• l’année dernière
Cette vidéo sur le combat gaulois s’inscrit dans une petite série de vidéos sur l’archéologie et les Gaulois que je réalise en compagnie de Guillaume Reich, Docteur en Archéologie protohistorique, dont la spécialité est justement les Celtes du second âge de fer, leur armement et les techniques martiales gauloises.

Dr Guillaume Reich
Ingénieur de recherche – Archéologue
Maison des Sciences de l'Homme et de l'Environnement Claude-Nicolas Ledoux
UAR 3124, CNRS, Université Bourgogne Franche-Comté, F-25000, Besançon
Quelques articles de G. Reich sont disponibles ici : https://unistra.academia.edu/GuillaumeReich

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Écrit par Benjamin Brillaud et Guillaume Reich

Montage par Dead Will : https://www.youtube.com/channel/UCtLkNuzB2_j2z7SFdvkiCww
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Transcription
00:00 Mes chers camarades, bien le bonjour ! Vous aimez le combat, vous aimez les Gaulois,
00:04 et bien ça tombe bien, aujourd'hui on va parler de combat gaulois !
00:27 Loin des clichés auxquels nous ont habitué le cinéma et les livres qui sentent bon le XIXe siècle,
00:31 les Gaulois et les Celtes en général ne sont pas qu'une bande de brutes qui foncent dans le tas
00:35 en hurlant et en misant plus sur les faits d'annonce que sur la stratégie et la maîtrise
00:39 de leurs armes. Si vous ne l'avez pas déjà vu, je vous encourage vivement à aller voir notre
00:43 précédente vidéo sur l'équipement gaulois, qui vous permettra de comprendre tous les tenants
00:47 et les aboutissants des armes et des protections du guerrier typique du secontage du fer, soit entre
00:52 le V avant notre ère et la guerre des Gaules. Lors de cet épisode, nous avons observé que
00:57 le combattant gaulois typique utilisait deux types d'armes offensives. D'une part les armes d'aste,
01:02 c'est à dire les lances et les piques, d'autre part les armes de poing, principalement les épées
01:06 logées dans un fourreau métallique. Ils utilisent aussi essentiellement une arme défensive, le
01:11 bouclier ovale et plat, à poignée centrale, horizontale. Mais comment ces guerriers combattent ?
01:15 Parce qu'après tout, il y a des dizaines de manières d'embrocher son prochain sur un champ
01:18 de bataille. Alors pourquoi privilégier une technique plutôt qu'une autre ? Est-ce que ces
01:22 armes on les utilise de façon simultanée ou l'une après l'autre ? Dans les grandes lignes,
01:26 comment se déroule un combat d'infanterie celtes équipé de cette panoplie que l'on a vue ? Pour
01:31 y voir un peu plus clair et avant de rentrer dans le vif du sujet, on va débroussailler quelques
01:34 généralités. Comme dans tout combat à l'arme blanche, y compris les plus modernes, le combat
01:43 gaulois est avant tout un combat psychologique, opposant deux adversaires. Le combattant alterne
01:49 les phases d'attaque et de défense, s'assurant d'être toujours protégé au maximum lors de ses
01:53 manœuvres, et tentant de garder une certaine distance avec l'ennemi car la moindre erreur
01:57 peut être fatale. Les guerriers en sont particulièrement conscients, et qu'il
02:02 s'agisse d'un duel codifié entre deux combattants, d'une escarmouche avec quelques centaines de
02:06 guerriers ou d'une bataille rangée opposant deux corps d'armée composés de milliers d'hommes,
02:10 l'affrontement peut se résumer à deux adversaires luttant pour leur vie. Et l'issue d'un combat
02:15 est souvent dramatique pour l'un ou pour l'autre. Une fois sur le champ de bataille,
02:42 les textes grecs et latins nous disent que les différents belligérants s'insultent,
02:46 se donnant des noms d'oiseaux, vantant les mérites de leurs ancêtres et louant leurs
02:51 propres exploits. Des grognements qui prennent place dans une atmosphère sonore particulièrement
02:55 garnie. Les combattants hurlent, la musique retentit à travers notamment les karniks,
02:59 les trompes de guerre gauloises qui permettent probablement de transmettre des ordres,
03:02 certaines danses martiales sont pratiquées et les armes se fracassent entre elles.
