SP7 : "L’ESAT de l’AIMCP Loire aux Jeux Paralympiques 2024"

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INVITÉ - L'ESAT de l'AIMCP Loire aux Jeux Paralympiques 2024
Un groupe de l'ESAT de l'AIMCP Loire sait rendu à Paris fin août pour assister aux Jeux Paralympiques 2024. Pendant deux jours, ils ont soutenu les athlètes et découvert cet événement. Plusieurs actions ont été menées pour financer ce projet.

DÉMO - Le Kendo, 60 Ans de Tradition et de Champions dans la Loire
Le Kendo, art martial japonais des samouraïs, est présent dans la Loire depuis 60 ans, où il a forgé de nombreux champions. Inspiré des véritables combats au sabre, il a acquis une solide renommée sur le territoire.

FOOTBALL - L'Équipe de Foot Fauteuil de l'ASSE en Pleine Préparation pour la D1
À L'Étrat, l'équipe de foot fauteuil de l'ASSE s'entraîne en vue de sa troisième saison en D1. Une séance d'entraînement permet de découvrir ce sport inclusif et l'engagement des joueurs.

Qui si frotte si pick-Lana Grizon-Boutte, Championne de Grâce et de Discipline
Lana Grizon-Boutte excelle en Gymnastique Rythmique Sportive (GRS), une discipline alliant danse, gymnastique et art du cirque. Ce sport, pratiqué en individuel ou en groupe, se distingue par l'utilisation d'engins comme le ruban, le cerceau, la balle, les massues et la corde.

PARLONS CLUB - Le Tennis Club de Michon, Leader du Tennis dans la Loire
Fondé en 1987 par des entreprises, principalement des banques, le Tennis Club de Michon est devenu le plus grand club de tennis de la Loire, avec près de 700 licenciés. En 2011, le club s'est étendu grâce à une Délégation de Service Public (DSP), incluant les sites de Montreynaud et Méon.

ÉQUITATION - L'Événement Incontournable de l'Attelage à Lyon
À la fin octobre, Lyon accueillera une étape de la coupe du monde FEI d'attelage. Vincent Faure, Vice-président de l'Association Rhône-Alpes Attelage, nous parle de cet événement et des missions de son association pour promouvoir cette discipline traditionnelle. Il partage également son parcours personnel, issu d'une longue tradition familiale dans l'attelage.

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Transcription
00:00C'est bon, la répétition, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est bon, c'est
00:30l'actuité sportive de votre département, à 42 minutes, En plus semaine.
00:35Allons voir c'est vraiment appetiant de revenir à la maison.
00:49c'est vrai ça fait vraiment plaisir de revenir moi aussi is sujets
00:54On va parler du foot-fauteuil aujourd'hui.
00:56On a une équipe garçon en D1, une équipe féminine en D1, et on a aussi une équipe de foot-fauteuil en D1.
01:02Exactement. En face de vous, celle qui est rayonnante, celle qui fait rêver toute la Loire.
01:06Ils sont jaloux de la voir. Ils sont très chelous qu'on l'ait sur le plateau.
01:10Ça me touche.
01:11Maria Charroix.
01:12Un événement incontournable, ce profil fin octobre du côté de Lyon, malheureusement équité Lyon.
01:19Une étape de la Coupe du monde d'attelage.
01:21Et à ce titre, nous avons Vincent Faure, vice-président de l'ARRA, qui va venir nous en parler.
01:25De très belles images, vous allez voir.
01:27Et celui qui pourrait vous faire de l'ombre, qui vous éblouit la grâce.
01:31C'est les cheveux, ça.
01:35Yacine Daoule.
01:36On va parler de toi avec nous dans Kissy Foot Equipe.
01:38Exactement. Alors on va aller voir notre jeune champion, Lana Grisonbout, championne de GR.
01:42Gymnastique, rythmique.
01:44Oui, vous le dites bien.
01:45C'est dur, mais c'est aussi dur de le dire que de le faire.
01:47Oui, heureusement que vous ne vous doutez pas.
01:50On va parler aussi enduro, vous verrez avec notre spécialiste Mathieu Boldoir.
01:54Mais pour l'heure, je vous demanderai de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre invité Rémi Bonard.
01:59Bonsoir.
02:00Ça va Rémi ?
02:01Ça va, ça va.
02:02Alors Rémi, il a une particularité, c'est que lui a été aux Jeux Olympiques.
02:07Ah la chance.
02:08Mais comment ? Et où Rémi ?
02:10À Paris, on est parti du coup avec un groupe de 15 personnes en situation de handicap.
02:14Ils sont derrière vous.
02:15Ils sont derrière moi.
02:16On va les nommer, il y a ?
02:17Donc il y a Périne.
02:18Il y a qui d'autre ?
02:19Parlez dans le micro.
02:20Dans le micro, il y a qui ?
02:21Chantal.
02:22Chantal.
02:23Simon.
02:24Cyprien.
02:25Cyprien.
02:26Cyprien.
02:27Frédéric.
02:28Frédéric.
02:29Juliette.
02:30Voilà.
02:31Bastien.
02:32Salut Bast.
02:33Et puis les éducateurs, donc Juliette.
02:34Voilà.
02:35Ils y étaient aussi, hein ?
02:36Oui.
02:37On ne les applaudit pas parce qu'ils n'ont qu'un méritier.
02:40Et il y en a deux là-bas.
02:41Et vous Rémi ?
02:42Et moi.
02:43Alors c'était vraiment des JO incroyables ou pas ?
02:45Oui.
02:46C'est le terme incroyable parce qu'on a vécu vraiment…
02:48On est partis quatre jours du coup fin août.
02:50Et on a vécu deux jours intenses.
02:52Intenses, hein.
02:53Il faut le dire.
02:54Vraiment intenses aussi en termes d'ambiance, en termes de spectacles.
02:56Donc voilà.
02:57Le premier jour, on est arrivés, on est allés au Stade de France pour voir l'athlétisme.
03:00Ah, magnifique.
03:01Pour voir des images.
03:02Ouais, c'était incroyable.
03:03On ne pensait pas avoir autant d'ambiance en fait.
03:05Parce que tout le monde se le disait, les paralympiques, l'ambiance, etc.
03:08Et en fait, on est arrivés déjà avec une énorme ambiance.
03:11Voilà.
03:12Donc une photo devant le Stade de France.
03:14Et donc du coup, on a eu la chance de…
03:16À Roland-Garros aussi ?
03:17À Roland-Garros.
03:18Le deuxième jour du coup.
03:19Ah ouais ?
03:20Il y en a qui est fan.
03:21À Roland-Garros.
03:22Et la mascotte aussi, elle bougeait la mascotte ?
03:23La mascotte, on l'a vue.
03:24On a pris des photos avec la mascotte d'ailleurs.
03:26Alors on va faire un petit plan.
03:27Regardez cette petite mascotte pour l'occasion, pour les paras.
03:30Vous avez vu la petite particularité ?
03:32Ouais, c'est chouette.
03:33C'est pas mal, hein ?
03:34C'est hyper épuisisse.
03:35C'est vraiment joli, ouais.
03:36Et vous l'avez, vous l'avez acheté ?
03:37On l'a, on l'a en plusieurs exemplaires.
03:38Tout le monde en a…
03:39Ça fait un petit souvenir.
03:40En porte-clés.
03:41Piscine ?
03:42Piscine, forcément.
03:43La natation, ouais.
03:44Avec l'appareil…
03:45C'était énorme.
03:46Ouais, ouais.
03:47C'était plein.
03:48Là, on n'a pas l'impression sur les photos.
03:49Dis-moi.
03:50Parce que ça parle.
03:51Mais vas-y, tu peux.
03:52Le basket ?
03:53Le basket.
03:54Il y a eu le basket.
03:55Le basket aussi, ouais.
03:56Exactement.
03:57Donc ça, on a clôturé notre premier jour avec le basket le soir.
03:58Et pareil, énorme ambiance.
03:59Donc on n'avait pas l'équipe de France, malheureusement.
04:00Mais on a pu quand même assister à un énorme match.
04:02Et l'ambiance générale là-bas ?
04:03Pareil.
04:04Magique.
04:05C'était festif tout le temps ?
04:06Tout le temps.
04:07À l'intérieur comme à l'extérieur ?
04:08Tout le temps.
04:09Que ce soit l'équipe de France ou pas, on a eu une ambiance phénoménale.
04:10Enfin, il y a eu le chauffeur de salle, pareil, qui nous a ambiancé du début jusqu'à
04:12la fin.
04:13Comme dans Sports7, il y a un chauffeur de salle.
04:14Exactement.
04:15La semaine dernière, il y avait Loïc Verniaud qui était présent, vous n'avez pas pu
04:18le voir, alors ?
04:19Non.
04:20Non, non.
04:21Par contre, on en a parlé, du coup, avec les médailles, donc non, on n'a pas pu
04:25le voir.
04:26Mais bon, on a quand même rencontré aussi un athlète de l'autre côté du Stade de
04:29France, là où on était.
04:30Du coup, on a pu quand même prendre quelques photos avec lui, donc c'était assez cool.
04:35On les rencontrait aussi dans les allées des établissements, en fait, où on était.
04:41Donc, à Roland-Garros, ils passaient vraiment dans les allées, ils étaient vraiment libres.
04:44Ah, ils passaient ?
04:45Vraiment, oui, on les voyait.
04:46Donc, franchement, ils étaient vachement accessibles et c'est super.
04:50Marielle ?
04:51Comment ça vous est venu, l'idée ?
