• il y a 7 mois
Running - Déguisements, musique, animations et dégustations sur le parcours Sportifs, non sportifs, pour la perf ou pour la fête : tout le monde a ses raisons d'accrocher un dossard lors du Marathon de la Bière !10km, Semi ou Marathon : 3 distances pour un événement accessible à toutes et tous. Sans oublier, le salon du made in Loire, sa marche gourmande et ses deux soirées incroyables.

Invité - Gilles Guichard, l'amour du trail et du partage
Gilles Guichard, 63 ans, est une figure du trail, débutant sa carrière sportive en cyclisme. Toujours passionné, il continue de courir pour son plaisir tout en participant à des compétitions. Son parcours, marqué par des années de compétition de haut niveau et son engagement familial et professionnel, en font une référence dans le milieu.

Portrait de sportif - Théophile Naël, la formule 1 en pôle position
Théophile Naël est un stéphanois passionné depuis tout petit par les sports mécaniques et la grande vitesse.
Il a fait ses armes en karting en cumulant de très bons résultats puis il intègre, grâce à SaintéLoc, la formule 4 puis la formule 3.
Rencontre avec un jeune sportif qui grimpe les échelons, étape par étape, pour atteindre un jour peut-être la Formule 1.

Basket - Les clubs de Saint-Chamond et d'Andrézieux-Bouthéon, formant le SCABB
David Despinasse devient actionnaire majoritaire du club de Saint-Chamond, apportant 1,2 million d'euros. Associé à son frère Laurent, ils sont tous deux à la tête de l'entreprise Despi. Cette acquisition marque l'union des clubs de Saint-Chamond et d'Andrézieux-Bouthéon, formant le SCABB, avec des équipes en Pro B et en Nationale 1 masculine.

Danse - Flamenco Planta Tacón
La seule école de danse de Flamenco de la Loire, Tres golpeS, propose des cours de danse flamenca à St Etienne (42) et Chadrac (43) tout au long de l'année, pour hommes, femmes et enfants.

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00:00 [Musique]
00:17 Bonsoir à toutes et à tous, ravis de vous retrouver sur le plateau Sport 747.
00:21 Vous savez, c'est 42 minutes d'actualité sportive de votre département.
00:25 Il y a un petit coquin qui m'a caché les fiches, mais c'est pas grave parce que je connais mon émissaire par cœur.
00:32 Au programme, je vous demanderai de faire un tonnerre d'applaudissements pour notre invité, Gilles Guichard.
00:36 Avec vous, on va parler de quoi, Gilles Guichard ? Vous êtes connu comme le loup blanc dans la course.
00:41 Eh bien, on va parler de travail et d'entraînement.
00:44 Et de partage.
00:45 Et de partage surtout parce que dans le sport, pour moi, c'est une des choses qui compte le plus.
00:50 Exactement, vous le connaissez, le gars à côté de vous, Céphine Idemir, notre chroniqueur de basket.
00:55 Grosse actualité basket en ce moment.
00:57 Grosse actualité basket, on va parler du SCAB, Saint-Charmont, André Zubouté en basket.
01:03 On va parler aussi un peu de la chorale de Rouen, mais il y a des excuses ce soir.
01:06 Grosse actualité. En face de vous, le portrait sportif de la semaine.
01:10 Bonsoir, bonsoir à tous.
01:11 Ça sent le pneu chez vous.
01:12 Ah, ça sent un peu le pneu, effectivement. Cette semaine, je vais vous présenter Théophile Nael.
01:16 Ça fait un moment qu'on voulait avoir son portrait. On a eu la chance de l'avoir entre deux saisons.
01:21 On va parler F3, Formule 3, avec ce jeune qui a commencé en karting et qu'on va découvrir.
01:26 À seulement 16 ans.
01:27 À seulement 16 ans.
01:28 Il n'a pas 16 ans, il a 1, 2, 3, 4.
01:32 T'as pas 4, quand même.
01:34 On peut la peut dire. Ludo Ixidrone, spécialiste, avec vous.
01:38 Bonjour à tous, bonjour. Julien, on va parler du week-tri, mais cette semaine, on va parler du marathon.
01:42 Marathon de la bière, donc un marathon de la bière, mais également fête et tout ce qui va avec.
01:46 Deuxième édition.
01:47 Deuxième édition, une première édition qui a cartonné.
01:49 Aujourd'hui, on a un des organisateurs, Guillaume Bailly, qui sera avec nous sur le plateau pour nous parler de tout ça.
01:54 C'est un teaser, on peut pas...
01:55 C'est un teaser, mais non, mais il a commencé sa chronique, ça y est.
01:57 Dès qu'il est lancé, on l'arrête plus.
01:58 Elle est là, celle qui fait danser toute la Loire. Elle est magnifique, elle attend.
02:02 C'est presque sa langue natale, c'est Katharina Weiss. Elle va nous présenter quoi cette semaine ?
02:07 Bonjour à tous, aujourd'hui, on va découvrir le flamenco à la station 13 Golpes. Allez !
02:12 Ouais, voilà ! On parlera de coccinelle dans quelques instants.
02:17 Et Gilles Guichard, moi j'aime bien cette partie d'émission, on n'en fait pas souvent, mais je l'appelle un petit retour dans le rétroviseur.
02:24 Eh oui, Gilles Guichard, vous êtes connu dans le milieu du travail, mais il faut parler à ceux qui vous connaissent pas.
02:29 Déjà, on va faire votre genèse à vous. Vous êtes issu de la Petite Reine.
02:34 Oui, c'est ça.
02:35 Un amoureux de la Petite Reine, mais pendant un moment, parce qu'on va voir des photos.
02:38 Excusez-moi, c'est mon époque, même celle des films, il y a un an et 4 ans.
02:42 Oui, j'ai fait une vingtaine d'années en compétition.
02:44 Mais c'est l'époque de tous les dangers, sans casque.
02:47 Oui, avec le casque, c'était le casque kaboudin à l'époque.
02:51 Le casque reboué.
02:52 Ah ouais, et ça, ça protégeait bien, ça, Gilles ?
02:54 Ça, c'était le Tour d'Italie amateur en 1982.
02:58 Avec l'équipe de France.
02:59 Avec l'équipe de France, oui.
03:01 Il a été même en Colombie.
03:03 Oui, je suis allé en Colombie l'année d'après, faire le Tour de Colombie.
03:07 Et là, oui, j'avais couru avec les professionnels, avec l'équipe qui était descendue faire le Tour de France après l'année 83.
03:17 Vous avez vu, derrière vous, il y a la meilleure grimpeuse.
03:19 Vous étiez un grimpeur, un sprinteur, vous étiez quoi ?
03:21 J'étais surtout un grimpeur.
03:23 Ah bah, le maillot à petits poids derrière, ça vous voit très bien.
03:25 Voilà.
03:26 Exactement.
03:27 Et comment on en vient ? Parce que moi, je vous connais personnellement du travail de la course à pied, on va dire.
03:32 Sans tiser.
03:34 Quand est-ce qu'on se met à la course à pied ?
03:36 La course à pied, j'en ai toujours fait plus ou moins en faisant du vélo, mais je dirais plutôt moins que plus.
03:45 C'était complémentaire, le vélo et la course à pied ?
03:49 Alors à l'époque, on disait non.
03:50 À l'époque, pas du tout.
03:52 Non, pas du tout.
03:53 On faisait de la course à pied seulement l'hiver.
03:55 Et maintenant, on s'est rendu compte que c'était, d'ailleurs, les triathlètes nous ont fait un très bel exemple,
04:00 que c'était deux sports qui pouvaient être complémentaires.
04:03 Alors ce qui est très drôle, messieurs, c'est que sa première expérience sur un semi, c'était catastrophique.
04:08 Elle n'est plus jamais "je remettrai les baskets".
04:10 Ça n'a pas été catastrophique au niveau chrono, parce que je m'étais fixé 1h15, j'avais réalisé 1h1446,
04:17 mais seulement j'étais parti comme un cycliste, c'est-à-dire que j'étais parti dans les roues.
04:21 Comme un galabreux quand on est chez nous.
04:23 Un peu, j'ai mal géré mon effort, et puis à partir de la mi-course, j'ai fait que reculer, que reculer.
04:28 J'ai atteint mon objectif, j'ai fait 15 secondes de moins que ce que je m'étais fixé,
04:33 mais je me suis dit, plus jamais la course à pied en compétition, c'est trop difficile.
04:37 - Et alors, qu'est-ce qui a fait que... ?
04:39 - Après, il y a un copain, enfin, qui est devenu un ami très proche, qui est devenu mon petit frère, on va dire, par la suite,
04:48 qui m'a proposé de faire la Saint-Élion en équipe.
04:52 J'ai dit, écoute, je ne peux pas te répondre tout de suite parce qu'il faut que je digère un peu de...
04:58 - Saint-Élion en quoi ? En solo ou en équipe ?
05:00 - En équipe. - De l'équipe, oui, c'est mieux.
05:02 - Voilà. Et à la suite...
05:05 - Ce n'est pas la plus simple non plus, la Saint-Élion, il ne faut pas croire non plus.
05:08 - Non, mais en équipe, c'est cool, ce n'est pas...
05:11 - On n'a pas vécu pareil. - Oui, c'est cool.
05:14 - Ça dépend pour qui.
05:17 - Et du coup, je lui ai dit, oui, écoute, je vais partir avec vous pour ce défi.
05:23 - On va avoir quelques images de vous, justement, à la Saint-Élion.
05:26 Elle est ici, vous m'avez dit que c'est l'une de mes plus belles victoires.
05:29 Alors, ce n'est pas votre cours de poterie, ce n'est pas ce qu'on croit, ce n'est pas non plus un bras zéro.
