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7 sur 7, les actualités de la semaine en 60 minutes. L’avocat et observateur politique Siddhartha Hawoldar sera l’invité de Linley Appadoo Les principaux thèmes qui seront débattus :Le parlement et la séance de mardi avec l’expulsion d’Eshan Juman - La PNQ du leader de l’opposition et la réponse du ministre, le Dr. Kailesh Jagutpal - L’insalubrité dans les hôpitaux - Incident à La Citadelle – arrestations en masse - Elections – appartenance ethnique, 2 demandes de recours au Privy Council rejetées - Météo – pluies diluviennes, même constat : inondations, routes bloquées, habitations menacées

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00:00 (Générique)
00:21 Chers auditeurs et chers internautes qui personnent à nous sur les réseaux sociaux,
00:25 Bon après-midi et bienvenue dans l'émission 7 chez 7, les actualités de la semaine en 60 minutes.
00:32 Avec nous aujourd'hui, nous invité, c'est l'avocat Siddhartha Awaldha,
00:38 lui aussi un observateur politique. Siddhartha, bienvenue dans l'émission.
00:42 Merci, Linley. Bonjour et Happy Diwali à tous mes auditeurs.
00:48 Happy Diwali à tous.
00:50 Comme l'émission le dit, nous traiterons un peu les actualités de la semaine.
00:56 Et nous disons un peu ce qui nous finit en général cette semaine.
00:59 Le Parlement prend une grande place, encore une fois.
01:02 Nous trouvons un retour à la normale, bien dit, dans le sens que nous finissons avec au moins un député expulsé.
01:08 Sauf qu'il est expulsé avant même que les débats et les questions posées soient posées.
01:13 C'est le député Jean Jumon, le Speaker, qui est expulsé.
01:17 Il est là et il est le leader de l'opposition dans l'état de l'hôpital.
01:25 Et la réponse du Dr Kailash Jagatpal, en deux parties, nous avons été capables de dire,
01:31 il faut s'attendre, nous pourrons en dédans.
01:33 Nous nous proposons justement de l'état de l'hôpital aujourd'hui à Maurice.
01:37 Est-ce qu'il va à l'hôpital ?
01:39 Comme tu le sais, il faut nous dire en anglais pour amener un petit peu de malades pour les biens.
01:44 Nous proposons ça un petit peu.
01:45 Nous proposons les incidents à la citadelle.
01:47 Il y a encore une fois cette semaine une arrestation.
01:50 Il y a une demande de liberté conditionnelle.
01:52 Nous trouvons aussi certains d'immunités accusées qui sont enfermées dans la prison de Beaubassin.
02:03 Certains sont dans les cellules de police.
02:06 Nous proposons les trois demandes de recours au Privy Council contre les élections municipales
02:12 qui sont rejetées brièvement.
02:14 Et si nous gagnons des temps, bien sûr, nous proposons le rôle d'un gros lapdui qui finit tomber
02:18 cette semaine-là dans le sud et dans l'ouest du pays.
02:21 Nous gagnons le même constat à chaque fois.
02:24 Inondation, la route bloquée, la case inondée, un petit peu les mêmes choses,
02:30 malgré qu'ils nous finissent dépensant énormément d'argent.
02:33 Nous leur faisons dépenser par l'état pour construire des drains, etc.
02:39 Alors nous commençons justement, c'est la date, avec le Pôle.
02:43 Cette semaine-là, nous commençons le Pôle avec une déclaration du Speaker.
02:47 Nous lui disons que le député Jean Dumont a fait une interview dans la presse.
02:54 Il a dit certaines choses, par exemple, il a dit que la rencontre entre le Dr. Jagadpal
03:03 et trois hommes religieux a été faite dans le Pôle pendant que le Pôle ne comprenait pas
03:10 que le Speaker ne pouvait pas faire ça. Il n'avait pas le droit de faire ça.
03:15 Il a dit qu'il ne faisait pas d'enquête interne et qu'il avait découvert que ce qu'il disait
03:22 n'était pas vrai et qu'il ne pouvait pas atteindre sa intégrité.
03:27 Il a dit carrément que Jean Dumont était en haut pour sa séance parlementaire du mois d'octobre.
03:35 Alors déjà, il y a eu beaucoup de réactions par rapport à ça.
03:39 Une des réactions était de la part du député Chakel Mohamed qui a dit que le Speaker
03:46 était au-delà de ses préjugés. Cela veut dire qu'il n'a pas gagné de droit
03:52 mais que Jean Dumont est en haut parce que s'il peut dire qu'il est en haut au Parlement,
03:56 il ne peut pas concerner le Speaker et le Speaker ne peut pas faire la chose devant le député.
04:02 Est-ce que vous êtes d'accord avec ça en tant qu'avocat?
04:04 Oui, je suis d'accord avec ça. Je pense que le Speaker doit se mettre au Parlement.
04:10 Il est le capitaine de sa bataille. Est-ce qu'il n'est pas capable de faire une "witch hunting"
04:16 ou de faire toutes sortes de déclarations que Jean Dumont peut faire dans le public
04:20 ou soit il peut faire une "meeting" que ce camion peut causer.
04:25 Il ne peut pas empêcher ce processus-là. Alors, vous, comme Speaker,
04:29 vous n'avez pas besoin de faire l'enquête pour le redresser. Il n'y a pas besoin de dire quelque chose.
04:35 Ce que vous pouvez faire, c'est que vous pouvez le faire et le clarifier.
04:40 Mais seulement pour prendre des sanctions quand vous pouvez prendre un député qui est élu du peuple
04:46 et que vous pouvez le renvoyer au Parlement, je trouve que cela va un peu loin.
04:52 Parce qu'il a ouvert ce qu'il appelle les "floodgates". Cela veut dire que pour tout
04:58 qui est en Parlement, qui a causé des eaux, le Speaker peut faire une enquête, peut le prendre au travail.
05:04 Quand Jean Dumont réagit, il y a des gens qui ont souvent des eaux, mais des eaux
05:12 où il y a un chacune des mois, mais c'est des gens réguliers, les "usual suspects".
05:19 Souvent, souvent, ils parlent. Mais quand ils parlent des eaux, ils expriment leur frustration,
05:25 ils malmènent le Speaker dans leur débat, ils parlent de la cour, tout cela, c'est droit.
05:31 Mais si le Speaker commence à faire l'enquête sur tout cela, et chaque fois qu'ils sont réunis,
05:35 ils le font et ils sanctionnent. Donc, il y a un système qui n'est pas fonctionnel.
05:40 - Mais éventuellement, il permet à tout le monde des eaux. - Absolument.
05:43 - C'est une des choses qui est énorme pendant la semaine.
05:46 - Vous savez, à chaque fois qu'il agit, qu'il prend une décision draconienne,
05:50 et qu'il utilise cette formule habituelle "I'm ordering you out", il n'y a pas de réaction.
05:56 Tout le monde réagit, le public réagit, les journalistes réagissent.
06:00 A cette époque-là, à cause de cette réaction, ce Speaker peut "targeter" ces gens-là.
06:05 - Il n'y a pas d'autre recours qu'il est capable de faire, un recours légal.
06:08 - Bien sûr, comme vous le disiez, le capitaine dans ce bateau, dans le Parlement,
06:12 ce qu'il dit dire, il y en a dans le pouvoir, certes, il a le droit de mettre l'ordre,
06:18 n'importe quelle qualité d'arrogance contre l'autorité, un "assault on his authority",
06:23 il a le droit de réagir, mais seulement, là, ce qui est passé, vraiment,
06:27 je le considère trop loin. - Tout à fait.
06:30 Je crois que vous partagez un petit peu l'avis de beaucoup de légistes.
06:35 - Bien sûr. - Et aussi de non-légistes qui peuvent dire
06:37 "Voilà, il y a bien plus loin que tu n'as pas le droit de faire."
