Avec Christelle Comet, vice-présidente des Mamans Louves
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NewsTranscription
00:00A tout, il nous a tout dit, Pierre Perret, c'est vrai, une merveilleuse chanson et tout, formidable.
00:04Eh bien écoutez, voilà, le ministère de l'Education nationale, en sa grande modernité, mensuétude,
00:12eh bien, il va appliquer ça à la lettre, à la lettre, et assez tôt.
00:17Ben oui, oui, il n'y a pas d'âge, effectivement, il n'y a pas d'âge pour apprendre tout.
00:20Alors, de quoi s'agit-il ? Eh bien voilà, le programme Evars, prévu pour la rentrée de 2025,
00:27vise à instaurer une éducation à la sexualité, de la maternelle à la terminale.
00:32Bon, la terminale, on peut comprendre, à partir d'un certain âge, on peut comprendre,
00:36mais la maternelle, vraiment la maternelle, eh oui, oui, regardez, maternelle, 3-5 ans,
00:42respect du corps et des émotions, introduction au consentement dès 4 ans,
00:47apprendre à accepter ou refuser, nommer les parties du corps, y compris intime, etc., etc.,
00:53Alors, Christelle Comé est avec nous, bonjour Christelle Comé.
00:58Bonjour André.
01:00Bonjour, bonjour Christelle, vous êtes vice-président des Maman Louvre,
01:03et justement, je demandais en fait, alors on en a beaucoup parlé,
01:08on en a parlé d'ailleurs avec vous, avec SOS Éducation, avec beaucoup d'autres associations de parents d'élèves,
01:15et puis des enseignants, au fond, c'est quoi ? C'est de dire, ah oui, écoutez, tout le monde doit être prévenu,
01:21on peut se dire, mais c'est très bien, mais écoutez, que même dès le plus jeune âge,
01:25les enfants sachent dont ils parlent pour ne pas être victime de prédateurs,
01:29et au fond, c'est quoi la philosophie de ça ? Christelle Comé.
01:34Alors, moi déjà, je pense qu'il faut remettre les choses dans l'ordre,
01:37c'est-à-dire que ce que vous disiez en préambule, qui sont les propos de Mme Jeuneté,
01:42c'est de dire aux familles, tout est progressif, je crois que ce n'est pas la question,
01:47la question, c'est est-ce que c'est adapté ou non, déjà, au développement de l'enfant.
01:51Donc nous, c'est ce à quoi on a voulu répondre, c'est-à-dire que les travaux que nous avons réalisés
01:57avec SOS Éducation, l'association avec laquelle nous travaillons, qui a créé un comité d'experts,
02:02il faut être clair, ces questions revêtent à minima d'une expertise de professionnels de la pédopsychiatrie,
02:09pédiatres, psychologues, et la question à se poser, c'est regarder la clinique de l'enfant.
02:16Qu'est-ce qu'on peut faire pour respecter le développement à chaque âge de l'enfant,
02:21que ce soit à 3 à 6 ans, 6 à 9 ans, 9 à 12 ans, et ensuite à l'âge de la puberté.
02:26Voilà, et ça, ça a été totalement exclu, puisque malheureusement, ces professionnels,
02:30spécialistes du développement de l'enfant, n'ont pas été entendus dans la construction de ces programmes.
02:35– Vous êtes sûre de cela, attendez Christelle Comé ?
02:37Vous dites que ces experts n'ont pas été entendus, mais ils ont dû entendre leurs experts aussi,
02:41enfin ils n'ont pas fait ça comme ça, j'imagine, sortie du chapeau.
02:46– La question c'est, qui sont ces experts ?
02:48– On ne le sait pas.
