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Avec Christine Cotton, biostatisticienne et auteur de "Tousvaccinés, tous protégés? - Vaccins covid-19, chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée" (éditions Guy Tredaniel)

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##LE_FACE_A_FACE-2023-06-19##

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Transcription
00:00 Sud Radio Bercoff dans tous ses états, le face à face.
00:06 Le face à face d'André Bercoff avec Christine Cotton, biostatisticienne et auteur de "Tous
00:11 vaccinés, tous protégés, vaccins Covid-19, chronique d'une catastrophe sanitaire" annoncé.
00:16 Bonjour Christine Cotton.
00:18 Bonjour.
00:19 Bonjour Christine Cotton.
00:20 Bonjour Monsieur Bercoff.
00:22 Alors dites-moi, votre livre c'est un j'accuse, mais il est nettement plus long que ce qu'avait
00:29 fait Émile Zola.
00:30 Alors vous ne faites pas de la dentelle, mais c'est un bouquin passionnant.
00:35 C'est un bouquin passionnant, "Tous vaccinés, tous protégés" qui est paru aux éditions
00:39 Guy, très Daniel, parce que vous, vous prenez le temps et vous prenez la compétence et je
00:45 voudrais rappeler qui est Christine Cotton pour ceux qui ne la connaîtraient pas.
00:51 Elle est, et vous la présentez très très bien d'ailleurs à la fin de votre livre.
00:56 Vous avez, je vais d'ailleurs reprendre ce que vous dites vous-même et quand vous dites
01:01 je suis Christine Cotton, vous êtes biostatisticienne, vous avez été président de société, vous
01:07 avez travaillé avec tous les laboratoires, mais je voudrais Christine Cotton qu'on commence
01:12 parce qu'on définit bien les choses et justement toutes les définitions et l'étude, qu'est-ce
01:17 que c'est qu'être biostatisticien en matière médicale et en matière sanitaire ?
01:22 Alors le biostatisticien c'est celui qui écrit la méthodologie des essais cliniques
01:28 lors de l'écriture du protocole, le fameux document qu'on va écrire en amont de toute
01:33 recherche médicale.
01:35 Donc on va écrire ça avec les personnels du laboratoire, avec certains experts du domaine
01:42 et on va faire un calcul de nombre de sujets pour savoir combien il nous faut de personnes
01:47 dans l'essai clinique par exemple qu'on veut faire.
01:49 On va définir les critères d'analyse qui sont en général des critères pertinents
01:53 sur la maladie.
01:54 Ce document va être déposé aux agences de santé pour avoir l'autorisation de faire
01:59 l'essai.
02:00 Une fois que l'essai commence, on a toute une partie qui est donc le recrutement des
02:05 participants, la gestion des données, ce qui était aussi une partie que je gérais
02:09 dans ma société de recherche sous contrat que j'ai donc vendue en 2018.
02:13 Et pendant 23 ans vous avez été biostatiste, enfin vous êtes occupé de cela.
02:17 Pendant 23 ans, voilà.
02:19 En tant que biostatisticienne moi-même de formation, j'ai monté la société en tant
02:25 que biostatisticienne.
02:26 Je suis devenue de fait chef d'entreprise et responsable d'une société de recherche
02:32 sous contrat qui gérait les données, c'est-à-dire ce qu'on appelle le data management et les
02:37 analyses statistiques.
02:38 Donc ce sont les biostatisticiens qui font les statistiques des essais cliniques, n'en
02:43 déplaise à certains, qui continuent à croire que ce sont des docteurs.
02:47 Oui, ce ne sont pas les docteurs qui font ça, mais les biostatisticiens.
02:51 Aucun docteur n'a jamais rendu le moindre résultat.
02:55 Donc Christine Cotton, si je comprends bien, corrigez-moi si je me trompe, vous êtes en
02:59 amont de tout cela.
03:00 C'est avant que commence quelconque essai clinique, vous êtes dès le départ là.
03:08 On est en amont et on intervient pendant, notamment quand on gère les données des
03:13 essais, parce qu'il nous faut des données fiables, et on n'est pas à la fin puisqu'on
03:17 rend les résultats.
03:18 On travaille avec le docteur en général qui va rédiger le fameux rapport qu'on va soumettre
03:24 aux agences pour demander une autorisation.
03:25 Autorisation de mise sur le marché ? Non, autorisation de faire le vaccin d'abord.
03:32 Autorisation de mise sur le marché.
03:34 Oui, d'accord, c'est bien ça.
03:36 Et donc vous êtes incontournable, enfin les biostatisticiens notamment, vous êtes incontournable
03:41 dans ce processus.
03:42 Alors justement, vous racontez, et honnêtement votre livre se lit comme un thriller, vous
03:48 racontez, vous êtes occupé de ça, puis à un moment donné vous avez pris vos distances,
03:52 et puis vous tombez sur ce qui se passe avec justement l'annonce de Covid-19 et l'annonce
03:59 du vaccin ARN messager.
04:01 Et là, vous racontez à plusieurs reprises que vous manquez tombé de votre chaise, pourquoi ?
04:07 Alors parce que ce que j'ai trouvé dans cet essai clinique, je ne m'attendais pas du tout
04:13 à le trouver, puisque toute recherche biomédicale, notamment sur les sujets humains, doit suivre
04:18 des règles très strictes qui sont édictées par un consortium auquel toutes les agences
04:24 de santé ont adhéré à peu près dans le monde entier.
04:26 Donc cela permet d'homogénéiser les pratiques de travail pour que chacun travaille, tout
04:33 le monde travaille de la même façon, et aussi d'encadrer toutes les activités de tous
04:39 les intervenants.
04:40 Donc moi dans mon expérience de directrice de recherche sous contrat, j'ai eu X audits,
04:45 de nombreux audits de gros laboratoires, qui venaient vérifier notre méthode de travail
04:51 pour être sûr que les résultats fournis étaient justes.
04:58 On ne peut pas se permettre de se tromper.
05:00 Donc on a des procédés de validation, on a des procédures opératoires standards,
05:07 un peu comme l'ISO 9001 à suivre, et tous les intervenants, que ce soit celui qui recrute
05:13 le participant, l'infirmière qui injecte les produits, l'infirmière qui fait les
05:18 prises de sang pour faire des dosages sanguins, le data manager qui gère les données, le
05:23 biostatisticien, tout est encadré, documenté, tracé.