05:33 Qu'est-ce que c'est ?
05:35 - C'est le trophée des Templiers, c'est-à-dire...
05:38 - Expliquez, pour les personnes qui font du flamenco, elles ne savent pas trop ce que c'est.
05:42 - Le Templier, ça reste la course référence en France.
05:47 Et j'ai eu le plaisir de la gagner en 2006.
05:52 - C'est une course qui se passe juste avant la Saint-Élion, c'est fin d'année, fin de saison ?
05:56 - Elle se passe avant la Saint-Élion, oui.
05:58 Ça clôture un peu la fin de saison dans le monde du trail.
06:02 C'est un peu la Mecque du trail, on va dire.
06:04 Et du coup, elle se passe le dernier week-end d'octobre.
06:08 - Mais c'est vrai que moi, j'ai encore l'image de ton arrivée, quoi.
06:11 Avec ton maillot rouge, tes chaussures Salomon-montante un peu rouges.
06:14 - Ouais.
06:15 - C'était... J'ai l'impression que c'était hier, quoi.
06:17 C'était il y a 20 ans, quoi, pratiquement.
06:18 - Il y a 18 ans, ouais.
06:20 - C'était une...
06:21 - Alors, il est un peu perdu, Seb.
06:22 Et il cherche l'illustration, ça s'appelle "Les Templiers", "Victoire des Templiers", on va le voir.
06:26 Il me dit "Mais c'est quoi ?" En fait, il ne court pas bien, Seb.
06:29 Ce n'est pas son truc.
06:30 - Elle est là.
06:31 - Mais elle est là, voilà, c'est vos plus belles victoires.
06:32 Est-ce qu'on enchaîne tout de suite après la Saint-Élion derrière ou pas, cette année ?
06:36 - La Saint-Élion, je l'avais gagnée en 2004, avant de gagner "Les Templiers".
06:40 - C'est ça. Mais moi, ma question, c'est ce que vous avez fait à Saint-Élion au moins en 2006.
06:43 - Par la suite, j'ai refait la Saint-Élion après "Les Templiers",
06:46 mais je m'étais aperçu quand même qu'on laisse beaucoup d'énergie en préparant "Les Templiers".
06:51 - C'est-à-dire que, maintenant, ça doit être super dur.
06:53 - Oui, c'est très dur.
06:54 Et puis, surtout, il faut récupérer...
06:55 - Attendez, oui, parce qu'on a oublié de dire...
06:57 Excusez-moi de dire ça, ça se dit...
06:58 On ne peut pas le dire aux femmes, mais aux hommes, on peut.
07:00 Vous aviez quel âge ?
07:02 - Quand j'ai gagné la Saint-Élion, j'avais 43 ans.
07:09 Et quand j'ai gagné "Les Templiers", j'en avais 46.
07:12 - 46, normal, on gagne les Templiers à 46.
07:14 - Tu vois, il me fait une dite énorme.
07:15 - C'est là ! Attends, attends, attends.
07:16 Ce qui est incroyable, c'est qu'à 46 ans, on fait "Les Templiers", on gagne,
07:21 et derrière, on fait la Saint-Élion.
07:23 - Non, l'inverse.
07:24 - Avant, j'avais gagné la Saint-Élion en 2004,
07:27 mais je l'ai refait par la suite, mais j'avais trop dur.
07:30 - Au plus haut niveau, Effendi, vous m'arrêtez, si je me trompe dans les dates,
07:33 2007-2013, une marque que vous adorez, Adidas, c'est ça ?
07:37 - C'est ça.
07:38 - ASIC Salomon, comme ça, je n'ai pas de problème avec le CSA.
07:40 Au plus haut niveau, voire même, ça vous a ouvert les portes de l'équipe,
07:43 enfin, les bonnes portes de l'équipe de France, quand même.
07:46 On va voir les images.
07:47 - Oui, après, j'ai eu la chance aussi d'intégrer le Team France.
07:51 - C'est énorme.
07:52 - Pour deux saisons, en tant qu'athlète.
07:53 - En trail.
07:54 - En trail, oui.
07:55 J'ai eu la chance aussi de participer au premier championnat du monde.
07:59 - Vous étiez le tonton du groupe ?
08:01 - Pardon ?
08:02 - Vous étiez le tonton du groupe ?
08:03 - J'étais le grand frère.
08:04 - Le grand frère, c'est mieux.
08:06 - Pourquoi le trail ? Jamais en route ?
08:09 - Parce que j'ai été rapidement conquis par l'aspect du trail.
08:14 Je suis quelqu'un qui aime être dans la nature.
08:18 J'avais commencé la course à pied en voulant être marathonien.
08:21 Je me suis essayé au marathon.
08:23 J'avais eu des satisfactions dans ma première approche du marathon.
08:27 Mais après, j'ai connu le trail et je me suis rapidement orienté vers le trail.
08:31 - Ce n'est pas le même exercice du tout.
08:32 - Ce n'est pas le même effort.
08:33 Ce n'est même pas la même préparation.
08:35 - Ce n'est pas le même effort.
08:38 - Vous me l'avez dit, je fais du VTT, je fais du trail.
08:40 On peut comprendre, mais vous en avez bouffé du bitume en vélo.
08:44 - Oui, mais...
08:45 - Il en avait marre.
08:46 - Moi, je pense que le trail, ça s'apparente plus à l'effort du vélo.
08:52 Le trail, ça s'apparente plus à une étape de col.
08:56 - D'accord.
08:57 - Mais je pense que vous ne devez pas être nombreux,
09:00 nombreux, je ne sais pas, en France,
09:03 à pouvoir intégrer deux Team France sur deux sports différents.
09:10 Parce que là, vous avez été en Team France en vélo.
09:12 - En vélo.
09:13 - Et vous êtes dans Team France en course.
09:15 - Tu crois que je l'invite pour quoi ?
09:16 - C'est incroyable.
09:17 - Parce qu'il fait des cours de poterie ?
09:18 - Non, non, sérieusement, c'est incroyable.
09:19 - Je pense qu'il y en a eu d'autres, certainement.
09:22 - Pas ma connaissance dans la loi.
09:24 - Dans les digériens, je ne suis pas sûr.
09:25 - Peut-être pas dans les liges.
09:28 - Tu vas voir demain, on va recevoir les mails à cause de toi.
09:30 - J'espère.
09:31 - Mais c'est vrai que c'était surtout marrant avec Gilles, c'est qu'à l'époque...
09:34 - Ah oui, parce que vous y connaissez un peu en running, vous ?
09:36 - On s'y connaît un petit peu,
09:37 mais ça fait quand même...
09:38 Je pense que j'ai connu le début de la carrière de Gilles en course à pied.
09:41 Et c'est vrai que ce qui était marrant au début,
09:42 c'est qu'il y avait beaucoup moins de courses que maintenant.
09:44 Et il y avait souvent une course par week-end.
09:46 Et Gilles était toujours très attentif à être présent sur les courses ligériennes,
09:50 dans les courses nationales, mais il n'en faisait pas énormément.
09:53 Tu faisais quand même, tu faisais Templier, je me rappelle,
09:55 tu faisais vers Gruisson, des courses de partenaires.
09:58 Mais tu étais très, très présent sur le côté local.
10:01 Et vu qu'il y avait souvent, globalement, une course par week-end,
10:04 il n'y en avait pas six comme ce week-end.
10:05 Et on le voyait tous les week-ends.
10:07 - Ah, Ludo n'en peut plus, il fait les six, il est mort.
10:09 - Non, non, mais c'est vrai que...
10:11 Et c'est vrai que voilà, il est resté Gilles Guichard,
10:14 parce que c'est vrai que tu as quand même gagné au niveau régional.
10:17 Tu étais très présent.
10:19 - On est très pressé, effectivement.
10:20 Mais alors, vous avez fait l'équipe de France,
10:23 vous avez rencontré une belle personne, entre autres l'entraîneur,
10:26 qui s'appelle... - Philippe Propage, oui.
10:28 - Et aujourd'hui, vous avez même entraîné l'équipe de France, de Traille.
10:31 - J'ai été son adjoint pendant cinq ans, à peu près.
10:36 - Oui, et en plus, je pense que vous avez une certaine notoriété,
10:39 parce que vous avez fait quoi, une sixième place, une dixième place
10:42 en tant que participant en équipe de France ?
10:44 - J'ai fait neuvième au championnat du monde à Sèche-Choix.
10:47 - C'est pas mal, quand même. - C'est énorme.
10:49 - Exactement. Et aujourd'hui, vous avez encore...
10:51 Alors, on ne va pas vous enterrer, parce que vous courez encore,
10:53 et je pense que je ne vous suis pas à 63 ans et demi.
10:55 Il y a des poussières. - C'est sûr.
10:57 - Et vous êtes entraîneur. Oh, tu te calmes, je ne vais pas te surprendre.
11:00 - Sur un kilomètre. - Sur le départ.
11:02 - Sur le premier kilomètre. - Pour moi, sur le départ.
11:04 Vous êtes entraîneur, et on peut dire que c'est presque votre doublure,
11:08 parce qu'il vient du milieu du vélo. Il s'appelle...
11:11 - Loïc Roland, oui.
11:13 - On va voir des images. Alors, qui est Philippe Roland ?
11:15 - Loïc. - Loïc.
11:16 - Oh, ça va, je ne me perds, moi. - Qui est Loïc ?
11:19 - Loïc, c'est un jeune athlète qui est issu du monde du vélo, aussi.
11:25 Il a 30 ans, cette année.
11:27 Et il est venu, comme moi, à la course à pied,
11:31 après l'arrêt de sa carrière en vélo.
11:33 Il a eu rapidement de bons résultats,
11:36 et il progresse d'année en année.
11:39 - Il n'avait pas de plan d'entraînement, avant ?
