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NewsTranscription
00:00Alexis Poulin, sans réserve, l'invité.
00:03Et notre invité, c'est Florian Philippot, président des Patriotes.
00:06Bonjour.
00:07Bonjour.
00:07Alors, vous avez organisé, il y a de ça quelques jours,
00:10une manifestation pour la paix dans les rues de Paris,
00:13contre, finalement, cette volonté de l'Union Européenne
00:16de faire capoter, en quelque sorte, les accords de paix entre Trump et Poutine.
00:22Quel est votre objectif, vous ?
00:24C'est de mobiliser les Français, parce que leur objectivement est grave.
00:28C'est-à-dire qu'au moment où on est au plus proche de la paix,
00:32enfin, en Ukraine, on le voit bien,
00:34on a le sentiment qu'effectivement, ça dérange l'Union Européenne, Macron,
00:38qui fonce vers la guerre, plus que jamais,
00:41avec une propagande de guerre qui se développe,
00:43qui dégouline sur tous les médias, matin, midi et soir.
00:46C'est devenu hallucinant.
00:48Et puis, ces engagements qui nous font peur.
00:50C'est-à-dire que l'idée, quand même, d'envoyer,
00:52même après un cessez-le-feu, des troupes soi-disant de la paix,
00:57des troupes françaises et d'autres en Ukraine,
00:59il n'y a pas de trouble de la paix, ça n'existe pas.
01:02On sait très bien qu'on est dans un conflit qui est tout sauf terminé,
01:06qui a des causes profondes,
01:09et qu'on est une puissance nucléaire face à une autre puissance nucléaire.
01:12Donc tout ça est d'une grande irresponsabilité.
01:15Mais le problème, c'est qu'on voit bien que Macron et l'Union Européenne
01:20ne sont pas sur un agenda...
01:22L'agenda qu'ils nous présentent à la télévision n'est pas le vrai agenda.
01:25C'est-à-dire que la volonté de, en permanence,
01:29raviver la guerre quand la paix devient possible,
01:31et je trouve qu'on le voit bien en ce moment,
01:36sert à un agenda.
01:37Et Macron a un agenda.
01:38Il a un agenda intérieur,
01:40qui ressemble beaucoup à celui du Covid.
01:42C'est-à-dire qu'il a besoin de faire peur.
01:45Il ne gouverne pas par la conviction,
01:48en entraînant son peuple vers un projet d'espérance,
01:51un projet national.
01:52Non, non, il gouverne par la peur.
01:54En soumettant, en stressant,
01:57par ses discours, on a vu l'allocution l'autre jour,
01:59des discours anxiogènes.
02:01Ce qui est un moyen pour lui,
02:03de maintenir sous peur un peuple,
02:05et de l'entraîner un peu vers ce qu'il veut.
02:07C'est-à-dire que vers la guerre,
02:09mais aussi, on nous a reparlé de la réforme des retraites,
02:12peut-être même la retraite à 70 ans pour financer l'Ukraine,
02:15comme l'auraient fait les Danois,
02:17l'épargne, on a des projets assez délirants qui fleurissent ici et là,
02:20et puis de l'austérité sur le reste,
02:23parce qu'il va bien falloir financer l'Ukraine.
02:25C'est la dette.
02:27On sent qu'il y a un agenda intérieur qui n'a rien à voir avec la paix,
02:30ou même le souci du peuple ukrainien.
02:32Parce que s'il avait vraiment le souci du peuple ukrainien,
02:34il ferait tout pour que les combats cessent le plus vite possible.
02:36Et l'Union Européenne, son agenda est très clair,
02:38comme à chaque fois qu'il y a une crise,
02:41c'est de piquer une compétence en plus.
02:44Pendant le Covid, elle a pris la compétence de la santé,
02:47et là, elle veut la compétence des affaires militaires.
02:50A terme, l'Union Européenne, c'est Mario Draghi qui avait craché le morceau fin 2023,
02:53veut devenir un État.
02:55Un État a une armée.
02:57C'est la définition même d'un État.
02:59Il doit avoir une armée.
03:01Il a déjà sa monnaie, ses frontières, son droit fédéral,
03:04son droit supranational,
03:06sa justice de plus en plus avec le parquet européen.
03:09Elle veut, effectivement, son armée,
03:12et même notre dissuasion nucléaire avec ses projets qui sont très flous,
03:15ce qui, quand c'est flou, il y a un loup, comme dit l'autre.
03:19Et donc, on voit bien qu'il y a une volonté à terme de transférer,
03:21y compris la dissuasion nucléaire.
03:23Donc, Macron et l'Union Européenne ont un agenda
03:25qui consiste à perpétuer la guerre quand la paix devient possible.
