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00:00 *Générique*
00:15 C'est sur cette machine à écrire pour déficients visuels appelés Perkins,
00:18 qu'Erwan et Morgane suivent leurs cours dans cette classe ordinaire de CE2 à l'école Thibault-Marendez.
00:24 Et après deux ans de trajet quotidien qui les emmenait jusqu'à la cité scolaire René-Pelay de Villeurbanne,
00:29 c'est un vrai soulagement pour les deux frères de se retrouver à une vingtaine de minutes de leur domicile.
00:35 - Eh ben je préfère rester dans cette école.
00:38 - Ouais et pourquoi ?
00:40 - Bah parce que d'abord on fait moins de trajet d'abord.
00:44 Un soulagement aussi pour leurs parents qui se sont battus aux côtés de l'association Anges des Hauts-Vives.
00:49 - On refusait en fait que nos enfants soient en échec scolaire parce que la scolarité n'était pas adaptée à leur handicap.
00:57 Donc on nous proposait deux fois trois quarts d'heure de braille par semaine, un enfant qui apprend à lire et à écrire, c'est tous les jours.
01:03 - On a regagné une vie de famille "normale", on est ensemble tous les quatre, tous les soirs de la semaine.
01:10 On n'a plus à imposer ces quatre heures de trajet à aller et retour à nos enfants.
01:14 Les deux garçons qui sont suivis au quotidien par une AESH chez cette enseignante spécialisée
01:19 qui a dû se former exprès pendant plus d'un an au braille.
01:22 - Moi j'étais enseignante spécialisée pour les troubles des fonctions cognitives,
01:26 où justement pour les troubles des fonctions cognitives le visuel est très très important.
01:30 Et là, c'est le sens inverse.
01:33 C'est à dire que là le visuel en tant que tel n'a pas de sens si ce n'est que par le toucher.
01:40 Et aujourd'hui, que ce soit dans la classe ou la cour d'école, l'évolution et l'inclusion d'Erwann et Morgane est flagrante.
01:46 - On se balade avec eux en récréation, on mange avec eux.
01:50 - Il y a tous les jours des enfants qui nous proposent à manger à côté de nous
01:55 et moi je suis content parce que ça se passe bien dans cette école.
02:00 Un accueil rendu possible également par le travail conjoint de l'Education nationale,
02:04 l'ARS et la Mairie de Saint-Just-Saint-Rambert.
02:06 Un dispositif qui coûte près de 100 000 euros et pourra accueillir jusqu'à 6 élèves.
02:11 Avec un leitmotiv, l'inclusion.
02:13 - L'inclusion c'est donner à tout le monde en fonction de ce qu'il a besoin.
02:17 Les enfants dont nous parlons, des physios en visuel, sont avant tout des enfants.
02:21 Et quand ils sont à l'école, des élèves.
02:23 Deux élèves, c'est déjà bien.
02:26 Si d'autres familles avec les mêmes problématiques devaient arriver,
02:30 elles seront scolarisées dans cet endroit.
02:32 Bien évidemment l'unité suivra puisque les élèves grandissent
02:35 et un jour ils vont au collège, ils iront au collège avec l'unité,
02:39 puis au lycée, puis poursuivront leurs études.
02:42 Et cela tombait sous le sens que Saint-Just-Saint-Rambert accueille le dispositif dans l'une de ces écoles.
02:47 - Saint-Just-Saint-Rambert a eu un maire et un député qui s'est beaucoup investi sur le handicap
02:51 qui s'appelait Jean-François Chossy.
02:53 D'abord sur l'autisme, après sur l'accessibilité des bâtiments.
02:56 Vous savez sur notre commune, aujourd'hui, une personne porteuse de handicap,
02:59 elle peut faire du canoë-kayak, elle peut faire du foot-fauteuil,
03:02 mais elle peut faire aussi du judo, dans toutes ces structures adaptées.
03:06 Donc si on peut le faire dans le milieu associatif,
03:10 pourquoi on ne serait pas capable de le faire dans nos écoles primaires ?
03:14 Signe en tout cas de la réussite de l'inclusion d'Erwan et Morgan,
03:17 tous les deux ont été élus délégués de classe en début d'année.
03:22 Ce mardi, la maison du don de Château-Creux accueillait Jean-Luc Puzna,
03:26 un de ses plus fidèles donateurs qui tendait son bras à l'occasion de son 100e don du sang.
03:32 - J'ai 62 ans, donc j'ai commencé à 20 ans quand j'avais 22 ans.
03:38 Et bon voilà, je suis à mon 100e don aujourd'hui et tout va bien.
