• il y a 9 mois
"Parlons Club - Le Sporting Twirl Heandais"
Le sporting Twirl Heandais voit le le jour en 1978 comme club de majorette avant de devenir un club de twirling bâton en 1985.
Des solistes, des duo et des équipes ont obtenu le titre de champion de France, des résultat qui font la fierté de ce petit club.
Une cinquantaine de licenciés aujourd'hui avec huit professeurs bénévoles et chaque année des athlètes atteignent les finales du championnat de France.

"Enduro - La relève de l'enduro se trouve dans la Loire."
Esteban Robin, jeune pilote de Chenereilles, est triple champion de France à seulement 14 ans. Il s'entraîne avec Ewen Forestier Chiron, pilote des Mœurs du Forez. Nous sommes allés à leur rencontre pour découvrir leurs objectifs pour 2024 et leur relation avec leurs pères qui les suivent dans leur passion. Cerise sur le gâteau, Fabien Planet, quadruple champion du monde, s'est joint à cet entraînement.

"Basket - Une progression sur mesure."
Tout au long de l'année, les joueurs peuvent, en dehors de leur club, progresser grâce à des entraînements le dimanche ou le samedi. De plus, plusieurs stages sont organisés durant les vacances, notamment un stage Elite prévu cet été.

"Le volley-ball, un sport olympique, à ancrage local inégalé."
Cette semaine, nous continuons notre série sur les disciplines olympiques des JO 2024 à Paris, présentes dans notre département. Aujourd'hui, nous vous proposons de découvrir une épreuve toujours très attendue : le volley-ball. Je vous invite à prendre place dans l'équipe cadet du Case Volley 42 où je vais tester mon service.

"La vie royale des chevaux du château."
Connaissez-vous les chevaux du château de Bouthéon ? Dans le parc, trois chevaux de trait Auxois animent la vie du château, à travers des balades en calèche. Ils travaillent également pour la municipalité en nettoyant les bords de Loire. C'est un moyen écologique et économique qui permet de valoriser une race en déclin sur le territoire français.

"Sport de boule de retour depuis 4 ans."
Absent depuis 4 ans du calendrier du championnat M1, il fait désormais un retour remarqué avec l'ouverture de la 4ème journée dans un nouveau complexe doté de huit pistes à Chazelles-sur-Lyon. Les meilleurs joueurs de ce sport se réuniront là-bas pour cette quatrième étape.


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Transcription
00:00 [Musique]
00:10 [Applaudissements]
00:16 Bonsoir, bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver ici même sur le plateau de Sportset.
00:21 Nous sommes le lundi 18 mars. Quelle chance j'ai de présenter cette émission.
00:26 Et quelle équipe j'ai aujourd'hui autour de la table. Je vous demanderai de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre invité Didier qui est quand même le président, le référent à la loi du sport boule, c'est ça ?
00:36 Oui, tout à fait.
00:37 Comment elle se voit avec vous ?
00:38 Nous allons parler de notre championnat M1 qui va se dérouler à Chazelle-sur-Lyon.
00:43 Entre autres ?
00:44 Entre autres.
00:45 Les meilleurs de France seront là.
00:46 Les meilleurs de France seront là le 29 et 30 mars.
00:49 Voilà, à côté de vous, on peut l'applaudir bien fort. Il est là, il est de retour.
00:52 Bonsoir Julien. La star de l'enduro, la voix de l'enduro.
00:57 La voix de l'enduro mais aujourd'hui on va s'intéresser à la jeunesse et en fait la relève de l'enduro français.
01:01 Eh bien, bien présente dans la loi, on était à la rencontre d'Estéban Robin et d'Ewen Forestier-Champ.
01:05 Voilà notre princesse à nous, elle est là.
01:07 Elle est belle.
01:08 Incroyable, voilà.
01:09 Celle qui se soude les obstacles de 1m40.
01:11 Au moins.
01:12 Au gareau, voilà, parmi elles, chère.
01:14 Bonsoir Julien.
01:15 Avec vous.
01:16 Alors, moi, la transition, elle était toute faite puisque ce début d'année avait lieu le salon de l'agriculture.
01:21 Donc, je suis allée à la rencontre d'Éric Perret qui est animalier au parc d'André-Dieu-Boutéan pour promouvoir la filiale des chevaux de trait.
01:28 Voilà, et à côté de vous, celui qui est content qu'il fasse nuit à 19h35, Événie Némir.
01:34 Bonsoir.
01:35 Ça va mon ami ?
01:36 Oui, ça va, merci. Bonsoir à tous.
01:37 Nous, ce soir, on va parler d'une association. Ça fait un an qu'ils existent.
01:41 Ils nous avaient donné l'info ici sur Patreon.
01:43 On a donné l'info ici en exclusivité et on l'aura tout à l'heure avec nous.
01:46 Le président élite de Basketball Academy, Yacine Bassin, sera avec nous.
01:50 Voilà, et on saura aussi en direct le temps de retrouver un peu la liaison satellite.
01:55 Eh oui, parce que tu as l'suite, on est comme ça, on a une liaison satellite.
01:57 Damien sera présent du côté de Saint-Étienne pour tester le volleyball qui sera présent forcément aux Jeux Olympiques.
02:03 Oui, alors j'ai appelé Didier parce que c'est un copain, on s'est vu toute la semaine, mais c'est Didier Pérez quand même.
02:08 Oui, pas de balle.
02:09 Vous êtes là, autour de la table, pour représenter ce sport-boule.
02:12 C'est vrai que je crois que ça fait un peu plus d'un an que j'avais reçu le président national à cette place-là.
02:18 Juste pour faire un petit état des lieux, comment se porte le sport-boule dans la Loire ?
02:22 Le sport-boule dans la Loire...
02:23 Ça peut avoir des chiffres ?
02:24 Oui, ça représente 2 514 licenciés.
02:28 Donc il est vrai qu'on a eu un poste, comme tout le monde le sait, après Covid, difficile.
02:34 Mais la reprise de licence est là et effectivement, nous sommes remontés un petit peu dans les stats au niveau licence.
02:42 Il y a aussi des champions de France et championnes de France.
02:45 Oui, cette année, nous avons eu trois titres de champions de France.
02:49 Dans toutes les catégories ?
02:50 Non, pas toutes les catégories.
02:51 14 ans ?
02:52 15 ans, Lucas.
02:53 Je vais en enlever.
02:54 Donc Erwann Arquillière qui est présent.
02:56 Oui.
02:57 Nous avons eu une féminine en F4.
03:00 On a la photo qui va apparaître.
03:01 La Roméy-An et ensuite, nous avons eu nos vétérans qui ont été champions de France.
03:06 On me dit "c'est ça, c'est ça", mais il faut mettre la photo.
03:08 Oui, c'est ça ! Voilà, c'est ça, c'est ça, exactement.
03:11 Et puis nos vétérans qui ont été champions de France également.
03:14 Donc heureux ?
03:16 Heureux.
03:17 Depuis 2-3 ans, on a toujours eu des titres, mais c'est vrai que je crois que ça faisait longtemps qu'on n'avait pas eu trois titres de champions de France la même année.
03:25 Donc 2023-2024, pas mal.
03:26 Pas mal.
03:27 Pas mal. Encore mieux, la M1.
03:29 Il faut expliquer ce que c'est, Didier.
03:31 Ce que c'est que la M1.
03:32 La M1, on peut dire, c'est la Ligue 1.
03:34 On peut dire ça ?
03:35 La M1, c'est la Ligue 1.
03:36 Notre représentant, Bruno Chouvelon, qui est parmi nous, pourrait nous l'expliquer en même temps.
03:42 Bien entendu, puisque c'est à lui que revient cette Ligue M1.
03:44 On va voir quelques images, justement.
03:45 Donc la Ligue M1, ça regroupe 16 équipes qui ont un championnat sur 10 étapes.
03:51 Et on sera donc avec le pôle compétition de Chazelle-Belgarde, ça sera la quatrième étape.
04:00 Attention, Messieurs, Dames, c'était quand même... ça faisait depuis 2019-2020 ?
04:04 2019 à Feuers.
04:05 À Feuers, oui.
04:06 Et après, on l'a pu... vous êtes embrouillés avec...
04:08 Non, on s'est pas embrouillés, mais il y en a qui l'en font pour tout le monde.
04:12 Ah, il l'en font pour tout le monde.
04:13 Oui, parce que la Ligue M1 se déplace de partout où on veut bien l'accueillir, bien entendu.
04:19 J'ai une question, parce que sur votre dépliant, on voit les équipes qui seront présentes.
04:23 Vous dites les 16 meilleurs...
04:24 C'est dépliant, fascicule, c'est joli aussi.
04:25 J'aime bien dépliant. Fascicule, c'est la première fois qu'on l'emploie au XXIe siècle.
04:28 [Rires]
04:30 On parle des 16 meilleures équipes nationales.
04:33 Et je vois beaucoup d'équipes au vernis ronal,
04:36 Plamod, Servolets, Xansi, Ex-Les Bains, Gours, Saint-Antoine...
04:40 Calme-toi, Minou ! Je vais aller dans le public.
