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NewsTranscription
00:00 Terre de France.fr, le premier site d'articles français et patriotes présente...
00:04 Ici Sud Radio.
00:08 Les français parlent au français.
00:13 Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:16 Je n'aime pas la blanquette de veau.
00:19 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:22 Et bien effectivement dans tous nos états
00:26 et dans des états intéressants.
00:28 Vous savez on a parlé de Crépole hier,
00:30 on a parlé de ce qui s'est passé ce week-end
00:33 avec cette espèce de...
00:36 que certains ont appelé Rix et autres
00:38 et qui s'est terminée dans le sang.
00:40 Et puis là justement on va voir un peu des réactions.
00:45 Et certaines réactions, vous allez voir,
00:47 qui sont plus instructives que n'importe quel récit.
00:51 Écoutez.
00:52 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
00:55 Vous avez reconnu, en tout cas pour ceux qui connaissent,
00:58 et il y sont nombreux, Léo Ferré.
01:00 Je hais, je hais, oui.
01:02 Alors c'est... les haines de Léo Ferré, je les aime bien.
01:05 Mais d'autres haines, vraiment,
01:07 ce n'est pas la même chose.
01:09 Des haines qui vont et qui estiment qu'il faut casser
01:12 telle ou telle communauté,
01:14 telle personne, des jeunes qui vont faire la fête
01:18 et puis voilà, il faut leur entrer dedans, etc.
01:22 Et on voit bien aujourd'hui, vous savez,
01:24 Fourquet, les autres sociologues, psychologues,
01:28 on parle de démographes, géographes,
01:32 de cette France coupée en deux, de cette France,
01:34 ou en trois, ou en dix, cette France archipélisée.
01:37 Mais écoutez, l'engage d'abord,
01:39 des gens qui effectivement sont copains
01:42 des quelques personnes qui sont allées effectivement
01:46 casser la fête à Crépole.
01:48 Je rappelle un petit village de Drôme de 500 habitants
01:52 où il y a une soirée très simple et affinée en drame.
01:56 Écoutez un peu ce langage et traduisez-le.
02:01 C'est le moura de Jardinier qui s'est fait trancher la gorge.
02:05 Zéro nouvelles, rien, y a zéro suite, vous parlez pas.
02:08 Que quand ça vous arrange, bande de tapettes.
02:10 Là, vous venez nous faire les victimes.
02:12 Je dis pas bien fait, je crache pas sur la mort du gamin,
02:15 mais à un moment donné, il faut avoir les tenants, les aboutissants.
02:18 Ils se sont pas rendus sur place pour tuer,
02:20 ils se sont rendus sur place pour s'amuser.
02:22 Ils se sont vus refuser l'accès encore une fois,
02:24 ils se sont laissés vivre une bagarre.
02:26 Un gamin est mort, l'autre l'a perdu des doigts, l'autre ci, l'autre ça.
02:29 Et celle ou celui qui est pas content, va niquer tout témoin.
02:32 C'est bon, Gérard Darmanin, Bruno Attal,
02:35 va niquer tout témoin, celle ou celui qui n'est pas content.
02:39 Gérard Darmanin, 8 tannées,
02:42 vous avez interpellé des gens, y en a, ils ont rien à voir.
02:45 Vous faites flipper des photos de gens qui ont rien à voir.
02:48 C'est pas un acte prémédité, encore pour la dixième fois,
02:51 c'est juste une bagarre, ça nous suivit des échanges de coups de couteau,
02:54 arrêtez de tout mélanger.
02:56 Y en a à l'heure actuelle, ils sont en guerre d'abus,
02:58 ils ont strictement rien fait. Bande de fils de pute.
03:01 - Voilà, effectivement, bande de fils de pute,
03:05 nique ta mère, etc., un langage qu'on connaît,
03:08 qui s'entend, qui est devenu quotidien,
03:10 à un certain nombre de latitudes de France et de Navarre.
03:14 Et écoutez, on va pas faire de jugement là-dessus,
03:18 ce qui est intéressant, c'est qu'il y a cette population-là,
03:21 on en a rien à faire, et d'autres qui parlent de la France.
03:25 Et voilà ce qu'ils disent, et c'est très, très, très instructif,
03:31 parce que ça montre bien, en fait, le fossé qu'il y a
03:35 dans, quelquefois, les mêmes populations. Écoutez.
03:38 - J'en ai marre, parce qu'en fait, ça va toujours retomber sur nous.
