Mid Morning Show - L’appendicite chez l’enfant
Mid Morning Show - Jenna reçoit Shakil Ameerudden, chirurgien.
Mid Morning Show - Jenna reçoit Shakil Ameerudden, chirurgien.
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00:00 Top FM Mid-Morning Show
00:03 Bonjour à tous et merci de nous rejoindre ce matin sur notre page Facebook Top FM
00:12 de notre Mid-Morning Show, plus précisément dans notre Baby Zone.
00:16 Côte ce matin, nous pouvons recevoir le Dr Sharkey, l'ami Houdin, qui est chirurgien
00:22 et qui pédose sur l'appendicite chez les enfants.
00:25 Docteur, bonjour.
00:26 Bonjour.
00:27 Alors, donc aujourd'hui, nous choisir le thème de l'appendicite chez les enfants,
00:31 surtout que les enfants sont à la maison actuellement et c'est un cas fréquent qui est arrivé.
00:36 Donc, d'abord, nous nous qu'avons de Manuel. C'est quoi exactement l'appendicite?
00:41 Bon, premièrement, je vous remercie de votre invitation.
00:45 C'est toujours un plaisir de venir sur Top FM et je vais profiter pour dire à tous les Mauriciens
00:50 Happy Diwali.
00:51 Happy Diwali.
00:52 Voilà.
00:53 Donc, un sujet très intéressant qu'il nous faut choisir aujourd'hui, l'appendicite,
00:57 surtout chez les enfants.
00:59 Donc, la première question souvent, c'est quoi l'appendicite?
01:03 Vu qu'il y a des causes, alors c'est un sujet la même.
01:06 L'appendicite, donc, je peux vous dire que le localisé, c'est situé entre le colon et
01:13 l'intestin grêle.
01:14 Ça veut dire entre le petit pouce et le grand pouce.
01:17 C'est un prolongement du colon.
01:19 Il est en forme, comme on peut le dire, de doigt de gant.
01:23 Et dans le jargon, on dit "appendice vermiforme".
01:28 On peut dire "vermiforme", comme on peut imaginer quand on dit ce nom-là.
01:31 "Vermiforme".
01:32 Et après, comme un lévé.
01:34 Donc, si vous regardez une image sur Internet, autour de nous, vous trouverez que c'est
01:40 un petit lévé qui sort depuis le colon.
01:43 Souvent, la deuxième question que les gens me posent, c'est "qui se fonctionne?"
01:50 Qui se fonctionne?
01:51 Qui se fonctionne?
01:52 Jusqu'à présent, vraiment, personne n'a pas découvert un rôle très définitif,
01:59 mais nous dirons que les parties qui participent au système immunitaire, donc, les biens
02:06 de certaines immunoglobulines, qui identifient à la résistance du système digestif,
02:12 nous le disons entre guillemets.
02:14 Et il y a des études aussi qui montrent que peut-être qu'il y a des bactéries qui
02:19 identifient à la digestion.
02:21 D'accord.
02:22 Donc, c'est plus relié au système digestif.
02:24 Voilà, exactement.
02:25 D'accord.
02:26 Et oui ou non?
02:27 Non, non, ça marche.
02:29 Et donc, quelles sont les causes, justement, qui provoquent ça?
02:34 Ça aussi, c'est une question très, extrêmement intéressante.
02:38 Et ça aussi, jusqu'à présent, nous ne payons pas une cause définitive qui fait
02:43 tel dimension pour gagner un appendicite, le dimension pas pour gagner.
02:46 Mais nous pouvons dire qu'en fin de compte, nous ne comprenons qu'ils ne sont pas tout
02:50 physiologiques, c'est-à-dire comment il est arrivé qu'un dimension, il développe un
02:53 appendicite.
02:54 Donc, comment nous devons causer?
02:57 Il y a un petit tube en forme comme un petit levier, comme ça.
03:01 Donc, le mécanisme pour avoir une inflammation de ce organe-là, c'est que sur l'intérieur,
03:10 il est bloqué, donc ce n'est pas obstruction.
03:12 Qui va le bloquer?
03:13 Il y a de nombreuses raisons.
03:14 Souvent, il y a des gens, des personnes fécolites, qui ont un petit lacéroture qui rentre là-dedans,
03:18 qui bloque les.
03:19 Donc, vous pouvez imaginer un tube qui est bloqué.
03:21 Donc, tout le monde s'écriche pour bloquer là-dedans.
03:23 Donc, avec le temps, il est enflammé, il a des cas infectés, ça veut dire qu'il
03:28 est venu un appendicite.
03:30 Donc, c'est l'appendice qui est bloqué par certains mécanismes et ça bloque la
03:35 même qui cause une inflammation de l'organe, de l'appendice à terme.
03:40 Il est bloqué, c'est-à-dire par mal manger?
03:43 Voilà.
03:44 Donc, souvent, ce n'est pas la selle même.
03:46 Donc, il y a un petit lacéroture qui rentre là-dedans, qui bloque-là.
03:48 Mais il y a aussi d'autres raisons aussi.
03:50 D'accord.
03:51 Et quelles sont les personnes qui sont les plus à risque de nous retrouver?
03:55 Là, il n'y a pas que pour les enfants, mais…
03:57 Exactement.
03:58 Mais, comment on va finir le sujet thomapique?
04:01 Parce que, on dit que le contingent de patients qui souffrent d'un appendicite aigu, c'est
04:08 surtout les adolescents ou dans la tranche d'âge de 20 à 30 ans.
04:12 Exceptionnellement, il y aura qui nous gagne les domaines très jeunes, donc on dit en
04:16 bas 3 ans, ou dans les domaines qui, par exemple, sont 75 ans.
04:20 Donc, c'est surtout les enfants, les adolescents et entre 20 à 30 ans.
04:24 Entre 20 à 30 ans, nous tous à risque.
04:27 Nous tous à risque.
04:28 Au fait, il n'y a pas d'autres personnes qui peuvent le faire.
04:30 Oui.
04:31 Mais seulement, nous pouvons dire qui est le plus commun dans cette tranche d'âge.
