Retrouvez l'édito politique d'Arlette Chabot
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##L_EDITO_POLITIQUE-2025-01-31##
Abonnez-vous pour plus de contenus : http://ow.ly/7FZy50G1rry
———————————————————————
▶️ Suivez le direct : https://www.dailymotion.com/video/x75yzts
Retrouvez nos podcasts et articles : https://www.sudradio.fr/
———————————————————————
Nous suivre sur les réseaux sociaux
▪️ Facebook : https://www.facebook.com/SudRadioOfficiel
▪️ Instagram : https://www.instagram.com/sudradioofficiel/
▪️ Twitter : https://twitter.com/SudRadio
▪️ TikTok : https://www.tiktok.com/@sudradio?lang=fr
##L_EDITO_POLITIQUE-2025-01-31##
Catégorie
🗞
NewsTranscription
00:00— 7h47, Arlette Chabot. Bonjour, Arlette. — Bonjour, Jean-Jacques. Bonjour à vous tous.
00:05— Mais où en est-on de cette CMP ? Ça va reprendre pour ce budget. Ça va reprendre tout à l'heure à 8 h 30, je crois.
00:13— Oui, oui, oui. Donc bientôt, la deuxième partie de la discussion. — Ça a choqué. Sur quoi ?
00:19— Pour l'instant, hier, ils se sont mis d'accord sur les recettes. Maintenant, ils veulent parler des dépenses.
00:24Évidemment, deuxième partie. C'est difficile. On saura dans la journée s'il y a un accord ou pas.
00:30Mais de toute façon, le suspense ne sera pas terminé. Et c'est ça, l'histoire, au fond. On a l'impression avec ce budget
00:35de vivre un jour sans fin. On remonte le temps. C'est le 21 septembre, jour de la nomination du gouvernement de Michel Barnier,
00:46qu'on a commencé à parler de la difficulté à construire un budget. Bruno Le Maire venait de partir, laissant sur la table
00:52une excuse de budget de ce gouvernement de Gabriel Attal. 4 décembre, eh bien la chute du gouvernement de Michel Barnier.
01:00Motion de censure sur le projet de financement de la Sécurité sociale. Séquence suivante, arrivée de François Bayrou.
01:07Il commence à monter son Himalaya avec les mêmes contraintes politiques. On le sait, ne pas fâcher le Bloc central,
01:14ne pas mettre de mauvaise humeur les Républicains qui viennent de perdre leur Premier ministre, échapper à la menace
01:20de la censure du RN. Toujours possible à la dernière minute. Et c'est là que François Bayrou cherche effectivement
01:27un pacte de non-censure avec les socialistes. Premier succès. On sait que Bayrou franchit l'étape de la censure
01:35post-déclaration de politique générale avec une liste de concessions importante. La liste publiée, recensée dans une lettre,
01:44notamment les fameux 4 000 postes d'enseignants qui ne seront pas supprimés, l'ouverture du conclave sur les retraites.
01:50Je vais pas vous refaire toute la liste. Bon. Et puis les négociations continuent à Bercy. Et patatra, il y a la fameuse expression
01:58utilisée jeudi dernier par le Premier ministre. Oui, oui, oui. Effectivement, la submersion migratoire...
02:05— Le sentiment de submersion. — Le sentiment de submersion migratoire. Les négociations s'interrompent.
02:11Et alors où allons-nous ? En tout cas, on va vers une crise s'il n'y a pas de budget. Je vous rappelle que mi-décembre,
02:17les partenaires sociaux, à l'exception de la CGT, avaient appelé ensemble pour une première, vous vous souvenez,
02:23les politiques à faire preuve de sagesse et de sérénité. Bah aujourd'hui, on n'en est plus là. Vous avez entendu hier
02:29peut-être le président du Medef dire que les chefs d'entreprise qui partent ont raison. Et puis on parle aujourd'hui
02:36de la remontée du chômage, d'une croissance revue à la baisse. Ça veut dire qu'il faudrait aller vite.
02:43— Oui. Les chefs d'entreprise qui partent ont raison. Ça, je suis... C'est contestable, cette déclaration.
02:49— C'est contestable. Mais il a osé le dire. — J'aimerais d'ailleurs que les auditeurs réagissent. 0,826, 300, 300.
02:54Est-ce que le président du Medef a raison de dire cela ? Moi, je suis... Personnellement, je suis patriote avant tout.
03:00Donc même en tant que chef d'entreprise, je pense que le chef d'entreprise doit être un patriote avant tout. Bon.
03:06Enfin bon, après, les conditions contestent contre les conditions. Je suis d'accord, Orlette, mais...
03:14— Mais ça se discute. C'est vrai que ça a choqué, d'ailleurs, certains chefs d'entreprise ou certains responsables.
03:19— Ça a choqué. Certains chefs d'entreprise, mais bien sûr. — Mais en tout cas, ça signale la dégradation, effectivement,
03:24aussi d'un état d'esprit ou d'une situation économique. C'est pour ça que je parlais de la situation du chômage.
03:29— Je vais en parler à Mathieu Lefèvre. Si j'ai bien compris, tout est suspendu toujours aux RN et aux socialistes.
03:36— Voilà. Alors on n'est jamais à l'abri d'une mauvaise surprise quand on est chef du gouvernement de la part du RN.
03:41Les Lignes rouges sont revenus hier lors de la discussion à la commission Mixx par Etaire. Et puis suspense avec les socialistes.
03:49Finalement, que vont-ils faire ? Ils ont quand même pris le chemin de l'indépendance vis-à-vis de la France insoumise.
03:56Pourraient-ils, s'ils n'ont pas tout à fait satisfaction, revenir dans la maison commune et s'associer à une censure ?
04:02Faut toujours dire que de toute façon, ils ne voteront pas le budget, parce qu'ils restent dans l'opposition.
04:07Voilà un début de réponse dans la journée. Mais on ne sait pas. Peut-être un budget la semaine prochaine.
04:14Allez, dans une semaine, peut-être que je vous dirai avec vous. Ouf, on a un budget. La France peut repartir.
04:20— Bien. Merci. Ça coûte 100 millions d'euros par jour, l'absence de budget. 100 millions d'euros par jour à la France.
04:27— Ça, ce sont les chiffres donnés effectivement par Bercy. — Par Bercy. Bien. Nous verrons bien. Nous verrons bien.
04:3249,3, probable. Ensuite, censure. Qui la votera ? Voilà. Vous avez toute la question.
04:38— Ce qui est sûr, c'est qu'il y aura des fondeurs chez les socialistes. Et un Huit avait voté la censure avec le reste de la gauche.
04:44— En fait, les socialistes seront divisés, quoi. Les socialistes risquent d'être vraiment divisés.