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00:00Il est 16h32, on est sur Orban et on parle un petit peu de tout ce qui s'est passé ce week-end.
00:04Alors ce week-end, c'était le week-end des rassemblements, des booms, on va pas se mentir, il y avait des booms partout.
00:10Donc il y avait donc Gabriel Attal qui a fait une petite boom.
00:13Gabriel Attal, si j'avais été lui, j'aurais quand même invité, j'aurais fait un truc autour, genre Emmanuel Macron qui arrive à un moment.
00:20En surprise.
00:21Ah bien sûr, ça aurait été fort.
00:23Il pouvait pas, il était dans l'avion pour l'Egypte.
00:25Il aurait prévu la date en connaissant la date du voyage officiel.
00:29Bah oui, il aurait dû quand même, non ?
00:31Je suis d'accord.
00:32Est-ce qu'Emmanuel Macron est un boulet ou un atout ?
00:34Le président est au-dessus des parties.
00:36Vous savez très bien qu'aujourd'hui, les gens veulent prendre de la distance.
00:38Oui, il est au-dessus des parties, mais il n'est pas au-dessus d'un mec qui va pas payer le péage.
00:41Donc il faut arrêter les mecs.
00:43Il faut arrêter dans 5 minutes.
00:45Oh, on est où là ?
00:47Il est peut-être au-dessus des parties, mais il n'est pas au-dessus de la Vénus de Milo.
00:49Il va au Louvre toutes les semaines.
00:51Il faut arrêter de nous prendre pour un con.
00:53La semaine prochaine, il sera au musée de la Marine.
00:55Et la semaine d'après, dans Ménège.
00:57Il va plus dans les musées que dans les ministères.
00:59Donc arrêtez de dire des conneries.
01:01Ce qui est sûr pour répondre à Géraldine, c'est qu'ils voudront jouer la rupture.
01:05Tant Attal qu'Édouard Philippe, mais c'est compliqué de jouer la rupture.
01:07Avec un bilan...
01:08Quand t'as été Premier ministre, alors l'un a 8 mois, donc ça sera à la limite.
01:11Mais t'es quand même Premier ministre pendant 6 ans.
01:14Et l'autre, 3 ans à Matigny, donc compliqué de jouer la rupture.
01:18Mais compliqué aussi d'avoir Emmanuel Macron contre soi.
01:20Et Édouard Philippe et Gabriel Attal ont Emmanuel Macron contre eux.
01:24Parce qu'il y en a un qui l'a moins que l'autre.
01:26Contre lui.
01:27Ah non, non, non, les deux.
01:31Attal est un peu plus détesté, pour des raisons légitimes d'ailleurs.
01:34C'est pas pareil, mais c'est pareil.
01:35Pour moi, il n'y en a qu'un qui s'en sort bien et qui est hors de ces deux-là, c'est Gérald Darmanin.
01:39Alors c'est Gérald.
01:40Gérald Darmanin.
01:41Gérald, c'est mon plombier.
01:42Gérald Darmanin.
01:43Gérald, c'est mon plombier, ça n'a rien à voir.
01:46Oui, mais Darmanin a dit qu'il soutenait Édouard Philippe.
01:48Quoi ? Non, Gérald Philippe.
01:51Ça rigole.
01:52Mais les mecs, qu'est-ce que c'est que cette équipe ?
01:53Non, mais Gérald Darmanin, c'est magnifique.
01:57En tout cas, personne n'a expliqué pourquoi Édouard Philippe se maintient aussi haut.
02:00Moi aussi, je ne comprends pas.
02:01Qu'est-ce qu'il se passe ?
02:02Il ne fait rien, il ne dit pas grand-chose.
02:04Peut-être parce qu'il ne dit rien, justement.
02:06Il est installé très haut depuis qu'il a quitté Matignon.
02:08Oui, mais peut-être parce qu'il ne dit rien.
02:09Il a quitté Matignon.
02:10Ça finira par baisser.
02:12C'est ce que tout le monde dit, mais attention, je ne suis même pas sûr.
02:14Je ne crois pas, non.
02:15Je ne suis même pas sûr.
02:17Je ne suis même pas sûr que ça baisse.