04:34 Dans cette tranche d'âge.
04:35 Et comment nous reconnaître?
04:37 Quels sont les symptômes?
04:40 Les symptômes.
04:42 En règle générale, l'appendicite, quand on dit qu'on commence à avoir une crise aiguë,
04:49 nous disons, d'après le livre, mais tous les temps, les trévoriens nous disent ça.
04:54 Ils disent, ok, on commence à avoir du l'air au niveau de l'ombré, donc du l'air abdominal.
04:59 Là-bas, doucement, doucement, il migrit.
05:02 Du l'air là, il vient plus du côté droit, comment nous disons, dans le quadrant droit inférieur.
05:07 C'est-à-dire dans le bas-ventre, plus du côté droit.
05:10 Là, il commence à se localiser là-bas.
05:12 Et avec ça, surtout les enfants, ils commencent à pleurer un petit peu, du l'air ventre.
05:18 Ce n'est pas pour eux de manger, c'est pour eux de faire faim.
05:22 Ils peuvent avoir un petit peu de nausée, quelquefois un petit peu de vomissement, un petit peu de fièvre, quelquefois.
05:30 Un adulte ne peut pas expliquer tout ça, mais comme on le pourrait, les enfants,
05:34 quelquefois, sont très difficiles à comprendre exactement où est la douleur.
05:37 Donc, c'est ce qu'ils peuvent dire, ils peuvent avoir un petit peu de douleur à l'avant,
05:40 du fait de faire mal, un petit peu du côté droit, avec surtout le comportement même de l'enfant.
05:46 Un enfant, il peut jouer, il peut être actif.
05:48 Là, on peut le trouver un petit peu tranquille, on ne peut pas dire qu'il a fait mal, qu'il a bousé, qu'il s'en tienne, la douleur.
05:53 Là, nous ne savons pas comment se penser.
05:56 Peut-être est-ce que ces enfants-là, ils ont un apprentissage.
06:01 Là, vous avez un peu d'inquiétude parce que les symptômes que vous pouvez décrire,
06:05 par exemple, moi, si je dis à mes enfants, je vais se sentir mal,
06:09 je pense qu'il a une gastro, parce qu'il me pensait situé pareil.
06:14 Même symptôme, vous pouvez décrire.
06:17 Oui, exactement. Au final, il y a un point extrêmement important,
06:22 parce que toute la difficulté du diagnose de l'apprentissage,
06:28 il résume là-dedans, parce qu'il n'y a pas une affaire qui nous cadre, comme on dit, black and white.
06:33 Très souvent, ma parent, je devine, ils sont un petit peu surpris parce qu'ils n'ont pas compris.
06:38 Ils comprennent même, il y en a qui fait, il y en a qui dit ça, il y en a qui dit ça.
06:42 Mais partout dans le monde, jusqu'à présent, ce n'est pas une diagnose que nous avons,
06:46 ce qui nous dit ça, mais c'est une collection.
06:49 C'est une collection d'informations, de tests, cliniquement,
06:53 nous pouvons nous retrouver sur ces affaires-là, et c'est là qu'on fait le diagnose.
06:57 Comme on le fait très bien dire, quelques fois,
06:59 les enfants ne peuvent pas juste prendre un petit douleur, un petit colic, un petit gastroentérite,
07:03 mais ça, ce manque de douleur que nous pouvons dire là, c'est une affaire assez passagère.
07:06 Par contre, quand les enfants ont un apparenticide,
07:09 ils commencent un petit peu comme ça, mais là, ils commencent à développer,
07:12 c'est là qu'ils commencent à comprendre un petit peu plus bien.
07:14 Ils viennent plus aiguë.
07:15 Voilà. Comment on peut dire? Comment on fait le diagnostic?
07:18 Premièrement, comment on peut dire, c'est l'examen clinique,
07:20 donc le patient ou les parents peuvent dire les symptômes qu'ils veulent dire.
07:24 Donc, douleur abdominale, nausée, vomissement, un petit peu la fièvre,
07:29 les parents sont en retard, ils sont tranquilles quand ils bougent, ils gagnent du l'air,
07:33 quand on presse surtout du côté droit en bas, comme on dit,
07:36 surtout quand on presse après, là, on gagne du coup,
07:39 ils souhaitent qu'ils gagnent du l'air assez, comment dire, un point, on peut dire.
07:43 Mais quand même, les parents peuvent dire que nous avons tout ça là,
07:47 on a un là-dedans, on a deux là-dedans,
07:49 on a bien des faibles, beaucoup plus compliqués pour mettre un diagnostic.
07:54 Et qui aide nous à ce terrain pour faire un diagnostic?
07:56 Donc, ce qu'ils nous font, ils nous font un test biologique, donc un test sanguin.
08:01 Donc, on peut dire un petit peu, quelle est la situation dans ce test sanguin?
08:05 Donc, ce qu'ils nous peuvent trouver dans les patients,
08:07 donc, je suis un enfant qui a eu un appendicite,
08:10 surtout des globules blancs ont augmenté.
08:13 Donc, nous pouvons avoir six d'infections.
08:15 Quelquefois, nous pouvons avoir un test comme le CRP qui mesure un petit peu,
08:19 qui mesure un petit peu l'inflammation dans les corps.
08:24 Tout ça là, nous pouvons avoir un test qui peut un petit peu augmenter.
08:27 Ou quelquefois très augmenté, si le cas est un peu plus compliqué.
08:30 Ça aussi, il permet de nous, comment dire, d'avoir l'idée pour prendre une décision.
08:35 Et troisièmement, qui maintenant est beaucoup plus available
08:39 et qui nous fait beaucoup plus régulièrement qu'avant, c'est ma imagerie.
08:43 Donc, ce qui peut aider nous beaucoup, c'est l'échographie et le CT scan.
08:49 Et là, moi, je vais vous dire lesquels.
08:51 L'échographie est beaucoup plus available, moins chère, beaucoup plus facile à faire.
