• l’année dernière
Dépaysement garanti pour ce reportage : d'un côté avec un éleveur Slovène, et de l'autre avec son bâtiment atypique sur tapis. Simon Čretnik nous présente son exploitation et ses choix techniques pour la confort et la productivité de ses vaches laitières.

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Transcription
00:00 Je m'appelle Simon Chretnik, je viens de la Slovénie, du lac Savigny,
00:05 à l'extrémité du lac Savigny, presque au centre de la Slovénie.
00:10 Nous sommes une ferme familiale, une ferme de lait familiale,
00:13 nous avons un herbe de 55 chèvres et en tout, 72 unités d'animaux.
00:23 Avant, nous avions un vieux bâtiment avec des pétales de bâton,
00:29 nous avions 25 chèvres, donc ce n'était pas une très grande ferme.
00:37 Quand j'ai pris charge de la ferme, j'ai décidé que si je voulais vivre sur la ferme,
00:44 travailler sur la ferme, je devais la rendre plus grande et meilleure, etc.
00:48 Donc nous avons décidé d'acheter une nouvelle ferme, et voici ce que vous pouvez voir ici.
00:54 C'est une ferme à l'extérieur, sans cubicles, et elle est faite avec une surface de sol de haute profondeur,
01:03 qui est en fait une surface spéciale qui permet à l'urine de se sécher à travers le sol,
01:08 et de se collecter dans le bâtiment, et les parties solides du bâtiment vont dans le bâtiment différent.
01:14 De cette façon, nous avons une surface qui est toujours sece,
01:18 elle est douce, comme la pâte, et elle réduit aussi les émissions d'ammonie.
01:27 Donc elle devrait supposément être en bas de 80%.
01:31 Nous faisons maintenant des mesures, et nous aurons probablement plus tard des données
01:35 sur le nombre de déchets comparés à les systèmes différents.
01:39 Dans toute la ferme, nous atteignons environ 8000 kg de poules par an.
01:48 Mais dans la nouvelle ferme, l'année dernière, je crois que c'était environ 12 000 kg de poules par an,
01:54 donc c'est vraiment beaucoup plus élevé.
01:57 Et je crois que nous sommes toujours en mesure de nous améliorer un peu,
02:02 parce que nous apprenons toujours, nous devons toujours faire des améliorations,
02:09 ce que je sais que nous pouvons faire, et être encore un peu meilleurs.
02:13 Mais c'est important de maintenir la santé, la santé des poules,
02:17 et maintenant, avec 12 000, c'est mieux que ce qu'il était avant, avec 8000.
02:22 Et ça veut dire, c'est probablement à cause de la réduction de la pauvreté,
02:27 donc je crois que c'est la partie principale.
02:29 Et aussi, probablement beaucoup de choses ont à faire avec les données
02:35 qui sont collectées par les robots,
02:37 donc vous pouvez toujours agir en prévention,
02:41 pas si vite que les maladies deviennent des problèmes.
02:45 Donc c'est bien d'agir, comment dire, avant que le problème arrive.
02:53 Donc, oui, c'est tout.
02:57 L'investissement était un peu moins de 1 million d'euros pour le baron.
03:03 Nous devons le construire, et puis nous,
03:09 comment dire, nous demandons des substituts,
03:11 et nous avons refondé 400 000 euros.
03:16 Donc 600 euros restent pour moi, pour payer.
03:22 Donc, je vais avoir quelques années, quelque chose à faire avec ma vie.
03:28 En fait, nous avons eu deux ans de dégât en Slovénie maintenant.
03:37 Cette année, c'est bon, mais avant ça,
03:40 et nous avions toujours un manque de forages,
03:44 donc nous avons dû faire beaucoup de compromis.
03:48 Et je pense que c'est pourquoi cette année, nous ne voulons pas monter dans la nourriture,
03:53 mais nous allons probablement rester au même niveau,
03:55 peut-être même quelques litres moins,
03:57 parce que nous devons faire des compromis,
03:59 parce que nous n'avons pas assez de pieds.
04:01 Au-delà de ça, actuellement, notre ratio est basé sur la pâture de graines,
04:05 donc c'est probablement environ 80 % de pâture de graines.
04:11 - De votre pâture ?
04:13 - Oui, de notre terre, oui.
04:15 Et 10 % de pâture de graines de poivre,
04:21 et puis nous ajoutons des concentrates comme du poivre,
04:27 du poivre et des soja, et du rapé.
04:31 - Du poivre ?
04:33 - Probablement, oui.
04:35 Du poivre, normalement non.
04:37 Du soja et du rapé, non.
04:39 Notre ratio est fait pour 35 litres par jour.
04:45 Au-delà de ça, les chèvres obtiennent des concentrates dans le robot,
04:51 jusqu'à 4 kilos, en fonction de leur production de lait.
04:55 - Le prix de la pâture de graines par litre de lait est de 40 % à 45 %.
05:03 Mais ça change, car on change quasiment tous les jours la pâture que nous achetons,
05:09 par exemple, du poivre et du soja.
05:13 Au pire, c'était 55 %, au meilleur, c'est 40 %.
05:19 Le prix de la pâture de graines par litre de lait est le prix de la pâture.
05:23 - Qu'est-ce que le prix du lait ?
05:27 - L'année dernière, le prix le plus élevé était de 50 cents, je pense.
05:33 Mais actuellement, on est à environ 43 cents.
05:37 C'est pour, disons, 4,4 % de graines et 3,55 % de protéines, quelque chose comme ça.
05:45 Mais en Slovénie, le poivre ne coûte que jusqu'à 4,2 %.
05:53 Ce qui est plus élevé, ce n'est pas payé.
05:55 Et les protéines sont payées au maximum.
05:59 Donc c'est bien d'avoir de la protéine élevée.
06:03 - Quelle est la réduction du coût de la pâture ?
06:07 - Je pense que l'année dernière, en 2022, il y avait beaucoup de flux de cash, mais pas beaucoup de profit.
06:17 Parce qu'on a dû acheter la nourriture.
06:19 Et je pense qu'on avait environ 250 000 euros, ou presque 300 000 euros de flux de cash.
06:27 Mais le profit, le profit final après l'amortisation et tout, était d'environ 30 000 euros.
06:37 L'année précédente, le flux de cash n'était pas même 200 000 euros.
06:43 Et le profit était de 45 000 euros.
06:46 Donc c'était mieux parce qu'on n'avait pas dû acheter autant de nourriture à telle une haute prix.
06:50 Donc ça dépend de l'année.
06:52 Cette année, ça a l'air similaire à l'année dernière.
06:55 Mais on espère, parce que cette année, on a assez de pluie,
06:58 on espère produire plus de nourriture.
07:02 Donc peut-être que dans les deux prochaines années, trois, ça sera plus stable pour nous.
07:07 - OK.
07:09 [SILENCE]

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