• l’année dernière
Aveugle, Yves BAYON est 7 fois champion de France.
À 64 ans, malgré son handicap visuel, Yves Bayon n'a jamais cessé de faire du vélo. Lorsque sa vue a commencé à sérieusement se détériorer, Yves a décidé de devenir cycliste en tandem. Il a même réussi à devenir 7 fois champion de France en cette discipline. Toutefois, le niveau s'intensifie et Yves pourrait prochainement mettre fin à sa carrière.


La Loire accueille un Championnat de France de Cross Country.
Le Moto Club Ussonnais, sous la direction de son président Christian Pagès, a organisé la troisième manche du Championnat de France de Cross Country les 15 et 16 avril derniers. Retour sur cet événement majeur du calendrier off-road : les résultats du championnat, les belles prestations des pilotes ligériens et l'avis du président du moto-club sur cette belle épreuve.


Retenons notre souffle avec le club d'apnée
"Le Grand Bleu" a suscité de nombreuses vocations. Mais qu'est-ce qu'ils viennent chercher ? Entre performance et relaxation, à bout de souffle, notre invité Thierry Dubouchet nous parlera de ce sport.


Bientôt âgé de 55 ans, l'Aviron Stéphanois ne fait pas son âge.
Cette semaine, je vous propose dans ma chronique "Démo" de découvrir un sport aussi complet que synchro : l'Aviron.
Merci à Johan Blachon, président du club de l'Aviron Stéphanois, de nous avoir ouvert ses deux de couple pour une démo haute en couleur.
Attention, ça risque d'être humide.

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Transcription
00:00 *Musique*
00:16 Bonsoir à toutes et à tous.
00:18 Ah oui je souris, pourquoi ? Parce qu'ils me disent "ça y est on a l'antenne"
00:20 Ah ouais, écoutez c'est le direct
00:22 Déjà, je les avais déjà
00:24 Ouais on a perdu, ça faisait un petit moment qu'on était pas là sur le plateau
00:27 Même les petits spectateurs m'envoient des petits messages
00:29 Donc voilà, nous sommes en direct, Esport7 c'est toute l'actualité sportive de votre département
00:33 Tout ça en 42 minutes
00:35 On aurait aimé être près du 91 comme ça on aurait pu faire du 90 minutes
00:40 On aurait eu le temps de parler de nos passions respectives
00:42 Exactement, mais on va en parler avec notre invité d'ailleurs qu'on peut applaudir
00:45 Thierry Dubouchet avec vous, on va revenir à notre souffle
00:47 Oui, on va parler d'apnée, d'apnée dans la Loire
00:50 Avec le CSPSM
00:52 Plus vieux club de France ?
00:54 Non, non, c'est un de la Loire
00:56 Oui, mais nous on va en grand parce qu'il y a la France, il y a la Loire et les autres autres forts
01:01 On va parler avec vous, Lian Bard
01:05 On part à Moron-les-Bains et on va à la rencontre de Yves Bayon
01:09 Qui est tout simplement 7 fois champion de France de tandem, voilà, de paratandem
01:15 Qui comprenait sur une catégorie paralympique, ou parasportive plutôt
01:19 Et à votre gauche, votre frère, Mathieu Vaudelbois
01:22 Bonsoir Julien, nous on est parti dans les monts du forêt, c'était il y a un mois une épreuve du championnat de France de cross-country
01:28 Le cross-country on a déjà parlé ici sur ce plateau, mais c'est rare qu'une épreuve du France impose ses valises dans la Loire
01:35 Et bien forcément, comme c'était dans la Loire, nous y étions
01:37 Quel joli programme, nous saurons, je ne sais pas si on a quelques images en direct du côté de Saint-Victor ou Damien va s'essayer à l'aviron
01:46 Voilà, si le temps le permet, mais il m'a dit de toute façon j'ai pris mon cahier
01:49 Donc il est protégé
01:52 Thierry Dubouchet, Taillet, Apnée, Jacques Mayol, le Grand Bleu, pour les incultes, Ilian Bard ?
02:00 Je ne connais pas, je n'ai jamais vu le Grand Bleu
02:04 On a entendu parler quand même
02:05 Oui, ça je l'avais, c'était la même BO que Thalassa, non ?
02:09 C'est comme moi le Titanic, je n'ai pas regardé
02:11 T'as au moins vu le Grand Bleu avec une chaussure noire, non ?
02:13 Lui je le connais
02:14 Aujourd'hui, les gens viennent encore grâce au Grand Bleu ou pas du tout, c'est derrière ?
02:19 Alors on a un public qui est très vaste, on a des jeunes qui viennent ici pour différentes raisons
02:26 Et puis on a des gens qui effectivement ont été influencés par Jacques Mayol et le Grand Bleu
02:32 Dès que l'Ilian va voir le Grand Bleu, la queue du petit dauphin
02:36 Je viens vous voir
02:37 Nos débutants ont jusqu'à 60 ans
02:39 Alors aujourd'hui
02:40 On peut s'attaquer aussi tard, d'accord ?
02:42 Aussi tard ?
02:43 Tant qu'on est 40 et cardiaque
02:44 À 60 ans pour démarrer une activité sportive, ce n'est pas toujours évident
02:47 Il n'y a pas d'âge pour démarrer
02:48 Non, je trouve ça super
02:49 Alors est-ce qu'aujourd'hui, par exemple, on sait qu'il y a des plateformes, Vimeo, Youtube, Dailymotion
02:55 Il y a un Français qui travaille avec, d'ailleurs je crois qu'il est niçois, il s'appelle Neri, il travaille avec sa femme
03:00 Elle fait des vidéos ensemble, on va voir, ça s'appelait Gravity, elle s'est sortie il y a quelques années
03:05 Est-ce que ça, ça influence un peu les gens ?
03:07 Quand on va voir ces belles images, peut-être vous avez dû les voir
03:10 Regardez, c'est une fosse qui existe du côté de Nice, non ?
03:13 Non, je crois que c'est au Bahamas
03:17 Ah d'accord, ça fait plaisir
03:19 C'est magnifique pour deux raisons, parce que techniquement, on ne se rend pas forcément compte, mais ce qu'il fait est extrêmement difficile
03:27 Il plonge
03:28 Sa femme est danseuse et le travail nécessaire pour réaliser cette vidéo a été énorme
03:34 Et on regarde ça
03:36 Ça, c'est beau ça
03:37 Oui, alors il y a peu de gens qui réussissent à faire ce qu'il fait, à marcher sous l'eau comme ça, c'est très compliqué et c'est magnifique
03:44 C'est de la poésie
03:45 Est-ce qu'on sait à combien de profondeur il est là environ ?
03:47 Là, je ne peux pas vous dire, mais je pense qu'il doit être aux alentours des 30 ou 40 mètres
03:51 D'accord, c'est surtout le temps qu'il est resté
03:53 Même en bouteille, je n'y vais pas
03:55 Ça, on va dire que c'est artistique, aujourd'hui si on parle technique, la plongée, déjà Cocorico, ce sont des Français qui sont bons dans cette discipline, Neri l'était
04:04 C'est Stéphane Mifsud qui tient le record du monde, si je ne me trompe pas
04:09 D'apnée statique
04:10 11 minutes et 35 secondes
04:12 Nous, on le fait avec Lilian, il est 35, easy
04:14 Il a ce record depuis 9 ans, ça n'a pas été battu ?