03:07 Difficile dans ces conditions de savoir qui a insulté votre maman ! En tout cas,
03:11 cette cacophonie renforce l'extrême tension qui précède le combat.
03:14 Mais replaçons les choses dans leur contexte. Si ce type de combat paraît insurmontable à la
03:19 plupart des hommes modernes, ces guerriers devaient être dans un état d'esprit beaucoup plus terre
03:23 à terre. Tout cela était assez codifié et renforcé par leur vécu personnel et les récits
03:29 de leurs compagnons et de leurs ancêtres. La gloire passait inévitablement par le champ de
03:33 tripes et d'excréments, la douleur et la mutilation. Après ces échanges fleuris qui
03:38 ne meurtrissaient que leurs égaux, la bataille peut commencer. Pour les périodes durant lesquelles
03:42 on utilise des armes à distance, c'est le moment de faire pleuvoir la première salve.
03:46 Ensuite, le corps à corps peut commencer.
03:49 Ce combat est rarement une charge héroïque telle que l'on peut les voir dans les films
04:13 hollywoodiens. Comme nous l'avons déjà dit précédemment, la gestion de la distance est
04:17 primordiale. Les échanges débutent donc avec l'arme la plus longue, l'arme d'aste. C'est
04:22 seulement une fois que celle-ci est neutralisée, soit parce qu'elle est brisée, soit parce qu'elle
04:26 n'a plus d'utilité vu la distance de l'adversaire, qu'est dégainée l'arme de poing. L'épée permet
04:32 un affrontement au plus proche. Bien sûr, si cette épée est perdue lors du combat, si le guerrier
04:37 n'a pas la possibilité de fuir, il va tenter de résister par l'intermédiaire d'armes de circonstance,
04:41 dont la plus évidente est le couteau ou une arme d'aste brisée. Les gestes à priori sont assez
04:47 basiques et peuvent être maîtrisés de tous. On pousse, on frappe, on avance, on reflue,
04:53 on marche, on court même. L'essentiel c'est vraiment d'arriver dans une sorte de dynamique
05:00 martiale et il faut imaginer que dans la plupart des cas, finalement l'individuel s'efface au
05:06 détriment du collectif. Il faut imaginer en fait que le combat c'est une sorte de gigantesque
05:10 poussée, une masse humaine comme ça qui se met en branle, un peu comme on peut le voir sur certains
05:15 matchs de rugby. Cette poussée collective peut permettre d'occasionner des dégâts extrêmement
05:19 importants. En revanche, et c'est ce qui désigne finalement les guerriers professionnels, on va
05:25 parfois pouvoir mettre en place un entraînement technique, psychologique, qui va permettre en fait
05:31 de fluidifier les mouvements, d'avoir une expression martiale beaucoup plus rapide, plus véloce. On va
05:36 apprendre à maîtriser sa peur, toutes ces choses qui vont faire finalement qu'on est préparé à la
05:40 guerre. Finalement, on va travailler sur la vitesse d'exécution de la gestuelle martiale et sur
05:47 l'aptitude à contourner un obstacle, qu'il s'agisse de l'obstacle que l'on propose soi-même, c'est à
05:52 dire le bouclier, ou qu'il s'agisse des obstacles mis en place par l'adversaire. Le but étant bien
05:59 entendu de toucher l'adversaire sans être touché et en empêchant évidemment que ses camarades soient
06:06 touchés. Donc chaque groupe ayant les mêmes envies à la fois de nuire au groupe adverse mais de
06:14 préserver le sien va finalement déployer une tactique qui va être beaucoup plus logique à
06:21 partir du moment où on a un entraînement. Ces guerriers, avec leur entraînement, déploient
06:25 un véritable art martial, c'est à dire qu'une lance, à la base, tout le monde peut s'en servir,
06:29 c'est juste qu'on prend, on plante et ça fonctionne. Mais là, on arrive à en faire quelque chose
06:35 vraiment de technique. L'archéologie et l'ethno-archéologie du geste nous permettent