02:19Il a fait plusieurs sorties médiatiques.
02:20On ne comprenait pas sa position sur le voile dans le sport, sur l'Algérie.
02:25Il parlait de réponse proportionnée.
02:28On va en revenir à Bruno Rotaillot.
02:30Ce qu'on disait juste avant la pub, c'est que Bruno Rotaillot, pour gagner des points de popularité,
02:34il a un moment déterminant.
02:36C'est-à-dire que Bruno Rotaillot quitte le gouvernement dans les heures qui viennent en disant
02:40« Ce n'est plus possible la réponse de la France face à l'Algérie.
02:44Je vous ai laissé faire pendant dix jours.
02:46Jean-Noël Barreau est allé à Alger.
02:48Il est revenu sans voilemme, sans salle.
02:49On ne parle plus de mesures de rétorsion.
02:51On ne parle plus de dénonciation de tel ou tel accord, notamment de l'accord de 68.
02:55Merci, au revoir, je m'en vais. »
02:57Mais tu vois bien qu'il ne le fait pas.
02:58Non, il ne le fait pas.
02:59Il ne le fait pas parce qu'il y a une échéance qui est celle de la prise du parti, déjà.
03:02Oui, mais il pense sans doute qu'il a besoin d'être ministre de l'Intérieur pour prendre le parti.
03:06Mais moi, je ne pense même pas.
03:07Je pense que si là, il claque la porte...
03:10Regardez, Emmanuel Macron, il a claqué la porte du gouvernement.
03:13Ensuite, il est devenu président de la République.
03:15D'autres ont claqué.
03:16Nicolas Sarkozy avait, lui aussi, en son temps, démissionné.
03:19Donc, il faut avoir le cran de le faire.
03:21Mais après, si vous en sortez...
03:23Valérie Benhamin a claqué la porte de chez elle il y a quelques années.
03:25Aujourd'hui, on est en éloigné.
03:27Pour vous dire, aujourd'hui, claquer une porte, ne vous en ferme pas d'autres.
03:31Ce n'est pas de moi, c'est de la paix.
03:34Claquer une porte, ne vous en ferme pas d'autres.
03:36Ça peut même vous en ouvrir.
03:38Claquer une porte pour vous en ouvrir d'autres.
03:40Mais encore, faut-il oser.
03:42Valérie Benhamin, occupez-vous de Gérard Darmanin.
03:44Merci.
03:48C'est vrai qu'il y a un truc.
03:50C'est qu'Édouard Philippe est très haut.
03:52On ne comprend pas.
03:54Ça, ça vient des Bénahims, des gens comme ça.
03:56Des Mahiers, vous pouvez le dire.
03:58Des Mahiers, des Bénahims.
04:00Qui vont recevoir un mail prochainement.
04:02Qui vont recevoir un mail prochainement.
04:06Ça vient des guimauves.
04:08Parce qu'en fait, c'est le Premier ministre du confinement.
04:10Des gens qui ne servent à rien.
04:12C'est le Premier ministre du confinement et qui a dit un jour
04:14dans une conférence de presse, je ne sais pas.
04:16C'est le président du je-ne-sais-pas.
04:18Ils auraient dû prendre Céline Dion.
04:20Ça a été un marqueur fort à l'époque.
04:22Alors si pour être président de la République,
04:24il faut dire je-ne-sais-pas.
04:26On va en avoir beaucoup des présidents.
04:28Mais qui tu choisis, Gautier, si tu ne veux pas être pris
04:30par les socialistes et extrême droite, choisis.
04:32Tu n'es pas à choisir quelqu'un.
04:34Je ne vais pas porter quelqu'un au pinacle
04:36parce qu'il a dit je-ne-sais-pas.
04:38C'est trop simple.
04:40Sans le porter au pinacle, si tu ne veux pas être pris, Antonin.
04:42Gautier Lebray, n'écoute pas ces deux personnes.
04:44C'est une vraie interrogation.
04:46Ce sont deux personnes qui pour moi
04:48sont les personnes du je-ne-sais-pas.
04:50Ça veut rien.
04:52C'est une vraie interrogation.
04:54J'adore Manuel Valls.