04:53D'aller à Paris ?
04:54Non, mais au sein d'un ESAT comme ça, qu'est-ce qui a fait germer l'idée de se dire, tiens,
04:59on y va, quoi ?
05:00Eh bien, donc, c'est venu de la part d'une collègue qui est ici, du coup, qui est ducatrice
05:02sportive, qui s'est dit, ben, je vais monter le projet et, en fait, du coup, on s'est
05:06tout de suite présenté à elle pour monter le projet.
05:08Les bénéficiaires sont aussi venus et de là, en fait, est parti, du coup, le projet.
05:12Ah, plein de projets, vous faites bien de le dire parce que vous êtes actifs, c'est-à-dire
05:15que vous n'avez pas fait que des dons, des demandes, vous avez mis la main à la pâte.
05:19Vente de gâteaux.
05:22Avec, du coup, pas mal de monde qui est venu ce jour-là, on a eu des structures qui nous
05:27ont donné beaucoup, on a fait une cagnotte en ligne qui nous a permis aussi de financer
05:30aussi beaucoup le projet.
05:31Donc, voilà, tout ça, c'est venu aussi des efforts des bénéficiaires, forcément,
05:36parce que, du coup, ils étaient avec nous et des éducateurs aussi qui étaient présents.
05:39Donc, oui, c'est quand même une énorme enveloppe parce qu'on parlait des aides aussi de la
05:43région, du département.
05:44Déjà, c'est Paris, déjà, c'est cher pour le logement ?
05:46Oui.
05:47Alors, ça, du coup, le logement, on a réservé un an à l'avance, quand même.
05:50Ah, malin, le lynx.
05:51Parce que, du coup, les hôtels sont déjà réservés pour les athlètes.
05:54Donc, du coup, forcément, il faut prévoir aussi pour nous les logements à un minima
05:59adapté.
06:00Vu sur la Tour Eiffel, j'espère qu'il vous a pris, non ?
06:02On aurait bien aimé.
06:03Ah non, je me dis non.
06:04On n'a pas vu la Tour Eiffel.
06:06On aurait bien aimé, après, c'est sûr, mais déjà, ça a un coût, on est partis aussi
06:11avec deux véhicules.
06:12Pourquoi les paras et pas les valides ? Plus abordables, plus faciles pour avoir des places ?
06:17Non, l'envie des bénéficiaires qu'on a écoutées et puis qui correspond aussi au
06:20public qu'on accueille.
06:21C'est leur demande.
06:22Oui, aussi.
06:23Et puis, on avait envie de découvrir aussi ce sport.
06:26Moi, j'ai envie d'en découvrir aussi un peu plus.
06:28Je vais voir Frédéric.
06:29Il a été tiré au sort.
06:30On est d'accord ?
06:31Exactement, tout à fait.
06:32Frédéric, salut.
06:33C'est qui, Frédéric ?
06:34Je t'ai appelé Simon, je suis bête.
06:35C'est Cridando, plus Cyprien, en gros.
06:37Non, mais moi, je suis aveugle.
06:39Je suis aveugle.
06:40Alors, on a des images.
06:42On a du basket.
06:43On a du...
06:44Non, non, on a du...
06:45Seb, mets-moi les images.
06:46Piscine.
06:47Piscine et Roland-Garros.
06:48T'as préféré quoi, toi ?
06:49Désolé pour toi, mais moi, c'était le basket.
06:51On vient du basket.
06:52Moi, c'est vrai que le basket, un fauteuil électrique, tu ne le vois pas, mais un fauteuil
06:57manuel, c'était vachement impressionnant parce qu'ils se donnent des coups de fauteuil.
07:01Tu te dis, mais les pauvres fauteuils.
07:02Ils ont pris les fauteuils, c'est fou.
07:05Ils ont pris les personnes qui sont dessus, quoi.
07:08Il y en a certains, ils ont fait des tonneaux et tout.
07:11C'était impressionnant.
07:12Non, des tonneaux ?
07:13Il y en a certains, ils se sont retrouvés...
07:14Par terre ?
07:15Par terre.
07:17Donc, toi, c'est le basket.
07:18On est d'accord ou pas ?
07:19Oui, oui.
07:20Parce que le...
07:21Attendez, j'arrive avec le micro, c'est drôle.
07:24Oui, oui, sinon ?
07:25Le fauteuil basket, moi, quand on est fait du basket, il est un peu penché.
07:30Les roues sont un peu écartées, ouais.
07:32Et tu tombes à l'arrière.
07:35Et toi, t'as pas envie de tomber à l'arrière.
07:37Non, mais moi, j'ai pas envie.
07:40Moi, c'est la deuxième fois que je vais à Roland-Garros.
07:43C'est impressionnant.
07:44Vous avez regardé un peu Roland-Garros en fauteuil ?
07:46Oui, j'ai regardé les parois.
07:47C'est solide, hein ?
07:48Donc, basket ou Roland-Garros ?
07:49Mais j'aime bien les deux, alors...
07:52Je te demande pas de décider.
07:54Merci à toi.
07:55Donc, oui, c'était beau.
07:57Oui.
07:58C'était beau, incroyable.
07:59Et puis, voilà, on se rend compte de l'ambiance qu'il y a à la télé aussi, donc...
08:02Et puis, tu sais ce que je disais, moi aussi ?
08:05Attends, mais t'as plus de micro.
08:07Donc, oui, oui, je suis parti.
08:10Mais vas-y, tu me disais quoi ?
08:11Quand il y avait une personne handicapée à Paris,
08:14on le voyait quasiment plus parce que t'étais...
08:16Ah oui, il y a raison, ça.
08:18L'handicap, on le voyait plus.
08:19Forcément, non, non, c'est...
08:21En fait, on se met vraiment dans le public avec les autres,
08:24les supporters aussi des autres pays,
08:26donc vraiment, on n'a vraiment pas l'impression qu'on est...
08:28Alors, Rémi, on parle, on parle,
08:30et en plus, vous avez un avantage, ils m'ont pas démarré le chrono,
08:33donc c'est-à-dire qu'on repart...
08:34Ah, super, on est là pour une heure et demie, c'est impeccable.
08:36Alors, Rémi, vous êtes parti où, Rémi ?
08:39Alors, parce qu'en direct, il crie.
08:41Vous savez qu'il peut crier en direct ?
08:42Je suis prêt, je suis prêt.
08:43Vous le connaissez, le gars qui peut crier ?
08:44Non, vous regardez pas assez ?
08:45Damien Sidoux.
08:47Damien Sidoux du côté du Kendo.
08:49Kendo, si je dis Kendo, c'est où ?
08:51Portail rouge, ça suit.
08:52Portail rouge, exactement.
08:54Alors, Damien, déjà, bon anniversaire, Damien.
08:57On le dit.
08:583, 2, 1...
08:59Bon anniversaire, Damien.
09:01Bon anniversaire.
09:03Merci, merci à tous, merci Julien.
09:05Écoutez, on se retrouve aujourd'hui pour la démo du mois
09:08et on va parler Kendo, vous le voyez derrière moi.
09:11Cet art martial japonais avec Wilfried.
09:15Merci Wilfried de nous accueillir ici au dojo du Portail Rouge.
09:19Merci à vous d'être venu pour essayer le Kendo.
09:23Et donc, du coup, finalement, on parle Kendo,
09:25mais à partir de quel âge on peut démarrer ?
09:28Le Kendo, moi, par exemple, j'ai commencé à l'âge de 5 ans
09:30parce que j'étais assez turbulent et j'avais besoin de me dépenser.
09:32Donc, on peut commencer petit et pratiquer jusqu'à l'âge de 75 ans.
09:36C'est aussi un art martial, donc on peut progresser toute sa vie en Kendo.
09:39Et comment se porte le club ?
09:41Le club se porte plutôt bien en termes de résultats,
09:43malgré le décès de Monsieur Blachon qui nous a quittés cet été,
09:46notre professeur, le fondateur du club.
09:49On le voit là, effectivement, devant le dojo.
09:52Mais voilà, en juillet dernier, juste avant le décès de Monsieur Blachon,
09:55on a ramené une médaille des championnats du monde,
09:57une première pour la France.
09:58Depuis 50 ans, on l'attendait.
09:59On a été deux du club.
10:00Hervé, en tant que coach, et moi, en tant qu'athlète,
10:03a ramené cette médaille.
10:04Et donc, on voit le palmarès et on voit les athlètes.
10:07Finalement, est-ce que vous êtes une carte formation ici à Saint-Étienne ?
10:11Je dirais oui, parce qu'il y a toujours eu un Stéphano en Équipe de France.
10:14Donc, la devise de Monsieur Blachon, c'était de nous balader depuis tout petit
10:18dans diverses compétitions en France et en Europe,
10:20pour toujours progresser et atteindre un meilleur niveau en Kendo
10:23et de transmettre ça à la génération d'après pour tout le temps progresser.
10:26Bon, écoute, merci en tout cas pour ces informations.
10:29Justement, moi, je vais passer avec l'armure.
10:32Qu'est-ce que tu me proposes ?
10:34Le Kendo, c'est l'escrime japonaise.
10:36Nous, il ne suffit pas juste de toucher pour marquer.
10:39On va essayer ça sur nous en armure.
10:44Vous avez vu, ça va être assez sérieux.
10:47Je vais vite aller m'équiper, mettre ma petite armure.
10:50Et puis, je vous retrouve en fin d'émission. A tout de suite.
10:54Il est tout excité.
10:55Il ne sait pas ce qui lui attend.