05:27 Donc je ne m'attendais pas du tout à trouver un essai de cette médiocrité.
05:32 - Alors justement, parlons-en, parce que vous racontez, on se rappelle les dates, les dates
05:39 décembre 2020.
05:41 D'abord, effectivement, décembre 2020, on commençait à voir les premières apparitions
05:49 effectivement sur le marché des vaccins.
05:51 Je dirais la permission, l'AMM, etc.
05:55 Alors on annonce efficacité à 95%, et déjà ça vous fait réagir, cette efficacité,
06:05 cette annonce d'efficacité à 95%.
06:07 Pourquoi ça vous fait réagir ?
06:09 - Ce qui me fait réagir en premier lieu, c'est le temps de développement.
06:13 Quand on sait qu'un temps de développement d'un produit dure entre 10 et 15 ans, entre
06:17 le moment où la Chine séquence le SARS-CoV-2 en mars 2020 et le moment où on accepte le
06:22 vaccin Pfizer sur le marché, on a 9 mois.
06:26 Donc déjà on se dit que ça a été très très vite pour faire une date.
06:29 - Et pardon Christine Cotton, c'est du jamais vu ça ? Quand vous dites que tous les vaccins
06:33 de l'histoire jusqu'à présent, c'est entre 5, 10 et 15 ans.
06:37 C'est jamais moins.
06:38 - Non, c'est du jamais vu, puisque là, pour permettre un développement aussi rapide,
06:42 on commence une phase d'essai clinique alors que la précédente n'est pas encore finie.
06:47 C'est-à-dire que vous n'avez pas tous vos résultats sur la phase 1, la première où
06:51 on teste la toxicité, et que déjà vous commencez la phase 2.
06:55 Vous n'avez pas fini votre phase 2, vous commencez la phase 3.
06:57 La phase 3, c'est celle qui a donné lieu à ces fameux 95% d'efficacité.
07:03 Donc déjà quand on décortique ce calcul, on voit que ça ne veut pas dire du tout qu'on
07:12 a 95% des gens immunisés.
07:15 Ça veut dire qu'en gros c'est un calcul avec un ratio de pourcentage.
07:19 Et que si on avait fait une différence de pourcentage, cela veut dire qu'on évite
07:25 à 0,84% des personnes d'attraper un Covid léger ou modéré confirmé par un test PCR.
07:33 Et quand on regarde plus en avant ce critère, quand on l'étudie avec un oeil du biostatisticien,
07:38 on voit qu'il comporte un certain nombre de biais méthodologiques.
07:42 C'est-à-dire qu'il y a dans son calcul, dans son mode de recueil, il y a des éléments
07:47 qui invalident son résultat.
07:49 Voilà, c'est ça qui est en creusant, évidemment, et peu de gens peuvent faire ça, nous en
07:55 tout cas, ce n'est pas à notre portée, ni dans nos possibilités.
08:00 Vous le faites, on va en parler justement, parce que 95% 0,44% ce n'est pas tout à
08:07 fait le même chiffre, c'est le moins que l'on puisse dire.
08:09 On se retrouve Christine Cotton avec vous dans une petite minute.
08:14 A très vite.
08:15 Et vous souhaitez interpeller Christine Cotton sur son livre "Tous vaccinés, tous protégés"
08:20 ? Vous nous appelez au 0826 300 300, on attend vos appels.
08:24 On se retrouve tout de suite sur Soudradio, 0826 300 300.
08:27 A tout de suite.
08:28 Ici Soudradio, les Français parlent au français.
08:36 Je n'aime pas la blanquette de veau.
08:40 Je n'aime pas la blanquette de veau.
08:43 Soudradio Bercov, dans tous ses états.
08:45 Tous vaccinés, tous protégés, avec un point à l'interrogation.
08:51 C'est le livre, c'est l'ouvrage de Christine Cotton, de la biostatisticienne Christine
08:55 Cotton, qui vient de paraître chez Guy Trédaniel.
08:58 Et le sous-titre, c'est "Chroniques d'une catastrophe sanitaire annoncée".
09:04 Vous n'y allez pas par quatre chemins, Christine Cotton.
09:06 Donc en avançant, vous avez donc étudié, vous avez regardé, vous avez les instruments
09:11 évidemment, vous avez 25 ans derrière vous de pratique, 23 ans, vous avez regardé tout
09:18 cela et vous dites au fond, vous parlez du temps effectivement, vous dites comment on
09:24 a fabriqué très très vite quelque chose qui pour les autres vaccins, si jamais vu,
09:28 prenait beaucoup plus de temps.
09:30 Vous avez regardé ce qu'on disait effectivement, efficacité absolument, et le fameux "tous
09:36 vaccinés, tous protégés", c'était ce qu'un certain nombre de ministres et d'autorités
09:41 avaient dit sur les radios et les télévisions au début, c'était absolument.
09:46 Et si vous ne le faites pas, et alors vous parlez beaucoup du fait de la différence,
09:53 de la différence pratiquement abyssale, et je voudrais qu'on parle de ça, d'un certain
09:58 nombre de personnes comme vous, vous citez aussi d'autres personnes, vous n'êtes pas
10:02 évidemment seul, et le discours dans les radios, les télévisions, en tout cas dans
10:09 les 4/5ème, vous disiez mais d'un côté il y a cette chose, on a vu le QR code, on
10:17 a vu la trilogie dont vous parlez, la fameuse trilogie QR code, vaccins, etc.
10:25 Et vous dites après, mais on ne comprend pas, il y a vraiment un fossé entre ce que
10:32 moi, Christine Cotton, je constate, et ce que je vois dire et pratiquer et faire.
10:38 Alors pour recadrer un peu la discussion, on se demande comment on pouvait dire "tous
10:46 immunisés, tous protégés" sur la base de résultats d'un essai clinique qui n'a
10:51 jamais étudié la transmission.
10:53 Donc on n'avait aucune preuve que ça empêchait d'attraper le Covid et on n'avait aucune
10:57 preuve que ça empêchait de le transmettre.
10:59 Voilà, les preuves statistiquement démontrées, comme on fait pour le médecin.
11:03 Dès le départ on le savait.
11:05 Dès le départ, voilà, on le sait puisqu'on a le protocole de l'essai clinique qui a
11:08 été disponible dès novembre 2020.
11:11 Et ensuite on a, dès décembre 2020, tous les résultats qui sont disponibles, toutes
11:17 les délibérations sur la chaîne de la FDA, donc l'organisme aux États-Unis qui donne
11:22 les autorisations.
