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NewsTranscription
00:00Sud Radio Bercov, dans tous ses états, le fait du jour.
00:05Oui, nous sommes confinés, mais même à l'intérieur de la maison, même avec ma femme et mes enfants, je porte le masque.
00:16On n'est jamais au prudent. Nous sommes le 17 mars 2020 et tout, tout commence.
00:25Mais auparavant, on va vous raconter toute l'histoire. Méfiez-vous, méfiez-vous, protégez-vous, des virus ennemis vous écoutent.
00:38Et comment ça a commencé, toute cette histoire ? Comment ça a commencé ?
00:43Sud Radio
00:48Eh bien, il s'est passé beaucoup de choses, vous savez, depuis un certain 16 mars 2020.
00:56Voilà, c'était comme ça, on était là, derrière nous sommes tous confinés.
01:00Maud est confinée, notre réalisateur Julien est confiné, Manu Galasso, séparé de son amoureuse, est confiné.
01:07On est tous confinés, vous vous rappelez, 5 ans pratiquement, jour pour jour.
01:13Mais auparavant, il s'est passé beaucoup de choses qu'on va vous raconter.
01:18Nous sommes en guerre.
01:20Eh oui, nous sommes en guerre, le 16 mars 2020 à 20h.
01:25Le Président de la République, attention, mobilisation générale, nous sommes en guerre.
01:30Une guerre contre un virus avec poumon d'ordre, restez chez vous pour sauver des vies.
01:35Alors, on vous raconte très rapidement, rappelez-vous d'abord, il y avait eu effectivement des notes en 2018, 2019.
01:42On savait qu'il y avait des problèmes, que la ville de Wuhan en novembre 2019 fait état d'un cas de maladie,
01:49ville de Wuhan dans le centre de la Chine, le premier cas de Covid-19 confirmé.
01:53Ensuite, le 26 février 2020, le premier Français meurt du coronavirus.
02:00Une nouvelle étape de l'épidémie est franchie, conseil scientifique, etc.
02:05Le 15 mars, le 15 mars, on a attendu les élections quand même,
02:10le 15 mars, les électeurs se déplacent pour voter aux élections municipales.
02:15Le lendemain, nous sommes en guerre, et puis l'OMS, pandémie mondiale.
02:21Premier confinement donc, annoncé la veille par Emmanuel Macron, ça dura presque deux mois.
02:27Et puis, il y a eu, voilà, deux mois et demi, ça a duré, le port du masque se généralise,
02:34tout ce qui est essentiel et non essentiel, rappelez-vous ce qui est essentiel,
02:38il fallait peut-être l'acheter évidemment, il fallait le manger, et tout ce qui est non essentiel, etc.
02:43Et, et, et, et, 9 novembre 2020, le géant pharmaceutique américain Pfizer, associé au laboratoire allemand BioNTech,
02:51voilà dit, on a le vaccin, ça y est, il est positif.
02:55Une semaine plus tard, la bibliothèque américaine Moderna lui emboîte le pas.
02:59La campagne de vaccination débute en France, le 27 décembre 2020, et bat son plein en 2021.
03:08Et alors, vous vous rappelez ce qui a été dit ? Eh bien, écoutez, on va en parler.
03:13Vous allez écouter cela, c'est tout à fait, tout à fait significatif, encore une fois,
03:18on en parlera plus tard, bien sûr, on commentera,
03:21mais écoutez déjà certaines déclarations que vous avez entendues à la radio, à la télévision, partout,
03:29et ça a commencé avec Agnès Buzyn, alors ministre de la Santé, c'était évidemment en janvier 2020.
03:37Écoutez.
03:38Le risque d'importation de cas depuis Wuhan est modéré.
03:41Il est maintenant pratiquement nul, puisque la ville, vous le savez, est isolée.
03:46Les risques de cas secondaires autour d'un cas importé sont très faibles,
03:51et les risques de propagation du virus dans la population sont très faibles.
03:55Pour freiner au microbe, la consommation dans les bars et cafés ne pourra plus se faire seulement debout,
04:01mais seulement de manière assise.
04:03Toutes les personnes qui circuleront devront être en mesure de justifier leur déplacement.
04:08Cela concerne évidemment aussi les piétons.
04:12Mais bon, tout de suite après, on ne s'allonge pas, on ne reste pas statique, et puis tout se passera bien.
04:18Pour y parvenir, chaque personne, pour chaque déplacement,
04:22devra se munir d'un document attestant sur l'honneur le motif de son déplacement.