04:18 Non, et c'est effectivement assez remarquable
04:22 Ah oui, ça date de 2009, effectivement
04:24 Il a 14 ans
04:26 Et ça, c'est plus technique encore que ce qu'on va voir dans quelques instants, c'est notre façon d'aborder l'apnée
04:33 C'est autre chose
04:35 Il y a moins de souffrance, on va dire, parce qu'il y a la profondeur, on est d'accord, les tympans, tout ça, là, ça ramasse un peu moins
04:42 Alors, à ce niveau de performance, physiologiquement, ce n'est pas gratuit, c'est un gros, gros, gros travail derrière
04:51 Il a dit que la veille, il avait fait que 9 minutes et qu'il ne voulait faire que 10 minutes
04:55 Il s'y est repris à deux fois pour faire son record, mais c'est surtout deux ans de travail
05:00 C'est de la concentration là aussi, je pense, non ?
05:02 Yoga
05:04 Là, on est seul, on est dans l'eau, on ne pense qu'à soi, on ne pense qu'à sa performance, on est concentré sur soi
05:12 Là où on est sur des sports collectifs et on pense pour l'équipe, là, on pense vraiment à soi, je pense
05:16 L'apnée, c'est ça ?
05:18 Alors, oui, c'est un sport d'équipe, parce que là, on voit, mais en fait, autour de la piscine, il y a plein de monde
05:25 C'est un sport qu'on ne pratique jamais seul, on est toujours encadré par des gens qui vont être compétents, qui vont être formés
05:32 Mais tout à l'heure, vous avez parlé de yoga, en introduction, on a parlé de Jacques Mayol
05:39 Jacques Mayol, c'est lui qui a vraiment introduit l'apnée moderne
05:43 Donc, il a introduit du médical, il a introduit de la préparation physique, de la concentration, du yoga
05:50 Alors, à l'inverse, c'est un russe qui est... Dans le grand bleu, c'était Jacques Mayol qui gagnait
05:58 Là, c'est un russe qui est très très bon, qui a ce record de 130 mètres de profondeur
06:02 Là, c'est une autre discipline, là
06:04 Est-ce qu'on peut être bon, justement, dans les deux disciplines, ou c'est vraiment deux disciplines complètement à part et deux façons d'aborder l'apnée ?
06:11 On va voir les images, déjà, de la profondeur
06:14 Parce que j'imagine que ce n'est pas du tout la même façon d'aborder
06:18 Quand on re-bobine les cassettes... C'est un russe, là, c'est un... Voilà, regardez, hop là, il plonge
06:24 Est-ce que c'est deux, effectivement, comme dit Mathieu, deux techniques différentes ?
06:28 Alors, ça ne met pas en place les mêmes techniques
06:31 Quelqu'un qui va être bon en statique pourra très bien être très moyen en profondeur
06:38 Parce que, justement, les problèmes de compensation demandent des techniques particulières
06:46 Des techniques de nage, peut-être, aussi, parce qu'il faut quand même être capable de descendre...
06:51 Alors, Stéphane Mifsud, en nage, je n'irais pas nager avec lui
06:55 D'accord, tu ne vas pas t'attaquer à lui
06:58 Même en étant mauvais, je pense qu'il arrive à faire les 7
07:01 Alors, son apnée statique, en fait, son record, c'est quand même deux ans de travail, d'entraînement vraiment acharné pour qu'il le fasse
07:06 Et aujourd'hui, dans quelques instants, on va en parler
07:10 Est-ce que, si on vient dans votre club, vous faites les deux disciplines ?
07:15 Oui
07:17 Tout ce qui est apnée et qui nous procure du plaisir, on va le faire
07:23 On va faire de la piscine, on va faire de la profondeur, on va faire du statique
07:28 C'était ma question, justement, par rapport au plaisir
07:32 Et là, on voit que c'est quand même un effort solitaire, même si c'est un sport d'équipe
07:36 Il n'y a pas une confrontation directe avec des adversaires
07:39 Est-ce qu'il existe des types de compétitions...
07:41 Si, dans le Grand Bleu, c'est le cas
07:43 Où les deux se mettent ensemble la tête sous l'eau et c'est le dernier qui remonte qui gagne
07:48 Comme des battles d'apnée
07:50 Ou c'est le premier qui arrive en haut
07:52 Alors, première chose, déjà, au niveau de notre hygiène, on essaye de faire un petit peu attention
07:57 Et notamment l'alcool et l'apnée, on évite
08:02 D'accord, oui, j'imagine
08:03 Alors, c'est pas qu'on ne boit pas, mais par contre, quand on est en phase de stage, on est sérieux
08:10 Et puis, c'est pas notre pratique
08:13 Quand on parle bien de l'ivresse des profondeurs...
08:15 C'est l'azote
08:18 Mais oui, l'objectif, c'est pas la compétition entre nous
08:25 C'est vraiment le plaisir de chacun et c'est le plaisir qui nous fait avancer
08:29 Et le dépassement de soi
08:30 Vous étiez où ce week-end ?
08:31 On était samedi à la fosse, de mes yeux
08:35 Exactement, donc vous ne savez pas tout ce qui s'est passé ce week-end sur la Loire
08:38 Non
08:39 Tant mieux, petite séance de rattrapage avec, en bref, toute l'actualité locale de votre département
08:43 Regardez
08:44 Salut, on se passe-t-il ?
08:46 Salut les filles, allez, c'est parti pour les infos du week-end
08:49 En bref, on reste avec nos pop-up girls à Saint-Just-Saint-Robert pour une nouvelle édition de la Just to Ride
08:54 Qui se déroulait tout le week-end à l'embarcadère
08:56 La fête autour de la moto pour tous les amoureux de sport mécanique
08:59 Avec pas moins de 30 stands dans tout genre
09:01 Pour admirer de belles bécanes, mais aussi se faire couper les cheveux, raser, des structures gonflables pour les enfants
09:08 Et des concerts pour rendre la fête plus folle évidemment
09:10 Mais dis-moi Marc, pourquoi on aime la moto ?
09:13 Je crois que c'est dans les gènes, on aime ses vibrations, on aime tout ce qu'il y a autour aussi, la custom culture
09:20 Le côté un peu USA qui nous fait rêver
09:24 Et puis, ouais, ce côté un peu libre, ouais, ce côté libre
09:30 On s'évade, même si on a passé une sale journée
09:33 Si on a la possibilité de faire une petite balade entre potes le soir, c'est ce qui nous fait vibrer
09:38 En brève direction, le gymnase de Boulogne où se sont déroulés les individuels de la Loire en gymnastique
09:44 Organisé par la FSCF et son comité départemental
09:47 C'est donc près de 250 gymnastes qui sont venus défendre les couleurs de leur club
09:52 Par contre Martine, je comprends pas trop, ça se passe comment les qualifications après ?
09:56 Ici c'est pas une qualification, ici elles ont fini
10:00 C'est le départemental, donc c'est fini pour le niveau départemental
10:04 Au niveau régional, elles ont déjà fait d'autres compétitions mais ce ne sont pas les mêmes
10:09 Et dans les compétitions nationales, elles se qualifient
10:13 Donc elles font les compétitions ici en région, puis en grande région, puis en nationale
10:20 En bref, on est tellement bien à Boulogne qu'on reste à Boulogne
10:23 Avec cette fois-ci le gala de boxe organisé par le boxing club de Saint-Chamond
10:27 4 combattants Kouramio étaient présents et 3 victoires sur 4 pour leur compte
10:32 Yann-Mike Mansogo et Laetitia Charouin ont gagné à l'unanimité des juges
10:36 Et le professionnel Ruben a gagné son second combat en pro à domicile face à un Suisse
10:41 Le public et la fête étaient au rendez-vous
10:43 Le club a qu'une envie, pouvoir faire une seconde édition dès l'année prochaine
10:46 En bref, direction Nîmes avec Endence Academy, l'école de fitness et de danse d'Andrézieu Boutillon
10:51 Pour la dernière ligne droite avant les championnats de France de rock et de boogie
10:54 L'équipe liée a eu de très bons résultats avec 6 finalistes sur 7 couples
10:57 Inès et Flavie 1ère, Romain, Nénath et A2ème, Lilou et Milana 3ème, Valentin et Candice 4ème
11:02 Mini Forma Ladies 4ème, Ophélie et Alex 6ème
11:06 Et en demi-finale on a eu Anissa et Clarisse 10ème
11:09 On attend maintenant le résultat final des sélections pour connaître qui poursuivra le parcours en championnat de France
11:14 Bisous !