06:41 finalement de comprendre les éléments les plus basiques de ce combat mais aussi de retrouver
06:46 certaines spécificités de cet art martial gaulois. Ces gestes que les combattants exécutent, on les
06:51 pensait perdus pour l'éternité. Pourtant, de nombreux indices nous sont révélés aujourd'hui
06:55 par l'archéologie et quand ces indices convergent, c'est que l'on commence à approcher d'une piste
07:00 sérieuse. C'est tout le principe des arts martiaux historiques européens, les AMHE, sur lesquels
07:05 j'avais déjà réalisé une vidéo il y a quelques années et que je vous invite à voir. On approche
07:09 le combat par la littérature, à travers des textes et des images. Les traités d'Eskrim sont très
07:14 précieux à ce sujet, notamment ceux du XVe siècle. A ça, on peut déduire des mouvements en mettant en
07:20 marche des notions de biomécanique. Cette approche permet déjà de faire beaucoup de choses. Mais les
07:25 AMHE se concentrent surtout sur des périodes plus récentes de notre histoire. Grâce aux textes,
07:30 on sait que dans telle posture, on pousse l'adversaire de telle façon, on utilise l'arme
07:34 de telle façon, etc. Dans le cas du combat gaulois, c'est un peu plus délicat. Il ne reste pas de
07:40 témoignages littéraires aussi éloquents. C'est donc une démarche de redécouverte complète,
07:44 où les éléments à notre disposition sont bien plus minces et doivent être recherchés via
07:49 différentes disciplines. Tout d'abord, utiliser la morphologie globale de l'arme. Sa forme,
07:54 son poids, ses dimensions métriques, sa composition, tout cela est fondamental.
07:59 Les textes grecs et latins nous donnent aussi quelques renseignements, parfois fiables,
08:04 parfois stéréotypés. Il faut d'abord démêler ce qui est pertinent de ce qui est inutile pour
08:09 l'appréhension du combat. D'où l'importance de critiquer les sources. Au final, on ne va pas se le
08:14 cacher, ce qui ressort de ces travaux, c'est surtout des évidences martiales, c'est à dire de la logique.
08:18 Mais vous allez le voir, il y a quand même de quoi être surpris. Guillaume a développé sa
08:23 propre technique sur cette reconstitution du combat gaulois, en ajoutant aux disciplines
08:26 classiques des approches par la science dure comme les mathématiques appliquées. Nous y
08:30 reviendrons dans un prochain épisode, mais si des notions de biomécanique sont utilisées,
08:34 l'expérimentation archéologique, dans la fabrication et dans l'utilisation de ces équipements,
08:39 peut s'avérer utile à la compréhension. Tout comme l'étude des traces, laissée par la fabrication
08:43 ou la destruction de ces équipements, la comparaison avec d'autres cultures anciennes sur
08:47 laquelle nous avons plus de renseignements, l'archéologie de bataille, l'iconographie
08:51 antique que l'on peut trouver sur des pièces de monnaie, des statues, des gravures, etc.
08:56 En faisant converger toutes ces sources, il est possible d'avoir un aperçu du combat gaulois
09:00 dans ses grandes lignes. L'usage de la lance est un cas emblématique pour l'appréhension du combat
09:05 gaulois car a priori, il ne requiert pas de technique particulière. Un individu suffisamment
09:10 véloce, même peu expérimenté, peut parvenir à maintenir à distance un autre combattant grâce
09:16 à l'allonge que lui offre la lampe de l'arme d'aste. Si le combattant inexpérimenté n'atteindra
09:20 pas forcément son adversaire, il n'aura pas trop de mal à l'empêcher de lui faire du mal. En revanche,
09:25 s'il ne veut pas se contenter de se défendre mais aussi d'attaquer son adversaire, il doit
09:30 déployer certaines techniques ingénieuses qui doivent contourner les défauts des armes.