11:23 Faudrait le droit d'administration, oui.
11:25 On a, dès le début, le plan de gestion des risques dans lequel on lit tout ce qui n'est
11:30 pas connu, c'est-à-dire les effets sur les femmes enceintes, on ne sait pas, l'efficacité
11:36 sur les immunodéprimés, on ne sait pas, sur les patients fragiles comorbidités, on
11:41 ne sait pas, les patients avec maladies auto-immunes, on ne sait pas, on ne sait pas s'il y aura
11:46 des problèmes d'interaction avec un autre vaccin pour la bonne raison que ce n'est
11:49 pas étudié, on ne connaît pas l'efficacité sur les cas asymptomatiques, et donc en fait
11:56 ce qu'on sait de ces 95%, c'est que cette efficacité ne concerne que des cas légers
12:02 ou modérés, confirmés par test PCR.
12:06 Ensuite, on sait dans ce rapport de décembre qu'il n'y a pas d'efficacité démontrée
12:10 sur les cas sévères, et on sait qu'il n'y a pas d'efficacité démontrée sur les plus
12:16 de 75 ans.
12:17 - Mais Fritz Cotton, ça c'est décembre 2020, on le sait dès décembre 2020.
12:21 - Voilà, et là vous avez un discours qui est mis en place, qu'il faut vacciner tout
12:27 le monde, alors d'abord les personnes âgées, ensuite on a les rapports cliniques qui sortent
12:32 pour les adolescents, les 12-15 ans, ensuite on a sur les enfants les 5-11 ans, ensuite
12:37 on a les bébés, et on a systématiquement cette reproduction de même méthode, même
12:45 méthodologie, on fait des analyses à 3 mois de suivi, avec la moitié des patients suivis
12:51 moins de 2.
12:52 Et comment voulez-vous qu'on conclue sur la base de ça, sur de la tolérance, ne serait-ce
12:59 qu'à moyen terme ?
13:00 - Quand on vous dit "c'est sûr", les vaccins sont sûrs et efficaces, ils sont soi-disant
13:05 efficaces sur un critère qui est cas Covid, léger ou modéré, blablabla, et ils sont
13:10 sûrs sur un suivi de 3 mois, avec dans des rapports des effets graves qui sont manquants,
13:18 et dont on ne sait pas si c'est de la fraude des centres ou si c'est de la fraude du laboratoire
13:24 lui-même.
13:25 - Alors justement...
13:26 - Ça c'est la réalité.
13:27 - Oui alors quand vous dites...
13:28 - Ça c'est la réalité.
13:29 - C'est la réalité, Christine Cotton.
13:30 Quand vous dites "on ne sait pas", tous les cas dont vous avez cité sur tel immunodépressif,
13:36 sur tel...
13:37 On ne sait pas, ils n'ont pas été examinés ? L'histoire des femmes enceintes par exemple,
13:42 il n'y a pas eu de recherche là-dessus ? Rien ?
13:47 - Alors ça c'est normal, les femmes enceintes sont toujours exclues des essais cliniques,
13:52 elles font partie des populations protégées.
13:54 - D'accord.
13:55 - L'essai clinique qui a été fait spécifiquement sur ces femmes enceintes, dont on n'a jamais
14:01 eu les résultats, et pourtant l'étude s'est terminée, l'essai Pfizer s'est terminé en
14:06 juillet 2022.
14:07 Aucun résultat, c'est-à-dire qu'on n'a aucun résultat d'essai clinique sur les populations
14:13 que je viens de vous citer là.
14:14 - D'accord.
14:15 - Alors si on peut continuer, il y a ce fossé entre la statistique pure, la réalité, ça
14:22 c'est la réalité, toute personne qui s'y connaît un peu pour ouvrir les documents
14:26 et constater ce que je raconte, et on a un discours à côté qui est alors soutenu par
14:34 tout un tas de ce que je vais appeler les trolls, parce que vous avez vu que je leur
14:38 consacre un chapitre assez conséquent.
14:42 - Oui, oui, j'ai vu ça.
14:43 - Donc on fait l'objet de tout un tas de harcèlement permanent, de la diffamation qui remet en cause
14:51 les diplômes, des insultes, alors les insultes parce que moi je me suis fait traiter de pute,
14:56 de conne, je vous en passe, et donc il n'y a aucun élément à chaque fois dans tout
15:03 ça qui est factuel, statistique, méthodo, c'est que du blabla de troll recruté dans
15:10 les fonds de poubelle, je leur mets souvent pour leur carrière ratée et leur vie pourrie.
15:16 - Oui, je vois que vous leur en voulez.
15:18 - Ah non, mais je vais les traîner au tribunal, qu'ils se le disent bien.
15:23 Alors ce qui est très important de savoir, c'est qu'on remarque que tous ces harceleurs
15:29 sur les réseaux sociaux sont en lien avec des médecins de plateau, sont en lien avec
15:33 des journalistes, sont en lien avec des politiques.
15:36 Donc en gros là, qu'est-ce qui s'est passé ? On va dire que cette affaire, ces vaccins
15:45 Covid, ça a été complètement politisé, alors moi je suis désolée, la science c'est
15:50 pas de la politique, c'est pas de droite ou de gauche, c'est de l'instinct.
15:54 Quand vous avez un résultat, c'est non significatif, vous démontrez par A+B qu'il n'y a pas de
15:59 différence entre deux groupes, il n'y a pas de différence démontrée sur la mortalité
16:04 dans les essais cliniques, ni sur la mortalité Covid, ni sur la mortalité totale.
16:09 Et qu'après vous démontrez, vous avez des documents sur les sites des agences où vous
16:15 montrez le nombre de victimes, vous avez encore des demeurés ou des idiots ou des gens qui
16:21 sont payés, et il va falloir éclaircir tout ça, pour venir vous dire que les victimes
16:26 n'existent pas.
16:27 Alors justement, on arrive à ça, on va en parler tout de suite, de ces fameux effets
16:33 indésirables, de la pharmacovigilance, de tout cela, de VAERS et compagnie, parce que
16:41 justement quand est arrivée la vague, ou les vagues, non pas les vagues des Omicron et
16:47 compagnie, mais les vagues des effets indésirables ou des effets effectivement secondaires, là
16:53 je voudrais qu'on en parle vraiment Christine Cotton, c'est la base de votre livre aussi,
16:57 vous avez un peu retracé cela, qu'est-ce qui se passe là-dessus ? Et bien la même
17:02 chose, les mêmes démarches, à tout de suite avec vous, tous vaccinés, tous protégés,
17:07 c'est la question qu'on se pose.