08:57 Avec l'échographie, pas tous les temps qu'il nous faut diagnoser un apprenti.
09:01 C'est très important.
09:02 L'échographie, ce n'est pas le test qui peut permettre, en cas général,
09:06 de donner une diagnostic précise d'apprenti.
09:09 Mais ça peut faire, aider pour exclure les autres problèmes.
09:12 Par exemple, je prends du lait de mon côté droit, j'ai fait une échographie,
09:16 oh, je me suis fait un pire.
09:17 Ça veut dire que ce n'est pas ça, c'est un autre problème.
09:19 Oh, je me suis fait un casse, un gros casse.
09:21 Oh, je me suis fait une infection, je me suis fait une autre affaire.
09:24 Donc, nous pouvons dire non, mais ok, nous avons fini tout le problème.
09:26 Ça, probablement, ce n'est pas l'apprentissage.
09:28 Maintenant, quelquefois, on peut finir par faire une échographie aussi,
09:32 juste pour ne pas avoir vraiment une mauvaise idée de ce problème.
09:36 Là, nous avons le test Golden Standard,
09:39 qui nous donne beaucoup plus de précision dans le diagnostic.
09:43 C'est un CT-scan.
09:44 Donc, on fait un scan, on peut vraiment tout l'apprentissage.
09:47 On peut trouver s'il est beaucoup plus long que le normal,
09:51 s'il est enflé, s'il y a des fluides qui sont un peu autour,
09:55 qui sont collés un peu, fat straining, comme on dit.
09:58 Donc, nous avons beaucoup plus de signes qui permettent de prendre la décision.
10:02 Mais, quelquefois, tout ça là aussi, nous encourage un jugement.
10:07 Donc, il est très important de faire un très bon jugement.
10:10 D'accord.
10:11 Quand même, le traitement, c'est une opération.
10:14 Donc, quand nous avons tout ça là, nous expliquons aux parents,
10:16 vous savez, nous avons ça, nous avons du lien, nous avons notre test,
10:19 nous avons notre imagerie.
10:20 Donc, il peut paraître vraiment qu'il est en faveur d'un appendicite.
10:24 Là, vous savez, quand on vient expliquer,
10:26 là, les parents aussi, la famille, ils sont rassurés,
10:29 ils se trouvent vraiment, oui, préparés dans sa direction là.
10:32 Mais, même tout ça là, jamais il n'est pas 100%.
10:36 Mais là, on peut en prendre un petit peu plus,
10:39 un petit peu plus approfondi pour faire, vous, une fois qu'on le prend.
10:42 Qu'est-ce qu'il fait, une des fois, même si nous ne sommes pas 100% sûrs,
10:46 si nous avons une faute de suspicion, comment nous dire,
10:50 nous fais-tu aller? Qu'est-ce qu'il fait?
10:51 Parce que si nous tirons un appendicite, même si, mettons, il est normal,
10:55 il n'est pas un problème pour la personne,
10:58 il peut vivre sans problème comme a tout le monde.
11:00 Mais si nous ratons un appendicite, nous laissons le monde là,
11:04 et il développe des complications,
11:06 c'est beaucoup, beaucoup plus grave pour la personne.
11:08 Donc, quelques fois, quand nous, nous n'avons pas de doute,
11:11 mais la balance pépanche plus en faveur d'un appendicite aigu,
11:15 nous optons pour un traitement un petit peu plus, nous dire, radical.
11:19 D'accord. Là, on vient d'expliquer que, justement, c'est un diagnostic qui part 100%.
11:25 Exactement.
11:26 Ce n'est jamais 100% parce qu'il paraît comme si direz, parfois, c'est un peu flou.
11:29 Mais, comment dire, vous bien expliquer aux parents que si jamais,
11:33 parce que les parents aussi doivent être rassurés,
11:35 si jamais, bon, malgré que ce n'est pas l'appendicite,
11:38 nous enlèvent l'appendicite quand même, ce n'est pas un problème,
11:42 mais par contre, il y a un problème qui, si jamais, ce n'est pas l'appendicite,
11:45 nous ratons-le, il peut causer des complications.
11:48 Exactement. Et aussi, bon, ça dépend un petit peu peut-être après nous pour causer l'eau là.
11:53 De nos jours, l'opération là aussi, ce qui est bon, ce n'est pas juste de traitement,
11:59 mais lui aussi de diagnostic. Donc, ça qui nous fait, nous fait, moi, par exemple,
12:03 me faire dire, toujours pour la paroscopie, donc, on met un caméra en dedans,
12:07 ça veut dire, même si ce n'est pas ça le problème, vous avez tout le problème.
12:11 Donc, s'il y a un autre problème, vous réglez-le.
12:13 Vous rétournez.
12:14 Et maintenant, une affaire très intéressante aussi, je vais vous dire où,
12:17 si nous ne finissons pas d'entrer, nous ne finissons pas de commencer une opération,
12:20 même si nous trouvons l'appendicite là, elle est normale, nous pouvons finir avec elle.
12:23 Ok, c'est ça.
12:24 Pour les gens qui n'arrivent pas plus tard, et surtout pour les gens qui n'ont pas déjà fini d'opérer,
12:29 ils finissent de voir que la maladie est encore plus tard.
12:31 Donc, tout le temps, nous pouvons faire avec, dans tous les cas scénarios, nous pouvons faire avec.
12:34 Et nous pouvons régler, sûrement, nos autres problèmes.
12:36 Et il est bien important de souligner que même si nous retenons l'appendicite,
12:39 ce n'est pas un problème, nous devons aller pour vivre normalement.
12:41 Exactement, exactement. Parce que quand même, c'est une opération qui fait,
12:44 depuis un mille ans, enfin, depuis des années, c'est très courant.
12:47 Donc, tout le monde étudie, il faut le montrer,
12:49 quand même, un enfant qui fait une appendectomie,
12:51 il vit cela, il est pareil comme un après-adopté.
12:54 Normal, d'accord.
12:55 Alors, là, nous invitons nos auditeurs, si vous n'êtes pas capable,
12:58 téléphonez-nous sur le 213 77 77.