11:42 - Il n'avait pas de plan d'entraînement, quand il a commencé la course à pied.
11:45 - C'est son papa qui... - C'est son papa qui m'avait contacté
11:48 au Trair Urban de Saint-Etienne, qu'il avait brillamment remporté.
11:52 Et ça fait trois ans, et depuis, on ne s'est pas lâché.
11:57 Et Loïc, j'ai vraiment la satisfaction et le plaisir de le voir progresser,
12:03 chaque année, c'est un gros moteur.
12:05 - Philippe Gidrol, oui, vous le connaissez ?
12:07 - Oui, Loïc, je le connais, forcément.
12:09 Et nos entraînements, c'est toi qui les fais, par tes acquis, etc.
12:12 Ou tu bosses encore un petit peu avec Philippe ?
12:14 Tu croises avec Philippe un petit peu, ou pas ?
12:16 - Avec Philippe, non. En fait, Philippe, en fait,
12:20 il m'envoie chaque année mon plan d'entraînement.
12:23 - À toi. - À toi, perso, c'est toi.
12:25 - Il m'envoie mon tableau d'entraînement.
12:27 Et on correspond simplement, et je lui mets ce que je fais moi-même.
12:31 Toujours, en fait, c'est symbolique.
12:34 Je pense que Philippe n'a pas envie qu'on se lâche, et moi non plus, d'ailleurs.
12:38 Et du coup, on correspond sur le plan d'entraînement.
12:41 - D'ailleurs, si vous êtes curieux, prochainement...
12:44 - Par rapport aux athlètes, vous vous changez avec Philippe, ou pas ?
12:46 - Non, on parlera très rarement d'entraînement avec Philippe, maintenant.
12:50 - On a fait un super magazine sur vous qu'on mettra prochainement cet été,
12:55 où nos caméras TLC7 étaient présentes lors des entraînements avec l'équipe de France.
13:00 Vous vous souvenez de ce reportage ? - Oui, oui, oui.
13:02 - Exactement. - Oui, oui, oui, je me rappelle.
13:04 - Il faut que le temps tourne. - Exactement.
13:06 Vous aimez la danse, un petit peu ? Parce que je vous avais vu au camping.
13:08 On a fait la danse du camping, en Ardèche, tous les deux.
13:11 - Oui, c'est vrai. - Est-ce que vous aimez la danse ?
13:13 - Surtout le flamenco. - Ah !
13:15 - Exactement, dans quelques instants, elle est là, c'est Kate Arena-Beyes.
13:19 - On se disait... C'est vrai que Ludovic n'a pas un petit calepin en Barbapapa.
13:31 - Non, c'est à moi, exactement. - Barbabulle.
13:33 - Elle est trop beau. - Jolie mont de carnet.
13:35 - Donc, hola señores y señoras. - Ok.
13:38 - Hola señores y señoras. - Mais bien sûr.
13:40 - T'as pas réalisé ton espagnol, toi ? - Alors moi, j'étais très, très...
13:43 Je mettais des "a" et des "u", je crois que c'était ça.
13:45 - Qui est le V2 espagnol, là ? - Non, il était à la portugaise.
13:47 - Ah, le portugais. - C'est l'espagnol qui m'a appris,
13:49 mais moi j'ai pas appris l'espagnol. - Vous parlez une langue étrangère, vous ?
13:52 - Non, j'avais... Ma grand-mère était espagnole. - Ah, bah voilà !
13:57 - J'ai entendu que vous aimez bien le flamenco. - J'aime bien le flamenco aussi.
14:00 - Vous êtes à la bonne émission. - Attends, mais t'as mis Kenji.
14:02 - Kenji. - Exactement, écoutez, Kenji, regardez.
14:04 - En plus, j'ai vu des roulettes qui sont arrivées près du musée d'art moderne.
14:08 - Kenji = flamenco.
14:10 - Alors, Kenji, exactement, il vient de la région Andalouse.
14:13 Et donc, la région Andalouse, c'est le sud de l'Espagne, et c'est là où est né le flamenco.
14:18 Donc, je suis partie à la découverte de cette...
14:20 - En Andalouse ? - Alors, pas en Andalouse.
14:22 - Ah bah, on a du budget, hein. - Pas en Andalouse, mais à Saint-Étienne,
14:25 quartier Côte-Chaude, à l'association Tres Golpes.
14:28 - Exactement, super. - C'est qui l'a investi.
14:30 - C'est ça. Et donc, Tres Golpes, à votre avis, qu'est-ce que ça veut dire ?
14:34 - Tres ? - Trois.
14:36 - Exactement, c'est les trois coups. - Ah, trois coups.
14:38 - Les trois coups, exactement. Et en fait, un golpes, c'est un pas en flamenco.
14:42 Et donc, c'est d'où les trois coups. Voilà, Tres Golpes.
14:45 Et c'est une association qui a été fondée il y a 20 ans.
14:48 - Ah, très bien. - C'est une jeune association.
14:50 - Très jeune, oui. Il y a beaucoup d'écoles de flamenco ?
14:53 - Alors, figurez-vous que c'est la seule dans la Loire.
14:56 - Bravo, Catherine. - Allez-vous.
14:58 - Une indestication, je vous jure. - Exactement.
15:00 - On est très fiers de les accueillir sur TLC.
15:04 Donc, voilà, on pourra regarder le reportage qu'on a fait il y a quelques jours avec Julien.
15:10 * Extrait de « Golpes » de Julien Dupont *
15:14 - Bonjour à tous. Aujourd'hui, on va danser sur le rythme des guitares et des castagnettes.
15:35 Direction Tres Golpes de Saint-Etienne pour découvrir le flamenco.
15:39 Donc, venez avec moi. On va partir dans les rues ensoleillées d'Espagne. C'est parti. Olé !
15:44 Bon, allez, c'est parti. On va aller découvrir ça.
15:48 Comme vous avez pu le voir, je me suis mis en condition. On va voir si c'est les bonnes conditions.
15:51 Sophie, c'est vous, alors, la professeure de flamenco.
15:56 Est-ce que vous pouvez nous en dire un petit peu plus sur cette discipline ?
15:59 D'où ça vient ? Quelles sont ses origines ?
16:03 - Le flamenco, c'est un art qui est au patrimoine de l'humanité depuis 2010.
16:08 Donc, c'est une musique qui a pas mal d'origines différentes.
16:17 - Beaucoup de guitares, de castagnettes, de percussions ?
16:20 - Oui, beaucoup d'accessoires, plein de choses. Et puis, surtout, du partage entre les gens.
16:28 Il y a un flamenco traditionnel.
16:31 - Il y a des flamencos différents en fonction des régions, c'est ça ?
16:33 - Exactement.
16:34 - Donc, les bras, il faut qu'ils soient étirés, sans être tendus, et pas pliés.
16:55 - Venez avec moi, on va aller déranger Corinne.
16:56 Corinne, on t'interrompt deux minutes. Ça fait combien de temps que tu fais du flamenco ?
17:00 - Ça fait 4 ans que je fais du flamenco, donc assez petite.
17:03 - C'est plutôt récent par rapport aux filles qui sont là ?
17:05 - Oui, j'ai découvert ça assez tardivement, mais j'aime beaucoup cette danse.
17:09 Ça exprime beaucoup de sentiments, à la fois la gaieté, mais la tristesse.
17:14 Ça permet d'exprimer plein de sentiments et d'émotions.
17:17 Et puis, c'est aussi très rythmique, et c'est pour ça aussi que ça me plaît énormément.
17:21 Julia, je t'interromps deux minutes.
17:26 - Oui ?
17:27 - T'es d'origine espagnole, c'est ça ?
17:28 - Oui.
17:29 - Et ça fait combien de temps que tu fais du flamenco ?
17:31 - Depuis toute petite, depuis l'âge de 10 ans.
17:34 - Et c'est quoi qui te plaît dans cette danse ?
17:36 - Moi, vu que je suis d'origine espagnole, c'est un peu de famille.
17:40 Ma mère m'a appris depuis toute petite.
17:43 - Et vous dansez ensemble en famille ?
17:44 - Oui.
17:45 - Dans les repas de famille ?
17:46 - Oui, c'est ça.
17:47 - Stres Golpez, la seule association de flamenco dans la Loire.
17:54 Donc n'hésitez plus, venez tester.
17:56 Vos chaussures de flamenco et la spaldas.
17:59 Et laissez libre cours à votre passion espagnole.
18:01 - Je le fais bien ou pas ?
18:04 - Olé !
18:05 - Olé, magnifique !
18:06 - C'est vraiment de la ciruse.
18:07 - Bravo !
18:08 - C'est le président de l'association, tu lui demanderas après.
18:09 - Je ne peux pas faire mieux que toi.
18:10 - Messieurs...
18:11 Je sais que les rotoyes, c'est bien.
18:14 Mais c'est vrai qu'on n'a pas vu de "monsieur", c'est normal ?
18:17 Parce que c'est que une danse féminine ?
18:19 - Alors, pas du tout, non.
18:20 Vous allez voir, Silvio Sapre va incarner l'homme de la situation à la démonstration.
18:25 Mais justement, il y a plusieurs dizaines de styles qu'il y a en flamenco.
18:29 - Dizaines de styles ?
18:30 - Oui, il y a plusieurs dizaines de styles.
18:31 Et les plus connus, on a la solea.
18:33 Là, c'était le flamenco pur, on va dire.
18:35 - D'accord, oui.
18:36 - Là, il y a la solea, la "boleria", qui veut dire la moquerie.
18:38 Et l'alegria, donc la joie.
18:40 - Et pas la sangria.
18:41 - Alors, pas la sangria.
18:42 - C'est après.
18:43 - Toujours pas.
18:44 C'est pendant ou après, comme vous voulez.