03:29Et c'est ça qu'on a voulu dénoncer.
03:31Il y avait du monde. On donne la parole à tout le monde.
03:33Malheureusement, on est le seul mouvement politique français
03:36qui se bouge pour la paix, concrètement, dans les rues de France,
03:39et pour faire entendre à Macron, au gouvernement,
03:42et à l'Union Européenne un autre discours.
03:44Ça fait le tour du monde.
03:46Là, on a des dizaines de millions de vues sur tous les réseaux sociaux,
03:48de cette manifestation, depuis une semaine.
03:50Par contre, pas un média français peut venir la couvrir.
03:53Pas un média français, mais vos affiches ont attiré l'œil
03:56quand même du réalisateur Michel Azanavicius,
03:59d'OSS 117 et de The Artist,
04:01qui en parlait sur le plateau de France 2, je crois.
04:05Il y a en ce moment des affiches dans Paris avec marqué
04:09« Macron, on ne mourra pas pour l'Ukraine ».
04:12C'est signé un groupe que je ne connais pas,
04:14qui s'appelle Les Patriotes.
04:15Il n'y a que des conneries sur cette affiche.
04:17C'est l'Ukraine qui est en train de mourir pour nous.
04:20Et être un patriote, c'est au moins avoir honte de ça
04:23et au minimum les remercier.
04:25Alors, qu'est-ce que vous avez à dire à Michel Azanavicius
04:28sur les conneries sur cette affiche
04:30et qu'être patriote, c'est dire merci aux Ukrainiens ?
04:32D'abord, je dis bravo à nos militants.
04:34Parce que si c'est remarqué, je sais que le journal le Suisse,
04:36l'OTAN également, dans son édito,
04:38a fustigé ces affiches qui couvrent tout Paris.
04:40C'est qu'on a bien fait notre travail.
04:42D'abord, je ne vois pas ce qu'il y a de « conneries »
04:46dans l'idée de dire qu'on ne mourra pas
04:48pour une guerre qui n'est pas la nôtre,
04:50pour une guerre qui est sciemment entretenue.
04:52On ne mourra pas pour donner à l'Union Européenne
04:55la compétence militaire.
04:57On ne mourra pas pour BlackRock
04:59qui veut récupérer les contrats derrière de reconstruction.
05:01On ne mourra pas pour ces quelques oligarques
05:04qui veulent s'enrichir sur la guerre.
05:06On ne mourra pas pour des projets expansionnistes
05:09de l'OTAN et de l'Union Européenne
05:11qui ont intérêt à la guerre
05:13pour accroître leur emprise.
05:15Moi, je suis prêt à mourir pour une guerre
05:17quand c'est l'intérêt supérieur de la patrie,
05:19de la France, ma patrie,
05:21qui est en jeu.
05:22Sans aucun problème.
05:23Et je sais que c'est le cas
05:24en premier lieu de nos soldats
05:25et de notre armée française.
05:26Mais je ne mourrai certainement pas
05:28et je ne me ruinerai pas non plus
05:30parce qu'avant de mourir,
05:32on va mourir ruiné.
05:33Parce qu'avant d'être tué,
05:35on va d'abord être ruiné,
05:36on va d'abord nous faire les poches.
05:37On nous fait déjà les poches
05:38depuis des années comme contribuables.
05:39Puisque nous payons l'Ukraine.
05:40Ursula von der Leyen vient d'annoncer
05:4240 milliards supplémentaires pour l'Ukraine.
05:44Ça veut dire 8 milliards payés par la France.
05:46Et maintenant,
05:47on va nous faire les poches
05:48en plus comme épargnants.
05:49Mais c'est quand même...
05:51Mais tous les bobos parisiens...
05:53Mais monsieur...
05:54Comment il s'appelle ?
05:55Michel Azanavicius.
05:56C'est lui, d'accord.
05:57Le directeur de Osset 177
05:58et de The Artist.
05:59C'est dommage,
06:00j'aime bien Osset 177.
06:01Mais si monsieur Azanavicius
06:02et puis Nicolas Tenzer
06:03et puis le héros...
06:05Il a fait un reportage
06:07sur les Ukrainiens au front.
06:09Lui parle de ces Ukrainiens
06:10qui meurent pas pour Black Rock
06:12mais pour leurs frontières aussi.
06:13Eux sont patriotes, les Ukrainiens.
06:14Que les Ukrainiens se défendent, etc.
06:16Je vais pas leur reprocher
06:17mais on va pas nous s'impliquer
06:18dans toutes les guerres du monde.
06:19Mais ils ont besoin d'aide
06:20face à la Russie.