04:56Que feront les français qui n'ont pas envie
04:58de voter à l'extrême gauche
05:00et qui n'ont pas envie de voter à l'extrême droite ?
05:02C'est la vraie question.
05:04C'est ça qui me rend fou.
05:06Je vais vous demander de vous taire.
05:08Merci.
05:10Ça nous fera beaucoup de bien.
05:12Et je vais parler moi-même aux auditeurs d'Europe.
05:14Ce que je viens d'entendre de la part
05:16de Valérie Bénahim.
05:18Coupez-lui son micro.
05:20C'est insupportable.
05:22Merci.
05:24C'est absolument insupportable.
05:26C'est absolument insupportable d'entendre ça.
05:28Valérie Bénahim
05:30qui nous dit en revenant toute fraîche
05:32de son kiné ostéopathe
05:34qui l'a manipulé dans tous les sens.
05:36Elle vient dire aux français
05:38que vont faire les français.
05:40Les français déjà
05:42ils veulent savoir ce qu'il va se passer pour eux
05:44au niveau du pouvoir d'achat, au niveau de la sécurité.
05:46Ils n'en ont rien à foutre de ce que vous dites Valérie Bénahim.
05:48Est-ce qu'on va voter ou truc ?
05:50On s'en fout.
05:52Il n'y a plus de gauche, il n'y a plus de droite.
05:54Les français, Valérie Bénahim.
05:56Ce que vous vous dites là, c'est une phrase qu'on a pu entendre dans les années 90.
05:58Valérie Bénahim, on est en 2025.
06:00La prochaine élection a lieu en 2027.
06:02Ce genre de phrase, je ne veux plus les entendre sur l'antenne d'Europe.
06:04Donc vous coupez le micro
06:06de ces gens romains.
06:08Merci, ça suffit.
06:10Il faut penser d'abord aux français.
06:12Il faut arrêter de dire qu'on ne veut pas voter là.
06:14Les français doivent d'abord penser à eux, à leur quotidien.
06:16Quel homme
06:18peut améliorer leur quotidien ?
06:20C'est tout.
06:22C'est la seule chose qu'ils doivent voir.
06:24Et quel homme ou quelle femme
06:26peut améliorer leur pouvoir d'achat ?
06:28La sécurité, le fait qu'ils puissent sortir le soir
06:30sans avoir peur
06:32de se prendre un coup de couteau.
06:34C'est la seule chose que les français demandent, c'est tout.
06:36Donc dire, si on n'est pas là,
06:38si on n'est pas là, si on n'est pas là,
06:40où c'est qu'on va voter, on ne vote pas là, comme ça.
06:42Il n'y a pas de droite, il n'y a pas de gauche, il n'y a rien.
06:44Il y a juste les français et améliorer leur quotidien.
06:46Denis est avec nous et je suis sûr qu'il est d'accord avec nous.
06:48Et d'ailleurs,
06:50il va dire ce qu'il pense de Valérie Bénahim.
06:52Sûrement, et il va être remonté.
06:54Denis, vous êtes d'accord avec moi ?
06:56Denis, vous êtes d'accord avec moi ?
06:58Denis, j'ai les deux là,
07:00les jumelles,
07:02les jumelles, je ne sais pas,
07:04qui me fatiguent.
07:06Et Denis, dites ce que vous pensez de ces personnes
07:08et n'hésitez pas
07:10à leur mettre un coup de fouet.
07:12Allez-y.
07:14D'abord, bonjour Cyril.
07:16Merci d'être avec nous.
07:18Je suppose que vous appréciez énormément
07:20moi et Gauthier Lebré.
07:22Et Valérie aussi, surtout beaucoup.
07:24Je vous embrasse.
07:26Denis Lebré, c'est avec vous.
07:28Toujours dans le sens du poil.
07:30Avant de fracasser, c'est mieux.
07:32Toujours avant de fracasser.
07:34Vous pouvez en éteindre son micro.
07:36Merci.
07:38Il n'y a pas de la pauvre.
07:40Avec ce qu'elle a fait, il n'y a pas de la pauvre, Denis.
07:42Si on commence à dire la pauvre, la pauvre, la pauvre,
07:44c'est en entendant des la pauvre qu'on ne fait rien en France.