11:16 Eh ben gros bisous les filles et à très bientôt !
11:18 Bisous Lilou, ne confondez pas la...
11:20 Pas le micro TLC
11:22 Bien sûr que non
11:23 C'est vrai que ça se ressemble, il y a quelque chose
11:25 C'est vrai, j'avais pas vu le titre
11:27 En plus ça fait beaucoup parler le rose
11:29 On était sur deux semaines quand même, sur l'heure, en bref, on était sur deux semaines
11:32 Quand on n'était pas là le 8, il y avait des infos de Paris
11:34 Quand on n'était pas là le 1er
11:35 Et le 1 non plus, et ben voilà il y avait trop d'infos
11:37 Il y avait trop d'infos
11:39 On va parler de la fête du basket avec le jeu de mots, Lilian
11:42 La fête du basket
11:44 La fête du basket ou la fête du basket ?
11:45 Les deux
11:46 C'était du côté droite
11:47 Eh oui, cette année parce que chaque année change
11:49 On change, ping pong
11:50 Une fois Loire-Sud, une fois Loire-Nord
11:52 C'est sympa, comme ça il y a une parité
11:54 Après j'ai trouvé ça incroyable que cette année ils le fassent sur Loire-Nord
11:56 Non, ils jouent pas au basket
11:58 Ils jouent pas au basket, eh ben c'est pas grave, on découvre quand même
12:00 Faites du basket en apnée, sous l'eau, mettez des paniers
12:03 Mais on a plein de jeux sous l'eau
12:04 Ah, c'est vrai ?
12:05 Ouais
12:06 Et pas de basket ?
12:07 Le ballon flotte trop
12:09 C'est dans les malins dribblés
12:11 La tendance à vachement remonter
12:12 Sinon c'est Waterpolo, du coup pas même d'ici
12:14 Donc du coup, direction Rouen, sur les mini-terres
12:16 Sur les terres rouennaises avec des installations quand même assez incroyables
12:21 Du coup, il y avait les terrains de 3 contre 3 qui ont été inaugurés il n'y a pas si longtemps que ça
12:26 Qui ont été mis en place par Rouen et Agglomération
12:28 Et donc on était là, juste derrière, donc la patinoire de Fontalon et de la Halvacheresse
12:33 Là où joue la chorale de Rouen
12:35 Mais sur des terrains exceptionnels
12:37 En fait lui c'est Rouen, il est content parce que depuis le début, on va vous le dire téléspectateurs
12:40 Il a fait des très bons scores
12:42 Mais je sais pas comment il a fait hier
12:44 Mais que sur Rouen
12:46 Hier je lui ai dit "J'suis devant toi sur le replay"
12:48 Et là, clac ! Il a appelé tous ses amis
12:50 Il m'a mis 300 vues dans la figure
12:52 Ça veut dire que le Rouenais joue le jeu, c'est bien
12:54 Et ça joue de la glace, et du coup, c'est pour ça qu'il y était
12:56 En tout cas on est allé à Rouen et on a fait la découverte de tous ces enfants
12:59 Parce qu'il y avait plus de 1300 enfants répartis sur les différents terrains derrière la Halvacheresse
13:05 C'était pas rien
13:07 Allez on regarde, c'est bien 3 contre 3
13:09 A 3 contre 3, fallait qu'il y ait du terrain
13:19 C'est la 30ème édition de la fête nationale du mini-basket
13:22 Donc qui a lieu dans tous les comités de France
13:24 Et ça depuis 30 ans, voilà
13:26 La fédération avait copié un peu sur les comités qui faisaient déjà des petits rassemblements
13:31 Des fêtes dans leur département
13:33 Et a pris ça en charge
13:35 C'est vraiment la fête au-delà du jeu
13:38 La fête de la convivialité, du plaisir de jouer, du fair-play
13:43 On y aime, je l'ai vécu également il y a 30 ans
13:48 C'était des super souvenirs
13:50 C'est génial pour les enfants
13:52 Le temps est clément, les enfants sont contents
13:55 Tous les ingrédients étaient réunis pour faire une super journée de basket sur le Rouennet
14:01 C'est quoi ? C'est la grande grande fête de tous les mini-basketteurs ligériens et altigériens
14:06 En gros c'est 1300 gamins, une centaine de bénévoles
14:11 Tout autant de coachs qu'il y a d'équipes, c'est à dire une centaine de coachs
14:17 Tout le monde est réuni autour de la fête et en plus on a le soleil donc on est content
14:21 C'est la famille basket autour de nos mini-basketteurs
14:23 J'avoue que la fête de la Loire c'est une de nos plus grosses fêtes
14:26 On essaye d'offrir le maximum d'activités aux enfants
14:30 C'est pour ça qu'on met à leur disposition des structures gonflables pour s'amuser
14:34 Il y a eu des concours de tir, il y a de la sensibilisation au handicap aussi avec les essais de fauteuil roulant
14:42 Et puis la ville de Rouen a mis une animation à notre disposition à l'éveil des gestes au premier secours
14:47 Qui a eu beaucoup beaucoup de succès et les enfants sont ravis d'apprendre à faire les premiers soins aux enfants
14:54 On aimerait vous dire que cette fête elle est très cool, ça rapproche les uns les autres
14:58 Et le défilé à la fin il est très cool avec les parents, tout ça, on s'amuse
15:03 Et bien merci pour les personnes de l'organisation, merci !
15:08 [Musique]
15:16 Et je voudrais rajouter aussi que actuellement depuis Covid, on a multiplié, alors on va pas dire multiplié
15:23 Mais beaucoup beaucoup augmenté notre nombre de mini-basketteurs
15:26 Parce qu'on a un sport formidable et donc les gens le savent le reconnaître aussi, voilà
15:32 Les enfants vont tous défiler dans le stade devant leurs parents
15:35 C'est leur moment de gloire, c'est un moment de fête
15:38 Et on peut ainsi les mettre à l'honneur vraiment parce que ce sont eux qui sont au cœur de la fête aujourd'hui
15:43 [Musique]
15:46 Ah waouh ! On voit vraiment que la Loire est un sport de basket, FnD serait là et il nous le dirait
15:50 Une terre de basket ou un sport de basket ?
15:52 Une terre de basket, vraiment c'est impressionnant des installations comme ça
15:56 J'imagine qu'on en a pas dans tous les départements
15:58 Exactement, Thierry quelque chose qui va vous faire plaisir
16:02 On va prendre la direction de Sainte-Victor, il y a de l'eau
16:04 Oui
16:05 Ça vous fait plaisir
16:06 Oui
16:07 Et on va retrouver Damien Sidoux qui est en direct du côté d'Orex, Sainte-Victor, un truc comme ça pour faire de l'Aviron, c'est ça Damien ?
16:15 Oui alors effectivement aujourd'hui j'ai prévu de vous présenter l'Aviron Stéphanois
16:20 Donc un des clubs les plus anciens et j'ai la chance d'avoir avec nous Johan Blachon qui est le président du club
16:27 Merci Johan de nous accueillir
16:28 Bonjour à vous
16:29 Et donc du coup je le disais en préambule, 1969 c'est à peu près ça ?
