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00:00 [Générique]
00:09 Bonjour, bienvenue sur SRTV dans notre nouvelle émission Bizess Angel où les Bizess Angels viennent nous partager leur expérience dans l'investissement SIG.
00:19 Aujourd'hui, c'est un Bizess Angel chevronné que nous recevons en la personne de Thierry Vandewaal. Thierry, bonjour.
00:28 Bonjour.
00:29 Merci d'abord de faire partie des premiers invités de Bizess Angel, la nouvelle émission sur Investisseur TV.
00:36 Pour commencer, peut-être un petit mot sur votre parcours ?
00:40 Merci de m'avoir invité déjà. C'est sympa.
00:43 Vous comptez dans le monde des Bizess Angels, donc c'était normal que…
00:45 Le concept est super. Ravi de pouvoir un peu parler de ce parcours.
00:52 Alors moi, je n'ai pas commencé comme angel, j'ai commencé comme entrepreneur, donc j'ai eu plusieurs vies d'entrepreneur, comme beaucoup de Bizess Angels, c'est vrai.
01:00 C'est pour ça qu'ils sont devenus Bizess Angels, sinon, à avoir une fortune familiale.
01:03 Ça peut être le cas aussi, mais ce n'est pas le mien.
01:07 Moi, juste en sortant de l'école, j'ai rencontré mon associé avec lequel je suis toujours associé.
01:12 On travaille toujours ensemble depuis maintenant bientôt 25 ans, ça ne me rajeunit pas.
01:15 Ça va être les noces de je ne sais pas combien, vous, de 25 ans ?
01:18 Oui, c'est ça. J'aurais passé plus de temps avec lui.
01:22 Souvent, c'est l'associé qui nous parle.
01:24 Donc, Xavier. Et en fait, on a monté juste en sortant de l'école, 2000, on avait tout de fait une école d'ingénieurs, et on a monté une marketplace de conseils en ligne.
01:36 Donc, c'était la grande mode.
01:39 Évidemment, en 2000, il n'y avait pas grand monde sur Internet, donc les boîtes Internet tournaient un peu sur elles-mêmes.
01:45 Et le conseil en ligne, d'ailleurs, ça n'a pas vraiment marché beaucoup plus tard non plus, donc ça n'a pas super prospéré.
01:50 Alors, on avait levé de l'argent, c'était formidable, mais on n'avait pas vraiment de modèle.
01:54 Et puis, à un moment, il s'est posé la question, du coup, qu'est-ce qu'on fait ?
01:58 Il nous reste encore un peu d'argent, alors on pouvait closer la boîte et puis aller travailler dans le conseil.
02:04 Finalement, on s'est dit, qu'est-ce qu'on sait faire ?
02:05 On sait faire de la data analytics et des sites web, globalement, c'est ça qu'on savait faire.
02:09 Un petit pivot.
02:10 Pivot vers du service et du conseil.
02:12 Et donc, on est devenu une boîte de service dans data analytics et site web, donc globalement une web agency un peu tech.
02:18 Et ça, ça a très bien marché, ça a super bien marché.
02:22 En 2007, on était probablement une des plus grosses en France, peut-être entre 100 et 200 personnes.
02:27 On l'a bien revendu à Publicis pour devenir l'entité digitale,
02:32 boîte dans laquelle je suis resté ensuite 3 ans, c'est partie du deal, l'ornaut.
02:36 Et ça s'est très bien passé, ça a été une jolie rencontre où Publicis m'a apporté beaucoup de clients et en même temps a su me laisser tranquille dans ma boîte.
02:46 Donc ça, c'était une bonne chose.
02:48 Et puis, fin de l'ornaut 2010, ils m'ont dit « tiens, tu ne voudrais pas aller en Asie faire un peu l'inverse de ce que tu as fait, donc racheter des boîtes pour nous ? »
02:54 Puis j'ai dit banco, je suis parti à Shanghai pour m'occuper.
03:00 Ou Publicis se digitalisait bien sûr.
03:01 C'est cool.
03:02 Oui, oui. Et en Asie, il faut se rendre compte, Publicis en France, c'est tout petit par rapport au reste.