13:01 Nous pourrons retourner après, pour continuer avec le sujet,
13:04 avec le docteur Sharkey Laméroudine, qui est chirurgien, qui est avec nous en studio.
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15:09 *Musique*
15:22 Alors, nous sommes de retour dans notre Midmorning Show dans Babyzone. Ce matin avec nous le Dr Sharkey Laméroudine qui est chirurgien et qui fait cause avec nous sur la pain d'ici, chez les enfants.
15:34 Alors, Docteur, vous êtes capable de téléphoner aussi sur le 213 77 77 et Docteur, nous vous expliquons ce qui arrive sur les traitements. Quels sont les traitements qui sont appliqués dans ces cas-là?
15:47 Le traitement, quand on finit de poser le diagnose, le traitement porté dans les mains, c'est l'opération, la chirurgie.
15:56 Il y a des petits, maintenant, nous pouvons dire, il y a des petites divergences. Encore, il y a des études qui finissent de montrer, bon, pour vous, je vais vous dire un petit peu en parenthèse.
16:05 De nos jours, nous pouvons, par exemple, si nous faisons un scan, nous pouvons identifier, est-ce qu'il y a une appendicite compliquée ou non compliquée.
16:13 Si il y a une appendicite, comment on dit, une appendicite compliquée, c'est-à-dire déjà, il y a un stage un petit peu avancé, nous commençons avec un mal fluide, nous commençons avec une formation d'abcès et tout, le traitement définitivement, c'est la chirurgie.
16:28 Mais si nous ne pouvons pas dire, nous pouvons dire avec certitude, pas certitude, mais avec beaucoup, beaucoup d'assurance que c'est une appendicite qui est non compliquée.
16:38 Il y a une étude qui montre que vous pouvez commencer un traitement d'antibiotiques, donc vous suivez le patient, par exemple, il est bien, idéalement admis à l'hôpital ou à la clinique.
16:48 Donc vous suivez-le, au vent, ou quelquefois même pendant 24 heures, vous voyez avec le traitement comment il peut évoluer.
16:54 Quelquefois même deux jours, il y a une étude qui dit, vous voyez comment le patient peut évoluer.
16:59 Si vous trouvez qu'il y a vraiment une nette amélioration, on commence un traitement d'antibiotiques, le patient le lendemain, tu as vu, tout est bien allé, correct, vraiment, l'enfant est totalement rétabli, il est acceptable pour qu'il ne soit pas opéré.
17:13 Mais le risque que je veux vous expliquer, c'est que peut-être plus tard, il n'y a pas encore une infection, il n'y a pas encore d'appendicite.
17:23 Il n'y a pas de rechute.
17:25 Exactement.
17:26 Il n'y a pas de rechute. Il n'y a pas de rechute.
17:27 Il n'y a pas de rechute.
17:28 Donc, vous avez fait tout ça.
17:30 Mais il est acceptable pour, d'après les études, pour commencer un traitement médical d'un appendicite qui n'est pas compliqué, pour qu'il y ait une évolution pendant au moins 24 heures ou 20 nuits, quelquefois, vous êtes admis à soi, vous commencez un traitement, vous vérifiez que c'est un petit coup grand maintenant, c'est correct.
17:44 Mais si par exemple, on commence un traitement médical d'antibiotiques, fluides, tout ça, le patient le lendemain, il n'y a pas aucune amélioration ou il peut avoir un pli du lèvre, donc là, nous disons, ok, il n'est pas opéré.
17:57 Donc, ce n'est pas systématique qu'il ne passe pas la chirurgie.
17:59 Voilà. Mais le traitement même, c'est standard, c'est la chirurgie.
18:04 La chirurgie.
18:05 Et quand même, c'est une chirurgie très commune.
18:08 Un petit fact, c'est quand même, en chirurgie générale, c'est l'opération le plus courante.
18:15 Donc, tout chirurgien, c'est quand même, c'est l'opération qui est faite le plus couramment en chirurgie générale. C'est un appendicite.
18:23 Et alors, sinon, quelles sont les complications qu'il est capable de gagner, justement?
18:28 Voilà. Au fait, c'est le plus important de tout le sujet, ok. Les complications de l'appendicite, quand même, c'est une bonne affaire qui est assez préoccupant, assez grave.
18:42 Si nous suivons l'évolution de la maladie, donc où il y a une inflammation, il est infecté, et là, il commence, l'appendicite commence malade.
18:51 En langage simple qui est arrivé, il commence avec des bactéries en dedans, des fluides, il commence avec un dipieux même.
18:57 Tu pues, ok. Il commence à faire un abcès.
18:59 À l'intérieur.
19:00 Oui, de l'appendicite, il fait un abcès au l'appendicite là-même. Et arrivé là, il est capable même de perforer.
19:06 Donc, ce problème, quand il perfore, c'est qu'il y a, au ventre, toutes les précautions qu'on doit opérer.
19:11 On lave, on la mine, on met de manière stérile, toutes ces affaires, parce qu'il ne faut pas qu'il n'y ait aucune contamination dans le ventre.
19:17 Alors, c'est un image, nous, qu'on a un organe avec toutes ses infections, ce dipieux, tout ça, il casse dans le ventre.
19:24 De l'intérieur.
19:25 De l'intérieur. Donc, ce qu'on a, on a un abcès dans le ventre, on a un peritonite, donc une infection généralisée.
19:32 Donc, quand on a des affaires qui se localisent dans l'appendicite, la bactérie, elle est fente partout dans l'intestin.
19:38 Et même, nous disons, dans un cas extrêmement grave, ou quoi, avec un sepsis, c'est-à-dire, la bactérie commence à se redresser partout.
19:45 Là, ce traitement, ce genre d'opération, tout ça, tout ça, ça devient beaucoup plus compliqué.
19:51 C'est pour ça que c'est un diagnose qu'il nous a fallu toujours attendre, ne pas trop tarder.
19:57 Par exemple, j'ai de l'expérience, dans un cas où j'ai trouvé, donc, mon parent, sous la case, un enfant qui commence à avoir du mal, probablement c'est un appendicite.