17:09 Et vous nous appelez au 0826 300 300 pour interpeller Christine Cotto sur son livre
17:14 "Tous vaccinés, tous protégés" aux éditions Guitre et Daniel, 0826 300 300, on se retrouve
17:20 tout de suite.
17:21 Les français parlent au français, les carottes sont cuites, les carottes sont cuites.
17:30 Sud Radio Bercov dans tous ses états.
17:33 Et je ne suis pas le seul, Christine Cotton est depuis trois ans peut-être avant dans
17:38 tous ses états, tous vaccinés, tous protégés, point d'interrogation.
17:42 Christine Cotton, je voudrais juste lire un extrait de votre livre, rapide, deux choses,
17:49 l'avis de la haute autorité de santé du 2 février 2021, donc il y a plus d'un
17:54 an, autorisant le vaccin AZD 1 de 1222 d'AstraZeneca stipule "la haute autorité de santé n'a
18:04 toutefois qu'à ce stade, les données ne permettent pas de conclure quant à l'efficacité
18:08 vaccinale chez les personnes âgées de 65 ans et plus et sur les formes sévères, sur
18:14 les formes asymptomatiques".
18:15 Voilà, la haute autorité de santé et non pas simplement Christine Cotton ou d'autres
18:21 médecins traités de tous les noms.
18:23 Et puis autre chose, la Food and Drug Administration dont vous avez déjà parlé, avait demandé
18:30 de garder secret les documents relatifs aux essais cliniques pendant 75 ans et ça, ça
18:35 a pu être effectivement renversé par un juge américain, c'est bien ça ?
18:39 Oui, alors ces documents rendus publics sont très intéressants puisqu'on a énormément
18:45 de données là-dedans et on a surtout la base de données de l'essai clinique.
18:50 Donc quand on est biostatisticien comme moi, on récupère cette base de données et on
18:54 refait des calculs.
18:55 Et là quand vous refaites les calculs sur un critère qui s'appelle la sérologie
19:01 anti-nucléocapside qui vous permet de savoir qui a eu le Covid pendant l'essai ou qui
19:07 ne l'a pas eu, vous trouvez à peu près 55% d'efficacité.
19:12 Donc vous voyez que déjà votre efficacité est dépendante du critère qui a été choisi.
19:17 Pourquoi ce résultat n'a jamais été présenté dans les rapports ?
19:20 Et alors justement…
19:22 Nulle part.
19:23 Alors pour en revenir aux effets indésirables, donc évidemment il en manque dans les résultats
19:28 des essais cliniques, ce qui invalide les conclusions de la pseudo-bonne tolérance
19:33 bien évidemment.
19:34 Et c'est surtout qu'on sait depuis octobre 2020 que dans des présentations sur le site
19:39 de la FDA, donc les agences américaines, qu'il fallait quand même surveiller la
19:47 survenue des problèmes pendant la grossesse, des guillemets barrés, des problèmes neurologiques,
19:53 des myélites, des sclérose en plaques, des névrites, des encéphalomyélites, des méningites,
20:01 des convulsions, des AVC, des myocardies, des péricardies, des thrombocytopénie, des
20:07 thromboses, des infarctus, etc.
20:09 Ça ils vous le disent, on a le document depuis octobre, 22 octobre 2020.
20:14 Donc maintenant, les agences de santé quand on lit leurs documents, c'est tout à fait
20:24 factuel par rapport à ce qu'on trouve dans les rapports.
20:26 Donc les agences de santé déconseillées, effectivement, toute personne étant susceptible
20:30 d'être… c'est ça ?
20:31 Non, non, non, ça ce sont des documents d'effets indésirables potentiels.
20:37 Ils donnaient dès octobre 2020 la liste d'effets indésirables.
20:42 Exactement, donc c'est des documents qui sont sur le site de l'AFDA et qu'on retrouve
20:46 encore aujourd'hui.
20:47 En fait, moi, ce qu'il faut bien que les gens qui nous écoutent comprennent, c'est
20:51 que dans ce livre, vous avez tous les liens sur tout, c'est-à-dire le blablatage médiatique,
20:56 c'est pas dans mon livre qu'il faut le chercher.
20:58 Le blabla qui sort de nulle part sans s'appuyer sur aucune source ou sur des sources branlantes,
21:04 c'est pas chez moi qu'il faut voir.
21:06 Donc, il y a tous les liens sur tous les docs, que ça soit la FDA pour les États-Unis,
21:11 l'Agence Européenne pour l'Europe, la NSM pour la France, la HAS, Autorité de Santé,
21:18 tous les liens sont disponibles, vous pouvez lire de vos propres yeux ce que je vous raconte.
21:23 Et puis, vous avez, mais on va en parler plus tard, des témoignages de personnes qui ont
21:28 perdu soit leur enfant, soit d'autres intimes tout à fait terribles et saisissants, en
21:34 passant.
21:35 Oui, alors c'est pour eux que j'ai accepté d'écrire ce livre, parce que moi je n'ai
21:39 pas l'intention d'écrire un livre.
21:41 Et quand l'éditeur m'a contacté, c'était pour donner la parole aux victimes, comme
21:46 effectivement ça fait peut-être plus d'un an et demi que je travaille avec des victimes.
21:50 Donc, c'est ce que j'ai fait.
21:52 J'ai tenu à ce que ces gens qui pour certains ont été maltraités par le corps médical,
22:00 plus loin traités et maltraités par le corps médical, qu'on n'a pas pris au sérieux,
22:06 dont certains continuent d'agoniser encore aujourd'hui, notamment ceux qui ont des
22:10 troubles neurologiques, puisqu'ils ont des inflammations qui touchent absolument tous
22:14 les organes, et dont la seule réponse c'est la psychiatrie.
22:19 Donc, ces gens sont devenus subitement fous à la suite de leur vaccination.
22:24 On ne sait pas pourquoi, mais en fait ils fabulent, tout est dans leur tête.
22:28 Ils n'ont pas d'effet indésirable, ils fabulent.
22:34 Ils fabulent de rester couché toute la journée à se traîner, à vomir et aller dix fois
22:38 aux toilettes.