10:58C'est les samouraïs en Kendo là-bas.
11:01Dans quelques instants, on en a parlé.
11:03Les fauteuils, il tombe dans le basket, il y a des coups, etc.
11:06Ça tombe bien.
11:07Parce qu'on va parler de foot-fauteuil avec vous.
11:09Rien pour ça.
11:16Vous l'avez dit en préambule.
11:19Une équipe en Ligue 1.
11:20Une équipe féminine en Ligue 1 aussi.
11:22Mais aussi une équipe de foot-fauteuil en Ligue 1.
11:24Leur 3ème saison.
11:25On oublie un peu, mais oui, ils sont...
11:27C'est leur 3ème saison. Ils attaquent la 3ème saison.
11:29Donc là, ils sont en pleine préparation pour le moment.
11:31J'ai pu assister une sans entraînement.
11:32On va voir des images parce que c'est impressionnant.
11:34Là, ça tape, les gars, le fauteuil.
11:36Alors, ça tape, pas autant que ça.
11:38Il n'y a pas de contact.
11:39Pas autant que le basket et pas autant que le rugby-fauteuil.
11:41Non, non, il n'y a pas trop de contact, en fait.
11:43Qu'est-ce qui vous a surpris avant de regarder le reportage ?
11:45Ce qui m'a surpris, c'est leur séance d'entraînement, en fait.
11:47C'est des séances d'entraînement pour des valides.
11:49C'est exactement les mêmes séances.
11:50Ils se préparent de la même façon.
11:52Il y a des phases de jeu.
11:53Ils travaillent les coups de pied arrêtés.
11:55Ils travaillent les pénaltys.
11:56Ils travaillent la vitesse, le stade, ils travaillent tout, en fait.
11:58C'est vraiment une équipe de foot.
11:59C'est le gymnaste qui est juste à côté, c'est ça ?
12:01Juste en face du centre de formation, oui.
12:02Regarde alors.
12:03Allez, c'est parti.
12:08On est une équipe jeune.
12:09On a démarré l'aventure en mois de novembre 2016.
12:12On a progressé à une vitesse terrible.
12:14On a appris.
12:15On a beaucoup appris et bien aussi appris.
12:18Parce qu'à l'heure actuelle, effectivement, il y a deux ans,
12:21on a eu deux joueurs qui ont été sélectionnés en équipe régionale.
12:24Et là, cette année, on a un joueur qui a été appelé en équipe de France.
12:29Depuis ma majorité, donc depuis mes 18 ans, je suis dans le foot.
12:32J'ai été président de club, entraîneur, trésorier.
12:35J'ai eu un peu toutes les casquettes et j'en suis venu au foot fauteuil en 2017.
12:41Donc, je connaissais déjà la discipline, mais mon handicap évoluant
12:45et mon envie de jouer aussi, j'ai essayé le foot fauteuil
12:49dans le club à Saint-Just-Saint-Rambert et j'ai adhéré tout de suite.
12:52Cette année, on est monté pour la deuxième année consécutive.
12:55On est monté avec le titre de champion de France,
12:59avec aussi le titre des trois meilleurs buteurs de la division.
13:03Donc, ça prouve bien la qualité de nos attaquants et notamment de notre équipe.
13:07L'ASC, c'est aussi attractif parce qu'on a réussi à recruter aussi un international espagnol.
13:12C'est tellement lourd en thème de logistique qu'on se déplace tous les vendredis.
13:18On part le vendredi matin et lorsqu'on arrive sur une journée de championnat,
13:21effectivement, on joue quatre matchs.
13:22On joue trois matchs le samedi et un match le dimanche.
13:24Parce que forcément, on ne peut pas se déplacer dans le haut de la France
13:27ou dans le bas de la France pour aller faire un match de 20 minutes et revenir.
13:30C'est tellement contraignant physiquement et logistiquement que ça ne serait pas correct.
13:40Une fierté parce qu'en plus, on gagne là-bas,
13:42dans une salle qui était contre nous à la dernière minute.
13:45Donc, ça a mis, on va dire, un bon coup de refroidissement dans la salle
13:50et nous, nos supporters, ont explosé.
13:53Maintenant, c'est l'objectif cette année d'essayer de gagner les deux.
13:56Parce qu'en tant que vrai Stéphanoc, comme on dit,
13:59un derby, ça ne se joue pas, ça se gagne.
14:01Les supporters nous l'ont bien fait comprendre
14:03depuis qu'on a le début de la section.
14:05Nous aussi, on a envie de leur donner les derbys cette année.
14:08On espère continuer en ce sens et aussi aller chercher toujours le Graal,
14:16une Coupe de France ou même un Championnat de France.
14:19Parce qu'en fait, il faut être dans les deux premiers,
14:21un Championnat de France de première division,
14:22pour aller jouer la Champions League.
14:24Et on aimerait bien y aller.
14:26Donc, on continue à travailler.
14:28On va y arriver.
14:34Je voulais te demander, parce que du coup, c'est de l'AD1,
14:36donc c'est un niveau national.
14:37Au niveau de la logistique, comment ça se passe ?
14:39Parce que je me doute que pour déplacer les fauteuils,
14:41ça doit quand même être costaud.
14:43C'est une logistique qui est énorme.
14:45Parce qu'en fait, leur championnat se déroule sur un week-end.
14:47Ils vont faire quatre matchs.
14:48Ils vont faire trois matchs le samedi et un match le dimanche.
14:50Ah, c'était absent un jour ?
14:51T'as tout loupé.
14:52T'as loupé la moitié de la saison.
14:53Et en fait, ils partent le vendredi.
14:55Donc, ils partent à trois minibus.
14:57Deux ou trois minibus, il me semble.
14:58Et après, ils sont sur place.
15:00Ça rentre, ça, dans le minibus ?
15:01Oui, oui.
15:02Tu les empiles comme des Tetris, alors ?
15:03Je pense qu'ils doivent les empiler comme ça.
15:05Et le problème qu'ils ont, c'est que,
15:06je pense que Rémi, vous allez avoir le même problème,
15:08c'est que quand tu pars,
15:09t'es obligé de t'arrêter souvent pour faire des soins, tout ça.
15:12Et au niveau financier, c'est la Ligue qui aide ?
15:15Ça marche comment ?
15:16Il y a un SS Cœur Vert qui est partenaire.
15:18Donc, ils dépendent de l'SS.
15:20On le voit sur les images, ils sont tous équipés.
15:23Vraiment comme les clubs.
15:25Ils avaient essayé, à une époque, je me souviens,
15:26Loïc Perrin, Jesse, je crois qu'ils avaient tous essayé.
15:29Oui, oui, ils le font encore.
15:30Il y a Thomas Oconduy qui a essayé, il n'y a pas si longtemps que ça.
15:33Ah, c'est chouette.
15:34Vous n'avez pas voulu, vous ?
15:35Non.
15:36Mon kiné n'a pas voulu.
15:37Mon kiné n'a pas voulu tout de suite.
15:38Pourquoi ? Parce que...
15:39Oui, oui, c'est...
15:40Les impacts ?
15:41Il n'y a pas trop d'impact.
15:44Ça tourne.
15:45Parce que c'est comme...
15:46Vous méritez un coulisse, en fait.
15:47C'est ce que m'a dit Pascal, le coach d'équipe.
15:51Il m'a dit, moi, la première fois que j'ai essayé,
15:53on le voit sur les images...
15:54Ça tourne.
15:55Et oui.
15:56Parce que t'es assez coincé sur la domestique.
15:57Il faut lâcher.
15:58Non, non, mais c'est vraiment, honnêtement,
16:00c'est très impressionnant.
16:01C'est un vrai sport.
16:02Beaucoup de soucis avec les fauteuils, aussi.
16:03Oui, oui.
16:04Avec les batteries.
16:05Ah, oui.
16:06Quand je suis arrivé, justement,
16:07il gonflait les pneus de tout le monde.
16:08C'est vraiment...
16:09Il y a une préparation avant.
16:10Parce que les fauteuils,
16:11c'est tous les mêmes, du coup.
16:12C'est exactement pareil.
16:13C'est tous les mêmes.
16:14Non, il y en a qui sont gonflés.
16:15Ils mettent des pot-ninjas.
16:16Deux internationaux,
16:17est-ce que ça vient de la renommée de la SS ou pas ?
16:19Oui, ça fait la renommée de la SS.
16:20Français et...
16:21Un français, un espagnol.
16:22Si.
16:23Donc, la Saint-Etienne,
16:24la dernière finit cinquième au classement.
16:26Au pied ?
16:27Au pied.
16:28La Ligue des champions.
16:29Il y a une Ligue des champions, aussi,
16:30foot-fauteuils.
16:31Ah, c'est incroyable, ça.
16:32Ça, c'est fort, oui.
16:33Voilà, c'est les deux premiers
16:35Eux, ils finissent cinquième,
16:36mais ça s'est joué à très peu de points.
16:39Et comme les pros,
16:40comme les valides,
16:41ils ont un derby, aussi.
16:42Ah !
16:43Ben, ça tombe bien,
16:44on va en avoir un, le derby.
16:45Maxime nous en parle.
16:46Donc, Maxime,
16:47qui est le capitaine de l'équipe,
16:48il nous le dit,
16:49un derby, ça se joue pas, ça se gagne.
16:50Mais quand on en parle avec son papa,
16:52qui est l'entraîneur,
16:53lui, il dit,
16:54il n'est pas de cet avis.
16:55Pour gagner un derby,
16:56il faut le jouer.
16:57Si on ne joue pas le derby,
16:58on ne va pas le jouer.