09:33 Un des gros défauts des armes d'aste de type lance comme celle que je tiens dans mes mains,
09:38 c'est cette partie en bois qu'on appelle la hampe qui permet de tenir l'arme puisque cette partie
09:44 là a tendance à facilement se briser lors des premiers assauts. Et du coup, tu peux te retrouver
09:49 un peu comme un abruti avec seulement un morceau de bois dans les mains, ce qui est quand même
09:52 moins impressionnant quand tu veux aller titiller l'ennemi. Magner la lance ne peut donc pas se
09:56 résumer à de la frappe à l'aveuglette en espérant toucher son adversaire. Si le combattant frappe le
10:01 bouclier de l'adversaire, sa lance peut s'y ficher. L'opposant la neutralise et peut donc
10:05 désormais l'atteindre. Il doit chercher à toucher son adversaire mais celui-ci ne va pas se laisser
10:10 faire pour autant. Il faut donc pouvoir tester les failles de l'adversaire avant de porter le
10:14 coup fatal. Et c'est là que le savoir-faire martial entre en jeu. Une des techniques plausibles
10:37 que j'ai eu l'occasion de mettre en évidence pour l'usage des armes d'Ast, finalement c'est de
10:42 pallier les défauts inhérents à la conception de la lance. La hampe étant extrêmement fragile,
10:49 elle se brise souvent à l'impact. Simplement en utilisant le talon tourné vers l'adversaire,
10:53 on peut se retrouver à maintenir la distance et à éviter que la hampe se brise au moindre choc.
11:00 Et oui, le talon se fiche moins facilement dans la planche du bouclier adverse puisqu'il faut
11:05 imprimer une force plus conséquente. Par de petits coups permettant de jauger l'adversaire
11:09 mais permettant tout de même de lui faire mal sans briser son arme, le lancier va tenter de
11:13 trouver la faille. Il tient la lance, talon tourné vers l'adversaire, au tiers le plus
11:18 proche du fer, bénéficiant ainsi d'une allonge maximale. Quand il repère une faille, la fenêtre
11:24 est courte pour lui permettre d'exécuter son mouvement. Le lancier opère à un mouvement
11:27 de bascule lui permettant de passer au dessus du bouclier et de frapper, faire de lance en avant.
11:32 Cela lui permet de briser l'allonge élevée de l'arme d'Ast et de se rapprocher subitement de
11:37 l'adversaire tout en maintenant la lance de manière telle qu'elle est mécaniquement moins
11:41 susceptible de se briser. Cela permet de passer d'une saisie en pronation basse à une tenue en
11:46 supination haute qui sont finalement les deux postures à la lance qui sont les mieux identifiées
11:52 par l'iconographie proto-historique. Mais le combat gaulois finalement ne se résume pas au combat à la
11:57 lance, il y a aussi le combat à l'épée. On sait qu'elles sont pourvues de deux tranchons parallèles,
12:01 c'est une arme d'entaille, c'est à dire en fait que la pointe de l'arme se met en branle et ça
12:06 permet un passage rapide au cours duquel la pointe vient couper. C'est extrêmement pratique lorsque
12:11 l'on développe une gestuelle martiale qui est très dynamique, aérienne, voire véloce.