04:41 Vous me laissez ? Regardez, c'est pour toi.
04:43 Alors déjà, une moustache comme ça, c'est un vrai gaulois.
04:46 [Rires]
04:49 Ça, c'est de l'entretien.
04:50 Ça ne va pas me l'énerver.
04:51 Alors, on va voir quelques petites images.
04:53 C'est impressionnant, c'est la nouvelle structure qu'il y a du côté de Chazelle-sur-Lyon,
04:57 parce que c'est là que ça va se dérouler.
04:58 La peinture encore fraîche. Je vois qu'il y a encore de la peinture.
05:01 C'est incroyable, cette structure.
05:04 Donc, vous allez pouvoir découvrir notre site Chazelle-Roy, en banne-offre.
05:09 Ah ouais, toute neuve, là.
05:10 Combien de pistes à l'intérieur ?
05:11 Huit.
05:12 Huit pistes à l'intérieur.
05:13 Donc, c'était construit sur le style d'une ancienne usine de chapellerie,
05:17 parce que c'est à la place d'une friche.
05:19 Ah, on a gardé un peu le toit, un peu, comme ça.
05:21 Voilà, oui. Donc, regardez le site chapelier.
05:23 Donc, on a un intérieur très lumineux.
05:25 Alors, ça, ça se passe du côté de Chazelle.
05:27 Mais pourquoi j'ai un Mont-Brisonnay à côté de vous ?
05:29 Pourquoi vous êtes là, vous ?
05:30 Parce que je suis là, parce que ça se passe dans le secteur du Mont-Brisonnay, bien sûr.
05:35 Et donc, Belgaire dans Forest s'est rallié à Chazelle
05:39 pour augmenter un petit peu le potentiel de joueurs et tout.
05:42 Et puis, vu la structure qu'il y a, on peut qu'en bénéficier.
05:45 Et il faut aider un peu Maxime aussi.
05:47 Tu ne me laisses pas tout seul.
05:49 On est là pour, on est là pour.
05:51 Et on marche main dans la main.
05:53 Oui, c'est une vraie fusion.
05:54 Voilà, et on va faire…
05:55 Vous êtes ces deux présidents fusionnés.
05:57 Oui, voilà, exactement.
05:58 Et voilà, on marche main dans la main.
06:01 C'est mignon, ça.
06:02 C'est mignon, ça.
06:03 Moi, je trouve ça trop mignon.
06:04 Et pour répondre à notre ami M. Voldouard,
06:06 parce qu'effectivement, on a fait une réponse de politiciens.
06:08 Mais on a de hauts niveaux, là.
06:09 Pour l'instant, on est dans la langue de bois.
06:10 Alors, ils sont ligériens, mais il n'y a pas d'équipe ligérienne.
06:13 C'est ça ?
06:14 Plus.
06:15 Elle est redescendue, ouais.
06:16 Elle est redescendue, mais eux sont…
06:17 Ils sont encore en division, mais ils sont redescendus en division.
06:19 Le Loïc Perrin, il est là.
06:20 Enfin, il y a deux Loïc Perrin.
06:21 Il y a Green et Loïc Perrin.
06:22 Voilà.
06:23 Vous jouez du côté, avec l'équipe grenobloise.
06:25 Tout à fait.
06:26 Ne le huez pas, ce n'est pas grave.
06:27 Chacun fait des erreurs.
06:28 Il a dit des erreurs, car dans la loi…
06:30 Voilà.
06:31 Et vous avez l'habitude de connaître Alex ?
06:33 Oui.
06:34 C'est ça ?
06:35 Vous vous êtes déjà affronté ?
06:36 Oui, on a été coéquipiers, maintenant.
06:37 Il y a eu un fait qu'on n'est plus coéquipiers.
06:40 Tous les deux en finale, ce week-end-là, mais dans 15 jours ?
06:43 Je pense qu'on peut signer tous les deux.
06:45 C'est vrai ?
06:46 Ça serait bien ?
06:47 Oui, tout à fait.
06:48 Bon, je vais aller l'embêter.
06:49 C'est sportif, moi aussi.
06:50 Vous en avez parlé ?
06:51 Oui, quoi ?
06:52 J'aurais une autre question, parce que sur les Masters de Pétanque…
06:54 Vas-y, je suis bien là-haut.
06:55 Sur les Masters de Pétanque, on voit des fois qu'il y a une équipe locale de la ville qui organise, qui peut jouer.
07:00 Là, pour le coup, ce n'est pas possible qu'une équipe de Chazelle rentre dans la partie en tant qu'équipe wildcard ou équipe haute.
07:08 Il est pénible ?
07:09 Non, mais c'est une bonne remarque.
07:11 N'est-ce pas ?
07:12 Sauf que notre championnat est un championnat comme le football ou comme le top 14 au rugby,
07:17 c'est-à-dire un championnat fermé avec ses équipes.
07:19 C'est ça ?
07:20 Une 17, ça embête, un peu, non ?
07:22 Une 17 équipes, ça serait compliqué, effectivement.
07:24 Il faut 18, alors ?
07:25 Non, 16, c'est déjà bien à gérer.
07:28 C'est fermé avec ses vies.
07:29 C'est déjà bien à gérer.
07:30 Et notre championnat se déroule, comme on l'a dit tout à l'heure, sur 10 étapes.
07:33 Donc, on va avec beaucoup de plaisir à Chazelle, bien évidemment.
07:36 La Loire est un lieu, un fief de sport boule.
07:40 Merci de le dire.
07:41 Un fief de sport boule.
07:42 On attend, d'ailleurs, moi je suis convaincu qu'on va faire plein, que le bouledrome sera sans doute trop petit,
07:47 ce que j'ai dit au maire la première visite, mais bon…
07:49 Ne lui mettez pas la pression.
07:50 On ne lui met pas de pression.
07:51 Merci, Monsieur Géricel.
07:52 Voilà, c'est un championnat qui fonctionne comme le football et comme le rugby,
07:55 avec des montées, avec des descentes.
07:57 Mais c'est acté ou ça change chaque année ?
07:58 Chaque année.
07:59 Est-ce qu'on va vous revoir ?
08:00 Donc, ce n'est pas sûr que l'année prochaine, on va attendre 4 ans ?
08:02 Alors, ça non, on n'attendra pas 4 ans, parce qu'on a très envie de revenir.
08:08 Si la ville de Chazelle est satisfaite de cette prestation, et si l'équipe qui…
08:13 Toujours l'Agnac ?
08:15 Je pense qu'ils l'ont vraiment.
08:17 Ils l'ont vraiment, ils l'ont montré déjà, et ils vont l'avoir pendant tout ce week-end-là.
08:21 Si c'est quelque chose qui leur a plu et qui les intéresse, on est tout à fait…
08:24 Pourquoi pas ? Vous êtes ouvert ?
08:25 Absolument à revenir, oui, bien sûr.
08:27 Merci à vous.
08:28 Et pour finir, je vous réserve du lourd, du très lourd.
08:30 Il était venu… Je vous avais dit que c'était sportif.
08:33 Du très, très, très lourd.
08:34 Il était venu en mois d'octobre, l'année dernière.
08:36 D'ailleurs, très beau score d'audience.
08:38 Je vous remercie.
08:39 C'est gentil, c'est gentil.
08:40 J'ai toujours le joie de vous voir.
08:41 On a quand même le Noël Le Gret.
08:42 Sportboule.
08:43 Et en plus, il est local.
08:44 Donc ça, ça s'applaudit.
08:45 Merci à vous, Président, d'être là.
08:50 Déjà, quand on entend ça, on est heureux.
08:52 Oui, on est heureux.
08:53 Vous avez oeuvré un peu là-dedans en sous-marin ou pas ?
08:55 Je n'ouvre pas du tout.
08:56 Ils font tout.
08:57 Sous-seul.
08:58 Absolument, absolument.
08:59 Mais je suis extrêmement heureux d'être ici.
09:01 Parce que ça fait plusieurs fois qu'on vient.
09:03 Et puis j'ai en mémoire les championnats du monde à Montbrison, il y a deux ans.
09:07 Et c'est là qu'on a commencé une nouvelle formule de communication plus directe, télévisuelle,
09:12 avec les téléspectateurs.
09:13 Et c'est un petit peu quelque part, grâce à vous et à votre émission, j'en suis très heureux.
09:17 Merci beaucoup.
09:18 Et donc je voudrais souligner en même temps, pour répondre un petit peu à votre questionnement tout à l'heure,
09:24 les équipes Aura, etc.
09:25 N'oubliez pas que le sportboule est un sport international.
09:28 68 nations appartiennent à la FIB.
09:32 Donc ça n'est pas anodin.
09:34 De très grands champions hors France, concurrence, le plus grand champion qui est assis ici à côté de moi,
09:40 en tiers progressif, qui s'appelle Alexandre Chirac,
09:43 qui a frôlé, égalisé plusieurs fois le record du monde,
09:46 et qui est un vaincu de niveau international depuis 4 ans.
09:50 Donc il va jouer au pied de la tour Eiffel prochainement ?
09:53 Ou pas ?
09:54 Il est trop fort ce Julien !