06:21On voit bien que c'est un match...
06:22Vous savez,
06:23on avait les moyens
06:24de les aider lors des accords de Minsk.
06:25C'était même notre devoir
06:26puisque nous étions signataires.
06:28C'était François Hollande à l'époque
06:29avec d'ailleurs l'Allemagne,
06:30Angela Merkel.
06:31Et nous avons sciemment
06:33bafoué les accords de Minsk
06:35pour préparer...
06:36C'est Merkel qui avait craché le morceau
06:37et Hollande un peu plus tard.
06:38Pour aider l'Ukraine
06:39à se préparer à la guerre.
06:41Donc c'est un jeu de duttes
06:42depuis le départ.
06:43Si on avait voulu aider
06:44vraiment le peuple ukrainien,
06:45on aurait arrêté l'expansion
06:47de l'OTAN vers l'Est
06:48comme nos puissances
06:50y étaient engagées
06:51à la chute de l'Union soviétique
06:52au début des années 90.
06:53Nous avons bafoué là aussi
06:54cette promesse.
06:55Donc qu'on me fasse pas croire
06:56qu'on veut aider les Ukrainiens.
06:57Non, non, non, non.
06:58On mène une guerre par proxy
06:59contre la Russie.
07:00C'est ça la réalité
07:01depuis le départ.
07:02Les Etats-Unis surtout.
07:03Non.
07:04En réalité,
07:05c'était l'ancienne administration
07:06américaine.
07:07Tout était...
07:09Ce n'est pas les anciennes administrations.
07:10D'ailleurs, la vraie rupture,
07:11c'est Trump.
07:12Mais de manière constante,
07:13les Etats-Unis...
07:14Il y a Brzezinski
07:15qui avait expliqué tout ça
07:16dans son livre
07:17Le Grand Échiquier
07:18en 97
07:19et qui avait dit
07:20il faut séparer la Russie
07:21des pays européens
07:22parce qu'avec l'approvisionnement
07:24énergétique à bas coût
07:25et cette taxe
07:27qui pourrait faire quelque chose
07:29en termes économiques,
07:30en termes politiques d'intéressant,
07:32et bien ça pourrait être
07:33une concurrence problématique
07:35pour les Etats-Unis
07:36et pour l'impérialisme américain.
07:37Donc ils ont réussi leur coup
07:38jusqu'au sabotage
07:39de Nord Stream
07:40en 2022.
07:41Ça, c'est un acte de guerre.
07:42Mais ça ne vient pas
07:43de la Russie.
07:44Quand on nous dit
07:45qu'il y a une menace russe,
07:46une menace existentielle...
07:47Non, foutez !
07:48Il n'y a aucune menace russe
07:49contre la France.
07:50Par contre, moi j'ai vu...
07:51Pour vous, il n'y a aucune menace russe
07:52contre la France ?
07:53Il n'y a zéro menace russe
07:54contre la France.
07:55Tout ce qui est avancé
07:56sur les actes d'espionnage
08:00et les Etats-Unis
08:01qui écoutaient
08:02nos présidents de la République
08:04et les Etats-Unis
08:05qui font sauter un gazoduc,
08:06ce n'est pas vieux.
08:07C'est en septembre 2022.
08:08C'est stratégique
08:09pour l'industrie allemande,
08:10pour l'industrie française.
08:11Mais là, les Allemands...
08:12Le MERS, par exemple,
08:13ne souhaite pas
08:14rouvrir Nord Stream.
08:15Les Allemands continuent
08:16à être dans la logique
08:17des sanctions
08:18alors que
08:19Américains et Russes
08:20vont reprendre
08:21des relations commerciales
08:22et diplomatiques.
08:23Nous, on est coupés
08:24définitivement,
08:25on a l'impression.
08:26Quand vous avez
08:27à la tête de votre pays
08:28un traître,
08:29il ne va pas oeuvrer
08:30dans le sens
08:31de l'intérêt national.
08:32Si Macron défendait
08:33les intérêts français,
08:34ça ne se ferait plus longtemps.
08:35Or, toute sa carrière,
08:36il a fait quoi ?
08:37Il a bradé Alstom,
08:38tous nos fleurons.
08:39Puis, il a bradé
08:40notre souveraineté.
08:41Il a continué
08:42à le faire de manière accélérée
08:43comme on l'a vu.
08:44Il nous emmène
08:45dans des guerres
08:46qui ne sont pas les nôtres.
08:47Il nous a mis mal
08:48avec toutes nos zones d'influence
08:49comme l'Afrique.
08:50Il a réussi à nous brouiller
08:51avec le monde entier.
08:52Donc, Macron ne bosse pas
08:53pour l'intérêt français.