18:46 - Pendant.
18:47 - Et donc, à la fin de la démonstration, on aura la sevillane.
18:50 Donc, c'est la danse traditionnelle d'Andalousie qui se danse en couple.
18:55 - En tout cas, vous nous aviez parlé de claquettes il n'y a pas très longtemps.
18:57 Et je trouve qu'il y a quand même une gestion des pas.
19:00 - C'est vrai.
19:01 - Exactement.
19:02 - D'ailleurs, si on voit le bandeau, parce que vous parlez couramment,
19:04 comme c'est votre langue maternelle, a priori.
19:06 - C'est le portugais.
19:07 - C'est pareil, madame.
19:08 - Non, c'est pas tout à fait pareil.
19:09 - Vous jouez sur la géographie.
19:10 La planta tacon.
19:12 - La planta tacon, oui.
19:13 Alors, le tacon, c'est le talon du pied.
19:15 Et donc, la plante, c'est la pointe.
19:18 - C'est facile l'espagnol.
19:21 - Finalement, on va s'y mettre.
19:23 - Et donc, le flamenco, il faut savoir que ça réunit le chant, la musique, la danse.
19:27 Ici, on a beaucoup de chants dans les musiques de flamenco qui incarnent toutes les émotions.
19:32 Le toque, qui est la guitare traditionnelle, donc l'élément principal des musiques.
19:37 - Le grutier, d'ailleurs, il va faire comme ça avec la grue.
19:39 Il joue du flamenco.
19:40 - C'est pas vrai.
19:41 - Si j'avais su, je vous jure.
19:42 - On aurait dû le faire venir.
19:43 - On a le cendrier et on a la réglage.
19:45 - Il faut qu'on nique entre les équipes un petit peu.
19:47 - Fin d'émission, vous restez avec nous.
19:50 C'est du CVI.
19:52 - Céviane.
19:53 - Ou Cévio, c'est transitif, non ?
19:55 Non, je déconne.
19:56 - Non, non.
19:57 - Exactement, dans quelques instants, le vigi-droite, parce que c'est sport, dans Sportset.
20:01 Il y a le changement de plantes.
20:03 On peut faire des plans de mariage, des tables de mariage.
20:05 On va parler justement du...
20:08 - Marathon de la bière.
20:09 - Merci.
20:10 Exactement, dans quelques instants.
20:12 Marathon de la bière.
20:14 À consommer sans modération, surtout le marathon, après la bière.
20:17 Deuxième édition.
20:18 Pour ceux qui ne connaissent pas le marathon de la bière, Ludovic, qu'est-ce que c'est ?
20:21 - Oui, Julien.
20:22 Je suis très heureux aujourd'hui de venir parler du marathon de la bière.
20:24 - Coco Rico, oui.
20:25 - De la deuxième...
20:26 Effectivement, je ne disais rien.
20:27 Le puits ?
20:28 - Ah oui, quand même.
20:29 - Donc, je suis très heureux parce que c'est un événement qui a cartonné la production.
20:36 - Un joli événement.
20:37 - Qui a cartonné la production.
20:38 - C'est un événement qui a cartonné la production.
20:40 Qui a cartonné la première année.
20:41 Qui est en train d'exploser la deuxième année.
20:43 Moi, qui suis passionné de course à pied, comme Gilles, on aime les beaux événements.
20:47 On aime les grands événements.
20:48 Et là, on va vraiment avoir un très grand événement dans la Loire dans deux semaines.
20:52 Le 18, 19, 20 mai.
20:53 Et pour recadrer un petit peu l'événement, c'est un 10, un 21, un 42 km.
20:58 Donc, c'est le premier marathon.
21:00 C'est le marathon de la Loire.
21:02 Mais également, il y a une marche gourmande le lundi.
21:05 - J'ai préféré ça.
21:06 - Il y a une course enfant le samedi.
21:09 Et puis, il y a de la fête.
21:11 Il y a de la fête le samedi soir et de la fête le dimanche soir.
21:13 C'est vraiment un événement qui est hyper complet, hyper habillé.
21:15 - Alors, vous avez réitisé un petit peu, parce qu'on reçoit Guillaume.
21:19 - Justement, pour en parler de ça, on reçoit un des quatre organisateurs de l'événement,
21:24 qui est Guillaume Bailly, ici présent.
21:25 Et qui va nous dire quand même les nouveautés.
21:27 Parce qu'année passée, pour moi, c'était déjà très complet.
21:30 Qu'est-ce que vous avez amené de plus ?
21:32 Et qu'est-ce qui fait qu'aujourd'hui, vous êtes en train d'exposer les inscriptions ?
21:34 - Eh bien, bonsoir à tous.
21:36 Il y a des nouveautés, forcément, cette année.
21:39 La principale nouveauté, c'est la course enfants.
21:41 Les courses enfants, c'était un peu oublié les dernières les enfants.
21:43 - Il n'y avait pas ça.
21:44 - On s'est dit, il faut quand même qu'on fasse quelque chose pour eux.
21:46 - C'était une volonté à la base de ne pas avoir de course enfants ?
21:48 - Non, c'était un peu compliqué avec l'alcool, etc.
21:50 Et on n'avait pas forcément le temps de plancher sur un 10, un semi, un marathon,
21:53 plus des courses enfants.
21:54 - Il faut expliquer que l'alcool est dans un lieu fermé, quand même.
21:57 - Exactement.
21:58 - C'est pas sur la course.
21:59 - Sur les ravitaux, etc.
22:00 Et on s'est dit, c'était pas...
22:01 On a organisé, on organisera cette année les courses enfants, le samedi, le 18 mai.
22:06 - La course pour enfants, c'est quoi ? Ils font le 42 ?
22:08 - Non, pas le 42.
22:09 Ce sera une petite course en fonction des âges, 400, 800, ou 1200 mètres.
22:12 - Oui, mais c'est super ludique.
22:13 Il faut l'expliquer.
22:14 Ils passent par la caserne, c'est ça ?
22:15 - Ils passent dans la caserne des pompiers à Montbrison,
22:17 avec plein de petites animations, des obstacles, etc.
22:19 Donc, ça va être ludique, fun.
22:21 Et puis, un petit peu à l'image du marathon, c'est-à-dire un événement festif.
22:25 - Et donc, Guillaume, le 10 km est déjà complet.
22:28 - Vous me disiez, on ne parle pas du 10 km.
22:30 - Non, non, non, mais...
22:31 - C'est bien, ça, de parler des mètres, c'est bien.
22:33 - Il est déjà complet.
22:34 Qu'est-ce qu'il y a, à ton avis, qui a fait que c'est complet ?
22:36 C'est parce qu'aujourd'hui, le certificat médical n'est plus forcément obligatoire,
22:39 donc tous les clubs...
22:40 - C'est ça qui blogueait, à fond.
22:41 - Non, non, non, mais aujourd'hui, on va mettre sur les courses
22:43 que sur les petits événements, le fait qu'il n'y ait plus de certificat médical,
22:45 ça aide énormément.
22:46 Et je pense que Montbrison...
22:48 - Ah, c'est ton analyse, ça ?
22:49 - Ben, mon analyse, le fait qu'aujourd'hui, en tout cas, sur les événements...
22:51 - C'est une partie, en tout cas, de la réponse.
22:52 - Les clubs se mobilisent énormément, maintenant.
22:54 Moi, je vois ce week-end, par exemple,
22:56 et le club de foot était présent, le club de vente était présent,
22:58 parce qu'il n'y a plus cette barrière du certificat médical.
23:01 Est-ce que ça met également, forcément, c'est la réussite de l'année passée ?
23:04 Et qu'est-ce que tu conseilles aux un petit peu au-dessus ?
23:07 Le 21 est quand même très facile et très festif.
23:10 Non, mais c'est vrai !
23:11 Le 21 est très facile et très festif.
23:13 Alors, attends, Julien, moi, j'ai fait le parcours.
23:15 J'ai fait le 42.
23:16 - Mais il va parler, des fois !
23:17 - Ah, ah, ah !
23:18 - Qu'est-ce que tu conseilles, dis-moi, alors, Guillaume ?
23:21 - Déjà, c'est vrai que c'est assez marrant de se retrouver ici, ce soir,
23:24 alors que, oui, le 10 est complet.
23:26 Enfin, il doit rester 10, 15 de ce soir.
23:28 Donc, si vous regardez l'émission, inscrivez-vous,
23:30 parce que demain, ce sera trop tard.
23:32 Et qu'est-ce qui fait qu'il est complet ?
23:35 Je pense qu'il y a un engouement.
23:36 Le fait qu'on ait montré l'an passé que c'est un événement
23:39 qui est accessible à tous,
23:40 qui est pensé pour les coureurs, mais aussi...
23:43 Tu parlais des footeux, des joueurs de rugby ou autres
23:47 qui veulent s'essayer à la course à pied,
23:49 passer un moment convivial entre potes.
23:50 Le Marathon de la Bière, il est vraiment fait pour ça.
23:52 Il est vraiment pensé pour tous ceux qui font un peu de jogging,
23:54 ou même pas, forcément,
23:56 et qui ont envie de passer un bon moment convivial,
23:58 entre copains, en famille.
23:59 - Mais tout l'esprit, on peut le comparer, on peut dire, au Beaujolais.
24:03 C'était votre modèle ou c'était pas votre modèle ?
24:05 - Ouais, c'était un des modèles, forcément.
24:06 On est très copains avec les organisateurs du Beaujolais.
24:08 - Vous avez fait de la pub, là, moi !
24:10 - On a fait de la pub, là-bas.
24:11 Et, en fait, c'est une petite communauté d'organisateurs de marathons festifs,
24:16 qui est d'ailleurs réunie au sein d'un challenge
24:18 qui s'appelle le challenge des Festivials.
