et non.
10:57 -Quoi ? -Oui, oh... -Ah, bah le...
10:59 -On l'avait abandonné depuis... -Le Stu n'est pas nouveau. -Exactement.
11:01 -Le Stu n'est pas nouveau, en revanche,
11:03 le Stu qui prend son départ, donc le Trail Urban de Saint-Etienne,
11:05 qui prend son départ du côté du centre
11:07 commercial Stihl, ça c'est nouveau. -On va voir
11:09 cette image qui est magnifique.
11:11 -Il y avait une grosse ambiance pour chauffer le public
11:13 au début, j'avais l'impression qu'il y avait une
11:15 zumba géante, avec, vous le voyez
11:17 ici également, des départs...
11:19 -En joualette. -En joualette.
11:21 -Je crois que c'était Pola, peut-être, qui parlait. -C'était Pola, oui.
11:23 -Exactement. Alors, ils attendaient
11:25 combien de personnes, Nian ? -1 005.
11:27 Et ils étaient... 1 008.
11:29 -Ah, c'est la météo, ça. C'est la fête dégueulasse,
11:31 je veux le dire. -Non, du coup,
11:33 comme on est bien conscients que ce n'était
11:35 pas la météo... -Non, mais c'est cool, ça.
11:37 -C'était forcément un bon engouement
11:39 de tout le monde pour participer. -Vous ne deviez pas la faire,
11:41 cette course, Nian ? -Si, mais vous voyez qu'il me reste
11:43 un peu de... -Un peu de maladie.
11:45 -Un peu de maladie dans le nez.
11:47 Donc, j'avais pas les armes pour pouvoir la faire.
11:49 -Mais comme quoi, encore une fois, tout ce qui est course,
11:51 ça attire énormément, énormément. -Non, mais c'est une
11:53 course aussi emblématique. C'était vraiment
11:55 très, très bien. D'ailleurs, celui qu'on va
11:57 rejoindre dans quelques instants en direct,
11:59 justement, du...
12:01 Comment ça s'appelle ? -Du gymnase
12:03 Foriel. -Un gymnase Foriel a fait la une.
12:05 -Eh oui, il a fait la une. -Un canard très connu
12:07 de la Loire.
12:09 Alors, Damien, est-ce que vous êtes remis
12:11 de votre week-end ? -Bonjour
12:13 à tous. Je suis aujourd'hui au
12:15 gymnase Claude Foriel à Saint-Étienne
12:17 pour évoquer une nouvelle discipline
12:19 olympique pour nos JO 2024
12:21 avec toujours notre série.
12:23 Et je suis avec Nisrine,
12:25 qui est la présidente du taekwondo
12:27 Câblant de la Loire. Merci de nous accueillir
12:29 chez vous. -Je vous en prie, bienvenue.
12:31 -Merci. Et du coup, qu'est-ce qui se passe
12:33 ici ? Est-ce que vous pouvez nous expliquer un petit
12:35 peu ? Parce que j'ai vu des barres
12:37 parallèles, j'ai vu pas mal de choses,
12:39 mais finalement, on fait bien du taekwondo. -Oui, nous faisons bien
12:41 du taekwondo. Nous sommes au gymnase Foriel.
12:43 C'est un gymnase qui est prêté par la
12:45 municipalité, que nous partagerons avec le
12:47 lycée. -Et donc, du coup,
12:49 vous avez plusieurs sections ici,
12:51 des jeunes. Comment ça se passe ?
12:53 -Nous avons deux sections. La section enfants
12:55 qui va de 6 à 12 ans et la section
12:57 ado-adultes, du coup, de 12
12:59 à 60 ans. -D'accord.
13:01 Et là, on parle
13:03 donc Jeux Olympiques, Discipline Olympique.
13:05 Je crois que vous êtes en Discipline Olympique
13:07 depuis 2018, si je ne me trompe pas.
13:09 -Non, depuis 2000. Depuis
13:11 les JO de Sydney. -Ah, depuis Sydney.
13:13 OK. Et du coup, là,
13:15 quelle est finalement la pratique ? Qu'est-ce qu'on
13:17 doit avoir comme appétence
13:19 ou qu'est-ce qu'il faut pour réussir
13:21 dans le taekwondo, finalement ? -Il faut
13:23 beaucoup de rigueur. -D'accord.
13:25 -Beaucoup de régularité. -Oui.
13:27 -Détermination, motivation. Et c'est ouvert
13:29 vraiment à tous les âges. Donc, tout le monde a sa chance
13:31 de pratiquer le taekwondo, que ce soit les hommes
13:33 comme les femmes. -Et donc, du coup,
13:35 vous m'avez prévu une petite démonstration.
13:37 Je vois la
13:39 piste de combat juste derrière nous.
13:41 Vous m'avez vu, je suis équipé,
13:43 en partie, je termine et je vous retrouve
13:45 en fin d'émission.
13:47 -J'ai hâte.
13:49 -En tout cas, il est bien équipé.
13:51 -Il est bien...
13:53 -J'espère même qu'ils vont lui en rajouter. -Ils l'ont bien
13:55 gagné, les gars. Bon, on va voir.
13:57 Adrien Ponsard, laissez sa place
13:59 à votre invitée, Fénac. On peut applaudir bien fort.
14:01 C'est qui, François ? -Jeanne Fénuc,
14:03 votre professionnelle de triathlon
14:05 dans la loi. Merci, Jeanne, de nous faire
14:07 encore l'honneur d'être là. La dernière fois, je vous rappelle
14:09 qu'on l'avait reçue sur le plateau. Je parle pas
14:11 de ton portrait qui était splendide.
14:13 Je parle de la dernière fois qu'on l'avait reçue sur le plateau.
14:15 Vous étiez enceinte et vous alliez
14:17 donner naissance à votre petite... -Elle s'appelle
14:19 comment ? -Louise. -Louise. Bisou à Louise
14:21 qui doit être devant la télé, je pense. -Oui, je pense.