03:43 Je ne pensais pas au début, mais bon, je n'irai pas à 200 parce que je ne pourrais pas.
03:48 Il n'y a pas besoin de stresser, on est bien, on est tranquille, on est bien reçu.
03:54 Et après avoir rempli le questionnaire, place son don du sang avec le sourire.
03:58 - Oui, moi je suis bien, je suis à l'aise depuis le temps,
04:01 donc il n'y a pas de souci, puis il n'y a pas à avoir de stress pour venir.
04:07 Non, je n'ai rien, elle m'a piqué et tout, je n'ai pas mal, il n'y a rien.
04:11 Donc pas de souci avec ça, on est bien.
04:14 Et si l'établissement français du sang de Saint-Etienne
04:16 récolte en moyenne 150 dons tous les jours,
04:18 la collecte doit répondre à un besoin essentiel.
04:21 - Il y a effectivement une baisse sur cette dernière semaine des donneurs de sang.
04:26 Donc on a un besoin important.
04:28 Tout à chacun, on peut avoir besoin un jour d'une transfusion.
04:30 Ce sont des donneurs qui sont réguliers, qui viennent.
04:32 En plus, le monsieur donne ses plaquettes, donc il donne un peu de tout.
04:35 Il peut donner le plasma, il peut donner les plaquettes, donc ça, c'est important aussi.
04:37 Il en est fier et puis il en est content.
04:39 Et puis voilà, c'est important.
04:42 Une habitude que Jean-Luc n'est pas prêt d'arrêter
04:44 pour relever le défi de la générosité.
04:46 - Je suis à 100 aujourd'hui, j'ai rendez-vous au mois prochain,
04:49 pour le mois de janvier, donc je continue.
04:52 Essayer de faire changer les esprits,
04:54 de venir donner du sang, des plaquettes, le plasma.
04:57 Que tout le monde fasse comme moi, ça serait bien.
04:59 Tant qu'il y a de la vie, il y a de l'espoir.
05:01 Pour accompagner les personnes victimes de violences conjugales,
05:08 une aide d'urgence a été déployée depuis le 1er décembre,
05:11 accordée par la CAF entre 3 à 5 jours.
05:14 Elle peut atteindre jusqu'à 1 337 euros.
05:17 - C'est une aide voulue par le gouvernement
05:18 pour que les personnes puissent tout de suite réagir
05:21 et ensuite se faire accompagner
05:24 ou solliciter des structures ou des aides plus concrètes,
05:27 mais qui prennent peut-être un peu plus de temps pour être délivrées.
05:30 Grâce à cette somme, les personnes coincées au domicile de l'agresseur présumé
05:34 peuvent trouver un logement temporaire et des produits de première nécessité.
05:38 Et pour la toucher, il faut remplir un formulaire sur le site de la CAF,
05:41 ou sur place, et fournir un document de moins d'un an attestant les violences,
05:46 un dépôt de plainte, une ordonnance de protection
05:49 ou même un signalement au procureur de la République.
05:51 - C'est vraiment quelque chose qui vient
05:55 permettre d'apporter une réponse très réactive.
05:59 Dans le cas des Grenelles, des violences conjugales,
06:01 la mobilisation indiquait que ces personnes avaient besoin de réponses concrètes.
06:07 Donc effectivement, il s'agit d'une réponse concrète.
06:10 Dans la Loire, 24 aides ont déjà été formulées et 16 paiements distribués.
06:15 - C'était une idée qu'on a vue en 2019 déjà avec des copains,
06:26 parce que la raclette, ça fait des airs.
06:28 Et pourquoi ?
06:29 Alors déjà, on s'est dit à Saint-Etienne,
06:31 on aimerait parler d'autre chose que toujours des trucs
06:35 où c'est le prix le plus bas de l'immobilier, la misère,
06:39 on a eu des événements politiques pas très glorieux, etc.
06:41 Donc on s'est dit, c'est plus sympa de parler d'un événement rigolo
06:44 qui fédère les familles et puis le fromage fondu,
06:47 dans ces périodes un peu troubles, on trouve que ça fait du bien.
06:49 Saint-Etienne, c'est notre ville de cœur.
06:57 Nous, on fait ça avec Matou, Matou Kall, qui est mon frère.
07:01 Et c'est lui, il habite encore à Saint-Etienne.
07:04 Moi, j'ai vécu 30 ans, je suis arrivé à 6 jours à Saint-Etienne,
07:06 c'est ma ville, c'est là où j'ai tout fait.
07:08 J'ai fait mes études, mon lycée, mes premières amours, etc.