16:59Et pour la durée des matchs,
17:00c'est 90 minutes.
17:01Ah, d'accord.
17:02C'est pas sur une heure et demie ?
17:03Non, non, non, c'est pas sur une heure et demie.
17:04Tant que c'était ça,
17:05on va se pencher sur les batteries, oui.
17:06600 kilomètres de tournée,
17:07on pourrait y aller en fauteuil.
17:08Donc, il y a des arbitres,
17:09il y a des cartons jaunes
17:10et des cartons rouges.
17:11Ah !
17:12Les fautes sont souvent…
17:13Les rouges, c'est définitif, alors ?
17:14Les fautes sont sifflées,
17:15comme m'a expliqué le coach.
17:16C'est pas compliqué, c'est comme le foot.
17:17Non, mais il y en a,
17:18c'est deux minutes de la pénalité, oui.
17:19Quand on tape sur les pneus arrière,
17:20on ne peut pas taper sur les pneus arrière,
17:21ça peut déséquilibrer.
17:22Ah !
17:23Mais c'est vraiment impressionnant.
17:24Merci à vous, Adrien, pour ça.
17:25Rémi, pour finir,
17:26maintenant que le rêve est terminé,
17:27on a d'autres rêves ou pas ?
17:28Pour le moment, non.
17:29Ça viendra ?
17:30Oui, ça viendra, c'est sûr.
17:31La collègue de travail ?
17:32Exactement.
17:33Elle est là ?
17:34Elle a d'autres idées ?
17:35Elle réfléchit.
17:36Voilà.
17:37C'est ça, elle m'a dit.
17:38Dans quelques instants,
17:39vous avez cédé votre place.
17:40Vous aimez bien l'équitation ?
17:41Oui.
17:42Non, il faut dire oui !
17:43Il faut dire oui !
17:44Il faut dire oui !
17:46Alors, on parlait de derby.
17:47Oui.
17:48Bravo, super.
17:49Ah, mais je suis obligée quand même.
17:50C'est l'événement,
17:51donc du coup, de la fin du mois,
17:52c'est le salon Equita,
17:53effectivement, à Lyon.
17:54Pourquoi j'en parle ?
17:55Parce que c'est quand même
17:56le plus grand salon d'Europe
17:57dédié aux chevals.
17:58Et donc, il faut le savoir,
17:59c'est juste à côté de chez nous.
18:00Adrien vient juste d'arriver,
18:01il est un peu frais.
18:02C'est le salon Equita,
18:03effectivement, à Lyon.
18:04Pourquoi j'en parle ?
18:05Parce que c'est quand même
18:06le plus grand salon d'Europe
18:07dédié aux chevals.
18:08Et donc, il faut le savoir,
18:09c'est juste à côté de chez nous.
18:10Adrien vient juste d'arriver,
18:11il est un peu frais.
18:12Et on reçoit ce soir,
18:13donc, sur le plateau,
18:14Vincent Faure,
18:15qui est vice-président
18:16de l'association
18:17Ara Ronald Atlage.
18:18Pourquoi ?
18:19Et pas que.
18:20Et pas que.
18:21Sur cet événement,
18:22donc, Equita Lyon,
18:23il y a une étape
18:24de la Coupe du Monde
18:25FEI d'Atlage.
18:26Voilà, c'est les plus grands
18:27meneurs mondiaux
18:28qui vont s'affronter.
18:29Et donc, avant de nous parler
18:30déjà de cet événement,
18:31Vincent,
18:32est-ce que vous pouvez
18:33vous présenter un petit peu
18:34votre parcours sportif ?
18:35Parce que je crois
18:36qu'il y a
18:37une histoire de famille
18:38derrière la passion
18:39pour l'atlage.
18:40Oui, c'est ça.
18:41Voilà, moi,
18:42Vincent Faure,
18:43je suis artisan.
18:44Donc, nous,
18:45on ne vit pas
18:46de notre sport.
18:47Je suis artisan,
18:48je fais de l'atlage
18:49depuis de nombreuses années.
18:50L'atlage,
18:51à deux ou à quatre ?
18:52À un.
18:53À un ?
18:54Mais c'est sur son T-shirt.
18:55Il y a un indice,
18:56c'est sur son T-shirt.
18:57Oui, c'est vrai.
18:58Donc, moi,
18:59j'ai commencé en 2004
19:00en tant que groom.
19:01J'étais le groom
19:02de mon père
19:03qui était à deux.
19:04Et puis ensuite,
19:05en 2005,
19:06j'ai commencé la compétition.
19:07En 2008,
19:08en amateur.
19:09Et depuis,
19:10on a participé
19:11de nombreuses fois
19:12au championnat de France.
19:13Plusieurs fois
19:14champion régional.
19:15Trois fois médaillé de bronze
19:16au championnat de France.
19:17Et puis cet été,
19:18on a eu la chance
19:19de participer
19:20au championnat d'Europe
19:21d'utilisation du haffinger
19:22en Autriche.
19:23Normal, tous les jours.
19:24Donc voilà,
19:25le haffinger,
19:26c'est la race de chevaux
19:27que nous, on utilise.
19:28Et les résultats,
19:29ça donnait quoi ?
19:30Huitième.
19:31Et on peut remercier
19:32Vincent d'être là
19:33parce que vous partez
19:34au championnat de France
19:35justement la milieu de semaine.
19:36Donc il nous fait plaisir
19:37d'être avec nous.
19:38Ça chamboule un peu tout.
19:39C'est sympa.
19:40Voilà.
19:41Quelles sont les missions ?
19:42Vos missions ?
19:43On va voir des images
19:44justement.
19:45Vous êtes à un,
19:46mais est-ce qu'on verra
19:47à là-bas,
19:48je ne sais plus comment
19:49ça s'appelle.
19:50Là, c'est à un,
19:51mais il y a quatre.
19:52À deux ?
19:53À un, à deux ou à quatre.
19:54À trois, non ?
19:55Non.
19:56C'est compliqué.
19:57Ça envoie du steak, là.
19:58Oui.
19:59Poney, chevaux
20:00et chevaux de train.
20:01Et comment on arrive ?
20:02En fait, il faut coordonner
20:04Ce simple, Julien,
20:05je voudrais vous y voir quand même.
20:06En fait, l'attelage,
20:07c'est un sport individuel,
20:09mais d'équipe.
20:10C'est-à-dire que tout ce coup
20:11ne fait rien.
20:12Il y a le cheval,
20:13le meneur
20:14et le groom
20:15qui est derrière,
20:16qui est très important.
20:17Parce que moi,
20:18je pensais que vous parliez
20:19d'ascenseur.
20:20Non.
20:21En fait, suivant les preuves,
20:22là, c'est une maniabilité
20:23combinée,
20:24mais vous allez voir
20:25qu'il y a un obstacle de marathon
20:26et dans l'obstacle,
20:27le groom, il se penche
20:28pour la stabilité de la voiture.
20:29Comme le sidecar en moto.
20:30Oui, comme le sidecar.
20:32C'est-à-dire que si le groom
20:33ne se penche pas...
20:34L'émission de l'association,
20:35qu'est-ce que vous défendez
20:36au sein de l'association ?
20:37Comment vous accompagnez
20:38les structures,
20:39les particuliers,
20:40les pros ?
20:41Plus de foie !
20:42Non, non.
20:43Il y a assez d'eau, là.
20:44C'est bon.
20:45L'association a pour but
20:46de fédérer déjà
20:47les gens
20:48qui pratiquent ce sport
20:49dans la région,
20:50de se retrouver
20:51pour des moments conviviaux,
20:52de promouvoir l'attelage,
20:53aussi bien que ce soit
20:54de l'attelage de compétition
20:55que de loisirs.
20:56Ça se perd un peu
20:57pour les gens
20:58qui pratiquent
20:59ce sport.
21:00Ça se perd un peu ou pas ?
21:01Non, non.
21:02Non ?
21:03Non, non.
21:04C'est dynamique.
21:05Avant, on n'en voit pas beaucoup
21:06quand on va
21:07dans les centres-écaisses.
21:08C'est vrai que...
21:09C'est vraiment un discipline
21:10qui est complètement...
21:11Elle le disait à part ?
21:12Oui, un petit peu.
21:13Et puis déjà,
21:14c'est peu adapté
21:15aux centres-écaisses
21:16parce que vous ne pouvez pas
21:17aligner 15 enfants
21:18avec un attelage.
21:19C'est un peu plus exclusif.
21:20Il faut un encadrant
21:21pour un,
21:22voire deux attelages.
21:23Et justement,
21:24le fait de promouvoir
21:25la discipline,
21:26quoi de mieux
21:27que éliminer
21:2815 enfants
21:29avec une discipline,
21:30quoi de mieux
21:31qu'Equita
21:32qui accueille en plus
21:33une épreuve
21:34de Coupe du Monde ?
21:35On va voir des photos,
21:36justement.
21:37Quel est votre engagement ?
21:38Comment vous les aidez ?
21:39Qu'est-ce que vous allez proposer
21:40sur le salon ?
21:41Alors nous,
21:42sur le salon,
21:43on a un stand
21:44pour recevoir
21:45les gens
21:46qui seraient intéressés
21:47pour faire de l'attelage,
21:48pour leur expliquer,
21:49pour les informer
21:50sur les diverses écoles
21:51d'attelage
21:52qui existent en région,
21:53sur quelles démarches suivre,
21:54comment on se...
21:55Pour mettre en place.
21:56Voilà, exactement.