14:23 -Donc du coup,
14:25 simplement peut-être pour reprendre
14:27 quelques grandes performances et comment
14:29 vous êtes arrivée dans le triathlon. -Oui, pour mon papa
14:31 qui ne vous connaît pas vraiment, alors que notre boulanger vous connaît
14:33 au taquet. -Oui, oui.
14:35 Non, mais j'ai commencé le triathlon en
14:37 2005, puis je suis arrivée sur le long en 2010,
14:39 simplement par goût, puis
14:41 je me suis rendue compte que c'est ce que je préférais. -J'aime me faire mal
14:43 sur le long, quoi. -Oui, oui, c'est vrai.
14:45 -C'est ça, mais il y en a un. Moi, j'aime le court.
14:47 -Pour la distance. -Et puis,
14:49 oui, j'ai...
14:51 Moi, j'ai été deux fois championne de France,
14:53 j'ai gagné une course qui s'appelle l'Embraman,
14:55 qui est dans
14:57 les Hautes-Alpes, trois fois.
14:59 Elle peut duer deux fois. Oui, en fait,
15:01 globalement, j'aime bien les courses de montage.
15:03 -Oui, c'est ce que j'aime bien. -Oui, l'Embraman, comme ça.
15:05 -C'est ce qui est compliqué. Et c'est vrai qu'aujourd'hui, ce qui me tenait
15:07 à cœur, c'est que, ben voilà,
15:09 vous êtes maman,
15:11 vous êtes prof,
15:13 et en plus, professionnelle dans le triathlon.
15:15 -Qui, on sait, la discipline la plus longue,
15:17 triathlon, trois sports. -C'est sûr qu'il y a une des
15:19 disciplines les plus complexes et qui
15:21 demande le plus de travail et d'effort.
15:23 Tout à l'heure, en off, on discutait, 35 heures
15:25 d'entraînement par semaine. -On les case où ?
15:27 -Justement, vu que mon métier
15:29 principal, c'est d'être triathlète
15:31 professionnel, j'ai, disons,
15:33 qu'au lieu d'aller... Enfin, c'est mon travail,
15:35 quoi. -Le matin, on sort de Berkson,
15:37 on descend facile, et après, on fait quoi ?
15:39 -Je descends, j'emmène ma petite à l'école.
15:41 -Et après, je pars en vélo.
15:43 -Oui, en fait, chaque jour est différent.
15:45 C'est aussi la beauté de ce sport, c'est qu'il y a trois sports
15:47 combinés en un. -Mais vous faites...
15:49 Enfin, vous, vous faites pas tout d'un coup ?
15:51 -Non, alors, chaque jour est différent.
15:53 Parfois, j'ai seulement
15:55 deux entraînements dans la journée, parfois trois,
15:57 parfois un. Ça dépend de la longueur
15:59 de chacun, ça dépend de la période aussi.
16:01 -Il y a un coach ? -Oui, j'ai un coach.
16:03 Oui, j'ai un coach, Romain Lieux,
16:05 qui s'entraîne aussi. -C'est pas votre mari ? Il n'a rien à voir ?
16:07 Il n'est pas du tout dans le métier ?
16:09 -Un petit peu. -Ah, c'est quoi ?
16:11 -Lui, il est plutôt artistique, même carrément artistique.
16:13 -Je respecte, ça. -Il ne prend pas des casques
16:15 ni des vélos. -Ça, vous aimez, Julien.
16:17 Tout ce qu'on peut personnaliser pour vous, ça, vous aimez.
16:19 Et justement, on dit,
16:21 vous êtes professionnelle, donc c'est votre métier,
16:23 vous vivez de ça. -Et vous amenez toute la famille.
16:25 On a fait une petite page Instagram,
16:27 allez, jetez un coup d'œil, on va voir Nantel.
16:29 Et la dernière fois, gros voyage à Hawaï.
16:31 -Oui, c'est ça. -Pas mal !
16:33 -Oui, oui, ben en fait... -Tu peux m'adopter.
16:35 (Rires)
16:37 -Mais comment on en vit, du triathlon ?
16:39 -En fait, c'est grâce, déjà,
16:41 premièrement aux résultats
16:43 sur les courses. Donc ça, c'est très aléatoire,
16:45 parce que selon la place qu'on fait,
16:47 on aura la prime ou pas.
16:49 Donc ça, c'est un peu plus difficile.
16:51 Mais ce qui est plus fixe, c'est si on peut trouver des partenaires,
16:53 des sponsors financiers. -Et on arrive à trouver
16:55 des partenaires ? Parce que tout le monde galère.
16:57 On parlait d'un confrère qui faisait des résultats
16:59 mais qui avait quand même du mal. Et surtout,
17:01 je ne veux pas le dire, mais en tant que femme... -Féminin, tout à fait.
17:03 -C'est beaucoup plus dur en tant que femme
17:05 qu'en tant qu'homme, parce que
17:07 en fait, c'est un peu un cercle vicieux.
17:09 Il y a moins de visibilité sur le sport féminin.
17:11 Et donc, les partenaires
17:13 sont moins intéressés pour
17:15 financer des femmes. -Et les équipementiers ?
17:17 -Et les équipementiers aussi. Alors là, oui,
17:19 moi, j'ai des aides financières
17:21 pour l'équipement et tout ça.
17:23 Donc ça, c'est top. Heureusement qu'ils sont là,
17:25 parce que sans eux, ce ne serait pas possible.
17:27 -On parle de triathlon, mais l'équipe de France
17:29 arrive vraiment... Parce que ça donne une certaine visibilité.
17:31 Les portes, comment sont-elles ?
17:33 -Pas très ouvertes. En fait, le triathlon,
17:35 c'est... Pour être dans l'équipe de France,
17:37 pour aller aux Jeux Olympiques, il faut faire du
17:39 distance, la distance olympique.
17:41 Et moi, c'est pas ce que j'ai choisi de faire, finalement.
17:43 Donc... -Donc ça ferme beaucoup plus
17:45 vite les portes, pour ceux au niveau-là.
17:47 -On n'a pas vraiment... -Foutu pour la Marseillaise, quoi.