03:41 Ça va toujours retomber sur nous.
03:44 Pour ceux qui savent pas, à Crépole, un petit village à côté de Lyon,
03:48 des jeunes de cité, vraiment que des jeunes de cité,
03:51 sont venus déranger une fête tranquille,
03:54 parce qu'ils voulaient s'incurser dans la fête.
03:56 Ils ont coupé le doigt du vigile, qui voulait pas les laisser faire passer,
04:00 enfin, les laisser passer, et ensuite, ils sont rentrés dans la fête,
04:03 ils ont poignardé un mec de deux coups de couteau,
04:07 et il est mort, il s'appelle Thomas.
04:09 En fait, ce qu'ils font, c'est que toujours, ça retombe sur nous.
04:12 Oh là, toujours, ça va toujours retomber sur nous,
04:14 ça va faire monter le racisme contre nous, et on en a marre.
04:17 Oh là, on en a marre, toujours, que ces gens-là,
04:20 ils nous incriminent tout le temps, parce que c'est...
04:23 En vrai, à un moment donné, les gens, ils ont, entre guillemets, raison
04:26 de faire de la bonne gamme, parce que trop de gens qui promouvoient
04:30 ce genre de comportement, en nous faisant passer pour nous,
04:33 et bah, en vrai, à un certain moment, c'est normal que certains,
04:36 ils commencent à tout mélanger.
04:37 Je ne suis pas en train de donner raison à l'extrême droite
04:39 qui va extrapoler tout ça, mais je donne raison à ceux qui commencent
04:43 à se dire qu'en fait, ils sont bizarres, eux.
04:46 Je pense en vrai que c'est à nous-mêmes, qui voient ces genres de comportements,
04:50 de directement les blâmer, directement, pour pas que ça se reproduise,
04:55 parce que ça va toujours retomber sur nous.
04:57 Voilà.
04:59 Voilà, c'est très très intéressant, ces réactions sur Crépole.
05:03 Vous avez vu, il y a des réactions très différentes, dans les mêmes milieux.
05:06 Dans les mêmes milieux, c'est pas une question de généralité,
05:08 de communauté, de couleur, d'ethnie, etc.
05:11 C'est qu'il y a les gens qui pensent "Nique ta mère", "Va te faire foutre",
05:15 "La France, on en a rien à foutre, sauf la CAF", et tout ça,
05:18 et il y a les gens du même milieu, des mêmes ethnies ou autres,
05:22 qui disent "Attendez, on réfléchit un peu, on est lucides", et tout ça.
05:25 C'est pour ça qu'il faut jamais faire de généralisation.
05:28 C'est pas une généralisation communautaire qu'il y a à faire.
05:30 Il y a dans chaque communauté, hélas, des crétins asservantés,
05:34 des espèces de cerveaux vides, qui ne pensent que par la haine et par l'insulte,
05:38 et qui sont en train d'emmerder tout le monde,
05:41 et puis il y a des gens qui disent "Attendez, ça suffit quoi,
05:44 on n'est pas solidaires de ça, on n'est pas solidaires,
05:48 il ne faut pas que ça retombe sur nous, parce que ils ont, et c'est tout,
05:52 et ça n'a rien à voir, qu'on soit blanc, noir, etc."
05:55 Il y a la même proportion de crétins, et la même proportion de gens qui réfléchissent,
05:59 et qui ont une petite, un petit grain de neurone dans le cerveau,
06:03 et qui savent, et c'est ceux-là qui sont importants.
06:06 C'est ceux qui ont, je le dis toujours, et je le radote,
06:09 ceux qui ont question à tout, et qui réfléchissent.
06:13 Et ce n'est pas une question de milieu, ce n'est pas une question, encore une fois,
06:16 ni de couleur de peau, ni de religion.
06:19 C'est une question de savoir, si on est un âne batté à hier,
06:24 ou un diamant à mille facettes, et ça, ça se trouve partout.
06:28 Et Crépol' en est encore une illustration.
06:31 Sud Radio Bercov, dans tous ses états.
06:34 Non, mais il y en a qui n'attendent pas la nuit pour mentir.