02:50– Voilà, on ne le sait pas, la seule chose qu'on sait, c'est qu'on entend des associations
02:56qui s'expriment sur le sujet, qui n'ont pas légitimité à savoir ce qu'est le développement de l'enfant,
03:02on entend également des organismes comme des syndicats,
03:07ou encore des organisations qui traitent de la question de l'enfant,
03:11mais qui sont les spécialistes derrière pour coller à chaque besoin de l'enfant,
03:16une règle en face qui soit claire et concise,
03:19et qui permette surtout de ne pas entraver le développement de l'enfant,
03:22et c'est là toute la question, et c'est ce à quoi on a essayé de répondre,
03:26avec un rapport qui a été envoyé aux autorités dès qu'il a été produit,
03:30c'est-à-dire en début d'année, qui fait 250 pages,
03:32derrière SOS Éducation a également écrit un livre pour que ce soit davantage accessible,
03:37et dernièrement, pour être dans les actualités toutes fraîches,
03:40on a encore écrit à nouveau à Mme Jeuneté, à M. Portier,
03:46également à la ministre de l'égalité femmes-hommes,
03:50pour tout simplement dire, remettons le débat au centre,
03:55qui est celui de dire, malgré toutes les attaques en règle,
03:58et ça quand même je tiens à le préciser, parce que c'est important,
04:02aujourd'hui, on ne nous attaque jamais sur le fond,
04:06et pourtant on s'est pris une déferlante, et là j'ai vraiment l'impression
04:09de descendre du ring avec Sophie, et où on s'est pris des coups,
04:12mais alors, atroce, on est menacé, insulté, on subit des pressions de la part de gens,
04:16qui tentent de nous attaquer non pas sur le fond de nos travaux,
04:20mais simplement qui nous accusent d'être fachos, d'extrême droite, conservatrices,
04:25puisque vous êtes des transphobes.
04:27– Oui mais Christelle, ne perdez pas votre temps avec ça, c'est le truc facile,
04:30quand on n'a pas envie de discuter avec quelqu'un, vous savez très bien que ça se passe,
04:34c'est tous les gens qui ont des béquilles idéologiques, comme ils n'ont rien à dire,
04:38et comme ils ne veulent pas vous attaquer sur le fond, on le sait.
04:40Non mais moi je voudrais qu'on revienne à l'essentiel, c'est bien les attaques,
04:44et on est là d'ailleurs, si vous êtes là, c'est parce que nous on vous défend,
04:47c'est qu'est-ce que ça veut dire, qu'est-ce qu'on reproche,
04:51parce qu'il y a eu des livres qui sont parus, vous le savez très bien,
04:54vous en avez parlé, vous et SOS éducation, il y a eu des choses,
04:57qu'est-ce qui vous choque dans ce qui se prépare, et ce qui est déjà là,
05:02parce qu'il y a déjà des enseignants, des gens qui viennent dans les écoles,
05:05parler de telle ou telle chose, moi je voudrais savoir,
05:08qu'est-ce qui vous choque là-dedans, qu'est-ce qui vous paraît inapte,
05:11en tout cas contradictoire avec le développement de l'enfant à cet âge-là ?