17:49 -Ah oui. Enfin, on peut la voir sur des
17:51 championnats de France longue distance, mais jamais aux Jeux Olympiques,
17:53 en tout cas. -Et donc, tout à l'heure,
17:55 on parlait que, voilà, quand vous avez reçu, vous étiez maman.
17:57 Comment ça a été, l'après ? Parce que,
17:59 voilà, on sait que dans la vie d'une femme,
18:01 devenir maman, ça change beaucoup de choses
18:03 dans notre corps, dans notre état d'esprit,
18:05 dans plein de choses. Comment ça a été ?
18:07 -Ça a été plus difficile mentalement que physiquement.
18:09 -Ah ouais ? -Physiquement, en fait,
18:11 j'ai eu de la chance, j'ai eu une grossesse
18:13 qui s'est très bien passée, donc j'ai pu faire
18:15 du sport jusqu'au bout. Et c'est vrai que le corps
18:17 a une mémoire aussi qui est
18:19 vraiment forte et ça revient vite.
18:21 Après, mentalement, je m'attendais pas à ça. J'ai été assez
18:23 surprise de ce que j'ai pu ressentir en tant que maman.
18:25 -Il y a plein d'hormones, hein. -Ouais. Déjà,
18:27 au début, il y a les hormones. Puis après, il y a le fait
18:29 simplement de pas culpabiliser quand j'allais
18:31 travailler. C'est comme si, en fait,
18:33 mon métier de triathlète n'était pas légitime et que j'allais
18:35 travailler et que c'était pas légitime.
18:37 -Et que vous perdiez des moments
18:39 finalement pour vous, psychiquement.
18:41 Alors, on parlait tout à l'heure de mon autre métier.
18:43 Mais c'est vrai que... -C'est très intéressant.
18:45 -C'est sur la sphère inconsciente d'avoir cette culpabilité-là
18:47 qui va venir générer d'autres choses, en fait.
18:49 -Qui générait des blessures, des choses
18:51 que je comprenais pas sur le moment, mais que j'ai compris
18:53 après avec le recul.
18:55 -Et du coup, à quel moment là, dans
18:57 le post-partum,
18:59 à quel moment ça y est ?
19:01 -Vous avez repris au bout de combien de temps, déjà ?
19:03 -J'ai repris au bout d'un mois,
19:05 j'ai recommencé à nager, quand j'ai eu le feu vert.
19:07 -Ah oui, le feu vert.
19:09 -Après le vélo, puis la course à pied,
19:11 j'ai dû attendre deux mois. -C'est la course à pied
19:13 le plus traumatisant ? -Oui, c'est ça.
19:15 -Le plus traumatique de trois mois, je ne sais plus trop.
19:17 -Et à quel moment là, dans votre parcours
19:19 post-partum, vous avez vraiment
19:21 rebrillé ou en tout cas atteint les objectifs
19:23 que vous vous étiez fixés ? -Vous avez performé tout de suite ?
19:25 -Cinq ans. -Cinq ans ? -Cinq ans et demi.
19:27 -A retrouver vraiment
19:29 les ailes,
19:31 la... Oui,
19:33 être complètement libérée, la sensation d'être à son niveau,
19:35 cinq ans et demi. -Oui, mais ça peut se comprendre,
19:37 c'est tellement petit que...
19:39 -Et oui, et malgré tout ce qu'on disait
19:41 avec Yann,
19:43 c'est à quel moment,
19:45 vous vous êtes dit "je continue
19:47 et je persévère
19:49 et je garde forme".
19:51 -Parce que cinq ans, il faut le vouloir dans la tête aussi.
19:53 -Vous avez eu un doute ? Et les partenaires, il faut qu'ils vous suivent aussi ?
19:55 -Aussi, oui, j'ai eu de la chance,
19:57 ils m'ont fait confiance et je les remercie d'ailleurs.
19:59 Il y a eu quelques changements de partenaires.
20:01 -Oui, sans doute. -Mais voilà.
20:03 En tout cas, oui,
20:05 j'ai jamais...
20:07 Après, moi, être heureuse dans mon sport,
20:09 c'était pas que les victoires,
20:11 j'étais quand même heureuse même si j'atteignais pas
20:13 mon but ultime
20:15 ces dernières années.
20:17 -Là, quand on va voir l'Alpe d'Huez, vous n'avez pas le gars que...
20:19 -C'était ça, c'était de regagner l'Alpe d'Huez,
20:21 de regagner Ambrun, et finalement,
20:23 une fois que je l'ai atteint,
20:25 c'est un vrai objectif de long terme.
20:27 Ça faisait 10 ans que j'attendais ça.
20:29 -Pour finir, on a celui qui vous a succédé,
20:31 Adrien Ponsard, va faire justement l'Alpe d'Huez.
20:33 Un petit conseil pour lui ?
20:35 -Je dirais, c'est d'être patient.
20:37 Après, je crois qu'il fait le cours de distance,
20:39 mais c'est déjà dur parce qu'il faut monter
20:41 les 21 lastes. -Oui, parce que lui, il veut faire
20:43 l'équipe de France, lui, tout de suite.
20:45 -Ah voilà, c'est ça. Non, c'est d'être patient et surtout
20:47 de savourer parce que, en fait, le triathlon,
20:49 c'est un sport qui est magnifique.
20:51 Il y a une ambiance qui est folle, qui est dingue
20:53 parce que tout le monde est...
20:55 En fait, pro, amateur, tout le monde est mélangé.
20:57 Tous les âges sont mélangés, tous les niveaux.
20:59 Et c'est ça qui est formidable.
21:01 -Thibault, faut me l'inviter, à un de ces quatre.
21:03 -C'est vrai, c'est un plaisir.
21:05 -Et le petit, petit mot de la fin,
21:09 appelle aux sponsors, alors.
21:11 -Oui, mais c'est vrai que... -Propagande !
21:13 -On mettra un mot de fin.
21:15 -J'avais un autre mot de la fin, c'est que vous êtes une vraie ligérienne
21:17 et qu'on vous voit aussi très souvent
21:19 sur les événements de la Loire.