06:41 Alors, vous avez aussi remarqué dans le Parlement, en cette semaine-là,
06:44 le langage utilisé par le "speaker", c'est "down".
06:48 - Très très fort. - Très très fort.
06:51 - Je dirais que j'ai eu l'occasion d'avoir plusieurs "speakers".
06:56 J'ai eu Jai Déby, j'ai eu Mme Anoumanji, j'ai eu le grand "speaker" par excellence,
07:04 c'est Harilal Vanji, dont moi-même, je ne suis pas trop témoin de ce travail,
07:08 mais je tente beaucoup de parler de lui. - Absolument.
07:11 - Mais je tente de dire, tout le temps, les affaires étaient faites dans une certaine élégance,
07:15 dans une certaine retenue. - Diplomatie.
07:18 - Une diplomatie, un spirit of fair play, sans hurler, vous connaissez ?
07:24 Une certaine sobriété. - Voilà.
07:26 - Mais je me sens, depuis récemment, et malheureusement pour le Parlement,
07:31 le Parlement a perdu son manelette de noblesse à cause de beaucoup de personnes
07:37 qui amènent beaucoup de commentaires sur cette institution par leur conduite.
07:47 Vous connaissez ? Il y a besoin d'un temple de sobriété.
07:51 - Absolument, parce qu'il donne l'exemple. - Un temple d'échange et de civilité.
07:56 On ne peut pas arriver à un endroit comme ça.
08:00 Par exemple, dans nos lacours. - Voilà.
08:02 - On dit "court" et on dit qu'on doit être courte.
08:06 Il nous faut une façon de faire. Un avocat n'est pas capable d'aller,
08:10 n'est pas capable de malmener les gens. Il n'est pas capable de faire ce travail,
08:14 mais il fait l'affaire avec une certaine sobriété, un certain calme et une certaine élégance.
08:19 Mais nous attendons même des affaires de nos bonnes parlementaires.
08:22 Nous attendons une certaine conduite. - Surtout qu'aujourd'hui,
08:26 enfin depuis l'époque, mais là, en direct, depuis quelques années,
08:30 donc la population a une visibilité et ils ont ça. - Direct.
08:35 - Et si vous trouvez ça l'exemple que vous avez donné là,
08:38 et je vous le dis parce qu'il n'y a pas seulement le "speaker",
08:40 mais il y a aussi la réaction des bonnes parlementaires. - Oui.
08:43 - Le langage utilisé. - On amène le débat très "low", très bas.
08:48 Un niveaulement pas le bas. Vous connaissez,
08:51 nous ne pouvons pas prendre place par "speaker", soit par les autres contestataires,
08:55 soit par le gouvernement. Tout ce qui est dans cet exercice là tombe bas.
09:02 Il ne peut pas faire honneur à ce parlement-là.
09:06 Le parlement, c'est un endroit où les gens peuvent débattre en politique un pays,
09:11 en direction un pays, la loi qui peut imposer l'ordre un pays.
09:16 Alors, il faut un endroit où, quand le citoyen a ce lieu-là,
09:20 les "guetsabantimun" qu'il a là, il y a un respect, un grand respect,
09:24 une retenue avant de commenter. - Absolument.
09:27 - Mais quand vous faites ça, il y a un bazar central,
09:30 avec toutes sortes de remorques à gauche, à droite, "below the belt".
09:34 Mais il y a un vrai bazar.
09:36 - Il y a un bazar dans le sens que quand vous parlez de la loi,
09:39 qui est sous l'importance. - Bien sûr.
09:43 - Quand vous amènez un débat qui est basé sur les faits,
09:46 et les commentaires, et les opinions de certaines personnes...
09:50 - Vous faites un attaque personnelle, ou "hit below the belt".
09:54 Vous connaissez ? C'est pas l'endroit. - Et les vines de tout port.
09:57 Et surtout, nous vous en diriez, nous remarquer souvent dans le parlement de nos jours,
10:03 c'est que Samantha Pickler est sortie des rangs du gouvernement,
10:08 et les opposants, l'opposition, réagir par rapport à ça.
10:12 C'est là que se trouve la guerre de mots, de paroles,
10:16 qui, nous en dirions, est une guerre de bazar central.
10:19 - Une guerre de bazar central.
10:21 Vous savez, chaque endroit, est capable de faire certaines affaires.
10:26 Si vous voulez un casse-savant, ou un meeting,
10:29 ou vous voulez critiquer l'opposition, ou critiquer les autres membres, les autres partis,
10:34 vous avez la full attitude pour faire cela.
10:37 Mais ce n'est pas le moment. Il y a un peu...
10:39 Sacre-sainte. Il y a un aura.
10:43 - Oui, oui. - Qu'on n'est pas capable de dépasser les limites de sa sanctuaire.
10:48 - Très bien. Mais nous vivons justement dans la PNQ,
10:50 ça c'est maintenant du leader de l'opposition.
10:52 Alors, ce PNQ découle de plusieurs événements qui finissent par passer au cours de la semaine,
10:57 mais aussi de la semaine précédente.
11:00 Mais la grande chose qui finit par passer, c'est justement le député...
11:05 le député Echand Jumane et le député Jacqueline Mohamed,
11:11 ne finissent pas l'hôpital du tout.
11:13 Parce qu'ils ont fait une guerre, c'est ce qu'ils ont dit, nous prenons notre parole,
11:17 comme on a déjà dit. Ils ont demandé un service dans l'hôpital,
11:21 dans le Béznet, mais leur équipe n'est pas bonne.
11:25 Donc ils ont pris le même, ils ont allé à l'hôpital.
11:27 Et ils sont allés devant le store de l'hôpital.
11:30 D'après ce qu'ils ont dit, le store était fermé,
11:34 mais ils ont proposé qu'ils allaient là-bas,
11:36 et qu'ils allaient voir ce qu'ils pouvaient faire.
11:38 Ils sont rentrés, ils ont fait une vidéo qui démontrait qu'ils stockaient des produits périmés,
11:45 qu'ils stockaient des produits encore bons, ensemble avec des produits périmés,
11:48 qu'ils stockaient des produits comme le gaz, des bonbons de gaz,
11:52 et ça a fait une enflée.
11:54 Ça a fait une enflée dans le sens qu'effectivement, les autres démunis commencent à causer,
11:58 et finissent par faire des dénonciations de part et d'autre.
12:01 Et les responsables de l'hôpital du Tout, tout de suite,
12:07 font une conférence de presse, et ils disent, non, nous l'hôpital,
12:09 nous corrigons, nous mangeons les bons, nous ne faisons jamais de complaintes,
12:13 nous faisons l'audit, etc.
12:15 Et arrive la PNQ.
12:18 Donc la PNQ demande au ministre Jacques Appel,
12:21 explique-nous quelle est la situation au sein de notre institution de santé dans le Mauricie.
12:26 Et le ministre Jacques Appel vient et répète un petit peu quelque part,
12:28 ce que les responsables de l'hôpital du Tout viennent dire.
12:31 Et au beau milieu de cette PNQ, le leader de l'opposition produit des documents.
12:38 Le premier, c'était le rapport de l'audit interne qui fut fait,
12:43 les trois hôpitaux, c'est-à-dire l'hôpital du Tout, l'hôpital de Grande-Séconde,
12:46 et l'hôpital de l'IG d'Omboka.
12:48 Quand ce rapport est fait, il y a un damning, mais au dernier degré.
12:52 Quand ils soulevent, il y a une lacune totale dans l'hôpital,
12:57 c'est-à-dire qu'ils ne mangent pas pendant cinq jours,
13:00 les gens viennent leur manger un gâteau ou un produit qui ne conforme pas à leur nom.
13:06 Par exemple, il y a des râles dans le lit, il y a des pinaises,
13:12 des toilettes dans un état déplorable.