22:39 Ils fabulent, c'est dans leur tête, c'est le stress.
22:42 C'est absolument scandaleux ce qu'il se passe.
22:45 Moi j'ai alerté l'OPEX, dont les sénateurs et les députés, l'Office parlementaire
22:49 d'évaluation des pratiques scientifiques et technologiques sur ces gens-là.
22:53 J'ai alerté la NSM en disant que ce n'était pas éthique de les laisser agoniser sans
22:58 essayer de les prendre en charge.
22:59 Et ça continue.
23:01 Ça n'a rien changé, ça, vos appels aux sénateurs ou à l'Agence nationale ?
23:06 Ça n'a rien changé.
23:07 D'ailleurs on attend le rapport définitif des sénateurs et députés de l'OPEX, dont
23:13 la version intermédiaire est sortie en juin 2022.
23:16 La version finale est prévue pour octobre.
23:18 On l'attend encore.
23:19 Alors peut-être que s'ils veulent prendre des victimes chez eux en vacances ou payer
23:24 leur soin, les compléments alimentaires multiples qu'ils essaient de prendre pour aller mieux,
23:28 puisque le corps médical s'en contrefout, ou leur payer quelqu'un pour venir s'en
23:35 occuper chez eux, on a besoin d'argent.
23:38 Eux ont besoin d'argent.
23:39 Alors Christine Cotton, que répondez-vous à ceux qui disent, et il y en a beaucoup,
23:45 qui disent "oui d'accord, mais ce dont vous parlez c'est une minorité, on a vacciné
23:50 3 milliards de personnes sinon 4 milliards de personnes, et regardez quand même, il
23:54 n'y a pas 3 milliards ou 4 milliards de cercueils".
23:57 Vous savez, on entend beaucoup cela aussi en disant "oui d'accord, il y a eu des
24:02 problèmes, mais enfin est-ce qu'on ne gonfle pas, est-ce que les Christine Cotton,
24:07 les Perron et autres ne gonflent pas ce chiffre".
24:11 Que répondez-vous à cela ?
24:12 Comme vous avez, ne serait-ce que pour le vaccin monovalent, reporté 1,2 millions
24:18 de cas sur l'agence européenne, on sait qu'il y a une forte sous-déclaration et
24:23 que peut-être il faut multiplier ce chiffre par 10, voire peut-être même plus.
24:28 Vous savez notamment que les cas sévères sont sous-estimés.
24:31 Évidemment on a beaucoup vacciné, donc même si le pourcentage des faits indésirables
24:36 est faible, ça vous fait combien de gens sur le carreau ?
24:38 Oui, c'est pas...
24:39 Vous avez des milliers de gens qui sont sur le carreau, des décès qui sont inexpliqués
24:44 chez des gens jeunes.
24:46 Ce qu'on veut en fait c'est la reconnaissance des victimes et c'est la vérité.
24:50 Donc maintenant la tendance, on le voit sur les réseaux, c'est "oh le vaccin il ne faut
24:55 plus en parler, c'est ringard".
24:57 Et bien oui c'est peut-être une façon d'essayer d'échapper aux responsabilités, mais non
25:01 non non, il y a toute une chaîne de responsabilités dans tout ça.
25:05 Dans la façon dont on a accepté ces produits bien trop facilement, il y a une chaîne de
25:12 responsabilités et il faut que ces gens qui ont pris des responsabilités en mettant
25:16 en danger une partie de la population, parce que c'est une prise de risque, ce sont des
25:21 prises de risques.
25:22 Vous n'avez pas de résultats à plus de trois mois, vous n'avez pas de résultats
25:26 sur les femmes enceintes, vous prenez des risques.
25:29 C'est votre couverture d'ailleurs, vous vous dites que la balance entre bénéfice
25:33 et risque n'est pas du tout celle qu'on nous a annoncée.
25:36 La mortalité Covid, elle touchait combien de personnes ? En fait on savait en décembre
25:41 2020, et donc c'était le virus le plus virulent, les plus touchées étaient les
25:45 personnes âgées.
25:46 Bon ben d'accord, on le sait, les personnes âgées c'est celles qui meurent le plus.
25:50 Donc les enfants, ils avaient très peu de risque à se retrouver hospitalisés ou de
25:55 décéder.
25:56 Les bébés, on vaccine des bébés à partir de six mois et on vous dit qu'il faut leur
26:00 faire trois doses.
26:02 Quel est le risque au départ d'un bébé de mourir ? Et quelle est la liste de tous
26:08 les effets secondaires qu'ils peuvent avoir ?
26:09 Et ça c'est vraiment du court terme, puisque ce que vous voyez dans les rapports c'est
26:13 du court terme, pas long terme.
26:15 Quels sont les effets, les maladies potentielles que peuvent développer ? C'est genre on
26:19 n'en sait rien, personne n'en sait rien.
26:21 Donc ça s'appelle une prise de risque.
26:24 Oui, c'est une vraie prise de risque.
26:25 Mais alors vous, Christine Cotton, vous allez pour dire, vous n'êtes pas la seule, vous
26:30 avez cité un certain nombre de professeurs américains, indiens et autres, vous vous
26:33 êtes pour un moratoire, je dirais même plus un arrêt de la vaccination, de cette vaccination.
26:40 Moi ce que j'ai écrit dans mon expertise écrite en janvier 2022, j'ai demandé un
26:47 arrêt temporaire afin de faire un audit.
26:51 J'ai dit il faut suspendre en fait pour faire un audit, pour voir comment ça s'est passé
26:58 dans les essais cliniques, puisque plus ces bases de données sortent, plus on peut faire
27:03 des calculs et plus on s'aperçoit qu'il y a des choses qui ne vont pas.
27:07 C'est-à-dire que ces fameuses bonnes pratiques cliniques dans les centres qui ont recruté
27:12 des patients, elles ne sont pas respectées.
27:15 Donc si vous ne respectez pas les normes, vos données sont non fiables, de fait vos
27:20 résultats sont non fiables.
27:22 C'est pour ça que j'ai demandé un audit.
27:24 Ce qui est la sagesse même en fait.
27:28 Je n'ai pas dit ce sont tous des escrocs, il faut les mettre en prison.
27:31 J'ai dit il faut aller vérifier sur les sites comment les gens ont travaillé pour
27:38 savoir si les données et donc les résultats sont fiables.