04:28Attestation de déplacement dérogatoire.
04:32Certifie que mon déplacement est lié au motif suivant.
04:35Cocher la case.
04:36Autorisé par l'article 3 du décret du 23 mars 2020.
04:40Prescrivant les mesures générales nécessaires pour faire face à l'épidémie de Covid
04:45dans le cadre de l'état d'urgence sanitaire.
04:47Attention, on va cocher les cases.
04:49Déplacement entre le domicile et le déexercice de l'activité professionnelle.
04:53Lorsqu'ils sont indispensables à l'exercice d'activités,
04:57nous pouvons être organisés sous forme de télétravail.
04:59Déplacement pour effectuer les achats de fournitures nécessaires à l'activité professionnelle
05:04et les achats de premières nécessités.
05:06Alors, la liste est donnée.
05:08Consultation énorme pour les soins.
05:10Nous pouvons être assurés à distance, nous pouvons être différés.
05:14Consultation et soins des patients.
05:16Déplacement pour motif familial impérieux.
05:18Déplacement, bref, attention, dans la limite d'une heure quotidienne
05:23et dans un rayon maximal d'un kilomètre autour du domicile
05:28lié soit à l'activité physique individuelle des personnes
05:31à l'exclusion de toutes pratiques sportives collectives
05:35et de toute proximité avec d'autres personnes.
05:38C'est pour ça que vous voyez, nous avons une distance extrêmement forte
05:41entre Maude, entre Julien, et voilà.
05:44Nous gardons les gestes barrières, bien sûr.
05:48Voilà, c'était ça l'attestation, mais on continue.
05:52Il venait juste de récupérer sa conjointe sur son lieu de travail.
05:55Ça ne fait pas partie des autorisations.
05:57En plus, il n'avait pas les autorisations avec lui.
05:59Donc c'est une contravention de 135 euros.
06:01Cette attestation sera obligatoire.
06:04Messieurs, dames, veuillez regagner votre domicile.
06:08Contrôle précoce.
06:10Cette femme devra, elle, payer 135 euros
06:13pour avoir fait durer sa séance de yoga un peu trop longtemps.
06:16La police m'a vue assise, m'a dit que je stagnais
06:20et que c'était 135 euros d'amende, que ma feuille était mal remplie.
06:25Il faut continuer d'appliquer ces gestes barrières.
06:27Là-dessus, on voit des faiblesses.
06:28Donc j'ai demandé à ce qu'on passe une étape au gouvernement.
06:31Et je souhaite que dans les prochaines semaines,
06:33on rende obligatoire le masque dans tous les lieux publics clos.
06:37Les masques qui empêchent, qui te protègent de la maladie,
06:41c'est ce que portent les médecins.
06:42Ce sont des masques type FFP2 ou FFP3, dit masque canard.
06:46Ça, c'est des masques véritablement de protection.
06:48Donc les petits masques qu'on voit, ça ne sert à rien.
06:49Ça ne sert à rien. C'est une légende urbaine, ça.
06:51Il faut que les gens le comprennent bien.
06:53Des masques chirurgicaux qui, je le rappelle, ne vous protègent pas.
06:56C'est écrit sur la boîte.
06:58C'est écrit par le fabricant, sur la norme.
07:00Ne protège pas celui qui le porte d'un risque de contamination virale.
07:05On ne doit pas acheter de masques.
07:06Et d'ailleurs, on ne peut pas en acheter,
07:07puisque nous avons donné des instructions aux officines de pharmacie
07:10pour qu'elles ne distribuent des masques
07:12que sur prescription médicale ou coprofessionnels de santé.
07:15Il n'y a pas de risque de pénurie.
07:16Cette situation est absolument atterrante.
07:19J'avoue que je ne comprends pas comment on a pu en arriver là,
07:23un pays comme le nôtre.
07:24Nous sommes dans le pays où il y a les plus grands services hospitaliers.
07:28Nous faisons des choses extraordinaires à Pompidou.
07:30Il y a le cœur artificiel.
07:31Et nous n'avons pas de masque.
07:32Je disais il y a deux jours que c'était une économie de santé de pays sous-développés.
07:36Mais je pense que je n'ai pas tort.
07:38C'est qu'il n'y a pas d'autre issue dans cette situation épidémique
07:42que la vaccination obligatoire.
07:45Et on présente ça comme si c'était quelque chose d'attentatoire aux libertés.
07:51Chacun des bébés qui naît en France reçoit 11 vaccinations.