13:16 Et il soulève aussi dans ce rapport-là le fait qu'il y a une connivence entre les suppliers et l'autorité.
13:26 Mais le rapport est officiel.
13:28 Et suivi de ce rapport, il se fait en juin, cette année-ci,
13:33 et suivi de ce rapport, il y a une réunion entre les responsables du ministère,
13:39 de l'hôpital et du ministère aussi,
13:41 où ils prennent en compte ce rapport et ils font des recommandations.
13:45 Ils disent qu'effectivement il y a un problème, il faut adresser ce problème.
13:49 Et l'opposition dit que c'est bon.
13:53 En août, ils ont fait cette réunion-là, en juillet c'est un problème, sur le 10 novembre, non, rien.
13:59 Tout reste pareil.
14:01 Vous comprenez ?
14:02 Donc là, le langage du Dr Karel Djakaba s'en va.
14:10 Vous trouvez qu'il est trop vite acculé quelque part avec la réalité de ce qui s'est passé.
14:16 Le point qu'il nous peut dire aujourd'hui,
14:19 c'est qu'il y a beaucoup de choses qui se sont passées,
14:23 comme la nourriture, les toilettes, les eaux fraîches.
14:28 Mais c'était dans les moeurs.
14:31 Aujourd'hui, dans la réalité des choses, il est sorti dans le public.
14:35 Et ce qui est bon pour causer, c'est que ces fonctionnaires eux-mêmes
14:40 donnent ce rapport-là aux leaders de l'opposition.
14:43 Alors, il se doit de plusieurs points.
14:45 Je vais commencer.
14:46 Je ne suis pas trop d'accord avec la manière dont M. Mohamed et M. Djouman font les choses.
14:58 On sait qu'on peut faire une action qui est "targeted",
15:02 quand on parle de mettre les gens dans le feu de l'action.
15:05 "Red-handed".
15:07 Mais là, les bons ont amené les gens un peu indépendants dans l'exercice.
15:12 Les journalistes.
15:13 M. Djaoub, par exemple, c'est un journaliste, c'est un hussier de la cour,
15:17 qui nous appelle pour faire un constat.
15:19 Alors, là, l'exercice est un peu indépendant.
15:23 Là, disons que M. Mohamed et M. Djouman,
15:26 c'est un hussier de la cour et un journaliste,
15:32 qui viennent au même moment pour rentrer dans ce mansito pour gâter.
15:37 Et s'ils ont fait un "drop and word" avec le surintendant de l'hôpital,
15:41 on peut venir, mais pas nécessairement expliquer,
15:44 sinon l'effet de la surprise, tu peux diminuer.
15:48 Mais on fait aller de cette façon-là,
15:50 et là, c'est moins compliqué pour tout le monde.
15:53 Là, ils viennent faire des affaires,
15:55 là, il paraît, comment dire, un "attack".
15:58 Un "frontal attack".
16:00 Ils viennent, ils remontent dans une situation,
16:03 est-ce qu'il est vrai, est-ce qu'il n'est pas vrai,
16:05 est-ce qu'il y a un coup monté, est-ce qu'il y a des gens dans la barre
16:08 qui mettent quelque chose qui n'est pas bizarre.
16:10 Il y a beaucoup de questions soulevées.
16:12 Alors, le coup est fourré.
16:14 Parce que le peuple est capable, clairement, de pointer les doigts.
16:17 Absolument, parce qu'il y a de la base, de l'information.
16:20 L'information, à ce que M. Djalgatpal, bien sûr,
16:22 il répond dans sa lignée la même,
16:24 "les gens, ils savent des affaires, ils sont là pour vous aider".
16:27 Mais comment on classifie ça,
16:29 comment des affaires qui nous ont servi ?
16:31 Sauf que, quand M. Djalgatpal, il finit de répondre à ces questions,
16:35 ces questions liminaires,
16:37 le rapport...
16:40 Le rapport est tombé.
16:42 D'accord, ça, je peux le prendre dans plusieurs volets.
16:45 Alors, quand on fait un exercice comme ça,
16:47 et on parle de l'indépendance,
16:49 il y a toujours une défense qui est élevée.
16:52 Une défense qu'on peut trouver.
16:54 Alors, là, le coup est fourré.
16:56 Par contre, le rapport est à cas blanc.
16:59 Le rapport est à cas blanc,
17:01 et on a raison pour dire que beaucoup moins peut passer,
17:05 et pas finir n'a aucun implementation of the report.
17:08 Implementation means improvement.
17:11 Alors, là, qu'il faut trouver que M. Djalgatpal, docteur,
17:15 il parle de récits répands,
17:17 qui fait finir une léthargie de réaction,
17:19 qui fait pétarder pour améliorer les choses,
17:22 car c'est aberrant.
17:24 Vous connaissez, Maurice, nous pas tout seul.
17:27 Le secteur santé,
17:29 on prend qui ? On prend NHS Langleterre,
17:32 qui prend le système de santé d'un pays comme Alen.
17:35 Non, Maurice, il y a un secteur miné,
17:39 de beaucoup de problèmes.
17:41 Parce que vous vous entrenez avec beaucoup de gens,
17:45 beaucoup de demandes,
17:47 et il exerce une pression sur le système.
17:50 Alors, aucun système n'est pas infaillible.
17:53 Bien sûr que non.
17:54 Beaucoup de systèmes se sont craqués sous la pression.
17:57 Mais c'est un système, quand vous dites ça,
17:59 il ne faut pas nous généraliser les choses aussi,
18:02 parce qu'il y a un système, un fonctionnement.
18:05 Le fonctionnement doit être là,
18:07 et que les failles arrivent de temps en temps.
18:10 Franchement, je vis Maurice,
18:13 je suis allé côtoyer beaucoup de gens qui sont à l'hôpital,
18:16 je suis allé, je leur ai donné des soins, tout ça.
18:19 Je suis un frère,
18:21 je fais généralement un bon service dans l'hôpital.
18:24 Même quand je restais, je disais au frère,
18:27 moi je suis allé pour l'hôpital, je suis allé à la clinique.
18:30 Ça c'est une expérience à vous.
18:32 Dans les affaires, ce qui me convient,
18:34 le Cardiac Center, le Capbone Cardiac Center,
18:37 parce qu'il me donne un service,
18:39 que je suis très attentionné,
18:41 je suis "on the ball",
18:43 je suis capable d'une clinique qui me prend beaucoup plus de temps
18:46 pour réaliser une urgence.
18:48 Alors pour des affaires comme ça,
18:50 tout l'hôpital performe.
18:52 Alors, nous ne laissons pas le bébé sortir avec de l'eau de bain.
18:54 Nous disons qu'il y a un système,
18:56 mais un système n'est pas parfait.
18:58 Et nous devons travailler pour le faire parfait.
19:01 C'est là que quelque part, dans tout système,
19:04 une cause du National Health Service,
19:06 une cause du système de santé en Inde,
19:08 c'est qui, une cause pour le National Health Service,
19:11 c'est là un appelsable gode fou,
19:14 qui tout le temps pérégué les systèmes.
19:17 Remet les choses en question.
19:19 Voilà, et c'est ce qui paraît manquer ici.
19:21 Absolument.
19:22 L'exercice de Ditt, par exemple,
19:24 il servit à ça.
19:26 Alors, pour reprendre ce qu'il me dit,
19:29 mon expérience personnelle de l'hôpital,
19:31 je fais des types d'expérience.
19:33 Je fais un excellent travail,
19:35 je dois aller à l'hôpital,
19:37 et je fais, dans un passé pas trop lointain,
19:41 mon retour au moi,
19:43 je peux admettre dans l'hôpital,
19:45 quand je peux rentrer dans la salle,
19:48 maintenant, là,
19:50 je peux me mettre en train de travailler.
19:52 Je suis d'accord.