24:20 Et nous, on a intégré ce challenge.
24:22 On s'inspire aussi d'eux parce qu'ils ont une histoire,
24:24 ils ont un historique.
24:25 Ça fait plus de 20 ans qu'ils organisent des festivals.
24:27 - Et là, on arrive, nous, on souffle notre deuxième bougie.
24:29 - Et voilà, donc nous, on est tout neufs.
24:31 Et du coup, on a envie de faire plein de choses et puis de faire bien.
24:34 - Mais là, les gens vous regardent autrement, maintenant.
24:36 La première édition, il faut le dire, c'était un sacré succès, quand même.
24:39 Vous avez eu le beau temps, vous avez bien fait de commander le beau temps.
24:42 Et il y avait du monde.
24:44 Et là, vous avez doublé presque.
24:46 - À la base, c'était un petit délire entre potes.
24:48 Ça a démarré comme ça.
24:50 On s'est dit, bon, allez, on se lance.
24:51 Et si on fait 1000 participants, 1000 dossards, ça sera super.
24:54 On a ouvert. Au bout de trois semaines, il y avait déjà 1000 dossards vendus.
24:57 On a dit, bon, on va essayer de faire un truc plus gros, plus structuré, plus pro.
25:00 Et puis, en fait, on se prend au jeu de vouloir faire toujours plus, toujours mieux.
25:04 Alors après, ce sera pas... C'est pas extensible.
25:06 On peut pas... Montbrison, c'est une très belle ville, une grande ville,
25:09 mais c'est pas non plus immense.
25:10 - Mais vous allez vous arrêter où ?
25:11 Là, aujourd'hui, vous êtes à combien, grosso modo ? Vous avez fermé à combien ?
25:14 - Alors là, à date, on est à 4000 inscrits.
25:16 - 5 ? Dans le viseur ou pas ? Ou c'est trop chaud ?
25:18 - Ouais, ouais, ouais. Alors on va bloquer à 4000...
25:21 Entre 4000 et 4500 sur les courses.
25:23 - Et Gilles, vous avez voté ça ?
25:25 - Non, pas encore.
25:26 - On va arriver à le convaincre.
25:28 - Moi, ce que j'aimerais, par contre, c'est que tu nous parles un peu du parcours,
25:30 parce que ce parcours est plutôt chouette.
25:32 Vous passez dans plein de villages.
25:33 - Mais il est plat, déjà.
25:34 - Oui, c'est un marathon.
25:36 - Il est globalement... Il est plat.
25:38 - C'est vrai que c'est un parcours qui est plutôt roulant, performant.
25:40 - Des villages que vous faites un concours, de la Chope d'Or, des villages animés...
25:44 - Ça, c'est la nouveauté aussi.
25:45 - Ça te parle, ça ?
25:46 - Mais non, mais c'est la nouveauté aussi. La Chope d'Or n'existait pas l'année.
25:48 - C'est quoi, la Chope d'Or ?
25:49 - L'objectif, c'est de challenger, si j'ai bien compris,
25:51 les villes et villages qui se sont traversées en termes de festivité.
25:54 - Et où aller en tant que spectateur ? Parce qu'aujourd'hui, on va parler du spectateur.
25:57 - L'idée, c'est d'impliquer les communes.
25:59 De dire aux communes qu'on traverse, OK, il y a le marathon de la bière, mais emparez-vous de l'événement.
26:04 Faites en sorte que ce soit une fête, pas seulement à Montbrison,
26:06 mais aussi sur le parcours, aussi sur les routes.
26:08 Et voilà, les mairies ont vraiment joué le jeu.
26:10 - Alors, celle qui a joué le plus le jeu, on m'a dit Chant Dieu.
26:13 - Chant Dieu, c'est très très fort, parce que déjà...
26:16 - Il y a un gros comité des fêtes.
26:18 - ...le coeur de village de Chant Dieu est vraiment somptueux.
26:23 En plus, c'est plutôt la fin des parcours.
26:26 Tous les parcours convergent vers Chant Dieu.
26:28 - Après, moi j'ai pas vu que c'était Cola.
26:30 - Ah, ben dis-moi !
26:31 - En tout cas, Nico nous a expliqué, j'ai fait avec Nicolas le parcours,
26:34 et dans chaque village où on passait, on m'a pas dit que c'était forcément Chant Dieu.
26:38 - Non, non, il n'y a pas que Chant Dieu. Tous les villages ont joué le jeu.
26:40 - Il va y avoir des fresques dans un village, je ne sais plus lequel.
26:42 Il y en a un autre endroit où ça va jouer sur des tonneaux, un DJ avec des tonneaux.
26:46 En tout cas, dans chaque village, il y a quelque chose de plutôt intéressant pour le public.
26:49 - Ce qui est énorme, c'est que les habitants s'emparent aussi de l'événement,
26:53 sortent le long des routes, sortent les tuyaux d'arrosage s'il fait chaud.
26:56 - Ça me fait penser à un événement qui se passe en juillet dans la France en général.
26:59 - Exactement, c'est un peu une inspiration.
27:00 - Avec du vélo.
27:01 - Ça parle à Gilles.
27:02 J'ai entendu, mais si je me trompe, vous me dites, l'année dernière, il était très frustré,
27:05 il était là en VIP, cette année, il va courir.
27:07 C'est le maire de Montbrison. C'est vrai ou pas ?
27:09 - Exactement. Oui, c'est vrai, il s'entraîne dur.
27:11 - C'est énorme !
27:12 - Oui, il s'entraîne dur. Il a pris un coach perso, il s'entraîne deux, trois fois par semaine.
27:17 Christophe Basile sera au départ du 10, alors il va être même très fort,
27:20 parce qu'il va donner le départ du 10 et après, il va se mettre derrière la ligne pour partir.
27:23 - Ah ouais ?
27:24 - Donc, ouais, ouais, non, non, bel engouement.
27:26 - Ça fait plaisir de voir le maire.
27:27 - Sachant qu'on peut rappeler que le 10, il y aura plusieurs vagues,
27:29 un petit peu comme dans les grands événements.
27:30 - Oui, c'est ça.
27:31 - Forcément, pour que ce soit le plus fluide possible.
27:33 Et moi, ce qui m'intéresse, c'est de savoir, est-ce qu'aujourd'hui,
27:35 par rapport au nombre d'inscrits l'année passée,
27:37 c'était quand même un événement qui était plutôt très local.
27:39 C'était quand même des Stéphano et la région, région 42, 43.
27:44 Est-ce qu'aujourd'hui, tu peux te considérer comme un événement national encore ?
27:47 - International ?
27:49 - Non, ça reste...
27:50 - On a un aspect ivoirien.
27:52 - Ah, ouais, alors...
27:53 - Où ça reste quand même encore, sur les 4000, ça reste encore local
27:57 et où ça vient de vraiment toute la France.
27:59 Les gens viennent passer tout le week-end,
28:00 viennent faire la fête un petit peu comme au Cologne et à Québec.
28:02 - Non, c'est ce qui est fou et c'est ce qui nous a le plus surpris la première année.
28:06 C'est que les gens traversent vraiment la France pour venir faire cet événement.
28:10 On a énormément de Bretons, de Parisiens qui seront là.
28:14 Et si je dois donner des chiffres, grosso modo, c'est 50/50.
28:18 50% de Ligériens et 50% d'autres départements, sachant qu'à date,
28:22 on a 76 départements représentés dans les inscrits.
28:24 - Regardez, on va mettre les illustrations de l'année dernière.
28:28 C'est pas vu de drone, là.
28:29 Elles arrivent parce que c'est de la VHS, le temps qu'on en robine.
28:32 Non, c'est pas celle-ci.
28:34 On a des images en avion, mais vraiment en avion.
28:37 Et c'était une Parisienne qui est venue en avion.
28:39 - Oui, exactement.
28:40 Une Parisienne qui est venue avec son avion pour participer à sa manière
28:43 au Marathon de la Bière, au semi, exactement.
28:45 - Et vous en avez profité, vous vous êtes accroché au bout de l'aile.
28:48 - Oui, c'est ça.
28:49 Elle nous a proposé d'aller faire quelques plans vus d'en haut.
28:52 Et c'est vrai que l'an passé, le plus gros peloton, c'était le 10 km
28:55 avec 1300 participants.
28:57 Et là, cette année, on est à 15 jours de l'événement
28:59 et il y a déjà 2000 inscrits sur le 10.
29:01 Donc, ça va vraiment faire beaucoup de monde sur les routes.
29:03 Ça va être incroyable.
29:04 - On est heureux ou on a peur ?
29:06 - On est heureux, non, non, on est heureux.
29:08 Tout se passe bien au niveau de l'organisation.
29:10 On est impatients d'accueillir tout ce petit monde là à Montbrison.
29:13 - Et derrière, c'est la fête.
29:15 - Et derrière, on est bien placés pour en parler avec Lilian.
29:17 Mais c'est vraiment la bringue parce que Lilian est partie prenante de l'événement.
29:22 C'est Lilian qui nous permet de bien faire la bringue, c'est clair.
29:24 - Oui, puis il faut parler du salon Madinfrance également.
29:26 - Ah oui, Madine Loire.
29:28 - Non, mais lui, il voit grand, pourquoi ?
29:30 - Il n'y a pas plus chauvin qu'un Ligérien.
29:32 - Le salon Madine Loire qui est quand même pendant les trois jours,
29:34 même si on n'est pas forcément courant.
29:36 - On peut retrouver les 15 brasseurs présents sur les parcours.
29:39 Et même d'autres partenaires qui seront présents.
29:41 - Et les allemands ?
29:42 - Mais pas que.
29:43 - C'est moi.
29:44 - Mais pas que.
