Pendant la campagne présidentielle, Emmanuel Macron, comme tous les candidats, avait été régulièrement interrogé sur l’épineux dossier Notre-Dame-des-Landes. Le représentant d’En Marche avait notamment été très clair le 6 avril 2017 sur France 2.
«[px_nbsp:nbsp]Il y a eu un vote. Mon souhait, je le redis très clairement, c’est de le respecter. (...) Donc de le faire ![px_nbsp:nbsp]» affirmait-il face à Bruno Retailleau. Le lendemain, le futur-président était plus prudent en disant qu’il nommerait une commission d’experts mais il disait tout de même : «[px_nbsp:nbsp]ce que j’ai rappelé, c’est qu’il y a eu une consultation publique de type référendaire, qu’elle s’est exprimée et qu’elle a dit oui au projet donc je ne peux pas être aujourd’hui, dans une situation où je déchire, j’arrive et je dis avec moi il n’y aura pas Notre-Dame-des-Landes. Parce qu’à la fin des fins, ça envoie 2 messages qui sont très négatifs. Le premier : on ne respecte pas les consultations publiques quand elles ne nous arrangent pas. Ça ne va pas ! Le deuxième, c’est qu’on ne peut plus avoir quelques projets que ça soit dans le pays, parce que vouloir le bloquer, suffit à tout empêcher de manière durable[px_nbsp:nbsp]».
Quant à Edouard Philippe, en octobre 2016, il se montrait lui aussi plutôt favorable au projet de construction.
«[px_nbsp:nbsp]Il y a eu un vote. Mon souhait, je le redis très clairement, c’est de le respecter. (...) Donc de le faire ![px_nbsp:nbsp]» affirmait-il face à Bruno Retailleau. Le lendemain, le futur-président était plus prudent en disant qu’il nommerait une commission d’experts mais il disait tout de même : «[px_nbsp:nbsp]ce que j’ai rappelé, c’est qu’il y a eu une consultation publique de type référendaire, qu’elle s’est exprimée et qu’elle a dit oui au projet donc je ne peux pas être aujourd’hui, dans une situation où je déchire, j’arrive et je dis avec moi il n’y aura pas Notre-Dame-des-Landes. Parce qu’à la fin des fins, ça envoie 2 messages qui sont très négatifs. Le premier : on ne respecte pas les consultations publiques quand elles ne nous arrangent pas. Ça ne va pas ! Le deuxième, c’est qu’on ne peut plus avoir quelques projets que ça soit dans le pays, parce que vouloir le bloquer, suffit à tout empêcher de manière durable[px_nbsp:nbsp]».
Quant à Edouard Philippe, en octobre 2016, il se montrait lui aussi plutôt favorable au projet de construction.
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