19:53 Et quand on me pose la question,
19:55 je veux dire, je m'exerce,
19:57 quand on me pose la question,
19:59 il faut un lot pour gagner un droit ici.
20:04 Remettre en question ce système
20:07 qui peut causer ça,
20:09 que tu viens de dire,
20:11 justement, la norme doit être
20:13 que les choses sont correctes,
20:15 quelque part, il n'y a pas de faille,
20:17 et comme tu dis,
20:19 il faut que tu réponds à ça,
20:21 ce qui n'est pas le cas.
20:23 Mais nous finirons aussi par retrouver...
20:25 Il y a un "perpetual review",
20:27 où dans l'Hôpital,
20:29 il y a un "review",
20:31 tout le temps, il peut re-checker,
20:33 ce système-là peut fonctionner,
20:35 quand il y a un problème,
20:37 je peux le réviser.
20:39 Et puis, les gens qui sont le personnel,
20:41 qui sont le staff,
20:43 ils ont le droit de causer.
20:45 Alors, on trouve l'anglais,
20:47 on trouve l'anglais,
20:49 récemment, où tu peux trouver une série
20:51 de choses, mais ils ne peuvent pas travailler
20:53 dans la nature, ils ne peuvent pas gagner des casses.
20:55 Maurice, malheureusement,
20:57 le "civil servant",
20:59 ne peut pas causer.
21:01 Il ne peut pas causer, parce qu'il y a un travail
21:03 dans le gouvernement.
21:05 Vous savez, pour un Mauricien,
21:07 une grande affaire, c'est un travail dans le gouvernement.
21:09 Oui, oui.
21:11 Une tradition.
21:13 Dans nos générations,
21:15 on a toujours dit,
21:17 "Pour vous, mon garçon, vous devez travailler dans le gouvernement."
21:19 Quand même les "nerfs", quand même les "gaudiens",
21:21 quand même les "pions",
21:23 mais pour vous, ils travaillent dans le gouvernement.
21:25 Et une fois qu'ils rentrent dans sa sécurité d'emploi,
21:27 jamais, ils ne critiquent pas le gouvernement,
21:29 parce qu'ils ont perdu leur place.
21:31 Absolument.
21:33 Alors, c'est ça que vous trouvez un peu,
21:35 qui n'a pas de réaction,
21:37 qui n'a pas de feed-back,
21:39 qui n'a pas de "pédia"
21:41 qui peut, ou le "babless",
21:43 qui peut travailler dans le domestique,
21:45 il y a d'autres histoires à raconter.
21:47 Absolument.
21:49 Mais, je ne peux pas vous le dire.
21:51 Mais, justement, quand vous pouvez dire ça,
21:53 nous finissons, en début de semaine,
21:55 et en fin de semaine dernière,
21:57 nous finissons avec un employé
21:59 de l'hôpital,
22:01 dans l'hôpital, je ne vais pas vous dire le nom,
22:03 qui vient de l'avant pour témoigner.
22:05 Oui.
22:07 Il vient témoigner de la situation
22:09 des cuisiniers dans l'hôpital
22:11 qui peuvent travailler.
22:13 Ils peuvent descendre, enfin,
22:15 reprendre, pour descendre des immunités,
22:17 dans un hôpital et dans un deuxième hôpital.
22:19 Ils sont à deux ou trois,
22:21 dans la cuisine,
22:23 qui peuvent avoir une nouvelle étude,
22:25 ils peuvent faire un chiffre de onze ans.
22:27 Et, madame l'a expliqué,
22:29 elle explique-moi, parce que je vais faire ce sujet-là,
22:31 qui, c'est la santé,
22:33 c'est la santé pédationnelle,
22:35 c'est-à-dire, c'est physico.
22:37 Le pédopérie.
22:39 C'est la santé mentale.
22:41 La santé mentale.
22:43 Et vous savez qui arrive,
22:45 ça dit mon nom?
22:47 Le lendemain qu'il fait une témoignée,
22:49 le responsable de l'hôpital,
22:51 il commence à rentrer partout,
22:53 dans l'hôpital, il dit comme ça,
22:55 "Ok, ça dit mon nom qu'il témoigne là,
22:57 si nous gagnons, il faut aller le transférer."
22:59 C'est ça. Ça va nous représenter là,
23:01 qui est malheureux dans nos pays.
23:03 Vous comprenez? Alors, le civil servant,
23:05 il est un peu terrorisé,
23:07 par le système.
23:09 Mais nous trouvons qu'il y a des gens qui ne sont pas pour payer
23:11 pour une témoignée, malgré tout ça-là.
23:13 Malgré tout.
23:15 Et c'est ce qui peut arriver quelque part.
23:17 Contre vent et marée, ils viennent de là-bas.
23:19 Par exemple, je pense qu'il y a beaucoup de renseignements
23:21 que l'opposition a gagnés,
23:23 ce n'est pas des témoignages
23:25 de personnel,
23:27 mais ils restent dans l'anonymat.
23:29 Ils demandent l'anonymat,
23:31 ils sont coopérés,
23:33 ils donnent beaucoup de renseignements à l'opposition.
23:35 Il y a des choses qui sont enviables,
23:37 qui sont liées à tout ça, ce qu'on appelle
23:39 les "whistleblowers",
23:41 des gens qui trouvent un mauvais système
23:43 qui peut payer. Je vais vous prendre l'exemple.
23:45 Par exemple, vous pouvez rouler,
23:47 vous trouvez la police qui arrête un gens,
23:49 vous trouvez la police qui demande
23:51 une raison et que ce gens-là
23:53 va aller voir le témoignage, et vous dites "hé, c'est la police."
23:55 Mais ce genre de gens qu'on appelle
23:57 les "whistleblowers", ce genre de gens qui
23:59 viennent dénoncer là, ils ne payent aucune protection.
24:01 Non, ils ne payent aucune protection
24:03 non plus, mais
24:05 c'est encouragé.
24:07 Si vous allez dans l'ICAQ
24:09 et que vous avez cela là,
24:11 vous trouvez qu'il y a une section
24:13 qui encourage les gens
24:15 qui viennent dans les "whistleblowers".
24:17 "Whistleblowers", je vous dis, c'est pour protéger.
24:19 Mais nous ne trouvons pas
24:21 ce l'encadrement, comment il peut faire pour protéger.
24:23 - Mais nous ne trouvons pas ça, en fait,
24:25 nous ne trouvons pas ça, nous trouvons dans le cas
24:27 de, comment on appelle ça,
24:29 Stag Portiguet, il y a des gens
24:31 qui viennent dénoncer,
24:33 mais aujourd'hui, je trouve que vous êtes
24:35 sous une bonne accusation. - Absolument.
24:37 Non, mais là, nous avons fait une distinction.
24:39 Souvent, il y a des gens
24:41 qui participent dans le crime, vous-même,
24:43 vous êtes trop, comment dire,
24:45 "gagné l'immunité". Mais là,
24:47 on ne l'a pas pour considérer. - Bien sûr que non.
24:49 Par contre, il y a des gens qui sont des vrais "whistleblowers",
24:51 qui témoignent ça de loin.
24:53 Lui, il est venu, il a demandé,
24:55 il peut gagner. Alors, cette
24:57 distinction-là, il y a au niveau de l'ICAQ.
24:59 Si, vous-même, vous participez à ce crime,
25:01 ça veut dire que vous l'avez dans la PAC,
25:03 là, vous dites, "Laisse-moi sauter, moi,
25:05 je veux venir témoigner." Ça, l'ICAQ,
25:07 pas trop considéré. Par contre,
25:09 c'est une affaire qui est considérée au niveau du DPP.
25:11 Beaucoup dans les histoires de crimes,
25:13 tout ça là, vous trouvez que... - Oui, parce qu'il faut poursuivre
25:15 ça, du moment-là, malgré tout,
25:17 mais seulement, il faut qu'il y ait un autre traitement. - Un autre traitement.