29:45 Donc oui, le salon du Madine Loire, pendant trois jours,
29:47 l'idée c'est de faire briller la Loire, briller le 42.
29:49 On fait venir des gens qui viennent de partout.
29:51 On veut leur montrer Pralue, on veut leur montrer BV Sport,
29:54 on veut leur montrer des belles marques,
29:56 ou des beaux artisans stéphanois, des beaux artisans ligériens.
30:00 Et puis ce salon a eu du succès dès la première année
30:03 puisqu'il y a eu 10 000 visiteurs l'an dernier.
30:05 Donc là, on espère doubler aussi la fréquentation de ce salon.
30:08 Donc ça dépend aussi forcément de la météo.
30:10 - Il y a des surprises aussi.
30:12 - Et du coup, marche gourmande de lundi.
30:15 C'était la surprise quand même.
30:17 Vous n'avez pas su, c'était 1500 personnes.
30:19 Comment ça se passe cette année ?
30:20 Il faut s'inscrire à l'avance ?
30:22 Comment vous gérez ça ?
30:24 - Alors c'est vrai que les inscriptions ont déjà bien démarré
30:26 sur la marche gourmande.
30:28 C'est une rando qu'on imagine un petit peu différente.
30:32 Ça fait 12 kilomètres, c'est accessible aux enfants, aux adultes.
30:36 Sur tout le parcours, vous allez retrouver des ravitaillements gourmands.
30:40 Le patia qui est fait par les jeunes de Chalmazet,
30:42 le labrioche pralue, le café chapuis au départ.
30:44 Il y a vraiment plein de choses.
30:45 Et puis à l'arrivée, un bon petit repas convivial
30:48 qui est pensé et réalisé par nos équipes.
30:52 Parce qu'en fait, le Marathon de la Bière, c'est plus de 400 bénévoles.
30:55 Donc toute l'année, c'est une équipe, c'est une association de 30 personnes.
30:58 Et le week-end de l'événement, c'est plus de 400 bénévoles qui seront là.
31:02 - Et vous êtes quatre copains quand même.
31:04 On remercie les copains, il y a vous forcément.
31:06 - Oui, quatre copains.
31:07 Donc Nico, Jérôme et Gus.
31:09 - Qui vous regardent dans la télé.
31:11 - Qui me regardent, j'espère.
31:12 - En claquettes.
31:13 - Sinon, on replay, ça fera un clic.
31:15 - J'espère.
31:16 - On rappelle les dates, on voit l'affiche.
31:18 - 18, 19, 20 mai.
31:21 C'est à Montbrison.
31:22 - Bête fête, il y en a pour tout le monde.
31:24 - C'est comme l'union sportive, les amoureux du houblon ou pas.
31:26 - Exactement.
31:27 - Accessible à tous, que vous soyez coureurs ou pas,
31:30 il y a de la place pour tout le monde et ce sera une belle fête.
31:32 Et surtout parce que Lilian Bard sera au micro.
31:34 - Ah bah oui, voilà.
31:36 La dernière fois qu'il a fait un post sur Instagram,
31:38 je peux vous dire, on est en profil sur les demandes.
31:40 - C'est vrai, Lilian sera sur le parcours pour enflammer U1.
31:44 - C'est incroyable.
31:45 Bon, dans quelques instants, justement, c'est la parole à vous, Lilian Bard.
31:50 Un beau portrait de sportif.
31:51 - Exactement, nous on va se mettre dans la voiture.
31:52 - Exactement.
31:53 - Alors, ça faisait un moment, entre guillemets, sans jeu de mots,
32:01 que vous ne couriez après.
32:02 - Oui, du coup, j'ai galéré à courir après.
32:04 - Il roule vite.
32:05 - J'avais arrêté de courir, mais j'ai su que les saisons s'enchaînaient,
32:09 les saisons sont compliquées, la saison sportive est très compliquée.
32:12 - Vous allez voir, Gilles, c'est un petit jeune très prometteur.
32:14 - Et je comprends même qu'elle soit compliquée,
32:16 parce que sportivement, j'y connais rien à ce sport.
32:18 - Mais si, vous regardez bien la F1.
32:20 - Non, je vais être honnête, je n'y connais rien à ce sport,
32:22 mais je me rends compte de l'effort physique qu'il y a.
32:24 Je vais vous parler de Formule 3 actuellement,
32:27 donc on l'espère pour lui, de la Formule 1 dans quelques années.
32:30 Je vais vous présenter Théophile Nahel,
32:32 qui a seulement 16 ans et qui est en Formule 3 actuellement.
32:34 - Qui roule en voiture sans permis.
32:36 - Pourquoi tu n'as pas demandé à Jean-Louis Fabien Jean,
32:38 il t'aurait expliqué un petit peu ?
32:39 - Non, ça va trop vite pour Jean-Louis.
32:41 Jean-Louis, il lui faut des virages tous les 100 mètres,
32:43 enfin c'est compliqué pour Jean-Louis.
32:45 - Il faut que ça fluide, ça s'enlue.
32:46 - Non, ça va encore plus vite.
32:47 Donc en fait, Théophile Nahel, il a fait ses débuts,
32:49 il a un papa tout simplement qui est passionné,
32:51 il va vous le dire dans le portrait,
32:52 mais qui est passionné de sport auto.
32:54 Il a été plongé dans le karting et passionné par le karting
32:57 dès le plus jeune âge.
32:58 En général, les bons pilotes aujourd'hui de Formule 1
33:01 passent par le karting.
33:03 - On le voit bien, Chapin.
33:05 - Et il fait ses débuts en kart
33:07 et ensuite il enchaîne assez rapidement
33:09 en étant accompagné par Saint-Éloch.
33:11 Donc on est encore sur le territoire,
33:12 vous savez Saint-Éloch qui est juste derrière le stade Geoffroy-Guichard.
33:14 Très beau reportage d'ailleurs à retrouver,
33:16 qui a été fait l'an passé par nos équipes,
33:19 par Julien Rivière et Jean-Louis Fabergeon.
33:22 Donc Saint-Éloch l'accompagne dans cette démarche.
33:25 - Et grandit avec eux.
33:26 - Voilà, et grandit.
33:27 Saint-Éloch grandit en même temps que Théophile
33:29 sur ce point-là.
33:30 Ça veut dire que Saint-Éloch n'avait pas la formule
33:33 à l'époque chez eux.
33:35 Il décide d'ouvrir la Formule 4 avec Théophile
33:38 en se disant on mise sur Théophile pour ouvrir la Formule 4.
33:41 - 100% libre.
33:42 - On crée des équipes, on met des techniciens spécialisés,
33:45 on a une voiture et on se développe.
33:47 - Et il gagne !
33:48 - Et il gagne la Formule 4.
33:49 - Donc Formule 4, après tu fais quoi l'année d'après ?
33:51 - En Formule 3.
33:52 - Formule 2 et il reste quoi ?
33:54 - Pilote de Formule 3, championnat Freca,
33:57 et il va nous expliquer son parcours,
33:59 comment il s'entraîne.
34:00 C'est assez fastidieux, assez spécifique.
34:02 Il est plus scolarisé, mais en tout cas
34:04 il se concentre à 100% dans son sport.
34:07 C'était au finale.
34:09 - Je m'appelle Théophile Nahel, j'ai 16 ans,
34:12 je suis d'origine de Saint-Etienne.
34:14 Je fais du sport auto depuis l'âge de 7 ans.
34:17 On a gagné la Formule 4 espagnole en 2023
34:20 et maintenant je suis actuellement avec
34:22 Saint-Héloc Racing dans le championnat Freca,
34:24 qui est la Formule 3 européenne,
34:26 qui se situe dans tout le monde avec plein de circuits incroyables.
34:30 Mon père est un pilote de la Formule 3,
34:32 il a fait des courses en France,
34:34 il a fait des courses en Italie,
34:36 c'est incroyable.
34:38 Mon père est un vrai passionné de sport auto,
34:40 il m'a mis dans un karting assez jeune.
34:43 J'ai direct accroché, j'ai direct trouvé ça incroyable.
34:46 J'ai voulu en faire plus, j'en ai redemandé.
34:49 C'est une passion depuis tout petit.
34:52 Beaucoup de personnes croient que c'est un sport individuel,
34:54 mais en soi c'est un sport d'équipe,
34:56 parce qu'il faut que le pilote soit en forme,
34:58 il faut que l'équipe soit en forme aussi.
35:00 Il y a plein de choses qui rentrent en compte.
35:02 Que l'entendre avec l'ingénieur soit bien,
35:04 c'est un sport d'équipe pour moi.
35:06 Quand je pars la semaine, je pars souvent le mercredi.
35:08 Les jeudis il y a des premières installations qui se font,
35:11 le vendredi les essais,
35:13 et le week-end toutes les qualifications et les courses.
35:15 Quasiment tous les matins je fais du sport,
35:17 que ce soit renfroi,
35:19 vraiment des choses pour le sport auto,
35:21 donc beaucoup le coup,
35:23 c'est de varier plein de sports,
35:25 le tennis, le vélo, le golf,
35:27 tout type de sport j'adore,
35:29 et tout ce qui est spécialement avec de l'adrénaline, le clip.
35:33 Durant la dernière finale de la F4 Espagnole,
35:35 je loue complètement ma qualif,
35:37 devant toutes les personnes qui sont venues me voir.
35:39 Donc voilà, un bon coup de pression
35:41 avant d'attaquer la finale pour devenir champion.
35:43 Avec toute ma famille, quand je suis champion,
35:49 avec toute l'équipe, on s'est tous retrouvés
35:51 avec la voiture sur la pitlane,
35:53 vraiment c'était un moment inoubliable,
35:55 et ça restera gravé.