09:57 Donc nous allons effectivement être présent aux Jeux Olympiques, les 27 et les 28 juillet 2024.
10:06 Ça sera au pied de la tour Eiffel ou pas ?
10:07 Ça sera au pied et à l'entrée de la grande halle de la Villette.
10:11 Non, c'est pas ça, c'est celle-ci.
10:14 C'est celle-ci.
10:15 C'est face à quelle équipe, vous le savez encore ?
10:17 Et nous allons organiser, nous avons eu la chance d'avoir le comité olympique d'organisation des Jeux,
10:24 monsieur Estanguet, qui nous a donné l'autorisation d'organiser une compétition contre la Slovénie.
10:30 Je peux vous dire que ce sera la seule compétition hors Jeux Olympiques pendant le mois de juillet et début août à Paris.
10:35 Et c'est vous qui l'avez ?
10:36 Et c'est nous qui l'avons.
10:37 On s'applaudit bien fort, merci à vous.
10:39 On a passé d'une émission pour débriefer tout ce qui se passe, mais c'est du lourd, du très lourd.
10:47 C'est vraiment du lourd.
10:48 Vraiment.
10:49 Hélo, Alex, tu me les bouffes, hein.
10:51 Je te dis, les croates, on a fait H&M.
10:54 Ils sont bons, les Slovénes.
10:55 Ils sont venus faire du tourisme, merci, au revoir.
10:56 Ils sont les louanges.
10:57 Ça monte.
10:58 Mais nous, les Français, on est meilleurs.
10:59 On est meilleurs.
11:00 Monsieur Perez, quelle actualité ?
11:02 Tout à fait.
11:03 Vous arrivez à reprendre votre souffle ? Parce que là, je suis mort.
11:05 Il faut, de toute façon, il faut suivre.
11:07 Bon, il faut suivre.
11:08 Et nous, on doit continuer notre émission, mais on reviendra un petit peu sur vous dans quelques instants.
11:14 Est-ce que vous aimez le volet ?
11:15 Vous savez faire de manches ?
11:17 Ah, comme ça, vous le faites ? Pas comme ça ?
11:19 Avec les avant-bras ?
11:20 Ah oui.
11:21 Non, mais là, vous êtes à l'église, c'est pour le carnet.
11:23 Je vous dis ça, dans quelques instants, on va rejoindre Damien du côté de Saint-Etienne.
11:29 Alors Damien, on fait comme ça ? On fait comme ça ? On fait comment ? Comme ça ?
11:40 Bonjour Julien, bonjour à tous.
11:44 Dans notre série, partons à la découverte des sports olympiques dans notre territoire.
11:48 Nous faisons l'escalier aujourd'hui à Villeboeuf et nous sommes reçus tout simplement par le président du casse-volet, en la personne de Nicolas Journal.
11:56 Merci de nous recevoir ici.
11:58 Enchanté, bienvenue parmi nous.
12:00 Je vois effectivement que nous sommes ici sur une terre de volets. Comment se porte le club ?
12:07 Le club se porte pour le mieux avec beaucoup de jeunes qui alimentent nos équipes premières.
12:11 Deux équipes premières qui sont plutôt en réussite, les filles en nationale 2 et les garçons en nationale 3, avec énormément de jeunes issus de la formation du club.
12:19 Comme vous pouvez le constater, on en a beaucoup qui s'entraînent ce soir. C'est la partie immergée de l'iceberg.
12:24 Sur une année olympique, ma première question c'est, est-ce que nous, équipe de France de volets, avons une chance de gagner des médailles ?
12:32 J'ai envie de vous dire qu'ils sont 7 prétendants à la médaille. Les Français en font partie, ils ont une bonne chance.
12:37 A ce niveau, c'est tellement compliqué, ça se joue tellement à rien qu'il faut faire une petite part de réussite et beaucoup de confiance.
12:44 Alors, médaille de quoi ? D'or, d'argent ou de bronze ?
12:47 On souhaite tous la médaille d'or comme la dernière Olympiade, mais bon, après, je vous dis, ils sont beaucoup de prétendants.
12:52 Il y a les Polonais, il y a les Brésiliens, il y a les Italiens, il y en a pas mal qui mériteraient aussi de l'avoir.
12:57 Et donc, du coup, là je vois qu'on est très nombreux ce soir. Est-ce que finalement, nous sommes une terre de formation et vous plus particulièrement au cas ?
13:03 Alors, c'est vrai qu'au niveau du cas, on a énormément de jeunes. C'est un petit peu singulier au niveau de la Loire.
13:08 On aimerait bien que ça se développe encore plus. Il y a beaucoup de travaux qui sont faits dans ce sens.
13:13 Et nous, ça serait un plus pour la Loire d'avoir encore plus de jeunes.
13:17 Bon, et donc du coup, tu m'as prévu une démo. Qu'est-ce que tu m'as prévu ? Par contre, en tout cas, tu m'aides.
13:22 Alors, je vais t'aider parce que là, tu as affaire avec des joueurs qui sont M18, qui ont fait 4-5 tours de Coupe de France.
13:29 Ça commence à jouer fort. C'est tous des gamins qui sont en section sportive volée au lycée et ça commence à jouer.
13:34 Ça commence à être sympa. Bon, je vais t'accrocher.
13:37 Bon, ben merci. Vous l'avez compris, plus qu'avec mon short et je vous dis à tout à l'heure.
13:41 Si Monsieur Vaudois, vous ne regardez pas l'émission, bien sûr, Damien Mamouille n'est pas venu.
13:46 Il faudra voir le retour de Fiona aussi.
13:48 Là, il n'était pas parti pour, donc je serais en train de juger les talents de Damien.
13:52 J'aurais aimé que Fiona soit contre lui. On a joué avec les filles. Les baskets, c'était mes avant-bras.
13:57 Si on veut parier au contre, Damien, sur Fiona, c'est le premier ou pas ?
14:00 Non, il est mort.
14:01 A tout, on a fait un match un jour face à Fiona et c'est compliqué.
14:05 Qui aime la vie de château autour de la table ?
14:07 Forcément.
14:08 Qui l'a déjà vécue, surtout ?
14:10 Bah non, Marienne ! Il se regarde et dit...
14:13 Qui l'a déjà vécue, surtout ?
14:15 Ah bah, c'est nous.
14:17 Julien, je sais qu'on est dans une émission de sport, mais en tant que bonne chroniqueuse de mon sport,
14:22 qui est l'équitation, je me dois vraiment de valoriser l'ensemble des acteurs de la filière équipe.
14:26 Donc en général, quand elle commence comme ça, c'est qu'elle essaie de me faire...
14:28 Ça marche ?
14:29 Je ne sais pas, vas-y.
14:30 Ça va marcher, Julien.
14:31 La transition est toute faite, puisqu'on sort juste du Salon de l'Agriculture,
14:34 qui est vraiment l'événement phare de ce début d'année.
14:37 Et donc, l'occasion pour moi...
14:38 Pardon à Gabriel Attal, il adorait.
14:40 Ah lui, ça s'est pas mal passé.
14:42 L'occasion pour moi de parler de la filière des chevaux de trait, des chevaux lourds.
14:45 Et donc, je suis allée à la rencontre d'Éric Perret,
14:47 qui est animalier au cœur du magnifique parc de Boutéon à Andrézieux.
14:51 Elle est au cœur de ce magnifique écran.
14:53 Ouais, c'est magnifique. Franchement, c'est vraiment magnifique.
14:56 Et donc, il valorise la race des chevaux de trait.
14:58 Il y a trois chevaux qui sont présents sur le parc d'Andrézieux.
15:02 Il y a trois chevaux de trait tout le temps, là-bas ?
15:04 Trois chevaux de trait tout le temps, donc de race oxoase.
15:06 Et donc, Éric, il travaille ses chevaux.
15:08 Ah oui, un Didier, race oxoase.
15:10 Bien sûr.
15:11 Donc, Éric, il travaille ses chevaux.
15:13 Il fait des balades en calèche, donc il accueille les écoles
15:16 et bien entendu le grand public.
15:18 Il nettoie aussi les bords de Loire.
15:20 Certains d'entre vous ont peut-être déjà participé,
15:22 notamment ce samedi, il y avait la journée nature...
15:25 Il y avait le club de basket d'Andrézieux qui l'a fait.
15:27 Ah, qui l'a fait ?
15:28 Mathieu le fait aussi dans votre univers d'enduro.
15:31 Nettoyer les rivières.
15:33 On fait ça ?
15:34 Bien évidemment, avec le Côte des Verts,
15:36 qui est une association qui s'occupe de ça, beaucoup de choses sur le fond.
15:38 Et là, ils le font encore plus vert.
15:40 C'était samedi, donc Éric s'est rendu avec son cheval en vol, presque.
15:44 En vol.
15:45 En vol, et bien oui, qui est quand même le symbole d'Andrézieux.
15:48 Et donc, il est allé avec son cheval en vol nettoyer les bords de Loire.
15:51 Et ça allait beaucoup plus loin, puisque sous l'ancienne municipalité,
15:54 avec sa jument merveille qui est aujourd'hui à la retraite,
15:57 il collectait les déchets pour la ville,
15:59 et il faisait même l'irrigation des plantations municipales.
