Le président confédération nationale de la boulangerie Dominique Anract était l’invité de Morandini Live ce mercredi 23 avril sur CNEWS. Il s’est exprimé au sujet des attaques de prisons : «Il faut que la loi soit clarifiée»
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00:00Non, pas chez les fous, tout s'explique, mais peut-être pas quand même ce 1er mai qui depuis 1919, si vous voulez, les boulangers travaillent et bien souvent tout le monde est content de les avoir.
00:10Comme disait ce boulanger qui a eu une très belle réussite, il a toujours travaillé et on était bien content de les trouver, voire même pendant le Covid, le samedi, dimanche, jour férié, la nuit, etc.
00:25Donc c'est vrai qu'on n'est pas chez les fous, tout s'explique parce qu'il faut que la loi soit clarifiée, mais jusqu'à maintenant, c'est vrai que quelque part, on ne nous avait pas demandé de le faire.
00:33Donc les gens travaillaient de bonne foi, on faisait du chiffre d'affaires, les salariés sont même très contents parce qu'ils ont le choix de le faire, un salarié ne veut pas travailler, il ne travaille pas.
00:44Par contre, s'il travaille, il est payé double et puis aussi ce chiffre d'affaires qui rentre quand même, qu'on estime, le 1er mai, 70 millions d'euros qui ne vont pas rentrer dans les caisses.