21:21 -J'avais fait le trail urbain, l'an dernier.
21:23 -Sur la Saint-Héros aussi, on vous voit.
21:25 On vous voit vraiment sur plein d'événements,
21:27 pas que sur de la compétition, en fait.
21:29 -Oui, oui, parce que j'adore ça.
21:31 J'adore ça, puis oui, je suis stéphanoise.
21:33 -Oui, mais le problème, vous êtes la plupart du temps casquée,
21:35 lunettes, bonnets, on ne vous reconnaît pas.
21:37 -C'est vrai. -Avec votre vélo, voilà.
21:39 -Oui. -Avec la course, peut-être.
21:41 -La course à pied, on peut, oui.
21:43 -En tout cas, merci. -Et j'ai encore votre combinaison,
21:45 je crois. -Ah, c'est vrai que je l'avais.
21:47 -Vous m'avez donné ça. -Oui, oui.
21:49 -J'ai de l'altologie. -Je la mets souvent les bouquins.
21:51 -En tout cas, toujours un plaisir,
21:53 et n'hésitez surtout pas à nous envoyer
21:55 justement les performances,
21:57 là où vous allez, ça sera toujours un plaisir de vous suivre.
21:59 -Merci beaucoup. -Merci à vous, Jeanne.
22:01 -Merci beaucoup. -Toute l'herbe.
22:03 (Générique)
22:07 -Alors, c'est le moment où, justement...
22:09 Alors, non, non, si tu veux changer,
22:11 mais c'est surtout Adrien que j'attendais.
22:13 Adrien !
22:15 -Oui, on va parler de vous. -Je vais ramasser
22:17 un peu avec vous, non ? -Ah, bah oui.
22:19 -T'as vu que je t'ai préparé une licence, déjà.
22:21 -Savoure ton Alpes-du-Huez, mec. -Je vais le savourer.
22:23 Je vais le savourer.
22:25 Tous les 100, je vais le savourer, je crois.
22:27 Oui, bah, je t'ai préparé une licence pour l'année prochaine.
22:29 -Ah, mais Julien,
22:31 ça a toujours été un de ses objectifs. -C'est ça.
22:33 Parce qu'on va parler sport-loisir.
22:35 -Sport-loisir, oui. -Foot-loisir.
22:37 -Ça s'adresse à qui ? -Alors, ça s'adresse
22:39 aux plus de 40 ans.
22:41 -Donc, Julien. -C'est dans nos cornes.
22:43 -Oui, oui, oui. -Et c'est...
22:45 -Et ceux qui aiment la 3e mi-temps. -Voilà.
22:47 -Julien. -Donc, je pense que
22:49 on en a nombreux ici, on pourra participer.
22:51 -Oui, alors, ce sujet-là, c'est surtout pour les personnes,
22:53 parce qu'on parle souvent dans une émission de sport
22:55 du haut niveau, etc., mais... -La compétition.
22:57 -On a envie, quand même, de...
22:59 On est nostalgiques, peut-être, aussi, de notre passé,
23:01 il faut le dire. Et on a envie...
23:03 Bah, il y en a... Nous, on est préservés pour le moment.
23:05 Vous, un peu moins. Fiona, peut-être, mais moins que plus.
23:07 -Moins de bobos. -Moins de bobos.
23:09 C'est ça qu'on veut dire, la bobologie.
23:11 -C'est vraiment du foot. Il y a pas de contact.
23:13 Il y a pas de résultat.
23:15 Il y a pas d'arbitrage, c'est de l'auto-arbitrage.
23:17 -C'est vraiment du foot, copain. -C'est vraiment du foot.
23:19 J'ai passé une heure sur le terrain avec eux,
23:21 plus deux heures après.
23:23 Mais l'heure que j'ai passée sur le terrain, j'ai pas entendu...
23:25 -C'est vraiment un sujet de fond, que vous avez fait.
23:27 -J'ai pas entendu un mot.
23:29 -Ils se parlent pas, les gars ? -Ils se parlent, mais c'est de l'encouragement.
23:31 -Et puis c'est respectueux.
23:33 -Ils sont fatigués, au moins, à la fin, quand même.
23:35 -A la fin, oui, ils sont fatigués.
23:37 On voit que c'est des personnes qui sont là juste pour le plaisir.
23:41 Se retrouver,
23:43 d'évacuer la semaine de travail.
23:45 -Et puis peut-être de s'adapter, comme vous disiez, Julien,
23:47 peut-être de s'adapter aux capacités
23:49 qu'on a à telle période de notre vie.
23:51 C'est sûr qu'à 5...
23:53 -Il y a aussi l'autre chose.
23:55 Peut-être qu'à 40 ans, on est chef d'entreprise,
23:57 on a pas forcément envie de finir notre week-end.
23:59 -On fait souvent les vendredis, hein.
24:01 On en apporte souvent à l'hôpital, aux urgences.
24:03 -Aux urgences.
24:05 Après, la blessure est vachement aléatoire.
24:07 -Ouais.
24:09 -À n'importe quel moment, on peut se claquer,
24:11 on peut se péter un ordre d'achille.
24:13 -Mais y a pas de tacle.
24:15 -Y a pas de tacle. Mettre un ordre d'achille, y a pas besoin de tacle.
24:17 -Vous avez passé 2h30, 3h, pour faire un sujet d'1h30.
24:19 Je trouve que c'est rentable.
24:21 -C'est tout le loisir.
24:23 C'est une compétition réservée aux plus de 40,
24:25 aux joueurs de plus de 41 ans.
24:27 Le but, c'est de faire des matchs de foot
24:29 en toute convivialité,
24:31 et ensuite, faire une soirée,
24:33 on va dire, amicale,
24:35 où, derrière,
24:37 on joue en amitié
24:39 et un petit casse-croûte
24:41 pour finir la soirée.
24:43 ...
24:45 Concernant les arbitres,
24:47 donc, y a pas d'arbitre,
24:49 puisque c'est des rencontres,
24:51 on va dire, amicales.
24:53 C'est un championnat qui est réservé,
24:55 comme je vous ai dit, aux plus de 40.
