Influenceurs épinglés pour pratiques frauduleuses: "Je n'ai volé personne", se défend Simon Castaldi

  • l’année dernière
Simon Castaldi, influenceur, était l'invité de BFMTV ce vendredi soir dans Week-End Direct. Il s’est exprimé sur l’injonction de la Direction générale de la Répression des fraudes (DGCCRF) contre lui et cinq autres influenceurs.
Transcript
00:00 Ça vous a fait bizarre, on va revoir votre compte Instagram,
00:02 d'avoir l'obligation par la justice de devoir poster ces trois photos,
00:07 ces trois images comme ça, en noir et blanc, avec ces messages
00:10 "Injonction de cesser des pratiques commerciales trompeuses".
00:13 Ça vous a fait bizarre ?
00:14 Ça m'a fait bizarre, mais j'étais pas contre.
00:17 C'était bien comme ça.
00:19 Comme je suis...
00:21 Comme cette injonction est seulement parce que j'ai fait...
00:24 J'ai oublié de mettre le hashtag "sponsorisé",
00:26 c'est pas un drame comparé à d'autres personnes que j'ai postées
00:30 qui ont fait des vraies arnaques, des vrais vols.
00:32 J'ai volé personne.
00:34 J'ai volé personne.
00:35 Les partenariats que j'ai faits, c'était pour des parfums.
00:39 J'ai jamais vendu des pilules qui empêchent de mourir.
00:43 C'était des parfums, des bonbons.
00:44 Des bonbons, ça peut être des choses qui ne vont pas ruiner les gens.
00:49 J'ai jamais fait de placement pour des crypto-monnaies, etc.
00:52 Alors qu'il y en a d'autres qui ont fait des millions d'euros.
00:55 - Précisément, est-ce que le risque, c'est que ça ne devienne pas graduel ?
00:59 Est-ce que c'était pas ça l'étape d'après ?
01:01 Est-ce que d'une certaine manière, vous n'avez pas été un peu freiné aussi ?
01:05 - Pas du tout, mais j'aurais pu le faire.
01:07 - Vous auriez pu le faire ?
01:09 - Mais j'aurais pu le faire depuis plusieurs mois,
01:12 avant que ce soit ce déplacement qui m'aurait rapporté beaucoup d'argent,
01:15 que je n'ai pas fait parce que je savais que c'était illégal.
01:18 J'aurais pu le faire, je ne l'ai pas fait.
01:21 Je ne l'ai pas fait.

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