35:57 15 minutes avant le départ,
36:01 avant que je monte la voiture,
36:03 je dois mettre mon casque avec la musique,
36:05 me détendre un peu, et se remettre au boulot après.
36:07 Cette année, j'ai la chance
36:09 d'être en équipe de France.
36:11 On est 5 pilotes par an à être dedans,
36:13 donc c'est vraiment un privilège pour moi.
36:15 Je vais essayer de faire de mon mieux
36:17 pour valoriser la France.
36:19 C'est vrai que c'est un entonnoir un peu,
36:21 plus on monte en catégorie,
36:23 moins il y a de pilotes, moins il y a de places.
36:25 Je ne dirais pas que c'est de la chance,
36:27 mais il faut arriver à être bon
36:29 et faire une belle saison en Freca.
36:31 Pour pouvoir évoluer en F3 mondiale
36:33 dans les prochaines années,
36:35 et arriver un jour en F1,
36:37 qui est le 1° pour moi.
36:39 Incroyable cette interview !
36:45 Très belle rencontre !
36:47 Je trouve ça assez simple.
36:49 L'année dernière, on n'avait pas pu faire le portrait
36:51 parce qu'il était à Dubaï.
36:53 La rencontre a été folle,
36:55 parce que l'aplomb d'un jeune de 16 ans,
36:57 je reprends sur ce qu'Efendi disait en off,
36:59 c'est-à-dire être déscolarisé assez tôt
37:01 pour pratiquer son sport.
37:03 Je ne sais pas si on devrait le dire,
37:05 mais c'est incroyable,
37:07 parce qu'il est en tête à tête
37:09 avec son prof à la maison.
37:11 Du coup, il avance beaucoup plus vite
37:13 qu'à ta trente dans une classe.
37:15 C'est vrai, mais en fait,
37:17 quand on dit ça...
37:19 Efendi, plus tu parles,
37:21 plus tu en auras moins sur ta chronique.
37:23 Super sportif !
37:25 265 km/h quand même dans sa Formule 1.
37:27 C'est tout ?
37:29 C'est léger.
37:31 Formule 3, belle saison à lui,
37:33 et on l'espère en Formule 1 dans une dizaine d'années.
37:35 Je vais vous le dire,
37:37 si vous voulez regarder le JTT L7 tout de suite après,
37:39 on sera très en retard,
37:41 parce que là, on ouvre une page.
37:43 Basket !
37:45 On m'a peu d'où dit qu'on gardait le meilleur pour la fin,
37:51 même si...
37:53 Y a Katarina !
37:55 Fais gaffe, t'as des gens avec des castagnettes derrière.
37:57 C'est eux les meilleurs.
37:59 Je m'incline ce soir.
38:01 En tout cas, on va parler de basket,
38:03 de l'actualité et surtout du SCAB.
38:05 S-C-A-B-B.
38:07 C'est le moment que tu me le dis, j'ai fait une faute d'orthographe.
38:09 C'est pour ça, Julien,
38:11 mais j'ai fait volontairement, c'était pour te reprendre ce soir.
38:13 Du coup, le SCAB, le Saint-Chamond-Andrézieux-Boutéon-Basket.
38:15 Donc, c'est...
38:17 Une fusion.
38:19 Malheureux.
38:21 Il va te dire ça. Pas une fusion.
38:23 Attention, une union.
38:25 C'est vraiment deux choses différentes.
38:27 C'est vraiment perçu comme ça ?
38:29 Pas encore dans la tête. C'est tout nouveau.
38:31 C'est tout nouveau.
38:33 On dit, il y a eu une conférence de presse il n'y a pas longtemps.
38:35 On n'en a pas trop parlé parce qu'on a attendu.
38:37 Pourquoi ? Parce qu'on est allé à la rencontre
38:39 de personnes aussi bien du SCAB,
38:41 mais encore mieux,
38:43 on est allé voir aussi les maires des deux communes.
38:45 Mais on va poser la question.
38:47 On va poser d'abord la première question
38:49 à Roger Paour. Roger Paour, on le rappelle,
38:51 qui est actuellement le président
38:53 du SCBBG, du Saint-Chamond-Basquet-Vallée-du-Gé,
38:55 qui va rester
38:57 dans la présidence du SCAB,
38:59 mais en tant que président délégué,
39:01 c'est lui qui va s'occuper un peu de toute la presse.
39:03 Donc, on est allé le rencontrer, on lui a posé
39:05 quelques questions, et notamment
39:07 un projet,
39:09 comme le SCAB, mais il n'y a pas que l'équipe
39:11 une, il n'y a pas que
39:13 l'équipe réserve,
39:15 il y a aussi toute une académie à côté.
39:17 Donc, on lui pose la question.
39:19 Il y a un projet qui est
39:21 important, qui avait été initié par
39:23 André Zieu à la base,
39:25 et qui maintenant est relié et ancré
39:27 dans le SCAB,
39:29 et dans le projet du SCAB, sous l'égide
39:31 de David Despinas, qui est à l'origine
39:33 de cette évolution
39:35 du centre de formation et de la formation
39:37 d'une manière généreuse sur André Zieu.
39:39 Effectivement, il y a des tenements
39:41 immobiliers qui se libèrent,
39:43 donc l'objectif, c'est de passer
39:45 un deal avec la mairie
39:47 d'André Zieu,
39:49 pour pouvoir construire et investir
39:51 sur ce site-là, le développer,
39:53 de façon à créer, à la fois
39:55 de l'hébergement, à la fois de la capacité
39:57 d'entraînement pour
39:59 loger et entraîner
40:01 un centre de formation de haut
40:03 niveau, de la même façon
40:05 avec des terrains, du streetball,
40:07 une OOPS factory qui pourrait aussi
40:09 voir le jour, donc vous voyez, c'est un ensemble
40:11 de choses, ça fait partie du projet,
40:13 maintenant, un projet, ça se construit
40:15 dans le temps et ça se fait pas tout de suite,
40:17 il faut être un peu patient par rapport à ça,
40:19 mais c'est l'objectif à terme. - Ah, projet à long terme !
40:21 - Projet à long terme, et surtout, on va voir
40:23 la création de cette académie,
40:25 de ce OOPS factory, comme on peut l'appeler,
40:27 du côté d'André Zieu Boutéon, pour
40:29 le centre de formation. Par contre, comment ça
40:31 se passe, Roger ? On garde les mêmes pots ?
40:33 Comment ça se passe ? On écoute. - Il ne s'éparpille pas !
40:35 Alors, Roger, ça se passe ?
40:37 - Le principe, un peu,
40:39 du SCAB, c'est de reconduire les contrats
40:41 qui avaient été engagés par les uns ou par les autres,
40:43 donc ça sera Jérôme Quintard
40:45 qui gardera
40:47 l'anémonde d'André Zieu
40:49 qui monte dans l'union SCAB,
40:51 et ça sera Maxime,
40:53 Maxime Nellaton, qui reprendra,
40:55 enfin, qui continuera sa mission
40:57 sur l'équipe professionnelle
40:59 avec Alain Ferraton
41:01 et Maxence Collignon.
41:03 - On a parlé des garçons, on est d'accord,
41:05 mais est-ce qu'il y aura... - Ça fait jaser un petit peu,
41:07 c'est ça, à la fin. - Ça fait un peu jaser, mais est-ce qu'il y aura
41:09 une place pour les féminines ?
41:11 - Les féminines restent, bien entendu,
41:13 ancrées dans un projet futur,
41:15 donc, au niveau
41:17 du SCAB. Pour l'instant,
41:19 elles restent sur l'intitulé SCBVG.
41:21 Elles vont continuer
41:23 à essayer de se développer
41:25 pour être reprises le plus tôt possible
41:27 à l'intérieur du SCAB,
41:29 parce que l'objectif, c'est quand même de monter
41:31 une équipe de haut niveau féminine sur la métropole.
41:33 - Il va falloir me résumer un petit peu ça,
41:35 parce que j'ai les moindres... - Excusez-moi, c'est ça ? - Tous les deux.
41:37 - Allez. Alors, une union
41:39 se crée dès la saison prochaine
41:41 avec Andrézu Boutéon
41:43 et le Saint-Chamond Basket. On aura notre
41:45 équipe 1 qui sera en probé,
41:47 l'équipe réserve, l'équipe 2...
41:49 - C'est qui ? C'est Andrézu qui restera toujours en...
41:51 Non, Saint-Chamond reste en probé. - Saint-Chamond Basket,
41:53 dans l'union, ça va jouer à l'aréna. La probé continue
41:55 à jouer à l'aréna. - Mais ces 2 vies sont vachement éloignées.
41:57 - Vachement, il n'y a même pas 20 km.
41:59 - Ça fait un semi-mille. - Il y a 20 km, Andrézu,
42:01 Saint-Chamond. - Ça se fait régulièrement, ça. - Voilà.
42:03 - Mais parce que, pour rappeler rapidement, parce que j'ai pas
42:05 trop de temps, Julien, il me dit, mais rapidement,
42:07 l'année dernière, Andrézu était à 2 points.
42:09 - 1 point. - Non, à
42:11 1 point, pour égaliser, à 2 points de montée
42:13 en probé. Donc si, vous imaginez,
42:15 sur Loire-Sud, on aurait eu Andrézu
42:17 et Saint-Chamond,
42:19 2 équipes en probé. - Cette année, ou sinon, on aurait pu avoir même
42:21 3. - On en parle tout à l'heure,
42:23 mais ça aurait été trop compliqué financièrement pour les collectivités
42:25 territoriales et surtout pour les partenaires.
42:27 - Et c'est malin de faire cette union.
42:29 - C'est très, très bien de
42:31 faire cette union, parce que ça va
42:33 apporter vraiment une plus-value
42:35 pour notre territoire, pour...