24:57 Et les arbitres,
24:59 c'est auto-arbitrage,
25:01 c'est un auto-arbitrage.
25:03 Et on n'a pas le droit
25:05 à faire des tacles.
25:07 Donc, y a des règles bien spécifiques
25:09 à ce championnat.
25:11 Donc, voilà.
25:13 ...
25:15 -Pour quoi le foot loisir?
25:17 Parce que c'est convivial.
25:19 On joue, on est tranquille,
25:21 les anciens.
25:23 On peut plus jouer avec les jeunes,
25:25 maintenant, à notre âge.
25:27 Très important, la 3e mi-temps.
25:29 Et c'est pour ça qu'on vient, d'ailleurs.
25:31 Parce qu'on peut plus jouer avec les jeunes,
25:33 maintenant, donc, du coup, on vient se faire plaisir.
25:35 -Pour moi, le foot de plus de 40 ans,
25:37 c'est du plaisir, déjà.
25:39 C'est une équipe de copains.
25:41 Se retrouver le vendredi soir,
25:43 enlever le stress de la semaine, du boulot.
25:45 ...
25:47 Non, y a pas de compétition.
25:49 À la fin, mes matchs nuls, voilà.
25:51 Les équipes sont contentes.
25:53 C'est juste le plaisir de jouer.
25:55 -Vous connaissez mon avis sur...
25:57 Pas de résultat, moi, ça m'énerve.
25:59 Mais bon, c'est bien. J'aime bien chambrer.
26:01 T'as pris 19-0, c'est bien.
26:03 -C'est vrai, c'est d'ailleurs le score qu'il y a eu.
26:05 La feuille de match, c'était marqué 0-0.
26:07 -Disons que le résultat,
26:09 en tout cas, tu peux chambrer.
26:11 -Ca sert à quoi d'avoir une feuille de match, alors?
26:13 -C'est au niveau des assurances, après.
26:15 C'est des blessures, des...
26:17 Mais c'est vrai que le résultat,
26:19 c'est de se retrouver entre amis.
26:21 -Et justement, selon toi,
26:23 est-ce qu'il faut avoir un passif
26:25 un petit peu de footballeur
26:27 pour faire partie de ces équipes?
26:29 -Non, pas du tout.
26:31 Y a certains joueurs dans les deux équipes
26:33 qui n'ont jamais joué au foot avant.
26:35 Ils sont là parce qu'ils se retrouvent
26:37 entre collègues, entre potes.
26:39 -Par contre, c'est pas mixte.
26:41 -Non. -On a le droit de demander.
26:43 -Inscris-toi, prends une licence.
26:45 -Je n'ai pas 40 ans.
26:47 -Vous, Adrien, par exemple,
26:49 vous jouez encore...
26:51 C'est pas déplaisant, c'est bien.
26:53 -Mais j'ai encore un petit peu de temps,
26:55 je pense, avant de...
26:57 -Avant de rejoindre...
26:59 -C'est vrai, c'est beaucoup de collègues à moi qui jouent.
27:01 -Oui, c'est des copains que vous connaissez.
27:03 -Oui, bien sûr, c'est des gars qui entraînent
27:05 les jeunes du club à Dervaux.
27:07 Et ça leur permet, à eux, de se détendre.
27:09 -Mais y en a certaines, peut-être,
27:11 que sur les terrains, quand ils étaient plus jeunes,
27:13 ça criait un peu. -Oui, ça criait.
27:15 -Et ça leur permet de devenir plus sages.
27:17 Mais c'est pas possible, ça marche pas pour moi.
27:19 -Avec l'âge, ça s'agit...
27:21 -Il y a moins d'enjeux. -Il y a moins d'enjeux.
27:23 Ils attendent juste une chose, c'est la fin du match.
27:25 -La danse. -Et la buvette.
27:27 -Tous ensemble. -Oui.
27:29 -C'est même pas une buvette, c'est l'équipe qui reçoit.
27:31 -Ah oui, c'est ça. -On va boire,
27:33 et le repas, l'équipe adverse. -Y a pas de championnat.
27:35 -Y a pas de championnat.
27:37 -C'est vraiment un côté très associatif
27:39 où t'as vraiment cet aspect un peu famille,
27:41 que tu retrouves des fois dans des associations,
27:43 le côté très compétitif, très sportif.
27:45 -Voilà, oui, y a pas de... C'est vraiment familial.
27:47 -Mais tout en faisant du sport. -Thibault, vous en pensez quoi ?
27:49 C'est à vous qui aimez le sport, quand même. -Oui, tout à fait.
27:51 Moi, j'avais une question, c'était combien y a de clubs, du coup ?
27:53 -Ah, sur le cerveau.
27:55 Vous faites quoi, pour faire une bornelle ?
27:57 -Toutes les équipes de la Loire,
27:59 là, c'était derrière vos plans de foi,
28:01 mais l'ARIC a un club,
28:03 l'Étrang a une équipe,
28:05 toutes les clubs de la Loire ont une équipe de plus de 40 ans.
28:07 -OK. -Ah bon ?
28:09 -Oui. -D'accord, bah écoute...
28:11 -On dit un championnat, parce qu'il y a plusieurs rencontres dans l'année,
28:15 et ça se joue le lundi ou le vendredi soir.
28:17 -Eh ben, c'est très bien. Vous avez déjà votre sujet pour dans 15 jours ?
28:19 -Oui, dans 15 jours, on va... -Belle surprise.
28:21 -Oui, belle surprise. On va aller voir les filles
28:23 qui sont championnes du monde de football français.
28:25 -Eh ouais, on le savait pas, ça. -On le savait pas, ouais.
28:27 -Vous voyez, il faut s'abonner. -UNSS, attention.
28:29 -UNSS, ah bah oui. -C'est le BNC.
28:31 -Exactement. Le temps d'une petite virgule, on reçoit votre invité,
28:33 qui s'appelle ? -Thomas Santiago.
28:39 -Alors... -On peut l'applaudir.
28:41 -Il est venu avec son public. Il est subi, le public.
