Quand le ministre danois de l'Immigration donne une leçon à Quotidien, la réaction d'André Bercoff

  • l’année dernière
Le ministre de l’immigration danois explique à Quotidien que ce sont les classes populaires qui subissent les problèmes liés aux flux migratoires.

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Transcript
00:00 Sud Radio André Berkhoff.
00:02 "Ça balance pas mal !"
00:04 Berkhoff dans tous ses états, ça balance pas mal sur Sud Radio.
00:07 "Que sortira-t-il de tout ça ?
00:09 Il y a quelque chose de pourri dans le royaume de Danemark !
00:14 Que la volonté de Dieu soit faite !
00:16 Allons, suivons-nous !"
00:18 Hamlet, Hamlet de l'immortel William Shakespeare.
00:23 Il y a quelque chose de pourri dans le royaume du Danemark.
00:26 Eh bien, en vérité, il y a quelque chose de tout à fait passionnant aujourd'hui dans le royaume du Danemark.
00:32 Et vous allez écouter cela, c'est très intéressant, c'est un journaliste de l'émission "Quotidien"
00:37 qui est allé interviewer le ministre socialiste de l'immigration danois.
00:42 Puis c'est vrai que le danois a décidé une politique assez rigoureuse,
00:47 c'est le moins que l'on puisse dire en phase, en par rapport et à l'aune de la politique migratoire.
00:53 C'est-à-dire qu'ils ont pris des mesures très précises,
00:56 non pas contre les immigrants, mais pour contrôler, pour gérer, pour réguler,
01:01 quelque chose qui devenait chez eux absolument incontrôlable.
01:05 Donc le ministre de l'immigration danois est interviewé par une journaliste de "Quotidien".
01:10 Écoutez.
01:11 Il s'appelle Karel Dubvad, il est ministre de l'intégration et de l'immigration,
01:15 et il est donc de gauche.
01:17 En France, vous êtes vu comme un modèle par les partis de gauche et de droite.
01:23 Comment vous vous sentez sur cela ?
01:24 Je pense que si d'autres pays veulent s'inspirer de nos politiques pour mieux contrôler l'immigration,
01:30 alors moi ça me va.
01:32 Vous pensez que vous êtes de gauche ?
01:34 Oui, bien sûr, à 200%.
01:36 Vous savez, si on veut être de gauche, il faut avoir une politique stricte sur l'immigration,
01:40 parce que ce sont toujours les classes populaires qui payent le prix de l'immigration,
01:44 qui payent le fardeau de l'intégration des immigrés, jamais les riches ou les bourgeois.
01:49 Donc si on ne comprend pas ça, les classes populaires vont arrêter de voter pour nous.
01:53 Et voilà.
01:54 En quelques mots, tout le narratif de la gauche officielle et de l'extrême gauche s'effondre
02:00 avec un bruit doux.
02:02 Et oui, parce que la journaliste est allée en lui disant
02:05 "Oui, alors vous savez que la droite et l'extrême droite en France regardent le Danemark comme un modèle.
02:12 Et vous dites que vous êtes de gauche ? Vous pensez être de gauche ?
02:15 Dit-elle avec une espèce de scepticisme total.
02:18 Ben oui, il est socialiste, il est de gauche.
02:20 Et il ajoute, vous l'avez entendu, il a dit "Mais attendez,
02:23 l'immigration, la migration, l'immigration, qui elle touche du point de vue des salaires de tout ?
02:30 C'est le peuple !
02:31 Évidemment les riches et les bons bourgeois, bien aimés l'Anti, ben ils ne sont pas touchés, ça va.
02:36 Ils peuvent se permettre justement de dire "Allez, les autres, ben les autres, comment ça se passe ?"
02:41 Et je rappelle, et je rappelle, c'est extraordinaire quand même,
02:44 parce que tout le monde l'a oublié, il y a plus de 40 ans, en 1981,
02:48 Georges Marchais, le premier secrétaire du parti communiste français,
02:52 disait "Il faut arrêter", à l'époque déjà il y avait plus de 40 ans,
02:55 et c'était pas du tout les mêmes chiffres qu'aujourd'hui,
02:57 "Il faut arrêter l'immigration clandestine et l'immigration officielle,
03:01 parce que qui est visé ? Ce sont les travailleurs qui voient leurs salaires baisser."
03:06 Comme l'avait dit Karl Marx, la Karl Marx, au 19ème siècle,
03:10 aux travailleurs polonais, il avait fait une adresse aux travailleurs polonais,
03:13 en disant "Ne venez pas en Angleterre, les bons capitalistes anglais,
03:16 vous devons devenir pour casser les prix."
03:19 C'est toujours la même histoire, mais cette brave gauche,
03:22 cocu, battue, contente et de bonne conscience,
03:25 continue à dire "Mais non, mais non, mais tout va bien, allez, accueillons, accueillons, accueillons."
03:29 Accueillons, oui, mais jusqu'à quand ? Jusqu'où ? Et jusqu'à quel prix ?
03:33 Il est là le problème, et quand je dis le prix, c'est pas seulement le prix économique,
03:36 c'est le prix en matière de tout.
03:39 Donc voilà, eh bien, le ministre socialiste du Danemark,
03:43 met à plat, met en pièce, facile, tranquille,
03:47 il dit "Écoutez, si vous ne vous occupez pas effectivement de votre peuple,
03:51 eh bien votre peuple arrêtera de voter pour vous."
03:54 Et il n'y a qu'à lire des chiffres, le parti communiste il y a 40 ans,
03:57 le parti guérilliste aujourd'hui, le parti socialiste il y a encore 20 ans,
04:01 le parti socialiste aujourd'hui, etc., etc., etc.
04:04 Il y a quand même un problème, eh bien, il y a quelque chose de très clair
04:08 au royaume du Danemark.

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