42:37 - Mais qu'est-ce qu'ils en pensent, nos élus locaux, entre autres ?
42:39 - On allait les rencontrer. - Ah, c'est vrai ?
42:41 - Ah bah oui, on a vu le maire de Saint-Chamond,
42:43 M. Dugas, et M. de Riol, du côté d'Andrézu Goutéon.
42:45 [Musique]
42:47 [Musique]
42:49 [Musique]
42:51 - Alors en effet, la ville a été consultée par le
42:53 Saint-Chamond Basket professionnel.
42:55 Je pense que c'est plutôt, d'ailleurs,
42:57 une bonne nouvelle, ça permettra aux clubs
42:59 de grandir et demain, pourquoi pas, d'aller
43:01 chercher l'élite. Bien évidemment,
43:03 avec David Despinas en tant qu'actionnaire majoritaire,
43:05 mais aussi les actionnaires
43:07 qui sont là depuis le début, depuis la création
43:09 du Saint-Chamond Basket
43:11 Vallée du Gier professionnel.
43:13 Donc voilà, c'est un travail en commun,
43:15 main dans la main, les uns avec les autres, pour faire grandir
43:17 le club, pour franchir une étape,
43:19 pour aller chercher le très haut niveau,
43:21 parce qu'on est déjà un club de haut niveau, et tout en
43:23 gardant aussi dans le nom
43:25 complet, Saint-Chamond.
43:27 [Musique]
43:29 - Non, ce n'est pas une fusion,
43:31 parce que derrière le mot fusion,
43:33 il y a absorption, et personne
43:35 n'absorbe personne.
43:37 Ni Saint-Chamond absorbe Andrézieux, ni Andrézieux
43:39 absorbe Saint-Chamond.
43:41 C'est tout simplement une union.
43:43 Sur la base d'une idée simple,
43:45 l'union fait la force, et nous espérons
43:47 bien que grâce à cette union, nous serons plus forts.
43:49 Depuis sept ans, nous sommes en
43:51 nationale 1. Nous avons
43:53 frôlé l'année dernière l'accession
43:55 à Pro B, effectivement, mais on sait
43:57 très bien que si le résultat sportif
43:59 avait été là, il aurait été compliqué
44:01 d'assurer financièrement, pour la
44:03 collectivité, d'une part, et puis pour
44:05 les partenaires privés, d'autre part,
44:07 cette montée, la construction d'une équipe
44:09 d'un niveau supérieur. Et il est
44:11 probable que ce soit eu pour conséquence une compétition
44:13 entre Saint-Chamond et nous
44:15 pour obtenir des financements
44:17 de la part de Saint-Etienne Métropole,
44:19 et puis pour nos partenaires privés, qui sont sur le
44:21 même territoire.
44:23 [Musique]
44:25 Je suis très heureux qu'il reste Saint-Chamond
44:27 dans le nom, et je suis très heureux aussi,
44:29 comme l'est François Driolle, qui
44:31 est le nom Andrézieux, que ce soit le
44:33 Saint-Chamond-Andrézieux-Boutéon-Basquette,
44:35 parce que c'est deux territoires forts du
44:37 basket, et c'était important, justement,
44:39 d'avoir les noms des territoires.
44:41 [Musique]
44:45 Je ne le vis pas comme ça.
44:47 Simplement, c'est une opportunité
44:49 de continuer à être ambitieux,
44:51 dans le domaine du basket en particulier,
44:53 et puis sur les autres équipes sportives
44:55 que nous avons sur le territoire.
44:57 [Musique]
45:01 - Vous l'avez bien compris... - Il date ce reportage,
45:03 parce que la racièle bleue comme ça, c'est un moment qu'on n'a pas vu.
45:05 - Vous l'avez bien compris, chaque club
45:07 garde leur identité, garde leur secteur amateur,
45:09 - C'est une union. - les licenciés,
45:11 tout ça et tout. Andrézieux-Boutéon sera inscrit
45:13 en championnat, département, en région,
45:15 comme il faut, et il y aura au milieu cette union,
45:17 mais ça va permettre de faire
45:19 grandir encore plus le basket.
45:21 - En notre département, sûrement. - Exactement.
45:23 - On peut dire que c'est une mauvaise nouvelle, mais ça sera une bonne nouvelle,
45:25 parce que l'année prochaine, malheureusement...
45:27 - Alors, c'est une mauvaise nouvelle. - Tu me l'avais dit, oui.
45:29 - Avec le départ de JDC,
45:31 il n'y a pas longtemps,
45:33 on savait que c'était compliqué du côté de la Coral de Rouen,
45:35 ça s'est confirmé ce week-end, mathématiquement.
45:37 La Coral de Rouen ne sera plus
45:39 en Bet-Klik-Elit, malheureusement.
45:41 - Donc, il y aura un vrai derby l'année prochaine. - Par contre, voilà,
45:43 l'année prochaine, il y aura des derbys avec
45:45 le SCAP, notamment.
45:47 - Buh-buh-buh. - SCAP, buh-buh,
45:49 et il va y avoir, je pense, du spectacle
45:51 dans la Loire. - Ça en fera des bais.
45:53 - Le SCAP en Pro-B. - En Pro-B, oui, ça fait
45:55 beaucoup de bais, voilà. Merci à vous,
45:57 Eiffelini Desmire. Retenez
45:59 Gilles Guichard, parce que je sais qu'il a envie d'aller
46:01 sur Dancefloor, mais c'est le moment
46:03 de la démo avec vous, Katarina Weiss !
46:05 - Oui, exactement, le meilleur
46:07 pour la fin. Cyrus, vous êtes
46:09 le président de l'association 13 Golpes
46:11 de Flamenco, qui se trouve à Saint-Etienne,
46:13 également au Puy-en-Velay.
46:15 Vous avez prévoyé un spectacle, il me semble,
46:17 de flamenco, le 22 juin,
46:19 à 19h, au Théâtre
46:21 de la Grille Verte à Saint-Etienne. Quel va être
46:23 le thème de ce spectacle ? - Alors déjà, le titre...
46:25 - Le flamenco ! - Déjà, le titre du spectacle,
46:27 c'est "El rincón de los sueños", qui veut dire
46:29 donc "le coin
46:31 des rêves". Et donc, ce
46:33 ballet va être constitué à peu près
46:35 d'une douzaine de chorégraphies.
46:37 Ce sont des chorégraphies
46:39 d'ensemble, réalisées par entre
46:41 20 et 30 élèves
46:43 de l'association, donc de l'école.
46:45 Et comme le flamenco l'indique,
46:47 il va mêler à la fois des accents
46:49 très variés, c'est-à-dire à la fois des choses
46:51 très profondes, très douloureuses,
46:53 très lourdes,
46:55 et à la fois des choses beaucoup plus enjouées,
46:57 beaucoup plus guées, beaucoup plus festives.
46:59 - Et qu'est-ce qu'on va voir ce soir, alors ? - Alors, on va voir
47:01 la dimension folklorique
47:03 du flamenco, parce que le flamenco, il y a
47:05 la dimension traditionnelle, mais il y a aussi le folklore,
47:07 c'est-à-dire les danses de couple, et ce sont
47:09 les sevillanas. Les sevillanas, ce sont des danses que
47:11 les andalous dansent presque déjà dans le ventre de leur mère.
47:13 Donc, on va vous faire
47:15 une sevillane,
47:17 c'est la rencontre, parce que théoriquement, les sevillanes,
47:19 c'est la rencontre...
47:21 - Il est chaud, là !
47:23 - Théoriquement, c'est la rencontre,
47:25 la séduction, la plus difficile,
47:27 la dispute, et ça se termine toujours par la
47:29 réconciliation. On vous fait la rencontre.
47:31 Donc, je sais pas si vous allez voir, mais on y va.
47:33 - Moi, je fais exprès de me disputer à la maison pour me réconcilier.
47:35 - C'est parfait ! Je vous laisse vous installer.
47:37 Attention ! Trois,
47:39 deux, un...
47:41 (musique)
47:43 (musique)
47:45 (musique)
47:47 (musique)
47:49 Que no se entere tu novio, ni tu pare ni tu mare
47:58 Que no se entere tu novio, ni tu pare ni tu mare
48:21 Que ne se entere tu novio, ni tu pare ni tu mare
48:29 Que ne se entere tu novio, ni tu pare ni tu mare
48:44 *Applaudissements*
48:46 Magnifique !
48:48 Alors j'ai pas saisi toutes les émotions quand même qu'on nous avait dit hein
48:54 C'est tout à la fois
48:56 On a pas vu la dispute
48:58 On rappelle le 22 juin à 19h
49:00 Ah bah oui, avoir deux écoles de danse, une dans la Loire, Côte Chaude, et dans le 43 où ça ?
49:06 A côté du Puy-en-Velay, Chadrac
49:08 Et bah je vous trouve très beau
49:10 Et on est une cinquantaine d'élèves
49:11 C'est magnifique, on devrait tous venir comme ça
49:13 Tous de couleurs, regardez
49:15 Voilà, 49 minutes, nous on explose le temps
49:17 On est en timing
49:19 On est large, on va se faire gronder
49:21 C'est ça quand y'a de l'actu sportive sur le territoire
49:23 Et du flamenco
49:25 Voilà si vous voulez revoir cette émission on est présents sur toutes les box
49:29 Vous partez prochainement en week-end là Gilles, c'est ça comme d'habitude
49:31 Bah tu pourras te revoir
49:33 Pardon ?
49:35 Tu pourras te revoir à la télé
49:37 Ah bah sûr, je vois tout le temps
49:39 Si t'as vu une télé locale c'est une télé internationale
49:41 Voilà, et bah on vous dit à la semaine prochaine
49:43 A bientôt
49:45 Ciao
49:47 *Musique*

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