25:19 - Voilà. - Dans le cas de la drogue, dans le cas
25:21 du meurtre, autour du DPP, il y en a des fois
25:23 qui sont des bizarres témoins.
25:25 Si vous êtes des témoins, vous ne pouvez pas en être un.
25:27 C'est moi qui viens te témoigner,
25:29 je compte ça, qui est là. - Absolument.
25:31 - Alors, ça, il y en a. Il n'y a pas de
25:33 différence. - Mais généralement,
25:35 l'idée, c'est que la perception est que
25:37 si vous venez dénoncer quelque chose,
25:39 vous n'avez pas besoin de protection.
25:41 - Oui, mais je peux dire que le service civil,
25:43 le "whistle blowing",
25:45 dans un certain sens,
25:47 c'est à cause de l'hôpital, de la situation
25:49 pas bonne, vous n'avez pas à protéger.
25:51 Alors, c'est à cause de ça
25:53 que tout le monde,
25:55 la bouche fermée,
25:57 se préoccupe. - Oui, très bien.
25:59 Alors, nous finissons.
26:01 Nous nous préoccupons bientôt
26:03 dans les autres sujets.
26:05 Pour l'instant, nous prenons une petite pause. Nous manquons de temps pour retourner.
26:07 n'aurait tourné.
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27:27 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île et dans nos points de collecte à Forestside, Aucoulé, Menil et Larosa.
27:37 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
27:46 Pour tous vos renseignements, appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60 660 60 60.
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29:33 Le laboratoire médical Procare propose un service à domicile pour des prises de sang à travers l'île
29:39 et dans nos points de collecte à Forestside, Aucoulé, Ménil et Larosa.
29:43 Nous proposons aussi un test général à partir de 750 roupies
29:47 avec des résultats bien détaillés et précis dans un délai raisonnable.
29:52 Pour tous vos renseignements, appelez Procare Medical Laboratory sur le 660 60 60, 660 60 60.
30:00 Nos lits de téléphone sont ouverts de 6h30 jusqu'à 20h30, 7 jours sur 7.
30:05 ...
30:34 ...
30:49 De retour dans l'émission 7 chez 7, nous prenons un autre sujet à cette heure.
30:55 Nous connaissons l'incident qui a fait arriver à la citadelle et l'enquête qui peut suivre depuis.
31:01 Nous avons eu beaucoup d'arrestations, beaucoup d'interpellations,
31:05 beaucoup d'interrogations,
31:11 nous avons eu beaucoup de demandes de liberté conditionnelle de la part de nos accusés.
31:17 Est-ce que l'enquête peut suivre ce cours comme nous l'avons fait?
31:22 Oui, je pensais qu'elle pouvait suivre ce cours comme nous l'avons fait,
31:25 mais je me demande une question, car tout cela peut se dérouler dans un background
31:33 quand il y a une dissension entre le DPP et le commissaire de police.
31:39 Alors, mon interrogation, c'est est-ce que la police peut travailler indépendamment, seule,
31:48 ou est-ce qu'elle peut travailler avec le guidance habituel du DPP?
31:55 Je n'ai pas encore réussi à donner mon opinion,
31:59 mais pour moi, la manière dont nous avons fait ce cours,
32:02 et la manière dont nous avons déroulé,
32:04 il me semble que la police peut faire le travail seule.
32:08 Dans le sens que, si elle peut mettre des choses comme ça,
32:12 je ne suis pas sûr qu'elle puisse faire une consultation avec le directeur des possibilités.
32:16 D'après l'ampleur des événements,
32:19 nous avons des choses comme "Destruction of property by ban",
32:24 qui paraissent être des choses mineures.
32:26 Qui est le plus faux, qui a donné tout ça?
32:30 Non, "Damaging property by ban", il y a la main aussi là-dedans.
32:34 Vous savez, vous pouvez essayer de faire le coup,
32:37 mais il y a une arrestation partout.
32:40 Parce que d'habitude, "Damaging property by ban", ce n'est pas si grave.
32:44 Il n'y a pas d'arrestation, on peut laisser aller après.
32:47 Alors, ici, il y a un dysfonctionnement, je trouve.
32:51 Il y a des choses qui ne sont pas bien rôdées, pas bien calculées.
32:56 Et là, je pense que peut-être que la police peut faire du travail
33:00 indépendamment du "guidance" du DPP.
33:04 Un événement comme ça, automatiquement,
33:08 dans un petit pays, il dérange beaucoup de monde.
33:11 Il dérange le public, nous ne le connaissons pas,
33:14 nous sentons un sentiment d'insécurité.
33:17 Et d'habitude, un dossier comme ça, chaud, brûlant,
33:20 tu peux bien aller dans la mairie du Pépi.
33:23 Et du Pépi, tu peux bien émettre de l'opinion, le recochon, tout l'aspect.
33:27 Même pour l'enquête, tu peux expliquer dans quelle direction tu peux aller.
33:31 Alors là, moi, je crois que le côté chagrinant,
33:36 cette distension qui est là entre le DPP et la police, le CPI,
33:41 il y a des affaires qui deviennent de plus en plus encombrantes
33:45 pour le système de "law and order" et "rule of law".
33:49 Si ça ne délasse pas ensemble, dans une coopération continue,
33:54 il peut poser de gros, gros problèmes pour nous avancer.
33:58 Dans ce cas-là en particulier, on a l'impression que les choses
34:03 peuvent avoir un clash au moment où on a besoin de comparer devant la coop,
34:10 pour avoir un trial, etc.
34:13 Et c'est à ce moment-là qu'il peut y avoir...
34:16 - Les lignes sont plus visibles. - Voilà.
34:18 - Il n'y a pas, comment dire, tout simplement ce qu'on trouve là,
34:20 dans le cas de Bruno Lorette, à qui le bissé sort.
34:23 On trouve un déphasage entre le DPP et le commissaire.
34:27 Alors, les tristes qui nous peuvent arriver, ça, dans Maurice,
34:31 surtout quand nous filons dans un système
34:34 où la police et le directeur de la prosecution publique
34:39 ont travaillé en main-d'oeuvre dans une coopération totale,
34:45 où un NDP ne peut pas le lutter.
34:47 Moi, j'ai environ 35 ans comme avocat,
34:50 et tout le temps, on admire sa interdépendance-là,
34:55 sa consultation qui compte dans une filière-là.
34:59 - En anglais, on dirait... - Ils peuvent s'aimer complicités.
35:02 - Le mot, pas exactement. - Mais on peut dire,
35:04 une grande coopération, que chacun aide son camarade.
35:08 Ça, malheureusement, il paraît qu'il n'a jamais nuisé.
35:12 Et aujourd'hui, il y a même une banquise qui peut venir
35:15 que DPP, un prince d'avocat anglais,
35:18 un CP, un prince d'avocat anglais,
35:21 comment dire, pour une clash des titans.
35:24 - Oui, oui. Il y a un problème... - Un gros problème pour nos pays.
35:28 - Un problème constitutionnel aussi. - Constitutionnel.
35:30 Et entre-temps, on peut subir des problèmes,
35:34 parce qu'il y a un déphasage.
35:36 - Une question que je me pose,
35:38 est-ce qu'il faut aussi beaucoup de temps
35:40 pour la Cour suprême prendre une décision ?
35:45 - Non, la Cour suprême prend le temps qu'elle d'habitude prend.
35:49 Tout cas, il n'y a aucun cas qui commande nécessairement
35:52 pour prendre priorité son camarade.
35:54 Il y a un rôle, une façon que la banquise peut évoluer.
35:57 Mais ça, c'est ça aussi pour finir.
35:59 Mais d'habitude, quand il y a un cas qui peut tarder,
36:03 il peut y avoir l'effet secondaire tout de suite.