16:34 Exactement, la date de création, on serait à peu près un des plus anciens clubs de la région
16:39 Créé par Monsieur Ponce dont son fils Olivier Ponce qui a ramé ici et donc son papa a entraîné à réaliser des… comment ça s'appelle ?
16:52 Les JO non ? C'est ça ?
16:53 Exactement, merci et par trois reprises en tant que compétiteur et par trois reprises en tant qu'entraîneur
17:00 Et donc aujourd'hui au niveau de l'association vous êtes combien d'adhérents ?
17:04 On est 54 adhérents sur le club de l'Aviron Stéphanois, pratiqué en régulier avec nos deux permanences le mercredi après-midi et le samedi après-midi
17:13 Et donc c'est ouvert à tout âge, c'est ça un peu le principe ?
17:17 A tout âge à peu près, on commence à plus ou moins sur l'âge de 10 ans jusqu'à 99 ans si on peut encore
17:25 Parce que finalement le sujet c'est pas tant l'âge c'est la taille je crois
17:28 Exactement, il faut à peu près faire environ 1m40 pour pouvoir débuter, c'est beaucoup plus pratique de monter dans un bateau et de pouvoir avec l'amplitude pratiquer correctement l'avion
17:38 D'accord et donc à travers ça plusieurs types de courses et d'embarcations du coup ?
17:44 Exactement, donc là ce que vous pouvez voir à côté de nous on a un double de compétition, un double de couple exactement avec deux pelles de chaque côté
17:52 Et un bateau plus effilé que ce qu'on pourrait trouver sur un bateau de débutant
17:56 Grosso modo un bateau de débutant sera plus large pour permettre aux nouvelles personnes venant pratiquer l'aviron de se sentir en sécurité et d'éviter de chavirer
18:06 Et dernière question, on a bientôt les JO 2024, est-ce que pour vous ça crée un engouement ou est-ce que finalement vous êtes encore en recrutement ?
18:14 Alors non on est en recrutement, pour l'instant on ne sent pas forcément l'engouement des JO, peut-être après mais pour l'instant ce n'est pas le cas
18:22 Mais pour l'instant voilà, à l'heure actuelle on est sur une dizaine d'initiations qui arrivent début avril, nos séances d'initiation commencent à partir du 1er avril jusqu'à fin octobre
18:34 Merci Johan, moi j'ai plus qu'à m'équiper les amis et puis vous allez rester avec moi pour me donner des conseils ?
18:41 Avec plaisir !
18:42 Bon je vous dis à tout à l'heure, bisous bisous !
18:44 Il a l'air de faire super bon !
18:45 Il fait des bisous tout les deux minutes !
18:47 Il fait des bisous, il a besoin de se réchauffer je pense !
18:50 Il avait envie d'y aller quand même, je l'ai trouvé hyper motivé !
18:53 Oui mais c'est pour ça qu'on l'envoie lui !
18:55 Exactement, Nina Bard, portrait sportif !
18:58 Portrait de la semaine, à la rencontre d'Yves Bayon, je suis allé à Moron faire la rencontre d'Yves qui est cette fois champion de France de tandem
19:07 À l'avant ou à l'arrière ?
19:08 À l'arrière !
19:09 D'accord !
19:10 Parce que Yves...
19:11 Ça peut être sport à l'avant !
19:12 Ça peut être sport à l'avant puisque Yves a un problème au niveau de la vue
19:18 En effet c'est mieux à l'arrière !
19:19 Donc c'est de naissance !
19:22 D'accord !
19:23 Et au départ il arrivait quand même à pouvoir faire du vélo seul et puis à un moment donné c'est devenu très compliqué
19:29 Donc il a fallu quand même adapter le running et ça s'est transformé en tandem !
19:35 Il habite où ? Moron-Les-Bains ?
19:37 Moron !
19:38 Ah oui, je crois que je l'ai vu en tandem, il en fait tous les jours avec son vélo !
19:41 Au moins trois fois par semaine !
19:43 Oui c'est ça !
19:44 Je pense que je l'ai croisé sur la cyclo sportive des copains, où j'ai travaillé à plusieurs reprises
19:48 J'ai l'impression qu'il y a beaucoup de courses qui ne loupent pas !
19:53 Thierry, se poser la question, c'est une propulsion ou une traction ce vélo ?
19:57 Traction des jambes !
20:01 Souvent ça m'arrive de faire parler les invités à ma place !
20:04 Propulsion des jambes !
20:06 Des jambes !
20:07 Donc voilà, on part à la rencontre d'Yves qui à un moment donné de sa vie a dû passer en tandem
20:12 plutôt que le simple, mais on l'a challengé en lui donnant des objectifs de concours
20:18 et surtout d'aller chercher les championnats de France en tandem en 10
20:22 et plutôt belle réussite puisque c'est sept fois champion de France !
20:26 Bravo, joli ! Et vous l'avez rencontré ?
20:28 Bien sûr !
20:30 Le vélo, c'est quoi ?
20:32 Je fais du vélo depuis toujours, quand j'ai eu le certificat d'études comme tous les jeunes
20:50 et je ne suis plus jamais descendu du vélo
20:52 et avec ma maladie bien sûr, il y a à peu près 25 ans que je fais du tandem
20:58 parce que je voyais plus clair donc on m'a dit de m'arrêter de faire du vélo tout seul.
21:02 C'est une maladie évolutive dégénératrice et c'est de la rétinopathie pigmentaire.
21:08 Il manque des morceaux, il manque des pièces dans les yeux.
21:10 D'ailleurs, je n'ai même pas besoin de lunettes, ça ne sert à rien, c'est non-corrigible.
21:14 Et bien si vous voulez, un jour mon copain qui est sur les photos là,
21:18 avec un jour une téléphone, il me dit "en disport, en France, ils ont supprimé les tandems mixtes
21:24 et lui il courait avec une fille de sa détienne aussi".
21:27 Il me dit "donc je ne peux plus courir, ça te dirait de faire des courses ?"
21:29 Je lui dis "moi je suis un compétiteur, bien sûr, je suis d'accord".
21:32 Donc on a commencé à s'entraîner un peu plus sérieusement
21:36 et puis un jour on s'est inscrits au championnat.
21:38 On a commencé à faire les courses, celle de Rochette il n'y a pas longtemps.
21:41 Au championnat de France, j'ai participé à 15.
21:45 Les 4 premières années, on a fait 3e.
21:49 Les 4 autres années, on a fait 2e. 8 champions de France.
21:53 Et les 7 autres années suivantes, on a gagné. 7 fois champion de France dans la foulée.
21:57 Je m'entraîne avec Eric Marchand, qui habite à Montbrison,
22:00 qui est un coureur qui court en 3e catégorie.
22:03 Cette année, j'ai réussi à le convaincre d'aller faire championnat de France à Angers.
22:07 J'en fais tellement le temps que j'en fais avec Pierre qu'on ne se parle même plus pour partir.
22:11 Il y en a qui disent "allez hop, hop, on y va".
22:13 Moi, on se fait au stack et hop, on part. On ne se parle même pas.
22:17 Après, quand on pédale, on sent que c'est lui qui change les vitesses.
22:21 On se connaît bien. Même avec Eric Fauci, on commence à bien se connaître maintenant.
22:25 Mon meilleur, un des très bons moments de ma modeste carrière de cycliste, c'est quand j'ai fait Paris-Roubaix.
22:30 Le vrai, Paris-Roubaix, 273 km en cyclo quand même. Il n'y a pas de chrono.
22:38 On part le matin avant 7h et il faut arriver le soir avant 18h.
22:44 Il y en a qui me disent "ce que tu fais, on t'admire".
22:47 Je me dis "c'est incroyable, tout ce que tu fais, c'est incroyable".
22:54 Chapeau ! Bravo ! Ça roule fort, le vent.
22:58 Là, ça va devenir dur.