21:57Ensuite,
21:58on a des démonstrations
21:59d'attelage sportif
22:00avec 9 meneurs
22:01qui viennent participer.
22:02On fait un petit challenge,
22:03une petite compétition
22:04par équipe.
22:05Donc il y aura
22:0614 chevaux,
22:079 meneurs
22:08et pour faire tourner
22:09tout ça,
22:10il y a 40 bénévoles
22:11qui sont là
22:12pour monter la piste
22:13de la démo,
22:14pour tenir le stand.
22:15Parce qu'il faut mettre
22:16les objets,
22:17les coups,
22:18les obstacles.
22:19Quand j'ai vu ça
22:20pour la première fois,
22:21honnêtement,
22:22je vous le dis,
22:23mais vous êtes proches
22:24du cinéma.
22:25On n'a jamais fait appel.
22:26Mais c'est impressionnant.
22:27Et puis ça va une allure.
22:28C'est impressionnant.
22:29Oui, oui.
22:30Jamais on vous a sollicité
22:31pour des cascades
22:32ou ce genre de choses.
22:33C'est incroyable.
22:34Non, mais c'est déjà arrivé
22:35pour d'autres.
22:36On avait,
22:37il y a quelques années,
22:38un adhérent de l'association
22:39qui faisait des prestations
22:40pour le cinéma.
22:41Ah oui, mais ça ne m'étonne pas.
22:42C'est vous.
22:43C'est quoi le message aujourd'hui
22:44que vous avez envie
22:45de faire passer
22:46justement pour les structures
22:47qui ont peut-être
22:48un petit peu de mal,
22:49qui se tâtent à se dire
22:50est-ce qu'on y va,
22:51est-ce qu'on y va pas ?
22:52L'attelage,
22:54il y a beaucoup
22:55d'entraide,
22:56de cohésion,
22:57un bon esprit.
22:58Parce que tout seul,
22:59c'est ce que je vous disais
23:00tout à l'heure,
23:01on ne peut rien faire.
23:02Il faut le groom,
23:03il y a le cheval.
23:04Et c'est une façon
23:05de voir son cheval autrement.
23:06C'est-à-dire qu'on n'est pas dessus,
23:07on ne le ressent pas.
23:08Donc il faut apprendre
23:09à l'observer.
23:10C'est vrai qu'il y a
23:11deux cavaliers
23:12là sur le plateau.
23:13Adrien.
23:14Alors cavalier.
23:15Éleveur.
23:16Éleveur.
23:17Caresseur de cheval.
23:18Il murmure.
23:19Il murmure l'oreille des chevaux.
23:21Moi,
23:22on parle du salon du cheval,
23:23c'est vrai qu'avec ma compagne,
23:24on y va souvent,
23:25toutes les années d'ailleurs.
23:26On regardait plus le barayne.
23:28Parce qu'il y a des épreuves
23:29de barayne,
23:30et puis après voilà.
23:31Mais c'est quelque chose
23:32qui est impressionnant.
23:33Et tu n'as jamais été voir l'étape ?
23:34Non.
23:35Mais tu iras voir.
23:36J'irai voir.
23:37C'est hyper impressionnant.
23:38Il ne faut pas hésiter
23:39à aller voir,
23:40même si vous ne connaissez
23:41rien du tout à l'attelage.
23:42C'est magnifique.
23:43C'est très impressionnant.
23:44On voit des photos d'ailleurs
23:45qui défilent derrière.
23:46Il y a les monneurs présents,
23:50hormis deux invités.
23:51Il y aura deux Français.
23:52Donc, venez les encourager.
23:54C'est quoi ?
23:55C'est le chrono qui fait ?
23:56Et forcément,
23:57s'il y a des fautes,
23:58c'est ça ?
23:59Le chrono,
24:00et à chaque balle qui tombe,
24:01on rajoute des ondes.
24:02Le char est super beau.
24:03On appelle ça un char,
24:04du coup, derrière ?
24:05Une voiture de l'époque ?
24:06Un char, oui.
24:07Non, mais tu le crois,
24:08je crois en Rome.
24:09Là, c'est des voitures de police
24:10et des voitures de marathon.
24:11Il met des torches, des fois.
24:12Je trouve que c'est super joli,
24:13en tout cas.
24:14Visuellement,
24:15je trouve ça très très beau.
24:16Et puis dans ce cadre-là,
24:20vous allez dans des santé-caisses.
24:21S'il y a un santé-caisse
24:22qui nous appelle
24:23pour faire des démos,
24:24vous faites ce genre de choses
24:25pour faire de la promotion ?
24:26Après,
24:27tout est envisageable.
24:28On fait des...
24:29On essaie...
24:30Equita,
24:31c'est vraiment un gros...
24:32Une belle vitrine.
24:33Une belle vitrine.
24:34Cette année,
24:35on allait faire des démonstrations
24:36au concours de Bourg-en-Brest,
24:37au CSI de Bourg-en-Brest.
24:38Oui,
24:39mais on va essayer
24:40de demander
24:41aux nouveaux actionnaires
24:42de la SS
24:43de le faire
24:44à Geoffroy Guichard.
24:45Ils vont refaire la pause,
24:46forcément.
24:47C'est incroyable.
24:48C'est incroyable.
24:49Pourquoi pas.
24:50Pourquoi pas.
24:51Vos échéances,
24:52elle a dit,
24:53vous partez...
24:54Au Championnat de France, là.
24:55Mercredi, pour aller
24:56au Championnat de France.
24:57Le cheval s'appelle ?
24:58Belmona.
24:59Belmona.
25:00Et le binôme ?
25:01Angélique, mon épouse.
25:02Celle qui a l'appareil photo,
25:03là-bas.
25:04C'est ça ?
25:05Non.
25:06Non, non.
25:07J'y ai cru.
25:08C'est la committee manager,
25:09elle.
25:10Vous nous tiendrez au courant
25:11des résultats,
25:12Vincent,
25:13qu'on puisse communiquer dessus.
25:14Ça marche.
25:15Dans quelques instants,
25:16vous voyez cet homme,
25:17qui est au jogging.
25:18Moi, moi, moi.
25:19Non, lui, là.
25:20Lui, il est à l'envers.
25:21La grâce lui est tombée dessus,
25:22et d'un coup,
25:23paf !
25:24Une grosse grâce,
25:25vous allez voir.
25:26Allez, on échange,
25:27on y va en cours.
25:28Alors, Yacine,
25:29après juste une élection,
25:30vous êtes attaqué
25:31à notre championne de la loi,
25:32mais pas que.
25:33Notre jeune championne,
25:34du coup,
25:35Lana Grison-Bout,
25:36qui se trouve derrière moi.
25:37Eh oui,
25:38elle est juste derrière moi.
25:39Celle qui prend en photo,
25:40là-bas,
25:41dans sa committee manager.
25:42On peut l'applaudir,
25:43on peut l'applaudir,
25:44parce qu'elle a gagné,
25:45hier,
25:46un concours départemental,
25:47donc je pense qu'on peut l'applaudir.
25:48Alors, moi, Lana,
25:49la dernière fois que je l'ai vue,
25:50elle était pas pure que ça.
25:51Elle était comme ça.
25:52Rappelle-toi.
25:53Ça a grandi.
25:54Ça a grandi.
25:55Nous, on pousse les enfants.
25:56Ça file, hein.
25:57Ça file.
25:58Je pense à la pension alimentaire.
25:59Donc, jeune championne de GR.
26:00Qu'est-ce que ça veut dire, GR ?
26:01Gymnastique rythmique.
26:02Ah, vous avez bien suivi,
26:03franchement.
26:04C'est exactement ça.
26:05Donc, c'est un mélange
26:06de danse et de gymnastique,
26:07et en fait,
26:08la particularité,
26:09c'est qu'on utilise,
26:10non pas des objets
26:11ou des ustensiles,
26:12mais des...
26:13Des agrès.
26:14Non, des engins.
26:15Des engins ?
26:16Des engins, ça s'appelle.
26:17Donc, c'est massue,
26:18cerceau, ballon,
26:19qu'on a du ruban,
26:20de la corde.
26:21Moi, j'adore le ruban.
26:22J'adore le ruban.
26:23J'étais vraiment à l'aise
26:24avec le ruban.
26:25Tout ça, on manie tous ces...
26:26Tout ça,
26:27et voilà,
26:28ce qui est fou,
26:29et c'est pour ça
26:30que j'aime bien cette chronique,
26:31c'est parce qu'on pourrait croire
26:32que faire tourner un ruban,
26:33jeter un cerceau,
26:34ça paraît simple comme ça.
26:40Ça paraît simple,
26:41mais en fait,
26:42c'est l'enchaînement
26:43qui est compliqué.
26:44Et ce qui m'a interpellé
26:45avec Lana,
26:46c'est qu'elle arrive
26:47à se voir, elle, dans l'espace,
26:48mais aussi l'objet
26:49qu'elle va jeter en l'air,
26:50qu'elle doit réceptionner
26:51et l'enchaînement
26:52de différentes figures.
26:53Donc, franchement,
26:54moi, sur ça,
26:55je lui tire mon chapeau.
26:56Direction Saint-Etienne-la-Terrasse ?
26:57Exactement.
26:58Le gymnase de...
26:59Alors, c'était
27:00l'ancien collège de Lilian.
27:01Ça lui a rappelé
27:02beaucoup de souvenirs.
27:03C'est mignon, nostalgie,
27:04on regarde.
27:05Les amis,
27:07Aujourd'hui, mon terrain de jeu,
27:08ça sera un gymnase
27:09car on va à la rencontre
27:10de notre championne de GRS,
27:11Lana Grison-Boutre.