08:54Je pense que
08:55le chancelier MERS
08:56ne traversera pas plus
08:57dans l'intérêt allemand.
08:58En réalité,
08:59vous avez à la tête des pays...
09:00Alors, vous avez des réseaux
09:01pour ça,
09:05qui a signé quand même
09:06un accord de cent ans
09:07d'aide à l'Ukraine,
09:08plus de 3 milliards par an,
09:09alors que l'économie anglaise
09:10rentre en récession.
09:11Tous les peuples...
09:12Car, c'est encore plus grave
09:13parce qu'ils ne respectent
09:14même pas le Brexit.
09:17Les Britanniques,
09:18ils ont fait la moitié du chemin.
09:19Au moins, ils ont voté
09:20le Brexit.
09:21Si demain,
09:22vous avez un Farage
09:23qui arrive à la tête
09:24du Royaume-Uni,
09:25immédiatement,
09:26la politique changera
09:27du tout au tout.
09:28Sauf si l'élection est annulée.
09:29Sauf si l'élection est annulée
09:30à la Roumaine,
09:31vous me direz.
09:32Ce qu'il faut maintenant,
09:33c'est que les peuples,
09:34et c'est vraiment le cas
09:35dans l'Union européenne,
09:36les peuples reprennent la main
09:38et chassent les traîtres.
09:39Macron est un traître.
09:41C'est vous qui le dites.
09:42On va en parler dans un instant.
09:43Je l'assume.
09:44C'est un traître à la France,
09:45et donc les Français
09:46doivent tout faire
09:47pour s'en débarrasser politiquement.
09:49Ce serait d'abord
09:50le boulot de nos parlementaires
09:51parce qu'il y a un article 68
09:52pour le faire.
09:53On voit bien qu'à part
09:54la France insoumise,
09:55personne n'a souhaité
09:56aller dans cette voie-là.
09:57On va marquer une courte pause
09:58et parler bien sûr
09:59de Frexit également
10:01et puis des institutions européennes.
10:03Vous allez voir,
10:04Nathalie Loiseau
10:05est dans une colère noire.
10:06Alors peut-être qu'il va
10:07se passer des choses à Bruxelles.
10:08A tout de suite sur Sud Radio.
10:15On se retrouve en plateau
10:16avec Florian Philippot,
10:17président des Patriotes,
10:18pour parler à la fois
10:20de cette guerre en Ukraine
10:23et de la position française
10:24de plus en plus belliciste
10:26et de cette propagande
10:27pour aller contre
10:29tous les conquis sociaux,
10:30les acquis sociaux
10:31pour faire l'effort de guerre.
10:32Et la dette,
10:33toujours la dette.
10:34Autre sujet,
10:35on en parlait,
10:36vous disiez que
10:37Keir Starmer
10:38est en train d'essayer
10:39de faire tomber
10:40le Brexit.
10:41Vous vous défendez
10:42le Frexit,
10:43c'est-à-dire la sortie
10:44de l'Union Européenne.
10:45Union Européenne
10:46dont les institutions
10:47sont quand même souvent
10:48sous le feu
10:49des médias
10:50pour corruption.
10:51Encore une affaire
10:52au Parlement européen
10:53après le Qatar
10:55et après d'autres.
10:56Ce serait Huawei
10:58qui aurait corrompu
10:59quelques membres
11:00de l'auguste Parlement européen.
11:01Et alors ça a mis
11:02Nathalie Loiseau
11:03dans une colère noire,
11:04on l'écoute.
11:05Je sais que deux bureaux
11:06ont été scellés
11:07hier à Bruxelles.
11:08Nous étions à Strasbourg
11:09en pleinière.
11:10Deux bureaux
11:11de collaborateurs.
11:12Je n'en sais pas plus.
11:13Je respecte
11:14la présomption d'innocence.
11:15Mais si vraiment
11:16il y a des corrompus
11:17dans ce Parlement européen,
11:18je suis dans une colère noire
11:20à leur encontre.
11:21Alors,
11:22est-ce qu'il y aurait
11:23des corrompus
11:24au Parlement européen,
11:25Philippe Eau ?
11:26Diantre !
11:27Diantre !
11:28D'y aurait-il
11:29des corrompus
11:30au Parlement européen ?
11:31Ça met dans une colère noire
11:32Nathalie Loiseau
11:33qui va nous voler
11:34dans les plumes,
11:35c'est ça ?
11:36Bon,
11:37quel sketch !
11:38L'Union européenne
11:39est la structure
11:40la plus corrompue
11:41du monde.
11:42Je vais vous dire pourquoi.