03:06 C'est très connu en France, mais Publicis en France, c'est quelques milliers d'employés.
03:10 Publicis dans le monde, c'est plutôt 60-70 000 et en Asie, c'est quelques dizaines de milliers.
03:14 D'accord.
03:15 Donc c'est beaucoup plus gros.
03:16 Donc je pars à Shanghai et là, on a racheté presque 10-15 agences en un an et demi.
03:21 Donc ça a été du M&A, des petites boîtes, très sympa.
03:24 J'ai adoré cette expérience.
03:26 Et puis, je leur avais dit de toute façon que je ne resterai pas 25 ans parce que je suis plutôt entrepreneur.
03:33 Et puis, ça n'a pas loupé, j'ai replongé dans une aventure entrepreneuriale avec Christophe et Sylvie qui lançaient Atelier Cologne.
03:40 Et donc, je me suis lancé là-dedans en Asie, maison de parfum.
03:45 J'ai toujours été dans l'innovation et la tech et là, j'ai fait une petite aparté.
03:49 Atelier Cologne qui est une boîte qui a hyper bien marché, vraiment fantastiquement et qui a été revendue.
03:54 On l'a revendue à L'Oréal en 2015.
03:56 D'accord.
03:57 Et puis du coup, à ce moment-là, avec mon associé Xavier avec qui on faisait déjà un peu de business angel avec l'argent qu'on avait gagné, etc.,
04:05 on se dit « Est-ce qu'on ne pourrait pas structurer ça de façon un peu plus solide ? »
04:09 On a envie quand même d'être très hand zone dans les boîtes et donc, on a structuré ça sous forme d'une holding, une SR, Win Capital.
04:16 Vous êtes tous les deux ou vous avez ?
04:18 On est tous les deux. On a apporté un peu d'argent.
04:20 Ce n'est pas un fond, c'est vraiment une…
04:21 C'est purement du coup.
04:22 C'est un fond mais patrimonial.
04:24 D'accord.
04:25 Et on a fait 80 deals en une petite dizaine d'années.
04:29 D'accord.
04:30 Enfin non, il en reste 80, on en a fait 100 et on a fait 27 exits so far.
04:34 Et donc, super expérience.
04:37 On a adoré. D'ailleurs, on a fait quelques deals ensemble, je me souviens.
04:40 Yescapa.
04:40 Yescapa qui est une jolie aventure sur laquelle je suis au bord finalement depuis le tout début et je suis toujours.
04:45 Donc, magnifique boîte.
04:48 Et puis, à force de se dire à l'angel quand même, on aime bien, etc., en parallèle de l'angel, on a été tous les deux, Xavier et puis moi si je parle de moi,
04:59 travailler dans des fonds plus institutionnels pour voir un peu à quoi ça ressemblait, etc.
05:03 Donc, moi, j'ai passé 6 ans comme GP des AIs.
05:06 On était trois associés sur cette partie venture et ça a très bien marché.
05:11 J'ai adoré ça.
05:12 Donc, c'était un peu différent du business d'angel où angel, on n'a pas de contrainte.
05:17 Donc, on est dans une zone de confort.
05:19 Oui, dans business angel, on est plutôt angel que business alors que dans les fonds, c'est l'inverse.
05:24 Oui, puis il y a du reporting, il y a quand même des clients, les LP.
05:27 Et on est un peu plus hands-on dans les boîtes parce qu'on met aussi des plus gros montants.
05:32 Voilà, avec toute une stratégie de est-ce qu'on remet, est-ce qu'on remet pas, est-ce qu'on sort ?
05:35 J'ai aimé ça.
05:37 Et du coup, avec Xavier, il y a un peu plus de 9 mois, on s'est dit mais franchement, toi aussi,
05:42 tu as aimé ça peut-être même plus que le côté angel.
05:46 Et donc, là, on est en train de remonter en ce moment.
05:49 Wing Capital 2, du coup, dans lequel on met aussi, nous, de l'argent.
05:52 Mais cette fois, on l'ouvre totalement à l'extérieur et on est en pleine levée de fonds en ce moment.
05:56 Ok.