16:02 Donc il a telle, en fait, la tonne à eau et l'irrigation.
16:05 Parce que moi, j'ai juste fait des balades avec Pompon, en vol.
16:07 Mais vous pouvez aller au parc de Boutéon, faire des balades en calèche.
16:11 On regarde tout de suite le sujet, parce que derrière, ça s'excite.
16:12 Ils veulent voir Pompon.
16:13 Eh bien, on va voir Pompon tout de suite.
16:15 Je vous propose de découvrir le portrait d'Éric.
16:17 Alors, le parc, on est sur 13 hectares, 11 hectares exactement.
16:24 Les 11 hectares se répartissent sur la partie du haut,
16:28 au niveau végétal, il y a un peu d'animaux,
16:30 et sur la partie du bas, essentiellement sur l'espace animalier.
16:33 On possède actuellement entre 300 et 400 animaux, suivant les saisons.
16:37 C'est essentiellement des animaux de ferme.
16:39 Donc, ça part de la caille jusqu'à la vache.
16:44 Alors, les chevaux sont utilisés de différentes manières.
16:50 D'une première manière, à travers l'attelage,
16:54 où on amène des enfants se promener, des adultes se promener.
16:58 Et d'autre part, on les utilise au niveau agricole,
17:00 c'est-à-dire qu'on laboure, on plante un petit jardin
17:04 où on va faire reproduire des végétaux qu'on va redonner à l'ensemble du parc.
17:10 Et puis là, on a inséré une vigne,
17:12 et là, on commence à travailler un petit peu les chevaux dans la vigne.
17:15 On amène plus de nuisances au niveau des tracteurs,
17:18 donc plus de bruit, plus d'impact au niveau de pétrole,
17:21 puisqu'il n'y en a plus.
17:23 Et puis, c'est surtout au niveau de la culture,
17:26 puisque les chevaux, le pied du cheval est bien moins lourd qu'un tracteur,
17:30 donc on habite bien moins la terre.
17:32 Je leur apprends un petit peu à tirer des charges à travers un pneu,
17:37 donc j'ai des collègues qui me donnent des coups de main.
17:40 On les, petit à petit, monte sur le pneu, on met un peu plus de charge,
17:44 et le but, en fait, c'est d'amener le cheval à tirer doucement
17:47 pour que le travail de la terre se fasse souplement.
17:50 Le parc se visite, le château se visite en même temps,
17:54 on accueille des écoles, ou on promène libre dans le parc,
17:57 ou à travers différents ateliers, tels que les balades en calèche,
18:00 ou à l'intérieur du château, à travers différentes activités dans le château,
18:03 proposées par des animateurs.
18:05 Alors pour l'instant, c'est plus partie du passé,
18:08 puisque là, actuellement, j'ai plus de juments en âge de procréé,
18:11 donc ça serait beaucoup plus compliqué que ça.
18:14 Après, est-ce que ça sera une volonté plus tard ?
18:16 Pourquoi pas, mais pour l'instant, c'est plus dans les tuyaux.
18:19 Au fur et à mesure que les années avancent, on perd de plus en plus d'effectifs.
18:22 Il y a des aides financières de la part d'État pour les éleveurs,
18:25 chose qui ne se fait plus, mais la difficulté, c'est justement
18:28 la revente de tous ces chevaux-là.
18:30 Donc au fur et à mesure, on s'aperçoit qu'à travers toutes les races,
18:33 les effectifs diminuent progressivement.
18:35 J'espère qu'on va conserver nos neuf races de traits en France.
18:38 C'est pas sûr qu'on puisse les conserver encore des années et des années.
18:41 Il y a plein d'émotions, et c'est vrai que le cheval de trait,
18:50 tout doucement, on n'en a plus l'utilité.
18:52 C'est ça, avant, c'était vraiment moyens écologiques, économiques.
18:55 C'est des chevaux qui sont dans une catégorie de travail,
18:58 vraiment, qui débardent, qui travaillent le sol,
19:01 qui travaillaient beaucoup.
19:02 Il débarde, il est à la montagne.
19:04 Du coup, c'est vrai que ça se perd un peu.
19:06 Les derniers chiffres sont tombés vraiment dans l'excès des chiffres.
19:10 L'IFCE, l'Institut français du cheval et de l'équitation,
19:13 a recensé plus d'un million de chevaux sur le territoire national.
19:16 C'est seulement 15 % de ces chevaux qui sont des chevaux de trait.
19:19 Il y a un peu plus de 4 700 éleveurs.
19:21 Mais est-ce qu'il y a un vrai projet pour eux ?
19:23 Alors oui, faire des balles, heureusement, qu'il y a le château de Bouteillon.
19:25 Il y en a qui se battent encore pour conserver les races.
19:27 C'est ce qu'Éric dit dans son reportage.
19:30 Il y a 9 races de chevaux de trait en France.
19:32 Il y en a qui se battent toujours.
19:33 C'est vrai qu'il ne faut pas baisser les bras,
19:34 mais c'est une race qui tombe un petit peu en désuétude,
19:36 que le public connaît mal, qui n'a pas accès sur le sport.
19:39 Allez-voir en vol et ?
19:41 En vol, merveille, et je n'ai pas le troisième.
19:45 Voilà Julien, tous les chevaux de trait ne s'appellent pas Pompon.
19:47 Tous les Ponennes ne s'appellent pas Petit Tonnerre.
19:49 Nous avons tous des noms, mais je vous invite vraiment à aller au château.
19:53 Vous pouvez aller vous balader dans la ferme pédagogique.
19:56 Il y a plus de 400 espèces.
19:57 Vraiment, allez les rencontrer.
19:58 Ils sont passionnants et passionnés.
19:59 Merci à vous Marielle Charron.
20:01 En quelques instants, je vous dis, un invité de prestige.
20:05 On aura le président de Elite Basketball Academy, Yacine Bassin,
20:10 qui sera avec nous pour nous parler de son association.
20:14 [Musique]
20:17 C'est vrai que vous êtes venu, c'était quoi, en juin l'année dernière ?
20:23 Et promis, tu me l'avais annoncé, c'était aussi rapide.
20:27 Effectivement, ça a été très rapide, en moins de six mois.
20:29 C'est en place, ça y est ?
20:30 Oui, ça y est, ça fait un an que ça a été mis en place.
20:33 Qu'est-ce qui se passe dans l'univers du basket ?
20:35 On va dire qu'on est sur une terre basket, déjà.
20:38 On est sur une terre basket, mais on va le dire Yacine,
20:41 c'est quand même quelque chose d'unique, surtout dans la Loire.
20:44 Alors, dans la Loire, parce que quand j'en ai parlé à Didier Perret,
20:47 il m'a dit qu'il fait de l'ombre à Tony Parker.
20:50 [Rires]
20:51 Il y a quelque chose, il y a quelque chose.
20:53 Peut-être, mais c'est quand même unique dans la Loire,
20:56 surtout ce concept-là.
20:57 Donc, rapidement, Yacine, est-ce que tu peux nous dire
21:00 qu'est-ce que Elite Basketball Academy ?
21:02 Elite Basketball Academy, c'est une association qui a été créée
21:05 par d'anciens sportifs et des gens passionnés du basket
21:09 qui donnent un support supplémentaire aux adhérents.
21:12 Donc, les adhérents viennent de clubs différents.
21:14 Eux s'entraînent au quotidien dans leur club
21:17 et nous, on apporte des séances supplémentaires,
21:20 essentiellement le week-end, des stages sur les vacances
21:23 et que sur du travail individuel, ce qu'ils n'ont pas forcément
21:25 le temps de faire dans le basket.
21:26 Voilà, on ne fait pas de la tyrolienne, on ne s'amuse pas,
21:28 on est là, focus, focus.
21:29 Non, mais c'est pour ça qu'on a appelé ça, nous, notre titre.
21:32 C'était vraiment une progression sur mesure.
21:34 Là, on s'adapte à...
21:36 Parce que là, au niveau de l'âge, ça va de quel âge à quel âge ?
21:39 On prend des U9, donc de la plus petite catégorie
21:42 qui existe dans le basket, on prend des U9 et jusqu'à U18, U20.
21:46 On n'a pas forcément de limite d'âge.
21:49 Et en fait, l'idée, c'était de...
21:52 On a eu la chance, nous, d'être joueurs pro
21:54 pour ceux qui constituent l'académie.
21:57 Et du coup, c'était de rendre un peu l'appareil assez jeune
22:00 parce qu'on sait qu'autant le collectif dans les clubs est important,
22:03 mais le travail individuel est...
22:04 C'est vrai, c'est vrai.
22:05 Mais on peut se cacher ou pas ?
22:06 Parce que des fois, tu te mets derrière, au dernier rang.
22:08 C'est quoi ? C'est un coach pour deux, pour cinq, pour douze ?
22:11 Non, ça, ça sera pas...
22:12 Aujourd'hui, on essaye d'être sur un coach pour six.
22:15 Et qui sait de se cacher, quand même.
22:17 Oui, c'est un peu compliqué.