20:08 Et quelquefois, quelquefois, il y a un moment où c'est un parent qui n'a pas eu la tendance, commence à finir de lire un petit peu, de lire, de lire, de lire, de lire, de lire.
20:17 Mais si nous trouvons une amélioration, il ne faut pas trop hésiter pour aller voir un docteur.
20:24 Parce que quelquefois, on a trouvé qu'il y a une goutte, par exemple, un jour, deux jours, trois jours, quatre jours, cinq.
20:29 Quand l'enfant, le patient, il finit avec des complications, donc, perforation de l'appendice, que le patient-là, sur l'opération, il est beaucoup plus compliqué,
20:39 que le patient-là peut rester un jour, il peut rester une semaine, que le patient-là peut mettre de l'eau, tout ça.
20:43 Donc, c'est toute l'importance qui, comment on peut dire, c'est une opération, quand on fait aller dans ce lieu, il passe très bien.
20:49 Le patient fait aller tranquille, sans grand problème.
20:53 Mais si nous ne ratons pas ça, nous finissons avec des complications, tout devient beaucoup plus difficile.
20:57 Donc, c'est important de faire un bon diagnostic à temps.
21:00 Et est-ce que c'est fréquent, les parents, est-ce qu'ils amènent leurs enfants, vous trouvez beaucoup de cas comme ça?
21:07 Oui, c'est une pathologie qui est extrêmement fréquente.
21:12 Et d'après les statistiques, c'est à peu près 5% de toute la population, à un moment donné, qui peut souffrir de l'appendicite.
21:21 5%, c'est quand même une personne sur 20, un enfant sur 20, les parents.
21:27 Et peut-être, il y a des fois, les parents-là, comment on peut dire, bien expliquer, les parents ne se connaissent pas, mais c'est,
21:33 ils ne se disaient pas « God, c'est important ».
21:37 Voilà. Donc, le message qui est très important, si on a des enfants, si on a quelqu'un qui commence à gagner du lointain,
21:44 si on l'a gagné, subitement, dans le ventre, il commence à brûler du côté droit, surtout au bas,
21:50 et il devient de plus en plus fort, donc c'est bien d'avoir un avis médical.
21:55 Pas nécessairement, comme on dit, il n'y a pas nécessairement de malades qui donnent pareil,
21:59 mais au moins, il y a un médecin qui est capable, qui fait…
22:02 Qui peut rassurer qu'il n'y a pas ça.
22:04 Voilà. Au moins, il fait quelques tests, des tests sanguins, écographiques, pour ne pas rater le diagnose.
22:09 Pas juste donner panadol.
22:11 C'est qu'il nous faut ça pour que le diagnostic nous donne la tête.
22:14 Et au moins, il explique au patient, qu'il n'y a pas de panadol ici.
22:17 Donc, quand même, il surveille lui-même, si vous trouvez qu'il arrive demain,
22:21 il peut faire mal, ou il peut plus faire mal.
22:23 Mais God, il fait mal qu'on y aille plus vite.
22:25 Donc, quand même, l'important, c'est la communication.
22:27 Ce qui est important, c'est que le patient, il peut comprendre qu'il peut arriver, qu'il était ça,
22:31 qu'il manque de risque, et donc, il est capable.
22:33 Donc, c'est un teamwork aussi, entre la famille et le médecin.
22:37 Donc, c'est comme ça qu'ils travaillent, de nos jours.
22:39 Donc, c'est pas, moi, je dirais ça, obligatoire.
22:41 Non, c'est une communication, c'est un teamwork.
22:43 Donc, nous avons les meilleurs résultats.
22:45 Les besoins clairs de la tête par an.
22:47 Voilà, nous avons besoin de toute l'information.
22:49 Voilà, c'est ça qui est important.
22:51 Et donc, si nous pouvez expliquer un petit peu comment, justement, comment se passe la chirurgie?
22:57 Donc, mettons, nous ne finissons pas par toutes les étapes du diagnostic.
23:02 Donc, nous avons des enfants, ils viennent avec des douleurs.
23:05 Donc, on a des tests sanguins, nous trouvons qu'ils sont dans des tests un petit peu élevés.
23:09 On fait une imagerie, une échographie, un scan, on mettez, voilà, ils paraissent en faveur.
23:15 On le pose à la famille, avec les parents, on explique ça, qu'ils peuvent intervenir.
23:20 Donc, c'est très important de bien expliquer à la famille comment ça peut passer et qu'est-ce qu'on peut faire.
23:26 Et nous avons deux façons d'opérer.
23:29 Traditionnellement, on peut faire ça par open surgery.
23:32 Donc, c'est une incision, incision même, donc chirurgie ouverte.
23:36 Et là, on manipule à l'intérieur, on tire la pente, on dit cela.
23:40 C'est une façon, mais de nos jours, nous nous bouge beaucoup plus, comme on l'a appelé, sur le minimal invasive.
23:48 Donc, nous faisons tout le monde chirurgie pour des très petites incisions.
23:51 Donc, ce qu'on fait, sous le nombril, nous mettons un tube avec une caméra, nous visionnons l'abdomen.
23:57 En même temps, il n'est pas juste une opération, mais aussi un diagnostic.
24:01 Nous pouvons inspecter l'intestin, nous pouvons voir si quelqu'un est malade.
24:05 Voilà, donc nous pouvons inspecter l'abdomen.
24:08 Et en même temps, là, nous mettons deux petits trous de 5 mm.
24:12 Là, on met un instrument dedans, une baguette, on met le même écran, on retire l'appendice.
24:17 Et de ce fait, les avantages de la chirurgie paroscopique.
24:21 Alors, avant les avantages, nous avons une auditeur en ligne, Saïda de Pleine Manière. Bonjour Saïda.
24:29 Bonjour, bonjour docteur aussi.
24:32 Bonjour.
24:33 Oui, moi j'ai une question pour poser avec le docteur.
24:35 Je ne connais pas les femmes pour modifier.