23:01 C'est peut-être le challenge. Regarde Teddy Rayner ce week-end.
23:04 Il a été 7 fois champion de France avec une personne qui, du coup, maintenant court avec quelqu'un de plus jeune, normal.
23:12 Et donc là, ça va devenir compliqué. Il a dit qu'il allait sûrement raccrocher.
23:17 - Quel âge ? - 64 ans.
23:20 C'est beau. Moi, je suis admiratif.
23:23 Ça aurait été intéressant, mais pourquoi pas, une entreprise, de rencontrer le pilote justement.
23:27 Et pour lui aussi ses sensations. J'imagine qu'il faut que lui fasse confiance à son pilote,
23:32 mais il faut aussi que le pilote fasse confiance au passager.
23:36 - Arriver à cette étape-là, il ne se parle même plus. - Il disait que ça ne se parlait même plus.
23:40 C'est automatique.
23:42 C'est pour ça qu'ils n'aiment pas changer de partenaire.
23:44 - Qui aime changer de partenaire ? - Toi, David !
23:47 Ne m'amène pas là-dessus.
23:50 Thierry, un petit mot là-dessus, sur le tandem ?
23:56 C'est extraordinaire, parce que c'est des gros moments de partage, je pense, pour eux.
24:00 - Là, effectivement, on est sur du bon partage. - Et surtout quand il y a Victor Hugo.
24:04 Dans toutes les circonstances, je pense qu'il faut vraiment être cohérent l'un avec l'autre,
24:11 et ça, c'est génial.
24:13 Moi, c'est ce côté confiance qui me fascine, la confiance qu'on doit avoir l'un dans l'autre.
24:17 On va partir en solo, en apnée, même si tout à l'heure, vous avez dit que c'est un sport d'équipe.
24:23 Oui.
24:24 Mais c'est un truc qui m'a intéressé, Lillian, quand on avait fait notre petit entretien,
24:27 vous avez dit que c'est quand même un sport de feignants, ce qui convient à Lillian.
24:30 Pourquoi pas le regarder ? Il t'a regardé direct !
24:32 En plus, j'ai repris le sport il y a quatre jours.
24:35 Pourquoi vous m'avez dit que c'était un sport de feignants ?
24:38 C'est un sport de feignants parce qu'en fait, l'objectif, c'est d'être le plus économe possible de son énergie.
24:43 Et ce qui est drôle, c'est que pour être économe, il faut beaucoup bosser.
24:48 Et comment on bosse ? C'est le mental ? C'est ça qu'on vous avait laissé là-dessus.
24:52 C'est quoi ? C'est le mental, c'est l'organisme qui doit s'habituer.
24:55 Parce qu'en réserve, on en a pour cinq minutes.
24:58 Il y a un problème, parce que moi, je n'arrive pas à les faire les cinq minutes.
25:01 Mon record, c'est une trente.
25:03 - Quoi ? - Vous vous doutez.
25:04 Ah, j'ai cru que vous buviez.
25:06 C'est de la technique ?
25:10 Non, au début, en fait, on ne sait pas qu'on est capable.
25:14 Et il faut un petit peu se tester.
25:17 Vous me dites qu'on a notre corps, on en a pour cinq minutes.
25:19 Moi, quand je me mets... On l'a tous fait dans un boudoir.
25:21 Dans les films, quand Bruce Willis tombe dans l'eau, on a tous regardé si on était capable de tenir autant que lui.
25:26 Il faut savoir que dans les films, en fait, ils respirent tous de l'oxygène pur.
25:30 Donc, c'est beaucoup plus facile pour eux.
25:32 Là, comment on peut arriver à se dire à son organisme, c'est quoi ? Il faut l'habituer à cette...
25:37 Il y a une préparation physique pour s'habituer à résister au CO2.
25:41 Et puis, il faut se dire qu'effectivement, on peut.
25:44 Et plus on se détend, plus son organisme est économe.
25:49 On ne se stresse pas.
25:50 Si on se stresse, le cerveau va consommer beaucoup d'oxygène.
25:55 Donc, on tiendra moins longtemps.
25:56 Là, qu'est-ce qu'on... Entraînement à la piscine, à Villeboeuf.
25:59 On connaît les carreaux.
26:01 Comment on s'entraîne tout doucement ?
26:03 Alors, je vous ai vu, j'avais fait un passe-moi-la-sauce.
26:05 Je vous avais vu, déjà, on arrive, on libère un peu son stress, on fait un peu de yoga.
26:10 On fait de la respiration, on fait des étirements, et puis après, on se met à l'eau.
26:16 Et quoi ? Ça passe par des petits exercices, 30 secondes, 1 minute, 1 minute 30, ça change ?
26:21 C'est ludique ou c'est pas ludique ?
26:22 On a plein de jeux et on a plein d'axes de travail.
26:26 Soit on va avoir des exercices qui vont être physiquement un peu intenses, mais avec des apnées courtes.
26:31 Soit on va avoir des exercices qui seront beaucoup plus cools, mais avec des apnées plus longues.
26:35 Le but, c'est...
26:36 Ça représente combien de temps ? Une séance d'entraînement ?
26:39 Une séance où on va à la piscine, c'est quoi ? C'est demi-heure, 45 minutes, 1 heure ?
26:44 Non, là, on a des séances qui font 1h45.
26:46 1h45, mais on ressort capote, non ?
26:48 Ça dépend des séances. Il y a des séances où on ressort très calme.
26:51 Il est content, ouais, ça dépend des séances. Moi, j'en vois...
26:53 Ça apporte quoi dans la vie de tous les jours ?
26:55 Est-ce que, justement, on parlait d'être zen et de contrôler son corps dessous ?
26:59 Est-ce que, du coup, ça nous aide dans la vie de tous les jours, à être comme ça ?
27:02 Est-ce que, nous, animateurs télé, ça peut nous aider un petit peu ?
27:04 Nous, étendre.
27:05 À calmer...
27:06 Alors, il y a des choses qui sont évidentes, c'est que le fait d'apprendre à respirer, ça apporte beaucoup.
27:14 Effectivement, quand on est dans des situations un petit peu tendues, ça nous permet de rester, je dirais, plus calme.
27:22 Comme le yoga, comme plein de sports qui apprennent à prendre sur soi.
27:27 Mais souvent, dans les sports de combat, par exemple, moi qui ai un peu pratiqué, on fait de l'apnée sans le vouloir,
27:31 alors que c'est dans la respiration qu'il faut y aller.
27:34 C'est aussi un peu ma question, en y liant parlé des bénéfices au quotidien dans la vie de tous les jours,
27:38 mais est-ce qu'il n'y a pas justement d'autres sportifs qui viennent d'autres disciplines...
27:41 Pour apprendre à respirer.
27:42 ...qui pourraient venir chercher des qualités, des compétences qu'ils pourraient acquérir, justement, en apnée ?
27:47 Alors si, on a eu notamment un jeune qui voulait préparer le concours d'entrée aux plongeurs des mineurs.
27:54 Et l'apnée, ça lui a permis effectivement de bien se préparer.
28:00 Elle stresse, elle a noyade.
28:03 Autre chose d'ailleurs, prochainement, vous allez rencontrer un apnéiste.
28:07 Oui, la semaine prochaine.
28:09 C'est officiel ?
28:11 C'est plus ou moins officiel.
28:13 Je vais vous donner l'anecdote exacte.
28:15 C'est que je lui ai écrit, et je lui ai dit que je voulais faire son portrait de sportif.
28:19 Et il m'a dit "jusqu'à octobre, j'ai qu'un seul jour de dispo, c'est lundi prochain".
28:24 Et surtout, c'est pas n'importe qui, il est ligérien.
28:27 Il est ligérien et en 2022, il a été champion de France.