05:57 Eh bien, je vous inviterai donc pour en parler sur une idée de placement.
05:59 On a une autre émission qui s'appelle "Les Placements" et ça prend l'objet du...
06:02 Donc là, alors quand je disais que vous étiez un business angel chevronné, je ne disais que la vérité.
06:08 Alors au début, si on vient sur la partie business angel, quand vous avez commencé à faire les exits,
06:12 qu'est-ce qui vous motivait ? Quels étaient vos critères de sélection ?
06:16 Et quel ticket moyen vous mettiez ? Sur la partie vraiment business angel.
06:19 Oui, sur la partie business angel.
06:20 Le ticket moyen, je dirais que le ticket moyen est autour de 100 000 euros.
06:23 On n'est quasiment jamais descendu en dessous de 20 000.
06:28 Et je pense qu'on a fait très, très peu de deal au-delà de 250 000 ou 300 000 euros.
06:31 Donc voilà, avec une moyenne à 100 000 euros, on voulait rester sur quelque chose d'assez standard.
06:36 Critères de sélection ?
06:37 Et critères de sélection, ça s'est affiné au cours du temps.
06:41 Mais je dirais qu'au début, c'était vraiment le coup de cœur et on ne raisonnait pas autrement.
06:48 D'accord.
06:48 On ne raisonnait pas autrement que le coup de cœur.
06:50 Comme beaucoup de BA.
06:51 Cet entrepreneur, il est en train de faire quelque chose qui me parle.
06:55 J'ai l'impression que c'est génial.
06:57 De toute façon, est-ce que ça va devenir une boîte énorme ou pas ?
07:00 Je n'en sais rien, mais j'ai envie de participer à l'aventure.
07:03 OK.
07:04 Voilà.
07:04 Au cours du temps, et c'est peut-être aussi le fait qu'il y avait Isaïe un peu à côté.
07:07 Oui, bien sûr.
07:08 J'ai commencé avec Xavier, on était un peu toujours cet aspect-là, évidemment.
07:14 Mais on était un peu plus rationnel.
07:16 Avec un peu plus de rationnel.
07:17 On a dit, bon, on va quand même essayer de voir si le secteur fait sens, si le marché est important.
07:22 Évolution classique du BA avec l'expérience.
07:24 Exactement.
07:24 Si l'équipe est bien structurée.
07:26 Voilà.
07:29 Mais c'est quand même toujours globalement un aspect un peu émotionnel et avoir envie de participer à une aventure.
07:35 Donc, c'est ça qui nous motive.
07:36 Et c'est quasiment ça qui nous motive jusqu'au bout.
07:41 Donc, vous parliez au bord du SKPA, sur d'autres également.
07:45 Vous êtes plutôt impliqué dans le développement de la société.
07:48 Ce n'est pas uniquement, je mets de l'argent pour aider, mais je suis passif.
07:52 Alors, oui et non.
07:54 Et d'où le fait d'ailleurs de peut-être passer vers un plus gros fond.
07:58 Parce que comme on a fait beaucoup avec des tickets de 100 000 euros, il y a un certain nombre de boîtes sur lesquelles on est impliqué.
08:08 Je dirais, allez, il y a peut-être 20% des boîtes sur lesquelles on est vraiment impliqué.
08:11 On citait Yeskapa, je suis au bord depuis le début.
08:13 Il y a eu Driving, où j'ai été au bord depuis le tout début jusqu'à il y a 6 mois où ils sont introduits en bourse.
08:18 Il y a eu des boîtes où j'ai vraiment été très impliqué.
08:22 Il y en a quelques-unes où je suis moyennement impliqué.
08:25 Puis sur 100, il faut dire la réalité, je suis suiveur.
08:28 Les gars ont fait des nouveaux tours avec le nouveau, je ne suis plus au bord.
08:31 Et puis des fois, les biens ne sont pas toujours écoutés.
08:33 Alors, ce n'est pas eux qui dirigent la boîte, on est bien d'accord.
08:35 Mais des fois, la frustration ne pas toujours être, les bons conseils ne sont pas toujours, ne se rassent écoutés.
