Interrogé sur la déclaration de politique publique d'Edouard Philippe qui lance le 2ème acte du quinquennat, le chef de fil centriste reconnaît "qu'il y a eu un trou d'air. Depuis six mois, nous avons continué les réformes" précise l'élu qui cite la loi sur la justice, celles sur les transports ou la fonction publique. "Mais il fallait poser les valises et discuter avec les Français sur le sens de notre projet. La politique n'est pas qu'un pragmatisme". Il affirme que la première partie du quinquennat a permis de remettre la France dans la course : "Elle ne pouvait rester le dernier pays de l'OCDE". Mais il nuance : "A force de réformes à marche forcée, on avait perdu le sens du projet."
Category
🗞
News