28:30 Vous le connaissez ?
28:31 Oui, je l'ai rencontré, oui.
28:32 Vivien.
28:33 C'est Vivian ?
28:34 Vivien.
28:35 Vivien Richard.
28:36 Comme Arnaud Gérald pour la profondeur, c'est rare d'avoir des progressions aussi rapides.
28:44 Il s'est mis rapidement à l'apnée.
28:46 Il venait de quel univers ?
28:48 Je sais pas, mais dans tous les cas, c'est...
28:52 D'où le portrait de sportif la semaine prochaine.
28:55 Parce que ça, on ne le sait pas, ça.
28:56 Là, on s'entraîne dans la piscine, tranquillement,
28:59 mais quand on va voir ces images-là dans la mer, c'est un autre élément, quand même.
29:02 Il y a le froid, il faut brasser, il y a la profondeur.
29:05 C'est pas plus compliqué ?
29:07 Faut que le corps s'habitue à tout, quoi.
29:09 Oui, c'est des techniques qui vont être adaptées,
29:11 mais notre moteur, c'est le plaisir.
29:14 Donc, on fait ça en sécurité et en plaisir.
29:19 Là, on fait une descente en poids constant à l'image.
29:22 En poids constant ?
29:23 En poids variable, pardon.
29:24 Ah oui, ah oui.
29:25 Et c'est que du bonheur qu'on se laisse descendre tranquillement.
29:30 Vous trouvez pas que c'est apaisant, voir ça ?
29:32 C'est un côté apaisant, je suis d'accord, mais derrière la télé, quoi.
29:36 J'imagine quand on est là, est-ce qu'on a pas justement ce stress ?
29:38 Je suis plongeur, et de temps en temps, en plongée,
29:41 parce que ça fait du bruit, c'est beau,
29:43 mais j'évite de respirer, il faut respirer,
29:46 et je pense que peut-être je passerais le cap,
29:48 parce que c'est des plongeurs qui ont le niveau 2, comme moi,
29:51 qui ont envie de dire "stop, j'ai envie d'un peu plus de poésie,
29:54 est-ce qu'on peut faire de l'exploration ?"
29:55 Alors, il y en a pas mal, effectivement, qui viennent de la plongée
29:58 et qui ont envie d'être plus libres, plus proches de la nature.
30:04 Il n'y a pas de panier, en plus, c'est le bonheur.
30:06 Avec un côté un peu sportif, et effectivement,
30:11 on a une population d'anciens plongeurs
30:16 qui sont venus faire du plongée.
30:19 Et donc là, vous partez tous les week-ends, un week-end sur deux ?
30:21 C'est quoi le rythme de départ ?
30:24 Parce que faire de la piscine, ça va 5 minutes.
30:26 Alors, notre pratique, elle est principalement de début mai ou de mi-avril,
30:32 pour les plus téméraires, jusqu'à fin octobre.
30:37 C'est ce qu'on appelle le snorking, c'est ça ?
30:39 Oui.
30:40 Il y avait des animés comme ça dans la mer, les snorkings.
30:42 Non, c'est Kiki, les snorkings.
30:44 Et est-ce qu'on peut rester…
30:47 Est-ce qu'on a l'avantage d'être dans une bouteille ?
30:50 Si t'as une bonne poêle en quai, c'est 45 minutes, 50 minutes.
30:53 Est-ce qu'on peut répéter sans risque ?
30:57 Les descentes.
30:58 Les descentes. Et la pelée surtout.
31:00 À nos niveaux de performance, il n'y a aucun risque.
31:06 Là, par exemple, on voit un athlète…
31:10 Des images à vous.
31:11 Qui s'amuse avec un mérou, enfin, qui s'amuse, qui l'observe.
31:15 Le mérou, lui, il le regarde avec amusement.
31:22 Il n'y a pas de risque, parce que c'est bien encadré.
31:25 On connaît les limites, on va adapter les limites à chacun.
31:29 Et vous savez réagir rapidement ?
31:31 On le sait, en plongée, c'est l'embolie pulmonaire.
31:35 Vous savez réagir à tout ça ?
31:37 Il y a deux risques, c'est quoi ? L'embolie et…
31:39 Pour nous, le plus embêtant, ça va être la noyade.
31:43 Due à une syncope.
31:45 Ah oui, la syncope.
31:46 Mais vu qu'on ne pratique jamais seul,
31:50 les éléments qui vont nous mettre une puce à l'oreille
31:55 vont nous faire agir immédiatement.
31:58 Pour nous, quand il y a un doute,
31:59 on considère qu'il n'y a pas de doute et on intervient.
32:02 Ce qui fait que si on est encadré, le risque est…
32:06 Très faible.
32:07 Très, très faible.
32:08 Ça arrive souvent en plongée, ce genre d'accident ?
32:11 J'entends pas dans les médias, sinon, ce genre de problème.
32:14 Il y a des accidents, effectivement,
32:17 mais qui sont en général bénins
32:21 et qui arrivent…
32:23 Ça peut arriver n'importe quand, en fait.
32:25 Mathieu ?
32:26 J'avais une question par rapport à l'âge.
32:28 On en parlait tout à l'heure,
32:29 c'est une pratique où on pouvait arriver sur le tard.
32:31 T'as un problème avec l'âge ?
32:32 Non, mais c'est quand même un sport à risque,
32:35 où il faut bien se connaître.
32:36 Il n'y a pas de limite d'âge, j'ai bien compris,
32:38 du côté âgé, en vieillesse,
32:41 mais pour les plus jeunes,
32:42 à quel âge on peut commencer la pnée ?
32:44 À partir du moment où on sait nager, on peut commencer.
32:47 Ah d'accord.
32:48 Mais on va être…
32:49 Parce que la plongée, je crois que c'est 14 ans ?
32:51 Non, c'est 8 ans.
32:53 8 ans, oh bah…
32:55 Honte à toi.
32:56 Honte à moi.
32:57 L'apnée, il n'y a pas de limite d'âge minimum,
33:01 mais par contre, on va avoir des contraintes
33:03 de température d'eau, de profondeur.
33:06 Il faut quand même une certaine maturité chez l'enfant
33:10 pour vouloir déjà faire de la pnée, j'imagine.
33:13 Non, les enfants s'adaptent à tout.
33:15 Pour gérer tout ce qui est à gérer en apnée, justement.
33:18 Alors c'est du jeu.
33:19 Un gamin, il ne va pas faire de la pnée, il va jouer.
33:21 Oui, j'entends, mais du coup, plutôt en piscine…
33:23 T'as entendu, toi, le maître ?
33:24 D'accord.
33:25 Oui, ça passe par le jeu, pas la grandesse.
33:26 J'ai entendu, mais on ne va pas commencer un cycle apnée
33:28 là avec mes cycles 3, tu vois.
33:30 Non, mais les profondeurs seront très limitées,
33:34 et donc il y a une commission médicale
33:37 à la Fédération française d'études de sport sous-marins
33:40 qui a défini des limites
33:42 pour qu'il n'y ait pas de soucis
33:45 et que ça soit pour les enfants, que ce soit un jeu.
33:47 Thierry, le mot de la fin, parce que ça file, ça file hoche.
33:50 L'apnée, c'est bien pour quoi ?
33:52 Pour se faire plaisir.
33:54 Pour découvrir la nature, pour être proche de l'environnement marin.
33:58 Et des petits carreaux de ville-boeuf.
34:00 Voilà, ce qui sont beaux.
34:02 Si on parle de sport, l'excellence dans le sport, pour vous,
34:05 un métier pour l'excellence du sport ?
34:07 Un métier pour l'excellence du sport ?
34:09 Pour vous, un métier qui représente vraiment le sport ?