24:38 Oui, qui l'achètent?
24:40 Il y en a qui ne perdent pas l'appendice.
24:42 Il ne perd pas l'appendice.
24:44 Mais jusqu'à ce que mon docteur vienne, il fait trois grains, trois trous.
24:48 Oui, pour la paroscopie.
24:50 Oui, il fait ça.
24:52 Il fait ça, mais jusqu'à ce qu'il fasse sa opération, moi je vais tous les jours lui faire la fièvre.
24:57 Après, il va faire la fièvre et pour ça, il manque de respiration.
25:03 Ok, merci de l'appeler.
25:08 Oui.
25:09 Bon, d'après ce que le patient, bien sûr, il parle devant moi, mais de ce que je peux comprendre,
25:13 donc un médecin vient me voir, je lui fais une diagnose, je lui dis probablement qu'il a l'appendicite.
25:19 Il finit l'opération, comme on dit, il met une caméra, des petits trous, je lui dis il a l'appendice.
25:24 Bon, ok, problème réglé, il finit la casse, mais jusqu'à présent, il ne gagne pas la fièvre?
25:30 Oui, il gagne six mois.
25:32 Ok. Dans un cas...
25:35 Et puis ça, on connaît les péninsules, les pacasanti, les pacantinons, il y a quand ils sentent une affaire.
25:43 Ok.
25:44 Par exemple, si on mange un gâteau, les péninsules, comme on dit, elles gagnent.
25:49 Oui. Après ça, quand il est opéré, je lui dis, je vais lui mettre une dose de ce... comment dire, de la gastrocopie.
25:55 Ok.
25:56 Je lui dis, tu mets ça dans la gauche, on dort.
25:59 Ok.
26:00 Et ça, je ne sais pas si tu connais, il y a des gens qui font une médecine dans la gauche, est-ce que tu les mets?
26:08 Ce qu'ils mettent dans la gauche, si je peux comprendre ce qu'ils veulent dire, moi je pense que c'est pour l'anesthésie.
26:12 Ça veut dire, je donne un tube de patient, oui, je mets un tube qui rentre direct dans ce traché, ça veut dire que c'est un tube respiratoire.
26:19 Oui, oui.
26:20 C'est comme ça même qu'il nous donne l'anesthésie pour certains cas.
26:23 Mais moi, ce que je peux te conseiller, toujours me rassurer, bon, c'est bon qu'il ait fini de faire l'opération, probablement le médecin a trouvé assez, comment dire, éléments pour faire l'opération.
26:33 Oui.
26:34 Mais moi, ce que je peux te dire, peut-être que ce qui peut le gagner à cette période-là, ce n'est pas nécessairement relié, je ne vais pas dire 100%.
26:40 Oui.
26:41 Mais je pense qu'il y a un autre affaire aussi qui est ensemble, qui nous a besoin, qui nous a besoin de se faire aller, qui fait qu'il a un peu sorti la fièvre, qui fait qu'il ne se passe pas trop bien comme avant.
26:51 Mais moi, c'est un autre affaire aussi que je peux te conseiller, pour que l'esprit soit tranquille, pour qu'il soit capable de toujours,
26:58 ou même le côté pédiatre, ou le côté médecin, chirurgien, ou la personne qui est en opération, il est capable de faire une échographie, de vérifier, ça veut dire qu'il fait une échographie,
27:08 il fait un petit coup d'avance, est-ce que tu peux, tu n'as pas de collection, tu n'as pas de gens qui finissent de rester depuis la dernière fois?
27:15 Non, le docteur, ce jour, les petits, les grands.
27:19 Les grands.
27:20 Oui.
27:21 Non, ok, sans aucun problème, moi je pense qu'il est très, très, très, très, très judicieux, je vais lui faire une échographie, je pense que c'est une très bonne idée,
27:29 pour vérifier qu'il fait un petit coup d'avance.
27:31 Oui, il peut faire la fièvre tous les jours, il peut montrer ses marches.
27:36 Alors, vous pensez que le médecin, le docteur, c'est difficile comme ça, après?
27:42 Oui, oui, oui.
27:43 Bien sûr.
27:44 Non, c'est bon. Moi, je vais lui dire, en général, faire des affaires, régler tout au médecin, ou faire une échographie,
27:52 ou refaire les tests pour qu'il connaisse qui fait la fièvre.
27:57 Merci beaucoup.
27:58 Avec plaisir.
27:59 Merci.
28:00 M'espérer, M. Laligan, sous largement.
28:02 Allez, Romar.
28:03 Alors, donc, une petite pécose sur la chirurgie, comment ça se passe?
28:10 Voilà, donc, le patient, on fait une soie anesthésique, comme on a l'adam fin d'hier, on met les soies anesthésiques générales,
28:18 là on met une caméra, on met un instrument, on fait l'opération, on retire l'appendice,
28:25 et donc, ce qu'il nous fait, nous le retenons sur la terre, on le retire sur la terre pour faire une manipulation,
28:33 et là, l'appendice, on le retire à la base, un petit peu là-haut, on le coupe, normalement, on peut le mettre dans un sac,
28:41 on le retire, un petit peu côté de l'ombre, donc on a de très petites incisions.
28:45 Les avantages de la chirurgie paroscopique, c'est que le patient, il se récupère très rapidement, beaucoup plus rapidement.
28:52 Quelquefois, après des troisièmes de temps même, il finit, il se sent très correct, il finit, il commence de nid, un petit peu épouvant,
28:57 il cale, en même temps, il commence à se mobiliser, il commence à sauter en dehors du lit, morser, morser.
29:02 Il arrive des fois, comme on me le fait, le matin, le patient finit d'aller dans la soirée même,
29:07 et sinon, en règle générale, quelquefois, le lendemain, il y a aller.
29:11 Pas besoin, on n'a pas besoin de garder un patient plus que ça.
29:14 Donc, tout l'intérêt maintenant de la chirurgie laparoscopique, c'est que le patient, il a beaucoup moins de douleur après l'opération,
29:20 moins de risque d'infection, pour les femmes, les femmes, ou n'importe qui, ça n'a pas de problème.