36:06 Mais ici-là, il y a des affaires qui peuvent être paquées, paquées.
36:10 - Mais il n'y a pas envie de tout faire.
36:12 - Collateral damages that are happening.
36:14 Aujourd'hui, il y a une suspicion entre le DPP et le commissaire de police.
36:20 Et ça peut réjaillir mal le système of rule of law,
36:26 and law and order in this country.
36:29 C'est ça qui est triste.
36:31 - Oui. Mais une affaire que nous avons remarqué dans les arrestations
36:35 qui ont été faites dans le cas de la Citadelle,
36:38 et beaucoup de monde pose la question,
36:40 qui fait la certitude de dire qu'il y a eu prison,
36:43 qui fait la certitude de dire qu'il y a eu cellules policières ?
36:46 Qui fait la différence ?
36:48 - Moi, je me connais que quand des gens viennent devant la Cour,
36:52 la police les amène le plus rapidement possible devant un magistrat,
36:56 et l'enquête commence.
36:58 Et pour les premiers quinze jours,
37:01 un accusé est pris dans la salle.
37:05 Pourquoi ? Parce qu'il est beaucoup plus pratique
37:08 pour la police de prendre cette enquête,
37:10 dans la salle policière.
37:12 Après quinze jours, quand la Cour a accordé suffisamment de temps à la police,
37:16 d'habitude, si l'enquête est correcte,
37:19 ils l'envoient à la prison.
37:22 Ça veut dire remand.
37:24 Alors c'est ça qui est arrivé.
37:26 Une fois l'enquête pas encore complétée,
37:28 la police, en place, l'envoie à la prison.
37:31 Quand ça commence à déranger,
37:33 il fait une enquête au magistrat,
37:36 de l'enquête pas encore complétée,
37:38 si tu ne peux pas le garder dans la salle.
37:40 Alors il y a une certaine flexibilité.
37:42 Ça ne veut pas dire grand-chose.
37:44 - Mais aussi, comme tu disais tout à l'heure,
37:47 il y a une charge qui est faite contre Saban Akizela.
37:51 Une charge qui n'est pas trop lourde,
37:54 comme on dit en Oumou.
37:56 Quelles sont les chances que Saban a pour gagner la liberté conditionnelle ?
38:00 - Moi je pense que c'est pour gagner la liberté conditionnelle,
38:02 sans trop de difficultés.
38:04 Parce que, tu sais,
38:06 nous ne sommes pas trop contents
38:08 quand il y a un événement comme ça.
38:10 Mais seulement nous disons,
38:12 dans ce cas-là, parfois il y a de la violence,
38:15 parfois il y a des hommes,
38:17 parfois il y a des choses de gravité.
38:19 - Il y a des hommes, mais pas de services.
38:21 - Mais pas de services, je veux dire.
38:23 Beaucoup plus faire paix.
38:25 Alors nous faisons une distinction dans la loi,
38:27 entre un exercice faire paix,
38:29 et un exercice qui est vraiment faire la paix.
38:32 Je donne un exemple.
38:34 Il y a un homme,
38:36 un ami de Paul,
38:38 qui a perdu sa vie.
38:40 Mais bien sûr, les conséquences étaient tout à fait différentes.
38:43 Il a perdu sa vie pendant 10 ans, 3 ans, 4 ans.
38:47 Et il a eu un trial qui a déroulé pendant 7-8 ans.
38:51 Alors, il faut qu'il se rassemble,
38:54 sans trop d'excitation.
38:57 - Il ne faut pas l'amplifier non plus.
38:59 - Il ne faut pas l'amplifier,
39:01 il ne peut pas laisser sa passion,
39:03 qui n'est pas nécessaire, appliquée,
39:05 il doit trouver les choses dans sa réalité brute,
39:07 comme elle était.
39:09 - Mais ceci dit, il y a une répercussion.
39:11 - Oui, il y a beaucoup de répercussions.
39:13 Et c'est pour ça que je dis,
39:15 que c'est malheureux qu'il y ait un incident comme ça.
39:17 Surtout, pour un événement qui peut arriver
39:19 à des kilomètres de lumière de nos pays.
39:23 Nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:25 - Oui, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:27 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:29 - Oui, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:31 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:33 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:35 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:37 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:39 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:41 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:43 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:45 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:47 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:49 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:51 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:53 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:55 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:57 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
39:59 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:01 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:03 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:05 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:07 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:09 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:11 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:13 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:15 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:17 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:19 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:21 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:23 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:25 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:27 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:29 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:31 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:33 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:35 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:37 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:39 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:41 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
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40:45 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
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40:49 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:51 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:53 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:55 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:57 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
40:59 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:01 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:03 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:05 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:07 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:09 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:11 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:13 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:15 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:17 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:19 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:21 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
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41:31 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
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41:41 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
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41:53 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
41:55 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
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41:59 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:01 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:03 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:05 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:07 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:09 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:11 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:13 - Et nous, nous sommes les gens qui nous soutenons.
42:15 - Et chaque citoyen de ce pays-là,
42:17 - Et chaque citoyen de ce pays-là,
42:19 - Mets en exemple pour que ce pays-là roule.
42:21 - Et roule de la même façon qu'il a fait rouler pendant tellement d'années.
42:25 - Alors, pour les derniers 10 minutes de notre émission,
42:27 - Alors, pour les derniers 10 minutes de notre émission,
42:29 - Aujourd'hui, je veux vous parler un peu de la situation de la météo.
42:31 - Aujourd'hui, je veux vous parler un peu de la situation de la météo.
42:33 - Cette semaine-là, nous avons eu un événement assez conséquent.
42:35 - Cette semaine-là, nous avons eu un événement assez conséquent.
42:37 - Il y a eu une pluviométrie recours dans le sud du pays,
42:39 - Il y a eu une pluviométrie recours dans le sud du pays,
42:41 - Dans le sud-est,
42:43 - Et nous avons eu une inondation.
42:45 - Et je me souviens qu'il y a eu un jour,
42:47 - Et je me souviens qu'il y a eu un jour,
42:49 - Et à chaque fois qu'on a eu une pluviométrie de cette taille,
42:51 - Et à chaque fois qu'on a eu une pluviométrie de cette taille,
42:53 - Il y a eu les mêmes répercussions.
42:55 - C'est-à-dire,
42:57 - Il y a eu une inondation partout,
42:59 - La route est bloquée,
43:01 - La rivière est débordée,
43:03 - La case est inondée,
43:05 - Il y a eu beaucoup de dégâts,
43:07 - Et cette fois-ci, il y a eu une chose qui nous a marqué,
43:09 - Et cette fois-ci, il y a eu une chose qui nous a marqué,
43:11 - C'est peut-être que nous avons fait trop de l'eau dans nos réseaux sociaux,
43:13 - Et cette semaine, carrément, il y a eu de l'eau qui a défoncé le Pérou.
43:15 - Et cette semaine, carrément, il y a eu de l'eau qui a défoncé le Pérou.
43:17 - Alors, le fait qu'on puisse planifier,
43:19 - Alors, le fait qu'on puisse planifier,
43:21 - Alors, le fait qu'on puisse planifier,
43:23 - En avance,
43:25 - En avance, toute construction,
43:27 - En prenant en considération,
43:29 - Justement, une des choses, c'est le changement climatique,
43:31 - Justement, une des choses, c'est le changement climatique,
43:33 - Et ça a beaucoup plié la pluie,
43:35 - Et ça a plié la pluie, pour plus intense,
43:37 - Et on a prévu tout ça.
43:39 - Bien sûr.
43:41 - Aujourd'hui, beaucoup de membres de la population
43:43 - Peuvent nous dire qu'on dépense des milliards
43:45 - Dans des drains,
43:47 - Mais, comment arrive l'événement de grosses pluies,
43:49 - Mais, comment arrive l'événement de grosses pluies,
43:51 - Et ils viennent et nous retrouvent dans la même situation.