08:41 Oui, puis en fait, pour pouvoir donner des conseils, il faut être au courant de ce qui se passe dans la boîte.
08:46 Et donc finalement, quand on ne sait plus bien ce qui se passe dans la boîte,
08:49 parce qu'on n'y passe pas de temps soi-même et puis qu'on ne veut pas en faire perdre non plus à l'entrepreneuriat.
08:54 On ne veut pas tenir.
08:55 Du coup, je dirais que c'était 70-30.
08:58 Allez, un petit tiers des boîtes où j'étais vraiment impliqué et un gros deux tiers où en fait,
09:03 ça m'arrive d'aller prendre un café avec eux souvent quand ils ont un problème en fait.
09:06 C'est sympa d'ailleurs, j'aime ça.
09:07 Mais en fait, pendant un an ou deux ans, peut-être je n'entends pas parler de la boîte.
09:11 Ok. Alors, vous avez accepté de partager vos performances.
09:14 Alors, quelles sont-elles ? Parce qu'il y a du bon, il y a du moins bon.
09:18 Le bilan.
09:19 Ah oui, le bilan, justement, on vient de le faire dans un truc très formel.
09:24 Donc, je l'ai bien en tête.
09:27 On a eu à peu près 20% de dépôts de bilan ou boîtes qui se revendent pour pas cher.
09:35 Ça, ça fait à peu près 20%.
09:36 D'accord.
09:37 C'est une vingtaine de boîtes sur nos 100 boîtes.
09:38 Voilà, donc bon, c'est la vie, c'est comme ça.
09:43 Il y a, je dirais, à peu près le même pourcentage de très belles boîtes.
09:48 D'accord.
09:48 Boîtes où ça va être, en termes de valorisation, du moins, puisque c'est ça notre critère.
09:55 On fait plus de fois, entre fois 5 et fois 30, 40, 50, on a une boîte, on a fait fois 100.
10:01 Ce qui couvre les 20% qui vont à la carte.
10:03 Ce qui couvre largement les 20%.
10:05 Et puis, il y a 50, 60 de boîtes où ça se passe bien, ça deviendra,
10:10 c'est agréable de se dire qu'on aura créé des boîtes qui, enfin, aidé à créer,
10:14 pas créé, aidé à créer des boîtes et soutenir des boîtes qui viennent des jolies PME,
10:18 qui créent de l'emploi, qui vont peut-être créer 10, 20, 30 emplois,
10:21 qui ne vont pas rémunérer beaucoup.
10:23 Oui, ça, c'est un balai-corde, mais on aura aidé les entrepreneurs à créer leur boîte et la pénaliser.
10:28 J'en ai une, par exemple, là, où je reçois des dividendes,
10:32 ce qui n'est pas habituel en business angel, souvent on vend la boîte,
10:34 mais là, ils ont créé une PME, ils ne vont pas la vendre globalement,
10:37 mais par contre, elle est rentable.
10:39 C'est intéressant.
10:40 Et ça, c'est la moitié.
10:40 Sur le Malpais, c'est boîtes là, et c'est là où les business angels sont aussi utiles.
10:43 Et c'est des super boîtes.
10:45 Là, en l'occurrence, c'est une boîte qui fait 40 personnes.
10:48 Dans quel secteur ?
10:49 Justement, c'est aussi dans les camping-cars, comme Yaskawa,
10:53 mais sur un autre sujet qui est plus d'accessoires.
10:55 D'accord.
10:56 Et du coup, c'est assez sympa.
11:01 Je ne vais pas beaucoup gagner ma vie, on va peut-être faire x2 là-dessus.
11:04 Et ça, c'est la moitié.
11:06 C'est la moitié.
11:07 Pour ceux qui voudraient être business angels,
11:10 ou même ça peut servir aux entrepreneurs,
11:12 quelles ont été vos déceptions, les principales déceptions ?
11:16 Les principales déceptions, finalement, c'est, comme je dis, pourquoi je fais ça ?
11:21 C'est parce que j'aime aider les entrepreneurs,
11:23 participer à une aventure, les conseiller, etc.
11:27 Et parfois, c'est arrivé que je passe pas mal de temps,
11:31 qu'on a l'impression de beaucoup aider.