29:26 Petites incisions, donc, les peines, elles sont coupées, pas parées trop, donc, un petit bout de côte lombrique,
29:31 il finit de casser la lombrique, avec des résultats tellement petits qu'il n'est pas pourparé, même.
29:35 Donc, c'est un abdomen qui vieille, donc, les oeilles, pour les femmes, c'est un intérêt cosmétique dans l'appearance.
29:43 Et aussi, le plus important, c'est le recovery avec hospital stay.
29:48 Ça veut dire, même en termes d'argent, un des bonnes résultats, moins à la clinique, moins à l'hôpital, c'est moins de coste, OK?
29:55 Le lendemain, les pieds allés, ils recommencent sur la vie de travail au plus vite.
29:58 Donc, c'est tout l'intérêt de nos jours, nous faire de la chirurgie par la paroscopie, par la technique,
30:03 pour que le patient, il sorte au plus vite de l'hôpital, avec moins de douleur et tout.
30:08 D'accord. Alors, donc, nous arrivons à la dernière partie de notre émission,
30:12 et surtout, si vous avez des questions sur la paine gycite, c'est le thème du jour, la paine gycite chez les enfants.
30:19 Le Dr Rami Roudine, qui est là avec nous, qui est chirurgien avec nous au studio du Pouvoir Aldi, a une plaisir à répondre à nos questions.
30:25 Vous êtes capables de téléphoner sur le 213 77 77, après une pause.
30:30 [Musique]
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31:54 Alors de retour en studio avec le docteur
31:56 Chakila Miroudin qui est chirurgien
31:58 équipé de Causes avec nous sur
32:00 le... tout ce qui concerne
32:02 l'appendicite chez les enfants
32:04 et vous êtes capable
32:06 de téléphoner sur le
32:08 213 77 77 pour la dernière partie
32:10 de notre émission. Et alors
32:12 vous avez un petit peu de causes tout à l'heure
32:14 la chirurgie, mais après la chirurgie
32:16 est-ce qu'il y a des précautions qu'il nous faut prendre?
32:18 Peut-être aussi la dame tout à l'heure
32:20 nous a dit comme ça, bon après, l'inquiète
32:22 elle a fait, je ne sais pas si ça a des complications
32:24 ou comment ça se passe, il y a des précautions
32:26 à prendre?
32:28 Tout dépend
32:30 de comment on le cause, il y a des façons
32:32 qui nous font la chirurgie
32:34 en méthode ouverte ou par la paroscopie.
32:36 Si vous voulez, pour la méthode
32:38 open surgery
32:40 quand vous faites l'opération, donc l'incision
32:42 est un petit peu plus large
32:44 vous devez couper un petit peu plus
32:46 et le recovery là,
32:48 vous êtes capable un petit peu plus longtemps, ça veut dire
32:50 ces deux-là, vous avez un petit peu plus de l'air
32:52 quand vous coupez, quand vous coudez tout ça là
32:54 il n'est pas nécessaire
32:56 de resserrer ce lit, donc après
32:58 l'opération, au plus vite qu'il est confortable
33:00 vous êtes capable de sortir du lit
33:02 quand vous faites par la paroscopie, le fait que
33:04 les incisions sont très petites
33:06 vous pouvez dire que le même jour même vous êtes capable de sortir du lit
33:08 normalement
33:10 après trois
33:12 trois étapes, six étapes
33:14 nous avons fini de donner le patient un petit peu
33:16 pour boire, nous quitter comment il peut tolérer
33:18 s'il n'est pas
33:20 vomi, il est plus confortable
33:22 normalement même le soir
33:24 nous avons fini de donner un petit peu la soupe claire
33:26 le lendemain, il mange
33:28 un petit peu peut-être léger
33:30 à cause des effets d'anesthésie, il resseulit
33:32 mais
33:34 nous dirons que de nos jours
33:36 après toute chirurgie
33:38 il y a un aspect différent qu'on a longtemps
33:40 c'est un enhanced recovery
33:42 nous
33:44 nous
33:46 nous encourage le patient
33:48 très vite à sortir du lit
33:50 commencer à manger, recommencer la vie normale
33:52 de ce fait
33:54 il se recouvre beaucoup plus vite
33:56 mais bien sûr sans se fausser
33:58 c'est un animal adulte bien sûr, il peut se reposer
34:00 mais sans aucun problème
34:02 il peut recommencer son activité, sortir du lit
34:04 aller à la toile, aller à l'élimination
34:06 la cuisine est revenue, il commence à se pencher un petit peu dehors
34:08 s'il n'est pas adulte
34:10 au plus vite il peut recommencer toute sa bonne activité
34:12 sans aucun problème
34:14 il a
34:16 fait ses bons pensements
34:18 chaque deux jours, trois jours
34:20 normalement il n'a aucun problème
34:22 mais après l'opération
34:24 même, nous dirions d'ici une semaine
34:26 normalement le patient
34:28 il n'a aucun grand problème
34:30 il est déjà sur pied
34:32 en général, il n'a pas
34:34 aucune diète pour le faire, plus qu'une autre personne
34:36 il recommence sa vie normale
34:38 après ces deux, trois jours là, remanger normal
34:40 manger normal
34:42 et le plus recommandé, comment on peut dire
34:44 que le patient là, il ne peut pas
34:46 rester assisé
34:48 et qu'il reste dans l'activité normale
34:50 maintenant, pour tout type de chirurgie
34:52 nous recommandons
34:54 au plus vite qu'on est capable
34:56 de tenir le patient en haut du lit
34:58 bien sûr sans qu'il nous fausse le lit
35:00 mais il faut qu'on le décourage au plus vite
35:02 ce système réflèche beaucoup plus vite
35:04 alors comment tu peux dire, tout à l'heure là
35:06 Mauditella est neveu
35:08 qui fait l'opé de l'appendicite
35:10 et justement
35:12 un enfant de 10 ans qui après
35:14 reprend le sport et qui justement