27:42 Et si ça ne l'est pas, on a des états qui ont fait des commandes en signant des
27:47 contrats qui exonèrent les labos de leurs responsabilités, si les essais ne sont pas
27:52 fiables, et on fait passer à la caisse tous les laboratoires.
27:56 Parce qu'il n'y a aucune raison que ce soit les contribuables qui paient des effets
27:59 indésirables sur la base d'essais canuques.
28:01 Donc pourquoi les agences ne font pas d'audit ?
28:05 Puisqu'on a bien vu en vie réelle que l'efficacité à 95% on ne l'a jamais
28:10 vu.
28:11 Je ne sais pas comment il y a des gens qui peuvent encore dire que c'est efficace
28:14 à 95%.
28:15 On ne l'a jamais vu puisqu'il y a des tas de gens vaccinés qui ont été malades.
28:19 Comment il est possible au niveau physiologique d'empêcher un cas sévère sans vous empêcher
28:24 d'attraper la maladie ?
28:25 C'est possible comment au niveau physiologique ?
28:28 Moi je n'ai toujours pas compris, ce n'est pas mon domaine, donc j'attends des réponses
28:33 des grands professeurs ou médecins de plateaux de télé pour vous expliquer comment ça ne
28:39 peut pas empêcher d'attraper la maladie mais ça va vous empêcher d'avoir un cas
28:42 sévère.
28:43 Ça c'est une question qui pour moi est majeure quand même.
28:47 En tout cas pour beaucoup de gens c'est vrai.
28:48 Oui allez-y.
28:49 Il y a des tas de questions à se poser sur la base de résultats et quand on a un œil
28:57 objectif et tout à fait factuel comme j'ai fait depuis le début, au lieu d'avoir une
29:03 réaction de l'autre côté qui est on va dire sensée et professionnelle, vous avez
29:11 une bande dégénérée qui vous attaque en vous disant que vous n'avez pas un BAC+5,
29:18 que vous montez sur votre CV et que vous êtes une pute de dire que les Pfizer il y a des
29:25 problèmes.
29:26 Je veux dire on vit vraiment dans un monde taré.
29:29 Ce n'est pas on vit dans un monde taré, ils défendent leur biftec.
29:33 Oui, on va les traîner au tribunal.
29:36 Croyez-moi que j'aurai un jour le plaisir de voir leur tête dégénérer.
29:40 En attendant Christine Cotton, je dis que vous soyez vraiment lisez ce livre, prenez
29:45 le temps de le lire.
29:46 C'est un livre extrêmement, d'ailleurs qui est un gros livre, qui est important de prendre
29:52 effectivement la moindre des choses, le temps de le regarder, de le lire et après on en
29:58 discute et comme vous dites on audite.
30:00 Comme on vous audite aujourd'hui Christine Cotton pour votre livre.
30:04 On a plusieurs auditeurs qui ont des questions à vous poser, qui ont envie d'intervenir.
30:09 Oui, beaucoup d'auditeurs nous appellent au 0826 300 300 et vous continuez de nous
30:13 appeler au 0826 300 300.
30:15 Vous pouvez avoir la parole et on accueille Emilien de Haras qui aimerait nous parler
30:19 des effets secondaires.
30:20 Bonjour Emilien.
30:21 Bonjour André, bonjour à votre invité.
30:24 Merci de me reprendre une nouvelle fois sur bande d'antenne.
30:27 J'étais déjà intervenu il y a quelques temps pour expliquer un petit peu ma situation.
30:31 Je vais vous restituer un petit peu le contexte.
30:34 Moi je ne suis pas pompier professionnel, j'étais soumis à l'obligation vaccinale
30:39 par la loi sanitaire qui était passée au mois d'août 2021.
30:44 Au-delà des statistiques, aujourd'hui derrière c'est l'humain.
30:52 En plus de chiffres, aujourd'hui c'est des vies qui ont basculé pour des milliers
30:56 de personnes.
30:57 Et pour ces personnes-là comme moi, on est dans l'errance la plus complète.
31:02 On n'existe pas.
31:03 On est mis sur le côté de la société et puis on fait comme si...
31:08 Vous n'existez pas, comment vous n'existez pas ? Ça veut dire quoi concrètement que
31:13 vous n'existez pas ?
31:14 - Quand vous écoutez le discours général, il n'y a pas de souci après le vaccin, il
31:20 y a très peu d'effets secondaires, tout va bien.
31:22 Sauf que c'est loin d'être la vérité.
31:24 Je vais vous expliquer un petit peu mon cas personnel.
31:26 - Allez-y.
31:27 - J'ai 37 ans, j'ai eu une seule dose de vaccin, le Moderna.
31:31 Quatre jours après, j'ai fini en cardiologie, j'ai fait une péricardie sèche-aiguë.
31:35 J'ai traîné des douleurs thoraciques, des douleurs inflammatoires toute l'année.
31:40 Et malheureusement pour moi, mon problème récidive, et maintenant va récidiver, parce
31:45 qu'une péricardie qui est se déclencher amène des récidives.
31:50 J'ai récidivé cet hiver, je suis sous le carreau, en arrêt de travail depuis novembre.
31:54 J'ai un antivirus cardiaque à vie, un traitement à vie.
31:57 Et je suis en cours de diagnostic de déclenchement de maladie auto-immune inflammatoire à l'hôpital.
32:04 Je suis en arrêt de travail depuis novembre.
32:06 J'ai 37 ans, je n'ai rien demandé à personne.
32:08 - Oui, Christine Cotton, juste le souhait que...
32:11 - Ma vie a débasculé et je ne sais pas ce que je vais devenir en fait.
32:14 - Je comprends.
32:15 - Alors je suis loin d'être le seul, on essaye de soutenir avec plusieurs personnes dans
32:19 mon cas.
32:20 J'aimerais profiter d'être à l'antenne pour faire un petit peu de publicité pour
32:23 une association qui s'est montée.
32:24 - Mais allez-y, Emilie, simplement, nous avons beaucoup d'honnêteurs.
32:28 - Je suis premier à te donner le nom, c'est l'association AVIC.
32:32 - D'accord.
32:33 - A-A-V-I-C, TIM-03.
32:35 - D'accord.
32:36 - Et j'invite tous ceux qui sont victimes d'effets secondaires post-vaccination et
32:41 Covid-19 à venir adhérer et à participer.