07:13 Je suis parti en 2014, mais j'ai toujours le cœur vert, évidemment.
07:16 Donc Saint-Etienne, c'était évidemment Saint-Etienne, en fait.
07:19 Là, c'est très familial.
07:28 Tout le monde peut venir, vraiment tous les enfants, etc.
07:31 Et ça sera, nous avec Matou, on fera de l'animation,
07:34 mais il y aura des DJ, il y aura des groupes, il y aura des stands.
07:37 On veut qu'il y ait des stands pour les enfants.
07:38 On veut que ce soit vraiment une sortie familiale d'un dimanche tranquille et sympa.
07:42 Alors ce vendredi, ce sera la première du 29e spectacle de Val Grandjean,
07:47 le Mystère des Lanternes.
07:49 Encore en répétition ici, les scènes s'enchaînent,
07:54 costumes et décors sont là, la musique bien sûr.
07:57 Et le projet, c'est comme toujours d'explorer le mystère de Noël.
08:01 On dévoile un nouveau secret de Noël, puisqu'il y en a beaucoup.
08:03 Et cette fois-ci, nous allons dévoiler le secret de comment font les reines du Père Noël
08:07 pour voler la nuit du 24 décembre,
08:09 pour transporter le Père Noël tout autour du monde
08:12 et transporter tous les cadeaux vers les petits-enfants.
08:14 Un Mystère des Lanternes qui évoque trois mondes.
08:17 Explication ?
08:18 C'est un passage par l'Orient qui nous permet de transporter cette année le spectateur
08:22 dans trois univers différents, un univers plutôt intergalactique,
08:27 un univers oriental et un univers de Noël, bien évidemment.
08:30 Alors en détail, un camp de Noël entre Apolles, l'espace galactique figuré dans ce véhicule futuriste
08:37 qui arrive sur Terre et l'incarnation du méchant Zorgos,
08:40 un solitaire peu fréquentable, forcément bardé de sa milice.
08:44 Au cœur du spectacle, on découvre le monde de la princesse tirée du désert d'Orient.
08:52 Le Mystère des Lanternes se trouve dans la cité de Gardaïa, qui est en plein cœur du désert.
08:56 Et finalement, c'est un passage secret pour aller rejoindre le pays du Père Noël.
08:59 Et le troisième monde, ce sont les parades autour des Lanternes et de ces boules d'énergie.
09:04 Oui, il faut faire vite ! Zorgos ne tardera pas à nous rattraper.
09:09 Un monde de costumes hyper inventifs, cette parade des oiseaux notamment,
09:14 qui mélange tous les styles, des parades qui sont effectivement ces passages secrets.
09:19 Exactement, puisque l'intrigue est effectivement sur cette potion magique
09:24 que prennent les traines avant de partir pour la grande tournée du Père Noël.
09:28 Mais évidemment, il y a une intrigue, puisque dans toutes les histoires, il y a un méchant.
09:32 Et un méchant est très jaloux du Père Noël.
09:34 Et donc, toute l'intrigue, c'est essayer de sauver le Noël, les reines de Noël du Père Noël,
09:39 pour aller récupérer la fameuse bulle qui va être piégée et qui pourrait empoisonner les reines.
09:44 Encore en répétition, ce jeudi, le spectacle a lieu tout le week-end.
09:48 Onze représentations en trois jours pour accueillir un public toujours plus nombreux.
09:51 30 000 personnes sont attendues, un record qui risque d'être atteint.
09:55 Je crois qu'hier, on a dépassé les 29 500 billets réservés,
09:58 ce qui est absolument un record pour Valgranjon et pour un spectacle à Saint-Etienne même.
10:03 Valgranjon qui frôle donc les 30 000 spectateurs,
10:05 ça signifie qu'il reste quelques places, mais pas pour toutes les séances.
10:08 C'est complet, sauf vendredi 10h et samedi 13h45.
10:11 Les derniers billets sont entre 24 et 37 euros.
10:14 C'est au Parc Expo de vendredi à dimanche.
10:23 Le Père Noël a installé sa boîte aux lettres à fraises à quelques kilomètres de Fermini,
10:27 au numéro 31, la maison de Nathalie et Mathilde,
10:30 met en avant une boîte aux lettres rouge et blanche.
10:33 Donc voilà, il y a du courrier.
10:37 On va pouvoir répondre à tous ces jeunes gens.
10:40 À la base, j'ai toujours fait des courriers avec mes enfants,
10:44 parce que moi aussi je faisais la lettre, et puis à chaque âge, il y a des découpages,
10:49 il y en a qui écrivent, voilà.
10:51 Une initiative pour transmettre la magie de Noël.