11:36 Oui.
11:36 Et puis, le chemin faisant, la boîte évolue,
11:41 elle trouve des gros investisseurs, si elle marche bien par exemple,
11:44 j'ai un car en tête précis,
11:46 elle trouve des gros investisseurs, la boîte cartonne.
11:48 Et puis finalement, les business angels, dont moi,
11:51 sont un peu mis de côté.
11:52 Un peu mis de côté, donc on n'est plus vraiment au courant de ce qui se passe dans la boîte.
11:54 Ça, c'est souvent, mais il faut le prendre avec philosophie.
11:56 Et du coup, il y a un petit côté décevant, dimens.
12:00 Et en même temps, je comprends, l'entrepreneur a autre chose à faire,
12:02 il est avec des gros investisseurs qui lui disent,
12:04 "Non, franchement, les angels, on n'a plus envie, sors-les".
12:08 Puis c'est aussi la nature humaine,
12:10 il y a des gens qui sont reconnaissants et d'autres pas du tout.
12:12 Ça, c'est un peu le petit aspect décevant d'angel,
12:16 où on a l'impression d'être au début très full.
12:19 On nous appelle quand il faut remettre nos poches.
12:23 Et pour répondre à la question,
12:24 globalement, notre portfolio avec Xavier, au fur et à mesure,
12:28 il aura fait à peu près x3,
12:30 entre les pertes et les 20% qui ont bien performé.
12:34 - Bonne performance. - Voilà, on est content.
12:36 Et à part le côté financier, satisfaction ?
12:39 Oui, globalement, mis à part la déception dont je viens de parler,
12:43 une immense satisfaction.
12:44 D'ailleurs, sinon, je ne continuerai pas.
12:45 Vous conseillez à ceux qui ont un peu d'argent
12:48 d'être ou de devenir un business manager ?
12:49 Le conseil, absolument.
12:51 Ça vous met au contact d'entrepreneurs qui, en moyenne,
12:54 sont quand même, de toute façon, tout entrepreneur par définition,
12:57 et quelqu'un d'un peu extra,
12:58 parce que c'est tellement dur de faire une boîte
12:59 - C'est vrai, tout à fait. - qu'ils réussissent ou pas.
13:01 C'est de toute façon quelqu'un de bien.
13:03 Ça permet de rester au cœur de l'innovation,
13:06 de voir c'est quoi les traînes de demain.
13:07 De vivre un peu dans une entreprise par procuration.
13:10 Oui, c'est une vraie satisfaction.
13:12 À part les startups, vous allez se tirer en quelle équipe d'actifs ?
13:16 Franchement, après, moi, patrimonialement,
13:19 j'ai une diversification, comme tout le monde, j'ai envie de dire,
13:21 et logique, mais il n'y a que dans les startups
13:24 que je m'investis de façon active.
13:26 Après, j'ai acheté ma maison,
13:27 j'ai une résidence secondaire,
13:29 puis à la banque, j'ai un peu de fonds actions
13:31 que je ne regarde pas trop.
13:33 Parce que la prudence du bon père de famille,
13:35 je requiète, mais on vibre aussi en investissant dans les startups.
13:40 Oui, le seul focus que j'ai, c'est ce qui est innovation et startup.
13:43 OK. Thierry, merci de cette partage, cette transparence.
13:47 Et puis, je vous invite sur les déplacements
13:50 à venir parler de WinCapital2, qui sera ouvert.
13:53 Il y a un ticket minimum, c'est ouvert à tout le monde.
13:56 C'est un fonds professionnel,
13:56 donc c'est un ticket minimum de 100 000 euros.
13:58 Oui, très bien.
13:59 Et sinon, il est ouvert en ce moment
14:01 pour les 6-9 prochains mois.
14:03 OK, bon, on se voit rapidement sur la chaîne.
14:05 Thierry, merci beaucoup.
14:06 Merci.
14:06 Merci à tous de nous avoir suivis.
14:07 Je vous donne rendez-vous très vite sur Investeur TV
14:10 avec un autre business angel
14:11 qui viendra nous partager sa vie de BA.
14:14 À bientôt.
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