05:16En fait, ce qu'il faut dire, c'est très simple,
05:19c'est que cette partie du programme d'éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle,
05:24elle est inadaptée tout simplement parce que construite sur un refus constant
05:29de prendre en compte les connaissances de cliniciens spécialistes du développement de l'enfant,
05:34c'est-à-dire qu'on ne respecte ni le droit à l'enfance,
05:37ni d'être un enfant avec son vocabulaire, tout à l'heure vous évoquez zizi, zezette,
05:42bon ben ça, tout ça est terminé, il va falloir utiliser des termes scientifiques,
05:45la raison c'est pourquoi, quel objectif, ça remplit aucun,
05:48on l'empêche de vivre avec ses théories, vivre sa vie fantasmatique, ses rêveries,
05:53et comme le rappelle Maurice Berger, et ça c'est très bien, ça répond en partie à la question,
05:58les cliniciens qui savent que les enfants n'ont pas à être devancés de leurs questions,
06:06c'est tout simplement dire qu'en fait il faut les laisser vivre avec leur réalité, d'accord,
06:13et ne pas devancer ces questions, on part d'un postulat de base qui est faux,
06:17par exemple, quand on donne, avant que l'enfant ne se pose la question,
06:23des informations qui sont formulées avec des éléments qui ne correspondent pas à ses stades de développement,
06:29on va aller créer un traumatisme, créer une effraction,
06:32alors on me demandait des exemples, un exemple concret, c'est par exemple quand on,
06:38alors déjà on nous a dit, bon ben pour la partie de l'école primaire,
06:42on va enlever le terme sexualité parce qu'il pose problème,
06:45mais c'est pas parce qu'on va enlever le terme déjà sexualité,
06:48ça je crois qu'il faut être honnête avec nos auditeurs,
06:50c'est que tout ça correspond à une loi qui date de 2001,
06:53qui est le véhicule législatif qui s'appelle bien éducation à la sexualité,
06:57donc même si on enlève les termes, au final on en revient toujours au même point et rien n'a changé,
07:01décrivant par exemple les changements du corps liés à la puberté, à la reproduction,
07:06on va donc leur parler de l'érection, de l'éjaculation,
07:09et on nous dit que c'est rien de sexuel finalement, c'est ce qu'on nous oppose,
07:13mais en réalité si ça ne correspond pas aux besoins de l'enfant qui n'en est pas encore à ce stade,
07:19c'est qu'il ne va pas pouvoir éprouver ce qu'on est en train de lui raconter.
07:23Ensuite il y a un deuxième élément qui est quand même assez important,
07:26et vous verrez dans le programme que 17 fois on a l'identité de genre qui est citée dans le programme,
07:33et on nous dit mais il n'y a pas de théorie du genre,
07:35enfin à un moment donné il faut arrêter de manipuler.
07:38– Et vous citez l'identité de genre, vous avez tout à fait raison,
07:40on le cite à plusieurs reprises, oui, tout à fait.
07:43– Ça c'est un processus qui attaque l'identification des enfants à leur père, à leur mère,
07:49dans une période où ils sont influencés, ça veut dire quoi concrètement ?
07:53Ils ont besoin de construire leur identité avant qu'elle ne soit remise en question.
07:57Est-ce que pour faire des enfants respectueux et tolérants demain,
08:00on a nécessairement besoin de déconstruire ?
08:04On a besoin de les construire, on n'a pas besoin de déconstruire.
08:06– En fait ce que vous dites Christelle Comé, c'est intéressant et c'est le vrai problème,
08:11c'est que vous dites il faut laisser l'enfant quand même se poser des questions
08:14et pas lui imposer effectivement des termes, des mots, des situations,
08:21des actes qu'il ne connaisse évidemment pas et pour cause,
08:25et on l'en imprime une représentation un peu, c'est un peu que ça quoi.
08:29– En fait on oriente leur représentation alors qu'ils sont dans une période
08:34où justement ils ont besoin de se tourner vers des choses beaucoup plus importantes
08:37qui sont les apprentissages, apprendre à vivre avec les autres etc.
08:42Donc en fait tout ça est un mensonge et je terminerai sur un troisième point
08:45qui me semble quand même vraiment important, c'est la notion de consentement.
08:50Alors moi je suis désolée mais n'importe quel spécialiste de l'enfance,
08:54y compris toutes ces associations de protection de l'enfance,
08:56elles pourront s'accorder à dire qu'on ne parle pas jamais de consentement à un enfant.
09:01Pourquoi ? Parce qu'ils n'ont pas la capacité à savoir réellement ce que ça veut dire.
09:06Ce qu'ils vont faire c'est tout simplement leur apprendre des interdits
09:10qui sont clairs et stricts et ça ce mot interdit n'est jamais prononcé dans le programme.
09:16À la place de ça, avant 4 ans on va parler de consentement.
09:19Alors il va falloir expliquer en fait à tous parents qui connaissent les enfants
09:23en quoi expliquer à un gamin qu'il n'a pas le droit de toucher les cheveux de son camarade
09:28s'il n'est pas d'accord, s'il n'a pas recueilli son consentement,
09:32la capacité de dire oui ou dire non.