32:44 - D'accord, Emilien, on vous a entendu, mais je voudrais que Christine Cotton, vous savez,
32:47 beaucoup de gens nous appellent et c'est important, vous l'avez exposé, donc Christine
32:51 Cotton, il y a des émiliens, il y en a beaucoup, il y a effectivement des hommes et des femmes.
32:56 Comment vous réagissez à cela ? D'ailleurs, vous en avez, vous avez des témoignages dans
32:59 votre livre, bien sûr.
33:01 - Oui, ben moi, des témoignages comme ça, j'en entends toutes les semaines.
33:04 Des gens qui, du coup, se sont retrouvés sur le carreau, qui ne peuvent plus travailler,
33:09 qui se retrouvent dans des situations financières compliquées et qui sont souvent… Alors
33:15 là, finalement, il a de la chance parce que la péricardite, c'est presque ce qui est
33:20 le mieux reconnu et ce qui a été le mieux traité puisque les patients…
33:26 - Il faut avoir de la chance, oui.
33:29 - Oui, entre guillemets.
33:30 Par contre, tout ce qui est après maladie auto-immune, etc., c'est beaucoup plus compliqué
33:35 et c'est vrai qu'on a beaucoup de témoignages de gens qui étaient en pleine santé, qui
33:44 dans les jours après le vaccin, sont tombés subitement malades et quand ces gens vont
33:50 voir les médecins, ils continuent à nier l'effet du vaccin dans leur pathologie.
33:56 - Oui, tout le monde dit, il n'y a pas de causalité.
33:58 - Voilà, et ça, pour les victimes, c'est absolument insupportable parce que vous, vous
34:03 connaissez votre état, vous avez des gens qui sont sportifs et du jour au lendemain,
34:07 vous avez eu une piqûre, deux jours après, vous êtes malade, vous êtes une loque, vous
34:12 ne pouvez plus vous lever, mais le vaccin n'a rien à voir.
34:14 Donc pour les victimes, cette reconnaissance du lien, elle est très importante parce que
34:20 c'est comme si on leur disait, vous n'êtes pas capable de juger de votre propre état
34:24 de santé.
34:25 - Mais Christine Cotton…
34:26 - Donc ça, ce n'est pas possible en fait.
34:28 - Mais juste Christine Cotton, un mot, est-ce qu'on a établi la causalité, franchement,
34:33 exactement ou pas ?
34:34 - Alors, on sait dans les rapports de pharmacovigilance qu'on a des fréquences de certains effets
34:41 qui sont élevées, notamment l'hémocardite et les péricardites chez les moins de 40
34:46 ans.
34:47 Mais ce n'est pas parce que vous, vous en avez fait une, par exemple, que pour vous,
34:53 elle est imputée.
34:54 Il faut faire des… c'est à la pharmacovigilance qui examine au cas par cas si vous, c'est
35:01 lié au vaccin ou pas.
35:03 - Ou pas.
35:04 - Ou pas.
35:05 - Est-ce qu'aujourd'hui, ça a été… est-ce que la pharmacovigilance, parce que
35:07 c'est important pour tout le monde, est-ce que ça a établi, il y a eu, par la pharmacovigilance,
35:13 établi des liens de causalité avérés ou pas pour le moment ?
35:17 - Alors, quand vous parlez avec des victimes, vous en avez… qui ont eu la reconnaissance
35:23 formelle du lien.
35:24 Voilà.
35:25 - Oui, mais pas la pharmacovigilance.
35:28 - Non, par la pharmacovigilance.
35:30 Ils ont eu la reconnaissance formelle du lien, c'est-à-dire qu'il n'y a rien d'autre
35:34 qui peut expliquer leur état à part le vaccin.
35:37 Mais on voit bien qu'il y a une volonté de ces gens-là de toujours trouver d'autres
35:43 motifs.
35:44 Il y a un témoignage dans mon livre d'une certaine Isabelle qui avait eu une thrombose
35:51 due à un accident chirurgical.
35:53 Là, elle a eu une thrombose à la suite de sa vaccination et on lui répond « vous
35:57 êtes sujet à thrombose ». Excusez-moi, mais quand vous avez un chirurgien qui vous
36:01 coupe un vaisseau par accident, on est sujet à thrombose, ça s'appelle une erreur
36:05 médicale.
36:06 Et là, on lui dit « non, mais vous en avez déjà fait une ». Donc, vous voyez bien
36:11 cette médiocrité intellectuelle, on va dire, où cette… je ne sais pas, là aussi, il
36:16 va falloir aller enquêter, où cette volonté de ne pas reconnaître les liens sur des cas
36:22 comme ça.
36:23 On se retrouve juste après cette dernière petite pause avec Christine Cotton et avec
36:28 nos auditeurs.
36:29 A tout de suite.
36:30 Et vous continuez de nous appeler au 0826 300 300.
36:33 On se retrouve tout de suite.
36:34 Les Français parlent au français.
36:35 Je n'aime pas la blanquette de veau.
36:36 Je n'aime pas la blanquette de veau.
36:37 Les Français parlent au français.
36:50 Je n'aime pas la blanquette de veau.
36:51 Je n'aime pas la blanquette de veau.
36:52 Vous êtes bien dans le face-à-face d'André Bercoff avec Christine Cotton pour son livre
36:53 « Tous vaccinés, tous protégés.
36:55 Vaccin Covid-19.
36:56 Chronique d'une catastrophe sanitaire annoncée ». Vous avez la parole au 0826 300 300.
37:00 On accueille Christophe de Angers.
37:02 Bonjour Christophe.
37:03 Bonjour Christophe.
37:04 Bonjour André.
37:05 Bonjour Madame Cotton.
37:06 Merci pour votre pugnacité.
37:07 Je voulais dire que peut-être qu'un jour au journal de France 2, on entendra parler
37:12 des SMS de Ursula von Leyen, du procès Biotech en Allemagne, des livres de Madame Cotton,
37:20 de Pierre Chaillot et puis d'autres.
37:22 Mais ce n'est pas le cas.
37:23 Et je crois que le rapport de force, pour l'instant, il est vraiment en haute défaveur.
37:26 Et je pense qu'il faudrait aussi peut-être, pour te consacrer à ça, mais c'est aussi
37:32 André où je vous interroge là-dessus, c'est que Madame Cotton s'est organisé ce qui
37:36 existait il y a très longtemps des disputations, c'est-à-dire il faudrait que des confrontations
37:42 qui soient archivées de manière radio ou vidéo, des gens qui ne pensent pas la même
37:48 chose.