28:43 -Merci d'avoir accepté mon présentation, Thomas.
28:47 Thomas Santiago, c'est un nom très connu dans le monde du sport automobile
28:50 depuis très longtemps. Je me souviens de Marcel, qui est d'ailleurs en public,
28:53 avec Inérance Turbo. Je me souviens d'un...
28:55 -Il est où, Marcel ? -Marcel, voilà.
28:57 -Ah, mais c'est celui qui n'a pas de téléphone portable pour Instagram.
28:59 -Non, non. Marcel, Olivier, Nicolas.
29:01 Alors, quel est le lien avec toi, le lien familial ?
29:03 -Eh ben, Marcel, mon grand-père.
29:05 Mon père, qui est Olivier.
29:07 Et mon oncle, Nicolas.
29:09 -Voilà, donc, et Nicolas, c'est celui qui roulait avec une ex-GTI.
29:12 D'ailleurs, j'ai eu l'occasion de croiser le fer avec lui il y a une vingtaine d'années,
29:15 parce qu'on était dans la même catégorie,
29:17 qui est la catégorie dans laquelle tu cours aujourd'hui,
29:19 et dans laquelle tu as brillé lors de ces...
29:21 notamment ces dernières saisons.
29:23 -Alors, attendez juste 20 secondes pour nos invités.
29:25 Et Fiona, c'est quelle catégorie ? Expliquez ce que c'est, Allez-y, Oliver.
29:28 -C'est une catégorie de série, Group N.
29:30 -On est très proche, hein, de la série. -Très proche de la série.
29:32 -Et on a deux, trois pièces qui sont améliorées, mais...
29:35 -Quelles sont ces deux pièces ?
29:37 -Du style moteur, un peu plus... -Quand même.
29:39 -La boîte de vitesse, également. -La boîte de vitesse, mais...
29:41 -Parce qu'en gros, oui, c'est des voitures...
29:43 Ce que je comprends bien, c'est des voitures qui sont pas forcément
29:45 les plus performantes de base. -Non.
29:47 -Non, non. -Je comprends.
29:49 -Très bien. -C'est la base.
29:51 -Avant toute chose, tu avais pas commencé avec cette voiture-là,
29:53 tu avais commencé avec une 206 XS au pays du Gier,
29:55 donc c'est vrai que pour quelqu'un de Saint-Chamond,
29:57 c'était normal de commencer par ce rallye-là, c'était il y a 5 ans.
29:59 -C'est vrai. -Et puis tu t'es vite orienté vers la XGTI,
30:01 qui est, comme on vient de le dire, une très petite voiture,
30:03 -C'est elle, Rob. -une voiture très modeste.
30:05 Alors pourquoi s'être orienté vers cette voiture-là ?
30:07 -Pourquoi ? Parce que c'est une voiture qui procure
30:09 vachement de plaisir, même si c'est pas puissant.
30:11 On a des sensations dedans qui sont énormes.
30:13 Et ensuite, en termes de coûts de revient,
30:15 de révision, etc.,
30:17 ne coûtent pas cher.
30:19 -Alors je dirais que Thomas est quand même très atypique,
30:21 parce que beaucoup de jeunes pilotes ont envie d'avoir une super voiture...
30:23 -Tout de suite, une grosse, ouais.
30:25 -Quitte à démarrer dans des rallies régionaux.
30:27 Toi, par contre, t'as voulu t'orienter très rapidement sur des rallies
30:29 de haut niveau, notamment du Championnat de France.
30:31 J'ai vu tes statistiques, t'as fait quand même 14 rallies
30:33 de Championnat de France avec cette voiture.
30:35 Donc 32 rallies au total, 22 victoires.
30:37 Donc c'est un choix quand même osé d'aller en Championnat de France aussi rapidement.
30:41 -Ouais, j'allais dire, c'est quand même un challenge.
30:43 -Oui, pour nous, c'est l'aventure, quand on y va.
30:45 -Je rigole pas.
30:47 -Et d'ailleurs, t'es devenu un petit peu l'attraction du championnat,
30:49 parce qu'en fait, y a plus ce genre de voiture en Championnat de France.
30:51 Aujourd'hui, les voitures sont quand même beaucoup plus onéreuses.
30:53 Et c'est vrai que j'ai vu quelques spectateurs se réveiller à la voiture
30:57 et se dire "Tiens, y a encore une AX en Championnat".
30:59 Donc c'est quand même assez exceptionnel.
31:01 Et donc, voilà, y a une grosse saison 2021.
31:03 Et c'est en 2021 où tu es devenu la référence dans cette catégorie.
31:07 -Toujours avec notre AX.
31:09 -Toujours avec notre AX, exactement.
31:11 -Elle est où, cette AX ? -Elle est plus dans le garage.
31:13 -Elle est plus dans le garage. -On va y venir.
31:15 Et puis donc 2023, une énorme saison avec beaucoup d'épreuves.
31:17 Alors je pense que c'était peut-être le spectre de la finale.
31:21 Alors on va en parler un peu plus tard de la finale,
31:23 mais tu voulais te qualifier en fait.
31:25 -Oui, c'était l'objectif. Comme tout pilote ligérien ou proche,
31:29 c'était le but de cette année de se qualifier pour la finale.
31:31 -Avant de parler de la finale, je voulais parler quand même d'une expérience
31:33 que tu avais voulu avoir, c'est avec la Clio RC5.
31:35 Donc en fait, y a des formules de...
31:37 -Ah oui, oh, oh, oui, s'il te plaît.
31:39 -La Clio RC5.
31:41 Formules de promotion, en fait, ce sont des trophées de marque.
31:43 Alors y a Stellantis qui fait son trophée.
31:45 Y a Renault qui fait également son trophée.
31:47 Et l'intérêt de ce type de trophée, c'est à chaque vainqueur,
31:51 soit tu deviens pilote officiel l'année suivante,
31:53 soit tu as un budget pour faire une saison complète.
31:55 -Ah, ça marche.
31:57 -Soit c'est un budget pour faire un relay avec une super voiture.