12:16 Ce qui est assez étonnant et contre-intuitif pour la plupart des gens qui comme moi ont grandi avec
12:20 des films bourrés de clichés, c'est que l'épée laténienne n'est pas conçue pour parer. Dans
12:24 tous les cas, et peu importe la période, on n'utilise pas, comme on le voit dans les films,
12:28 le tranchant pour parer une autre lame. On peut à la rigueur recourir au plat,
12:32 mais là aussi c'est plus accidentel qu'intentionnel. Un combattant se retrouvant
12:37 pris dans une mêlée pour sauver sa vie va potentiellement parer, mais l'épée n'est pas
12:42 prévue pour ça. La spécificité de l'épée laténienne que nous voyons ici, c'est sa garde
12:49 réduite qui vient d'autant plus confirmer ce que l'on vient de dire. Si l'on part avec la lame,
12:54 l'épée de l'adversaire peut facilement glisser. Et bien là je peux vous dire que... au revoir les
12:59 doigts ! La garde n'est pas du tout prévue pour parer. C'est une garde qu'on appelle en chapeau
13:05 de gendarme en archéologie celtique. On place le pouce ou l'index au niveau du creux que forme la
13:12 garde ou croisière de l'épée. Cela permet d'augmenter l'amplitude du bras. C'est à dire
13:17 que si on tient l'arme d'une façon normale, on va avoir une amplitude relativement faible. Mais à
13:24 partir du moment où on place le pouce au niveau du creux, on voit qu'on augmente l'amplitude. Donc
13:28 ça nous permet vraiment de développer une gestuelle beaucoup plus fluide. On a parfois
13:32 pensé que la garde reprenait le contour de l'entrée du fourreau d'épée. En fait c'est
13:38 exactement l'inverse puisque c'est l'épée qui va définir la forme du fourreau. On avait ce besoin
13:44 technique de placer un doigt sur la lame de l'épée. On a donc créé ce type de croisière et on a
13:54 naturellement adapté le fourreau à cette épée. La rapidité serait donc un élément primordial pour
13:59 réussir à déstabiliser son adversaire. Ne vaudrait-il mieux pas, dans ce cas, laisser son
14:04 bouclier au vestiaire ? Et bien pas vraiment. Si il occasionne une gêne pour le combattant,
14:08 il est aussi une barrière difficile à franchir pour son adversaire. La forme ovale du bouclier
14:12 est pensée pour permettre l'articulation de l'élément défensif avec les armes offensives.
14:17 L'épée gravite autour de la planche et l'arme d'aste peut s'y appuyer. Le bouclier est donc
14:23 aussi redoutable que le reste de l'équipement du guerrier. Véritable mur permettant de renverser
14:28 le cours du combat s'il est bien employé. L'armement celtique est donc parfaitement
14:32 adapté au combat antique. Comme pourrait l'être une rencontre de boxe moderne,
14:35 le combattant peut alterner entre une phase défensive et une phase offensive. Un coup
14:40 offensif, un retrait avec bouclier en avant, un autre coup offensif, un autre recul avec
14:46 le bouclier brandi, et ainsi de suite jusqu'à l'issue du combat.
14:49 Cette étude du mouvement, de la reconstitution, peut paraître anecdotique, voire même inutile
15:01 aux yeux de certains. Après tout, pourquoi tenter de comprendre comment ces guerriers
15:05 se battaient ? Il suffit d'observer qui a gagné telle ou telle bataille, non ? Mais mieux connaître
15:09 ces techniques de combat sur le terrain implique de mieux comprendre les tactiques déployées,
15:13 et autorise à appréhender des questions plus globales comme la stratégie. En somme,
15:18 à partir des armes archéologiques, on peut aborder des questions plus humaines et pragmatiques.
15:22 On peut partir du terrain et relire les textes pour les observer sous un nouveau jour alors
15:27 qu'à l'ordinaire, on se sert des textes pour identifier le terrain. Une approche particulièrement
15:31 intéressante pour l'étude des anciennes cultures.
15:34 Merci à tous d'avoir suivi cet épisode, j'espère que ça vous a plu. Merci à Guillaume Reich avec
15:45 qui on a monté ce projet autour du combat gaulois, merci aux Gaulouadès qui nous ont accueilli ici
15:51 au village gaulois de Coriobona et enfin merci à la société Acta qui nous a prêté quelques
15:56 combattants qui ont gesticulé pour nous sous la pluie, c'était courageux !
16:00 On se retrouve très bientôt sur Nota Bene pour la suite des aventures,
16:06 puisqu'on vous a préparé une petite interview avec Guillaume pour revenir sur ses méthodologies
16:10 un peu novatrices. On compte sur vous pour ne pas louper cette vidéo qui va arriver très
16:14 bientôt sur la chaîne, je vous souhaite une bonne journée ou une bonne soirée !
16:17 Salut !
16:18 [Musique]

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