34:11 Ah c'est marrant, un speaker.
34:13 Ouais, un speaker.
34:15 Un mec qui gère une sono.
34:17 Voilà, d'accord, super.
34:18 Et les pompiers peut-être ?
34:19 Peut-être les pompiers, vous m'aidez pas du tout.
34:21 On en a parlé avec de notre groupe aussi.
34:23 C'était le challenge des pompiers qui était du côté de Feur.
34:27 Et on va voir les illustrations, c'était ce week-end,
34:31 montée de cordes.
34:32 100 mètres, 1000 mètres.
34:34 Et je sais, parce que je sais pas mal des choses,
34:37 que Mathieu Voldoard, vous êtes pompier volontaire,
34:40 vous êtes passé à ça !
34:41 De partir aux sélections à Guadeloupe.
34:43 Non pas aux sélections, à la finale d'ailleurs.
34:44 Non, la finale du championnat de France, c'était il y a quelques années,
34:46 la finale régionale au Verneur Nal pétait à Annecy,
34:49 j'ai fait deuxième du 100 mètres.
34:51 Et il prenait que les premiers je crois.
34:52 Et il prenait que les premiers.
34:53 Ah ouais, parce que c'était à Guadeloupe je crois, c'était pour ça d'ailleurs.
34:54 Et quand on casse avec mon partenaire qui était le Savoyard,
34:58 quand on casse, on sait pas qui a gagné.
35:00 Et les juges l'ont défini vainqueur.
35:02 Est-ce que c'était pas, c'était Annecy, je saurais jamais.
35:04 Non, pas de polémique, mais ouais j'ai raté la finale du France pour un rien.
35:08 Et les finales auront lieu dans la Loire fin juin, début juillet,
35:14 et on recevra je pense le 15, dans un mois, les pompiers pour nous parler de cette finale.
35:21 C'est du vrai sport, c'est des vrais athlètes.
35:24 Toi tu faisais pas du dévidoir toi, toi du bois.
35:25 Non moi je faisais le 100 mètres, mais une année sur une finale inter-régionale,
35:29 on a l'athlète du Rhone qui nous sort un 10,70.
35:33 C'est celui que je sais plus.
35:34 Un 10,70, on voit qu'il faut que le sponsor soit à l'arrière du short, sinon on voit pas.
35:39 Exactement.
35:40 On sera en direct d'Orec, où Damien Sidoux va se lancer sur, on me dit, sur le bateau de l'avion.
35:51 Mais avant, vous vous êtes excité, vous me dites "mais Julien, tu te rends pas compte,
35:55 la Loire qui a accueilli les championnats de France de cross-country, Thierry tu te rends compte ?
36:00 Ou pas ? Non.
36:01 Non je sens que non.
36:03 C'est incroyable.
36:05 Il y a des territoires en France qui tous les ans accueillent une épreuve du championnat de France,
36:09 que ce soit de cross-country, il y a 5 épreuves par an en cross-country, 5 épreuves en enduro.
36:14 Le motocross c'est encore autre chose, parce qu'il y a vraiment des circuits, on peut pas aller ailleurs.
36:18 Le cross-country, la particularité c'est qu'on crée un circuit éphémère de 9 ou 10 kilomètres
36:23 qui ne sert que le temps d'un week-end, donc c'est compliqué pour les motoclubs.
36:28 Il y a des endroits très connus en France où on y va régulièrement, Rion, Esse-Montagne, dans le Cantal,
36:32 et soit du côté de l'Aube, on va également généralement à Rennes-les-Bains dans l'Aude,
36:37 mais cette année, Husson Forest, là c'est vraiment Husson Forest,
36:41 accueillait une épreuve de ce championnat de France, la troisième épreuve du France,
36:47 la quatrième a eu lieu ce week-end, nous étions en Bourgogne du côté de Migé.
36:51 - C'est vous ? - Non.
36:53 - Ah oui, il s'est inclut dedans. - Ah d'accord.
36:55 - Alain Delon y était. - J'y étais, c'est une discipline que je connais un peu,
36:59 j'ai la chance d'être speaker du championnat de France sur toutes les épreuves.
37:02 Là à Husson, c'était la troisième épreuve les 15 et 16 avril,
37:05 et chaque épreuve a un peu ses spécificités sur la largeur du terrain, sur la qualité de la terre.
37:11 On a demandé au président du motoclub hussonnais, Christian Pagès,
37:14 quelle était la spécificité de cette épreuve concernant le terrain à Husson Forest.
37:19 Le parcours, il est typé enduro, parce que c'est l'esprit du motoclub,
37:25 donc une grosse partie spéciale, des chemins, du sous-bois, une carrière,
37:31 un pierrier, des sauts, des troncs, un trou.
37:37 Le parcours fait 8,3 km.
37:46 8,3 km pour le parcours du son Forest.
37:51 Sa particularité, c'était qu'il y avait pas mal de singles,
37:54 donc c'était compliqué pour les meilleurs de doubler les retardataires.
37:57 Parce que sur le circuit, il y a quand même beaucoup de monde.
38:00 Le samedi, c'est place aux enfants, les kids, ils étaient 53 engagés.
38:04 Et le dimanche, chez les motos, il y avait 228 engagés en catégorie moto.
38:09 Ça veut dire que sur les 8,3 km, il y a 228 pilotes.
38:12 - On en parle ou pas ? - Des pilotes.
38:16 - De la météo ? - De la météo.
38:18 Si tu veux, Julien, j'étais content qu'il y ait une épreuve dans le Forest.
38:21 J'avais beaucoup parlé de notre territoire en disant à toute cette famille du cross-country
38:25 qui vient de tous les coins d'Avance.
38:27 - C'est beau, c'est ensoleillé. - C'est beau, vous allez voir, c'est extraordinaire.
38:30 Et j'avoue que le samedi après-midi à 15h, quand la neige tombait à l'horizontale,
38:33 c'était un petit peu compliqué de vendre notre territoire.
38:36 - On appelle ça des "j'ai boulé". - Par contre, les pilotes, eux,
38:39 se sont tout simplement régalés. Ils ont reconnu le travail du moto-club Hussonnet
38:43 qui avait fait un travail d'exception parce que malgré cette météo,
38:46 la neige, la pluie, le froid, l'épreuve a pu se tenir dans son intégralité.
38:50 Les bénévoles ont réussi, parfois, en changeant un petit peu le parcours
38:54 pour que tout se passe bien, ils ont réussi à s'adapter.
38:57 Et on a eu une magnifique course qui, en plus, a vu un nouveau vainqueur
39:01 sur le cross-country. C'est un Basque qui est venu s'imposer à Husson-Forest.
39:06 Le pilote atomique moto Husqvarna, Anthony Gesselin,
39:10 il y avait l'absence, malheureusement, d'Hugo Blanjoux,
39:13 un pilote qu'on avait accueilli ici, qui était blessé,
39:15 le double champion de France en titre. - Il s'est bas ?
39:17 - Il s'est bas, il a repris la compétition la semaine dernière
39:20 du côté du Mondial en Espagne. Physiquement, tout va bien.
39:23 Malheureusement, il a raté l'épreuve du son.
39:25 Et quand nous étions à Husson, nous avons les impressions d'Anthony Gesselin
39:29 qui, pour la petite histoire, a doublé la mise hier et est donc double vainqueur
39:32 d'étape cette année sur le cross-country.
39:35 - C'est vraiment très très très compliqué.
39:38 C'est le bout d'avoir tombé dans le pire lieu,
39:42 qui était un peu le seul judo-té, il ne fallait pas se mettre dedans.
39:46 Moi, je me suis mis dedans trois fois quand même dans la course.
39:49 Et une fois, je suis tombé avec un retardé.