43:53 - Qui vous regarde,
43:55 - Qui vous regarde, qui vous constate ce qui finit d'arriver pendant cette transition?
43:57 - Qui vous regarde, qui vous constate ce qui finit d'arriver pendant cette transition?
43:59 - Moi, je pense, vous savez, pendant beaucoup d'années,
44:01 - Je pense, vous savez, pendant beaucoup d'années,
44:03 - Pas finir de match planning,
44:05 - Parce que ça a un problème qui ne se peut causer,
44:07 - Parce que ça a un problème qui ne se peut causer,
44:09 - Et le réchauffement, tout ça,
44:11 - Mais si tout le temps penser à des affaires qui pour tous,
44:13 - Dans 50 ans, dans 100 ans,
44:15 - Dans 50 ans, dans 100 ans,
44:17 - Mais aujourd'hui, nous trouvons qu'il peut arriver à une vitesse accélérée.
44:19 - Mais aujourd'hui, nous trouvons qu'il peut arriver à une vitesse accélérée.
44:21 - Tous les jours, si vous regardez tout TikTok,
44:23 - Tous les jours, si vous regardez tout TikTok,
44:25 - Ou tout le monde pays qui submerge,
44:27 - Nous peut causer même la disparition de
44:29 - Des pays comme en Maldive,
44:31 - Dans 10 ans, 15 ans,
44:33 - Tout ça peut arrêter assez rapidement.
44:35 - Alors, moi, je pense qu'il y a pour autant
44:37 - Alors, moi, je pense qu'il y a pour autant
44:39 - Qu'il nous commence à mettre dans nos bonnes priorités
44:41 - Qu'il nous commence à mettre dans nos bonnes priorités
44:43 - Le côté organisation
44:45 - Le côté organisation
44:47 - De nos drains, nos "new systems".
44:49 - Je suis très content de m'habiter
44:51 - Je suis très content de m'habiter
44:53 - De temps en temps dans le sud-est.
44:55 - Dans un endroit qui s'appelle Katser.
44:57 - Mais je remarque que là-bas, il y a une démarche
44:59 - Pour mettre des "tsunamis barriers".
45:01 - Et je crois qu'il y a un budget
45:03 - En Japon, une aide.
45:05 - Et il faut mettre des "tsunamis barriers" partout.
45:09 - Alors, nous prévoyons
45:11 - Nous ne pouvons pas attendre un tsunami taper
45:13 - Pour nous commencer à faire ce qu'il faut.
45:15 - De la même façon, je pense,
45:17 - Il faut régler un système
45:19 - De "network of drains"
45:21 - Pour le pays.
45:23 - Parce que tout ça, c'est une question
45:25 - Qui nous attaque le plus rapidement possible.
45:29 - Je suis d'accord avec vous dans le sens
45:31 - Que nous prévoyons, c'est très important.
45:33 - Mais quand vous faites le travail,
45:35 - Il faut que vous le fassiez de façon réfléchie.
45:37 - Par exemple, quand vous installez un drain,
45:39 - Il faut que vous ayez un certain volume
45:41 - Pour tenir le drain.
45:43 - Est-ce qu'il y a un drain là
45:45 - Pour pouvoir nettoyer un gros lac
45:47 - Quand il finit ?
45:49 - Deuxièmement, ça c'est du côté des autorités.
45:51 - Bien sûr.
45:53 - Du côté des habitants.
45:55 - Je me trouve souvent dans ce genre d'endroit.
45:57 - Ils installent des drains,
45:59 - Mais souvent des drains boussés.
46:01 - Boussés avec des bouteilles de plastique,
46:03 - Des déchets qui vont dans les étés,
46:05 - Et dans les grandes dédans.
46:07 - Il y a une responsabilité de tout port.
46:09 - Les forces vives, la population,
46:11 - Les organisateurs, les ministères,
46:13 - Les "civil servants"
46:15 - Qui sont attachés à cette tâche-là.
46:17 - Il y a un collectif à faire.
46:19 - Nous devons tout m'aider à piquer
46:21 - Pour trouver comment nous
46:23 - Pouvoir gérer ces nouveaux défis.
46:25 - Mais il faut se constater,
46:27 - La façon de faire jusqu'à l'heure
46:29 - Ne peut pas atteindre
46:31 - Les résultats que tout le monde peut avoir.
46:33 - C'est-à-dire qu'aujourd'hui,
46:35 - Si on installe un drain dans un endroit là,
46:37 - Ce n'est pas fini.
46:39 - Si on a une construction
46:41 - Dans une rivière,
46:43 - Ce n'est pas fini.
46:45 - Si on a un périmètre
46:47 - Dans un endroit,
46:49 - On ne peut pas
46:51 - Rentrer dans cette situation-là
46:53 - Et faire du "fire-fighting"
46:55 - Des affaires partielles,
46:57 - Des accommodations.
46:59 - Là, nous proposons un plan national.
47:01 - Ce doit être un plan
47:03 - De cinq ans,
47:05 - Nationalement.
47:07 - Pour améliorer.
47:09 - Mais il nous a demandé dans le long terme.
47:11 - Dans le long terme, mais seulement
47:13 - Nous donner nos objectifs
47:15 - Dans les cinq prochaines années.
47:17 - Mettre nos objectifs en place
47:19 - Pour s'assurer
47:21 - Que ce qui peut se créer ne se détruise pas.
47:23 - C'est un point très important.
47:25 - Les choses arrivent très vite.
47:27 - Un des grands
47:29 - Issues mondiales
47:31 - Récemment,
47:33 - C'est l'augmentation de la température
47:35 - Sur la planète.
47:37 - Absolument.
47:39 - Il y a un grand débat,
47:41 - Un grand long et un long,
47:43 - Pour dire que nous sommes capables
47:45 - D'atteindre une augmentation
47:47 - De 1,5 degrés centigrade.
47:49 - Pour nous dire que nous pouvons aller
47:51 - Dans la bonne direction.
47:53 - Sauf que 2023,
47:55 - Risquerait être,
47:57 - Et je pense que nous résistons un mois et demi,
47:59 - Jusqu'à la fin de l'année,
48:01 - L'année la plus chaude
48:03 - Dans les années
48:05 - Depuis qu'il y a eu God Records,
48:07 - C'est l'année la plus chaude,
48:09 - Nous finissons par avoir une température extrême
48:11 - Dans beaucoup d'endroits,
48:13 - Et notamment climatique extrême,
48:15 - Dans beaucoup de pays,
48:17 - Il peut paraître,
48:19 - Que les choses ne perdent pas
48:21 - La nature ne perd pas
48:23 - Non, la nature perd
48:25 - Beaucoup plus rapidement
48:27 - Qu'il nous attend,
48:29 - Cette pandémie que nous vivons
48:31 - C'est une façon pour la nature de dire
48:33 - Que nous pouvons prendre en charge
48:35 - Certaines affaires,
48:37 - Si d'autres choses continuent
48:39 - Avec impunité, nous pourrons agir.
