• il y a 2 ans
Faute de parrainages suffisants, le philosophe n’avait pas pu se présenter à l’élection présidentielle. Comment envisage-t-il la suite pour son jeune parti, Simple ? « Nous ne nous présentons pas aux législatives, mais il y aura d’autres élections, notamment les européennes dans deux ans, promet Gaspard Koenig. L’objectif est de continuer à faire vivre ce parti, donc de présenter des candidats dans les échéances à venir. Les législatives sont une redite de la présidentielle. C’est très compliqué d’émerger lorsqu’on n’a pas fait un score à cette dernière. Les élections européennes sont en revanche plus ouvertes. Donc le peu de capital que l’on a, on le conserve précieusement pour les échéances suivantes. »

L’axe fondateur du parti fondé par Gaspard Koenig consiste notamment à diviser par cent le nombre de normes en vigueur dans le pays. « Tout le monde sait que trop de droit tue le droit, confirme le philosophe. Ce dont je me suis rendu compte, c’est d’à quel point les gens en pâtissent, plus éloignés sont-ils des centres de pouvoir et d’information. Parce qu’ils n’ont pas le bon contact, ne peuvent pas payer le bon cabinet. C’est donc une question d’injustice sociale dont je m’étonne que la gauche ne se saisisse pas. »

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