11:43C'est une structure
11:44qui a tous les pouvoirs,
11:45qui n'a aucun contre-pouvoir
11:46et qui brasse
11:47énormément d'argent.
11:48Eh bien,
11:49vous avez le cocktail.
11:50Le Parlement européen
11:51ne sert à rien.
11:52Très peu.
11:53C'est décoratif.
11:54De toute façon,
11:55je vais vous dire,
11:56ce n'est même pas le débat
11:57de élu ou pas élu
11:58parce que la Commission
11:59n'est pas élue,
12:00le Parlement est élu.
12:01Tant mieux que la Commission
12:02ne soit pas élue
12:03parce qu'elle aurait
12:04une fausse légitimité.
12:05Même le Parlement,
12:06ce n'est pas un vrai Parlement.
12:07Quand un Parlement
12:08ne représente pas un peuple,
12:09d'ailleurs au départ,
12:10il ne s'appelait pas Parlement,
12:11il s'appelait Assemblée
12:12et c'était des représentants
12:13des Parlements nationaux.
12:14Ce qui aurait été
12:15une meilleure chose.
12:16C'était une délégation
12:17de Parlements nationaux.
12:18Là,
12:19à partir de Giscard,
12:20il y avait un peuple européen
12:21et donc un Parlement européen
12:22est pour donner une légitimité,
12:23un vernis démocratique
12:24à une structure
12:25qui ne peut pas l'être.
12:26Evidemment.
12:27Et qui ne prend aucune décision.
12:28Les lois sont discutées,
12:29proposées par la Commission,
12:31il y a les trilogues, etc.
12:33Mais il y a très peu de décisions
12:35qui se prennent au Parlement européen.
12:36Oui, mais à la limite,
12:37presque tant mieux
12:38parce que souvent,
12:39il est encore plus dingue
12:40que la Commission.
12:41Je vais vous le dire
12:42parce que je l'ai bien connu
12:43et il se trouve que
12:44la Commission, effectivement,
12:45a le monopole
12:46de l'initiative des textes
12:47et ensuite,
12:48elle doit faire respecter
12:49la Banque centrale européenne
12:50et la Cour de justice
12:51de l'Union européenne.
12:52Enfin, tout est cadenassé
12:53et bien sûr,
12:54c'est l'institution
12:55la plus corrompue.
12:56Il y a plein d'histoires
12:57de corruption
12:58et puis il y a celles qu'on voit
12:59et celles qu'on ne veut pas chercher.
13:00Vous avez tous les réseaux Soros,
13:01tous les réseaux atlantistes
13:02qui inondent,
13:03à mon avis,
13:04d'argent bien plus considérable
13:05que simplement
13:06ces sociétés
13:07qataris ou chinoises
13:08dont on parle.
13:09Et tout ça,
13:10on ne le regardera pas
13:11parce que ça,
13:12c'est considéré
13:13comme une ingérence pour le bien.
13:14Mme Loiseau,
13:15Mme Loiseau,
13:16elle est dans les réseaux Soros.
13:17Je ne dis pas qu'elle est corrompue.
13:18Non, c'est public.
13:19Je dis que
13:20elle est dans les réseaux Soros.
13:21Effectivement.
13:22Et elle est à la tête
13:23de la commission justement
13:24du Parlement européen
13:25du bouclier démocratique
13:26qui est à l'origine
13:27par exemple
13:28de dire qu'en Roumanie
13:29un candidat
13:30comme Gorgescu
13:31n'a pas le droit
13:32de se présenter
13:33parce qu'il serait
13:34le candidat des Russes
13:35et qu'il aurait eu
13:36une campagne
13:37de ferme à trolls russes.
13:38Ce cas roumain,
13:39quand même,
13:40il est emblématique.
13:41Alors, au-delà,
13:42bien sûr,
13:43de la position politique
13:45et de l'offert
13:46à une justice politique,
13:47un cas de l'offert
13:48comme on l'appelle
13:49où on descend un candidat
13:50avant même qu'il puisse
13:51se présenter.
13:52Enfin, il s'est présenté.
13:53Il arrive en tête
13:54au premier tour.
13:55Il est en tête
13:56dans les sondages
13:57et là,
13:58les institutions roumaines
13:59font en sorte
14:00qu'il n'ait pas le droit
14:01de se présenter.
14:02Oui.
14:03Et l'Union européenne applaudit.
14:04Bien sûr.
14:05Oui, elle applaudit
14:06parce qu'en fait
14:07elle tient derrière
14:08la marionnette.
14:09C'est elle qui agit.
14:10En réalité,
14:11c'est un laboratoire
14:12la Roumanie.
