• il y a 5 ans
La Commission européenne a jugé ce mariage néfaste pour la concurrence sur le marché ferroviaire de l'Union. Il réduirait, selon elle, les industriels rivaux dans l'UE, et risquerait de faire monter les prix des trains. Le patron de Siemens a dénoncé mercredi 6 février ce veto européen. Il milite pour une refonte «structurelle» de la politique industrielle européenne. Ce rejet est aussi critiqué par Agnès Pannier-Runacher, secrétaire d'État à l'Économie. Bruno le Maire a aussi fustigé «une erreur» qui «va servir les intérêts» de la Chine. La Commission européenne qui dispose d'un droit de veto n'en a pas souvent fait usage. Alstom a finalement enterré tout projet de fusion avec Siemens.

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