37:49 Parce que qu'est-ce qu'on a ? Chacun fait sa chaîne YouTube, son réseau.
37:52 On a des chroniqueurs qui invitent par exemple à ou d'autres.
37:55 Et puis bon, c'est toujours la même chose.
37:57 Moi, personnellement, je rêverais, entre guillemets, qu'on ait des disputations, des
38:02 débats entre spécialistes organisés de manière intelligente, pas des fois dans
38:06 poigne, où on a quelque chose qui se crée là.
38:10 Parce que sinon, on est amené à être dans le banc.
38:12 - Oui, chacun dans sa tribu, je comprends bien ce que vous dites, Christophe.
38:18 - C'est une clandestinité, presque.
38:19 Et je comprends les insultes qu'a reçues Madame Cotton, tout ça, c'est dégoûtant.
38:24 Mais c'est comme ça maintenant.
38:27 Et non, moi je souhaite vraiment qu'il y ait une médiatisation un peu différente.
38:32 Et je pense que vous pouvez l'organiser, en tout cas des médias libres, peut-être,
38:35 je ne sais pas.
38:36 Voilà ce que je voulais vous dire.
38:37 Merci.
38:38 - Merci à vous.
38:39 Christine Cotton, est-ce que vous avez été invitée à des débats avec justement un
38:43 certain nombre, que ce soit de médecins, de chercheurs ou même de labos ?
38:47 Vous qui avez très longtemps fréquenté les labos, vous avez travaillé, non pas
38:52 pour eux, mais avec eux.
38:53 Est-ce que vous avez été invitée à des débats contradictoires ?
38:56 - Pour pouvoir débattre, cher M.
38:57 Bercoff, il faut avoir en face des gens qui connaissent les bonnes pratiques cliniques,
39:01 qui ont travaillé en recherche clinique.
39:03 Or aujourd'hui, des gens qui se disent contredire ce que j'ai écrit, vous avez une espèce
39:08 d'océanographe qui travaille avec des poissons, vous avez une espèce de prof de maths.
39:12 Et c'est ces gens-là qu'on met en avant.
39:16 C'est ces gens-là qu'on met en avant.
39:19 L'océanographe a soi-disant refait les analyses de l'étude de Raoult.
39:23 Mais faites-moi rire.
39:24 Comment on peut mettre en avant des gens qui n'ont pas la compétence dans le sujet
39:30 quantique part ?
39:31 - Pardon Christine, Christine Cotton, vous avez quand même d'autres gens que vous qui
39:33 avaient étudié, qui avaient travaillé, qui avaient pratiqué.
39:37 Je veux dire de façon sérieuse, il y en a quand même.
39:39 - Bien sûr, mais il y en a plein dans les laboratoires pharmaceutiques.
39:42 - Pourquoi ils ne débattent pas ?
39:44 - Mais ils ne débattent pas parce que les trois quarts ne sont pas au courant du problème.
39:50 Moi, ceux que j'ai eu au téléphone, qui me suivaient sur le réseau LinkedIn avant
39:55 qu'ils ne suspendent mon compte.
39:57 Parce que justement, c'est ce que j'ai voulu faire.
40:00 Moi, j'ai balancé mon rapport en demandant l'avis de mes collègues ou anciens clients.
40:05 En disant, donnez-moi votre avis sur ce que j'ai écrit.
40:08 Qu'est-ce qu'ils ont fait ? Ils ont suspendu mon compte et ils n'ont jamais voulu me le
40:12 rendre.
40:13 Et qu'est-ce que j'ai eu comme visite ? L'OMS, la Sécurité Nationale, le département
40:18 d'état américain, Apple, le ministère de l'Intérieur, le ministère des Armées,
40:24 la Gendarmerie Nationale.
40:25 Ce n'est pas avec ces gens qu'on débat.
40:27 On débat avec des gens qui ont fait le même métier que vous, qui savent de quoi ils parlent.
40:32 Et pas avec des gens qui n'y comprennent rien parce que ce n'est pas leur métier,
40:36 ce n'est pas leur domaine.
40:37 Donc là, on est aujourd'hui dans un monde où on érige en experts des gens qui n'ont
40:42 jamais travaillé dans le domaine dans lequel on dit qu'ils sont experts.
40:48 Et on insulte des gens dont ça a été le métier pendant des années.
40:52 Voilà où on en est.
40:53 C'est ce que j'ai appelé dans mon livre l'inversion des valeurs, l'éloge de la
40:57 médiocrité.
40:58 Voilà où nous en sommes.
40:59 J'espère qu'ils accueillent à la télé un responsable d'assurance qualité, qu'il
41:06 leur fasse lire mon livre ou mon expertise.
41:08 Et peut-être que là, on pourra avoir des débats entre gens compétents.
41:12 On va essayer de le faire, nous, effectivement, en choisissant des gens d'égale compétence,
41:18 en attendant, lisez ce livre qui est loin d'être ou médiocre ou qui ne sait pas ce
41:23 dont il parle, le "Tous vaccinés, tous protégés".
41:26 Merci, Christine Cotton.
41:27 Alors j'ai un petit dernier mot à dire.
41:30 Allez-y.
41:31 J'en reviens à la responsabilité des laboratoires.
41:34 Il faut absolument faire cette audite.
41:38 Et ça, je pense que toute assurance qualité de l'industrie pharma ne peut que me donner
41:43 raison.
41:44 Et les agences de santé pareil.
41:45 Parce qu'il y a quand même un gros problème d'indemnisation des victimes là derrière.
41:50 Et il faut identifier rapidement si c'est au laboratoire de payer ou pas.
41:56 Eh bien, écoutez, en tout cas, ce sera véhiculé et relayé.
42:00 Et d'ailleurs, il y a quelques États qui ont pris déjà ce chemin.
42:04 À très bientôt, on reparlera de tout cela.
42:07 Et avec vous aussi.
42:08 Merci.
42:09 Merci beaucoup, chers auditeurs d'être toujours aussi nombreux à nous écouter.
42:12 Merci à Christine Cotton, biostatisticienne pour son livre « Tous vaccinés, tous protégés
42:16 - vaccins Covid-19, chronique d'une catastrophe saïstère » annoncé aux éditions Guy Trédaniel.
42:21 Tout de suite après les informations, l'émission de Brigitte Lahaie.
42:24 A tout de suite sur Soudradio.

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