07:56D'ailleurs l'injection des 11 avait fait débat au moment où Agnès Buzyn l'avait imposée.
08:00Et puis vous voyez bien qu'il n'y a aucun effet négatif ou secondaire.
08:04Un pass.
08:05Pas de masque.
08:06Aucun effet négatif.
08:07Nous n'imposerons plus le port du masque dans tous les lieux fermés soumis au pass,
08:10comme les bars, les restaurants, les théâtres, les cinémas, les musées.
08:13C'est une contrainte en moins.
08:15C'est une liberté en plus.
08:17Et c'est un moment attendu, je le sais, par les Français.
08:20C'est une bonne solution.
08:21C'est de transformer le pass sanitaire en pass vaccinal.
08:24C'est-à-dire que si vous n'avez pas un schéma de vaccination complet,
08:26on vous retire de certaines activités sociales.
08:28Aujourd'hui vous pouvez aller au cinéma, au restaurant avec un simple test
08:31montrant que vous n'avez pas la maladie.
08:33Si on supprime ça, on va pousser encore un peu plus de gens vers la vaccination.
08:38On peut aussi créer une obligation juridique,
08:40c'est-à-dire faire une loi disant que la vaccination est obligatoire.
08:42On sait que les récalcitrants seront assez insensibles à cela.
08:45On peut enfin affiner ce fameux aller vert
08:47en demandant à ceux qui ont les noms des non-vaccinés,
08:50les organismes, les administrations,
08:51qui savent qui devrait être vacciné et qui ne l'est pas,
08:53de donner ces fichiers à des brigades, à des agents,
08:56à des équipes qui vont les frapper à la porte
08:58et dire que vous n'êtes toujours pas vacciné.
09:00C'est un problème pour vous et pour les autres.
09:01Je vous dirais, regardez l'Allemagne, regardez l'Italie.
09:04Ils connaissent un rebond épidémique,
09:06alors qu'ils ont maintenu le pass sanitaire et parfois le pass vaccinal,
09:08qu'ils ont maintenu le port de masque dans les lieux fermés.
09:11En Italie, c'est même le FFP2 qui est obligatoire dans les commerces.
09:13Ils ont le même rebond que nous.
09:15Je veux rendre la confiance, je veux expliquer aux gens
09:17qu'un vaccin obligatoire, c'est parce que c'est sûr,
09:21qu'il n'y a pas d'effet secondaire,
09:23que ça protège l'enfant mais aussi la collectivité.
09:25Je veux rendre la confiance sans sanctions.
09:28Mais par contre, je veux que les Français ressentent
09:31que la politique de santé publique est une politique ferme
09:34et assumée par les pouvoirs publics.
09:36Il y a quand même une responsabilité du gouvernement.
09:38Les incohérences, les contradictions sur les masques, ce n'était pas utile.
09:41Sur les tests, ce n'était pas utile.
09:42Maintenant, on fait un dépistage massif
09:44et on est totalement en échec sur le traçage et l'isolement.
09:48Si vous n'êtes qu'à contact ou si vous êtes positif,
09:50on vous appelle et on vous dit, donc vous vous isolez.
09:53D'accord, vous pouvez sortir.
09:54Réintégrer des soignants qui reflètent l'idée même
09:57d'une médecine fondée sur la science,
10:00en préférant les croyances,
10:02viendrait remettre en cause la légitimité
10:05de l'obligation vaccinale
10:07et à diffuser le complotisme dans les hôpitaux.
10:10Ceux qui depuis des mois tentent de discréditer le vaccin,
10:14d'effrayer les Français et de répandre leur bobard
10:17sur des réseaux antisociaux devenus le fort chabrol des agités du bocal
10:21et dans des cortèges de pigeons menés par des ânes,
10:25ces politiciens des deux extrêmes,
10:27dont les serments vaccino-sceptiques,
10:29ne sont que le moyen d'atteindre l'objectif qui les obsède,
10:32foutre en l'air le système.
10:34La vaccination, ça marche.
10:36On a constaté que les personnes qui ont deux doses,
10:38jusqu'alors, lorsqu'elles croisaient une personne
10:41qui était contaminée,
10:43devaient être qu'à contact et donc s'isoler.
10:46Les analyses faites sur ces personnes montrent qu'en réalité,
10:49elles n'ont plus de chance d'attraper la maladie.
10:52Donc, nous allons, dès cet après-midi,
10:54le ministre de la Santé enverra une instruction en ce sens,
10:57supprimer l'obligation qui s'attache au fait d'être qu'à contact.