22:19 Et puis sur les coachs, comme tu disais,
22:20 c'est vrai que l'académie est encadrée par d'anciens basketeurs pro
22:24 ou des basketeurs pro aussi actuellement.
22:26 Du coup, on est allés à la rencontre
22:28 lors du stage sur les vacances d'hiver.
22:32 Et nous sommes allés à la rencontre d'un joueur que tout le monde connaît dans la Loire,
22:36 Kamel Amour, ancien coramio,
22:38 qui est passé du côté d'Aix-Morienne il y a quelques temps.
22:40 On allait lui poser la question de comment ça se passe à Elite Basketball Academy.
22:44 Alors, on est vraiment sur le travail individuel.
22:46 On essaie de perfectionner sur tout ce qui est travail de tir en course,
22:50 de tir extérieur, de dribble, de passe.
22:54 On essaie vraiment de développer les capacités des joueurs
22:58 à être plus forts individuellement.
23:00 On reprend vraiment les bases au tout début avec tous les joueurs
23:03 pour être sûr qu'ils partent vraiment du bon socle.
23:07 Et ensuite, on monte petit à petit pour les former à être le meilleur possible.
23:12 Et on voit déjà des réels progrès.
23:14 Et on se dit que par la suite, plus ils vont progresser comme ça,
23:16 meilleurs ils vont être, meilleurs ils seront en club.
23:18 Et on arrivera sûrement à des bons résultats.
23:20 On a aussi des coaches qui sont très expérimentés avec nous.
23:23 Donc, c'est une très bonne chose.
23:25 Moi, je suis content si je peux vous aider un petit peu par rapport à ça.
23:27 Et on essaie de continuer cette voie-là.
23:29 C'est solide quand même d'avoir Kamel Amour.
23:32 Or là, il sera peut-être moins dispo. Il est un peu plus loin.
23:35 Non, mais il n'y a pas que lui.
23:36 Parce que là, il y a vraiment une équipe avec vous, Yacine.
23:38 Oui, aujourd'hui, c'est vrai qu'on a eu la chance de développer assez rapidement,
23:42 comme on le disait.
23:43 Donc, il y a quelqu'un comme Kamel Amour.
23:45 Il y a Corinne Benitandi qui est avec nous.
23:48 Il y a Jérémy Beaufort.
23:50 Il y a Charles-Henri Grétouze,
23:52 qui est un ancien international français qui est passé par l'INSEP.
23:56 Il y a Florian Darbouré.
23:58 Enfin, il y a vraiment...
23:59 Ils ont tous adhéré au projet, facilement.
24:01 Aujourd'hui, on a une quinzaine de coachs.
24:02 Et en plus du basket, on a un diététicien,
24:04 donc on a un podologue, on a une posturologue, un médecin.
24:07 On a vraiment pu développer par le biais de notre réseau.
24:12 Didier, ça se passe comme ça en mode sportive, non ?
24:15 Oui.
24:16 Ce qui est intéressant, il faut bien le préciser.
24:19 Donc, tous ces joueurs, ils sont là dans le public aussi,
24:22 ils sont affiliés déjà dans un club.
24:24 Ils ont une licence au niveau d'un club.
24:26 Donc, un joueur qui joue le samedi en championnat dans son club,
24:30 il vient s'entraîner le dimanche avec vous.
24:32 En fait, on a des créneaux le samedi après-midi,
24:34 on a des créneaux le dimanche,
24:36 et après, on a les stages à chaque vacances scolaires
24:38 et sur les périodes d'été.
24:40 Là, le mois d'avril, il y en aura un.
24:42 Alors, nous, ce qu'on va faire, c'est qu'on va...
24:44 Quand on était lors du stage, on allait rencontrer un parent.
24:47 On allait voir un papa pour lui dire comment ça se passe, ces stages,
24:50 et est-ce qu'il voit une progression au niveau de son fils.
24:54 Alors, on l'a inscrit parce qu'il était très demandeur de progresser au basket.
24:57 Il a vraiment l'ambition de jouer à haut niveau
24:59 et il voulait faire davantage de basket sur son temps libre.
25:03 Donc, il a ses séances de club,
25:05 mais il y a aussi le dimanche où il n'est pas forcément occupé
25:09 et il était demandeur pour aller à l'académie.
25:11 Et on sent qu'il a plus d'aisance sur des mouvements
25:13 qu'il a l'occasion de répéter plus souvent, en fait.
25:16 Donc, ça lui donne plus de temps pour répéter des mouvements
25:18 et d'en apprendre des nouveaux.
25:20 Il n'a pas forcément l'occasion tout le temps
25:22 d'arriver à mettre en pratique ce qu'il met,
25:24 mais on voit quand même de temps en temps qu'il y a des opportunités.
25:27 Alors, c'est peut-être une fois par match, deux fois par match,
25:29 peut-être beaucoup plus, mais on voit qu'il arrive à mettre en pratique
25:32 ce qu'il apprend individuellement.
25:35 Qui choisit le programme ? C'est l'élève ? C'est vous ?
25:37 Vous l'analysez ? Parce qu'il faut le voir jouer quand même.
25:39 En fait, aujourd'hui, on arrive à prendre des joueurs d'un niveau débutant
25:43 jusqu'à des joueurs expérimentés,
25:45 mais c'est à nous, entre guillemets, de s'adapter.
25:47 Donc, on a réussi à faire des groupes par niveau et par tranche d'âge.
25:52 On ne peut pas mélanger les enfants de 16 ans
25:54 avec des petits qu'on voit derrière, qu'on dise 11 ans.
25:57 C'est toute une organisation.
25:58 C'est clair que c'est très structuré.
26:00 En fait, on peut tant, franchement, bravo Yacine,
26:02 parce que quand on voit cette structuration,
26:04 c'est quand même impressionnant avec tout le milieu médical qui va derrière.
26:08 Et pour vous dire, Julien, que cette association
26:11 va prendre de l'ampleur encore plus, je pense, dans les années à venir,
26:14 c'est qu'il y a déjà des grands noms qui soutiennent.
26:18 Actuellement, on a l'air de rencontrer William Howard.
26:22 Qui ne connaît pas William Howard ?
26:23 Ancien joueur NBA, qui est dans la loi.
26:26 Qui a fait une petite pige.
26:27 Mais il est joueur NBA, c'est énorme.
26:29 Il a fait quelques matchs en NBA,
26:31 et puis actuellement, il vient de signer au Mans.
26:33 Il est parrain de l'élite basket à l'Union.
26:35 On l'a rencontré aussi, on lui a posé quelques questions.
26:37 C'est quelque chose que j'ai toujours voulu faire,
26:39 mais je ne savais pas comment m'y prendre, honnêtement.
26:42 Et c'est vrai que Yacine Bassin m'a donné cette opportunité,
26:46 et j'ai accepté directement.
26:48 Si les jeunes, ils ont des questions, ou n'importe,
26:52 je suis là pour les répondre.
26:55 C'est vrai que le monde pro, c'est comme tous les métiers.
26:59 Il y a des particularités que le public ne voit pas forcément.
27:02 Je pense que c'est toujours intéressant de savoir ça quand on est jeune.
27:05 Ce n'est pas souvent qu'il y a quelqu'un de mon brison
27:08 qui arrive à être joueur de basket professionnel.
27:11 Je pense que c'est important de pouvoir partager ça avec des jeunes.
27:14 Parce que moi, je n'ai pas vraiment eu cette opportunité-là quand j'étais petit.
27:18 Donc, de pouvoir le faire avec la nouvelle génération,
27:22 la génération d'aujourd'hui, ça me fait vraiment plaisir.
27:25 Quand on voit les Parisiens qui sont fiers,
27:27 ils disent aux Uefa que je viens de Paris.
27:29 Moi, je dis aux Uefa que je viens de mon brison.
27:31 C'est comme ça.
27:32 En fait, vous avez insufflé un petit élan,
27:34 tout le monde voulait le faire, mais ils n'avaient pas le temps.
27:37 À la base, c'est venu d'un ami qui est devenu maintenant un ami,
27:42 mais que j'ai rencontré qui est un parent de joueur.
27:45 Ses enfants sont là derrière.
27:47 En fait, lui m'a vraiment poussé.
27:49 C'est vrai que naturellement, quand je me suis arrêté,
27:53 je suivais mes enfants.
27:54 Donc, le faire et le proposer à des gens qui sont un peu comme nous,
27:57 parce que c'est vrai que quand on est sur nos carrières pro,
28:00 on n'y pense pas forcément, on n'a pas forcément le temps.
28:02 Vous êtes focus un peu sur la carrière.
28:03 Voilà. Et maintenant, de transmettre un peu…
28:05 Et ce n'est pas si onéreux que ça.
28:07 On m'a donné des chiffres, ça dépend des choses,
28:10 mais un stage d'été, quoi ?
28:12 Il n'y a pas de stage.
28:13 Parce qu'il y a des stages où même si vous ne faites pas partie de l'académie,
28:16 par exemple, si ma fille veut venir, elle peut s'inscrire.
28:19 C'est ouvert à tous, sauf qu'il y a forcément des tarifs préférentiels.
28:22 Quand on est inscrit à l'académie, ça, on l'a compris.