10:54 On en a besoin de la magie de Noël,
10:56 et même les enfants, ils en ont besoin.
10:58 Il faut garder cette magie.
11:00 Et après le ramassage, place à l'écriture pour nos apprentis Mères Noël,
11:04 dans une maison richement décorée.
11:06 Déjà, on prend le temps de les lire, on prend le temps de regarder les cadeaux qui sont demandés,
11:09 comme ça on peut ajuster un peu en fonction de la réponse.
11:11 On peut rajouter des petites choses personnelles qui ne sont pas forcément marquées dans la lettre,
11:15 et tout de suite ça fait un peu plus magique.
11:18 Le secrétariat du Père Noël de Fresse connaît tout de même son petit succès.
11:21 L'année dernière, on a eu 39 lettres d'enfants,
11:25 environ au moins 35 de la commune de Fresse.
11:28 Ça va pour rajouter un peu plus de magie de Noël,
11:31 dans Londènes en tout cas.
11:32 C'est tout de suite, j'ai été bien sage, j'ai bien travaillé à l'école, voilà.
11:36 La réponse qui nous a le plus marquée, c'était le petit garçon de l'année dernière
11:39 qui demandait une chérie pour son papa.
11:41 On était émus, on ne savait pas trop comment répondre au début.
11:44 Et puis on a essayé de le tourner sous la forme de l'humour,
11:47 comme on répond à ceux qui demandent des chats pour Noël.
11:49 On achète des gommettes aussi, donc voilà, tout capoté.
11:55 Et si Mathilde et Nathalie doivent encore poster les lettres,
11:58 nos apprentis Mère Noël n'ont pas hésité à apporter un peu de magie
12:02 et de nostalgie en ces temps de fête.
12:04 Dans la nuit, on ne voit qu'elle.
12:16 La maison d'Éric Boyer est rayonnante pour les fêtes de fin d'année.
12:20 Au total, 40 000 lumières forment ce spectacle.
12:24 Alors contrairement à ce qu'on peut penser, il y a beaucoup de lumières,
12:27 mais moi, ça me coûte, sur l'ensemble du mois que j'éclaire,
12:32 ça me revient à 50 euros de plus.
12:35 Tout simplement, c'est tout des lumières LED,
12:38 haute génération, enfin nouvelle génération.
12:41 Et puis voilà, ça consomme très peu.
12:43 [Musique]
12:47 Pendant la moitié de l'année, avec sa famille, il prépare les scènes.
12:51 Plans, croquis, il faut bien tout ce temps, car beaucoup de décors sont faits main.
12:56 - À toutes les années, on a toujours peur d'être à la traîne, quoi,
13:02 mais bon, ça le fait.
13:05 [Musique]
13:09 - Donc le moulin fait maison aussi.
13:11 Moulin, bonhomme de neige, tout est fait pour émerveiller.
13:15 [Musique]
13:17 - Ils ont le sourire, parfois il y en a qui veulent faire plusieurs tours.
13:21 Mais bon, même les grands, les grands aussi, ils adorent.
13:25 - Chaque année, il y a des nouveautés, c'est un petit peu amélioré à chaque fois.
13:31 C'est incroyable.
13:33 - Toujours plus. Déjà que c'est magnifique et il en rajoute une petite couche,
13:37 on ne sait pas comment il fait, mais oui, ça se planque.
13:39 - Et se cachent dans l'installation des détails et références que vous reconnaîtrez peut-être.
13:44 [Musique]
13:52 Eric Boyer ouvre sa maison jusqu'au 7 janvier aux visiteurs
13:55 et leur offre même quelques friandises et collations.
13:59 En repartant, ils sont invités à laisser un mot dans le livre d'or,
14:02 toujours, le promet Eric, rempli de beaux compliments.
14:06 [Musique]
14:10 - Et ce mardi 12 décembre à 12h, un 12-12-12, donc Forestival a aligné les planètes
14:16 pour afficher trois nouveaux noms de l'édition 2024 du rap en force
14:21 avec le retour de la funky et le jeune rappeur polac.
14:24 Le troisième nom, c'est Pomme, toute de folk et de pop.
14:27 [Musique]
14:31 Un grand écart donc, puisque côté rap, c'est deux époques qui vont se côtoyer.
14:35 Les Marseillais de la funky family qui se reforment pour uniquement quatre concerts
14:38 en festival cet été, c'est presque une exclusivité.
14:42 [Musique]
14:52 La funky family qui a vu le jour il y a 30 ans, tout juste, c'était en 94,
14:56 ils étaient à peine majeurs, ils étaient alors les Bad Boys de Marseille.
