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Ce jeudi 21 novembre, la Cour pénale internationale a émis des mandats d'arrêt contre le Premier ministre israélien, Benyamin Netanyahou, son ancien ministre de la Défense, Yoav Gallant, et le chef de la branche armée du Hamas, Mohammed Deif. Cette décision fait réagir.  

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Transcription
00:00C'est une décision historique. Benjamin Netanyahou et son ancien ministre de la Défense, Yoav Galland,
00:06sont visés par un mandat d'arrêt international pour crimes contre l'humanité et crimes de guerre
00:11pour des faits allant du 8 octobre 2023 et au moins jusqu'au 20 mai 2024.
00:16Dans un communiqué, la Cour pénale internationale s'explique.
00:20La Chambre a estimé qu'il y avait des motifs raisonnables de croire que M. Netanyahou et M. Galland
00:25portent chacun la responsabilité pénale des crimes suivants en tant que co-auteurs
00:29pour avoir commis les actes conjointement avec d'autres.
00:31Le crime de guerre de famine comme méthode de guerre
00:34et les crimes contre l'humanité de meurtre, de persécution et d'autres actes inhumains.
00:39Le Premier ministre Benjamin Netanyahou a qualifié de décision antisémite le mandat d'arrêt
00:44et s'estime victime d'un nouveau procès de réfus.
00:47Aucune décision anti-israélienne scandaleuse ne nous empêchera et ne m'empêchera moi
00:53de continuer à défendre notre pays de quelque manière que ce soit.
00:56Nous ne céderons pas à la pression.
00:59Un autre mandat d'arrêt a été émis contre le chef de la branche armée du Hamas, Mohamed Deyif,
01:03mais celui-ci est supposé mort par les Israéliens depuis le 13 juillet dernier, lors d'une frappe à Gaza.

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