35:16 c'était compliqué après, c'était une recommandation
35:18 les médecins même ont recommandé
35:20 qu'il ne reprenne pas le sport tout de suite après
35:22 peut-être à cause d'une déchirure
35:24 est-ce que justement après
35:26 vous êtes capable, comment on peut dire
35:28 d'attendre l'activité normale, donc au-delà de ça
35:30 voilà
35:32 quand on commence à prendre un petit peu
35:34 les temps avant d'avoir commencé une activité
35:36 en disant 3 mois
35:38 il se peut que l'opération
35:40 là, il est capable d'être un petit peu plus compliqué
35:42 peut-être ils ont besoin d'avoir une incision un peu plus grande
35:44 quelques fois, les muscles même
35:46 avance les, quelques fois, on sectionne quelques muscles
35:48 tout ça, après on recoude les
35:50 peut-être dans cette optique là qu'ils ont recommandé
35:52 pour atteindre un petit peu plus longtemps que la normale
35:54 mais sinon, en règle générale
35:56 surtout si on ne fait pas
35:58 la paroscopie, le patient
36:00 il reprend toutes ses activités au plus vite
36:02 en regardant peut-être dans les 2 semaines
36:04 sans aucun problème
36:06 D'accord, et sinon
36:08 des conseils
36:10 pratiques
36:12 concernant
36:14 ce que je peux vous dire
36:16 le
36:18 le diagnostic est extrêmement
36:20 important
36:22 surtout qu'il s'applique à
36:24 des patients qui ont
36:26 un cadre de droit inférieur
36:28 il n'est pas
36:30 nécessairement seulement l'appendicite
36:32 mais il y a aussi
36:34 d'autres maladies qui mimiquent
36:36 les mêmes symptômes
36:38 donc quelques fois, il est arrivé aussi
36:40 qu'il y a eu un rencontre
36:42 où
36:44 on a fait l'opération de l'appendicite mais ce n'était pas
36:46 le problème
36:48 qu'est-ce qu'il y a d'autres maladies
36:50 qui nous permettent
36:52 d'avoir à peu près
36:54 la même image, qui est un peu pareille, qui mimique
36:56 un peu l'appendicite
36:58 ce qui ne nous faisait pas rater surtout
37:00 dans les dames ou dans les jeunes filles
37:02 c'est la désaffection
37:04 on appelle ça "tortion"
37:06 "of the ovarian cyst"
37:10 c'est-à-dire qu'on a une caisse de verre
37:12 qui se tourne autour de soi-même
37:14 et là, on sait que c'est bloqué
37:16 donc on commence à avoir une infection
37:18 inflammation, infection
37:20 donc, quelquefois
37:22 c'est à peu près
37:24 au même endroit
37:26 à peu près
37:28 donc, les difficultés, c'est
37:30 tout l'importance d'une échographie
37:32 pour la différencier, surtout
37:34 pour les jeunes filles et les dames
37:36 c'est très instructif
37:38 de faire une échographie pour différencier
37:40 le problème gynécologique d'un appendicite
37:42 ou même une grosse caisse de verre
37:44 qui peut compresser
37:46 comme on dit "tortion"
37:48 une caisse de verre autour de soi-même
37:50 et très, très, très
37:52 important, crucial
37:54 c'est de ne pas tout le temps exclure
37:56 une ectopique pregnancy
37:58 donc, une fois qu'on a une grossesse
38:00 qui est extra-utérine, par exemple
38:02 dans notre tube
38:04 ça donne un saillement, une douleur
38:06 qui mimique aussi un petit peu l'appendicite
38:08 donc, c'est aussi l'échographie
38:10 qui peut montrer ce problème-là
38:12 très commun aussi, une douleur du côté
38:14 droit au bas, c'est une patiente
38:16 aussi qui souffre quelquefois de malpire
38:18 donc, il y a un malpire qui descend
38:20 des pieds ou des reins, qui rentre dans votre vessie
38:22 il passe dans cet endroit-là, quelquefois
38:24 il fait un mal pareil
38:26 si vous ne pas trop différencier les deux
38:28 vous pouvez dire "ah, mais ça, il y a un douleur
38:30 là, peut-être c'est l'appendice"
38:32 quelquefois, il faut exclure ce problème-là aussi
38:34 c'est toute une question, il n'y a pas comme un détective
38:36 il faut demander s'il a un problème, s'il boit des lieux
38:38 comment dire, il faut avoir
38:40 toutes les bonnes affaires, il faut l'écouter bien
38:42 c'est important, c'est très important
38:44 si vous avez une patiente, vous l'écoutez bien
38:46 vous pouvez prendre le jugement
38:48 si vous avez un problème
38:50 et même, vous avez une patiente
38:52 qui a une inflammation au côlon
38:54 une maladie comme la Crohn's disease
38:56 l'IBS
38:58 donc, vous avez une inflammation
39:00 au côlon qui donne une douleur
39:02 dans le même endroit, comme vous pouvez
39:04 trouver quelques maladies, je l'ai déjà dit
39:06 c'est pas évident pour connaître
39:08 lesquelles
39:10 tout ça, c'est important, même une douleur musculaire
39:12 donc, c'est important
39:14 vous avez une bonne histoire
39:16 vous avez une personne qui vous explique bien
39:18 vous avez une personne qui vous pose de bonnes questions
39:20 vous avez fait un bon test
39:22 qui vous a imagéré
39:24 un test sanguin
39:26 pour une bonne décision
39:28 et normalement, vous avez un meilleur résultat
39:30 vous pouvez vous connaître carrément
39:32 en tout cas, c'était un plaisir de vous avoir
39:34 sur notre plateau ce matin
39:36 et nous espérons, nous remercions
39:38 d'avoir pour tout, de bons conseils
39:40 et nous espérons vous retrouver la prochaine fois
39:42 avec un très grand plaisir pour d'autres conseils
39:44 merci, merci beaucoup de votre invitation
39:46 toujours un plaisir
39:48 allez, au revoir
39:50 top FM
39:52 mid morning show
39:54 [Musique]