28:25 Ce qui est intéressant, c'est là qu'il faut qu'on en parle,
28:27 c'est que cet été, vous créez quand même quelque chose,
28:30 vraiment 100 % basket.
28:33 À l'inverse des camps d'été qu'on peut avoir partout,
28:36 ça s'est démocratisé maintenant, tous ces camps d'été,
28:38 vous faites le camp élite.
28:40 Expliquez-nous exactement, Yacine, en quoi ça va consister.
28:42 Le camp élite, comme son nom l'indique,
28:44 c'est vraiment… On va chercher un confort exceptionnel pour les enfants.
28:49 On est au sein du gymnase d'Andrézieux.
28:52 Cinq jours au Palais des Sports de l'Université de Goutéon.
28:54 Cinq jours au Palais des Sports.
28:55 Au centre d'hébergement.
28:56 Centre d'hébergement.
28:57 On est en récupération à la Charpigny avec Spam, Hamsona.
28:59 J'y arrive, j'y arrive, je m'inscris.
29:01 C'est bon, ça veut dire.
29:03 On a un préparateur physique le premier jour
29:05 qui leur fait une batterie de test
29:07 et qui établit un planning pour la semaine.
29:11 Et on a cinq coaches, donc Mustapha El-Afidi,
29:15 on a Corinne Benitandi, Charles-Henri Rétouze,
29:17 Kamel Amour et moi-même.
29:19 Et on ne prend que dix gamins par heure et demie.
29:21 Donc en fait, on n'aura que 20 gamins sur la semaine,
29:23 mais ils ne seront que dix.
29:24 Donc on a un coach…
29:25 Un pour deux.
29:26 Un pour deux.
29:27 C'est individuel, presque. Limite individuel.
29:30 Donc là, il n'y en a pas une semaine.
29:31 Et tellement que vous avez de la demande,
29:32 vous ouvrez une deuxième semaine.
29:34 On ouvre une deuxième semaine, oui.
29:35 Parce que ben ouais.
29:36 Après, c'est vrai que…
29:37 Ben on est heureux ?
29:38 Ben pour l'instant, oui.
29:39 C'est vrai qu'on est heureux, j'espère aussi.
29:41 Je ne sais pas, il faut le demander aux jeunes.
29:43 Vous êtes heureux ?
29:44 Non, ce n'est pas bon.
29:45 Vous êtes contents ?
29:46 C'est bien, vous êtes contents ?
29:47 Non, on les a forcés, on dirait.
29:48 Alors, on a parlé William Howard,
29:51 je ne sais pas si tu peux le dire,
29:52 il y a d'autres noms aussi, des grands noms.
29:54 Si tu ne dis pas aujourd'hui, je suis au courant.
29:56 Des grands noms, Yacine.
29:57 Non, il y a des noms.
29:58 Alors c'est vrai que quelqu'un comme Elio Cobo, Valériane,
30:01 Ayahi, qui ont entendu parler,
30:04 qui veulent soutenir un peu le…
30:06 Elio Cobo ?
30:07 Elio Cobo, c'est un joueur de l'équipe de France.
30:09 Équipe de France, hein.
30:10 Qui joue à Monaco.
30:11 C'est pour Didier, Didier n'est pas sûr.
30:12 Si, tu l'avais, Didier ?
30:13 Si, je l'avais.
30:14 J'ai entendu parler d'une marine aussi, peut-être, non ?
30:16 Oui, il y a des…
30:17 Enfin voilà, c'est vrai qu'il y a des noms.
30:19 Mais comment on arrive à…
30:20 C'est quoi, c'est téléphone qui n'arrive pas à te sonner ?
30:21 En fait, c'est un…
30:23 On va se faire une connexion de partage de rappeur 3.
30:25 Oui, voilà, c'est ça.
30:26 C'est un petit milieu, en fait.
30:27 Ah ouais ?
30:28 Oui, le basket, en fait, c'est vraiment un petit milieu.
30:31 Mais qui a le cœur sur la main.
30:32 Et voilà, quand il y a des actions qui parlent,
30:35 les gens n'hésitent pas à s'en servir.
30:37 Et puis surtout, il faut des personnes comme toi, Yacine,
30:39 qui fédèrent aussi autour d'un projet comme celui-là.
30:41 En tout cas, bravo.
30:42 Merci beaucoup.
30:43 Merci à toi, Yacine.
30:44 Tu reviens quand tu veux.
30:48 Dans quelques instants, on parlera d'un club,
30:51 un club ligérien, forcément, non ?
30:53 Parlons club.
30:54 Alors, parlons club, aujourd'hui, Valé, du côté de Saint-Étienne,
31:02 pour parler d'un club qui a été fondé en 1978.
31:07 En ? En quoi ?
31:09 En quoi ?
31:10 En quoi, en quoi, d'après toi ?
31:11 Curling, bâton.
31:12 Alors là, maintenant, c'est du curling.
31:13 Mais en 78, c'était la Majorette.
31:15 Ah ouais, la Majorette.
31:16 C'est le parlons club de Lilian Barne.
31:19 Salut, bienvenue au Sporting sur les Andes.
31:22 On est le plus gros et le plus ancien club de curling de Loire-Sud.
31:25 Donc toi, Géraldine, tu n'es pas présidente,
31:34 mais tu fais partie du club depuis que tu as 3 ans,
31:36 tu as commencé à coacher à l'âge de 15 ans
31:38 et tu as fait près de 30 ans de compétition.
31:40 Bon, la naissance du club, du coup, ça remonte à quand ?
31:43 Alors, nous, notre club, il existe depuis 1978.
31:45 Donc, à la base, on était des Majorettes.
31:48 Donc, on a changé, on est devenu le Turling-bâton depuis 1985.
31:53 Tu m'as parlé de twirling, tu m'as parlé de Majorette.
31:55 C'est quoi la différence ? Je ne comprends pas.
31:57 Alors, en fait, les Majorettes, à la base, elles avaient juste un bâton
31:59 et elles faisaient des défilés dans les rues.
32:01 Donc, en mode...
32:02 Et ça, on déteste parce que ce n'est pas du tout notre sport.
32:06 Nous, c'est de la gym, de la danse, de maniement du bâton et du théâtre.
32:10 Tout ça réuni dans une même discipline.
32:12 Nous, voilà plus clair.
32:13 D'ailleurs, au début, il n'y avait pas de gymnase.
32:15 Et non, à l'époque, elles ont commencé dans la cour de l'école,
32:18 sans gymnase, à l'extérieur, mais elles ont du bon.
32:21 Et les déplacements en compétition, ils ont bien changé, eux aussi.
32:24 Ah, ça a un petit peu évolué, oui, c'est vrai.
32:26 Maintenant, on a la chance, quand on part en déplacement,
32:28 quand on part loin, on a des super hôtels et tout, on est bien installés.
32:31 Moi, quand j'étais petite, on dormait sur des lits de camp, dans les gymnases,
32:34 les unes à côté des autres, c'était assez rigolo, oui.
32:36 En parlant de compétition, il y a eu des bons résultats, quand même, dans l'histoire du club.
32:39 On a eu des résultats assez satisfaisants.
32:41 On a eu deux solistes qui ont fini champion de France.
32:44 On a eu un duo champion de France également.
32:46 Et la plus récente, c'est le groupe Senior qui a fini champion de France en 2015.
32:50 Et après, chaque année, on mène nos athlètes au plus haut niveau,
32:54 c'est-à-dire en finale du championnat de France.
32:56 Ah, vous êtes un peu les stars de la commune, en plus.
32:58 Quand on a gagné le championnat de France, à notre retour de Saint-Brieuc,
33:02 on a eu l'accueil de la municipalité dans le village, donc c'était vraiment super sympa, oui.
33:06 Mais alors, Géraldine, ils sont où, les garçons ?
33:09 Eh bien, figure-toi qu'on en avait dans notre club.
33:11 Alors, c'est vrai que ça fait deux ans qu'on n'a plus de garçons,
33:13 parce qu'il y a des déménagements, des choses comme ça.
33:15 Mais ils sont moins nombreux, mais il y en a, et ils évoluent franchement à un niveau plutôt sympa.
33:20 Aujourd'hui, le club, en quelques chiffres, ça représente quoi ?
33:23 Alors aujourd'hui, le club, c'est plus de 50 licenciés, 8 entraîneurs bénévoles.
33:26 On évolue sur toutes les filières du championnat de France.
33:29 Et pour un petit club comme nous, avoir de bons résultats chaque année, c'est plutôt sympa.
33:33 Eh bien, très bien. Longue vie au Sporting Touareg-Honday !
33:36 On a un spécialiste de la majorette autour de la table.
33:40 Pas besoin de la petite voiture, hein !
33:42 Du Tourlingue-Baton, Monsieur Rivière.
33:44 Je vous promets, j'aurais voulu voir des images, moi !
33:46 Alors, pour la petite anecdote, il y a 20 ou 25 ans,
33:49 on avait failli monter une équipe de 6 garçons pour être champion de France,
33:52 mais en fait, il y en a deux qui se sont désistés.
33:54 Pour la petite histoire, ma sœur, elle va gagner la Coupe de France.