31:59 Donc toi, tu as voulu tenter cette expérience en championnat de France,
32:02 et t'es au Rallye du Roi cette année.
32:04 Alors quels sont les enseignements de cette expérience ?
32:06 -Eh ben on est lancés dans le grand bain,
32:08 parce qu'on arrive au milieu des...
32:10 -Des fous furieux.
32:11 -Des fous furieux, et on a une cinquantaine.
32:13 Et nous, c'était la première fois qu'on y venait,
32:15 et on a vu le niveau.
32:16 -Je crois que tu finis dans les 20 premiers,
32:18 donc c'est très bien.
32:19 -C'est solide quand même.
32:20 -Mais est-ce que ça...
32:21 Bon, c'est difficile de parler de soi de manière toujours très positive,
32:25 mais est-ce que ça veut dire quand même que t'es très doué dans ce domaine ?
32:29 -Avec une plus grosse voiture, on voit ce qu'on est capable, surtout.
32:32 Parce qu'avec une petite, on montre, mais...
32:34 -Mais justement, juste pour comprendre la complexité de la chose,
32:37 cette voiture, vous l'avez eue en même temps pour pouvoir la maîtriser ?
32:41 -Juste le temps d'un rallye.
32:42 -D'accord. Mais c'est ça qui...
32:43 -Oui, donc il y a quand même un don de base, quoi.
32:45 -Je voulais revenir un peu sur les statistiques,
32:47 sur ces 5 ans d'expérience.
32:48 Tu es 12 copilotes, et puisqu'on parle de copilotes,
32:51 on a quand même un copilote exceptionnel dans le public,
32:53 et on peut l'applaudir très fort, il s'appelle Mathieu Duval.
32:55 -Mathieu, ah bah oui !
32:56 -Il est quand même champion 3 du pilot.
32:59 -Exactement.
33:00 -Dur et motus de 2022.
33:02 Alors, cette année, il n'a pas pu héréditer cet exploit,
33:04 parce que malheureusement, là, ça se voit pas trop bien.
33:06 -Ça se voit pas, mais il a caché ses béquilles.
33:07 -Il s'est blessé à cause de son travail.
33:09 Donc, merci d'être présent, Mathieu.
33:11 Et voilà, c'est quelqu'un d'assez...
33:13 Très proche de toi, je pense.
33:14 -Voilà. Qui est monté une fois à côté de moi, pour le rallye des Montaigneurs.
33:16 -Après, il a eu peur, donc il est plus branché.
33:18 -Il a eu de la chance de voir Mathieu Duval à tes côtés.
33:19 C'est quand même vachement bien.
33:20 On va revenir sur la saison 2023,
33:23 avec ses qualifications pour la finale des rallies.
33:26 On a eu beaucoup de chance cette année,
33:27 puisqu'elle a venu près de chez nous, du côté d'Ambert.
33:29 Alors, avant toute chose, je voulais savoir,
33:31 quel est ton avis par rapport à l'organisation de cette épreuve,
33:34 par rapport aux organisateurs, la Ligue Auvergne, la ZALI Vredeaux Forêt ?
33:37 Qu'est-ce que tu en as pensé en tant que pilote ?
33:39 -D'un point de vue parcours, il était exceptionnel.
33:42 Il y en avait pour tout le monde.
33:44 Pour les petites voitures, c'était un régal,
33:45 parce qu'il y avait beaucoup de descentes.
33:46 Et en termes d'organisation, c'était très cadré, très grand.
33:48 -Attends, j'ai raté. Avec quelle voiture vous l'avez fait ?
33:50 -Toujours avec la YS.
33:51 -Ah, toujours ?
33:52 -On a quelques images, en moment de la finale 2023.
33:54 Voilà, donc c'est vrai qu'une finale,
33:56 c'est un cahier des charges particulier
33:57 par rapport à un rallye traditionnel.
33:58 C'est un budget beaucoup plus élevé.
33:59 Je crois que c'est un budget d'environ 400 000 euros.
34:01 -Ah, oui.
34:02 -Et voilà, donc il y avait vraiment des choses à part
34:05 par rapport à un rallye traditionnel.
34:07 Et ça a été un beau succès pour les organisateurs, on peut dire.
34:10 -Oui, ils ont été récompensés par tous les efforts qu'ils ont faits.
34:13 Parce qu'il y a eu du monde, il y a eu de l'ambiance,
34:14 il y a eu du spectacle.
34:15 -Et vous, sportivement ?
34:16 -Alors, justement, j'ai été vainqueur de 5 catégories.
34:19 -Ah, bravo !
34:20 -Donc on peut l'applaudir après, parce que...
34:22 -Non, attends, qui est vainqueur ?
34:24 Et champion de France ?
34:26 -Alors, il est vainqueur de la classe N1 en Coupe de France.
34:30 -Voilà, vous êtes vainqueur de la classe N1 ?
34:33 -Voilà.
34:34 -C'est énorme, ça !
34:35 -Oui, c'est...
34:36 -Alors, justement, on a dit que tu étais une référence,
34:39 tu es une référence dans la classe N1.
34:41 Il y a une autre personne,
34:42 on peut dire qu'il y a une grosse référence en classe N1,
34:44 c'est quelqu'un qui habite Rouen.
34:45 Alors lui, il n'a pas 25 ans comme toi,
34:47 il en a quelques années de plus.
34:48 -Un petit peu.
34:49 -Il s'appelle Thierry Moulin.
34:50 On va dire entre...
34:51 Il ne va pas nous en vouloir si on dit qu'il est complètement cintré.
34:54 C'est quelqu'un qui est vraiment la grosse, grosse attaque.
34:56 Qu'est-ce que tu peux dire sur ce pilote incroyable ?
34:59 Je dis incroyable parce qu'il n'est pas tout...
35:01 -Voilà, pour son âge, c'est un pilote qui va très vite,
35:04 et puis c'est toujours agréable de se battre,
35:06 comme au Rallye du Haut-Lignon, dans Nuremberg, au 10e.
35:09 -Oui, c'est ça.
