Invitée sur BFMTV ce vendredi 20 octobre, Nadine Morano est revenue sur les menaces d’expulsion qui pèsent sur Les Républicains qui ont rallié Emmanuel Macron. « Les Constructifs, c’est le mot de code pour traître », lance la députée européenne. « Un parti d’opposition ne peut pas avoir en son sein le chef de la majorité ! Imparable : dehors, point », continue-t-elle. Membre du groupe Les Constructifs à l’Assemblée nationale justement, Thierry Solère indique ne pas être « En marche, mais être Républicain ». L’élu des Hauts-de-Seine revient également sur l’adoption de la flat tax et sur les mesures fiscales lancées par le gouvernement. « Je souhaite que les plus fortunés payent vraiment », déclare-t-il.
Sur Europe 1, Virginie Calmels est sévère avec ces réformes. « Emmanuel Macron fait le choix de matraquer les retraités ou les propriétaires. C’est toujours une fois encore les mêmes qui vont payer », estime-t-elle. Sur France info, Nicolas Dupont-Aignan répète que ces mesures fiscales et notamment l’ISF, « pour une minorité de personnes qui ont financé la campagne de Macron, c’est le renvoi d’ascenseur ».
Invité sur LCP, Jean-Christophe Cambadélis évoque le congrès socialiste qui se tiendra en février prochain. « Ce congrès 2018 sera une guerre d’ego parce qu’il est très difficile de mettre le projet avant les personnes », regrette l’ancien Premier secrétaire du PS. « Le parti socialiste doit refonder l’espoir, il doit être en capacité d’offrir le chemin d’une nouvelle France », ajoute-t-il.
Sur Europe 1, Virginie Calmels est sévère avec ces réformes. « Emmanuel Macron fait le choix de matraquer les retraités ou les propriétaires. C’est toujours une fois encore les mêmes qui vont payer », estime-t-elle. Sur France info, Nicolas Dupont-Aignan répète que ces mesures fiscales et notamment l’ISF, « pour une minorité de personnes qui ont financé la campagne de Macron, c’est le renvoi d’ascenseur ».
Invité sur LCP, Jean-Christophe Cambadélis évoque le congrès socialiste qui se tiendra en février prochain. « Ce congrès 2018 sera une guerre d’ego parce qu’il est très difficile de mettre le projet avant les personnes », regrette l’ancien Premier secrétaire du PS. « Le parti socialiste doit refonder l’espoir, il doit être en capacité d’offrir le chemin d’une nouvelle France », ajoute-t-il.
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