06:37 Alors, le syndicat Liberté Santé, vous savez, qui a porté plainte,
06:41 il porte plainte depuis trois semaines, contre un certain nombre de médecins,
06:45 dont il estime, ce syndicat Liberté Santé,
06:49 de façon très très précise, il a porté plainte,
06:52 déjà contre le professeur André Grimaldi,
06:55 et contre le docteur Karine Lacombe,
07:00 et là, hier, c'est Gilbert De Ré,
07:04 qui porte plainte, donc, ce syndicat,
07:07 devant la chambre disciplinaire du conseil régional de l'ordre des médecins,
07:10 Île-de-France.
07:12 En disant quoi ? En deux mots, et très très rapidement,
07:15 abus de crédibilité publique, défaut aggravé de mesure et de prudence,
07:19 non-respect de l'obligation de délivrer une information médicale loyale,
07:23 défaut de mise à jour de ses connaissances, non-déclaration de ses liens d'intérêt,
07:27 dans le cadre de son expression publique, vous savez,
07:29 les conflits d'intérêts avec Big Pharma et les labos,
07:32 discrimination et manque de confraternité, etc.
07:35 Alors, le professeur Gilbert De Ré, vous allez me dire,
07:37 "Ah bon, mais qu'est-ce qu'il a fait, Gilbert De Ré ?"
07:39 Eh bien, Gilbert De Ré, rappelez-vous, il en parlait tout le temps,
07:43 il était sur les fenestrons, sur les antennes, du matin au soir,
07:46 et du soir au matin.
07:47 Et alors, qu'est-ce qu'il a dit, Gilbert De Ré,
07:49 notamment début 2021, avec le vaccin ?
07:52 Écoutez, c'est très intéressant à écouter, à l'aune de novembre 2023.
07:57 - Quand est-ce qu'on connaîtra les propriétés de ce vaccin ?
08:00 C'est-à-dire de savoir s'il empêche la contagion,
08:04 s'il y a une protection contre ce nouveau variant,
08:07 et puis la durée de l'immunisation.
08:09 Quand est-ce qu'on pourra avoir ces données-là ?
08:11 - Il y a plusieurs choses. D'abord, soulignons ce qu'on sait.
08:14 Il est efficace à plus de 90%. C'est extraordinaire.
08:17 C'est vraiment... On est de l'ordre du vaccin contre la rage,
08:21 de la pénicilline de Fleming, du vaccin d'Orgenner du XVIIIe siècle.
08:26 On est de cet ordre-là. Il faut bien le dire et le redire.
08:29 Ça, c'est la première chose.
08:30 Donc, il marche extrêmement bien. Sa tolérance est bonne.
08:33 Et ensuite, on a des questions qui sont liées simplement
08:36 aux données insuffisantes et au recul.
08:39 Pour ce qui est de la transmission, on va le savoir assez vite, là, maintenant,
08:42 puisqu'on est en vie réelle avec des millions de personnes vaccinées.
08:44 Dans les semaines qui viennent, on aura la réponse à cette question.
08:47 Comme je vous le disais, des données préliminaires suggèrent
08:50 que, effectivement, on bloque la contagion.
08:52 Ça, c'est une bonne chose.
08:53 Pour ce qui est de la durée de l'immunité, c'est juste une affaire de temps qui passe.
08:56 On n'a que 3 à 4 mois pour l'instant pour l'immunité.
08:59 Au pire, allez, au pire, il faudra se vacciner comme pour la grippe,
09:02 une fois par an. Ce n'est pas du tout un problème.
09:05 Donc, ces questions-là, on va les avoir au fur et à mesure.
09:07 On a pour l'instant le pilier. On bloque la maladie.
09:11 Et le deuxième pilier qu'on a, c'est la sécurité semble très bonne.
09:15 Voilà. La sécurité semble très bonne.
09:17 Pas d'effets secondaires, pas de dommages collatéraux, pas d'effets indésirables.
09:20 Non, non, non, tout va très bien, madame la marquise,
09:23 dit Gilbert Deray, chef du service de néphrologie de l'hôpital de la Pitié-Salpêtrière.
09:28 Alors, conflit d'intérêts ? Je ne sais pas.
09:31 On ne va pas rentrer dans le détail, mais juste un mot.
09:34 De 2017 à 2019, ce sont les chiffres officiels,
09:38 plus de 7 milliards d'euros ont été versés par l'industrie pharmaceutique
09:43 aux professionnels de santé dans 11 pays européens.
09:46 11 pays européens, 3 ans, 2017-2019, donc avant effectivement la pandémie.
09:52 7 milliards d'euros. Et depuis ?
09:54 Et bien depuis, écoutez, ne répondez pas tous à la fois.
09:58 - C'est parti.