27:12C'est parti.
27:15Salut, Lana,
27:16comment vas-tu ?
27:17Ça va et toi ?
27:18Ça va impeccable.
27:19Je te laisse te présenter
27:20un peu pour noter du spectateur.
27:21Alors, je m'appelle
27:22Lana Grison-Boutre,
27:23j'ai 16 ans
27:24et je fais de la GR
27:25depuis 11 ans.
27:26Alors, 5 ans,
27:27c'est très jeune
27:28pour commencer la GRS.
27:29Qu'est-ce qui t'a poussé,
27:30toi, à commencer ce sport ?
27:31Quand j'avais 5 ans,
27:32avant de commencer la GR,
27:33je voyais ma mère
27:34sur les praticables
27:35et je pensais que
27:36je devais être à sa place.
27:37Donc, forcément,
27:38elle m'a fait essayer
27:39et je n'ai jamais arrêté.
27:40Alors, dis-nous un petit peu
27:41ton palmarès.
27:42Alors, je suis championne régionale
27:43en FFCF, départementale
27:44et deux fois championne de France.
27:45Alors, moi, tu sais,
27:46je n'ai pas l'habitude
27:47de poser les trois questions
27:48du champion.
27:49Est-ce que tu es prête ?
27:50Oui.
27:51Quelle est ta fréquence
27:52d'entraînement, Lana ?
27:53Je m'entraîne 2 à 3 fois
27:54par semaine
27:55et 10 heures par semaine,
27:56à peu près.
27:57Quel est ton plus beau souvenir ?
27:58La première fois
27:59que j'ai été championne de France,
28:00quand j'ai entendu mon nom
28:02Alors, avant chaque compétition,
28:03j'enlève mes petits bijoux,
28:04je les donne à ma mamie
28:05et je lui fais un gros câlin
28:06parce que ça me porte chance
28:07et après, je suis prête
28:08pour attaquer la compétition.
28:09Bon, Lana,
28:10qu'est-ce que tu me proposes
28:11comme entraînement aujourd'hui
28:12parce que là, je vois pas mal
28:13d'instruments,
28:14ça me fait un peu peur.
28:15Alors, j'espère que t'es bien
28:16échauffée parce que
28:17tu vas ramasser.
28:18C'est parti.
28:19Tiens, on se met au boulot ?
28:20Non, c'est bon,
28:21je t'arrête tout de suite,
28:22je sais exactement
28:23quoi faire avec ça.
28:24C'est bon,
28:25t'as arrêté de jouer ?
28:27J'aurais peut-être pas dû.
28:28Alors, j'ai un premier exercice
28:29très sympa à te proposer.
28:30Je te suis.
28:31Alors, tu mets le ballon
28:32derrière le dos,
28:33tu te baisses,
28:34tu fais rouler
28:35et il va sur les bras
28:36et tu reviens là.
28:37Le fil du chaussis,
28:38je dois le faire ?
28:39Oui, tu reviens comme ça.
28:40Ok, super.
28:41Le ballon très doucement
28:42et que tu mets tes bras
28:43vite devant.
28:44Il est où le ballon ?
28:45Il est où ?
28:46Il est parti.
28:47Mets tes bras devant,
28:48là tu pousses.
28:49Oui, presque.
28:50Ça paraît facile,
28:51ça ne l'est pas.
28:52Elle le répète
28:53des centaines de fois,
28:54surtout que moi,
28:55je le fais avec un enchaînement
28:56donc j'ai peur pour la suite.
28:58Alors, tu lances
28:59et tu le rattrapes dans le dos
29:01et tu tournes.
29:08Tu fais des spirales,
29:09tu fais un pas chassé,
29:10un pas
29:12et tu sautes.
29:14Et pas chassé
29:15et pousse.
29:17Une fée.
29:18Je ne fais qu'un avec le ruban.
29:20Vous l'aurez compris,
29:21il faut beaucoup de grâce
29:22pour la GRS,
29:23chose que je n'ai pas.
29:24Qu'est-ce qu'on peut te souhaiter
29:25pour la suite ?
29:26Qu'est-ce que tu nous prépares ?
29:27J'aimerais garder mon titre
29:28le plus longtemps possible
29:29et me battre jusqu'au bout.
29:30Ça, c'est une mentalité championne.
29:31A bientôt ?
29:32A bientôt.
29:33Merci.
29:41Ça va ?
29:42Ça va.
29:43C'est ça.
29:44Il a fallu énormément
29:45d'essais pour ça.
29:46Je me dis une question,
29:47Yacine,
29:48t'as pas peur pour ta carrière
29:49de gardien de but ?
29:50Mais c'est terminé.
29:51C'est ce que j'ai fait.
29:52C'est terminé.
29:53T'avais l'air à l'aise
29:54avec le ballon.
29:55Il m'a semblé
29:56que t'étais en difficulté.
29:57Mais vous disiez
29:58que vous étiez à l'aise,
29:59serein.
30:00Il y avait une osmose
30:01avec ce ballon.
30:02Le ruban.
30:03Le ruban, pardon.
30:04Le ruban, je sais pas.
30:05C'était un prolongement
30:06de moi-même en fait.
30:07J'avais l'impression
30:08que je me sentais protégé
30:09quand j'étais dans mon cerceau
30:10de ruban.
30:11Je me sentais protégé.
30:12Non mais franchement,
30:13bravo à Lana
30:14parce que c'est quand même
30:15une discipline,
30:16il faut beaucoup de rigueur
30:17quand même.
30:18Il faut un gros mental.
30:19À stage, moi,
30:21il y en a combien ?
30:22Il y en a 5.
30:23Exactement.
30:24Vous avez pas tout fait là, si ?
30:25Non, parce que c'était catastrophique.
30:26Les massues.
30:27Oui, les massues,
30:28on en avait 15.
30:29Les massues, j'ai fait un peu.
30:30Mais bon, c'était pas fort.
30:31On va vraiment rester
30:32sur le ruban.
30:33On va vraiment rester
30:34sur le ruban.
30:35Attendez, on a le cerceau.
30:36On a fait le cerceau
30:37qui m'est tombé sur la tête.
30:38Le ballon que je n'ai pas rattrapé.
30:39Les massues qui étaient…
30:40Les massues, il en manque un.
30:41Et c'est quoi ?
30:42La corde.
30:43C'était la corde.
30:44La corde.
30:45Et alors ?
30:47C'est beau, c'est de la grâce.
30:48C'est de la grâce.
30:49Et franchement,
30:50il faut savoir que Lana,
30:51vu qu'elle est très jeune,
30:52elle adapte ses horaires
30:53par rapport à ses entraînements.
30:54C'est ce qui est beau et touchant
30:55de s'entraîner avec sa maman.
30:56Moi, je peux vous dire
30:57qu'il y a 16 ans,
30:58il ne fallait pas…
30:59Ça se passe bien.
31:00Lève le pouce.
31:01Fais semblant d'être heureux.
31:02Merci.
31:03Mais c'est dur d'avoir
31:04cette mentalité à stage,
31:05s'entraîner avec sa maman,
31:06tout ça.
31:07Il faut savoir
31:08qu'il y a le concours
31:09dans plusieurs fédérations.
31:10C'est du coup FFG,
31:11que je ne dise pas bêtise,
31:12la Fédération Française de Gym,
31:13qui correspond pour le foot
31:14à la Ligue 1.
31:15Donc, c'est quand même
31:16le top niveau.
31:17Donc, on a une vraie championne.
31:18Merci à vous, Yacine.
31:22Est-ce que vous connaissez
31:23le club où il y a
31:24le plus de licenciés
31:25dans le tennis ?
31:26Parce que dans l'ordre,
31:27si on fait Europe,
31:28je leur fais…
31:29À l'envers,
31:30c'est le football, forcément.
31:31En deuxième, c'est ?
31:32Le tennis.
31:33Et en troisième ?
31:34Le cheval.
31:35Le cheval.
31:36Donc, il faut bien parler
31:37un peu de tennis.
31:38L'un des plus grands clubs
31:39de Loire-Sud,
31:40c'est ?
31:41Michon.
31:42Exactement, pas loin.
31:43Mais Michon a trois sites.
31:44Le saviez-vous ?
31:45Non.
31:46Ah non.
31:47Eh bien, c'est pas
31:48le club de la semaine.
31:53Salut à tous.
31:54Bienvenue au tennis club de Michon,
31:56le plus gros club de tennis
31:57de la Loire
31:58en nombre de licenciés.
32:05Bon alors, toi Fabrice,
32:06tu es moniteur à Michon
32:07depuis 2007.
32:08Tu es responsable
32:09sportif
32:10avec trois autres moniteurs.
32:11Mais du coup, dis-moi,
32:12le tennis club de Michon,
32:13ça date de quand ?
32:14C'est un club
32:15qui est né
32:16fin des années 80.
32:171987 exactement.
32:19Ça a été créé
32:20par des entreprises,
32:21notamment des banques,
32:22qui se sont réunies
32:23pour créer une association.
32:25Le premier président
32:26s'appelait Monsieur Jacob.
32:27Ensuite, il y a eu
32:28le président actuel,
32:29Éric Le Gall,
32:30qui est en place
32:31depuis la fin des années 90.
32:32Alors par contre, Michon,
32:33c'est côte chaude ?
32:35Eh là,
32:36mais pas côte chaude ?
32:37Voilà, alors,
32:38le problème à Michon,
32:39c'est qu'on a
32:40des terrains extérieurs
32:41et pas de salles.
