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##LES_AUDITEURS_ONT_LA_PAROLE-2025-01-01##
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00:00Vous les auditeurs de Sud Radio, nous revenons sur les voeux d'Emmanuel Macron, le Président de la République.
00:07Claudine est avec nous, des Deux-Sèvres, Nior, les Chamois. Bonjour Claudine !
00:12– Oui, bonjour Frédéric. – Bonne année à vous !
00:16– Oui, merci, vous aussi, tous mes voeux.
00:18– Vous êtes plutôt lève-tôt, vous vous êtes couché tard, vous avez réveillonné ?
00:23– Non, j'ai une journée comme les autres, voilà.
00:29– C'est pas mal non plus de ne pas forcément événementialiser,
00:33moi j'ai vécu ça, puisque j'ai le plaisir de vous accompagner et avant et après pour le matin de Sud Radio,
00:39et c'est pas mal non plus. Bon, Claudine, on va parler dans un instant avec vous,
00:42nous accueillons un petit peu plus au sud de Nior finalement, puisqu'on va à Perpignan,
00:49Simon, qu'on connaît bien sur l'antenne de Sud Radio, Simon, bonne année !
00:53– Merci, bonne année à vous et à tous les auditeurs.
00:56– Bon, ça fait plaisir de vous avoir tous les deux.
00:58Alors Claudine, ces voeux, déjà assez courts, 10 minutes, 48 secondes même, ça a été chronométré,
01:06vous les avez trouvés, quel est le sentiment qui ressort déjà chez vous ?
01:12Vous l'avez trouvé comment ce président ?
01:15– Alors très sincèrement, j'ai écouté d'une oreille, parce que j'étais au téléphone,
01:21bon, il faut dire que ça ne me met jamais dans une joie extraordinaire de l'entendre et de le regarder,
01:28franchement, bon, moi, sur une espèce de consultation référendaire ou je ne sais quoi,
01:37moi je pense que plus on parle de référendum, moins il le fera,
01:41à mon avis il va nous refourguer encore un grand débat avec un manche de chemise
01:47et à se saouler lui-même à force de parler, ouais, non…
01:53– C'est intéressant parce que, bon, vous avez peut-être entendu précédemment à l'antenne,
01:57j'ai repris les grands moments en vous donnant quelques tendances,
02:01et ma conclusion c'était oui, on parle de cette consultation des français,
02:05mais il ne dit jamais référendum, finalement s'il avait dit,
02:09je ferai un référendum, alors je ne sais pas, sur l'immigration, sur la retraite ou tout ça,
02:13au moins ça aurait été clair, mais là, on a la réaction qu'on comprend de votre part.
02:19– Oui, non, mais il n'est jamais clair de toute façon, et quand il est clair, il ment,
02:24donc si vous voulez, voilà, quand il est clair, qu'il annonce un truc,
02:28en général il ment et il revient dessus ou il n'en parle plus jamais,
02:33ou alors c'est flou, et vous savez bien, comme disait madame Aubry,
02:37quand c'est flou, il y a un loup ! – Il y a un loup !
02:39– Voilà, donc voilà, c'est fini, c'est l'histoire du petit berger qui fit au loup,
02:48à un moment donné, on ne le croit plus, donc voilà, c'est foutu,
02:53il reste certainement un léger pourcentage qui continue à écouter,
03:00à entendre et à croire sa parole, mais je pense qu'on est à un gros pourcentage,
03:06franchement, ouais, voilà quoi.
03:10– Un peu résigné, bon, et c'est marrant cette histoire de mensonge,
03:14alors bon, vous dites « le président ment »,
03:15mais finalement, un président qui ment, c'est assez fréquent,
03:19parce que quand on débriefe de Giscard à Mitterrand, à Chirac, à Hollande, à Sarkozy,
03:26c'est comme si c'était finalement une habitude.
03:30Bon, Claudine, on fait parler Simon sur l'histoire,
03:34Simon, pareil, vous n'êtes pas très suiviste quand on parle d'Emmanuel Macron,
03:41vous les avez quand même regardés, ses voeux ?
03:44– Oui, oui, je les ai regardés, mais bon, c'est toujours aussi l'initiant,
03:48bon, quand on entend déjà son bilan de l'année 2024,
03:53heureusement qu'on reste assis, parce que sinon on va avoir une syncope,
03:57parce que si ça s'arrête aux Jeux Olympiques, qui durent 15 jours,
04:01et à Notre-Dame, bon, je trouve qu'un bilan d'un président de la République,
04:06il n'a pas à s'occuper de ça, déjà, il a perdu beaucoup de temps à s'occuper de ça,
04:10et en plus, il en tire un succès,
04:13c'est d'abord les Français, la France, dont il faut parler,
04:17dont il faut trouver des solutions,
04:18à aucun moment il ne s'est apesanti sur les sujets principaux actuellement,
04:24qui sont les trois sujets, le pouvoir d'achat, la sécurité, l'immigration,
04:30tout ça, c'est des choses qui l'échappent, il n'est pas président,
04:33et puis de toute façon, comme je rejoins votre auditrice,
04:36il ment tout le temps, moi je dirais qu'il ment sans arrêt,
04:41à la différence des autres, c'est-à-dire qu'il dit tout son contraire,
04:45bon, en même temps, qui agace tout le monde, et le personnage lui-même,
04:49maintenant, c'est un irritant, quoi.
04:51— Bon, alors, qui agace tout le monde,
04:55bon, je vais relativiser, parce que certains, quand même, ne sont peut-être pas agacés,
04:58mais en tout cas, il y a eu une grande majorité, et c'est ce désamour,
05:05mais d'ailleurs, je ne sais pas ce que vous en pensez, Claudine et Simon,
05:08mais on a senti qu'il parlait avec ce désamour, qu'il en avait conscience,
05:12d'accord, Claudine ? On le sentait un peu tristouné, le président.
05:15— De toute façon, il ne faut quand même pas être complètement idiot,
05:18quand même, il doit bien se rendre compte que...
05:21De toute façon, moi, mon sentiment, personnellement,
05:26c'est que de toute façon, il ne nous aime pas.
05:28Il ne nous aime pas, et quelque part, nous lui rendons bien.
05:33— Bon, c'est sentiment contre sentiment.
05:36Alors là, on ne peut rien dire, parce que c'est du ressenti.
05:38Simon, même chose, vous l'avez trouvé un peu tristouné, le président ?
05:42— Ah ben, je l'ai trouvé, comme d'habitude, en train de jouer la comédie,
05:45puisqu'il a très bien appris ça, donc il sait s'adapter aux situations.
05:49On le voit lors des commémorations, là aussi, il en a parlé dans son discours,
05:54donc ça n'a aucun intérêt de faire un bilan là-dessus.
05:59Et puis de toute façon, je vais vous dire, je ne l'ai pas senti abattu, quoi que ce soit,
06:04il s'en moque. L'essentiel, c'est qu'il soit au poste.
06:07Il fait partie, comme son gouvernement, des ministres qui veulent un poste, c'est tout.
06:11Le reste, les Français, ils s'en moquent, ils voulaient avoir l'Europe.
06:14Ils sentent que maintenant, ça lui échappe, donc c'est peut-être ça qui le rend triste.
06:18Mais il se moque pas mal de ce qu'on pense de lui et tout ça,
06:23parce que lui, de toute façon, passe pire que nous.
06:25– C'était votre ressenti à tous les deux, Simon de Perpignan, Claudine Denior,
06:30merci et bonne année à tous les deux, bonne année à tous les auditeurs de Sud Radio.