33:56 Et il n'y a pas qu'à Saint-Héron, dans la Loire, il y a Saint-Georges-Hauteville aussi, où il y a un club.
34:01 Mabli, il me semble, il y a Saint-Georges-Hauteville.
34:04 Et Macoste a été champion de France en 2012.
34:07 Et son frère, Jules, on parlait des garçons, a également évolué en championnat de France.
34:11 Donc, il y a bien des garçons.
34:13 On a des filles de Saint-Pierre-en-Jarret qui étaient en équipe de France
34:16 et qui ont même fait les championnats du monde aux États-Unis.
34:19 D'accord, mais c'est en jeu de sport.
34:21 Et je crois qu'elle a raison, la coach, on les confond beaucoup trop avec les majorettes.
34:25 C'est fini, majorette. Ça, majorette, c'est aux États-Unis. Il n'y a plus de majorette, ça.
34:29 Ça existait dans les défilés, moi je me rappelle, dans les fêtes patronales.
34:32 Quand on ouvre la M1 cette année, vous le savez un peu ?
34:35 Alors, la M1, il va y avoir un petit show.
34:38 Il y a un gentleman qui va se dérouler avec ensuite une exhibition.
34:44 Une exhibition des jeunes qui vont justement montrer un petit peu leur talent.
34:51 Parce que nous aussi, nous avons des écoles de boules.
34:54 Il faut bien savoir qu'au niveau du basket, il est vrai que c'est très structuré.
35:00 Nous, ça est en train de prendre forme, bien entendu.
35:03 Et il est vrai que pour tout sportif, si on veut évoluer, il faut bien entendu...
35:07 La jeunesse.
35:08 La jeunesse et puis des compétences pour pouvoir donner son savoir, ce qui était très important.
35:14 N'hésitez pas à demander conseil à Signe, j'expliquerai.
35:16 Il met un super canal à dret.
35:18 Vous aimez les sports d'enduro, moto, mécanique ?
35:21 Oui.
35:22 Merci quand même, c'est bien.
35:24 Je suis content.
35:25 Le sport mécanique.
35:27 Voilà, exactement. Dans quelques instants, c'est la chronique de Mathieu Voldoort.
35:30 Mathieu Voldoort, il a un niveau d'exigence large.
35:39 Vous allez voir dans quelques instants qui l'accompagne lors de ses déplacements.
35:43 C'est l'homme qui nous a fait aimer quand même la moto.
35:45 On ne s'est pas déplacé avec n'importe qui sur le sujet, mais l'idée d'aujourd'hui, c'était de parler des jeunes.
35:50 Quand on parle d'enduro, on montre souvent des compétitions où c'est des pilotes adultes.
35:56 Mais l'enduro, ça se commence très très jeune avec des filières qui sont mises en place.
36:00 Aujourd'hui en France, on a un championnat de France d'enduro kid qui commence à avoir énormément de participants.
36:05 C'est entre 300 et 350 participants sur les cinq étapes de ce championnat de France.
36:10 Mais kid, quel âge ça veut dire ?
36:11 On commence à partir de 11 ans jusqu'à 16 ans.
36:13 Ah ouais ?
36:14 Avec différentes catégories, poussin, benjamin, cadet.
36:17 Il y a des catégories de cylindrée également, notamment catégorie cadet.
36:21 Et avec la catégorie reine, la catégorie espoir.
36:23 Et dans la loi, il se trouve qu'on a un jeune pilote qui est triple champion de France déjà.
36:27 Il a seulement 14 ans depuis le 10 janvier.
36:30 Il est deux fois champion de France de cross country, on en a déjà parlé, c'est une discipline également du off-road.
36:35 Champion de France également en enduro kid.
36:38 Ce pilote, il est Chenreille, c'est Esteban Romain.
36:40 Chenreille !
36:41 Il est sur le plateau avec nous.
36:43 Et il se trouve que l'année dernière, il était avec son partenaire...
36:46 C'est vrai qu'on la reconnaît mal parce qu'ils ont toujours un casque sur la tête.
36:48 Il est juste derrière nous, on remonte à Esteban.
36:50 C'est plus beau son casque.
36:51 Et il a fait l'année dernière la ligue OVR Neuronalp d'endurance avec Ewen Forestier-Chiant,
36:56 un pilote originaire de Saint-Anthem.
36:58 Alors on en a à peine dépassé.
36:59 C'est un peu à la chassée sur la côte.
37:00 C'est le côté à gauche.
37:01 On est encore dans le forest.
37:02 Ils ont terminé 3e en espoir de la saison.
37:05 Et ils ont fait sur la dernière épreuve une 6e place au scratch.
37:08 Ça veut dire toute catégorie confondue.
37:10 Moi j'ai demandé à M. Bard, Lilian, de m'accompagner pour faire les images.
37:14 Ça n'est pas remis, c'est pour ça qu'il n'est pas là.
37:16 C'est lui également qui nous a fait le montage.
37:18 Et vous allez voir qu'avec nous, sur cette séance d'entraînement avec Ewen et avec Esteban,
37:23 on avait juste un quadruple champion du monde en la personne de Fabien Plané.
37:27 Rendez-vous du côté de Chenreil.
37:28 C'était il y a 3 semaines à peu près.
37:30 Nous sommes à Chenreil, sur les hauteurs de la plaine du Forest.
37:34 Et aujourd'hui, nous allons voir 2 futurs champions de l'enduro.
37:38 Et pour ça, on est accompagnés d'un quadruple champion du monde.
37:42 Ça va être leur coach aujourd'hui.
37:43 C'est Fabien Plané qui est avec nous.
37:44 Et nous allons la rencontre d'Esteban Robin et d'Ewen Forestier-Chiron.
37:48 C'est parti !
37:49 Esteban, tu es triple champion de France, 2 fois en cross-country, 1 fois en Enduro Kid.
38:03 Cette année, nouveau challenge, le championnat d'Europe. Quel est ton objectif ?
38:07 Mon objectif au championnat d'Europe, c'est de faire dans le top 10.
38:13 Cette année, nouvelle cylindrée en plus avec le 125.
38:15 C'est quoi la grosse différence ?
38:16 C'est plus haut et c'est plus dur à manier dans la boue.
38:21 En tout cas, de la boue, aujourd'hui, il y en a.
38:24 Tu vas nous montrer comment ça roule parce qu'on va te rouler sur ton terrain.
38:26 Et Ewen, quel est pour toi également l'objectif cette année avec ce nouveau championnat d'Europe en Kid ?
38:33 J'aimerais bien faire un top 10 Europe.
38:35 Ça me permettrait de reprendre confiance en moi après ma blessure et peut-être se surpasser.
38:41 Pour le reste de la saison 2024, qu'est-ce qui est prévu au programme ?
38:43 Un championnat de France en Enduro Kid où j'aimerais bien rentrer dans le top 5
38:47 et un championnat de ligue en Enduro Kid ainsi que quelques motocross et quelques endurance.
38:51 En Enduro Kid, quelle catégorie ? Espoir ou tu restes en KD la semaine ?
38:53 Je resterai en KD l'année prochaine.
38:54 KD 125.
38:55 Voilà.
38:57 C'est quoi le rôle du papa quand on accompagne un jeune en championnat de France ou championnat d'Europe en Enduro Kid ?
39:02 Le rôle du papa, ça reste d'abord le rôle du papa.
39:05 Ça reste aussi le rôle de mécanicien, ça reste aussi le rôle d'assistant social, de psychologue.
39:11 C'est le rôle du papa quand on fait du sport et qu'on est investi à fond à 100%.
39:16 Est-ce que ton expérience à toi de pilote, c'est un peu comme ça ?
39:19 Est-ce que ton expérience à toi de pilote aide Esteban ? Est-ce que tu t'en sers justement pour ses conseils ?
39:24 Je pense que ça aide un petit peu, oui certes.
39:27 Après, on a fait pas mal de motos, donc on sait un peu des bases.
39:31 Donc, je pense que ça l'aide un petit peu.
39:33 Fabien, on le sait, 4 fois champion du monde, tu fais partie des références de l'enduro ligérien.
39:38 Qu'est-ce que tu penses de ces jeunes-là ?
39:40 C'est vrai que je les connais vachement bien, surtout Esteban, c'est mon voisin.
39:43 Ils ont de la chance de pouvoir pratiquer en Enduro Kid.
39:45 Ils ont de la chance de pouvoir pratiquer en Enduro Kid.
39:49 Ils ont de la chance de pouvoir pratiquer en Enduro Kid.
39:51 Moi, j'ai attaqué plus tard.
39:53 Ils sont bien encadrés par la fédération, ils font des stages tout au long de l'année.
39:57 Ils sont arrivés à un bon niveau, mais pour arriver au top niveau, il reste encore un petit peu.
40:01 Donc, il va falloir pousser, pousser.
40:03 Et là, c'est à ce moment-là qu'il faut pousser jusqu'à l'âge de 18-19 ans.
40:05 Et après, si on a oublié le train, c'est un peu trop tard.
40:08 C'est le moment de donner.
40:13 C'est pas mal, n'est-ce pas, Monsieur Rivière ?
40:15 Moi, bouge, mais je dis rien.