14:13Il faut bien que les gens
14:14puissent lire les articles
14:15en France en disant
14:162027,
14:17en France,
14:18la présidentielle risque
14:19d'être sous ingérence russe.
14:20Ce qui est exactement
14:21l'argument qui a été utilisé
14:22pour invalider
14:23la première élection
14:24présidentielle roumaine
14:25puis la candidature
14:26de Georges Escou
14:27pour la seconde.
14:28Ce bouclier démocratique
14:29européen,
14:30parce que tout se connecte.
14:31En fait,
14:32les choses sont simples.
14:33L'Union européenne
14:34sait que les peuples
14:35en auront le bol
14:36de l'Union européenne
14:37et qu'il y a un vent de révolte
14:38pour plein de raisons.
14:39Légitime.
14:40Ce qu'elle craint,
14:41c'est que...
14:42La popularisation,
14:43ça fait beaucoup.
14:44Le seul truc qu'elle ne maîtrise
14:45pas encore,
14:46ce sont les élections nationales
14:47qui peuvent arriver au pouvoir,
14:48un pouvoir anti-Union européenne.
14:50Ce qui était le cas
14:51en Roumanie.
14:52Pour se prémunir de ça,
14:54il y a un argument formidable,
14:55c'est de dire
14:56l'élection n'est pas valable
14:57parce qu'elle était
14:58faite sous ingérence.
14:59Ingérence de Musk,
15:00de Trump,
15:01des Russes,
15:02au choix,
15:03ils choisiront.
15:04Et donc,
15:05pour la démocratie,
15:06parce que pour l'état de droit,
15:07c'est toujours présenté comme ça,
15:09on va devoir annuler le scrutin
15:10et pour cela,
15:11on a créé
15:13une institution communautaire
15:14qui s'appelle
15:15le bouclier démocratique européen.
15:16Et effectivement,
15:17c'est l'eurodéputé macroniste
15:18Nathalie Loiseau
15:19qui préside
15:20la commission spéciale
15:21qui a été instituée
15:22en janvier
15:23au Parlement européen
15:24pour mettre sur pied
15:25ce bouclier démocratique européen.
15:26Donc tout est ficelé.
15:27C'est-à-dire qu'on va vous chercher
15:28un argument,
15:29on va vous dire
15:30il y a eu de l'ingérence,
15:31donc le scrutin n'est pas juste,
15:33l'état de droit n'est pas respecté,
15:34la démocratie n'est pas respectée,
15:35donc on annule le scrutin,
15:36donc on empêche
15:37des candidatures
15:38et donc l'Union européenne
15:39aura protégé
15:40l'état de droit
15:41et la démocratie
15:42ce qui est sa vocation naturelle.
15:43La boucle est bouclée.
15:44Voilà ce qu'ils sont en train
15:45de mettre en place.
15:46Ne pas croire que ça concerne
15:47que la Roumanie,
15:48ça concernera tout le monde.
15:49Thierry Breton
15:50avait craché le morceau.
15:51Il avait dit
15:52on l'a fait en Roumanie,
15:53on le fera évidemment
15:54en Allemagne si c'est nécessaire.
15:55Ça n'a pas été nécessaire
15:56parce qu'il a manqué
15:575 points à l'AFD
15:58pour que ce soit nécessaire.
15:59Mais si l'AFD avait fait
16:0025 au lieu de 21,
16:01je peux vous assurer
16:02que ça aurait été nécessaire
16:03et qu'ils l'auraient fait.
16:04On parle de la première
16:05puissance économique
16:06de la zone.
16:07En France,
16:08on voit bien
16:09c'est Marine Le Pen
16:10qui est sous le feu
16:11des critiques.
16:13Vous pensez que
16:14les procès
16:15des assistants parlementaires
16:16justement
16:17du FN
16:18vont s'en sortir
16:19sans interdiction ?
16:20Je pense que l'URN
16:21n'a rien à craindre
16:22de l'Union européenne.
16:23Vous savez,
16:24l'AFD a une position
16:25quand même rude
16:26par rapport à l'Union européenne.
16:27Dans leur projet,
16:28il y a le Dexit
16:29et la sortie de l'euro.
16:30Ce n'est pas du tout
16:31le projet du RN.
16:32Ça ne l'y est plus.
16:33Ils veulent même rester
16:34dans Schengen,
16:35le marché européen,
16:36l'électricité.
16:37Rien du tout
16:38dans le projet du RN.
16:39Donc,
16:40ce n'est plus une menace
16:41pour le système.
16:42Ils ne votent même pas
16:43les motions de censure.
16:44Ils votent pour Ferrand.
16:45Hier,
16:46ils n'ont même pas voté
16:47contre la résolution
16:48sur l'Ukraine.