32:42Donc depuis 2011,
32:43grâce à la vision
32:44d'un trésorier
32:45qui s'appelle René Delolme,
32:46on occupe maintenant
32:47les salles de Montrénaud
32:48et de Méon
32:49qui se trouvent
32:50juste à côté.
32:51Il s'agit d'une VSP,
32:52une délégation
32:53de services publics.
32:54Ce qui permet
32:55à la ville de Saint-Étienne
32:56de déléguer
32:57les structures
32:58de Méon
32:59et de Montrénaud
33:00à un partenaire privé,
33:01en l'occurrence
33:02le tennis club de Michon.
33:03Ici même à Montrénaud,
33:04il y avait dans les années 90
33:06un gros tournoi
33:07qui a fait venir
33:08certains des plus grands noms
33:10du tennis français.
33:11Et en 2011,
33:12on l'a, avec la DSP, relancé.
33:14Donc il existe toujours.
33:15Pendant les vacances
33:16de février,
33:17on a à peu près
33:18400 participants
33:19qui viennent s'affronter
33:20dans les salles
33:21de Montrénaud.
33:22C'est vrai que Montrénaud,
33:23avec ses gradins
33:24et ses terrains couverts,
33:25il offre un bel écran.
33:26Par contre,
33:27le logo,
33:28il est d'origine, non ?
33:29Il a été dessiné
33:30par un adhérent du club.
33:31Il représente
33:32effectivement
33:33les deux crassiers
33:34parce qu'on est à Michon
33:35au pied des crassiers
33:36de Michon.
33:37Alors ce qui est bien aussi,
33:38c'est qu'on voit
33:39que les infrastructures évoluent.
33:40Depuis cette rentrée,
33:41on a deux beaux terrains
33:42de paddle,
33:43dont un avec une toiture
33:44et on a à peu près
33:45une cinquantaine
33:46d'adhérents en paddle.
33:47Bon et alors,
33:48est-ce que vous êtes
33:49terre de formation ?
33:50On a eu formé
33:51quelques bons jeunes
33:52jusqu'à 14 ans.
33:53Après,
33:54on les laisse à d'autres
33:55mais on arrive
33:56à bien les former
33:57jusqu'à 14 ans.
33:58Après,
33:59c'est un peu plus compliqué,
34:00ça demande un peu plus
34:01d'investissement
34:02qu'on n'a pas choisi de faire.
34:03Le club,
34:04aujourd'hui, Fabrice ?
34:05Aujourd'hui,
34:06le Tennis Club de Michon,
34:07c'est une quinzaine
34:08de terrains extérieurs,
34:09c'est 6 cours couverts,
34:10c'est 4 profs salariés
34:11à temps plein
34:12pour accueillir
34:13plus de 400 personnes
34:14qui prennent des cours
34:15et un peu plus
34:16de 720 licenciés.
34:17Eh bien, très bien.
34:18Longue vie
34:19au Tennis Club de Michon.
34:20Mais c'est incroyable !
34:21Le Méo.
34:22T'as Michon,
34:23Michon,
34:24Méo-Moreno.
34:25C'est le nombre moi
34:26qui me paraît énorme.
34:27700 licenciés,
34:28c'est beaucoup.
34:29Ça fait pas mal de terrain.
34:30Oui.
34:31Ils prennent beaucoup de place
34:32aux interclubs, quoi.
34:33Un petit peu.
34:35C'est l'investissement.
34:36Il a été à Michon,
34:37à Méon,
34:38et le gars,
34:39facture kilométrique.
34:40Eh bien écoute,
34:41au bout d'un moment,
34:42du travail de qualité,
34:43ça se paye.
34:44Exactement.
34:45Allez, on va parler
34:46d'endurance.
34:47Regardez,
34:48il est heureux.
34:49Regardez,
34:50il est bien, là.
34:51Vas-y !
34:55On nous a coupé la chique.
34:56On me dit,
34:57j'attends la virgule.
34:58Moi, j'attends la virgule.
34:59Et là,
35:00Julien Rivière,
35:01je ne me suis pas moqué
35:02des téléspectateurs
35:03mais ce soir,
35:04on atteint le niveau là.
35:05C'est-à-dire qu'on a,
35:06tout simplement,
35:07le premier champion d'Europe
35:09de l'histoire
35:10de l'enduro-kid.
35:11Il est aussi
35:12vainqueur du Trophée de France
35:13Poussin en 2019,
35:14vainqueur de l'enduro-kid
35:15Minim 2021,
35:17champion de France KD
35:182022,
35:19champion de France KD
35:202023,
35:21champion de France Espoir
35:222024.
35:23On a avec nous
35:24Aymeric Vergot.
35:25Aymeric,
35:26merci d'être avec nous.
35:27Et seulement à l'âge de...
35:28À 17 ans.
35:2916 ans.
35:30Aymeric,
35:31cette saison,
35:32ça a été la saison
35:33de presque tous les records.
35:34On y viendra après.
35:35Moi, tout d'abord,
35:36la première question,
35:37quand à 16 ans,
35:38on est déjà 5 fois
35:39champion de France,
35:40champion d'Europe,
35:41à quel âge
35:42on attaque la moto ?
35:43On raccroche ?
35:44On attaque la moto
35:45dès le plus jeune âge.
35:46Moi, j'ai commencé en 2012.
35:47J'ai eu la chance
35:48de commencer à 4 ans.
35:49Après,
35:50ça ne m'a plus lâché.
35:51C'est papa,
35:52c'est maman,
35:53on n'a rien à voir.
35:54C'est papa.
35:55C'est papa le passionné.
35:56J'en étais sûr.
35:57Après, j'ai commencé
35:58à faire des stages en 2015,
35:59en France régionale.
36:00Puis après,
36:01on est monté sur du France.
36:02Et puis maintenant,
36:03on est au niveau européen.
36:04L'Enduro,
36:05vraiment,
36:06par l'Enduro Kid,
36:07on en a déjà parlé.
36:08On avait fait des sujets
36:09avec notamment
36:10Ewen Forestier-Chiron
36:11et avec notre ami
36:12Esteban Robin de Chenreille.
36:13Quand tu es vainqueur
36:14du Trophée de France
36:15en Poussin,
36:16c'est vraiment le tout début,
36:17c'est les petites catégories.
36:18Est-ce que là,
36:19tu te dis déjà,
36:20on va continuer,
36:21il faut que j'aille chercher
36:22vraiment les titres
36:23parce qu'en Poussin,
36:24c'était qu'un Trophée de France
36:25et là,
36:26tu as vraiment envie
36:27d'aller chercher les titres.
36:28C'est vrai qu'ici,
36:29on ne sait pas si on va continuer
36:30et tout,
36:31mais on est là pour s'amuser
36:32au début.
36:33Mais après,
36:34plus on avance dans le temps,
36:35plus ça devient professionnel.
36:36Alors,
36:37il faut qu'on se donne
36:38le plus possible
36:39pour décrocher ces titres.
36:40Cette année,
36:41la nouveauté en Enduro Kid,
36:42c'est le championnat d'Europe.
36:43Il y a eu une épreuve en Italie.
36:44Oui, c'est une nouveauté ça.
36:45C'est la première édition.
36:46Épreuve en Italie,
36:47épreuve en France,
36:48en Aveyron
36:49et épreuve en Allemagne.
36:50Là,
36:51j'imagine que c'était
36:53C'était la première fois
36:54que j'allais à l'étranger.
36:55On découvre un nouveau plateau,
36:56on découvre des nouvelles personnes.
36:57Franchement,
36:58on parle en anglais.
36:59Et le niveau ?
37:00Le niveau,
37:01il augmente.
37:02On a tous les meilleurs pilotes
37:03de chaque pays en Enduro Kid.
37:04Donc,
37:05c'est super.
37:06Au niveau des courses,
37:07on en avait parlé,
37:08notamment l'Allemagne
37:09avait été un week-end difficile.
37:10Quelle est la grosse différence
37:11entre le championnat d'Europe
37:12et le championnat de France ?
37:13Déjà,
37:14on a plus de spéciales,
37:15on a plus de chemin.
37:16Donc,
37:17on a plus de temps
37:18à passer sur la moto.
37:19C'est des journées de combien
37:20justement en Enduro Kid ?
37:21Là,
37:22à l'Europe,
37:23on était sur plus
37:24d'une heure de chrono,
37:25sans compter les liaisons,
37:26les dans-le-chemin.
37:27Plus d'une heure de chrono ?
37:28T'étais préparé physiquement ?
37:29Ah oui,
37:30on se prépare toute la saison
37:31physiquement à la maison.
37:32Mais là,
37:33il faut monter encore d'un cran.
37:34Ah oui,
37:35c'est sûr.
37:36Mais après,
37:37on est prêt à tout pour ça.
37:38Le France,
37:39donc t'as été champion de France
37:40depuis la semaine dernière,
37:41c'était Apsha dans le Puy-de-Dôme.
37:42On voit que les Espagnols
37:43viennent aussi rouler
37:44sur le championnat de France.
37:45Est-ce que ça fait partie
37:46des championnats de référence ?
37:47C'est un des championnats
37:48les plus structurés
37:49qui existent en Enduro Kid.
37:50Ah, en Enduro Kid,
37:51c'est sûr,
37:52le championnat de France,
37:53c'est là où je pense
37:54qu'il y a le plus de monde.
37:55C'est pour ça qu'ils viennent
37:56d'ailleurs en France
37:57pour se confronter à nous.