40:16 Et cette année, on l'a dit dans le sujet, l'objectif pour Esteban et Ewen, le championnat d'Europe.
40:21 Première année 2024 où un championnat d'Europe d'Enduro Kid se fait.
40:25 Trois manches, une en Italie, une en France, une en Allemagne.
40:29 En France, ce sera au mois de juillet du côté de Monteille, en Aveyron, à l'endroit du lycée François Marty,
40:34 qui est un des seuls lycées où on peut faire un sport-étude en Enduro.
40:37 Il est au courant, le papa, qu'il va se balader un peu cette année ?
40:41 Il fait juste...
40:43 "Avola italiano" ? Non, c'est un mélange espagnol, ça.
40:45 Justement, on l'a vu avec Cédric et Lucien, les deux papas.
40:49 Alors, il n'y a pas les mamans, mais elles font également partie de la monture.
40:52 C'est un vrai investissement de toute la famille pour les enfants.
40:56 Investissement financier, bien évidemment, mais un investissement de temps.
41:00 Et c'est une passion commune de toute la famille.
41:03 Ils m'ont dit qu'ils louaient ton camping-car.
41:05 Non, mais ils ont investi, tu en fais pas le leur.
41:07 Un top 10, dans ce moment, un top 10 dans ce championnat d'Europe.
41:09 Pour le coup, pour Esteban et Ewen, je pense que le top 10 est jouable.
41:12 On connaît les Italiens, ils vont être très forts.
41:15 Les Allemands sont un peu plus discrets, parce qu'on les voit moins,
41:17 donc on ne sait pas du tout sur le niveau des Allemands d'Enduro.
41:21 Mais si, Jérémy Sidao est champion de France l'année dernière en junior,
41:26 il a vraiment éclaboussé de son talent de championnat de France junior.
41:31 Donc on verra.
41:32 Et pour la petite histoire...
41:33 On me dit de se dépêcher, il y a un joueur de vol à qui ça prépare.
41:36 Mais il y a une histoire qui est importante.
41:37 C'est que là, on parle de championnat d'Europe d'EnduroKid.
41:39 La première épreuve d'EnduroKid en Europe a été organisée par le motoclub du Livradois,
41:43 à Job, exactement, à côté d'Amber.
41:46 Et c'est la première fois que ça a été fait en France.
41:49 La même année, il y a eu Amber et Brioude.
41:51 C'est vraiment un sport, une catégorie qui est née en Auvergne.
41:54 Et donc voilà, aujourd'hui, c'est le championnat d'Europe.
41:56 Et peut-être demain, il y a un championnat d'Enduro.
41:58 Merci à vous.
42:00 Dans quelques instants, on va prendre la direction du club de...
42:05 Il est prêt, Damien ?
42:06 Il est chaud, Denys.
42:07 Juste avant ce week-end, il y avait un truc qui m'a ruiné.
42:10 C'est le...
42:12 On est champion du monde de la raclette, les amis.
42:14 Ah ouais !
42:15 Et je peux vous dire que Sports7 est très, très, très regardé,
42:19 même si je peux être discret.
42:21 C'est exactement.
42:22 J'embrasse Virginie qui est dans sa cuisine,
42:24 parce qu'elle m'a dit qu'il n'y a que dans ma cuisine que je choppe Sports7.
42:26 C'est vrai ?
42:27 Elle doit être dans sa cuisine.
42:28 Virginie, on vous embrasse.
42:29 Et après ces petites virgules,
42:30 on prend tout de suite la direction de Saint-Etienne avec Damien.
42:33 Damien, comment ça se passe ?
42:40 T'es chaud ? T'as mis de la vaseline, là ?
42:42 Ouh là !
42:43 Je me suis équipé, donc là je suis en 6.
42:45 Je prends les dernières consignes.
42:46 Bon, du coup, je suis en 6.
42:48 Qu'est-ce que je dois faire ?
42:49 Tu coulisses un peu à droite, à gauche.
42:50 OK, d'accord.
42:51 Et quand l'attaque vient de là, elle vient ici.
42:53 Mais il faut que je réceptionne, quand même, non ?
42:54 Ouais, c'est ça.
42:55 OK, bon, je vais réceptionner.
42:56 Allez, on y va !
42:57 Je ne sais pas si...
42:58 Allez, vas-y !
42:59 On va le voir vite.
43:01 On va le voir.
43:02 En fait, s'il l'évite...
43:03 Oh, c'est beau, ça !
43:04 Sur la première, regardez-moi ça !
43:06 Allez, allez, allez !
43:07 Ça joue, ça joue !
43:08 Oh là là là là !
43:09 Direct au service pour Damien !
43:12 On va faire un petit service.
43:15 Allez !
43:16 Oui, oui !
43:17 On dirige le terrain, là.
43:19 Allez, allez, allez !
43:21 Oh là là là là !
43:22 En plus, il est coach !
43:23 Face à l'attaque, Damien, c'est chaud !
43:25 Allez, on change !
43:26 Allez !
43:27 Il se fait gronder un peu, Damien.
43:28 Et maintenant...
43:29 En tout cas, il bouge, c'est ça qu'il bouge.
43:31 C'est ça qu'il bouge sur le terrain, regarde !
43:33 Allez, allez !
43:34 Oui !
43:35 Ça joue, ça !
43:36 C'est dommage !
43:37 Allez, allez, allez !
43:38 OK, ça, c'est pas mal !
43:40 Les gars, je ne sais pas ce que tu en penses,
43:42 mais les jeunes, ils peuvent peut-être frapper !
43:44 Allez, on y va !
43:45 Ça frappe !
43:46 Ça frappe !
43:47 Jouez sur Turc !
43:48 Oh là là là !
43:49 Ça appuie, ça appuie, ça appuie fort !
43:51 Alors Damien !
43:52 Alors Damien !
43:53 Bon, allez !
43:54 On se concentre, les gars !
43:55 On reprend, on reprend !
43:56 Allez, on y va !
43:57 Allez, on vous laisse ça...
43:58 Encore deux petites secondes, Damien !
44:00 On finit l'action !
44:01 Oh là là là là là là !
44:02 Oh là là là là là !
44:03 C'est pas si facile !
44:04 Ça va, ça va, Damien !
44:05 On va finir sur ça, Damien !
44:06 Allez !
44:07 Avec cette confiance !
44:08 Avec cette confiance !
44:09 Allez, avec cette confiance, c'est ça !
44:10 Allez, Damien !
44:11 Oui !
44:12 Allez, smash, smash !
44:13 Allez !
44:14 OK !
44:15 Bon, allez, on applaudit Damien !
44:16 Merci, Damien !
44:17 C'est dur, c'est dur, c'est dur !
44:18 On vous laisse !
44:19 Bon !
44:20 Ouais !
44:21 Il est jamais content !
44:22 Mais oh, putain de...
44:23 Il donne trop, Damien !
44:24 Avant de clôturer, Didier Perez,
44:26 on va voir cette affiche à ne pas rater,
44:28 c'est quelle date ?
44:29 Le...
44:30 Le 29, donc la première partie !
44:32 C'est gratuit, il faut le dire à l'entrée !
44:33 Oui, tout à fait !
44:34 Donc c'est ouvert à tous !
44:35 Euh...
44:36 Le...
44:37 Oui ?
44:38 On vous attend !
44:39 Ah !
44:40 Nombreux !
44:41 On vous attend nombreux !
44:42 Il y a une buvette, ça c'est important !
44:43 Donc ça se déroule sur deux...
44:44 Toujours !
44:45 Ah, la buvette, la buvette !
44:46 C'est toujours le point...
44:47 Le point de boulisse !
44:48 Névra-gile !
44:49 Ah non, dans tous les sports !
44:50 Si vous saviez le nom de site...
44:51 Ah non, non, que tous les sports !
44:52 La buvette, c'est important dans tous les sports !
44:53 Ah non, mais...
44:55 Et pour tout ça, il faut bien la buvette pour financer votre événement, c'est les entrées gratuites !
44:58 C'est pas les entrées gratuites qui financent !
45:00 Bah oui !
45:01 Exactement !
45:02 Mais il est clair que c'est surtout l'enthousiasme de chacun,
45:05 et puis le fait du respect de tous,
45:07 qui fait qu'une compétition peut aboutir et être bien !
45:11 Ça a été DJ Péret, ça passe en 45 minutes !
45:13 Oui !
45:14 Le temps s'arrête, ça va ?
45:15 Vous êtes bien ?
45:16 Oui !
45:17 Ça passe vite quand même !
45:18 Ça passe vite !
45:19 Vous reviendrez ?
45:20 Oui !
45:21 Vous avez moins peur ?
45:22 Oui !
45:23 Bien, merci d'avoir suivi cette émission !
45:25 Cette émission, on peut la voir, déjà dans sa cuisine, ça c'est sûr,
45:28 mais on est présents sur toutes les boxes,
45:30 on peut dire qu'on est une télé nationale !
45:32 Exactement !
45:33 Et vous allez nous retrouver la semaine prochaine, ici même, à cette même place !
45:37 On vous embrasse !
45:38 Ciao, bye bye !
45:39 [Applaudissements]
45:44 [Musique]

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