16:49Tout ça est délirant.
16:50Donc,
16:51l'URN n'est pas un anti-système
16:52aujourd'hui.
16:53Il n'a pas besoin
16:54qu'on déclenche
16:55le bouclier démocratique
16:56européen.
16:57En interne,
16:58je pense qu'il y a
16:59une vraie guerre
17:00actuellement au sein du RN.
17:01Vous savez,
17:02Marine Le Pen,
17:03il y a des restes encore.
17:04Elle a quand même,
17:05pendant des années,
17:06dit qu'il fallait sortir
17:07de l'Union européenne
17:08et de l'euro.
17:09Elle a dit que même
17:10c'était le premier des combats.
17:11Elle avait raison à l'époque.
17:12Puis,
17:13elle a renoncé.
17:14Mais forcément,
17:15ça laisse des traces.
17:16Alors que Mardela,
17:17il ne se préoccupe pas
17:18de tout ça.
17:19Il est complètement rallié
17:20au macronisme.
17:21Il y va à fond.
17:22La méchante Russie.
17:23On reste dans l'OTAN.
17:24On reste dans l'UE.
17:25On reste dans l'euro.
17:26Il fait la bise à Zelensky.
17:27Enfin,
17:28il coche toutes les cases
17:29du système.
17:30Je pense qu'à l'intérieur
17:31du RN,
17:32il va y avoir,
17:33suite au rendu judiciaire
17:35délibéré le 31 mars,
17:37il va y avoir,
17:38à mon avis,
17:39une guerre interne
17:40qui a déjà commencé
17:41en sourdine,
17:42mais qui va prendre
17:43de l'importance.
17:44Et le candidat du système,
17:45c'est plutôt Mardela.
17:46Plus que Marine Le Pen.
17:47Qui est très raccord
17:48avec tout le discours officiel.
17:49Mais vous parliez tout à l'heure
17:51des oppositions,
17:52justement,
17:53qui sont très sages
17:54face à Emmanuel Macron,
17:56qui était pourtant
17:57au creux de la vague
17:58après la dissolution ratée.
17:59Qui n'arrivait pas à reprendre
18:01la censure de Michel Barnier.
18:03Et là,
18:04on a l'impression
18:05que tout le monde
18:06s'est mis d'accord
18:07pour dire qu'on va laisser
18:08une chance au produit
18:09qui a prouvé
18:10quand même
18:11être une catastrophe
18:12pour la France.
18:13Rien qu'à voir
18:14les 3600 milliards de dettes,
18:15la désindustrialisation,
18:16le chômage,
18:17et maintenant
18:18cette stratégie du choc
18:19permanente
18:20pour faire pousser
18:21des lois antisociales.
18:22Pourquoi les oppositions
18:23sont si faibles ?
18:24Alors qu'elles ont les cartes
18:25aujourd'hui
18:26pour faire tomber
18:27François Bayrou.
18:28Effectivement,
18:29le non-vote
18:30de la motion de censure
18:31nous amène
18:32à nous dire
18:33pourquoi à ce moment-là
18:34ont-ils voté
18:35la motion de censure
18:36en décembre contre Barnier.
18:37Puisque Bayrou
18:38le fait encore pire.
18:39Donc ça n'a
18:40effectivement aucun sens.
18:41Bayrou, qu'on ne me dise pas,
18:42on va lui laisser sa chance
18:43parce qu'on ne le connaît
18:44que trop.
18:45Il a 50 ans de carrière.
18:46En plus,
18:47Bayrou,
18:48c'est vraiment
18:49un produit du système.
18:50C'est quand même
18:51le type qui a trouvé
18:52à chaque fois
18:53un moyen de se raccrocher
18:54pour trouver un mandat,
18:55un poste,
18:56une fonction.
18:57C'est une moule
18:58qui s'accroche
18:59à son rocher.
19:00C'est incroyable.
19:01Il a toujours vécu
19:02au crochet
19:03du contribuable français,
19:04Monsieur Bayrou.
19:05Sans jamais rien faire,
19:06d'ailleurs.
19:07Il a des discours creux.
19:08On n'a pas de grande loi,
19:09Bayrou.
19:10Quand il était ministre
19:11de l'éducation nationale
19:12dans les années 90,
19:13il a laissé le souvenir
19:14d'un ministre
19:15qui ne faisait strictement rien.
19:16Y compris à Bétarame.
19:17En plus,
19:18il y a un scandale
19:19qui aurait justifié
19:20en plus une motion de censure.
19:21Les oppositions,
19:22entre guillemets,
19:23à mon avis,
19:24il y a plusieurs raisons.
