Simon Castaldi, influenceur, était l'invité de BFMTV ce vendredi soir dans Week-End Direct. Il s’est exprimé sur l’injonction de la Direction générale de la Répression des fraudes (DGCCRF) contre lui et cinq autres influenceurs.
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00:00 Et ça vous faisait rire ces images ? Pourquoi ?
00:04 Ça me fait rire parce qu'il y a un amalgame qui se crée depuis plusieurs mois
00:08 et les gens qui sont cités ici, pour moi je ne suis pas cela.
00:13 Je n'ai jamais fait de la promotion pour des pilules anti-cancer.
00:17 Moi ça me dépasse tout ça. Depuis plusieurs mois je suis dépassé parce que ce n'est pas moi.
00:21 Ces gens qui sont cités, ce n'est pas ce que je fais.
00:24 Mais est-ce que vous êtes un influenceur ? Est-ce que vous vous considérez comme un influenceur ?
00:27 C'est une vraie question. Pour moi je ne suis pas influenceur.
00:30 Ça fait deux ans que je suis dans le milieu.
00:32 Quel milieu ?
00:33 Le milieu de la télé, des réseaux.
00:35 Mais être influenceur c'est se réveiller le matin et dire "coucou mes chéries, je me réveille".
00:38 Moi je ne fais pas ça. Je fais quelques stories de temps en temps.
00:41 Parfois je fais des placements de produits mais j'en fais tellement peu,
00:44 tellement peu comparé à d'autres qui font des centaines par mois.
00:48 Mais du coup quand vous faites ces placements de produits vous gagnez de l'argent, on est d'accord ?
00:51 Bien sûr, oui.
00:52 Combien ?
00:53 Combien ? Directement des prix.
00:56 Parlons concrètement. Est-ce que vous en vivez par exemple ?
00:59 Non. C'est un complément de revenu.
01:02 Pour moi, en tant qu'influenceur de 23 ans qui est commencé il y a deux ans,
01:06 moi je n'étais pas là à l'âge d'or de la déplaçant de produits il y a 5-6 ans
01:09 quand vraiment c'était un réel moyen de gagner beaucoup d'argent.
01:13 Et les garçons déjà c'est plus compliqué.
01:15 Donc tu gagnes un petit peu d'argent mais pas les sommes qu'on a entendues partout,
01:19 des dizaines de millions d'euros.