11:00Parce qu'évidemment, tout le monde se pose la question,
11:03et alors, bon, une première dose de rappel, une deuxième,
11:06jusqu'où va-t-on aller ?
11:07Jusqu'où va-t-on aller ? On ne le sait pas.
11:09On s'est aperçu que ces vaccins
11:11protégeaient finalement assez peu ou mal
11:14contre l'infection et la transmission.
11:17Alors, je sais que c'est difficile à comprendre pour le public,
11:20c'est difficile à comprendre pour les médecins.
11:22C'est parce que d'habitude, un vaccin protège contre l'infection.
11:25C'est ce que j'allais vous dire. Et puis, vous étiez très optimiste,
11:27il y a six mois, en nous expliquant que les premières études
11:29disaient qu'on était protégé et qu'on contaminait moins.
11:32C'est exact.
11:34Et vous avez vu que dans cette pathologie,
11:37dans cette pandémie,
11:39la médecine doit avoir une grande humilité.
11:42Parce qu'on fait un pas en avant, deux pas en arrière,
11:45mais c'est aussi une adaptation au problème qui se pose.
11:50Et voilà !
11:51La dernière intervention était celle du professeur Delphrécy,
11:55vous savez, le président du conseil scientifique,
11:57qui a été instauré par Emmanuel Macron en 2020.
12:02Président du conseil scientifique,
12:04et qu'est-ce qu'il dit en fin de parcours ?
12:06Et il dit, écoutez, oui, la médecine doit être humble,
12:09effectivement, le vaccin protège assez peu, assez mal.
12:14Il n'empêche ni l'infection, ni la transmission.
12:19Il y a des effets secondaires.
12:22Et vous voyez, pendant qu'on nous disait
12:25quiconque met en doute tel ou tel aspect de la vaccination
12:31n'est que vraiment un complotiste
12:35sulfureux à mettre à la droite des autocrates et les plus perfides.
12:41En fait, il reste à écrire, il a déjà été écrit,
12:46l'histoire commence à être écrite
12:48de l'histoire de cette gestion du Covid-19,
12:51non seulement en France, mais dans le monde.
12:54Il y a eu des bouquins passionnants,
12:56nous avons reçu Pierre Chaillot, le statisticien,
12:59nous avons reçu Jean-Dominique Michel,
13:02nous avons reçu Didier Raoult, nous avons reçu Christian Perron
13:05et aussi des partisans, effectivement, du vaccin,
13:08tous vaccinés, tous protégés.
13:11Alors, écoutez l'histoire, l'histoire dira ce qu'il en est vraiment,
13:18mais que l'on ait pu qualifier de complotiste sulfureux
13:24des gens qui avaient question à tout et qui mettaient en doute,
13:28que l'on ait, il faut le dire, supprimé toute indemnité
13:33mise en disponibilité sans un sou
13:36des centaines, des milliers de soignants
13:40parce qu'ils refusaient de se faire vacciner
13:42alors que les députés n'étaient pas vaccinés,
13:45n'avaient pas l'obligation de se faire vacciner, par exemple,
13:48que l'on avait dit qu'on voulait emmerder
13:51et non seulement on avait envie d'emmerder les non-vaccinés
13:54et cela au sommet même,
13:57que l'on ne pose pas des questions
13:59alors qu'un peu partout, aux Etats-Unis et ailleurs,
14:03surgissent des procès qui ne font que commencer
14:06contre les laboratoires, un certain nombre de laboratoires pharmaceutiques.
14:09Et enfin, et enfin il faut le dire,
14:12qu'à l'heure où je vous parle, nous n'avons pas, toujours pas,
14:16nous, les 400 millions d'Européens,
14:19la teneur intégrale des contacts et des contrats
14:25signés entre la Commission européenne de Mme Ursula von der Leyen
14:29et le PDG de Pfizer, M. Albert Bourla.
14:33À l'heure où je vous parle, nous sommes en mars 2025,
14:36nous n'avons encore, alors que c'est la moindre des choses,
14:39ni nous dit d'ailleurs les députés européens
14:42dont les deux tiers ont voté contre la transparence des contrats.
14:46Alors vous voyez, cette histoire, elle n'est pas du tout finie.
14:50On voulait simplement vous rappeler un certain nombre de choses.
14:53On voulait vous faire réentendre un certain nombre de faits
14:57et un certain nombre de déclarations.
15:00Et dans cette auberge espagnole des fantasmes,
15:03il faudra vraiment que le bon Dieu retrouve ses petits.
15:07A tout de suite.