37:58Donc,
37:59je pense que le championnat de France,
38:00c'est en bonne voie
38:01pour continuer des années.
38:02Sur la dernière épreuve,
38:03Apsha.
38:04Quoi ?
38:05Non,
38:06c'est moi qui vais parler.
38:07Apsha.
38:08Apsha,
38:09sur la dernière épreuve,
38:10Aymeric gagne en espoir.
38:11A l'équipe,
38:12jusqu'à quel âge ?
38:1317 ans,
38:15Je vais monter l'année prochaine.
38:16Il n'aura pas le droit
38:17parce que ceux qui sont champions
38:18de France espoir,
38:19les trois premiers sont obligés
38:20de monter chez les espoirs
38:21mais chez les grands
38:22sur le championnat de France d'Enduro.
38:23Il faut savoir qu'Aymeric
38:24a gagné la dernière épreuve
38:25avec plus d'une minute d'avance
38:26sur l'espagnol.
38:27Donc,
38:28il a vraiment dominé
38:29de la tête
38:30et des épaules.
38:31Il n'était pas là,
38:32l'espagnol.
38:33Si, si,
38:34il était bien là.
38:35Et non,
38:36Aymeric a vraiment dominé la saison.
38:37Au niveau des partenaires,
38:38comment ça se passe ?
38:39Parce que c'est quand même
38:40un investissement en temps,
38:41en argent également.
38:44Avec qui tu travailles ?
38:45On voit que tu as le maillot
38:46Ambiance Moto
38:47qui est une concession
38:48dans le Puy-de-Dôme.
38:49On arrive à s'entraîner
38:50les mercredis,
38:51les week-ends
38:52et tous les soirs de la semaine
38:53mais pas à la moto.
38:54Tous les soirs de la semaine ?
38:55Quasiment.
38:56C'est combien d'heures
38:57d'entraînement ?
38:58De moto,
38:59je dirais entre
39:00cinq et huit heures
39:01par semaine environ
39:02et autant de sport
39:03en dehors.
39:04Du coup,
39:05au niveau des partenaires,
39:06Ambiance Moto,
39:07qui sont tes principaux partenaires ?
39:09Ambiance Moto,
39:10après on a
39:11les suspensions
39:12Gobi Racing
39:13qui est derrière moi.
39:14Sur qui on a fait un reportage ?
39:16Le 29 avril.
39:17C'est ça.
39:18Après,
39:19on a deux, trois personnes
39:20qui m'aident
39:21à financer mes saisons,
39:22mes voyages,
39:24l'essence.
39:25C'est sûr que c'est
39:26un coût financier énorme.
39:28Ça vous ouvre
39:29d'autres partenaires ou pas ?
39:30Pas forcément.
39:31Les résultats,
39:32ça aide à trouver
39:33de nouveaux partenaires.
39:34Vraiment ?
39:35Oui, franchement, ça va.
39:36Après, il faut faire
39:37la part des choses.
39:38Il y a encore de la peste
39:39sur le t-shirt.
39:40On ne dit jamais non
39:41à de nouveaux partenaires.
39:42Il faut savoir
39:43que c'est un vrai investissement
39:44de la part d'Emery
39:45qui l'a dit
39:46avec le volume d'entraînement,
39:47mais c'est aussi
39:48un investissement de la famille.
39:49Tu l'as dit,
39:50ton papa Carl
39:51est plus que passionné de moto.
39:52Il est team manager
39:53chez Ambiance Moto,
39:54chez Les Grands
39:55sur le championnat de France.
39:56Justement,
39:57travailler avec son père
39:58qui est derrière,
39:59c'est quoi ?
40:00C'est une pression supplémentaire ?
40:01On veut lui faire plaisir
40:02ou comment ça se passe ?
40:03Je ne sais pas si on peut dire
40:04que c'est une pression,
40:05mais c'est sûr qu'on veut
40:06tout le temps lui faire plaisir.
40:07Dès qu'on fait
40:08un truc moins bon,
40:09on n'est pas content.
40:10Par contre,
40:11dès que ça va bien,
40:12c'est génial
40:13de pouvoir travailler
40:14et de partager
40:15ces moments avec son père.
40:162025 arrive bientôt.
40:17Est-ce que tu as des projets
40:18pour cette année 2025
40:19qui arrivent
40:20ou ce n'est pas encore
40:21complètement défini ?
40:22Normalement,
40:23c'est défini.
40:24On va aller sur
40:25le championnat de motocross
40:26français et européen.
40:27On va voyager
40:28partout en Europe.
40:29Il était triste
40:30sur ce moment-là.
40:31J'étais triste
40:32qu'il t'en dirait,
40:33mais il faut savoir
40:34que cette année,
40:35Emery a été sur
40:36le championnat de France
40:37de motocross en junior
40:38donc forcément,
40:39ça donne envie.
40:40C'est sa première télé.
40:41C'est nous.
40:42Tu penseras à nous
40:43quand tu seras là-haut.
40:44Tu mettras un tout petit logo
40:45TELFET.
40:46Là,
40:47vraiment,
40:48on en a parlé
40:49avec Esteban,
40:50avec Ewen,
40:51qui sont aussi
40:52des vrais pépites
40:53de l'enduro,
40:54mais là,
40:55pour moi,
40:56on a le jeune
40:57qui peut aller chercher
40:58des très gros résultats
40:59en enduro.
41:00Sois champion de France
41:01et champion d'Europe
41:02de motocross
41:03et reviens-nous vite
41:04à l'enduro
41:05parce qu'on a besoin
41:06de jeunes pilotes
41:07donc on compte sur toi
41:08pendant quelques années.
41:09Emery,
41:10reste avec nous.
41:11Ça crie dans l'oreille.
41:12Ça crie BANZAI !
41:13Ah mais il va venir,
41:14il va te découper.
41:15Les ISDE ont commencé
41:16aujourd'hui.
41:17L'équipe de France
41:18est en tête
41:19avec plus de 2 minutes d'avance
41:20et je voulais dédier
41:21cette émission
41:22à Sébastien Pupillet
41:23qui nous a quitté
41:24la semaine dernière
41:25qui était venu sur le plateau
41:26l'année dernière.
41:27Donc un coucou à lui.
41:28Allez,
41:29sans transition,
41:30on retourne du côté
41:31du dojo.
41:32Damien,
41:33c'est à vous.
41:35Bon,
41:36c'est Julien,
41:37j'ai mis mon armure,
41:38j'ai récupéré mon Sinai,
41:39c'est le sabre en japonais
41:41et puis je suis avec Romain,
41:42l'instructeur du Kendo
41:43de Saint-Etienne.
41:44Il n'a pas mis le casque.
41:45Romain,
41:46alors comment ça se passe ?
41:47Quelles sont les touches
41:48à réaliser ?
41:49Alors la première technique,
41:50la première cible,
41:51c'est même au niveau de la tête.
41:52Même au niveau de la tête,
41:53on tape le casque.
41:54Oui,
41:55Romain,
41:56regarde.
41:57J'aimerais bien
41:58qu'il lui fasse pareil.
41:59Deuxième technique,
42:00côté.
42:01Côté,
42:02donc là,
42:03au niveau du bras.
42:04Il est pressé.
42:05Essayez de revenir.
42:06C'est son anniversaire,
42:07c'est pour ça.
42:08Et là,
42:09il garde le même sourire.
42:10Il a le gâteau.
42:11Donc là,
42:12on essaie de couper
42:13effectivement le sabre.
42:14Alors,
42:15il faut vous imaginer quand même
42:16qu'à l'époque,
42:17c'était des sabres.
42:18Et ça coupe.
42:19C'est fait pour…
42:20Ça n'a pas toujours été un mot ?
42:21Non,
42:22ce n'est pas le Kendo.
42:23Parce qu'il perdait trop de personnel
42:24en entraînement.
42:25Allez,
42:26encore.
42:27Allez,
42:28même.
42:29Voilà.
42:30Allez,
42:31Damien,
42:33merci Romain.
42:34Bon,
42:35je crois que là,
42:36j'ai plus qu'à m'incliner.
42:37Je vous dis
42:38à très vite.
42:39Finissez bien l'émission.
42:40Moi,
42:41je vais continuer
42:42les cours japonais,
42:43les cours d'anglais,
42:44tout ça.
42:45Je vous embrasse.
42:46Finissez bien.
42:47Tata.
42:48Je crois qu'il s'est pris un coup
42:49à la tête.
42:50Je n'ai pas compris
42:51les cours d'anglais.
42:52Merci à vous,
42:53Damien,
42:54pour votre voix.
42:55Merci à vous,
42:56les spectateurs.
42:57Merci à vous,
42:58chroniqueurs.
42:59L'actualité était bien chargée.
43:00J'ai fait 42 minutes pile poil.
43:01C'est ça,
43:02la régie ?
43:03Surtout qu'on sort
43:04du département.
43:05On était à l'ouest,
43:06le est-ouest.
43:07A l'est pour Marielle,
43:08à l'ouest pour moi.
43:09Je préfère ton côté.
43:10Merci.
43:11L'Auvergne est un si beau pays.
43:12Oh,
43:13l'Auvergne,
43:14le centre du monde.
43:15Exactement.
43:16Vous pouvez retrouver
43:17cette émission en replay,
43:18forcément,
43:19sur toute la France,
43:20même là-bas
43:21et en Auvergne.
43:22En Auvergne aussi,
43:23mais depuis qu'on a l'électricité.
43:24Ah non,
43:25c'est les vacances
43:26cette semaine prochaine.
43:27On se retrouve le 4 novembre.
43:28Bisous.

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