Peu auraient pu miser une pièce de monnaie à ce que cet homme, passablement ténébreux derrière ses éternels chapeaux à rebords, et arrivé à la tête de la Police camerounaise en octobre 2004 soit en mesure de tenir – comme il le fait depuis lors – une dizaine d’années à cette position professionnelle de haute intensité. C’est en effet que, derrière ses 92 sonnés, se cache un personnage qui s’est habitué à vivre de façon spartiate : peu de chaque plaisir de la vie, mais beaucoup de contraintes choisies. La contrainte du travail d’abord, celle aussi d’un éveil intellectuel et physique presque corseté. On peut alors le voir sur le terrain, comme ici à Douala en juin dernier, fringuant dans ses costumes ajustés au plus près, écoutant les récitations de ceux qui, avec lui, se partagent le privilège des décisions sur la vie des autres.
Extrait : Ferdinand NGOH NGOH
Un chantier considéré comme réussi pour une Police camerounaise, qui se targue aujourd’hui d’exploiter un parc de plusieurs milliers de cameras à travers le territoire national. Enjeu de sécurisation du territoire dans le mouvement des biens et des personnes, mais aussi – on s’en doute – de contrôle, de surveillance et de punition, surtout dans le temps qui vient.
Extrait : Ferdinand NGOH NGOH
Une mission que le sage homme inspecte de ce regard vif et rempli de mystères, par-devant lequel sont à ce jour passés tant de séquences de la vie publique camerounaise. Dans sa main, pour l’année qui vient, 105 milliards de budget pour apporter des solutions de toute nature aux problématiques d’équipement mais aussi de gestion d’un effectif chaque année en augmentation. Le concours national de la Police est ainsi de ceux qui attirent chaque année des hordes de jeunes gens déchaînés, certains de pouvoir avoir leur tour dans la grande marmite collective. Ainsi, entre mythe personnel et mythe institutionnel, se croise le centre de gravité d’une force donnée pour compter dans le temps d’après.
Extrait : Ferdinand NGOH NGOH
Un chantier considéré comme réussi pour une Police camerounaise, qui se targue aujourd’hui d’exploiter un parc de plusieurs milliers de cameras à travers le territoire national. Enjeu de sécurisation du territoire dans le mouvement des biens et des personnes, mais aussi – on s’en doute – de contrôle, de surveillance et de punition, surtout dans le temps qui vient.
Extrait : Ferdinand NGOH NGOH
Une mission que le sage homme inspecte de ce regard vif et rempli de mystères, par-devant lequel sont à ce jour passés tant de séquences de la vie publique camerounaise. Dans sa main, pour l’année qui vient, 105 milliards de budget pour apporter des solutions de toute nature aux problématiques d’équipement mais aussi de gestion d’un effectif chaque année en augmentation. Le concours national de la Police est ainsi de ceux qui attirent chaque année des hordes de jeunes gens déchaînés, certains de pouvoir avoir leur tour dans la grande marmite collective. Ainsi, entre mythe personnel et mythe institutionnel, se croise le centre de gravité d’une force donnée pour compter dans le temps d’après.
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00:00L'esprit de l'homme qui n'a pas le droit d'exprimer ses pensées
00:09Peu aurait pu miser une pièce de monnaie à ce que cet homme, passablement ténébreux derrière ses éternels chapeaux à rebords,
00:16ait arrivé à la tête de la police camerounaise en octobre 2004, soit en mesure de tenir, comme il le fait depuis lors,
00:22une dizaine d'années à cette position professionnelle de haute intensité.
00:27Et en effet que derrière ces 92 années, se cache un personnage qui s'est habitué à vivre de façon spartiate,
00:33peu de chaque plaisir de la vie, mais beaucoup de contraintes choisies.
00:38La contrainte du travail d'abord, celle aussi d'un éveil intellectuel et physique presque corseté.
00:44On peut alors le voir sur le terrain, comme ici à Douala en juin dernier,
00:48fringant dans ses costumes ajustés au plus près, écoutant les récitations de ceux qui, avec lui,
00:53se partagent le privilège des décisions sur la vie des autres.
00:57Le chef de l'État a autorisé la poursuite de ce projet qui permettra à terme de doter notre pays
01:05de plus de 7 000 caméras supplémentaires reliées à 17 centres de commandement régionaux et locaux.
01:15C'est donc un investissement stratégique qui s'inscrit résolument
01:20dans le processus global de modernisation de notre pays
01:24et d'optimisation des prestations de l'assurété nationale.
01:30Un chantier considéré comme réussi pour une police camerounaise
01:34qui se targue aujourd'hui d'exploiter un parc de plusieurs milliers de caméras à travers le territoire national.
01:41Enjeux de sécurisation du territoire dans le mouvement des biens et des personnes,
01:45mais aussi on s'en doute de contrôles, de surveillance et de punitions, surtout dans le temps qui vient.
01:52Le lancement de ce vaste programme de vidéosurveillance est l'éclatante illustration des progrès accomplis
02:00pour accroître le niveau de sécurité dans nos villes
02:04et répondre aux préoccupations légitimes de nos concitoyens
02:08conformément à la volonté de M. le Président de la République.
02:13Une mission que le sage homme inspecte de ce regard vif et rempli de mystère
02:17par devant lequel sont à ce jour passés tant de séquences de la vie publique camerounaise.
02:22Dont sa main, pour l'année qui vient, 105 milliards de budget
02:26pour apporter des solutions de toute nature aux problématiques d'équipement
02:30mais aussi de gestion d'un effectif chaque année en augmentation.
02:34Le concours national de la police est ainsi de ceux qui attirent chaque année
02:38des hordes de jeunes gens déchaînés,
02:40certains de pouvoir avoir leur tour dans la grande marmite collective.
02:44Ainsi, entre mythe personnel et mythe institutionnel,
02:48se croise le centre de gravité d'une force donnée pour compter dans le temps d'après.