Monseigneur Alfred Ancel ( Lyon 1898-Lyon 1984)
« Le deuxième fondateur du Prado » selon le pape Paul VI
Naissance à Lyon, 26, Place Bellecour, le 22 octobre 1898.
Père : Gustave, industriel soyeux.
Mère : Marie-Joséphine Villet, fille d'industriels, a des ascendants communs avec le saint curé d'Ars
Fratrie de six, dont quatre garçons (trois deviendront prêtres).
Scolarité à l'Institut des Chartreux, à la Croix-Rousse.
A pour condisciple Georges Finet, futur fondateur des Foyers de Charité
Brillant baccalauréat es lettres obtenu en 1915.
Retraite de 1915 à Ars : l'appel inattendu du Seigneur.
1915, toujours. Alfred Ancel a 17 ans. La Première Guerre mondiale a éclaté.
Engagement au front, comme « poilu »
Blessé une première fois en juillet 1916, une deuxième fois plus gravement en décembre 1917 en
Italie. Perds son œil droit.
Début 1918, en convalescence, lit la biographie de Saint François d'Assise écrite par le poète danois Johannes Joergensen. Un choc.
Automne 1918 : Entre au Séminaire français de Rome. Y restera sept années. A pour condisciple et ami Gabriel-Marie Garonne, futur cardinal.
Début 1922: découvre la première édition imprimée du « Véritable disciple » que lui a apportée sa mère. Un nouveau choc !
Eté1923: prend contact avec le Père Camille Lauzier, alors supérieur du petit-séminaire pradosien
de Notre-Dame de la Roche, futur supérieur général du Prado.
Ordonné diacre à Rome (Saint-Jean de Latran) le 26 mai 1923
Ordonné prêtre à Lyon (chapelle du collège des Chartreux) le 8 juillet 1923.
17 mai 1924 : Alfred Ancel, déjà docteur en philosophie, soutient sa thèse de théologie au Musée
lapidaire du Vatican, devant le Pape Pie XI en personne !
1925 : entre au noviciat du Prado, à la Guillotière. L'émotion ressentie devant la pauvreté de la
chambre du Père Chevrier.
1925: rencontre déterminante avec le séminariste Antoine Goutagny, très proche des milieux populaires qui sera par la suite formateur des novices pradosiens, puis aumônier national de l'Action Catholique Ouvrière.
1926-1927 : s'occupe de la préparation des enfants à la première communion.
Dès 1928 : chargé de la formation des grands séminaristes du Prado.
En 1929 : initiateur du transfert du grand-séminaire du Prado à Limonest, dans la propriété acquise par le Père Chevrier.
1927 : est présent à la réunion organisée à Lyon, pour les prêtres intéressés, par l'abbé Georges
Guérin, fondateur, en 1926, de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne
25 février 1942 : Alfred Ancel est élu nouveau supérieur général du Prado. Il le sera pendant trente
ans, jusqu'en 1971
Durant la Deuxième Guerre mondiale, il publie « La pauvreté du prêtre », ouvrage majeur tiré de la vie et des écrits du Vénérable Antoine Chevrier.
À la demande du cardinal Pierre-Marie Gerlier, cache des Juifs au Prado.
(...)
30 août 1983 : entre à la Maison des Petites Soeurs des Pauvres, rue Hénon à la Croix-Rousse.
11 septembre
« Le deuxième fondateur du Prado » selon le pape Paul VI
Naissance à Lyon, 26, Place Bellecour, le 22 octobre 1898.
Père : Gustave, industriel soyeux.
Mère : Marie-Joséphine Villet, fille d'industriels, a des ascendants communs avec le saint curé d'Ars
Fratrie de six, dont quatre garçons (trois deviendront prêtres).
Scolarité à l'Institut des Chartreux, à la Croix-Rousse.
A pour condisciple Georges Finet, futur fondateur des Foyers de Charité
Brillant baccalauréat es lettres obtenu en 1915.
Retraite de 1915 à Ars : l'appel inattendu du Seigneur.
1915, toujours. Alfred Ancel a 17 ans. La Première Guerre mondiale a éclaté.
Engagement au front, comme « poilu »
Blessé une première fois en juillet 1916, une deuxième fois plus gravement en décembre 1917 en
Italie. Perds son œil droit.
Début 1918, en convalescence, lit la biographie de Saint François d'Assise écrite par le poète danois Johannes Joergensen. Un choc.
Automne 1918 : Entre au Séminaire français de Rome. Y restera sept années. A pour condisciple et ami Gabriel-Marie Garonne, futur cardinal.
Début 1922: découvre la première édition imprimée du « Véritable disciple » que lui a apportée sa mère. Un nouveau choc !
Eté1923: prend contact avec le Père Camille Lauzier, alors supérieur du petit-séminaire pradosien
de Notre-Dame de la Roche, futur supérieur général du Prado.
Ordonné diacre à Rome (Saint-Jean de Latran) le 26 mai 1923
Ordonné prêtre à Lyon (chapelle du collège des Chartreux) le 8 juillet 1923.
17 mai 1924 : Alfred Ancel, déjà docteur en philosophie, soutient sa thèse de théologie au Musée
lapidaire du Vatican, devant le Pape Pie XI en personne !
1925 : entre au noviciat du Prado, à la Guillotière. L'émotion ressentie devant la pauvreté de la
chambre du Père Chevrier.
1925: rencontre déterminante avec le séminariste Antoine Goutagny, très proche des milieux populaires qui sera par la suite formateur des novices pradosiens, puis aumônier national de l'Action Catholique Ouvrière.
1926-1927 : s'occupe de la préparation des enfants à la première communion.
Dès 1928 : chargé de la formation des grands séminaristes du Prado.
En 1929 : initiateur du transfert du grand-séminaire du Prado à Limonest, dans la propriété acquise par le Père Chevrier.
1927 : est présent à la réunion organisée à Lyon, pour les prêtres intéressés, par l'abbé Georges
Guérin, fondateur, en 1926, de la Jeunesse Ouvrière Chrétienne
25 février 1942 : Alfred Ancel est élu nouveau supérieur général du Prado. Il le sera pendant trente
ans, jusqu'en 1971
Durant la Deuxième Guerre mondiale, il publie « La pauvreté du prêtre », ouvrage majeur tiré de la vie et des écrits du Vénérable Antoine Chevrier.
À la demande du cardinal Pierre-Marie Gerlier, cache des Juifs au Prado.
(...)
30 août 1983 : entre à la Maison des Petites Soeurs des Pauvres, rue Hénon à la Croix-Rousse.
11 septembre
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