15:01 La réformation auquel personne ne croyait, c'est au tour de Pomme,
15:05 l'infatigable producteur de son des funky, atteint de la maladie de Charcot.
15:10 En soutien à leur producteur, ils sont apparus en 2015 et sur une date l'an dernier,
15:15 un mars attaque et ils seront donc dans le forest en 2024 pour leurs 30 ans.
15:19 Ce sera le vendredi.
15:21 [Musique]
15:30 A l'autre bout de le chiquier rap, celui que la presse appelle l'ours du rap français.
15:35 C'est un gamin, encore, Mathieu Pruski, qui vient de passer ses 25 ans.
15:39 Un ours et un nom en trois consonnes, PLK pour Polak.
15:42 Pour ses origines polonaises, un activiste des rap pop, trap, alternatif, dirty,
15:47 on sait plus ce que ça veut dire.
15:49 En tous les cas, lui n'a pas froid aux yeux, il a signé près de 100 collaborations,
15:52 trois mixtapes, deux albums, dont "Ena" qu'il rebooste en une édition Boost Ena.
15:57 Un ours travailleur, pas toujours calme, notamment avec la police,
16:01 et qui, en musique, va au charbon et défend des valeurs de famille.
16:05 Parait-il, ce sera dimanche.
16:07 Enfin, vraiment à l'autre bout du bout de ce dimanche,
16:09 on retrouvera Pomme la lyonnaise, Claire Pommet, une amie des Terres Noires.
16:13 Un brin de voix léger, plus brindille que Pomme tombée de l'arbre.
16:17 Une Pomme qui a cette allure de festivalière, mais qui croque dans les grandes scènes.
16:21 Le cinéma depuis peu et l'opéra et un orchestre instrumental autour de son nouvel album,
16:25 après faille et consolation, elle croque.
16:28 Le temps et les quatre saisons s'envivent, elle dit.
16:31 Sous les étoiles de Trollin, ça promet une sacrée douceur.
16:33 Ce sera dimanche.
16:35 Et ce 12-12-12, le forêt ouvre les billets un jour et les passe deux jours.
16:39 Alors vous savez ce qu'il vous reste à faire pour Noël.
16:42 Sans doute faire plaisir.
16:43 Une semaine après s'être séparé de Laurent Batless,
16:53 Saint-Etienne tient son nouvel entraîneur en la personne d'Olivier Dalloglio.
16:57 Pour une durée de six mois avec une année en option.
17:01 Le nouveau technicien stéphanois a déjà cerné les axes à améliorer pour repartir de l'avant.
17:06 Je pense que la première des choses c'est de leur dire qu'ils sont dans un grand club,
17:13 qu'il y a une grosse attente, qu'il y a une ville qui vit au rythme du football.
17:18 C'est ce que je leur ai dit.
17:20 Je viens moi-même d'une petite ville qui est minière,
17:24 avec une famille d'ouvriers.
17:28 Donc je sais ce que c'est les attentes, je sais ce que c'est le football.
17:32 Donc en fait je me retrouve dans ces valeurs-là.
17:36 A 59 ans, Olivier Dalloglio a déjà entraîné Brest, Dijon et Montpellier,
17:41 dont il a été licencié après une troisième défaite à la suite.
17:44 C'était face à Lens le 15 octobre 2022.
17:47 Depuis, l'entraîneur originaire du Gard n'avait pas retrouvé de club.
17:51 Je suis vraiment un homme de terrain, j'aime le terrain.
17:55 Je ne vous cache pas que parfois, les premiers jours,
18:01 quand on se repose, ça ne fait pas de mal non plus.
18:04 Mais oui, il y avait une impatience de retrouver le terrain, c'est sûr.
18:07 Un choix conforté par Loïc Perrin, le coordinateur sportif était présent
18:11 aux côtés du nouvel entraîneur en conférence de presse.
18:14 Désormais, il faut surtout penser au prochain mercato qui approche à grands pas.
18:18 On a commencé à en parler, forcément.
18:21 On va en parler un peu plus en profondeur.
18:23 Mais on a déjà ciblé des choses qu'Olivier a ciblées,
18:27 on a parlé un petit peu.
18:30 Donc oui, je pense qu'on est sur la même longueur d'onde.
18:34 Mais forcément qu'on va prendre en temps pour en parler plus en détail.
18:38 L'objectif est inchangé.
18:39 Les Verts doivent terminer dans les cinq premiers du championnat
18:42 pour ensuite espérer monter en Ligue 1.
18:44 Ça passe par une victoire face à Bordeaux ce samedi.
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