39:51 Donc, pas une course facile. Content de gagner, content de marquer des gros points.
39:56 Et félicitations au club, à tous les bénévoles qui ont voté pour cette course.
40:00 On va voir Antoine et Max avec qui on s'est livré une belle bagarre.
40:03 - Et un grand merci à mon team, à Tommy Guanto et à Skelorna qui ont fait un super boulot.
40:09 Ils sont là, ils sont dynamiques, ils sont prêts pour gagner.
40:14 On fixe les objectifs avant les courses et quand on dit qu'il faut gagner,
40:17 ils sont là derrière. Donc, vraiment, mille merci à eux.
40:20 Je ne serais pas là sans eux.
40:23 - C'était à chaud là.
40:24 - Ça, c'était vraiment à l'arrivée.
40:26 Merci à Mathieu de Radio Padoc pour les images de cette interview.
40:30 - On regarde un peu le podium aussi.
40:31 - Et forcément, il y avait des Nigériens.
40:32 - Ah ouais.
40:33 - Le samedi, en KID, il y avait Esteban Robin, champion de France, moins de 13 ans, en titre,
40:38 qui a remporté l'épreuve du son et qui est en tête au championnat cette saison, une nouvelle fois.
40:42 Il va doubler la mise, très certainement.
40:43 - On va voir les podiums.
40:44 - C'est la cassette suivante, Seb.
40:46 - Alors là, c'est bien Esteban qu'on a à l'écran, chez les jeunes, en moins de 13 ans, en tête du championnat.
40:51 Et chez les grands, on a Julien Plané que l'on voit à l'écran, en espoir qu'il a terminé 3e.
40:56 On a Théo Berger qui, lui, chez les Nationaux 1, a remporté l'épreuve.
40:59 Le pilote du motoclub Sacham Blou et son papa, Jean-Marie, qui lui a remporté l'épreuve en super vétéran.
41:04 Eux, ils ne jouent pas le championnat, ils étaient venus que pour la pige à Husson-Forest.
41:08 Et côté résultat, les deux pilotes hussonnais qui ont fait les meilleurs résultats,
41:11 c'est les deux frères levés, Maxime, en National 1, qui a terminé 4e,
41:15 et son frère, Alexandre, qui a terminé 4e également, en National 3.
41:19 Moi, je voudrais dire un grand bravo au motoclub hussonnais.
41:22 Merci à eux d'amener des épreuves de cette envergure dans la Loire.
41:26 Le public a répondu présent. Monsieur le maire d'Husson-Forest avait annoncé 3000 personnes.
41:30 On ne va pas se mentir, je crois qu'il a un petit peu coinché.
41:33 Mais n'empêche qu'il y avait du monde.
41:35 Ça crie dans mon oreillette, ça me dit "je me gèle, dépêchez-vous, dépêchez-vous".
41:40 On pense un peu à Damien.
41:41 Oui, mais on avait quand même eu froid à Husson.
41:43 Oui, voilà, j'aurais pu froid, mais je pense que là, pour l'heure, Damien, il n'en peut plus.
41:46 Damien, c'est à vous.
41:47 Ça ne pagaie ?
41:48 Ça ne pagaie ou pas ?
41:49 Et oui, du coup, le fait de se mettre un peu en arrière...
41:54 Ça permet de finir le coup et de sortir sa pelle.
41:57 Oui, parce que ça me gênait tout à l'heure.
41:59 Et là, c'est un peu mieux.
42:02 Et donc, tu m'expliquais tout à l'heure quand même qu'il y avait une question de synchronisation pour gagner en efficacité.
42:08 Exactement, parce que sinon, le mec, il a commencé à monter.
42:12 Quand les rameurs ne rament pas ensemble, ça freine le bateau.
42:15 Et finalement, on peut arrêter le bateau si on ne rame pas ensemble et pas synchroniser.
42:22 D'accord.
42:23 Donc, il y a de la technique individuelle et beaucoup de synchronisation.
42:26 Et plus les bateaux sont longs, plus il y a de rameurs sur le bateau, plus c'est vrai.
42:30 D'accord.
42:31 Donc, quand on est tout seul, surtout, c'est la technique individuelle.
42:34 Quand on passe à deux, ça devient important de ramer ensemble.
42:37 Et donc, quand on est huit, c'est l'enfer en fait.
42:39 Et quand on est huit, on travaille énormément à la synchronisation.
42:42 Et en fait, concrètement, ça veut dire qu'on fait exactement les mêmes gestes au même moment.
42:47 Et surtout, la tombée de pelle au même moment.
42:50 On entend un seul, une seule entrée d'eau.
42:53 C'est les huit pelles ou sept pelles, ça dépend de la taille du bateau, qui tombent exactement au même temps.
42:59 Bon, donc du coup, vous l'avez compris.
43:01 Il ne reste plus qu'à se mettre synchro pour rentrer.
43:04 Vous l'avez vu.
43:05 Bon, moi, je vous fais des bisous.
43:07 J'espère que ça vous aura plu.
43:08 À très vite pour une nouvelle démo.
43:09 Ciao, ciao !
43:10 L'interview la plus courte.
43:12 Nous, je pense qu'on pourrait être barreurs.
43:15 Tu sais, celui qui crie.
43:16 Moi, ça me mérite un seul.
43:17 C'est beau quand tu les vois sur les mormées.
43:19 C'est magnifique.
43:20 J'adore ça.
43:21 La course Oxford-Cambridge.
43:22 Oui, oui, il faudrait y aller.
43:24 Mais déjà, dans la Loire...
43:25 D'habitude, il fait quand même plus de deux minutes de démo.
43:27 Il a fallu même couper la dernière fois.
43:29 Bon allez, vous avez compris, hein, du travers synchro.
43:31 C'était bien.
43:32 Vous avez vu, c'est sportif.
43:33 On a fini, nous aussi.
43:34 On n'est pas en apnée.
43:36 Non, heureusement.
43:37 42 minutes, ça ferait juste.
43:39 On peut y arriver.
43:40 Est-ce que vous reviendrez sur le plateau ?
43:42 Avec plaisir.
43:43 Avec du club.
43:44 Non, mais c'est très, très sympa.
43:45 Ah, sympa.
43:46 C'est l'âge du club ?
43:47 Non, 60 ans.
43:48 60 ans, j'en ai mis 5 de trop.
43:50 L'année prochaine, on va fêter ça.
43:52 Eh ben, vous nous inviterez ?
43:53 Il y aura quoi ?
43:54 Une palme ?
43:55 Un gâteau ?
43:56 On ne sait pas encore.
43:57 Vous embrassez le président ?
43:59 On a un comité d'organisation, donc on va faire un truc...
44:01 Sympa.
44:02 Bon, mais écoutez, vous revenez quand vous voulez, vous nous envoyez des images.
44:05 Vous regarderez l'émission la semaine prochaine ?
44:07 Oui.
44:08 Mais on peut aussi la retrouver en replay, je crois.
44:10 Exactement, en replay.
44:11 On est présents sur toutes les boxes et on vous embrasse 44 minutes.
44:13 Et t'es bavard aussi.
44:14 C'est moi sûrement, oui.
44:15 C'est toi.
44:16 C'est que j'aime parler moto.
44:17 À la semaine prochaine, ciao.
44:18 Bye bye.
44:19 Ciao.
44:20 Ciao.
44:21 Ciao.
44:22 Ciao.
44:23 Ciao.
44:24 Ciao.
44:25 Ciao.
44:25 Ciao.
44:26 Ciao.
44:27 Ciao.
44:28 Ciao.
44:29 Ciao.
44:30 Ciao.
44:31 Ciao.
44:31 Ciao.
44:32 Ciao.
44:33 Ciao.
44:34 Ciao.
44:34 *Musique d'outro*

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