09:34Et on va nous faire croire, et ça c'est complètement dingue,
09:38que parce qu'on aura dit ça aux enfants, il va être capable de transposer
09:41cette situation de consentement au moment où il va être éventuellement
09:45confronté à un prédateur sexuel, vous l'avez évoqué en début d'intervention.
09:50Et pourquoi ? En fait on fait croire aux gens que s'il n'y a pas d'interdit de poser
09:56avec la notion de ton corps c'est ton corps, personne n'a le droit d'y toucher,
10:00il ne s'agit pas de faire croire qu'on peut transposer une notion de consentement
10:04d'un registre sur un autre, c'est absolument faux et c'est dangereux
10:07en fait pour les enfants et ça ne remplit pas les objectifs prétendus
10:11qui sont de lutter contre les violences sexuelles.
10:13Tout à fait, on en parlait hier d'ailleurs avec la juge Paris-Pierre Porchy
10:17justement sur le consentement et autre chose justement sur les prédations sexuelles.
10:22Restez avec nous Christelle Comé, on va encore en parler,
10:25on va voir un peu jusqu'où ça peut aller ça et comment il faut le combattre,
10:30en tout cas le canaliser au moins.
10:33Envie de réagir ou de poser votre question, appelez-nous dès à présent au 0826 300 300.
10:40Et nous sommes toujours avec la vice-présidente des Maman Louvre Christelle Comé
10:44pour parler effectivement de cette éducation sexuelle, de ce projet qui est pour 2025
10:49et ça a déjà commencé d'ailleurs dans un certain nombre d'écoles.
10:55L'éducation sexuelle, très bien l'éducation sexuelle mais laquelle est d'ailleurs,
10:59comme vous le savez Christelle Comé, il y a déjà quand même quelques failles au gouvernement,
11:04en tout cas quelques divergences, c'est le moins que l'on puisse dire
11:09puisque Alexandre Portier, ministre délégué chargé de la réussite scolaire
11:13et de l'enseignement professionnel, dit ok, ok, je suis d'accord,
11:19l'école a pour mission, je suis d'accord pour qu'il y ait des programmes
11:23mais dit-il, et je reprends ces mots, il a dit ça hier,
11:29l'école a pour mission de protéger nos enfants et en même temps de les aider
11:33à construire leur jugement par eux-mêmes, dit Alexandre Portier,
11:36le ministre chargé de la réussite et il ajoute, c'est pour ça qu'il faut
11:40effectivement un programme pour les aider à comprendre le monde qui les entoure
11:44mais c'est aussi pour ça qu'il est hors de question de laisser faire tout et n'importe quoi.
11:49Est-ce qu'aujourd'hui, Christelle Comet, est-ce qu'on fait un peu tout et n'importe quoi ?
11:54Aujourd'hui en l'état, le programme qui est proposé, il va à l'encontre
12:00du développement de l'enfant et comme l'a rappelé M. Portier,
12:03un courrier a été adressé le 20 novembre avec toute l'expertise
12:08qui est celle construite avec SOS éducation, c'est très simple
12:11et il a eu raison de le résumer en trois points, c'est-à-dire pas d'antrisme
12:14idéologique dans l'école et simplement répondre en face de chaque besoin de l'enfant
12:21une réponse qui est concrète et validée scientifiquement
12:24et puis réalisée par des experts de l'enfance, c'est exactement ce qu'on demande.
12:27Donc en fait, si l'objectif de chacun est d'agir dans l'intérêt de l'enfant,
12:31il n'y a personne qui pourra être opposé aux principes fondamentaux que l'on demande,
12:34à savoir qu'un préambule mentionne les principes fondamentaux dans lesquels
12:39les programmes s'inscrivent, qu'il n'existe que deux sexes,
12:42que les enfants prépubères sont sexués mais pas sexualisés,
12:46que parler de la sexualité des adultes à des enfants est une erreur grave,
12:51qu'il peut provoquer un traumatisme psychique et que les termes relatifs aux pratiques sexuelles
12:56et aux moyens de se donner du plaisir sexuellement n'ont pas leur place dans les enseignements.