07:46Il a sans pitié, il a raison.
07:48On n'a plus le temps.
07:50Je ne suis pas tout à fait d'accord avec Valérie.
07:52Parce que c'est vrai que
07:54vu ce qu'il y a à voter, on sait vite ce qu'il reste.
07:56C'est bon, pour moi, j'ai trouvé.
07:58C'est vite fait.
08:00Entre les filles
08:02avec ses copains
08:04au QTF et puis de l'autre côté
08:06les collègues de Manu,
08:08c'est vite fait.
08:10Vous avez vu ce que dit Denis.
08:12Les collègues d'Emmanuel Macron.
08:14C'est ce qu'on disait tout à l'heure.
08:16Gabriel Attal, Edouard Philippe.
08:18Gabriel Attal, Edouard Philippe
08:20seront toujours...
08:22Vous avez vu ce que j'ai moi, Denis ?
08:24Moi, je déteste les gens
08:26qui manquent de loyauté.
08:28Et ça déjà pour moi, ça veut dire énormément de choses.
08:30Quand je vois Edouard Philippe
08:32et Gabriel Attal tourner le dos
08:34à Emmanuel Macron, on en pense qu'on veut,
08:36mais tourner le dos à celui qui vous a donné votre chance,
08:38qui a créé le parti, et faire maintenant
08:40comme s'il n'existait plus, pour moi ça déjà
08:42c'est éliminatoire. Je déteste
08:44les gens comme ça. Je vous le dis, ça pour moi déjà
08:46c'est éliminatoire. Ça commence très mal.
08:48On est d'accord.
08:50Pour moi, ça déjà,
08:52ça n'est pas possible.
08:54C'est révélateur du parti politique.
08:56C'est toujours les coups tordus
08:58et les coups d'enfoirés. Quand on écoute
09:00Jordan qui dit, qu'est-ce que je fais ? Je dois
09:02déjà le respect et toute
09:04mon amitié à Marine. Déjà, on voit
09:06que c'est un autre discours. Déjà, on se dit bon.
09:08Déjà, des gens qui se respectent en politique
09:10qui ont quand même le respect
09:12de celui qui l'a mis
09:14en place, c'est déjà pas mal.
09:16Après, on voit
09:18la clique macronienne.
09:20Là, finalement, on s'en fout. On tire
09:22dessus, on tire sur le peuple, on tire sur les collègues,
09:24on tire sur les copains. Là, c'est pas mal.
09:26Là, c'est vraiment des snipers de tous les côtés. On peut y aller,
09:28tout le monde s'en fout. Donc, il n'y a ni éthique,
09:30ni morale. C'est bon. Difficile de le faire plus bas.
09:32Non, non, mais le
09:34problème, Denis, aussi qu'on a,
09:36c'est que, Denis,
09:38j'ai l'impression que moi, on parle
09:40de moins en moins des problèmes des Français.
09:42Ce week-end, pas du tout.
09:44Ce week-end, pas du tout.
09:46C'est vrai. Ce week-end, c'était rien dessus.
09:48C'est un peu le but. Finalement, on s'amuse entre copains,
09:50entre collègues. Après, on fait une bonne bouffe au restaurant.
09:52Et on rigole. On dit, c'est bon.
09:54T'as vu, on n'a pas pu parler de l'école.
09:56Vous savez ce que c'est, ça, pour moi ?
09:58C'est des quatre dealers. C'est la France
10:00que j'appelle la France des bénaillés.
10:02Des bénaillés.
10:04C'est le bénaïsme.
10:06C'est le bénaïsme.
10:08C'est le bénaïsme.
10:10C'est le bénaïsme.
10:12Et moi, je combattrai le bénaïsme jusqu'à mon dernier souffle.
10:14Denis, voilà.
10:16Je vous dis, jusqu'à mon dernier souffle.
10:18Je le dis.
10:20On est obligés.
10:22On est obligés.
10:24Non, pas Géraldine.
10:26Elle vient de gagner 70 balles.
10:28Elle a gagné
10:30au casino. On ne va pas aller tirer dessus.
10:32Elle a gagné 70 euros.
10:34On va se faire copain avec elle.