48:41 - Alors, la COVID,
48:43 - En elle-même,
48:45 - C'est une sonnette d'alarme
48:47 - Qui nous a tout arrêté
48:49 - Pas de bâti dans sa nature
48:51 - Nous prenons nos précautions rapidement
48:53 - Le bon qui nous permet de la l'oiseau
48:55 - L'auto électrique
48:57 - Nous peut encourager, nous peut dire
48:59 - Arrête de servir, arrête de polluer
49:01 - Tout cela dans le bon démarche,
49:03 - Dans la bonne direction, mais seulement
49:05 - Nous pouvons accélérer beaucoup plus
49:07 - Mais justement, c'est là que
49:09 - Les politiques qui mettent en place
49:11 - Bien capable de politiques rapides
49:13 - Parce qu'ils nous guettent, nous payons nous-mêmes
49:15 - Nous prenons le cas du plastique
49:17 - Bien sûr
49:19 - Une asphyxie
49:21 - La décision qu'ils prennent
49:23 - Pour arrêter
49:25 - Mais aujourd'hui,
49:27 - Cette année-là, nous avons trouvé
49:29 - Qu'ils repoussent
49:31 - Une échéance pour l'année prochaine
49:33 - Mais dans ces un an-là,
49:35 - Beaucoup de choses sont arrivées
49:37 - Il paraît que la nature dépasse nous
49:39 - Définitivement
49:41 - Si l'être humain peut réaliser
49:43 - Qu'il y a une masse en harmonie
49:45 - Avec la nature
49:47 - La nature pour qu'elle nous corrisse
49:49 - Et nous mettre en place
49:51 - Et nous tout le temps, pour l'instant
49:53 - Quand nous arrivons, nous gagnons l'événement
49:55 - Comment ça, cette inondation-là
49:57 - Beaucoup de gens ont tendance à blâmer
49:59 - X, Y ou Z
50:01 - Avec raison, dans certaines façons
50:03 - Mais, au-delà
50:05 - De mettre en blâme
50:07 - Il est important que chaque citoyen
50:09 - A une réalisation collective
50:11 - Voilà
50:13 - Pour qu'il y ait en face ce danger
50:15 - Que nous pouvons avoir
50:17 - Je prends l'exemple de l'île Rodrigue
50:19 - Qui, depuis des années,
50:21 - A eu un problème de loup
50:23 - C'est un problème pépituel
50:25 - Chronique
50:27 - Mais seulement, dans le Royaume du Royaume
50:29 - Je crois, nous avons presque
50:31 - Presque 100% dans le foyer de la ville
50:33 - De l'île Rodrigue, et dans le bassin
50:35 - Que vous avez récolté de l'eau de pluie
50:37 - Absolument
50:39 - Et je te sers de dire, mais souvent
50:41 - Là aussi, il y a assez de pluie là-bas
50:43 - Mais je te sers de dire
50:45 - A Maurice, la collection de l'eau de pluie
50:47 - Elle est encore bien loin
50:49 - Pour qu'il y ait une réalité
50:51 - Minimale
50:53 - Par contre, c'est une des choses
50:55 - Que beaucoup de pays peuvent épouser
50:57 - Pour gagner de l'eau
50:59 - Systématiquement, pendant une longue période de sécheresse
51:01 - Absolument
51:03 - Alors, il y a beaucoup à faire
51:05 - Mais nous avons besoin de volonté
51:07 - Vous connaissez peut-être, quelques fois
51:09 - Les politiciens ne sont pas populistes
51:11 - Pour faire tout cela
51:13 - Oui, oui, oui
51:15 - Ils préfèrent faire des affaires beaucoup plus
51:17 - "Short term"
51:19 - Mais quand on pense au pays
51:21 - Et si on est un politicien
51:23 - Qui est dans le pays à coeur
51:25 - Là, on prend les décisions qu'il faut
51:27 - Dans l'air qu'il faut
51:29 - Donc, un dernier sujet
51:31 - Que nous avons abordé avant
51:33 - Nous clôons l'émission
51:35 - Il nous reste trois minutes
51:37 - Alors, nous trouvons
51:39 - Que nous retournons un peu à la politique
51:41 - Élections municipales contestées
51:43 - Trois demandes de recours au "privilege council"
51:45 - Fient une rejetée
51:47 - Cette semaine-là
51:49 - Est-ce que pour
51:51 - Déjà, nous causons
51:53 - Le renvoi des élections
51:55 - Ou en tant qu'un légiste
51:57 - Oui
51:59 - Est-ce que vous trouvez que ce renvoi-là
52:01 - D'une façon légale, est-ce que c'est correct pour le faire?
52:03 - Non
52:05 - Moi, je pense que renvoyer une élection
52:07 - Au-delà de ce thème
52:09 - Ce "usual" thème
52:11 - Ce n'est pas anti-démocratique
52:13 - Il faut suivre
52:15 - La loi
52:17 - La loi de 20e
52:19 - Qui est déjà présente
52:21 - Si il y a un an pour une élection
52:23 - Il faut passer dans cette période-là
52:25 - Pour avoir un signal
52:27 - Alors moi, je ne peux pas
52:29 - S'inscrire à un délai
52:31 - Législatif
52:33 - Qui est municipal
52:35 - Qui est général
52:37 - Il ne faut pas avoir une dépêche
52:39 - Ça, vous savez, dans le pays
52:41 - Qui nous observe
52:43 - Je ne trouve pas ça d'un bon oeil
52:45 - Mais quand vous trouvez
52:47 - Que la Cour suprême, en fin de compte
52:49 - Prend la décision de refuser
52:51 - Le recours au "privilège council"
52:53 - Est-ce qu'il y a un bon message
52:55 - Il ne faut pas prendre l'idée
52:57 - Légal, c'est légal, la loi, c'est la loi
52:59 - Il ne faut pas faire autrement
53:01 - Je ne pense pas qu'il y ait d'occasion
53:03 - Il y a ce même jugement
53:05 - Mais probablement, quand vous réappellerez
53:07 - Ce qui me pense
53:09 - Mais seulement, vous savez
53:11 - Même si vous ne pouvez pas le "privilège council"
53:13 - Vous pouvez réaliser dans les délais
53:15 - Ces choses-là, elles prennent après 4 ans
53:17 - Mais même si ça n'a pas l'écho
53:19 - Le "privilège council"
53:21 - Comment on peut l'écouter
53:23 - Alors probablement dans 2 ans, 3 ans
53:25 - Là, le "téléjournal" finit passé
53:27 - Et ça
53:29 - "Issue-là" n'est plus "live"
53:31 - Alors ça, c'est un bon...
53:33 - Mais en tant qu'enlégiste
53:35 - On a plus de 35 ans encore
53:37 - Il y a un bon cas
53:39 - Qui nous prend le cas
53:41 - Récemment d'une jeune
53:43 - Demoiselle qui était violée
53:45 - Et qui a juste
53:47 - Une fierté rapide
53:49 - Parce qu'il a besoin d'une issue rapide
53:51 - Est-ce que la justice ne trouve pas
53:53 - De moyens dans ce cas?
53:55 - Je pense que oui
53:57 - Et c'est "grand temps" qui nous trouve
53:59 - Ca va de moyens
54:01 - Pour tout cas qui n'est pas capable
54:03 - A la même vitesse, dans la même lenteur
54:05 - Non, il y a des choses qui sont prioritaires
54:07 - Il paraît qu'il n'y a pas de quoi
54:09 - Dans le parlement
54:11 - La loi doit passer plus vite
54:13 - Alors dans le judiciaire aussi
54:15 - Je pense qu'il faut trouver un système
54:17 - Pour que certains cas passent plus vite
54:19 - Que d'autres
54:21 - Merci beaucoup
54:23 - Aujourd'hui nous terminons l'émission un peu en avance
54:25 - Pour des raisons administratives
54:27 - Donc je vous remercie encore une fois
54:29 - Bien sûr que nous pourrons rejoindre
54:31 - Dans les autres émissions
54:33 - Pour les auditeurs
54:35 - Et les personnes qui nous rejoignent
54:37 - Sur les réseaux sociaux
54:39 - Merci pour votre fidélité à l'émission
54:41 - Je vous donne rendez-vous demain matin
54:43 - Pour "Levé Maurice"
54:45 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:47 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:49 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:51 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:53 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:55 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:57 - Un épisode de "Levé Maurice"
54:59 - Un épisode de "Levé Maurice"
55:01 - Un épisode de "Levé Maurice"
55:03 - Un épisode de "Levé Maurice"
55:05 - Un épisode de "Levé Maurice"

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