19:25D'abord,
19:26il y a l'opposition
19:27qui est raccord idéologiquement
19:28avec le macronisme.
19:29Ça ne leur pose pas de problème.
19:30Je pense au PS,
19:31tout ça,
19:32évidemment.
19:33Après,
19:34il y a une partie
19:35des oppositions.
19:36L'ERN,
19:37je pense,
19:38n'a plus de colonne vertébrale
19:39idéologique.
19:40Donc,
19:41à partir du moment
19:42où vous n'avez plus
19:43de colonne vertébrale idéologique,
19:44que vous n'êtes plus au clair
19:45sur la souveraineté nationale,
19:46vous ne dites plus
19:47les préalables.
19:48C'est-à-dire qu'un pays
19:49qui, de toute façon,
19:50n'a pas sa souveraineté
19:51ne changera pas de politique.
19:52Ce sera dicté toujours
19:53la même politique
19:54quelles que soient
19:56les choses.
19:57Mais,
19:58finalement,
19:59ils ont lâché ça,
20:00ils ont laissé tomber ça.
20:01Il n'y a plus rien,
20:02si vous voulez.
20:03C'était le piège
20:04de laisser tomber ça.
20:05Je leur avais expliqué
20:06en 2017,
20:07quand je suis parti,
20:08je leur ai dit
20:09vous allez tout laisser tomber
20:10et à la fin,
20:11vous serez complètement rallié.
20:12C'est ce qui s'est mis
20:13huit ans,
20:14sept, huit ans.
20:15C'est maintenant le cas.
20:16Donc,
20:17sans colonne vertébrale,
20:18ils sont une opposition mollusque.
20:19En plus,
20:20il y a le politiquement
20:21et le médiatiquement correct.
20:22S'ils voulaient continuer
20:23à être invités sur BFM TV,
20:24sur LCI,
20:26il faut être
20:27dans l'opposition,
20:28mais pas trop.
20:29C'est ce qui explique
20:30aussi
20:31le fait que
20:32vous n'ayez pas
20:33d'élus patriotes,
20:34par exemple.
20:35Si vous arrivez
20:36sur un plateau
20:37pendant le Covid
20:38et vous dites d'emblée
20:39non,
20:40tout ce qu'ils font,
20:41c'est n'importe quoi,
20:42ça n'a pas de base scientifique,
20:43pas de base sanitaire,
20:44pas de base vaccinale,
20:45il y a le danger
20:46des effets secondaires.
20:47Vous venez une fois,
20:48vous ne venez pas deux fois.
20:49Si vous venez en disant
20:50on n'est pas totalement d'accord,
20:51certes,
20:52il faut encourager
20:53la vaccination de masse,
20:54mais il faudrait peut-être
20:55faire autrement,
20:56style RN ou LFI,
20:57on vous réinvitera.
20:58Parce qu'on dirait
20:59c'est bien,
21:00il y a un semblant
21:01d'opposition démocratique
21:02pour le théâtre,
21:03mais en fait,
21:04ce n'est pas dangereux.
21:05Pareil sur l'Ukraine.
21:06Si vous arrivez en disant
21:07il n'y a pas de menace
21:08existentielle russe,
21:09tout ça,
21:10c'est de la foutaise,
21:11vous n'êtes pas réinvités.
21:12Et même maintenant,
21:13vous n'êtes pas invités
21:14tout court.
21:15Sauf sur Sud Radio.
21:16Oui, mais quelques médias,
21:17mais c'est très rare,
21:18d'autant que c'est l'ARCOM
21:19qui est censé
21:20contrôler tout ça
21:22et donc,
21:23vous faites entendre autrement.
21:24Maintenant, il y a des formidables
21:25médias indépendants,
21:26il y a les réseaux sociaux
21:27qui sont très puissants,
21:28et puis il y a le
21:29combat de rue,
21:30j'allais dire,
21:31entre guillemets,
21:32c'est-à-dire la lutte.
21:33La mobilisation.
21:34Bien sûr,
21:35les mobilisations,
21:36les manifestations,
21:37il y a plein de choses à faire,
21:38il faut se montrer,
21:39il faut être dans le combat permanent.
21:40On ne peut pas accepter
21:41que ces oppositions
21:42nous représentent,
21:43puisqu'elles ne nous représentent pas,
21:44elles ne représentent aucune
21:45opposition sérieuse et réelle.
21:46Merci beaucoup
21:47Florian Philippot,
21:48président des Patriotes,
21:49d'avoir été notre invité.
21:50Merci à vous.
21:51On marque une courte pause
21:52et on se retrouve dans un instant
21:53sur Sud Radio pour parler
21:54de laïcité et antrisme
21:55dans le sport.