35:10 -Franchement, tu peux être très fier,
35:11 parce que pendant des années, il a été intouchable,
35:13 c'était un extraterrestre, Thierry Moulin.
35:14 Et en fait, moi, je lui ai parlé au début du rallye,
35:17 et je lui ai dit "Bon alors, ça va être la victoire ?"
35:19 Il me dit "Non, là, il y a Thomas aujourd'hui,
35:21 je pense que ça va être compliqué."
35:22 -Vous êtes amis ? -Oui.
35:23 -Il ne vous en veut pas ? La compétition est bien ?
35:25 -Pour toi, c'était un gros challenge d'arriver devant et d'y arriver.
35:28 -Voilà, oui.
35:29 -A combien vous l'avez battu ? Quelques dixièmes près ?
35:31 -Thierry, malheureusement, il a cassé le moteur.
35:33 -Il a cassé, je crois. -Oui.
35:34 -Il n'a pas pu se battre.
35:35 -Alors, j'ai eu...
35:36 Bon, on va terminer par une chose, parce que malheureusement,
35:39 j'ai vu hier sur Facebook que la voiture était partie.
35:41 Alors, je ne sais pas si on peut dire malheureusement,
35:43 parce qu'en fait, tu aspirais quand même à évoluer.
35:45 Ça faisait très longtemps que tu allais avec cette petite voiture.
35:47 -Mais elle est partie. C'était à quoi, elle est partie ?
35:49 -Elle a été vendue, ça y est.
35:50 -Ah, c'était un choix, alors.
35:51 -C'était son choix, oui.
35:52 -Tu lui as fait un bisou avant de partir ?
35:54 -Non.
35:55 -J'ai versé l'alarme.
35:56 -Ah oui, c'est normal.
35:57 -Bon, alors, ça veut dire qu'année prochaine,
35:59 on va te voir avec quelle voiture ?
36:00 -Pour le moment, pas de décision de prise.
36:02 On va prendre le temps de tout regarder, tout calculer,
36:04 et puis faire en fonction du budget, surtout.
36:06 -Par exemple, la Kia Royale C5 que tu as pu tester en championnat de France,
36:09 c'est une voiture que tu pourrais viser l'année prochaine ?
36:11 -C'est trop ?
36:12 -Non, c'est vraiment un gros budget.
36:13 -La voiture, c'est 60 000 €.
36:15 -Combien ?
36:16 -60 000 à peu près.
36:17 -60 000 €.
36:18 -Attends, tu n'as pas vu une AX qui a gagné, c'est pas 70 000 ?
36:20 -Non, c'est à peu près 6 fois moins.
36:22 -Oui, je pense.
36:23 -En tout cas, merci encore de ta présence ce soir.
36:26 -Merci à vous, Thomas.
36:27 Et vous nous dites quand vous changez de voiture.
36:29 On mettra...
36:30 Tenez, là, vous avez toujours votre petite voiture jaune.
36:34 Pense-moi en cœur.
36:36 -Je suis passée à la voiture familiale.
36:38 -Exactement.
36:39 Bon, on a quelques instants.
36:40 Portrait de sportif avec Irma.
36:42 Alors, on va parler justement...
36:48 Les femmes sont à l'honneur avec cette semaine.
36:50 -Bah oui, comme toujours, je viens comme toujours.
36:52 -Thibault, le sport automobile est un sport.
36:54 Le sport automobile est un sport.
36:56 -Oui, tout à fait.
36:57 Je pense qu'à la fin des courses, ils sont quand même bien fatigués.
37:00 -Ah bah oui, c'est clair.
37:01 -Ils ont perdu peut-être plusieurs litres d'eau.
37:03 -C'est la concentration.
37:05 -Au moins un, les amis.
37:06 -Au moins facile.
37:07 -Il fait trop chaud dans la voiture.
37:08 -Bah c'est la vie.
37:09 -Alors, on va parler d'une femme qui a certain courage.
37:12 -Exactement.
37:13 Un gros courage, puisque c'est le portrait de la semaine
37:15 avec Morgane Jacquet.
37:17 Je suis allée à 100 % CrossFit.
37:19 C'est la boxe de CrossFit de Saint-Just-Saint-Rembert.
37:22 Faire sa rencontre.
37:23 Et il faut savoir que Morgane, à la base, était boxeuse.
37:27 Il y a quelques temps.
37:28 Ensuite, elle a dit...
37:29 Suite à des blessures,
37:30 elle a arrêté la boxe pour se mettre au cyclisme.
37:33 Elle a fait 4 ans de vélo,
37:35 donc 2 ans à haut niveau.
37:37 Quand un jour, elle s'est fait renverser au bord de la route.
37:40 Elle a été laissée pour morte au bord de la route
37:42 puisque l'automobiliste est parti.
37:45 -Sympa.
37:46 -Sympa.
37:47 Très classe.
37:48 Et donc, du coup, un peu dégoûtée du vélo de route,
37:51 elle a décidé de se mettre au CrossFit.
37:54 Et là, aujourd'hui, passionnée par CrossFit...
37:55 -Pour de la rééducation, à la base.
37:56 -Pour la rééduc...
37:57 Et elle s'est mise au CrossFit.
37:59 Et là, elle a attaqué également les compétitions
38:01 depuis un certain temps.
38:02 Alors, pourquoi se dit-on que c'est un portrait un peu atypique, déjà ?
38:06 Parce que c'est une carrière sportive qu'on présente.
38:08 -A seulement quel âge ?
38:10 -A 26 ans.
38:11 -A 26 ans.
38:12 -Donc, c'est une carrière sportive.
38:13 C'est une amoureuse du sport en général.
38:16 D'habitude, je vous présente des palmarès,
38:18 des champions du monde, des champions de France, etc.
38:20 Là, non.
38:21 Là, on est là pour montrer quelqu'un
38:22 qui, tout simplement, est amoureuse du sport
38:24 et une grosse force de caractère.
38:25 Je vous propose de la rencontrer.
38:27 -Je suis amoureuse du sport.
38:29 Je suis amoureuse du sport.
38:31 Je suis amoureuse du sport.
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