13:02C'est tout. Si vraiment on veut être dans une dynamique de rendre service aux enfants
13:09et oui de répondre à cette problématique qui est un enjeu majeur,
13:12qui est de pouvoir lutter contre les problèmes sexuels,
13:15évidemment qu'il faut faire de la prévention, mais pas à n'importe quel prix.
13:19Surtout Christelle Comé, il ne faut pas oublier que les enfants ne sont pas seulement à l'école,
13:23ils sont aussi ailleurs, ils rencontrent, et aujourd'hui on ne parlerait pas d'Internet,
13:28on ne parlait pas de tout ça, je veux dire, en dehors de tout jugement moral,
13:33il y a la vie autour et c'est vrai qu'ils doivent être prévenus au vrai sens du terme.
13:39En fait, ce qu'il faut leur permettre, si réellement l'État, via l'éducation nationale,
13:43veut contribuer à la lutte contre les violences sexuelles,
13:45déjà c'est être capable de remettre un dispositif de santé scolaire
13:49qui permette de recueillir la parole de l'enfant.
13:52Je veux dire, à un moment donné, quand on veut répondre à un objectif,
13:55je vais parler à vos auditeurs très concrètement comme je parlerais à mes amis.
13:59Si demain vous avez besoin que votre véhicule ait de bons freins,
14:03est-ce que vous allez les faire poser par un boulanger ?
14:05Voilà, la question est aussi simple que ça.
14:07Donc la réponse est non.
14:09Là c'est pareil, si l'objectif c'est de vraiment permettre aux enfants
14:13de révéler qu'ils sont victimes de violences sexuelles,
14:17on crée un système de santé scolaire qui permet de recueillir la parole de l'enfant.
14:21Oui, ça c'est pour les violences sexuelles, on est bien d'accord.
14:24Et vous parliez de la pornographie, mais pardon,
14:27mais encore heureux qu'on a réussi, enfin, après deux ans,
14:30au moins, à être entendu sur ce sujet sur lequel tout le monde
14:33normalement s'accorde à condition d'être équipé psychiquement, par exemple.
14:36Le site internet Onsexprime, qui est censé venir permettre de contrebalancer
14:41les mauvaises représentations que se font les enfants de la sexualité
14:45parce qu'avec un accès précoce à la pornographie, mais attendez,
14:48on leur montre des pratiques sexuelles avec une version ludique du Kamasutra
14:52qui met en scène des personnages enfantins origamiques
14:55avec le sexe oral, le sexe anal, toutes les positions.
14:58Mais enfin, vous voyez, il faut être censé, à un moment donné,
15:01on a l'impression d'être face à un amateurisme.
15:04Mais moi, je pense qu'aujourd'hui, en fait, il faut se rappeler
15:07que tout ça part d'idéologies qui n'ont jamais été validées scientifiquement.
15:11Et donc, finalement, ça fait des années qu'on rajoute des couches
15:14d'idéologies qui n'ont jamais été prouvées scientifiquement comme valides.
15:21Voilà.
15:22En tout cas, merci Christelle Comey.
15:24On continuera de parler de tout cela, effectivement, et du genre, etc.
15:28Et puis, tous les débats et toutes les opinions sont évidemment écoutés.
15:32Mais il ne faut vraiment pas faire...
15:35Moi, je touche tout à fait à ce que dit Alexandre Portier.
15:38Il ne s'agit pas de laisser faire tout et n'importe quoi.
15:42Et pas seulement dans le domaine de l'éducation d'enfantines, hélas.
15:46Et bien entendu, vous pouvez réagir ou poser votre question en direct
15:50en appelant au 0 826 300 300.