Ce vendredi 20 janvier les ministres se sont attelés à défendre le projet de réforme des retraites, sans minimiser la forte mobilisation de la veille. Près de 1,2 million de personnes ont manifesté dans tout le pays d’après les autorités, la CGT avançant même le chiffre de 2 millions.
« Je crois qu’on ne va pas faire une bataille de chiffres », répond Agnès Pannier-Runacher sur LCI lorsqu’on lui fait remarquer que la mobilisation était plus importante que ce que l’exécutif avait anticipé. « Je ne connais pas de réforme qui demande des efforts qui fasse l’unanimité », a fait valoir la ministre de la Transition énergétique.
« Continuer à défendre cette réforme »
Même son de cloche sur BFM Business pour Bruno Le Maire : « Je ne suis pas surpris » a réagi le ministre de l’Économie. « On demande aux Français de travailler plus longtemps, il est évident que ce n’est pas très populaire » a-t-il concédé, refusant de jouer la carte de l’étonnement. « Il faut continuer à expliquer, continuer à convaincre, continuer à défendre cette réforme », a-t-il poursuivi, en martelant que celle-ci est « juste ». « Maintenant, c’est le temps du Parlement, » a affirmé Bruno Le Maire alors que les syndicats ont déjà prévu une prochaine mobilisation pour le 31 janvier.
« Toutes les ouvertures et discussions sont intéressantes, toutes les propositions sont utiles mais elles doivent s’inscrire dans un cadre financier qui garantit un retour à l’équilibre en 2030 : c’est un point absolument fondamental de cette réforme » a précisé le patron de Bercy.
« Je crois qu’on ne va pas faire une bataille de chiffres », répond Agnès Pannier-Runacher sur LCI lorsqu’on lui fait remarquer que la mobilisation était plus importante que ce que l’exécutif avait anticipé. « Je ne connais pas de réforme qui demande des efforts qui fasse l’unanimité », a fait valoir la ministre de la Transition énergétique.
« Continuer à défendre cette réforme »
Même son de cloche sur BFM Business pour Bruno Le Maire : « Je ne suis pas surpris » a réagi le ministre de l’Économie. « On demande aux Français de travailler plus longtemps, il est évident que ce n’est pas très populaire » a-t-il concédé, refusant de jouer la carte de l’étonnement. « Il faut continuer à expliquer, continuer à convaincre, continuer à défendre cette réforme », a-t-il poursuivi, en martelant que celle-ci est « juste ». « Maintenant, c’est le temps du Parlement, » a affirmé Bruno Le Maire alors que les syndicats ont déjà prévu une prochaine mobilisation pour le 31 janvier.
« Toutes les ouvertures et discussions sont intéressantes, toutes les propositions sont utiles mais elles doivent s’inscrire dans un cadre financier qui garantit un retour à l’équilibre en 2030 : c’est un point absolument fondamental de cette réforme » a précisé le patron de Bercy.
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